Une nouvelle fois, il acquiesça. L’idée qu’elle ait pu participer à l’une des soirées de ce type ces dernières années ne lui avait pas effleurer l’esprit. Lui n’y participait pas. Trop jeune peut être. Il avait émis l’hypothèse que cela serait le cas de sa camarade également. Visiblement, il s’était trompé. Encore une fois, il prouvait que son monde s’arrêtait bien souvent à ce qu’il expérimentait, et ne s’ouvrait que très peu sur les aventures de ses camarades d’école. Elle attrapa l’une des fameuses billes, et comme Bailey avant elle, la plaça dans sa bouche pour laisser le liquide éclater en un ‘pop’ sur sa langue. Lui se détendait quelque peu maintenant qu’il retrouvait son espace personnel et qu’il rajoutait encore un peu d’alcool sur son état. Était-ce raisonnable ? Absolument pas. Boire de l’alcool dans le château était interdit par le règlement. Alors en boire autant au risque de se faire remarquer ne semblait pas être la décision la plus intelligente qu’il avait pris ces derniers temps. Il semblait s’en ficher. Surement parce que les décisions stupides, il ne faisait que de les accumuler en ce début d’année scolaire. Elle lui avait à nouveau tendu la bouteille, peut être pour l’encourager à continuer, ou pour l’aider à oublier l’attitude étrange qu’il avait eu quelques minutes auparavant lorsqu’elle s’était approchée un peu trop de lui à son goût. Cela ne venait pas de Gwendolyn personnellement, il aurait sans eu doute le même genre de réaction peu importe la personne à ses côtés. Mais elle ne le connaissait sans doute pas assez pour le savoir ou pour s’en rendre compte. Car il y avait un fossé entre la ‘timidité’ et une réaction aussi physique à la proximité. L’adolescente en était peut-être surprise, mais en tout cas, elle eut l’intelligence et la gentillesse de ne pas le commenter immédiatement. Peut-être avait-elle deviné qu’il était mal à l’aise et qu’en parler ne ferait qu’empirer les choses.

Il laissa échapper une phrase qui en disait long sur son état. Mais après tout, cela commençait à faire un moment que les deux jeunes se trouvaient ici boire gorgée après gorgée d’un liquide assez fort, sans rien pour l’éponger. Il n’était donc pas étonnant que cette boisson commence à avoir un effet sur la sobriété du garçon. Il le sentait dans son corps. Malgré la brise, Bailey avait plutôt chaud. Ses joues étaient d’ailleurs rosies … surement par l’alcool (et la gêne également). Mais comme il le disait si bien à Gwendolyn (légèrement malgré lui), la boisson ne suffisait pas à le rendre complètement normal aux yeux de ses pairs. Après tout, quelqu’un de normal n’agirait pas de cette façon quand une fille se penchait vers lui pour attraper une bouteille, n’est-ce pas ? Il laissa apparaitre un faible sourire lorsqu’elle sortit une phrase bateau, le genre de phrase que l’on dit pour sortir une vérité générale admis par tous.

Au moins, Gwendolyn ne semblait pas être une personne qui se vexer facilement. Elle restait positive, plutôt enclin à continuer la conversation et passer du temps avec lui, malgré son côté fermé (parfois) et ses attitudes peu conventionnelles. Il trouvait cela plutôt sympa de sa part. Et si par le passé, il l’avait jugé assez rapidement, il pouvait néanmoins revenir sur ce jugement ce soir. Puisqu’elle lui montrait tout de même qu’elle était bien plus qu’une commère.

– Plutôt oui.

Répondit-il. Ces deux mots dans sa bouche étaient un compliment pour la jeune femme, une preuve qu’il appréciait le moment, même s’il n’était pas le meilleur pour le montrer ou le prouver. A la base, il partait simplement en solo ce soir, et finalement même si c’était une incrust’ de dernière minute, il n’en était pas déçu pour autant.

