Derrière un grand sourire blanc et des canines pointues révélatrices d’un charme imposant, peut se dissimuler les pensées les plus morbides. Derrière un regard azur fixant profondément tout ce qu’il est possible de regarder, tout ne peut pas être aussi doux que le bleu océan de l’iris. Un charme populaire, une voix confiante, un accent suisse sociable, un ensemble intérieurement grisé par la soif de puissance. Un type torturé par son passé, torturé par ses idéologies mais, ne s’en rendant même pas compte, finalement usé par la haine. Persuadé d'avoir raison, persuadé d’être dans le bon, personnalité qu’il adore et savoure. Conscient de son charme, de sa popularité, de l’argent de sa famille, de son emprise manipulatrice et du pouvoir de son visage, il voudra toujours le dernier mot à n’importe quel prix. Son certain sens de l’humour ferait presque douter de ses véritables intentions. Un homme capable de tout fait de lui un homme dangereux.

A l’écoute de sa famille, très fidèle à celle-ci, il aime malgré tout prendre ses libertés. Esprit rebelle limité, la fouine qu’il est au fond de lui s’accorde à des gestes rustres dans le but de déstabiliser en toute courtoisie. Par exemple, même si l’hôte est destiné à servir ses convives pour un temps imparti, Faust ne se gênera pas à prendre de ses mains le plateau et d’asseoir l’investit d’une forte pression sur les épaules. Serviable selon son bon vouloir, son sourire charmeur cache le plus souvent cette petite satisfaction rebelle à l’égard de sa famille. Bien se tenir à table, enfiler les vêtements du Dimanche, rester poli en toutes circonstances. Ses chose là l’agacent, pour autant il se doit trop souvent de les respecter. Méprisant les convenances civiques actuelles, méprisant le mixte dans la société, il ne taira jamais avec hypocrisie l’importance de ses propres convenances, certaines que lui a dressé sa famille : L’égalité est une connerie. Les moldus ne valent rien. Ils devraient tout au plus être réduits en esclavage.

Parlons en de cette famille. Une famille de sang-pur extrêmement riche, baignant ses enfants dans la connaissance du monde magique et dans les valeurs les plus puristes dès leur plus jeune âge. Deux garçons Chamberlain, d’une dizaine d’années d’écarts, formaient la relève d’idéaux bien tracés pour les siècles à venir. Néo, et son petit frère Faust, très proches dès la naissance du plus jeune, un cadet ayant prit son ainé comme modèle. Il était son héro, son meilleur ami, son mentor. Jusqu’au jour où, à la plus grande stupéfaction de Faust, Néo s’enfuit du domicile familiale. Il entendait bien des choses depuis quelques temps, comme des cris, des chamailleries, du mépris vainement refoulé. Suffisamment inculqué et cultivé, après quelques brèves explications, il finit par comprendre. Il avait beau essayer, son grand-frère n’était jamais parvenu à lancer le moindre sortilège, devenant de ce fait un Cracmol. D’un côté, la pression d’une famille intolérante incapable d’accepter un fils Cracmol, de l’autre la honte d’être tout ce qui le répugne, Néo a fuit sans dire aurevoir. Malgré l’espoir d’un puissant aîné éteint, il se devait d’être retrouvé. Des hommes ont été engagés par la Famille pour retrouver sa trace, durant près d’un an, Faust n’avait pas revu son grand-frère. Il avait perdu son encrage. Il l’avait abandonné. Alors, le jour où on leur rapporta un brin de piste qui mena jusqu’en Norvège, Faust insista pour accompagner ses parents sur place. Du haut de ses 7 ans, il affronta avec colère le refus de son Père qui préférait le voir attendre leur retour en Suisse. Pas un jour n’avait passé sans que Faust ne pense à Néo. Il se devait d’être de la partie, peu importe s’il passait pour un gamin capricieux, peu importe s’il devait crier à s’en briser la voix. Ses parents obtempérèrent finalement et l’emmenèrent avec eux pour son premier voyage en dehors de sa Suisse natale, un tout premier pas dans le reste du monde qu’il n’est pas prêt d’oublier.

