DETAILS EN PLUS Et plus en détails ? Statut Sanguin: Pouvoirs spéciaux: Aucun pour l'instant Poste de Quidditch: Aucun Patronus: Epouvantard: Matières suivies et niveau: Points Défis: (560/2000) Disponible pour un RP ?: D'autres comptes ?:
IRP vous pouvez partir du principe que la majorité des cours a lieu par niveau (1ère année ensemble, etc.). Il s’agira plutôt des cours théoriques, des grandes notions et personnages.
Cependant pour que les cours soient plus intéressants à jouer et ne soient pas bloqués faute d'élèves dans certaines années, je rédigerai essentiellement des cours communs à plusieurs niveaux. Ce seront les cours qui intègreront plus de pratique (du moins à l’échelle de l’Histoire de la Magie, ne rêvez pas trop.)
Son serpent lové autour de son cou, Myrthilde accueillit les élèves avec une lueur d’excitation dans le regard. Le cours d’aujourd’hui ne manquerait pas d’être intéressant. Le sortilège qu’ils allaient étudier ensemble, était à la fois merveilleux et problématique. Acies Oculorum, était une formule qui permettait de dupliquer le texte contenu dans un objet magique scellé comme une amulette ou un parchemin cacheté par exemple, en le faisant apparaître sur un autre parchemin. Problématique, car par ce faire, la magie de l’enchantement était rompue dans 80% des cas… et déclenchait parfois un mécanisme de protection.
Ce qui expliquait qu’elle n’était que très peu mentionnée dans les manuels de cours, en tout cas à Poudlard. Lors des examens à Uagadou, cette formule était autorisée bien que déconseillée pendant les examens.
« Bonjour à tous. Merci de choisir un artefact dans la boîte avant de vous installer à votre place. « dit-elle avec un air mystérieux. Les artefacts étaient soigneusement emballés dans un tissus noir opaque et numéroté. « Vous aurez également besoin de votre baguette, et de deux parchemins. Si vous souhaitez effectuer l’exercice. « Elle laisserait le choix aux élèves de ne pas poursuivre la pratique, s’ils étaient trop effrayés par les malédictions qui pourraient se déverser sur eux, ou chagrinés à l’idée de détruire un objet magique. Les autres excuses, comme la flemme ne seraient bien évidemment pas considérées. Dispensés d’utiliser leur baguette mais pas leur cerveau.
«Nous allons aujourd'hui étudier le sortilège Acies Oculorum, ne le cherchez pas dans vos manuels, il n'est pas au programme.» Dit-elle en jaugeant l'assistance. «mais il me paraît intéressant de vous le proposer… et vous vous ferez votre propre idée.» En histoire comme dans bien des matières, les questions d'éthique, de prises de risque ont toute leur place. «Ce sortilège, permet de révéler les textes contenus dans les objets magiques, en les répliquant sur un parchemin. Des objets magiques avec des ensorcellements mineurs : il existe de nombreuses façons de se prémunir de ce genre d’intrusion.» Elle attendit que l'information soit enregistrée avant de poursuivre. « intéressant n'est-ce pas? Qui ne rêve pas de découvrir les secrets enfouis dans ces petits objets de pouvoir. - elle regarde les objets disposés sur les tables - mais … ce n'est pas si simple.» Un sourire se dessine sur ses lèvres. « Ce genre de magie demande une contrepartie. La plupart du temps, le simple fait d'utiliser cette formule rompt la magie de l'objet, et il ne devient plus qu'une pièce de musée. Parfois, le sorcier a prévu une protection qui s'abat sur la personne qui chercherait à détruire ou à s’approprier les secrets du talismans. » Elle regarde les élèves, avec un peu de défi dans le regard. Alors, toujours intéressant ? «A vous d'essayer d'élucider le mystère et de répondre à quelques questions.»
D'un coup de baguette elle révèle au tableau :
Selon vos observations dater l'objet et indiquer son usage possible. Faites vos observations une fois le sortilège utilisé : réussite de la réplication, conséquences, datation et usage possible de l'objet. Si vous ne souhaitez pas utiliser le sortilège, motivez votre choix.
«Bien entendu, les objets ont été sélectionnés pour leur relative inoffensivité. Je me tiens à votre disposition, si vous avez des questions.»
Certains étaient des objets assez anciens, mais bien connus des historiens car produits en grand nombre, d'autres plus contemporains avaient été expertisés par elle-même et d'autres collègues, ou tout simplement produits spécialement pour l'occasion.
Lancer le hasard :
Dé 1 : le chiffre correspond à votre artefact Je vous laisse partir du principe que le sortilège fonctionne à un moment où un autre, vous pouvez lancer un dé si vous souhaitez savoir si votre personnage y arrive difficilement ou du premier coup, ce n’est pas un cours de sortilège, donc faites comme ça vous arrange. Par contre une fois réussi :
Dé 2 : intégrité de l’artefact 2 chiffres : rien ne se passe, vous pouvez étudier le contenu de l’artefact et en plus il reste intact. 4 chiffres : l’artefact est détruit mais vous pouvez en étudier le contenu.
Dé 3 : valable que l’artefact soit détruit ou non, malédiction 3 : chiffres rien ne se passe, 3 chiffres « oh oh, quelqu’un n’est pas très content que l’on dévoile ses petits secrets «
Liste des artefacts: 1 : Déchet moldu bouteille nettoyante » : le texte qui s’affiche laisse-entendre qu’il s’agit d’un porte-bonheur dans un mélange de formules en dialecte et anglais. On peut reconnaître. Dé 3 : la matinée sera placée sous le signe de la maladresse, essayez de marcher sur les fientes de hibou du pied gauche, peut être que cela compensera.
2 : Déchet moldu]« bouteille nettoyante « le texte qui s’affiche est écrit en Vaï, mais pour qui observe bien, la couleur dorée de l’encre devrait rappeler une certaine potion. Dé 3 : Vous vous sentez maussade toute la journée
3 : Culotte talismanique : il s’agit sans grande surprise d’un talisman censé garantir succès et vigueur auprès de la gente féminine/masculine, les chiffres vous rappelleront les cours d’arithmancie et lorsque les petits carrés de cuir révèlent leur contenu, les symboles sont on ne peut plus parlants. Dé 3 :Et en parlant de vigueur… vous allez avoir du mal à vous concentrer pendant les cinq prochaines minutes. Comme c'est embarrassant, il faut se méfier de ce que l'on souhaite!
4 : Culotte talismanique : il s’agit d’un talisman censé garantir la venue de l’être aimé. lorsque les petits carrés de cuir révèlent leur contenu on retrouve le dessin d’ingrédient qui pourraient rappeler l’amortentia. Dé 3 :Mais comme la curiosité est un vilain défaut, votre succès sera très limité pour aujourd’hui, visiblement, votre charme n’opère pas et tous.tes se détournent de vous.
5 : Ceinture en tissus : il s’agit d’un texte qui semble avoir été « imprimé «* avec une encre, puis complété avec une seconde dans une écriture différente, à la main cette fois. (*façon livre tabellaire c'est-à-dire avec une plaque gravée et encrée qu’on appose sur le tissus, pas une vraie photocopie de machin moldus). A moins de lire l’arabe, difficile de deviner qu’il s’agit d’apporter la santé. Dé 3 : vous vous enrhumez immédiatement, du moins c’est ce qu’il vous semble, car les éternuements finiront par s’estomper au bout d’une trentaine de minutes.
6 : Ceinture en tissus: il s’agit d’un texte qui semble avoir été « imprimé »* avec une encre, puis complété avec une seconde dans une écriture différente, à la main cette fois. (*façon livre tabellaire c'est-à-dire avec une plaque gravée et encrée qu’on appose sur le tissus, pas une vraie photocopie de machin moldus). A moins de lire l’arabe, difficile de deviner qu’il s’agit d’apporter la richesse. Dé 3 :Aujourd’hui, vous allez systématiquement perdre vos paris, ou perdre votre petite monnaie.
