Deuxième épreuve du tournoi [Tous les inscrits]

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Bouh !

Vous êtes dans une pièce complètement vide, sans porte ni fenêtre en grande conversation avec un de vos proches mais au bout de quelques secondes, cette personne s’écroule devant vous, respirant avec difficulté, elle va mourir et vous ne pouvez rien faire pour la sauver.

Pas de chance pour vous lors ce tour, vous venez de tomber sur l'une des peurs qui se cachent au plus profond de votre âme, comment allez-vous réagir ? Pour le savoir, vous allez devoir vous fiez au hasard puisqu'il va maintenant déterminer quelles seront les conséquences pour vous.

1. Retour à la case départ.
2. Recule de ton âge divisé par deux.
3. Échange ta place avec Faust J. Churchill.
4. Passe le prochain tour.
5. Divise ton prochain lancer de dé par deux (si tu fais un chiffres impair, prend le chiffre plein inférieur - ex : 3 -> 1).
6. Recule de trois cases.

Le membre 'Il était une fois...' a effectué l'action suivante : Le Hasard

'Le Hasard' : 6

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Le jeune homme savait nager, ainsi il ne se méfiait pas plus que nécessaire de l'eau habituellement. Sauf qu'aujourd'hui, ce n'était pas comme les situations qu'il connaissait quand il nageait. Faust ne se noyait pas normalement mais là, sans savoir pourquoi, il s'était retrouvé submergé par l'eau. Les raisons qui l'avaient poussé à se retrouver là lui était inconnues, il ne comprenait vraiment pas pourquoi il devait se débattre dans un bocal entièrement recouvert d'eau, il devait bien y avoir un avant cette situation étrange mais il n'avait aucun souvenir de cela justement. Cette réflexion qui n'aboutissait pas créait en lui une panique bien plus forte que celle qui devait naître suite à sa noyade, il en oublia ce détail jusqu'à finalement comprendre qu'oublier ne l'avait pas fait sombré et que les pièces du puzzle s'assemblèrent de nouveau.

Quand il quitta le bocal, ni ses vêtements, ni ses cheveux ne fûrent trempés, encore une fois il s'était fait absorbé par une vision, plus effrayante que les autres fois. Le jeu commencé sérieusement à se corser, la suite en devenait ainsi de plus en plus incertaine et de cette conclusion résultait un sentiment qui motivait encore plus la détermination du jeune homme. Il allait gagner, il viendrait à bout de ce parcours et sa coéquipière avait intérêt à faire de même. Quand il jeta un œil derrière, il vit effectivement qu'elle n'était pas trop loin de lui, ils avançaient assez vite et apparemment, sans trop de mal. Se comparer aux autres joueurs alors qu'on est sujet à des illusions qui font perdre conscience de la réalité n'est pas facile mais Faust était persuadé que jusqu'à présent il n'avait pas eu autant de mal que les personnes qu'il entendait crier, encore prises avec la peur concernant leurs cases. Si il ne les aimait pas tous, il avait quand même un cœur et pour abréger les souffrances de tout le monde, le jeu devait avancer le plus vite possible. Il pris alors son dés et le jeta.

CASE 13 + 5 = 18

Le membre 'Faust J. Churchill' a effectué l'action suivante : Le Hasard

'Le Hasard' : 5

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Case 9. Wilhelmina n'avait pas vraiment de chance aujourd’hui, certes elle n'était pas encore tombée sur une de ses peurs et fort heureusement, mais elle était encore bien loin de la fin et pas mal de personne se trouvaient encore devant elle, et bien plus loin qu'elle l'aurait imaginait. Elle releva alors la tête et s'avança doucement sur la case indiqué, prenant un tour d'avance sur Taylor, elle ne savait pas vraiment pourquoi, faut dire qu'elle n'avait pas spécialement suivit et s'en fichait un peu, se qu'il comptait pour elle c'était qu'elle arrive jusqu'à la fin sans se soucier des autres, elle s'en soucierait plus tard, peut être.

