Le membre 'Wilhelmina A. Fawlne' a effectué l'action suivante : Le Hasard

'Le Hasard' : 5

Enfin recouvrir mon sérieux n’est pas la plus simple des tâches, tout particulièrement quand les nerfs prennent le dessus simplement parce que je suis un brin stressée. Pour arrêter de me bidonner je regarde alentour, fixant les quelques participants qui sont autour de moi pour voir où ils en sont et le sérieux voir l’anxiété de leur visage qui m’aide à me calmer. Vraiment. Puis à mettre un pas devant l’autre pour avancer jusqu’à la nouvelle peur.

Le monde tourne, un instant, avant que je ne cligne des yeux et que tout se rétablisse et que je me retrouve dans une pièce entièrement blanche qui sent le désinfectant et le trop propre. Je plisse les paupières pour détailler mon nouvel environnement et en baissant les yeux je m’aperçois que je suis bordée autant qu’il est possible de l’être. Mes cheveux sont relâchés, visiblement pas très propres et pire que tout : totalement lisse et sans aucune boucle, pas même une trace d’ondulation. Un carnage. Je préfère ne même pas voir ma tête dans un miroir, je crois que c’est ça qui me ferait le plus peur. Je continue de regarder alentour quelques secondes avant de me mettre à appeler. « Excusez-moi ? Il y a quelqu’un ? … Allo ? » Il ne faut pas longtemps pour que quelqu’un passe la tête, m’observe, me lance un grand sourire et s’approche de moi après avoir consciencieusement refermé la porte. « Bonjour mademoiselle Martin. Comment allez-vous aujourd’hui ? » Mademoiselle Martin ? Hein ? De quoi parle t-elle ? « Excusez-moi … Je crois que vous faites erreur sur la personne. Je m’appelle Keleana de Rochechouart. Où sommes-nous ? » Elle me lance un petit sourire triste et condescendant avant de s’approcher. « Ne vous inquiétez pas, tout va bien. Mais nous en avons déjà parlé, vous vous appelez Alice Martin. Vous avez envie ou besoin de quelque chose ? » Je la regarde avec deux gros yeux ronds comme des soucoupes, choquée. Alice Martin. C’est pas banal ça ! Moi qui avais déjà 2 identités voilà que j’en ai une troisième maintenant ! « Je crois qu’il y a vraiment erreur sur la personne. Où sommes-nous ? Est-ce que je peux appeler mes parents ? » Je m’empresse de lui fournir le numéro de téléphone ainsi que l’adresse de chez moi et autres informations complémentaires mais elle se contente de me fixer comme si j’étais débile. « Je reviens tout de suite, je pense que vous avez besoin d’un bon petit déjeuner.» Elle me lance un grand sourire que j’aurai franchement bien envie de lui faire ravaler et sort de la pièce. Seulement je vois bien qu’elle ne part pas bien loin. Elle reste devant la porte. Je me débats dans mes couvertures pour me défaire de leur pression et après un dernier coup de pied puissant les couvertures volent. Je m’empresse de me mettre debout et remarque de suie que je suis pieds nus et à peine vêtue d’une espèce de blouse blanche qui s’arrête un peu avant mes genoux. Sans plus de cérémonie je fonce à la porte et me mets sur la pointe des pieds pour voir ce qu’il se passe à travers le carré transparent de celle-ci. La bonne femme bien relou est là, parlant avec une homme et je parviens à intercepter la conversation. « …pas amélioration. Elle dit encore qu’elle est la fille de ces gens célèbres. Comment est-ce qu’elle a fait pour nous monter une telle histoire ? » « A-t-elle dit quelque chose à propos d’harcèlement et d’exil en angleterre ? D’une autre personnalité ? » « Non, elle n’en a pas eu le temps ? Je crois que les médicaments l’avaient un peu assommée, elle n’avait pas l’air d’avoir tous ses esprits et elle ne savait pas où elle était. » « Je ne voudrais pas m’avancer mais c’est peut-être bon signe. » Ils s’écartent légèrement et je parviens à voir qu’ils tiennent un dossier dans les mains au nom d’Alice Martin avec une photo de moi, souriante mais bien différente : les cheveux lisses, moins maquillée et les joues un peu plus gonflées. Sachant que le temps presse je plisse les yeux et tente de déchiffrer les lettres qui noircissent par ci par là la feuille. Date de naissance, lieu de naissance, âge, lieu de résidence … Qui sont tous totalement incorrects… Je continue de parcourir le papier des yeux et soudain des mots me sautent au visage « troubles neurologiques majeurs » « Troubles de la personnalité et du comportement » et plus bas « Prétend être Chleofee de Rochechouart, jeune bourgeoise française, fille de la famille illustre Rochechouart. » ou encore « affirme qu’elle a été harcelée psychologiquement puis physiquement cet été avant que sa famille ne l’envoie en angleterre pour la protéger » Je continue de lire quand j’entends que leur conversation se poursuit « J’espère que vous avez raison docteur. Ses parents se font un sang d’encre. » Et là ! Au dessus de la feuille. Hôpital Psychiatrique. QUOI ? « Oui. Ils nous avaient dit que leur fille avait toujours eu une grande imagination et avait tendance à être mythomane et menteuse. La pauvre. Elle s’est prise dans son propre jeu et ne reconnaît même plus ses véritables parents. » Effarée, je pousse un léger cri que j’essaie de couvrir en mettant ma main devant la bouche mais sans succès. Alertés, ils se retournent et me voient là. Ils buguent quelques instants avant que la femme n’entre et ne m’attrape par les bras pour me conduire de force jusqu’au lit. Elle me fait mal. Je crie. Je m’époumone. Je veux qu’elle me lâche. D’autres mains apparaissent pour l’aider et j’entends des CLACS effrayants tandis qu’on essaie de me dire que tout va bien. De mon côté moi je cri que je vais bien, que je sais parfaitement qui je suis, que je refuse qu’on me touche, que je veux partir d’ici, que je suis Keleana de Rochechouart et qu’ils vont avoir de sérieux problèmes, que je ne suis pas folle et j’essaie des sorts à mi-mots qui ne fonctionnent pas. Et comme je n’ai pas ma baguette ce n’est pas pour m’aider. Soudain une douleur aigue dans mon bras. Un piqure et le monde devient noir.