Dernière édition par Professeur M. Grant le Dim 5 Fév - 20:45, édité 1 fois
Jasper était bien décidé à attaquer cette année cruciale de sa scolarité avec sérieux et brio. Après un été studieux, même au camp de vacances organisé par l’école, où il avait emmené plusieurs des livres du programme de cinquième année. Le garçon se sentait parfaitement prêt à affronter les cours ainsi que les examens. Toutes les vacances estivales de Jasper étaient studieuses de manière générale. Il aimait beaucoup attaquer le programme en avance, se renseigner sur ce qu’ils allaient voir au cours de l’année, ce qu’ils allaient apprendre. Cela lui permettait également d’avoir un peu plus de temps libre puisque c’était du temps à passer en moins sur les devoirs. Comme cela, il pouvait se balader plus souvent, profiter de lectures plus divertissantes. Non pas qu’il détestait les devoirs, mais il préférait tout de même ne pas avoir à passer ses soirées scotché à un bureau d’études.
Ce matin-là, c’était un cours d’histoire de la magie qui l’attendait. Le Serdaigle aimait beaucoup en apprendre sur les usages de la magie à travers les âges. C’était toujours extrêmement intéressant de savoir comment leurs ancêtres se servaient de la magie. Il existe et existait tellement d’usages différents. Pour quelqu’un de curieux comme Jasper c’était passionnant. En plus, cette année ils avaient un nouveau professeur. Madame Grant. Chaque professeur avait sa manière d’aborder l’histoire, des sujets de prédilections. Pour une matière telle que celle-ci, il était toujours très captivant d’avoir des perspectives différentes, des angles d’études qui varient. Il avait hâte de voir ce qu’elle leur réservait pour leur première leçon.
Comme à son habitude, le jeune sorcier arriva en avance devant la salle du troisième étage. Quand il entra, il fut à la fois impressionné et intimidé par la présence du serpent autour du cou de la professeur qu’il ne manqua pas de saluer poliment. C’était la première fois qu’il voyait un serpent sans qu’une vitre ne le sépare de l’animal. Bien qu’assis dans les rangs il y ait une certaine distance qui les séparait, il n’en était pas moins surpris de sa présence. Ce n’était pas forcément qu’il avait peur de cet animal, d’autant plus qu’il n’avait jamais vraiment eu de contact avec les serpents, difficile de juger. Mais pour suivre un cours, cela restait tout de même perturbant. Celui-ci ne tarda pas à commencer, Jasper avait encore en tête la quasi intégralité du programme qui les attendait et était curieux de savoir par où elle allait commencer. Ce serait ennuyeux si elle commençait simplement par les premières pages du manuel. Mais il n’en fut rien, elle surprit le jeune élève en indiquant que ce qu’ils allaient étudier n’était pas au programme de l’année. Le regard de Jasper s’illuminait, ce serait encore plus intéressant que ce à quoi il pouvait s’attendre.
L’artefact qu’il avait prit avant d’aller s’installer était un vieux déchet moldu. C’était bien sa veine de tomber sur quelque chose qui avait appartenu à un moldu. Tant pis, il ferait avec, de tout sens de n’était pas comme s’il avait le dit-moldu à ses côtés. Révéler ce que renfermait des objets magiques, de quoi piquer au vif la curiosité de Jasper. Peu allait lui importer de laisser intact ces artefacts ou non, l’important était de découvrir ce qu’ils renfermaient, sinon quel était leur intérêt si on ne pouvait pas les percer ? Ce serait de simples objets qui prendraient la poussière. Autant les mettre à profit et découvrir l’héritage laissés par leurs ancêtres sorciers.
Le sortilège fut assez récalcitrant avec Jasper. Il eut quelques difficultés avant de réussir à le mettre en pratique. Peut-être que s’il avait pu l'étudier avant cela ce serait mieux passé. Trois essais, c’est ce qu’il dû faire pour enfin réussir à le lancer et ce qu’il soit efficace sur l’artefact. Malheureusement, celui-ci fut détruit dans l’opération. Pas une grande perte de l’avis de Jasper, après tout ce n’était qu’un objet moldu. Seulement, il fit tomber sa baguette sur le sol dès que le sortilège fut terminé. Était-ce la surprise d’avoir détruit l’objet ou bien une malédiction qui s’abattait sur lui. En tout cas, sur son parchemin, quelques écritures étaient apparues et il avait pu comprendre que l’objet était un porte-bonheur. Pas du tout le genre de chose dans lesquelles croit Jasper.
Le texte répliqué par Jasper était de bonne qualité, il pouvait aisément lire ce qu’il avait réussi à retranscrire en anglais, pour la partie dialecte, cela lui était complètement inconnu. Peut-être que la professeur saurait le traduire ? Sa plume commença à parcourir le second parchemin qui était disposé devant lui. Son écriture était fine, les lettres plutôt rapprochées. Pourtant cela restait très lisible et les professeurs le complimentaient souvent sur son écriture pour un garçon et sur sa présentation de parchemin. C’était quelque chose qui lui avait toujours tenu à cœur, Jasper était un élève appliqué. L’objet était une bouteille de savon noir pour l’entretien de la maison, présenté comme utilisé par toutes les meilleures ménagères. C’était certainement un produit qui aurait pu lui servir pour sa retenue dans les cuisines de Poudlard, se disait-il sans l’écrire. Elle datait du début des années 2010, et était donc destinée à nettoyer le sol des maisons moldues.
Une fois terminé et satisfait de ce qu’il avait écrit, le garçon amena ses deux parchemins au bureau de sa professeur sans vraiment quitter des yeux ce serpent qui l’intriguait. Il tendit ce qu’il avait entre ses mains à la dame en face de lui.
« Voici. Dites Professeur Grant. Seriez-vous à même de traduire le reste de la transcription ? Je n’ai compris que ce qui était écrit en anglais. D’ailleurs, je me demandais ce qu’était une ménagère. » fit le jeune élève de Serdaigle sur un ton des plus sérieux.
Arrivé(e) le : 08/04/2022 Parchemins rédigés : 1056 Points : 18 Crédit : Zuzu Année : 4e années - (14 ans - 9 novembre)
DETAILS EN PLUS Et plus en détails ? Statut Sanguin: Né-Moldu Pouvoirs spéciaux: Être canadien ? Poste de Quidditch: Aucun Patronus: Epouvantard: Matières suivies et niveau: Points Défis: (755/2000) Disponible pour un RP ?: Bien sûr, on le commence quand ? D'autres comptes ?: Azure/ Prof. Alexander / Maxi / Poppy
Il y avait quelques choses d’étrangement paisible dans les couloirs comme si le vent prévoyait de nous informer encore d’une nouvelle catastrophe; à moins que ça ne soit juste Gwen qui était assez perturbé depuis de nombreux jours. Elle n’avait jamais vraiment aimé Michaela, mais au fond, elle restait quand même assez perturbée par le fait qu’elle fût décédée aussi proche de l’école. Les souvenirs de sa première année et des craintes liés à une attaque hantait le bord de sa pensée sans pour autant ne jamais l’envahir. Comme chaque jours, Gwen se présentait à l’heure en cours, pressé de débuter et d’emplir son esprit de d’autre sujet. À peine arrivée, qu’elle nota le nombre important d’élève assis dans la salle de classe de leur nouvelle titulaire Professeur Grant. La femme au teint noir et aux dents étincelantes tenait sur ces épaules un serpent qui avait l’air d’être habitué de se trouver là. Elle prit une place au milieu de la salle avant de noter la présence de Jasper plus loin. Trop tard, elle était assise et c’était aussi bien parce que sinon, il était clair qu’elle aurait beaucoup plus de mal à se concentrer sur l’exercice d’aujourd’hui. Docilement, elle alla cherche un paquet envelopper de tissus noirs et revint à sa place aussi prestement. Le paquet n’avait pas l’air très dur sous ces doigts, ni n’était très grand. Elle le posa devant elle tout en sortant les parchemins tel que stipulé par l’enseignante.