– On va se faire défoncer si on se fait choper tout à l’heure en rentrant. Parce que faut que je te dise, je suis pas très bon pour jouer l’acteur.

Lui indiqua-t-il. Cela voulait dire que s’ils se faisaient choper par un membre de l’équipe pédagogique, il serait surement dans l’incapacité d’inventer un mensonge, ou de jouer assez bien la comédie pour convaincre son interlocuteur qu’il n’était pas complètement bourré. Il valait mieux pour les deux adolescents qu’ils rentrent au dortoir tranquillement sans complications, sinon Bailey ne donnait clairement pas cher de leur peau. Quoique, peut être Gwendolyn était bien meilleure que lui dans cet art, qui sait ?

– T’sais que la prof de bota, elle fume des joints askip. A tout moment, elle garde son herbe dans les serres.

Très mauvaise idée.

La vieille fumait sans doute plus fort ? Peut-être. Surement maintenant qu’il y pensait. Mais avant que Gwendolyn ne lui fasse remarquer, il n’y avait pas pensé. Pour être honnête, en dehors des moments où il se trouvait assis sur une chaise dans l’une des serres, il ne pensait clairement pas à sa prof de botanique. Pas parce qu’il ne l’aimait pas, mais elle restait une adulte légèrement inintéressante à ses yeux. Comme les autres, finalement. Si elle n’avait pas peur de fumer un gros joint juste avant l’une de ses classes, il semblait assez évident qu’elle ne se gênait pas pour en fumer en privé, peut-être même prenait-elle des drogues plus fortes à l’abri des regards. Mais ça, ils ne le sauront sans doute jamais. Mais étrangement, cela avait fait murir une idée dans l’esprit du garçon. Une idée très stupide d’ailleurs. Les deux adolescents arrivaient bientôt à la fin de leurs réserves. Il fallait se rendre à l’évidence : cette bouteille se vidait à vue de nez et ne serait très vite plus qu’un lointain souvenir. Et Bailey ne possédait pas beaucoup de billes. Le serveur lui en avait donné quelques-unes mais tel un radin il n’avait pas accepté de lui faire un lot. Alors quand ils auraient fini, qu’allaient-ils faire ? Rentrer complètement saoul dans le château au risque de se faire choper par le concierge ou pire par un professeur ? Stupide idée.

L’alcool semblait également libérer quelque peu Gwendolyn qui ne faisait plus du tout attention au volume de sa voix. Bien que plus calme de nature, Bailey se trouvait être dans le même état qu’elle, ou presque. Il se sentait de plus en plus léger. Et désormais un espèce de petit sourire béat ne semblait plus vouloir quitter ses lèvres. La meilleure manière de ne pas se faire prendre, pour Gwendolyn, était de ne pas rentrer. Brillante idée. Mais s’ils décidaient de ne pas regagner le château, il leur faudrait quelque chose pour rendre la soirée encore plus délirante. Ils ne pouvaient décemment pas rester là dans le froid sans rien à manger, boire, ou fumer …. L’idée germait peu à peu dans l’esprit du garçon.

– Tu lis dans mes pensées.

Répondit-il toujours avec ce petit sourire qui lui donnait un air légèrement stupide. Mais l’idée s’implantait dans son esprit. Et il savait déjà qu’elle gagnerait la bataille avec la raison. Après tout, lorsqu’on s’enfile la moitié d’une bouteille de whisky, la raison se faisait rapidement la malle. La jeune femme lui tendit d’ailleurs la bouteille. Plus qu’une gorgée et elle lui offrait cet honneur. Quelle gentillesse. Aurait-il dû insister pour qu’il la prenne par politesse ? Il n’en fut rien. En effet, il attrapa ladite bouteille et la porta à ses lèvres. En un instant, le reste de liquide finit bien au chaud dans son gosier. Il s’essuya la bouche d’un revers de manche avant d’abandonner la bouteille sur le sol entre Gwendolyn et lui. Un obstacle qui compliquerait la tâche de l’adolescente si elle décidait une nouvelle fois de se rapprocher de lui.