Elle arriva sur sa case, regardant un peu autour d'elle quand soudainement elle se sentit transporté et du fermer les yeux pour ne pas se sentir mal; Après tout cela faisait déjà la troisième fois en l'espace de trois tours, elle qui avait que très peu mangé avant de commencer se sentait un peu faible. Une fois qu'elle se sentit stabilisée, elle ouvrit alors les yeux et se trouva face à un arbre généalogique. Elle le regarda un instant, voyant bien le nom de sa soeur mariée et possédant enfant et petit enfant, elle vit le nom de son père, de sa mère barré à cause d'un divorce puis elle posa son regard sur son nom à elle. Personne. Il n'y avait personne à coté d'elle, elle ne s'était pas marié et en jetant un regard en dessous, elle ne vit aucune famille, descendant de sa descendance à elle. Elle se sentit soudainement très seule dans son coin de l'arbre. Même son frère batard avait eu des enfants, son coeur se serra. Beaucoup de questions vinrent à se poser dans sa tête, pourquoi ? Avait elle fait comme ses parents ? s'investir plus dans son travail pour oublié sa vie futur. Certes à cet instant elle n'avait pas envie d'avoir de famille, mais ce n'était pas définitif, avait elle vraiment raté son futur ? Une autre question se posa dans sa tête.. Ok cela faisait que quelque mois qu'elle était avec Faust, mais qu'est ce qu'il pourrait les séparé pour qu'elle soit comme ça. Elle se sentit soudainement en manque d'oxygène, comme si la peur de devenir comme ses parents reprenait le dessus sur elle, mais soudain elle regarda à nouveau l'arbre et lâcha un grand souffle d'air.

" Non, je me le suis promis, je ne serais pas comme eux.. " A cette phrase, Wilhelmina vit le décor se déformer et elle retrouva très rapidement le jeu qu'elle avait un peu plus tôt quitté. Une promesse était une promesse pour elle, et ce qu'elle avait vu n'allait pas exister. Elle ne savait pas où sa relation la mènerait avec Faust, mais il était certain d'une chose, un jour, quand elle serait enfin prête, elle aurait une vie de famille. Pas maintenant certes, mais dans 70 ans, elle en était sur une lignée partirait d'elle même. Déterminée, elle attrapa les dé, lançant un dernier regard à Faust déjà bien devant et lança les dés, se demandant ce que serait sa nouvelle épreuve et dans le fond, se demandant à qui appartenait cette peur qu'elle venait de vivre.

Case : 9+3 = 12

Le membre 'Wilhelmina A. Fawlne' a effectué l'action suivante : Le Hasard

'Le Hasard' : 3

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Comme précédemment, à peine ai-je mis un pied sur la case où je devais me rendre que le décor change totalement. Et pas qu’un peu, d’autant plus que cette fois ci je me retrouve assise dans un très confortable fauteuil qui n’est pas sans me rappeler ceux des Opéras de Paris. Je suis entourée de gens parfaitement bien affrétés et cela ravive en moi de nombreux souvenirs de soirées de galas, de concerts etc. En observant un petit peu plus le décor en détail, je remarque que je ne suis pas exactement dans un opéra. Certes il y a cette scène et ce grand rideau rouge, mais il n’y a pas de balcon et nous ne sommes pas installés en rangée mais bel et bien autour de petites tables. Cabaret. Je suis dans un cabaret. Qui donc à peur du Moulin Rouge ?

Soudain, les lumières se tamisent et tous les spectateurs se mettent à applaudir, j’en fais donc autant me demandant de quoi le spectacle qu’on va nous servir sera fait. C’est alors que les danseuses entrent en scène. Ce sont des femmes magnifiques, élancées, aux formes parfaites et à qui les tenues vont à ravir. Moi qui suis au premier rang, je les vois dans les moindres détails et a part les jalouser peut-être je ne vois pas trop ce que je fais là. De toute façon je n’ai jamais eu l’envie de faire danseuse de cabaret. Je ne comprends pas cette ‘peur’ et je me dis que ce sera peut-être le moment de profiter d’un petit spectacle. C’est toujours mieux que de se prendre une lettre horrible en pleine face. Les danseuses dans leurs tenues toutes mini se mettent à danser lascivement et je suis un brin gêné. Je n’ai pas signé pour aller voir un porno ! Je regarde un peu autour de moi et je remarque que le peu de femmes qu’il y a dans la salle sont lasses comme moi puisqu’il n’y a aucun intérêt au spectacle. Même pas de danses somptueuses. Juste des femmes qui font un petit défilé de mode et qui lancent des regards aux hommes, exclusivement. Et quand on regarde leurs réactions, on peut voir qu’ils ne sont pas indifférents. Tous autant qu’ils sont. Ils ont beau être magnifiquement accompagnés, leur compagne ne signifie plus rien pour eux. Ils n’ont d’yeux que pour les danseuses. L’un des spectateurs se met même à se lever malgré les cris de sa femme mais il n’en tient pas rigueur et s’approche d’une des danseuses. Je pourrai presque voir un filet de bave couler le long de ses lèvres. Et c’est là que je comprends. Ce ne sont pas n’importe quelles femmes ! Ce sont des vélanes ! Et instantanément j’explose de rire. Tous les regards se braquent sur moi mais je m’en fiche, je continue de ricaner et de me moquer. Quelqu’un à peur des vélanes ? Peut-être une fille, une belle fille qui n’a pas ça dans le sang et qui sait que face à elle elle perdra tous les hommes qu’elle peut avoir.

