Comme un chat, j'ai eu plusieurs vies. Comme un phénix, je me suis enflammée pour renaître de mes cendres. J'ai eu une première vie, avant le feu. Nous allons commencer par celle-ci.

Mon arrière-grand-mère est tombée amoureuse d'un triton pendant ses vacances au Loch Lomond. Héritière d'une riche famille française de sang-pur, elle n'est jamais retournée chez elle. De toute manière, avoir fauté avec une créature lui imposait cet exil. Mieux vaut répudier sa propre fille que de voir sa réputation entachée. Surtout que neuf mois plus tard, un bébé est arrivé : ma grand-mère, Suzanne. Les premiers mois de sa vie furent déterminants : un bébé avec de tels gênes doit être baigné régulièrement et allaité deux fois plus souvent qu'un bébé ordinaire pour survivre. Je le sais car mon père avait une sœur qui n'a pas survécu.

Moi, je suis la troisième génération de Rosier à naître sur le sol écossais. Je suis également la troisième génération de Rosier a avoir du sang de sirène qui coule dans mes veines. Ma naissance s'est déroulée en plein milieu de l'été, autant dire qu'elle fut sous haute surveillance. Je suis le petit miracle de mes parents - Jules et Alima - et le premier membre de la famille Rosier avec la peau noire et les cheveux texturés. Âgée d'à peine quelques heures, j'avais déjà une tonne de responsabilités sur mes frêles épaules. On m'a rapidement présentée au clan de sirènes qui peuple le Loch Lomond : j'ai été reconnue comme l'une des leurs. Puis j'ai grandi, en essayant de concilier ma part sirène et ma part sorcière. Je sais parler la langue des êtres de l'eau, comme mon père et ma grand-mère. Comme eux, je peux également nager à toute vitesse et passer une heure sous l'eau sans avoir à reprendre mon souffle. Comme eux, je dois veiller à boire des litres d'eau pour ne pas me déshydrater ainsi qu'à protéger mes yeux et ma peau du soleil. En échange de ces précautions, nous avons tous la chance d'être très doués en botanique marine. C'est ce qui a fait la fortune de ma famille et nous permet de vivre dans une villa près du Loch.

On attend de moi que je reprenne l'affaire familiale. Je le sais même si on ne me l'a pas dit clairement. Seulement, moi, je ne suis pas aussi douée que Papa ou Mamie. Je suis seulement douée pour les catastrophes. A quatre ans, j'ai fait tomber la baguette de Papa dans le Loch. Il a mis plus de deux heures à le retrouver. Lorsque j'avais sept ans, je suis sortie dans le jardin sans protection solaire : deux heures plus tard, ma peau était couverte de cloques et j'ai du rester alitée une semaine. Enfin, à huit ans - oui je sais, c'est tard, on me le dit tout le temps - j'ai découvert mes pouvoirs un soir d'orage. La foudre est tombée non loin de la maison et j'ai eu si peur que j'ai fermé les yeux. Quand je les ai rouverts, je me trouvais sur un bout de terre au milieu du Loch. Papa ne voulant pas que je prenne le risque de nager dans une eau agitée sous un ciel d'éclairs, il a fallu discuter avec les êtres de l'eau pour organiser mon rapatriement. Je cause des problèmes tout le temps et à tout le monde : je suis une vraie calamité ambulante.

C'est peut-être pour ça que je ne suis pas allée à l'école : pour éviter les problèmes. J'ai eu une instruction à domicile par Granny Jeanne et Mamie Suzanne. J'ai appris à écrire le français : je le parle couramment, comme l'arabe - la langue de maman - mais l'orthographe, c'est une autre paire de manche. J'ai appris l'histoire de mes deux pays et aussi à cultiver des plantes magiques, comme le reste de la famille. On est tous doués pour ça mais, encore, je suis celle qui a le moins de talent. C'est toujours comme ça. Par contre j'aime lire et j'adore nager dans le Loch. C'est bien les deux seules choses pour lesquelles ma famille n'a pas galéré : m'apprendre à lire et m'apprendre à nager. Même pour marcher, j'ai eu des difficultés. Je crois que c'est pour ça que Papa et Maman ne veulent pas d'autre enfant. Et aussi parce que c'est toujours plus compliqué d'élever un enfant hybride qu'un enfant normal.