Elle but les paroles de l’enseignante avec avidité avant de jeter son regard bleuté sur le tissu toujours replié. Une relative inoffensivité, disait-elle. Gwendolyn pinça les lèvres, dans tous les cas, elle aurait quand même essayé de percer le secret de l’objet, la curiosité l’emportant trop pour se retenir. Elle nota sur son parchemin, en s’assurant de bien laissé d’espace entre chaque notion à y ajouter :
Avant sortilège : Dater l’objet Usage possible Observation sortilège : Réussite – Échec Conséquence Datation Usage possible
Quand Gwen déballa son artéfact, elle eut une expression étonnée presque choqué. Pour une fille qui n’était guère très expressive, outre un sourire poli ou amusé sur les lèvres, la vue d’une culotte la troubla grandement. Elle leva les yeux au ciel avant de jeter un coup d’œil autour d’elle pour s’assurer qu’il n’y avait pas méprise et qu’on n’avait pas interchangé un objet magique avec… bref une culotte ordinaire. Elle avait eu l’audace de dire quelques choses autours du feu qui avait su marquer quelques esprits mais pas autant qu’elle se retrouve à jouer avec un vêtement en classe d’Histoire, non? Quelqu’un n’avait pas fait cela ? Son seul recours fût de noter que d’autre élève aussi avec des pièces de vêtements, et le calme l’envahit graduellement à petite goute. Elle souleva l’objet de la surface, le tourna dans tous les sens. Nul doute, c’était une culotte. L’idée d’enchanté un sous-vêtement ne lui avait jamais traversé l’esprit mais en même temps, peut-être que quelques âmes en détresse avaient un besoin impératif pour ce genre d’outil à moins que ça soit diamétralement le but inverse; s’assurer qu’il ne se passe rien Un peu comme une pièce d’armure.
Avant sortilège : Dater l’objet : Plutôt récent, pas plus de 50 ans. Usage possible : Empêcher qu’on se la fasse enlever ?
Déjà là, ça lui tournait un peu à la tête d’imaginer une scène pareille. Il ne lui restait plus qu’à… lancer le sort. ‘’Acies Oculorum. ‘’ fit-elle d’un ton égal et ne cherchant pas à attirer plus qu’il fallait l’attention sur elle. Elle vit tranquillement le sortilège opérer. D’abord, elle nota que le vêtement s’ouvrit comme une fleur, d’ouvrant une ouverture qui n’était pas là, quelques instants plus tôt. Avant d’y glisser ces doigts, Gwen continua l’inspection complète de l’intérieur, de l’extérieur, du devant et du derrière. Puis, la posant à plat, elle ouvrit avec ces index la cloison ou elle découvrit le dessin d’une fleur. Nul doute, ce n’était pas pour protéger la vertu de quelqu’un. À l’endroit ou cette fleur était placé une fois le vêtement porté, son rôle semblait ne poser aucune équivoque.
Observation sortilège : Réussite – Échec Conséquence : Aucune. Sauf que ça sent le citron et les fleurs. (Juste écrire cela lui fit lever les yeux, tout en s’obligeant aucun regard en direction de son petit-amis.) Datation : Pas plus de 50 ans, vu l’état. Sinon, il y doit y avoir un autre enchantement pour la maintenir dans cet état. Usage possible : La fleur et l’effet me font penser à une potion de charme. J’ignore cependant, si le but est de faire tomber la personne en amour avec le porteur ou l’inverse.
Agitant sa baguette, elle transposa l’enchantement sur son parchemin. Peut-être qu’en le lisant, elle y verrait plus clair. Parce que pour le moment, il reste beaucoup de doute quant à la datation et l’usage. Les lettres s’illuminèrent sur le papier avant de devenir mat. Gwen déposa sa baguette avant de regarder le sortilège. Aucun doute sur le fait que ça soit pour charmer quelqu’un.
Usage possible : La fleur et l’effet me font penser à une potion de charme, l'Amortansia. J’ignore cependant, si le but est de faire tomber la personne en amour avec le porteur ou l’inverse.Donner une impression d'amour à la personne avec qui l'ont est.
Dites Professeur Grant, je vois surtout des pièces de vêtements… Ne put-elle s’empêcher de souligner.… y-a-t-il une raison historique pour lesquels on préférait enchanter des vêtements plutôt qu’un autre objet ? Ou devait-il être lié avec l’objectif du porteur ? Après tout, cela aurait pu être tout aussi bien un collier qui aurait eu ces propriétés magiques. Pourquoi allez jusqu'à l'appliquer sur un vêtement qui serait moins résistant qu'un bijou ? À moins que les charmes dessus soient plus difficile à déjoué...
Résultat du dé 4 : Culotte talismanique : il s’agit d’un talisman censé garantir la venue de l’être aimé. lorsque les petits carrés de cuir révèlent leur contenu on retrouve le dessin d’ingrédient qui pourraient rappeler l’amortentia. 1-2 chiffres : rien ne se passe, vous pouvez étudier le contenu de l’artefact et en plus il reste intact.
Violet McGregor
À SAVOIR Arrivé(e) le : 06/06/2022 Parchemins rédigés : 233 Points : 0 Année : 7ème année
DETAILS EN PLUS Et plus en détails ? Statut Sanguin: Sang-Pur Pouvoirs spéciaux: Aucun pour l'instant Poste de Quidditch: Aucun Patronus: Un cygne Epouvantard: Que l'on brûle ses livres Matières suivies et niveau: Points Défis: (580/2000) Disponible pour un RP ?: Bien sûr, on le commence quand ? D'autres comptes ?: C. Salem MacMillan
Violet entra dans la salle de cours d’Histoire de la Magie d’un pas très énergique, impatiente de pouvoir commencer à étudier. Après son altercation avec plusieurs élèves dans la Grande Salle le soir du banquet de rentrée, elle était plus déterminée que jamais à laisser la vie sociale de côté pour se plonger dans les cours pour cette cinquième année. Clairement, Poudlard était un endroit fabuleux, si l’on en retirait la majorité des élèves. Mais, fidèle à elle-même, la Serdaigle avait vite fait d’oublier cet instant désagréable, pour ne se concentrer que sur les cours et sur ce qu’ils avaient de nouveau à lui apprendre. Comme toujours donc, elle s’installa au premier rang et salua sa nouvelle professeure avec un petit sourire, indicateur chez elle de bonne humeur. Suivant ses indications, elle avait choisi un objet enveloppé dans du tissu noir, numéroté d’un 2, avant de s’assoir. Elle vit le serpent autour de son cou et le trouva plutôt impressionnant, mais à moins qu’il ne soit essentiel à l’étude, le regarder ne lui était d’aucune utilité, alors elle en détourna rapidement le regard, se focalisant uniquement sur Mrs. Grant et sur sa présentation du cours de la journée.
Violet fut surprise d’entendre le nom du sortilège qu’ils étudieraient ce matin, elle ne l’avait jamais croisé dans ses manuels de cours, et pourtant elle les avait déjà tous lus avant la rentrée. Grant leur apprit qu’il s’agissait d’un sort permettant de retranscrire sur un parchemin des messages cachés dans des objets, et qu’ils devraient donc pratiquer ce sortilège sur l’artefact qu’ils avaient choisi. Délicatement, Violet retira l’emballage de l’objet, révélant une sorte de bouteille en plastique, décorée de quelques morceaux de tissus rouges et noirs. Elle pensa d’abord à un récipient pour une potion, mais la matière et l’apparence lui paraissaient bien différente de ce qu’elle connaissait. Curieuse, elle tourna le bouchon et examina le contenu. Ce n’était décidément pas une potion, et à l’odeur elle reconnut du savon. Rien de magique dedans, alors elle supposa que ce devait être un objet moldu. Ayant toujours vécu au sein d’une famille de sorciers, elle ne connaissait des moldus que ce qu’elle avait appris dans les livres et durant les cours d’étude des moldus. Mais il lui semblait évident ici qu’il s’agissait d’un produit pour laver quelque chose. Pour la dater, en revanche, c’était une autre paire de manches. Ça n’avait pas l’air si ancien que cela, mais était-ce pour autant si récent ? Désemparée, la Serdaigle repoussa son envie urgente de filer à la bibliothèque pour tenter de trouver une réponse à sa question et inscrivit simplement sur son parchemin “Incertaine. Fin du vingtième siècle ?” Elle n’aimait pas du tout ne pas savoir quelque chose, mais que pouvait-elle dire de plus ? Heureusement, le sortilège du jour pourrait peut-être lui en apprendre un peu plus.