Tandis que je continue de rire, le décor change et je me retrouve sur le plateau. De nombreux regards sont orientés dans ma direction et ils doivent se demander ce que j’ai vu pour être explosée de rire de la sorte. Tentant de me calmer et de recouvrir mon sérieux, je relance les dés, espérant continuer de la sorte. Si je pouvais rire plutôt que pleurer cela m’arrangerait.

12 + 5 = CASE 17

Le membre 'Chleofee Eastwood' a effectué l'action suivante : Le Hasard

'Le Hasard' : 5

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Le dé était lancé, une nouvelle case m’attendait et j’étais partagé entre l’impatience de voir ce qu’elle me réservait et une certaine appréhension. Après tout, je n’étais pas tombé sur de véritables peurs, celles que je pouvais avoir… mais si c’était le cas, quelles seraient-elles ? Aucune idée, mais j’étais plutôt confiant et je croyais en moi, pas de doute que je gère !
Je posai alors mon premier pied sur la case n°11 et lorsque j’y mis mon second, le décor fut déjà changé du tout au tout.

Je ne connaissais pas cet endroit. Plutôt banal pourtant. Je me trouvais dans une pièce assez ordinaire, un séjour si je ne me trompais pas, mais chez qui ? Absolument aucune idée, ce lieu ne me disait rien du tout, même en cherchant bien. J’observais alors la pièce doucement, essayant de voir si quelque chose m’était familier. Non, vraiment, je ne reconnaissais rien. Je trouvais qu’il faisait frais, surement un peu trop pour une pièce close… Close ? Non ce n’était pas tout à fait le cas. Le rideau d’une des fenêtres dansait doucement au rythme du vent qui soufflait à l’extérieur. J’étais prêt à aller la fermer quand je fus stoppé net : un courant d’air venait d’ouvrir violemment la fenêtre, me laissant voir ce qui s’y trouvait derrière. Oh m****… les yeux écarquillés, je fixai ce que je voyais face à moi. Un homme était sur le rebord de la fenêtre ! Put*** mais que foutait-il là celui-là ? Ce n’était pas le moment de prendre l’air que je sache… surtout qu’en y regardant dehors, je remarquai bien que nous n’étions pas au rez-de-chaussée… pas de quoi se retrouver les pieds sur terre en restant vivant !

« Eh ! Faut pas rester là mon gars, un coup de vent et tu vas embrasser le trottoir ! » Mon ton était plutôt sec mais fallait être crétin aussi pour se trouver à cet endroit ! L’homme tourna alors son visage vers moi et je fus tétanisé. Oh non non non, impossible, ce n’était pas son genre !!!! Mon père ? Vraiment ? Cet homme courageux, fort et déterminé ? Ce ne pouvait pas être lui Et pourtant… il n’y avait pas de doute. Je fis alors un pas vers et cet homme chancela. Par Merlin c’était quoi cette connerie ! Je m’arrêtai alors, fixant mon père droit dans les yeux, soutenant son regard, les traits de mon visage se crispant. « Y a un souci là ? T’as trouvé un moyen original de prendre l’air ? Si ça te gêne pas, j’préfèrerai qu’on sorte par la porte… ». Son regard était vide, il semblait triste, épuisé, il respirait fortement et cela était loin de me rassurer. De longues secondes passèrent sans qu’il ne réponde et je sentais un mélange de colère et de stress monter en moi… je commençai à perdre le contrôle, il fallait qu’il revienne auprès de moi, y avait pas d’autres solutions. « Tu peux juste t’éloigner de cette fenêtre ! Descend de là, c’est une pure connerie ton truc ! » Je ne savais pas si je devais le raisonner ou me taire pour qu’il revienne vers moi, je ne savais même pas comment il s’était retrouvé dans cette situation, ce n’était tellement pas lui de faire preuve d’une telle lâcheté ! Je n’avais pas le choix, les mots ne fonctionnaient pas, je ne pouvais utiliser que la force !

Ni une ni deux, je me mis à marcher d’un pas assuré vers la fenêtre. Plus je m’approchais de lui, plus il chancelait… bordel de m**** accroche toi ! Je me mis alors à courir et une fois arrivé à son niveau… nan il n’avait pas fait ça, NAN ! Je n’avais pas eu le temps de lui tendre la main, de le rattraper, de l’empêcher… le vide et lui n’avaient fait qu’un et je restais totalement paralysé. Mes poings se crispèrent alors que je passai une tête par la fenêtre. Je me sentais furieux, je respirai fort et de façon accélérée. Dans un élan de colère, je donnai un coup violent dans la fenêtre qui se brisa. Je sentais mon souffle se couper et j’avais chaud, très chaud. Sans pouvoir m’en empêcher, je hurlai : « PUT*** MAIS C'EST QUOI DE BORDEL ???? » Je n’arrivai même plus à me contrôler, à réfléchir ou à me poser. Je faisais les 100 pas, nerveux, accablé et plein de rage. Mon visage devait être déformé par la colère et je ne pouvais croire que je n’avais rien pu faire pour le sauver.
Je me sentais vulnérable, je voulais crier, me défouler… violenter. Je m’écroulai alors par terre, près de la fenêtre, posant mes mains derrières ma nuque alors que je posais mon front sur mes genoux ! Il n’avait pas pu m’abandonner ainsi… je me sentais perdu et je me disais que se remettre d’un tel échec était juste impossible. J’avais perdu le contrôle, mon contrôle et celui de mon père, autant dire que j’avais tout perdu. Je fermais les yeux respirant toujours très vite.