Comme tout bon sorcier, j'ai reçu ma lettre d'admission pour Poudlard lorsque j'ai eu onze ans. Je savais déjà tout sur cette école : Papa m'a tout raconté. Il y a un grand lac parait il, avec des êtres de l'eau dedans. Ce ne sont pas des sirènes mais des selkies, ils parlent la même langue. Je crois que je n'ai pas envie d'y aller. J'en suis même certaine. A quoi bon aller dans une école si l'on est incapable d'apprendre quoi que ce soit ? On a longuement parlé avec Maman et, finalement, j'ai accepté. Ce n'est pas de gaité de coeur mais c'est pour mon bien, pour que je devienne quelqu'un. Alors j'ai fait ma valise et je me suis rendue sur la voie 9 3/4 avec mes parents. J'ai eu droit aux recommandations de rigueur : "bois bien tes six litres d'eau par jour, si tu peux monter à sept c'est mieux", "tu as pensé à prendre tes lunettes et un chapeau ?", "protège bien ta peau, n'oublie pas d'appliquer la lotion sur tout ton corps" ... S'ils savaient comme je m'en fous. Moi je vois juste plein d'enfants qui courent partout et ça me fout la trouille. C'est la première fois que j'en vois autant de mes propres yeux, la première fois qu'ils passent si près de moi. Je ne sais pas comment interagir avec eux, je crois que j'aimerais, pourtant, mais ça me semble trop compliqué.

J'ai bien aimé le trajet en barque. Le lac est somptueux et donne une vue spectaculaire sur le château. J'ai moins aimé la répartition : être scrutée comme une bête de foire et entassée au milieu d'autres enfants ne me plait pas. Je sais que le directeur est au courant de ma particularité, j'ignore si c'est aussi le cas des professeurs et des élèves. Les cours commencent et, sans surprise, je suis une vraie calamité. Même en histoire de la magie, je suis un cancre. Il n'y a qu'en botanique où je me débrouille, grâce à Granny et Mamie. J'ai fait exploser une potion l'autre jour, ce qui m'a valu ma première retenue. J'ai vraiment l'impression d'être une Cracmole ratée. J'ai beaucoup pleuré, quand personne ne me regardait. Je n'aime pas trop me lier aux autres. En fait, ce n'est pas une question d'aimer : c'est juste que je n'y arrive pas. Si quelqu'un vient me trouver, je ne le rejette pas. Mais dès qu'il s'agit de faire le premier pas, je suis comme tétanisée. En plus, des trucs bizarres se passent dans l'école. Certains portent des drôles de badges en forme de goutte de sang et la bibliothèque a été brûlée. Une créature effroyable a blessé des élèves et quelques professeurs. J'ai peur, terriblement peur. J'ai parlé aux Selkies, même eux ont peur de la bête.

Et puis, à la fin de l'année, je n'ai pas voulu aller au bal. Personne ne m'a invitée, de toute façon. J'étais en train de retourner dans ma salle commune, après avoir longuement lu sur le rebord d'une fenêtre, quand je l'ai entendue : une alarme incendie. Une poignée de secondes plus tard, le feu arrive droit sur moi. J'entends des cris, je ne sais pas d'où ils viennent. Je n'ai même pas le temps de sortir ma baguette : à quoi cela aurait-il servi, de toute façon ? Je ne sais pas lancer de sorts. J'ai très chaud et je tousse beaucoup. L'air est irrespirable. Ma peau si fragile ne résiste pas longtemps et je me consume comme un poisson frit. J'ai mal à en crever. C'est tout ce dont je me souviens.

Ainsi s'achève ma première vie. Ainsi commence la deuxième.