Ils passèrent deux semaines là-bas, dans une ville nommée Kristiansand, là où les informations d’enquête les avaient mené. Mais aucune trace de Néo n’a été trouvée. Les souvenirs flous qui brument dans la tête de Faust lui rappellent légèrement ce qu’il avait ressenti, autant cette déception, que l’environnement Norvégien qui, par moments, lui donnait froid dans le dos. La Suisse est froide une bonne partie de l’année, et pourtant, Faust n’oubliera jamais les toitures enneigées, les sapins balayés par un vent glacial de Norvège, ni les yeux cristallins entourés d’un visage pâle de ses habitants. Il ne pourra jamais oublier le grand Manoir dans lequel ils étaient entrés, l’aura impressionnante que ses hôtes dégageaient. Leur accent âpre restera à jamais posé sur un nom défiant toute mémoire : Sørensen. Cette visite ne les mena nul part. Ils ne savaient rien, n’avaient rien vus, et ne connaissaient pas Néo. Une chose marqua l’esprit de Faust, un sentiment désagréable, une impression dévorante. Il lui avait semblé frémir, l’instinct levé vers cette odeur mauvaise, malveillante, abjecte, une odeur de mort. Il ignore aujourd’hui encore que ce sentiment était sûrement dû aux deux enfants qu’il n’avait pas pu voir, un garçon et une fille atteints d’une grave maladie. Etait-ce vraiment cela, ou la prédiction du pire sur le point d’arriver ? Les recherches continuaient malgré tout, l’espoir s’immisçait malgré la saveur de putréfaction qui continuait de monter à la gorge de Faust. Cette connexion avec la mort les conduisit tout droit vers elle. Le lendemain matin, le corps sans vie de Néo fut retrouvé. Les hommes qu’ils avaient engagé l’avaient finalement retrouvé, annonçant par la suite la mauvaise nouvelle à la Famille. Les parents s’étaient déplacés sur place afin d’attester la véracité des propos. Faust, lui, fut commandé de rester dans la Chambre d’Hôtel dans le but de préserver ses yeux clairs d’une telle noirceur. Il n’avait pas besoin de voir le corps de son petit héros pour sentir ses derniers espoirs s’effondrer. Il n’avait pas besoin de voir une dernière fois son visage pour savoir que plus jamais il ne le reverrait. Il avait la haine. Il lui en voulait de l’avoir abandonné une seconde fois. Toujours plus renfermé sur lui-même, ils rentrèrent en Suisse sans donner suite à l’enquête. Imaginez le drame, si les familles les plus influentes du monde apprenaient le malheur tombé sur la famille Chamberlain. Non seulement ils avaient donné naissance à un fils indigne de leur rang, mais en plus celui-ci provoqua lâchement sa perte. Aux yeux du monde, Néo était mort d’une grave maladie. Les parents ont sans aucun scrupule nié la gravité de la situation. Meurtre, suicide ou accident, personne ne sut jamais. Faust, lui, n’a jamais pensé ainsi. Néo l’avait abandonné, mais lui, malgré son mépris apparent pour les Cracmols, ne l’abandonnerait jamais. Un jour il sait, il sera en mesure de trouver des réponses.