Sérieuse, elle prit sa baguette et énonça le sortilège, visant l’objet. Petit à petit, son deuxième parchemin se couvrit d’une écriture dorée dont les caractères lui étaient parfaitement inconnus. C’était bien sa veine ! Comment était-elle supposée déchiffrer quoi que ce soit, avec ça ? Immédiatement, ce fut comme si la bonne humeur de Violet s’effondrait pour laisser place à de l’irritation. Elle se sentait maussade, presque déprimée, sans vraiment savoir pourquoi. Elle se surprit à soupirer d’agacement. Ça ne lui ressemblait pas, de s’en faire pour si peu. Mais c’était plus fort qu’elle, elle se sentait d’humeur massacrante.
« Pfff… Vraiment ! Je n’arrive à rien ! »
Venait-elle vraiment de s’exprimer à voix haute ? Décidément, ça ne lui ressemblait pas. D’un geste brusque, elle s’empara de nouveau de l’objet, qui ne semblait pas avoir subi d’impact avec le sortilège, et l’observa dans tous les sens, cherchant des réponses invisibles à ses questions, quoi que ce soit qui lui permettrait de ne pas rendre un parchemin vide à la fin du cours. Dans la salle, elle vit des élèves terminer d’écrire, dont Jasper et Gwen, qui posaient des questions à voix haute, et elle ne saurait dire pourquoi, mais les voir ainsi satisfaits de leur rendu l’énervait d’autant plus.
« Une ménagère, c’est une moldue qui fait du ménage. C’est dans le nom. »
Il fallait qu’elle se calme, et surtout, qu’elle se concentre. Lâchant son objet, elle revint à l’écriture, toujours illisible, décidant plutôt de s’intéresser à l’encre utilisée. Elle était épaisse, mais surtout de couleur dorée, presqu’éclatante, comme de l’or fondu. Devait-elle y voir une certaine signification ? Etait-ce un symbole de richesse ? Violet pensa à la potion de Felix Felicis, qui était généralement de la même couleur, et se dit que si seulement elle avait pu en boire un peu avant de venir en cours ce matin, cela lui aurait certainement évité de finir de mauvaise humeur. Soupirant une dernière fois, elle prit finalement sa plume et écrivit sans certitude :
Réussite de la réplication : Le sortilège a bien fonctionné et a gardé l’objet intact. Conséquences : Possible malédiction d’altération de l’humeur ? Datation : Incertaine Usage possible : Récipient pour une solution de nettoyage. Possibilité d’apporter de la richesse ou de la chance ?
Puis elle leva la main, toujours aussi agacée, et pointa le parchemin contenant la retranscription lorsqu’elle demanda :
« Excusez-moi, professeure. Y a-t-il un moyen de traduire ce qui est écrit ? Je ne connais pas ce langage. »
Elle avait fait un effort pour ne pas paraître trop sèche, mais c’était peine perdue. Elle était définitivement de mauvaise humeur.
Florent J. Kane Gryffondor Florent est donc de retour à Poudlard pour entamer sa cinquième année. Et qui dit retour à l'école, dit évidemment cours. Ce matin, c'est donc un cours d'Histoire de la Magie vers lequel Florent se dirige. Mais avant de rejoindre la salle de classe du Professeur Grant. Florent doit faire un tour dans la Grande Salle afin de prendre un petit déjeuner. Le cinquième année glisse donc dans son sac à dos tout le matériel qui lui serait donc utile pour le premier cours de la journée.
Ensuite, après avoir enfilé sa tenue de cours, il épingle son badge de préfet. Cette fois, il est prêt pour rejoindre la Grande Salle. Il quitte donc son dortoir et avance calmement vers son précieux repas matinal. Cela lui prend plusieurs minutes avant d'arriver sur place. Car de temps en temps, le jeune homme doit saluer d'autres élèves. Effectivement, il est plus difficile de passer inaperçu en ayant un badge de préfet qui définit le respect du règlement.
De plus, en plus de saluer les gens, il doit de temps en temps s'arrêter pour donner un coup de main à un première année perdu dans l'école ainsi que rappeler à d'autres le règlement. Une fois donc arriver à la table des Gryffondors dans la Grande qui est quelque occupé d'un certain nombre d'élèves. Florent déguste quelques toasts, un bol de cacao ainsi qu'un verre de jus de fruit. Il profite aussi pour mettre dans son sac un ou deux fruits qui pourraient être utile dans la suite de cette journée.
Ensuite, il est temps de rejoindre le troisième étage où a lieu les cours d'Histoire de la Magie. Il lui reste plusieurs minutes avant que le cours commence alors il décide d’accélérer le pas. Et plusieurs minutes plus tard, il arrive enfin sur place. Il y retrouve quelques connaissances qu'il connait. Florent prend alors le temps pour les saluer avec un grand sourire et entre ensuite dans la salle de classe. Il s'installe à une table libre sort de quoi écrire et prendre des notes et se tourne vers sa Professeure lorsqu'elle débute la présentation du cours.
Elle leur raconte alors qu'ils vont étudier le sortilège "Acies Occulorum". Ce sortilège, permet de révéler les textes contenus dans les objets magiques, en les répliquant sur un parchemin. L'intervention du Professeure Grand finie, Florent et les autres élèves peuvent donc débuter leur recherche. Le Gryffondor s'avance donc pour étudier un objet. Il s'agit d'une culotte talismanique, il pointe alors sa baguette et prononce:
"Acies Oculorum."
Juste après que Florent utilise le sortilège. l'objet en question se met alors à se déchirer. Toutefois, le préfet peut pouvoir son analyse de la culotte. Il découvre alors qu'il s'agit d’un talisman censé garantir la venue de l’être aimé. Lorsque les petits carrés de cuir révèlent leur contenu on retrouve le dessin d’ingrédient qui lui rappelle l’amortentia. Le jeune homme prend soin de tous noter sur un parchemin les différentes informations reçus.
À SAVOIR Arrivé(e) le : 18/05/2020 Parchemins rédigés : 585 Points : 15 Crédit : Tumblr Année : 6ème année
DETAILS EN PLUS Et plus en détails ? Statut Sanguin: Sang-Pur Pouvoirs spéciaux: Animagus Chat Poste de Quidditch: Aucun Patronus: Panthère Epouvantard: Matières suivies et niveau: Points Défis: (755/2000) Disponible pour un RP ?: Bien sûr, on le commence quand ? D'autres comptes ?: Aisling
(#) Sujet: Re: [fini] 5-6-7 : Acies Oculorum Sam 1 Oct - 23:14
Acies Oculorum
Maxton entra dans la salle d’histoire de la magie, accompagné comme toujours de sa sœur jumelle. En général, c’était des cours où, d’un accord tacite, ils se positionnaient généralement vers les rangées du centre, chacun vacant à ses occupations en écoutant le cours d’une oreille. Il ne fallait pas se méprendre, c’était généralement intéressant et Maxton aimait l’histoire. Malheureusement, l’absence quasi-totale de culture de ses petits camarades obligeait le professeur à reprendre des bases, bases qu’il avait déjà. Dans l’attente que l’exposé devienne donc réellement palpitant, il pouvait se permettre de laisser ses pensées vagabonder. Du moins, c’était l’organisation habituelle. Organisation qui se trouva brutalement changée quand leur professeur leur demanda dès leur arrivée de se saisir d’un artefact magique, voire de leur baguette. Il fronça les sourcils. La pratique dans l’histoire de la magie, ce n’était pas courant. Cela ne le rebutait pas mais il avait du mal à en saisir à cet instant précis les tenants et les aboutissants. Cela devenait franchement obscur quand le travail pratique en question devenait optionnel. C’était quoi l’idée, ils avaient une baguette, mais il ne fallait pas les encourager à s’en servir ? Décidément, cette école était chaque jour un peu plus décevante.