Je rouvre les yeux, tremblante et mets un instant à comprendre que je suis de retour sur ce fichu plateau de l’angoisse. Ce putain de jeu qui s’infiltre dans nos pensées pour les retourner et nous faire croire des choses horribles. Je ne parviens pas à arrêter le tressaillement de mes membres, ayant encore l’impression que je pourrai retourner dans cette salle qui me paraissait tellement vraie… A croire qu’avoir trop de personnalités risquerait de nuire à ma santé mentale… Je vais essayer de m’en rappeler tiens !

17 + 3 = CASE 20

Le membre 'Chleofee Eastwood' a effectué l'action suivante : Le Hasard

'Le Hasard' : 3

Le membre 'Mathilda E. Riddell' a effectué l'action suivante : Le Hasard

'Le Hasard' : 6

Le membre 'Il était une fois...' a effectué l'action suivante : Le Hasard

'Le Hasard' : 6

Lucas avança jusqu'à la case 6 et poussa un long soupir il était déjà tomber sur cette case et savait où il allait se retrouvait. La pièce vide avec le miroir apparu à nouveau. Paresseusement il s'avança jusqu'au miroir, connaissant déjà son reflet il n'eut pas de mouvement de recul. Sortant son couteau il s'appéta à briser une nouvelle fois le miroir pour revenir à la réalité mais s'arrêta un moment. il récapitula les peurs qu'il avait vécu depuis le début de l'épreuve, la vie sans magie, les vélanes. Après tout il n'était pas obligé de regarder le miroir et puis il avait besoin de repos.