Je me réveille un mois plus tard. Je suis à l'hôpital Sainte Mangouste, au quatrième étage, service de pathologie des sortilèges. J'ai des bandages partout, je ne peux pas bouger. Je ne sens rien, pas même ma poitrine qui se soulève au rythme de ma respiration. Le feu a dévoré mon corps. Ce n'était pas un accident mais un sortilège de Feudeymon. Entre les changements de pansements, les greffes de peau deux fois plus compliquées car je suis une hybride et la rééducation, je ne peux rentrer chez moi que six mois plus tard, pour Noël. Les médicomages ont fait des miracles. Mes fonctions vitales ont été préservées. Je peux respirer, marcher, nager. Mais je dois me ménager : ma masse musculaire a fondu pendant mes nombreux mois à l'hôpital. Ma peau est encore fragile. Je garderai à vie les stigmates de cet incendie : mon dos est brûlé, j'ai un cicatrice qui va de l'omoplate gauche à la cuisse droite et passe également par mon ventre. Je suis un monstre, je me déteste. Pourtant, je suis un miracle et certains n'ont pas eu la même chance que moi : j'apprends que trois élèves sont morts dans l'incendie. Je pleure pendant trois jours suite à cette nouvelle. Mes parents m'offrent un Boursouflet pour me changer les idées : je décide de l'appeler Plouf. Poudlard organise un système de cours par correspondance mais je ne suis pas très assidue, je préfère jouer avec Plouf et ma famille n'ose pas trop me forcer. Le couperet tombe : sans surprise, mon année est foirée et je reprendrai ma scolarité en deuxième année, à la rentrée 2026/2027.

Lorsque je prends le Poudlard Express pour la deuxième fois, j'ai l'impression d'être une vraie bête de cirque. Certains me dévisagent, d'autres parlent à voix basse quand je passe. Je pense que la plupart savent ce qui m'est arrivé. Sans surprise, la reprise scolaire est compliquée. Je suis retombée au niveau zéro en magie, si tant est que je l'eus quitté un jour. J'essaie de faire des efforts mais c'est super compliqué, tout s'embrouille dans ma tête. Je suis tombée dans une nouvelle classe, avec de nouveaux camarades mais j'ai toujours autant de mal à me lier aux autres. Le feu qui brûle dans la cheminée de la salle commune me terrifie. Les week-ends, je ne porte que des vêtements amples et couvrants pour que personne ne voie ma cicatrice. Dès que l'on me frôle, que l'on me touche par inadvertance, je me tétanise. J'ai toujours l'impression que quelqu'un me veut du mal. J'ai toujours l'impression que le feu va surgir au coin d'un couloir. Physiquement, je suis remise, même si ma cicatrice reste douloureuse par moments. Mentalement, c'est une autre histoire.

Je passe de justesse en troisième année - je crois que le corps professoral a été indulgent vu ma situation. On doit choisir des options et je jette mon dévolu sur le Soin aux Créatures Magiques et l'Etude des Moldus. On a un nouveau directeur, encore. J'ai passé trois ans à Poudlard et c'est le troisième que je côtoie. Vive la continuité pédagogique. Un système de classement au mérite est mis en place mais ça ne me fait pas partie de mes préoccupations. Je dois boire encore plus qu'avant pour aider ma peau à se régénérer. La nuit, je fais souvent des cauchemars. Je crois que quelqu'un va surgir de l'ombre pour mettre le feu à mon lit. Les flammes ne me laissent jamais tranquille.

Comme un Phénix, je me suis enflammée pour renaitre de mes cendres. Maintenant, le feu me ronge de l'intérieur. Une seule question importe désormais : quand aura lieu l'embrasement ?

Jeanne Rosier (Granny), 98 ans, ancienne élève de Beauxbâtons : la doyenne et la matriarche du clan Rosier, une sorcière française de sang-pur. C'est grâce ou à cause d'elle - au choix - que nous avons du sang de sirène dans les veines : elle est tombée amoureuse d'un triton pendant ses vacances. L'histoire n'a pas durée, les êtres de l'eau et les sorciers sont trop différents, mais un enfant est né de leur amour. Elle a fait preuve de beaucoup de courage pour élever seule sa fille Suzanne et subvenir à ses besoins. Granny nous a appris à tous le français et l'histoire de France. Même si elle est très fière de ses origines, elle n'y est jamais retournée depuis que ses parents l'ont bannie.

