tick. tick. BOOM!? - Myrthilde et Jaimie

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Ils sont déjà un peu maudits pour avoir fini ici. - Mais il rit de bon cœur avant d’allonger le pas. – Essayons de pas trainer trop longtemps dans le coin, avant de transformer le coin en cimetière de statue.

Lui-même ne savait pas trop pourquoi il arrivait dans cette ville ou l’ambiance craignait. Il était habitué de voyager et avait vu beaucoup de grande ville, dans les bons et mauvais côtés, du côté sorcier et du côté moldu, mais il ne voyait pas en quoi cette allée dans la pénombre avait un rapport avec lui. Il avait néanmoins bien vu l’oiseau pénétré par l’une des fenêtres; alors son mystérieux propriétaire ne devait pas être bien loin. Quelques rues et un détour, c’est tout ce qu’ils leur restaient à faire, en croisant les habitants sur quartier qui semblaient composer de punk, de chauffeur de vélo fou, de receleur et qui sait d’autre.

Bah, dans ce quartier! faut croire qu’ils font n’import’quoi.

Myrthilde avait déjà avoué par le passé son inconfort en ce qui avait attrait à la société moldu, et bien qu’il ne sût pas exactement ce qui l’inquiétait bien précisément, il avait fini par passer son bras de manière protecteur pour essayer de la rassurer un peu. Après, dans ce genre d’endroit, les règles les plus standard n’était plus celle étiqueté par la loi; c’était plus une jungle qu’en plein cambrousse. D’ailleurs, quand ils bifurquèrent en prenant le coin, ça ne s’améliora pas côté ambiance. Étonnamment, aucune statue de pierre, ni de malédiction pour lui filer la frousse. Il tenta de la reculer, légèrement avec quelques seconde de retard en le voyant sortir une lame. Bien vite, Myrthilde détourna l’incident avant de mener la danse jusqu’à la série de marches deux maisons plus loin, pendant qu’il s’assurait d’un regard en arrière que l’autre ne les suivait pas dans la foulée. Il reposa finalement le regard vers le profil de la sorcière réalisant qu’elle avait été largement plus douce que toutes les menaces qu’elle avait pu proférer plus tôt au premier qui la regarderait. Au fond, elle avait peur, mais elle était peut-être plus douce que cette hargne qu’elle portait comme une armure pour filer les jetons à quiconque chercherait à penser à mal.

Ça doit être ici.

Il leva la tête vers le bâtiment à logement multiple, en lâchant un soupir, se rendant bien compte qu’avec plusieurs portes à toquer; le choix était plutôt large. Il faudrait qu’il cherche des traces de magie, sinon, ils y seraient encore peut-être demain matin, à s’excuser à chaque des habitants de les importunés sans raison. Il monta la volée de marche, avant de croiser un itinérant couché sur une piles de journaux dans l’entrée en dessous des casiers postaux. L’odeur était infecte, le lieu plus que sale et l’ambiance inquiétante éclairé par des néons jaunâtres dont l’un clignotaient quelques parts dans la cage d’escalier menant au premier pallier. L’homme au sol ne bougea pas, quand ils passèrent à côté de lui, du moins pas dans leur direction, il grommela quelques chose avant de se retourner pour faire face au mur. Regardant de gauche à droit, il finit par sortir sa baguette avant de lancer Appare vestigium, dans un craquement de marche recouverte de céramique brisé et qui se fracturaient un peu plus sous leur pas.

Dé 1
Appare Vestigium
1-2 Échec
Reste – Réussite du sort; Jaimie peut voir dans quel direction prendre quand il arrive sur le second pallier

~~Dé 2, si échec du dé 1~~
1-2-3 Essaie de se positionner pour trouver le bon appartement, et arrive avec chance à se rendre à la bonne porte.
4 – Il cogne à la maison porte; et quand il pousse la porte, il a droit à une piquerie.
5 – Il cogne à une porte, mais la personne leur dit de s’en aller de l’autre côté.
6 – Il avoue ne pas savoir par ou commencer.

Allez, c'est par là. On restera pas pour prendre un café, même si c'est un palace à l'intérieur. J'crois pas que personne que je connaisse finirait ici, déjà.

Le couloir était égale aux escaliers, les portes semblaient vieillis et jaunis, d'une air trop saturé en fumée. En avançant, il avait une vue sur un environnement des plus sinistres ou la misère humaine meublaient chaque racoin. Une porte entrouverte laissé voir des corps au sol, mort ? Peut-être. Mais ils n'étaient pas là pour leur porter secours - et il se doutait qu'ils n'en auraient peut-être même pas voulu. Il pressa le pas jusqu'à arriver à la porte au fond et au coin du bâtiment logiquement. Un gros trou dans le plâtre à gauche laissé pensée à une rixe ou à un élan de colère et il s'attarda à valider avant tout si quelqu'un pourrait littéralement les prendre d'assaut de l'autre côté.

Hominium Revelio

Dé 3 – Si réussite en Dé 1
1-2 Échec
Reste – Réussite. Personne à la maison, mais c’est le bon appartement.

C'est vide.

Mais il n'était pas venu pour revenir sans aucune réponse, et s'arrêté devant une porte close. Il ne proposa pas non plus de redescendre et revenir plus tard. Tant qu'à y être.