Il se saisit donc d’un artefact, tout comme sa sœur, et ils allèrent s’installer ensemble dans la salle. Sa curiosité fut réellement piquée quand son professeur débuta en indiquant que ce cours n’était pas au programme. Cela pouvait vouloir dire deux choses, soit cela allait être mortellement ennuyeux, soit pour une fois, ils allaient enfin avoir accès à des informations plus palpitantes qu’un énième récit sur la guerre des gobelins. Sans vouloir gâcher le suspense, tout le monde savait bien que les sorciers avaient remporté ce conflit. Il jeta un regard vers sa jumelle. Cette dernière semblait plus ou moins à deux doigts de mourir d’ennui, mais elle n’avait plus jamais manifesté depuis leur arrivée à l’école la moindre colère assez dévorante pour éliminer un autre camarade. Au contraire, elle semblait étrangement calme. Il ne savait toujours pas si cela l’angoissait ou le rassurait.
Là où il se fit définitivement happer par le jeu, c’est quand elle les mit plus ou moins défi de tenter le sortilège dont elle parlait, sort dont il était parfaitement capable de voir toute l’utilité. Il suffisait d’appuyer sur les leviers de son ego et de son arrogance pour l’entraîner et il n’eut bientôt plus qu’une idée en tête, essayer de réussir. Bluebell en soupira de dépit. Elle le connaissait assez pour savoir que ce genre d’énigme le fascinait. Il dédaigna assez rapidement les questions qui apparurent au tableau, seulement intéressé par la dimension de mystère de l’objet. Il ouvrit le sac en tissu noir pour découvrir son artefact et plissa les yeux pour découvrir une sorte de ceinture en tissu. Les écritures ne lui étaient pas familières même s’il avait déjà vu de l’arabe dans sa vie. Il était seulement incapable de le lire, ce qui le fit grimacer de dépit. Il voulait comprendre. Après un coup d’œil sur ses camarades et notamment une fille de Serpentard, alors qu’il allait protester, il jugea bon de se taire. C’était un sous-vêtement qu’elle avait dans les mains … ? Plutôt que de chercher à confirmer dans quel état de décadence venait de sombrer Poudlard s’il avait bien vu, il préféra se concentrer sur son propre exercice. Après avoir lancé une première fois le sortilège sans succès, il parvint à le réussir la seconde fois. Evidemment, le texte qui s’afficha était en arabe également. Dès que les mots cessèrent d’apparaître sur le parchemin, il y eut comme une sorte de sifflement bref et l’objet qu’il manipulait sembla perdre de son aura. C’était ténu, mais il ne semblait plus vibrer de magie. A croire que le sortilège l’avait abîmé.
Il redressa la tête quand une fille demanda avec sécheresse s’il y avait moyen de traduire une langue qu’elle ne comprenait pas et il releva la tête, brusquement intéressé par la réponse. Lui non plus ne comprenait pas un traître mot de ce qu’il avait obtenu
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(#) Sujet: Re: [fini] 5-6-7 : Acies Oculorum Jeu 27 Oct - 10:52
bailey dawson + histoire de la magie
PRÉNOM NOM PERSO1 ⊹ PRÉNOM NOM PERSO2
Tight like a rope, try to not reach for memories. Lover, lover, what have we done ? We made our heart leap, then it gave up. Lover, lover, let me in. You came in the door like thunder, then hit the floor like thunder. Laying me down you wonder. You came towards like thunder.
SEPT. Bailey balança son sac à ses pieds et s’avachit légèrement sur sa table. Comme à son habitude en cours d’Histoire de la Magie, il avait choisi une place dans le fond. Cette classe était vraiment l’une des pires, puisqu’il subissait beaucoup de théorie. En bref, on leur récitait un cours et ils étaient censés le retenir. Bien sûr, certaines informations étaient intéressantes, mais le jeune homme n’était pas un grand fan de rester assis les fesses sur une chaise pendant de longues heures sans rien faire. En passant, Bailey avait attrapé le premier objet dans la boite, prenant soin en suite de l’abandonner sur la table et de ne pas lui donner plus d’attention que nécessaire.
Peut être aurait-il le temps de faire une courte sieste, pour rattraper la mauvaise nuit qu’il avait passé … Mais aujourd’hui le professeur Grant en avait décidé autrement. Elle leur demanda rapidement de sortir leurs baguettes et deux parchemins. Le garçon fronça un sourcil, un peu surpris de s’imaginer de la pratique dans un tel cours. Clairement, il avait la flemme et aurait préféré somnoler, mais il ne tenait pas non plus à se mettre la prof à dos aussi tôt dans l’année. Alors il sortit ses affaires et attendit plus d’explications … qui ne tardèrent pas à venir. Elle voulait leur faire étudier un sort qui n’était ni dans les programmes, ni dans les manuels. Donc un truc inutile pour les Buses en bref ? Mais quelle perte de temps … L’idée était d’aller à la chasse aux gossips en découvrant les secrets coincés dans un objet … Il restait dubitatif pour le coup.
Et maintenant cette folle était en train de leur dire que ce sortilège pouvait avoir des conséquences. Donc ils allaient prendre des risques pour des secrets d’un objet nul dont ils s’en fichaient royalement. Elle n’était pas bien dans sa tête celle-là …
Dé 1 : (2 : un déchet moldu) Génial, Bailey avait en plus de ça attraper sans faire attention l’objet surement le plus pourri de la collection de leur prof. Il se retrouvait avec une bouteille vide pourrie. Rien qui ne le mettait de meilleure humeur pour le coup.
Dé 2 : intégrité de l’artefact (4 : rien ne se passe) Il lança le sortilège malgré sa mauvaise volonté, et étrangement tout se passe pour le mieux. L’objet était resté intact et ce qu’il contenait apparut sur son parchemin, mais dans une langue qui ne connaissait absolument pas …
(Dé 3 : valable que l’artefact soit détruit ou non, malédiction 3 3 : chiffres rien ne se passe, 3 chiffres « oh oh, quelqu’un n’est pas très content que l’on dévoile ses petits secrets « )
Il se sentait encore plus grognon qu’au début du cours, si c’était possible. Et franchement n’avait pas la moindre envie de faire un quelconque effort.
– Cette langue pourrie là, je comprends rien …
Marmonna-t-il, alors qu’il s’avachit un peu plus sur sa table, bien décidé semble-t-il à ne rien faire de plus.
Arrivé(e) le : 22/02/2021 Parchemins rédigés : 940 Points : 6 Crédit : (ava) carolcorps - (signa) anaphore Année : 6e année (16 ans - 04/02)
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(#) Sujet: Re: [fini] 5-6-7 : Acies Oculorum Mer 2 Nov - 14:00
Comme à son habitude, Haley pénétra dans la salle de classe avec l’entrain et la confiance des élèves qui ne doutaient point de leur réussite : elle aimait les cours d’histoire de la magie, principalement parce qu’il n’y avait en général pas de magie à faire et qu’ainsi, ses seuls talents de bachotage et de recherche étaient nécessaires. Et en l’espèce, personne ne l’égalait. Certains avaient peut-être des capacités plus développées qu’elle pour lancer des sortilèges, mais dès lors qu’il s’agissait de théorie, elle n’avait rien à envier aux meilleurs. En réalité, elle était la meilleure. En toute modestie.
Leur nouvelle enseignante – un peu atypique, avec son serpent qui entourait son cou comme une écharpe – leur fit toutefois comprendre très rapidement que cette fois-ci, les choses étaient différentes. Il y avait de la magie et qui disait magie, sous-entendait qu’elle n’était plus nécessairement celle qui obtiendrait les résultats les plus louables. Pire ! Il s’agissait d’un enchantement qu’elle n’avait encore jamais utilisé, elle n’avait aucune pratique, aucun entraînement dessus. Le défi était de taille. Comme chaque fois, elle ne rechignait pas à le relever mais une pointe d’anxiété germait en son for intérieur avec cette inquiétude de peut-être échouer. Sa note jusque-là irréprochable en histoire de la magie en prendrait naturellement un coup. Non ! Elle ne pouvait permettre tel affront.