J’entendis alors des voix, de nombreuses voix, un brouhaha même. Je levais alors la tête et remarquai que j’étais désormais assis, recroquevillé sur la case n°11. Je ne me sentais vraiment pas bien, la rage, la honte et la tristesse donnant un mélange que je n’aimais pas. Je me relevai alors avec difficulté, les jambes tremblantes, et regardai autour de moi. J’inspirai et expirai alors fortement… tout ça était faux, tout ça n’était qu’une illusion. Je me sentis soulagée et tout ce malaise semblait peu à peu disparaître. Cependant, concernant la contrôle de ma peur, il n’y avait pas à dire, là, j’avais échoué…

Case n°11 – 3 (du hasard d'être tombé sur une "case peur") + 2 = 10

Le membre 'Matthew E. Riddell' a effectué l'action suivante : Le Hasard

'Le Hasard' : 2

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Lucas se retrouva assis à une table un verre à la main. Du whisky pur feu pensa le garçon il allongea les jambes sous la table prêt à profiter d'une nouvelle soirée tranquille. Quelques artistes passèrent sur scène, Lucas commençait vraiment à s'endormir quand plusieurs filles entrèrent sur scène.

"Enfin en plus elle sont jolies vive les cases bonus"

Lucas n'avait jamais vu de filles aussi belles, même Taylor qu'il avait toujours aimé ne pouvait rivaliser avec elle, pourtant quelque chose d'étrange attira son attention, il remarqua qu'il était le seul homme dans la salle. Une soudaine torpeur s'empara de lui, ses jambes ne lui obéissait plus. Elle l'amenèrent sur scène auprès des filles. Des vélanes pensa Lucas avant que sont cerveau se déconnecte.

Il se vit alors prendre les filles par la taille et tenir des propos délirants comme le fait qu'il avait gagné le jackpot de la gazette et qu'il allait devenir le joueur de quidditch le mieux payés au monde. Il se pencha pour embrasser une des vélanes quand le visage de Taylor apparut dans son cerveau

[b]"Non!"[/b] cria t'il en revenant à la réalité. Il sorti son couteau et se le planta dans la jambe Aussitôt il revint sur le plateau de jeu, à genoux sur le plateau de jeu , il avait le souffle court. Il avait rétrogradé de plusieurs case. Seul Daniela était derrière lui maintenant. Il saisit une nouvelle fois le dés et le lança.

12- 16/2= 4

4+2= case 6

Le membre 'Lucas Drake' a effectué l'action suivante : Le Hasard

'Le Hasard' : 2

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Quand j'arrivais sur la case, je ne savais pas encore qu'il s'agissait de celle que je redoutais le plus et que je n'avais absolument pas envie de vivre.... Je m'étais inscrite à ce tournoi assez sereine, malgré mes quelques peurs. J'avais fait en sorte de me rentrer dans le crâne l'information suivante : rien ne va t'arriver, tu vas sans doute avoir peur 2 ou 3 fois, mais tout sera faux et tu en sortiras encore plus fière que tu ne l'es déjà.
Sauf que rien ne se passe jamais comme on l'imagine et j'allais en avoir la preuve en arrivant sur ma toute nouvelle case. Je m'avançais alors, légèrement méfiante mais quand même pressée d'avancer sur le plateau et de sortir de là une bonne fois pour toutes.

De toute évidence, je suis dans la pièce d'un appartement situé à un étage assez élevé puisque je peux distinguer par la fenêtre des voitures moldues qui se pressent sur les routes. Je jette un petit œil distrait en me demandant tout de même si la peur que je vais affronter n’est pas celle du vide. Et ce que j’ai envie de faire en pensant à cela ? Rire. Je n’ai absolument pas peur du vide et j’allais très vite me sortir de là s’il était question de me suspendre dans le vide. Je souriais tout en scrutant encore ce qui se passait en bas de l’immeuble. Mon sourire se figea légèrement lorsque j’entendis une voix :

- Coucou chérie.