Alohomora

Dé 4 – Si réussite en 3
1 Échec
Reste - Réussite

Regard de jugement ou pas, il rentrerait dans cet appartement. Dans le pire des cas, il aurait une meilleur idée de l'individus, ou finirait pas se rendre compte qu'il avait quitter depuis bien longtemps. Il tourna la poigné, avant de passer le seuil d'un même mouvement. C'était moins risqué de faire comme chez soi, ça attirait moins les regards extérieurs. Bien qu'en terme de regards, c'était surtout des camé qui ne voyaient pas plus loin que leur bout de nez, s'il n'en avait vraiment. Il posa les pieds de l'autre côté, avant de balancer un coup de tête vers l'enseignante d'histoire pour l'inviter à entrer elle aussi, vu qu'il l'avait lâché pour tourner la poignée. Il était bien loin de se douter qu'il venait d'entrée dans un cercle de rune gravé sous la paillasson qui le permettait d'entrée mais de ne pas en sortir.

On entre, on sort et on repars.

Codage par Libella sur Graphiorum

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i'll be right there when your world starts to fall

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À SAVOIR Arrivé(e) le : 19/06/2022 Parchemins rédigés : 206 Points : 9

Myrthilde essaya de faire bonne figure alors que Jaimie plaisantait, mais elle se maudissait d’être partie sans le moindre plan et sans prendre la moindre précaution. Ils étaient stupides, profondément stupides. Ce qui ne semblait n’être qu’un jeu n’était visiblement qu’un sale guêpier. Oh, elle ne se gênerait pas pour transformer quiconque en statue, c’était déjà un cimetière des âmes, elles n’attendaient que d’être libérées de leur corps. Et l’importun qui vint lui chanter sous le nez en ferais les frais s’il le fallait. Si ses menaces ne l’avaient pas effrayées…Au moins avait-il était réceptif à la confusion du sortilège. Agacée par l’incident, elle pressa le pas accompagnée de Jaimie. Oh il pouvait bien lui tenir le bras d’un air rassurant, elle ne serait satisfaite qu’une fois retournée au château. Après un bon bain pour se nettoyer de la crasse et du sentiment de salissure que faisait naître cet endroit sur sa peau sombre.

Le bâtiment dans lequel ils entrèrent était un mouroir. « Pourquoi quelqu’un t’enverrait-il ici. Avec cette pièce, il pourrait se payer un aller simple au paradis des overdoses. » lâcha-t-elle, confuse. Rien n’était logique dans ce qu’il se passait sous ses yeux. Elle avait du mal à envisager un scénario. L’homme allongé à terre grommela pour quelques visions et elle lui jeta un regard dépité. Jaimie sembla lire quelques signes de présence au second étage…Peut être toucheraient-ils à leur but.
« Rien qui ne provient de cet endroit ne touchera ma langue, c’est une évidence Jaimie. » confirma-t-elle. Palace ou pas, le lieu n’était que poison. Si des corps intoxiqués jonchaient le couloir délabré, rien ne semblait indiquer la présence de quelqu’un dans l’appartement. Il n’était même pas verrouillé. « Attends. » Mais Jaimie était un bon gryffondor et il passa la porte sans faire preuve d’un centième de la méfiance dont il aurait eu besoin. « Pourquoi faire toute cette énigme s’il suffit de passer la porte ? ». Elle ne le suivrait pas. Il était bien gentil, mais elle avait quelques vérifications à faire. Son amulette était saturée de ses craintes et d’une utilité nulle. Elle lança un sortilège pour faire apparaître toutes traces de magie. Elle soupira : « Magie oui, mais quand et où exactement ?! »

D’un geste là, elle observa la porte, à la recherche d’un détail qu’elle n’aurait pas vu. Mais rien sur le bois vermoulu d’indiquait un quelconque enchantement. Elle s’apprêtait à enjamber le paillasson franchement dégoûtant, quand son intuition la chatouilla. Avec un haut le cœur, elle attrapa le tapis humide et gorgé de saletés. Elle ne voulait pas savoir ce qu’il avait absorbé.
« Il y a des runes ici. Tu sais à quoi elles correspondent ? » Elle lui jeta un regard inquiet… Il valait mieux pour lui qu’ils trouvent ce que le sorcier avait voulu faire. « Il va me falloir un peu de temps pour déchiffrer alors magne-toi avant qu’il te tombe un truc sur le coin de la tête. » Il ne venait pas un instant à l’esprit de la jeune femme que cela puisse-t-être une rune de protection. Avec un soupire là, elle s’assoit à côté de la zone afin d’observer avec attention l’imbriquement de symboles.

Amulette de protection:
5,6 : l'amulette de Myrthilde chauffe très fort.
Le reste : il faut vraiment rentrer?

MAGICAE OSTENDUM
5,6 : les particules s'agglomèrent autour du tapis.
3,4 : la magie a été utilisée, mais difficile de dire précisément où
1,2 : quand ça veut pas...

Le bon sens des serpentards
4,5,6 : Myrthilde observe avec soin l’entrée et finit par découvrir les runes sous le paillasson.
1,2,3 : le lieu est tellement sale et Myrthilde tellement anxieuse, qu’elle ne toucherait pas le paillasson même avec une baguette.

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'Le Hasard' : 5

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