Bien décidée à maintenir son niveau scolaire à son paroxysme, la préfète alla s’asseoir à sa table habituelle et ôta l’emballage de son artefact, dévoilant ce qui ressemblait à une bouteille particulièrement laide, décorée de tissu et d’une excroissance dont l’utilité était à ce jour inconnue. Un peu envieuse, ses yeux s’attardèrent sur les objets que d’autres tenaient entre les mains ; elle était relativement peu tentée par ce qui ressemblait beaucoup trop à un sous-vêtement, mais les autres tissus dont avaient hérités certains semblaient infiniment plus intéressant que cette bouteille. Dans un soupir résigné, elle reporta son attention sur son propre sujet de travail et tenta – une fois, deux fois... trois fois ! – le sortilège avant qu’enfin celui-ci ne daigne faire son œuvre. Ça n’était pas mirobolant, mais du coup de l’œil elle n’avait pu s’empêcher de remarque qu’elle était loin d’être la seule. Elle n’avait pas à rougir d’un échec que beaucoup, bons comme mauvais, avaient subi. Puis sa bouteille était encore intacte ! Après des efforts magiques, quelques mots avaient finalement daigné faire leur apparition. Délicatement, elle prit la bouteille dans ses mains pour la rapprocher de ses yeux, plissant ceux-ci pour lire ce qui était inscrit. À défaut d’avoir l’objet le plus intéressant, elle avait au moins eu celui qui n’était pas trop difficile à déchiffrer : un alphabet romain, facile à reproduire sur un parchemin – ce qu’elle fit – et surtout des mots pour la plupart compréhensible. De l’anglais, principalement, accompagné de ci de là par une autre langue qui lui rappelait quelques antiques souvenirs.
Le récipient était manifestement assez récent et les rainures sur le bouchon laissaient à penser qu’il s’agissait d’une confection moldue contemporaine à son époque. Ou peut-être de la fin du siècle dernier. Le dialecte lui évoquait un peu l’écossais, mais il lui était difficile d’être certai... tellement absorbée par ses observations, la poufsouffle avait crispé ses doigts sur la bouteille, jusqu’à finalement en expulser l’air, propulsant ainsi le bouchon droit vers @Gwendolyn A. Chastel qui se le prit sur la tempe. « Pardon... » fit-elle, vaguement penaude, en allant récupérer le bout de plastique qui était tombé quelques mètres plus loin, avant de retourner aussi sec vers son travail, non sans manquer de buter contre la chaise d’un autre camarade. Décidemment, aujourd’hui n’était pas son jour.
Dé (dans le flood):
(Haley) artefact
Dé 1 : artefact n°1
Dé 2 : intégrité de l’artefact 1 & 2 : rien ne se passe, vous pouvez étudier le contenu de l’artefact et en plus il reste intact. Le reste : l’artefact est détruit mais vous pouvez en étudier le contenu.
Dé 3 : malédiction Pair : rien ne se passe, Impair : c'est la cata !
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Myrthilde observa calmement les élèves se débattre avec leur artefact et la formule. Elle était surprise de voir qu’aucun n’avait choisi l’observation pure et simple. Tous sans exception avait jeté le sort et advienne que pourra : la destruction d’un artefact et la vengeance de son possesseur. Elle avait bien entendu précisé qu’ils ne risquaient pas grand chose, ce qui était vrai… Mais compte-tenu des incidents qui avaient régulièrement lieu à Poudlard, elle n’aurait pas parié sur une confiance aveugle ou une curiosité sans retenue. Néanmoins, il fallait avouer que c’était tout de même plus simple si les élèves participaient.
“Je vois que vous n’avez pas eu beaucoup d’égard pour l’intégrité de ces pauvres talismans, et que vous ne souffrirez pas des effets de la malédiction trop longtemps.” dit-elle faussement peinée. La professeur Grant était en fait plutôt amusée de constater la maladresse ou la mauvaise humeur de sa classe. Ils avaient été prévenus, et elle avait veillé à ce que rien de bien fâcheux ne puisse leur arriver.
Elle les laissa dérouler leur expérience avant de répondre aux questions. Les élèves pensaient-ils réellement qu’elle se serait risquée à leur présenter des objets aux écritures dont elle ne comprenait pas le sens ? Elle aurait eu l’air fine. “Bien entendu @Jasper S. Bellingham , cela signifie : Ce qui est pour toi ne passera pas sans toi. Chaque chose est bien où elle sert. Puisse ce talisman te prémunir de t’éloigner de ton chemin. ” Elle tourna également la tête vers Violet, avant de poursuivre : “En ce qui concerne la ménagère, c’est un terme des années 1950, qui désigne une personne de moins de 50 ans, souvent la femme, chargée de tenir le “ménage”, la “maisonnée” et de prendre les décisions d’achat. C’est un terme un peu péjoratif : la ménagère est économe, pas très subtile et dicte sa loi. On utilise beaucoup moins ce terme aujourd’hui.” La professeur estimait que ce n’était pas plus mal. Même si objectivement, elle avait rarement vu son père se soucier de la maisonnée et d’un placard plein. Si sa mère était restée longtemps au foyer et dépendante du budget de son époux, comme de nombreuses autres sorcières, c’était bien elle qui décidait de comment se dépensait cet argent pour éviter les fantaisies de monsieur. L’art de la ménagère consistait sûrement à laisser penser à ce dernier qu’il était la tête pensante…
La question suivante était celle d’une serpentard, @Gwendolyn A. Chastel et était très intéressante : “Il y a plusieurs raisons pour cette sélection de vêtements. La première est très terre à terre : ils sont faciles à trouver, car souvent on les possède déjà, ou à produire : je suppose que vous pouvez vous réjouir d’avoir obtenu un artefact créé pour ce cours et non utilisé n’est-ce pas?”. Myrthilde n’osait imaginer donner une culotte déjà portée à étudier. “La deuxième : on perd plus difficilement un vêtement qu’un bijou, et on ne peut pas se le faire arracher discrètement. Vous noterez que se sont souvent des vêtements que l’on porte à même la peau, tunique, sous-vêtement… Ils sont au plus proche du porteur. Et la dernière : c’est assez discret pour ne pas attirer la convoitise. Cela vaut aussi pour les autres objets : qui aurait envie de s’attarder sur vieille bouteille en plastique moldue ?” Il fallait tout de même reconnaître que les sorciers mettaient plus de coeur dans leur artisanat, certes, c’était cher et cela prenait du temps, c’était parfois d’un goût douteux. Mais cela avait plus d’âme que les productions récentes des moldus, elles sortaient toutes de la même usine.
Elle reporta son attention vers @Violet McGregor et @Bailey Dawson qui avaient le même type d’Artefact: “Tout d’abord, il s’agit d’un alphabet du Liberia, le Vaï.” Pourri était vraiment un qualitatif des plus puérils. “Il est écrit : Nul n'est plus chanceux que celui qui croit à sa chance. “ L’utilisation de potion felix felicis à la place de l’encre était censée renforcer le pouvoir du talisman. Et cela revenait bien moins cher que d’en boire.