Pas spécialement intéressé par les cours, légèrement indiscipliné et insolent, l’école n’a jamais été sa place préférée. Il a toujours aimé apprendre de lui-même, apprendre de son frère et de sa famille. Pendant les cours, il préfère rire avec ses camarades les plus tordus. C’est dans cet esprit peu studieux qu’il a débuté sa scolarité à l’école de Beauxbâtons, déjà bien étroit dans ses idées. C’est à peine s’il avait de la compassion pour qui que ce soit. Il lui suffit de trouver un pote dévastateur et drôle, et sa scolarité était faite. La mauvaise influence mutuelle ne le mena cependant pas bien loin. Ses professeurs ont toujours été stupéfaits de ses résultats et de ses capacités réelles. Stupéfaits, car d’aperçu, il n’en était rien. C’était un gamin arrogant, né avec une cuillère en argent dans la bouche, un glandeur fouteur de trouble haute catégorie. Il n’avait de complicité avec rien d’autre que le conflit. Un conflit avec classe. Combien de visages a-t’il rué de coup ? Il ne le compte plus. Combien de personnes a-t’-il humilié, sans pour autant crier haut et fort la puissance de son sang ? L’école était unanime, ce garçon aux multiples capacités devait soit redoubler d’efforts et prouver sa véritable valeur, soit s’en aller vers une aventure plus rude. Trop de bagarres, trop de mauvaises notes. Les parents Chamberlain n’ont même pas essayer de vendre leur fils, de venter ses louanges et de convaincre l’école Française. C’était Beauxbâtons, les responsables, eux et leur éducation médiocre. Eux et leur incapacité à faire face aux têtes les plus ingénieuses. Ils ont vendu leur fils comme un visionnaire, le seul enfant finalement, depuis toujours, digne de leur rang. Faust n’est pas le Cracoml. Faust n’est pas le déchu. Il est à jamais l’aimé, le protégé, le digne héritier devenu l’unique. A bat cette école, il irait ailleurs, là où l’herbe serait plus verte, là où personne ne viendrait les contrarier. Combien de familles puissantes avaient déjà confiées leurs enfants à Poudlard ? Avec combien de parents influants ont-ils pu discuter l’inscription de Faust ? Qui n’avait pas entendu parler des évènements tragiques de Poudlard ? Qui ne pouvait pas supposer l’existence d’un complot véritablement puriste ? Faust l’a reconnu lui, cette vicieuse cruauté. Ses flammes de l'enfer trop de fois remontées à la surface. C'est attirant, bien plus attirant encore qu'une bande d'idiots en tenue de soie bleue. Une chance, ils ont pu forcer l’inscription à temps. Car des obstacles viennent peu à peu noirci le tableau. La directrice de Poudlard et ses revendications pacifiques, l’élection récente de son mari au post de ministre de la magie, toutes ses choses qui forceraient presque aujourd'hui certaines familles à se cacher. Les Chamberlains sont révoltés de voir un peuple de sorciers si inconscient. Ils font partie de ses familles prêtes à se battre pour conserver leurs valeurs, leur histoire, leur culture. Plusieurs de ses familles fières de leur rang se sont réunies cet été au cours d'une soirée, partageant un buffet, des discussions animés avec classe, et même des pas de danse. L'une des compagnes d'enjambées de Faust lui avait d'ailleurs révélé son nom, avec un accent très familier, le genre qu'il n'avait jamais oublié. « C'est un joli accent que vous avez là. Laissez-moi deviner Mademoiselle Sorensen. Il vous vient de Russie, ou de Suède peut-être... ? Non, attendez, je sais. Norvège. »

Noé Chamberlain : Les années d’écart entre les deux garçons Chamberlain auraient pu les éloigner fortement. Au lieu de ça, ils étaient très proches. Il était son héros, son modèle, son mentor. Toujours si courageux, si fort, si entreprenant. Au départ, le doute subsistant au sujet de son état magique n’inquiétait pas Faust, pas moins que ses parents, en apparence. Il avait juste un peu de retard alors que Faut faisait déjà ses preuves et ses prouesses. Il prenait la confiance, se sentant avec le temps plus puissant que son irrésistible frère. Du jour au lendemain, ce frère modèle en perdition avait disparu. Ce n’était plus qu’une inquiétude, c’était une réalité. Néo était incapable de magie. Cette réalité le fit quitter le cocon familial. Les garçons s’éloignèrent pour de bon. Mais jamais en pensées, jamais dans le cœur. La rancœur de Faust fait rage, l’abandon qu’il a subit le hante. Mais elle ne le hantera jamais plus que sa quête de réponse.