Suzanne Rosier (Mamie), 75 ans, ancienne Gryffondor : la fille de Jeanne et la première sorcière à moitié sirène. Sa naissance a été compliquée, Granny a eu besoin de l'aide des sirènes du Loch pour garantir sa survie durant les premiers mois. Elle a de longs cheveux blonds comme son père et de grands yeux mordorés comme Granny. Suzanne s'est vite révélée très douée en Botanique et en Herbologie. Elle a développé différentes cultures de plantes marines et a fait le tour du monde pour récupérer certains spécimens rares. Elle a fait fortune grâce à ses dons et a acheté une belle villa qui donne sur le Loch. Mamie a un fort caractère et n'a jamais souhaité qu'on dicte sa vie à sa place. Elle a eu un enfant d'une première union, Lise, qui n'a pas survécu aux premiers mois très sensibles d'un nouveau né hybride. On ne parle jamais d'elle chez nous mais je crois que cette épreuve l'a profondément marquée. Elle a divorcé de son mari, mon grand-père décédé depuis de nombreuses années, alors qu'elle était enceinte de Papa. Désormais, elle continue de travailler dans l'entreprise familiale et veille à mon éducation.

Jules Rosier (Papa), 43 ans, ancien Serpentard : le fils de Suzanne et principal responsable de la société familiale. Il a aussi hérité des boucles blondes des sirènes et des yeux mordorés de Granny. Il était très beau garçon jeune, apparemment. Il a étendu notre marché à l'international. C'est lors d'un voyage professionnel qu'il a rencontré Alima, ma mère. Elle l'a un peu fait galérer avant d'accepter ses avances.  Je crois que derrière sa ténacité, Papa souffre du fantôme de Lise et de l'absence de son père. C'est sans doute pour ça qu'il est aussi protecteur avec moi, parfois trop selon Maman.

Alima Rosier (Maman), 39 ans, ancienne élève de Uagadou : ma mère est née à Marrakech et a fait ses études à l'école africaine de Uagadou où elle a appris à devenir un Animagus (elle peut se transformer en Serval). Après une scolarité brillante, elle s'est spécialisée dans le commerce magique international. C'est comme ça qu'elle a rencontré Papa. Ils se sont mariés et m'ont eu rapidement après. Je ressemble physiquement à ma mère, même si je suis beaucoup moins jolie, et je suis très proche d'elle. Je l'admire beaucoup et j'aurais aimé être aussi douée qu'elle en magie. Elle m'a transmis la langue arabe - que je suis incapable de lire ou d'écrire ainsi que le nom de sa mère, Soraya.

J'ai survécu au voyage en train. C'est largement plus confortable que la poudre de cheminette, le transplanage ou le portoloin. Ce qui l'est moins, c'est les autres enfants. Je ne sais pas comment agir avec eux, comment leur parler. On a échangé des regards dans le wagon, j'ai même répondu poliment à certains mais je ne partage pas leur excitation. La nouveauté m'effraie, je n'avais pas envie de venir dans cette école. Le voyage m'a paru extrêmement long, je ne comprends pas pourquoi personne n'a pensé à un moyen de locomotion plus rapide. En plus, j'habite en Ecosse et Poudlard se situe en Ecosse : pourquoi m'obliger à aller à Londres pour prendre le train ? C'est dépourvu de toute logique. Ce que j'ai préféré, c'est le trajet en barque. Le lac est immense ! J'espère qu'on a le droit d'y nager. En plus, il offre une vue somptueuse sur le château. C'est encore plus grand et plus majestueux que Papa me l'a décrit ! L'air humide qui règne sur cette étendue d'eau sied à ma peau, je la sens déjà plus souple. Il ne faut pas que j'oublie de boire, avant la répartition.