“ Je vous laisse mettre le point final à votre parchemin avant de me le remettre si ce n’est pas encore fait” commanda-t-elle. Elle laissa un petit temps de rédaction, avant de reprendre. “Bien je fais rapidement le point : vous avez donc pu apercevoir des bouteilles de nettoyant servant respectivement de porte-bonheur, ce sont des objets des années 50 et 2000, celui de Monsieur Bellingham est plutôt porté sur la protection, là où celui de miss McGregor utilise du Felix Felicis dans sa rédaction et doit donc rendre son porteur particulièrement chanceux. Les culottes talismaniques ont deux fonctions : l’une est censée attirer l’amour, l’autre procurer fougue au porteur. Le tissus utilisé est assez contemporain en revanche, les pièces de cuir sont anciennes pour la plupart. Si vous observez bien, certaines portent le poinçon de l’artisan, des maisons qui remontent à 200 ans sur ces objets. “ Elle prit une ceinture qui restait sur le bureau pour la montrer à tous : “Les ceintures, comme celle que Monsieur @Maxton E. Sherwin a pu obtenir, sont quant à elles des pièces datant du 18ème siècle. Et utilisent un processus d’impression tabellaire : la calligraphie est gravée à la baguette sur le support afin d’être reproduite plus facilement. Il s’agit de Doua pour la protection de la santé : Allahouma ’afini fi badani, Allahouma ’afini fi sam’i, Allahouma ’afini fi bassari, la illaha ila anta : Ô Allah ! Préserve mon corps. Ô Allah ! Préserve mon ouïe. Ô Allah ! Préserve ma vue. Il n’y a de Dieu que Toi. La forme de la calligraphie a vocation de rune, pour renforcer la puissance de l’incantation.”
La jeune femme posa son regard sur l’assistance : “ Comme vous avez pu le constater, le sortilège que vous avez utilisé aujourd’hui n’est pas à lancer à la légère. Ces objets ne servent qu’à la démonstration. Un talisman de qualité n’aura pas une protection aussi inoffensive que de la maladresse ou de la mauvaise humeur : vous pourriez bien y perdre quelques doigts ou récolter une dragoncelle. Et comme je vous le disais : ce sortilège ne fonctionne que sur des objets à l’ensorcellement peu puissant. Enfin : vous prenez le risque de détruire un témoignage du passé ou sa magie. Il faut que le jeu en vaille la chandelle : que ce qu’il y a révélé est plus d’intérêt que l’objet en lui-même. Ce qui nécessite de comprendre l’objet avant de se lancer.”
La jeune femme inscrivit ensuite au tableau : prochain cours commun “defixiones : magie de l’antiquité.”
“Si vous avez encore des questions, je vous écoute. Sinon, n’oubliez pas de réviser le chapitre sur les sorcières célèbres qui fera l’objet de notre prochain devoir.”
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(#) Sujet: Re: [fini] 5-6-7 : Acies Oculorum Mer 4 Jan - 13:43
Acies Oculorum
Cours... de quoi, déjà ?
Si durant l’été, lorsqu’il avait fait la rencontre de Myrthilde Grant au cœur d’une forêt écossaise, Hayden avait cru qu’il reprendrait goût aux cours d’histoire de la magie en découvrant qu’elle serait leur enseignante… La puissante sagesse qui émanait de cette femme forte, la multiplicité de ses savoirs, son expérience à Uagadou, sa curiosité, étaient autant de facteurs qui avaient immédiatement convaincu Hayden qu’il avait affaire à une professeure remarquable. Mais force était de constater qu’en ce début d’année, il serait difficile pour lui d’avoir goût à quoi que ce soit. Depuis la tragédie qui s’était déroulée le jour de la rentrée, ce mois de Septembre était particulièrement difficile à encaisser pour l’adolescent, qui se laissait sombrer de jour en jour. Venir en cours devenait un effort de plus en plus pénible et éprouvant, soutenir le regard compatissant ou indifférent de ses camarades était un calvaire quotidien, et tenir le rythme des cours de sixième année s’annonçait comme un objectif insurmontable. Quant à cette matinée… elle réveillait en lui de douloureux souvenirs. C’était après tout en cours d’histoire qu’il avait connu Michaela, lorsqu’ils avaient été amenés à travailler en binôme qu’étaient nés les prémices de leur amitié… Difficile de ne pas contempler aujourd’hui, avec une certaine morosité, cette place qui était la sienne, qu’elle avait occupé durant les deux dernières années. Et même si un autre élève y était assis ce matin-là, elle lui semblait atrocement, douloureusement vide… Il choisit donc un objet dans la boîte sans vraiment s’y intéresser et s’installa silencieusement dans un coin de la salle, déposant avec discrétion ses affaires, ouvrant son manuel à la page demandée, avant de se laisser nonchalamment reposer sur ses coudes. Le mystérieux paquet enroulé dans du tissu noir semblait receler bien des mystères, mais Hayden ne se sentait ni de taille ni d’humeur à les affronter.
Pourtant, il s’exécuta sans mot dire, tirant sa baguette et déroulant devant lui un premier parchemin, tout en continuant d’écouter vaguement le reste des instructions données. Myrthilde était claire, pédagogue, et faisait de son mieux pour rendre sa matière passionnante et stimulante… Dommage, ça ne suffisait pas à le sortir de son agonisante léthargie. Il inspecta vaguement la drôle de bouteille sur laquelle il était tombé – et qui semblait tout droit sortie d’une poubelle – avant de finalement tirer sa baguette pour la pointer vers l’objet. A plusieurs reprises, il prononça « Acies Oculorum ». Et s’il ne fut guère surpris de ne pas obtenir de résultat la première fois, ni la seconde, ni la troisième… les quatrièmes et cinquièmes essais finirent par l’agacer, et le sixième lui donna tout simplement envie de jeter l’éponge. Tous les autres élèves semblaient avoir obtenu au moins un résultat, même quand ils avaient échoué… A son exception. Peut-être parce qu’il était le moins empressé de tous à vouloir élucider le mystère qui se présentait à lui. Il insista néanmoins sans conviction, ânonnant mécaniquement la formule en direction de l’artefact, tout en surveillant attentivement l’aiguille de l’horloge : la fin du cours se rapprochait, et avec elle, la perspective de pouvoir enfin retourner se terrer dans son dortoir… Et puisqu’il était pressé de remonter les marches remontant jusqu’aux quartiers de Serdaigle pour s’envelopper dans ses draps et s’y laisser sombrer, il réessaya encore davantage, répétant l’incantation. Et puis, sans crier gare… quelque chose se produisit : apparut un texte à l’encre dorée, dans un alphabet qui lui était inconnu. Puisqu’il avait réussi l’exercice en retard, bien après les autres, il se contenta d’écouta l’explication qu’elle livra à Violet et qui semblait également concerner son objet à lui… C’était donc du Vaï. Par contre, depuis qu’il avait enfin réussi à lancer le sortilège, sa tête lui tournait désagréablement… et son humeur s’en retrouvait ostensiblement dégradée. Il se contenta de noter hâtivement sur un morceau de parchemin restant le sujet du prochain cours, et leva aussitôt la main : « Professeur, j’ai besoin d’aller à l’infirmerie. » lança-t-il d’un ton neutre, n’attendant que son approbation avant de commencer à ranger ses affaires. A vrai dire, il n’était même pas certain de vouloir que son état s’améliore. Simplement… une envie irrépressible de solitude, de glisser son casque sur ses oreilles jusqu’à l’endormissement.
Résultats de Hayden:
Dé 1 : le chiffre correspond à votre artefact (détails dans le cours) 2 : Déchet moldu "bouteille nettoyante" le texte qui s’affiche est écrit en Vaï, mais pour qui observe bien, la couleur dorée de l’encre devrait rappeler une certaine potion.
Dé 2 : intégrité de l’artefact 5 : rien ne se passe, vous pouvez étudier le contenu de l’artefact et en plus il reste intact. Le reste : l’artefact est détruit mais vous pouvez en étudier le contenu.
Dé 3 : valable que l’artefact soit détruit ou non, malédiction 4-5-6 : rien ne se passe 1-2-3 : "oh oh, quelqu’un n’est pas très content que l’on dévoile ses petits secrets" La malédiction : "Vous vous sentez maussade toute la journée"
Dé 4 : difficulté à réaliser le sort 4 : Franchement miraculeux, Hayden y arrive du premier coup. 5 : Il faut s'y reprendre à quelques fois, mais Hayden finit enfin par arriver le lancer. 1-2-3-6 : Toute la classe a déjà terminé depuis un long moment quand Hayden arrive enfin à lancer le sortilège.
rainmaker
yes future
"It's just a cigarette And I'm sorry that I did it Honey can't you trust me ? When I want to stop I can !" ~
️endlesslove.