Il n’y a qu’une seule et unique personne qui m’appelle ainsi ! La personne la plus importante de ma vie avec qui j’ai des relations si particulières, la personne en qui le plus confiance et qui m’aimera toujours et qui me connaît sur le bout des doigts. Je tournais les yeux en direction de la voix et clignais des yeux plusieurs fois. C’était bien ma mère, je reconnaissais parfaitement son gilet en laine préféré et je voyais scintiller au loin le bracelet de sa montre en argent. J’aurais pu hurler de joie en la voyant et lui sauter dessus aussitôt sauf que ma mère se tenait sur le rebord de l’une des fenêtre de la pièce, presque à l’opposé de moi. Ses jolis cheveux bruns volaient au vent. Pourquoi ne l’avais-je pas vue avant ? Je me forçais à sourire et m’exprimais alors :

- Maman ! Mais qu’est-ce que tu fais ? Descends… tu vas tomber…
- Je suis contente de te voir chérie ! Elle m’adressait un grand sourire. Je ne vais pas descendre de là, voyons. Je vais sauter.

J’écarquillais les yeux et essayais de ne pas céder à la panique qui m’avait envahie à la seconde où je l’avais vue. Je ne bougeais pas, essayant de trouver une solution rationnelle. Il fallait que je lutte.

- Tu n’es pas réelle…

Ma mère m’adressa un sourire en coin, accompagné d’un clin d’œil et leva la manche droite de son gilet. Je pus apercevoir un petit tatouage avec la lettre C gravé sur son poignet, première lettre de nos prénoms à toutes les deux. Je déglutis avec difficultés car ce petit tatouage était un petit secret que nous partagions toutes les deux. Personne d’autre que ma mère n’aurait eu l’idée de me prouver son identité avec cet élément, c’était bien elle. Or, elle venait de me dire « je vais sauter ». J’eus besoin de quelques instants supplémentaires pour que l’information me monte au cerveau. Sauter où ? Par la fenêtre ?!

- Bon allez, je te crois c’est bon. Viens on s’en va !

J’avançais donc dans sa direction en tendant la main, mais je la voyais tanguer de plus en plus, sous le coup du vent. Je m’arrêtais alors, les jambes flageolantes. Si je ne faisais pas quelque chose, ma mère allait tomber et mourir sur le coup ! Il ne s’agissait pas là d’une simple peur mais de la fin pure et dure de mon existence. Je n’étais plus rien sans elle….. Les larmes me montaient et je tentais de les retenir du mieux que je pouvais. Je voulais bien faire preuve de courage et être forte, mais ce genre de situation me dépassait.
Essuyant ma joue d’un geste rageur, je me mis à courir dans sa direction, à toute vitesse, comme je n’avais encore jamais couru de ma vie. Naturellement, je tendais la main pour la refermer immédiatement sur un pan des vêtements de ma mère ou son bras pour l’empêcher de tomber.
Mais mes efforts ne furent pas suffisants, ma mère bascula dans le vide et la fenêtre se referma violemment juste avant que je ne l’atteigne.
Je ne savais plus où j’étais, ni ce que je faisais mais il ne faisait aucun doute que le hurlement que je venais de pousser avait parcouru de nombreux kilomètres. Comme une démente, je frappais de mes poings sur la fenêtre que je ne parvenais pas à rouvrir. Je ne sentis même pas mon corps s’écrouler par terre et j’abandonnais là toute idée claire…. J’avais tout perdu.

Le décor changeait malgré moi.

11 + (6/2 = 3) = CASE 14 Bonus

Le membre 'Chloé T. Roxen' a effectué l'action suivante : Le Hasard

'Le Hasard' : 6

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Le dé se jouait d'elle... Pour la troisième fois consécutive le chiffre 3 était sorti, l'obligeant à retourner une troisième fois sur la case redoutée, la case d'une de ses plus grandes peurs, celle où elle voyait son père agoniser sans qu'elle ne puisse rien faire pour l'aider.

La sueur perlait à son front malgré le froid de l'hiver. Elle savait ce qui l'attendait. Et elle savait qu'une fois sur la case elle ne distinguerait plus la réalité du jeu. Et quand son père apparut devant elle, elle le serra contre elle, déjà en larmes. Elle répétait en boucle qu'elle ne voulait pas qu'il la laisse, qu'il ne devait pas mourir, qu'elle ne savait pas comment faire pour l'aider. Elle sentit la grande main de son père caresser ses cheveux mais la seconde suivante il tomba au sol. Le cauchemar recommençait encore et encore. Et elle se sentait totalement impuissante et inutile, ne pouvant rien faire pour l'aider, pour le sauver.