Verena Chamberlain : Manipulatrice, extravagante, coriace, elle sait se rendre plus absurde qu’elle ne l’est pour obtenir ce qu’elle veut. Ce fut son idée, passer pour des riches capricieux auprès de l’école Beauxbâtons pour accélérer le départ de Faust et sauver son honneur. Elle est celle qui maintient cette famille sur le droit chemin, celle qui en est à la tête. Quel meilleur Leader que celui qui manie les ficelles dans l’ombre, derrière l’image d’un mari droit et avenant, mais à la réputation strict. Verena est une puissante femme aussi froide que cordiale, attachée aux convenances les plus anciennes. Cheveux attachés à table, interdit d’ouvrir la bouche pendant le dîner sans y être autorisé. Toutes les décisions sont les siennes. Toutes les petites rebellions de Faust sont contre elle, elle qu’il respecte indéniablement. Aux yeux du monde, elle est la seconde. Aux yeux de sa famille, de son frère, de sa sœur, des nombreux cousins de Faust, elle est une Leadeuse, un gourou une source de conseil, une véritable confrontation déconseillée. Officiellement femme au foyer, officieusement marionnettiste.

Walter Chamberlain : Il n’est pas soumi à Verana Chamberlain, loin de là. Il a toujours aimé la puissance de sa Femme. Il s’est toujours imposé comme le juste, le rationnel, l’irréversible, celui qui saurait la raisonner sans créer le moindre conflit. Ils forment à eux deux une cohésion d’équipe imparable. Pas moins dur qu’elle, Walter sait en réalité se trouver très strict avec ses enfants et le monde qui l’entoure. Il n’a aucun mal à passer pour le maître de maison, il est même le plus beau parleur des deux. Fran négociateur, charismatique à souhait, son emploi au sein du département de la justice magique crée les contacts et l’influence de la famille. Héritier d’une riche famille, beaucoup pensent que Verana et ses robes en velours aura véritablement su trouver le bon parti.

Je n’étais même pas encore arrivé, que j’avais déjà une bonne idée de ce qui m’attendait. Ne sommes-nous pas déjà habitué à la mixité ? On peut s’y habituer sans le tolérer, mais surtout, on peut choisir de ne pas s’emmerder avec. Dans le Poudlard Express, j’ai eu à choisir, et le choix fut vite fait. Un petit moldu, trop heureux de faire sa rentrée à Poudlard, trop enthousiasmé pour la fermer, a bien faillit recevoir le cadeau du Père-Noël avec plusieurs mois d’avance ; Un tour gratuit dans le siphon des cuvettes de Toilettes-Land. Il n’a parlé que de ses petites vacances folles avec sa famille, des activités bizarres qu’il a fait avec eux. Pauvre inconscient. Je me suis contenté de lui dire de retourner pourrir chez lui dans ce cas, avant de quitter le compartiment vers un autre plus adapté. J’ai pu faire le trajet dans le calme, du moins presque. Je n’ai surtout cessé de me faire du mouron. Les réputations sont bien belles, mais sur quoi je vais tomber ? Quel genre de crétin je vais devoir supporter à longueur de temps ? J’ai beau avoir été venté, encouragé par mes parents, ils ne sont pas ignares pour autant. Ils savent que je suis un cas compliqué. Ils savent parfaitement que ce n'était pas Beauxbâtons le problème. Seulement, dans leurs esprits manipulateurs et tordus, ils doivent absolument être les seuls à le savoir. "Vas-y doucement.", "Fais-toi discret.", "Gardes le sourire et cache tes plus sombres pensées. Sois respectueux". Je ne suis pas un sauvage, rien qu’un idéaliste aux valeurs taillées dans le marbre.