Lucas s'installa dans un coin de la pièce pour faire un somme mais pas moyen de trouver le sommeil. Les organisateurs avait du tout prévoir pour que l'épreuve ne s'éternise pas, le jeune homme se releva et planta a nouveau son couteau dans le miroir. Le plateau réapparu alors. Il saisit les 2 dés et les lança.



case: 17

Le membre 'Lucas Drake' a effectué l'action suivante : Le Hasard

'Le Hasard' : 5, 6

Un changement aussi brutal que celui que je venais de vivre allait me rendre dingue ! Je venais de vivre l'une de mes plus grandes peurs, voir disparaître la personne qui avait le plus d'importance à mes yeux, et je me retrouvais à présent dans un endroit magnifique, qui sentait bon et j'avais devant les yeux une table de massage avec plusieurs personnes attendant à côté visiblement prêtes pour le massage qui allait suivre. Je me retournais, vérifiant que la personne qui méritait ce massage n'était pas derrière moi mais il n'y avait personne. Y'avait-il eu un souci dans l'organisation de l'épreuve pour que les peurs soient rapidement suivie de moments de détente ? Je ne comprenais plus vraiment, mais dans tous les cas, il fallait que je réfléchisse à ce que je venais de vivre et que j'aide mon cœur à retrouver ses battements normaux.

J'approchais de la table de massage, méfiante tout de même, mais je sentais qu'aucun danger n'était proche. J'étais tout simplement bien et à la fois perturbée par l'épisode précédent. Très franchement, l'épreuve commençait à être longue et j'avais besoin de motivation pour continuer et arriver enfin au bout, avec la victoire en prime. Je m'allongeais alors sur la table de massage, commençant à sourire en voyant que personne ne protestait et que tout cela était normal. Je fermais les yeux, et tentait d'éloigner de mon esprit la pensée de ma mère. A l'heure actuelle, je ne pouvais rien faire pour la contacter et je devais faire preuve de bravoure pour ne pas abandonner cette épreuve en cours de route.
Qu'est-ce que c'était agréable ! Si c'était ça l'épreuve de la peur, je voulais bien m'y soumettre plus souvent.....
Je profitais de cela pendant quelques longues minutes avant de sentir les mains des masseurs s'éloigner de mon dos, j'ouvris les yeux que j'avais pris soin de garder fermés et constatais que le décor changeait encore une fois.

14 + 4 + 6 = CASE 24

Le membre 'Chloé T. Roxen' a effectué l'action suivante : Le Hasard

'Le Hasard' : 4, 6

Une baguette est l'outil indispensable pour tout sorcier qui se respecte, pourtant, Faust venait de marcher dessus, ce qui avait eu pour conséquence de la briser en deux morceaux. Il regarda impuissant ce qu'il venait de faire quand les lumières se rallumèrent. Une pointe de déception le traversa mais au fond, c'était pas si terrible, il pouvait aller en acheter une autre. Ce ne serait pas la même mais il n'était pas perdu, il y avait une issue de secours... Cette pensée, c'était la porte vers la sortie. L'illusion cessa une nouvelle fois, Faust ne supportait pas de ne pouvoir lutter contre chaque illusion, à chaque fois il était entraîné là-dedans sans pouvoir comprendre tout de suite ce qui lui arrivait.

Les yeux bien rivés sur la réalité, le Serdaigle découvrit deux dès. Les règles semblaient avoir quelque peu changé. Il resta perplexe quelques secondes avant de saisir les deux dès et les lancer, impatient de voir où ça allait le mener mais aussi pressé de reprendre l'avantage, il avait si bien débuté dans le jeu alors il ne pouvait pas rester sur le côté maintenant.