Pourquoi devait-elle vivre ça autant de fois ? Elle n'avait pas prévu des épreuves aussi difficiles simplement pour gagner des points pour sa Maison. Sa tête était au bord de l'implosion, son cœur cognait contre sa poitrine et ses idées étaient confuses. Sans s'en apercevoir, elle était de nouveau sur la case départ. Pourtant Danni était encore dans son cauchemar, ayant beaucoup plus de mal à reprendre pied avec la réalité que les fois précédentes. Si par malheur elle tombait une quatrième fois sur cette case, elle finirait certainement à Sainte-Mangouste...

Le regard un peu sans le vide, elle respirait rapidement. Elle entendit des rires derrière elle et ce fut la goutte d'eau qui fit déborder le vase. Son esprit confus lui disait que ces moqueries étaient la source de tous ses malheurs. Empoignant le couteau dans sa poche, elle se retourna et le lança avec force vers les gradins. Le couteau se planta dans le bois du siège, à quelques centimètres de l'élève qui se moquait de ses mésaventures... un pur hasard car Danni ne s'était jamais entraînée à lancer des couteaux. Quelques centimètres de plus et la gentille petite Poufsouffle aurait pu tuer un élève... pour une fois que le hasard faisait bien les choses... Au moins l'élève moqueur s'était tut. Il se cramponnait à son siège, le regard écarquillé en regardant le couteau planté dans le bois.

Danni reprit ses esprits alors qu'un adulte la secouait par les épaules. Elle cligna des yeux et prit conscience qu'elle se trouvait sur le plateau de jeu. Elle regarda autour d'elle, un peu perdue, ne comprenant pas trop ce qu'elle venait de faire. L'adulte lui conseilla d'abandonner et de laisser la remplaçante poursuivre.

"Non ! Hors de question ! Je veux continuer..." dit-elle.

Sans attendre, elle avança vers les gradins et récupéra son couteau. L'élève se tassa contre le dossier, la prenant visiblement pour une folle dangereuse. Danni lui lança un regard noir et retourna vers l'entrée du plateau pour relancer le dé.

CASE 3

Le membre 'Daniela Cooper' a effectué l'action suivante : Le Hasard

'Le Hasard' : 3

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Un peu de répit !

Tu viens de tomber sur une case bonus, plusieurs possibilités s'offrent à toi mais seul le hasard décidera de ce qu'il se passera :

1 & 2 Une grande plage s'étend à l'horizon et à vos pieds, la mer ainsi qu'une planche surf sur laquelle vous tenez parfaitement en équilibre comme si vous aviez pratiqué cette discipline toute votre vie. La mer semble agitée, une grande vague s'approche rapidement de votre position et vous foncez sans éprouver aucune peur. Ce n'est certainement pas une peur de vous imaginer être un champion applaudi de tous. Félicitation, vous êtes tombés sur une case bonus qui vous permet simplement de vous détendre en attendant le tour prochain.

3 & 4 Vous avancez au beau milieu d'un jardin fleuri jusqu'à tomber sur une nappe installée sur l'herbe et sur laquelle repose un panier repas ainsi qu'une étiquette portant votre prénom. Les peurs précédentes ont dû vous ouvrir l'appétit, sans vous méfiez, vous vous installez pour manger un peu. Si ce n'est là qu'une des nombreuses simulations du jeu et que vous n'avez en réalité rien avalé, la sensation de tranquillité qui vous a envahie est quant à elle bien réelle, vous allez pouvoir repartir de cette case avec une nouvelle détermination.

5 & 6 Qui n'a jamais souhaité se faire chouchouter sans à avoir à bouger le petit doigt ni ce n'est pour débourser quelques centimes ? La personne chanceuse que vous êtes va pouvoir profiter d'un bon massage digne des plus grands centres de remises en forme du monde et ce, gratuitement. Si vous ignorez le pourquoi du comment vous avez réussi à obtenu cette opportunité fabuleuse, vous êtes bien content de pouvoir en profiter et c'est avec l'impression que tout ceci était bien réel que vous remettez vos muscles en marche quand vient pour vous le moment de poursuivre le jeu.

Le membre 'Il était une fois...' a effectué l'action suivante : Le Hasard

'Le Hasard' : 6

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Bouh !

" Vous êtes dans une pièce complètement vide, sans porte ni fenêtre en grande conversation avec un de vos proches mais au bout de quelques secondes, cette personne s’écroule devant vous, respirant avec difficulté, elle va mourir et vous ne pouvez rien faire pour la sauver."

Pas de chance pour vous lors ce tour, vous venez de tomber sur l'une des peurs qui se cachent au plus profond de votre âme, comment allez-vous réagir ? Pour le savoir, vous allez devoir vous fiez au hasard puisqu'il va maintenant déterminer quelles seront les conséquences pour vous.