Saige Billington
À SAVOIR
Arrivé(e) le : 22/02/2021 Parchemins rédigés : 940 Points : 6 Crédit : (ava) carolcorps - (signa) anaphore Année : 6e année (16 ans - 04/02)
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(#) Sujet: Re: [fini] 5-6-7 : Acies Oculorum Ven 6 Jan - 15:30
L’artefact de Haley n’avait guère posé de problèmes ; il était intact et la compréhension des écritures, si elle lui avait demandé un peu de temps pour déchiffrer les inscriptions, n’avait pas été bien compliqué. Elle était tombée sur l’un des objets les plus simples, ce qui était relativement frustrant pour une férue de défis scolaires comme elle... mais tant pis, au moins ne s’était-elle pas trop ridiculisée, sinon en envoyant le bouchon valser droit vers une camarade de classe.
En avance sur d’autres élèves, dont le travail se révélait être plus ardu, elle eut tout le temps de noter chacune de ses observations avant de se laisser aller à la contemplation de ce dont les autres avaient hérité. L’un d’eux, Hayden, attira particulièrement son attention parce qu’il était le dernier à travailler dessus ; il avait eu droit à une bouteille semblable à celle de la préfète, tentant inlassablement de lancer le sort qui devait lui dévoiler les mystères de son récipient. Un instant, elle fut tentée d’aller l’aider, un peu peinée de le voir réitérer sans succès, mais se ravisa bien vite lorsqu’en faisant mine de prendre sa baguette, elle fit tomber sa plume au sol. Avec une maladresse pareille, elle ne risquait pas de lui être d’une grande aide et quelques minutes plus tard – miracle ! – il y parvint enfin.
La poufsouffle détourna son regard du serdaigle, écoutant l’enseignante et prenant méticuleusement en note ce qu’elle disait. Sa plume était tout juste reposée sur le côté que la voix du beau frère de Rosalie résonnait dans la pièce. Presque immédiatement, Haley se redressa sur sa chaise et se leva, une expression volontaire et déterminée sur le visage. « Je peux l'y accompagner, professeur. » Après tout, aucun des préfets de la maison de Hayden ne se trouvait dans la pièce, et elle était l’une des rares personnes à arborer cet insigne dans la classe... c’était son rôle que d’escorter le garçon qui ne semblait pas aller très bien. Avec quelqu’un d’autre, peut-être se serait-elle moins empressée pour se proposer, mais il était le beau-frère de Rosalie et si ça n’était pas l’amour fou entre eux, elle se sentait tout de même une obligation de secours à son égard. Sa meilleure amie n’était pas tout à fait en mesure de l’y aider : elle demeurait brave face à la perte de Michaela, mais elle se rendait bien compte que ça l’affectait et ternissait sa fougue naturelle. Comme l’aiglon, dont le visage n’était plus qu’un vaste dégradé de tristesse.
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La professeur Grant jaugea la salle, laissant les élèves finir d'écrire leurs observations et les laissa le lui remettre. A priori, ils ne semblaient pas avoir plus de questions. Elle devait avouer que les différentes malédictions leur étant tombées sur le dos, ils n'étaient peut-être pas des plus motivés. Elle n'avait pas vraiment anticipé le marasme qui s’était emparé de l’ensemble de la salle mais elle ne le regrettait pas. Si les élèves étaient tentés d’utiliser un jour ce sortilège, ils pourraient faire face à des conséquences pires que celles-ci. Elle se remettrait d’un cours un peu mou : elle avait dû faire cours plus d’une fois à un groupe de carpes amorphes, au moins ceux-ci avaient-ils souhaité participer malgré les risques encourus.
Un élève leva la main demandant à sortir pour rejoindre l’infirmerie. Myrthilde n’eut pas le temps de répondre qu’une préfète se proposait déjà pour l’accompagner. Quelle efficacité. Elle acquiesça : « Allez-y. Je vous enverrai un hibou avec les devoirs pour le prochain cours. »
Laissant les deux élèves rejoindre l’infirmerie, elle se tourna vers le reste de la classe : « Bien puisque vous ne semblez pas avoir de questions… Pour la prochaine fois, je vous invite à consulter les trois premiers chapitres du manuel Envoûtements, malédictions et sorcellerie, histoire de l’infortune dont vous trouverez des copies à la bibliothèque » Il était inutile de venir chouiner qu’ils n’avaient pas pu emprunter le livre, elle s’était déjà arrangée avec le bibliothécaire. « Attardez-vous sur la période antique, ce sera celle que nous étudierons ensuite. Bonne journée à tous. »
Elle avait déjà prévu le sujet de son prochain devoir, et elle espérait que les élèves auraient suivi ses consignes. Les chapitres du manuel étaient plutôt courts et reprenaient des éléments vus aujourd’hui et les années précédentes. Avec un peu de bonne volonté et de travail, ils s’en sortiraient sans mal.
Louis-François X. Roy
À SAVOIR
Arrivé(e) le : 08/04/2022 Parchemins rédigés : 1056 Points : 18 Crédit : Zuzu Année : 4e années - (14 ans - 9 novembre)
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(#) Sujet: Re: [fini] 5-6-7 : Acies Oculorum Jeu 16 Mar - 15:11
Gwen & Grant et les élèves des 5-6-7eme
5-6-7 : Acies Oculorum
C’est qu’elle gribouillait ces notes sur le parchemin Gwendolyn. Une très longue série de note pour être sûr de bien cerné tout ce que Professeur Grant avait pu dire ainsi que les subtilités. L’histoire c’était plein de recoin et souvent des éléments vraiment plus sordides que glorieux. On apprenait de l’histoire afin de ne pas faire les mêmes erreurs dans le futur. Quand même, l’idée d’enchanter un sous-vêtement lui semblait tout de même un peu risible, bien que l’explication de l’enseignant fasse beaucoup de sens. On les enchantait pour qu’il passe plus facilement inaperçu; qu’on ne se les fasses pas voler. À quel point ce genre d’enchainement magique, enchantement et malédiction était compliqué à appliquer sur les vêtements. Ça, ça n’était pas vraiment la notion du jour; bien que le passage de la question ait percuté un nombre de fois l’esprit de Gwen. Après, elle se voyait mal allé voir leur enseignant en Sortilège pour le lui demander. Vous lui voyez le regard à Professeur Aylmer à la suite de ‘’Comment puis-je ensorceler ma petite culotte?’’ Du moins, ça ne serait jamais quelque chose qu’elle demanderait devant tous ou même sans avoir à priori un plan d’attaque sur ce qu’elle voulait en faire.
Un peu comme un portoloin, en somme.
Parce que c’était tout l’idée, en fait. On prenait un objet que même les moldus n’allaient pas toucher en considérant que celui-ci resterait en place pour faire le transport. Quelqu’un toucherait-il une vieille culotte à la couleur délavé si on l’abandonnait par terre dans un parc à la vue de tous, avec des trou en bonus. Non. Probablement pas! Par contre, personne ne voudrait non plus la mettre si elle était trop moche; fallait quand même que ça soit logique comme plan. Vous voyez, vous portez des dessus laid alors que le but est d’envouter une personne pour qu’il soit attiré vers vous, qu’il tombe amoureux de vous ? Mais elle avait bien fini de manipuler le tissu entre ces doigts. Jamais elle n’aurait porté quelque chose d’aussi laid. Peut-être sa grand-mère… Et là, c’était une image mental qu’elle voulait pas trop se faire en tête.
Defixiones : magie de l’antiquité – s’ajouta à sa note sur son papier. Elle aura matière à lire dans les prochains jours. – Sorcière célèbres : devoir. Et elle laissa quelques élèves quitté la salle, tout en continuant à noter les différents éléments en liens avec le prochain cours. Antique, souligna-t-elle de deux traits avant d’asperger son parchemin de sel pour que l’encre sèche plus rapidement. C’est qu’elle avait peu de temps à consacrer avant de se rendre à son temps de vol, et elle engouffra tous ces articles dans son sac avant de rouler son parchemin. Croiser son mec à la sortie, lui faire un bisous et s’enfuir.