CASE 19 + 6 = 25

Le membre 'Faust J. Churchill' a effectué l'action suivante : Le Hasard

'Le Hasard' : 3, 3

Le membre 'Taylor H. Williams' a effectué l'action suivante : Le Hasard

'Le Hasard' : 2, 6

Case 17. Wilhelmina avait avancé jusqu'à la case qui lui était indiqué, se demandant ce qu'on allait lui prévoir cette fois ci. Et a peine eu le temps de poser les pied que la réalité s'estompa une nouvelle fois et la blonde inconsciente de ce changement, se trouva allongé dans un lit où tous les mur autour d'elle était d'un blanc immaculé. Elle regarda autour d'elle, et voyait plein d'ustensile montrant qu'elle se trouvait dans un hopital. La petite blonde n'avait mis les pieds qu'une fois dans un hopital, elle en gardait une jolie cicatrice dans le dos, autant dire que ce n'était pas un moment très heureux. Elle regarda autour d'elle, se demandant pourquoi elle était là, et chaque fois qu'elle posait la question personne lui répondait. Enervé par ce comportement, elle se leva alors et regarda le dossier qu'elle pu trouver. On la traité de folle, voilà la raison de sa présence ici.

Wilhelmina n'aimait pas particulièrement qu'on la traite de folle, en réalité, la seul personne qui disait qu'elle était folle était son père car elle réagissait très mal à ce qu'il avait fait. Elle fronça les sourcil énervé et jeta à travers la pièce le dossier, se levant tout en arrachant les fils qui était encore accroché à elle. On voulait l'interné vraiment ? Pour cela il allait falloir s'y accrocher. Elle marcha seulement habillé d'une blouse blanche en direction d'une sortie, ne voulant absolument pas resté plus de cinq minute dans cet hopital. Elle trouva une porte qu'elle poussa, soudain la clareté d'une blanc pris une nouvelle couleur et elle se retrouva à nouveau sur le plateau de jeux. Elle roula des yeux, la colère se lisant encore sur son visage même si ce n'était qu'une illusion. Énervé elle pris les deux dés qu'on lui avait déposé, changement de règle apparemment et les lança avec force, se demandant ce qu'on allait encore lui prévoir.

17+10 (6 + 4) = 27

Le membre 'Wilhelmina A. Fawlne' a effectué l'action suivante : Le Hasard

'Le Hasard' : 6, 4

Je sais qu'à ce rythme là je ne vais pas tarder à souffrir de troubles de la personnalité, pas la peine de me le rappeler. C'est déjà assez compliqué comme ça pour que je ne emmêle pas les pinceaux et ils veulent encore m'insinuer le doute dans mes pensées et pousser mon cerveau à se détraqué encore plus rapidement? Si ça continue comme ça ce n'est plus une peur que je viens de voir, mais bel et bien une prémonition. En espérant tout de même que je reste saine d'esprit, ça serait plus simple ...

Je jette un petit regard apeuré de droite à gauche, inquiète à l'idée que quelqu'un ait pu voir mes pensées et deviner mon secret. Mais ce n'est visiblement pas le cas. Comme c'est de nouveau mon tour je lance les dés et avance en essayant de garder un air digne et la tête haute vers mon prochain calvaire.

Le décor change autour de moi et je me retrouve dans la salle de bain des Poufsouffle. Je suis au milieu de la pièce et en tournant sur moi même je me rends compte que tout est à sa place. Il y a simplement cette douce mélodie apaisante qui retentit et qui me fait me sentir bien, comme si tout était à sa place. Je ressens soudain l’irrépressible envie de me brosser les dents. Je m’empare donc de ma brosse à dent sur laquelle j’étale mon dentifrice avant de l’enfourner dans ma bouche et de me brosser les dents avec conviction. Soudain je sens quelque chose dans ma bouche que je m'empresse de recracher dans ma main. Et je me rends alors compte avec horreur qu'il s'agit d'une dent ensanglantée. Horrifiée je passe ma langue sur toutes mes dents pour identifier la dent qui s'est retirée de ma bouche. Là ! En haut à gauche! À la place d'une dent un trou. Je regarde ma brosse à dent qui n’est pourtant pas teintée de rouge et continue de brosser mes autres dents. Cependant je dois forcer un peu trop sur une autre car elle se met à bouger dangereusement puis à se déchausser comme et je la récupère directement dans ma main à côté de sa voisine. Ça me rappelle les drôles de rêves que je faisais quand j'étais petite, lorsque je perdais toutes mes dents. Envahie par un besoin irrépressible de continuer, je me frotte les dents avec plus de vigueur encore et mes quenottes tombent une après l’autre dans le lavabo ou dans mes mains et très vite il n’en reste plus une seule. Je ferme la bouche et décale la mâchoire afin de sentir le trou formé d'une autre manière, le remplissant de mes autres dents du haut. Et à ce moment-là j'en sens d'autres qui bougent et très vite se déchaussent pour encombrer ma bouche. Je les crache par paquets dans mes mains et quand je repasse la langue, elle ne se heurte qu'à quelques dernières résistantes qui finissent elle aussi par se détacher de mes gencives. Et en à peine quelques minutes je me retrouve édentée, avec toutes mes dents dans le creux de mes paumes, des trous béants et sensibles dans mes gencives ainsi qu'une horrible sensation qui fait froid dans le dos. Ca n’est pas douloureux, mais qu’est-ce que c’est désagréable !