1. Retour à la case départ.
2. Recule de ton âge divisé par deux.
3. Echange ta place avec Lucas Drake(un joueur qui se situe derrière lui).
4. Passe le prochain tour.
5. Divise ton prochain lancer de dé par deux (si tu fais un chiffres impair, prend le chiffre plein inférieur - ex : 3 -> 1).
6. Recule de trois cases.

Le membre 'Il était une fois...' a effectué l'action suivante : Le Hasard

'Le Hasard' : 4

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Une multitude de personne avec les yeux rivés sur lui. Faust mis un temps à comprendre que la cible de leurs regards à tous c'était bien lui, positionné en hauteur sur une estrade avec un pupitre devant lui et quelques notes, sans doute ce qu'il devait lui. Il ne se rappelait pas comment il avait fait pour atterrir dans cette situation mais remercia la personne qui avait eu le bon goût de lui mettre son discours devant les yeux. Enfin, le lire à voix haute n'était pas tout, le jeune homme préférait avoir une idée de quoi parlait son discours, il en apprendrait certainement plus alors sur la raison qui fasse que ce soit lui qui soit en position de le prononcer et pas n'importe quel autre élève. En parlant d'eux, l'attente ne les faisait pas broncher alors le Serdaigle pris volontiers quelques secondes pour lire en diagonale ce qui il y avait d'écrit sous ses yeux et il appris avec surprise que c'était pour son anniversaire. Tout d'un coup, sa place ici devenait claire mais par contre, il avait du mal à comprendre comment il avait pu oublier la date de son anniversaire.

Assez rêvasser se dit-il avant d'entamer son discours comme si le jour de ses dix huit ans méritait réellement un discours de sa part et l'attention de toutes ses personnes dont la plupart ne devaient souhaiter qu'une chose, qu'il fasse un faux pas, peu importe lequel et peu importe quand tant qu'il le fasse. Faust allait s'appliquer, c'est ce qu'il se répéta quelques fois dans sa tête avant de se lancer mais dès les premiers sons sortis de sa bouche il remarqua que quelque chose n'allait pas. Après une nouvelle tentative il se rendit compte qu'il était en train de bégayer bêtement devant toute l'assemblée et des ricanements commençaient à se faire entendre. Dans son estomac une boule de stress se fit sentir et il se sentait paralysé de l'intérieur. Etre devant un public ne lui faisait pas peur alors pourquoi cela lui arrivait-il maintenant ? Il ne pouvait pas s'être planter, c'était sûrement un mauvais rêve....

Ou plutôt une illusion mais qu'importe le nom, ce n'était pas réel et c'était tant mieux. Faust supposa qu'il devait avoir pas trop mal réagis pour se retrouver toujours sur la même case que lorsqu'il avait cessé d'avoir conscience de ce qui se passait autour de lui. Il était satisfait, voilà encore une réussite qui lui permettrait de continuer d'avancer sur le plateau de jeu. Un petit coup d'oeil tout autour lui fit comprendre qu'il était en tête. Lui, il gérait bien l'épreuve et si sa maison perdait, on ne pourrait pas dire que c'était de sa faute. Il essaya d'adresser un petit signe à sa camarade pour lui faire comprendre de bouger les fesses un peu plus mais elle semblait être prise avec une autre illusion. Tant pis, il se retourna et s'empara du dès qu'il espéra clément comme toujours avec lui.

CASE 18 + 1 = 19

Le membre 'Faust J. Churchill' a effectué l'action suivante : Le Hasard

'Le Hasard' : 1

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"Deuxième épreuve du tournoi "

"We're Gryffindor, we have no fear !"

¤ Après avoir avancé, j'ai dû passer mon tour. Je venais de vivre deux situations très étranges, quelle serait la prochaine surprise ? Je ne pouvais déterminer ce que ça pouvait être. Jusqu'à présent, c'était bien banal, même amusant. J'étais donc arrivée sur la case dont le dé m'avait donné. L'espace changea...

¤ La pièce était sombre et je ne pouvais aucunement me situer. Il n'y avait absolument aucune porte ou fenêtre. J'y voyais à peine quelque chose. Jusque-là, rien de bien effrayant, c'était nul. Soupirant, je me suis avancée avant de voir un fantôme apparaître. Pas n'importe lequel genre un des ceux de Poudlard mais c'était... mon père... Ses jambes étaient toujours coupées et il s'avançait vers moi, visiblement pas content. D'une voix caverneuse, sûrement à cause de sa forme, il me dit :