C’était au-delà de mes espérances, aussi mal fréquenté que je l’imaginais, aussi beau que dans les journaux. Je me faisais discret, occupé à poser mon regard bleu azur hautain sur le moindre méritant. J’ai reconnu des visages, certains plus intrigants que d’autres. Lorsque j’ai aperçu le sien, j’ai su que cette nouvelle scolarité serait divinement enrichissante. Erin aussi, m’avait aperçu, croisement de regard auquel j’ai été à peine réceptif. Je n’ai pas ciller. Je n’ai pas bougé. Je la fixais avec insistance, presque déstabilisant, avant d’esquisser un sourire avenant, au fond, véritablement déstabilisant. Puis je l’avais rayé de ma vision, paré pour mon moment de gloire, celui de monter sur l’estrade et de ne faire qu’un avec le Choixpeau. Moment rapide de gloire, marqué avec humour, remettant déjà presque en doute l’autorité. Une petite blague facile au moment de grimper, une conversation cocasse avec le vieux débris recouvrant mon crâne. C’était parfaitement innocent, sans la moindre méchanceté. Un clown dissimulé derrière un sourire ardent. Un vicieux personnage dissimulé derrière un clown de fer. Je ne quitterais pas cette popularité que j’avais autrefois, qu’elle soit bonne ou mauvaise.

Maintenant que tu es réparti(e), il ne faut pas te reposer sur tes lauriers. Ta vie NYLienne commence à peine et pour la faire démarrer sur de bonnes bases, il te reste encore pas mal de petites choses à faire. Ne t'inquiète pas, je vais tout te montrer...

Commence par créer ta fiche de liens, ta fiche de RPs, ainsi que boîte aux lettres qui te permettra aussi de gagner des points RPs en écrivant des lettres de plus de 300 mots et ta boite à hiboux express pour les messages plus courts. Peut-être que tu n'en trouveras pas tout de suite l'utilité, mais ça ne saurait tarder... Alors dans le doute, mieux vaut le faire ! Et puis, si jamais tu cherches quelqu'un d'important pour le développement de ton personnage, n'hésite pas à créer un scénario.

Aussi, je te conseille d'aller lire comment marche le système de points, si ce n'est pas déjà fait. Ça peut paraître un petit peu étrange au début mais je suis certaine que tu t'en sortiras très vite ! Ce serait quand même bête de ne pas savoir comment récolter des points ou comment en faire gagner à ta maison !

D'ailleurs, en parlant de maison, l'un des moyens de récupérer quelques précieux points est de participer en cours ! Après tout, nous sommes dans une école et tes professeurs sont là pour t'apprendre tout ce qu'ils savent ! Quand tu te seras bien installé(e) dans ton dortoir, attrape tes bouquins et rends toi vite en classe ! Nos professeurs t'attendent, et pour savoir à qui tu as à faire, tu trouveras la liste ici. La liste des sortilèges par année est disponible là.D'ailleurs, tu peux jeter un coup d'oeil aux sabliers pour voir où en est la course à la Coupe.

Il n'y a pas que les points maison qui sont importants ici. Il y a aussi les points défis puisque, comme tu le comprendras très vite, c'est la monnaie NYLienne. Tu pourras acheter tout un tas de particularité pour ton perso, un futur DC ou un scénario. Tu trouveras toutes les informations nécessaires dans ce sujet. Bien sûr, tu peux également savoir combien tu as de points pour le mois en cours en allant voir la fiche ou regarder le total dans ta feuille de personnage ! Le nombre de point s'initialise automatiquement à 0/0 mais dès que tu as un point, tu peux voir l'évolution de ceux-ci à 1/2000... Ils sont bloqués à 2000, si tu veux en gagner d'autres, il faudra envisager de les dépenser !

Enfin, pour être sûr(e) de ne rien louper des activités qui te seront proposées, garde un oeil sur le panneau d'affichage, et sur la Gazette du Sorcier pour être informé(e) de tout ce qui peut bien se passer dans le monde magique.

Le HRP (hors-RP) te donnera également de quoi t'occuper grâce à une partie Flood bien remplie. N'hésite pas à lancer tes propres sujets ! Tu pourras également faire plaisir aux autres membres en leur offrant des cadeaux ou même présente tes propres créations. N'oublie pas, à l'occasion, de passer sur la ChatBox, il y a souvent du monde et avec un peu de chance, tu tomberas en plein jeu... S'il y a quelque chose que tu ne comprends pas, nous répondrons à toutes tes questions.

Sur ce, je te souhaite beaucoup de plaisir dans cette nouvelle vie qui commence, et plein de merveilleux RPs !