Et me revoilà sur le plateau en un clin d’œil. Je fixe mes mains tendues devant moi, dorénavant vide. Immédiatement je passe ma langue sur mes dents et je soupir de soulagement en les sentant là, répondant toutes à l’appel. Il n’empêche qu’il y a toujours cette sensation très déplaisante de vide, de rien, et je sens qu’elle ne va pas me quitter de suite …

20 + 3 + 3 = CASE 26

Le membre 'Chleofee Eastwood' a effectué l'action suivante : Le Hasard

'Le Hasard' : 3, 3

Le membre 'Il était une fois...' a effectué l'action suivante : Le Hasard

'Le Hasard' : 5

Le membre 'Mathilda E. Riddell' a effectué l'action suivante : Le Hasard

#1 'Le Hasard' : 3

--------------------------------

#2 'Le Hasard' : 2

Lucas avança jusqu'à la case 17 tout en pestant, tout le monde lui était passé devant, il savait bien qu'il était en retard tout ça a cause de ses fichues peurs. Il n'avait pas peur de grand chose mais bien sur il fallait qu'il tombe sur les cases. Il arriva enfin sur la case 17.


Le décor changea et il se retrouva immédiatement couché sur un lit d'hôpital qu'il en connaissait pas. Il n'était pas à l'infirmerie, ni à sainte Mangouste où il avait fait plusieurs séjours. Des médecins et infirmières déambulait un peu partout sans s'occuper de lui.

Pas question de perdre du temps ici il n'était pas malade et il allait le faire savoir vite fait bien fait. Il se leva d'un bond et interpella une infirmière.

"Excusait moi mais qu'est ce que je fait ici je ne suis pas malade et pas blessé"

Sans plus de cérémonie on le repoussa sur son lit. Les autres tentatives avec médecins et infirmières se soldèrent par le même résultat. Lucas ne savait pas à qui appartenait cette peurs mais elle commençait vraiment à l'énerver. Il détestait les hôpitaux si en plus il n'avait rien c'était encore pire. Il aperçu alors son nom sur un dossier. Il se releva et se rendit compte que c'était son propre dossier médicale. La plupart des inscriptions sont des résultats de tests qu'il ne se souviens pas avoir passé mais les mots « hôpital psychiatrique » et « troubles neurologiques majeurs » lui apparaisse alors.


Lucas se leva d'un bond et s'écria:


"C'est quoi ce bordel je ne suis pas fou"


Un médecin se dirige vers lui pour le remettre une nouvelle fois sur le lit mai cette fois Lucas le repousse et se dirige vers la porte. Finalement à 3 contre 1 le jeune homme doit s'incliner et on l'attache à son lit.

Heureusement il arrive à tirer son couteau et au bout d'une heure il est libre. Un autre médecin revient alors vers lui l'air menaçant mais cette fois il est armé et d'un large mouvement du bras il plante son couteau dans... Le vide, il est de retour sur le plateau de jeu. Grommelant contre cette peur débile il lance à nouveau les dès.

Case 21