« Taylor... Je vais t'avouer quelque chose que je n'ai jamais pu te dire... J'ai honte de qui tu es, de ce que tu es et de ce que tu vas venir. J'aurais voulu ne jamais t'avoir eu et ne jamais avoir rencontré ta mère... » Je l'observais, bouche-bée. Des larmes commençaient à couler dans mes yeux. Était-ce vrai ? Est-ce que mon père avait pensé ça durant mon existence ? Je commençais à le penser. Aurait-il préféré avoir un enfant "normal" plutôt qu'une engeance d'une créature marine ? Le fantôme de mon père continua : « Tu es faible... Tu l'as toujours été... Tout comme ton pathétique meilleur ami... C'est quoi son nom... ? Matthew non... ? J'espère juste qu'il finira par vraiment voir qui tu es, que tu es juste pitoyable... » Je tombais à genoux, les larmes aux yeux. Je commençais sincèrement à penser que c'est ce que mon père aurait voulu me dire. J'étais une merde, une honte de la nature. Pourquoi ne m'avait-il simplement pas poignardé quand j'étais un bébé ? Il aurait pu avoir une vie heureuse où il n'aurait jamais eu d'amputation puisque c'était de ma faute tout ça. J'avais voulu me pratiquer et tout puis il m'a amenée dans un endroit où les requins étaient bien présents... Je dis, toujours du même air : « Arrête papa... » Le fantôme de mon père continua : « Cesse de m'appeler par le terme "papa", je t'ai reniée peu avant de mourir... Tu n'es pas ma fille... Tu ne vivras jamais une belle vie... Tu es une honte, autant pour tes "amis" que pour ton copain... Monstre... ! »

¤ J'étais tombée sur le sol, pleurant de plus belle, me posant sérieusement pleins de questions si vraiment tout était vrai de ce qu'il disait. Allais-je pouvoir mener une belle vie malgré mon sang hybride ? Est-ce que vraiment mes amis m'apprécient ? Sont-ils jaloux ou ont-ils honte de moi ?

¤ C'est alors que le fantôme de mon père disparût et la case revint à la "normale". J'étais étendue sur le sol. C'était vraiment un cauchemar... Je me suis relevée à l'aide de mes mains avant de brasser les dés, toujours terrifiée par ce que je venais de vivre...

Case 10 + 2 = 12

fiche par century sex.

Le membre 'Taylor H. Williams' a effectué l'action suivante : Le Hasard

'Le Hasard' : 2

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A croire que le dé était contre elle. Non bien sûr elle n'était apparemment pas encore sur une de ses peurs, sinon elle aurait bien eu du mal à les surmonter comparer à celle sur lesquelles elle était tombé. Mais le dé avait décidé de la faire avancé petit à petit, Wilhelmina avait l'impression de ne pas avancer. Elle se trouvait sur la case 12, bien loin derrière les premiers et encore au moins elle, elle était dans les premier, car quand elle regardait son coequipier, Lucas, elle se disait qu'il n'était pas prêt de gagner étant 6 case derrière elle. Elle soupira un peu en s’avançant alors sur cette fameuse case, se demandant si elle allait devoir affronter une de ses plus grande peur.

Arriver sur la case, Wilhelmina ferma systématiquement les yeux, s'imaginant le pire soudain une douce musique entrainante lui parvint à ses oreilles et elle ouvrit les yeux doucement tombant sur une pièce bondé de gens qui regardait une scène pour le moment vide. Elle se demandait où elle pouvait bien se trouver mais elle n'avait pas encore de réponse. Elle regarda autour d'elle quand soudain toutes les lumières s'éteignirent laissant place à de la musique de cabaret. Oui elle connaissait ce genre de musique, faut dire qu'étant violoniste, elle avait vu un peu tous les genre de musique avant de se perfectionner dans un spécialement. Avant même qu'elle ai pu se lever pour partir, n'ayant pas spécialement envie de voir un cabaret, du mouvement se fit autour d'elle et plusieurs femme se mirent à danser autour d'elle.

Wilhelmina haussa un sourcil se demandant qui pouvait bien avoir peur de femmes mais c'était certainement pas elle, jusqu'à ce qu'elle se rende compte que ce n'était pas des femmes ordinaires. Des Vélanes. Bien sûr celle ci n'avait aucun effet sur elle, et pas seulement parce qu'elle aussi était du genre féminins, mais surtout parce que elle même possédait du sang de vélane en elle, et elle les connaissait assez pour savoir que ce genre de personne ne pouvait lui faire peur. Elle soupira alors et se leva de sa chaise, plantant ainsi les femmes encore en train de danser et se dirigea vers la porte du fond, décidant d'aller plutôt dans un autre endroit certainement plus intéressant. Elle passa alors la porte et se retrouva éblouis par une grande lumière avant de se retrouver à nouveau sur le plateau de jeux. Elle vit à coté d'elle Taylor et roula des yeux se hâtant de prendre le dé.

Elle se mit alors à le lancer, la blonde voulait rapidement s'en aller de cette case, la trouvant plus qu'inutile. Elle vit le dé tomber à ses pied et regarda le numéro que celui ci lui indiquait.

Case : 12 + 5 = 17

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