Après le débarquement, on nous masse dans un immense hall. Je n'aime pas être serrée contre les autres. Autour de moi, je sens de l'impatience et de l'excitation. Nous attendons quelques minutes, le temps que tout soit prêt, puis on nous fait entrer dans la Grande Salle. C'est comme Papa me l'a expliqué, ce qui me rassure. J'aime quand les choses se déroulent comme prévu. Des tas de regards se posent sur nous tandis que nous avançons jusqu'à l'estrade. J'observe, moi aussi. Je remarque la table des professeurs et les quatre tables qui rassemblent les membres des différentes maisons. Papa était à Serpentard alors que Mamie était une Gryffondor. Et moi, où vais-je aller ? Le Choixpeau prend la parole et je suis captivée par cet objet enchanté. Il nous offre une chanson de sa composition qui m'apaise. Le monde va tout de suite beaucoup mieux avec de la musique. Puis, les élèves sont appelés dans l'ordre alphabétique. Il ne reste plus grand monde autour de moi quand mon nom résonne. Mal assurée, les yeux soudainement rivés sur mes chaussures, je monte sur l'estrade et prend place sur le tabouret. A l'instant même où le Choixpeau touche mon crâne, une voix résonne dans ma tête. « Tiens une Rosier ... » Je tripote mes braids avec nervosité. « Vous êtes toujours très difficiles à répartir ... Beaucoup de qualités se bousculent dans ta tête, de la peur aussi ... Tu as les mêmes aptitudes que tes ascendants on dirait. » Le sous-entendu est clair et, alors que c'est inutile, je hoche timidement la tête pour approuver. Soudain, le Choixpeau rugit le nom de ma maison. C'est la tête rentrée dans les épaules que je rejoins la table qui sera mienne pendant sept ans, sous des tonnerres d'applaudissements.

Maintenant que tu es réparti(e), il ne faut pas te reposer sur tes lauriers. Ta vie NYLienne commence à peine et pour la faire démarrer sur de bonnes bases, il te reste encore pas mal de petites choses à faire. Ne t'inquiète pas, je vais tout te montrer...

Commence par créer ta fiche de liens, ta fiche de RPs, ainsi que boîte aux lettres qui te permettra aussi de gagner des points RPs en écrivant des lettres de plus de 300 mots et ta boite à hiboux express pour les messages plus courts. Peut-être que tu n'en trouveras pas tout de suite l'utilité, mais ça ne saurait tarder... Alors dans le doute, mieux vaut le faire ! Et puis, si jamais tu cherches quelqu'un d'important pour le développement de ton personnage, n'hésite pas à créer un scénario.

Aussi, je te conseille d'aller lire comment marche le système de points, si ce n'est pas déjà fait. Ça peut paraître un petit peu étrange au début mais je suis certaine que tu t'en sortiras très vite ! Ce serait quand même bête de ne pas savoir comment récolter des points ou comment en faire gagner à ta maison !

D'ailleurs, en parlant de maison, l'un des moyens de récupérer quelques précieux points est de participer en cours ! Après tout, nous sommes dans une école et tes professeurs sont là pour t'apprendre tout ce qu'ils savent ! Quand tu te seras bien installé(e) dans ton dortoir, attrape tes bouquins et rends toi vite en classe ! Nos professeurs t'attendent, et pour savoir à qui tu as à faire, tu trouveras la liste ici. La liste des sortilèges par année est disponible là.D'ailleurs, tu peux jeter un coup d'oeil aux sabliers pour voir où en est la course à la Coupe.

Il n'y a pas que les points maison qui sont importants ici. Il y a aussi les points défis puisque, comme tu le comprendras très vite, c'est la monnaie NYLienne. Tu pourras acheter tout un tas de particularité pour ton perso, un futur DC ou un scénario. Tu trouveras toutes les informations nécessaires dans ce sujet. Bien sûr, tu peux également savoir combien tu as de points pour le mois en cours en allant voir la fiche ou regarder le total dans ta feuille de personnage ! Le nombre de point s'initialise automatiquement à 0/0 mais dès que tu as un point, tu peux voir l'évolution de ceux-ci à 1/2000... Ils sont bloqués à 2000, si tu veux en gagner d'autres, il faudra envisager de les dépenser !

Enfin, pour être sûr(e) de ne rien louper des activités qui te seront proposées, garde un oeil sur le panneau d'affichage, et sur la Gazette du Sorcier pour être informé(e) de tout ce qui peut bien se passer dans le monde magique.

Le HRP (hors-RP) te donnera également de quoi t'occuper grâce à une partie Flood bien remplie. N'hésite pas à lancer tes propres sujets ! Tu pourras également faire plaisir aux autres membres en leur offrant des cadeaux ou même présente  tes propres créations. N'oublie pas, à l'occasion, de passer sur la ChatBox, il y a souvent du monde et avec un peu de chance, tu tomberas en plein jeu... S'il y a quelque chose que tu ne comprends pas, nous répondrons à toutes tes questions.

Sur ce, je te souhaite beaucoup de plaisir dans cette nouvelle vie qui commence, et plein de merveilleux RPs !