La demoiselle partagea ses pensées sur l’idée (très) stupide de Bailey. S’il avait peur de rentrer et de se faire chopper, comment ne pouvait-il pas avoir peur de la même chose dans les serres ? Mais de son point de vue, il y avait surement moins de risques. Qui serait le débile qui trainerait dans les serres à une heure aussi avancée de la nuit franchement ? L’adolescente fit une blague puis rit aux éclats. Bailey laissa échapper un petit rire, plus amusé par l’état de sa camarade que par sa blague elle-même.

– Les profs ils pioncent à cette heure, t’inquiète, ou alors ils s’amusent à boire des coups dans la salle des profs. Y’a pas une âme saine qui irait trainer avec les arbustes à une heure pareille ? Crois moi, c’est safe.

Dit-il avec un sourire. L’alcool parlait bien évidemment. Et l’alcool était également très motivé à se rendre dans les serres. Bailey était déjà convaincu. Il se leva, presque un peu trop vite. Le monde tourna légèrement autour de lui, avant de finalement se stabiliser. Il retrouva le sourire lorsqu’il eut l’impression de retrouver le contrôle sur son corps.

– Vas y bouge, ça va être fun.

Lui dit-il sans réellement lui laisser le choix puisqu’il commençait déjà à marcher en direction des serres. Gwendolyn avait donc le choix entre rester toute seule près de l’arbre et du lac, ou alors le suivre jusque dans les serres. Etrangement, Bailey en était presque certain : elle le suivrait. Après tout, ne l’avait-elle pas déjà suivi jusqu’ici un peu plus tôt dans la soirée ?

Ni une ni deux, Bailey se trouvait déjà sur ses deux pieds, prêt à prendre le chemin. Si Gwendolyn n’avait pas donné son accord explicitement, lui ne lui laissait pratiquement pas le choix. Soit elle restait seule dans la nuit près du lac, soit elle se bougeait les fesses et l’accompagnait dans sa prochaine aventure : direction les serres. Il commença à avancer et se stoppa presque en entendant la jeune femme l’appeler. Il sourit, plutôt satisfait qu’elle ait décidé de venir avec lui, même s’il doutait sérieusement qu’elle refuserait. Il entendit quelques secondes plus tard un grand bruit sourd et se retourna, ouvrit de grands yeux ronds, tandis que sa camarade se trouvait sur le sol dur du parc. Il ne put s’empêcher de rire devant ce spectacle. Visiblement les abus de boisson commençaient à se voir de son côté. Pour l’instant, Bailey n’en souffrait pas aussi physiquement et arrivait à mettre un pied devant l’autre. Mais pour combien de temps ? Car lui aussi avait bu l’équivalent de cinq ou six shots. Ce n’était qu’une question de temps avant que cela ne se traduise par des maladresses de sa part. Mentalement, il sentait déjà les effets. Son sourire béat toujours bien accroché sur le visage, il avançait doucement, mais surement, il ne tenait pas à s’étaler comme elle venait de le faire. Heureusement pour Gwen, elle ne semblait pas blessée puisqu’elle se releva assez vite. Elle l’appela une nouvelle fois, encore à la traine. Et Bailey patienta pour qu’elle puisse enfin arriver à sa hauteur. A cette vitesse, les deux adolescents ne risquaient pas d’arriver rapidement aux serres.

Mais ils reprirent le chemin, toujours enthousiastes, et ignorants des risques qu’ils encourraient à faire autant de bruit un soir de semaine en dehors du château. Pour le moment, ils avaient eu de la chance de ne pas se faire prendre. Mais pour combien de temps ? Bailey titubait légèrement. Sa marche n’était pas aussi fluide que d’ordinaire. Chaque pas semblait le déséquilibrait un peu plus, et pourtant, pour le moment, aucune chute. Ouf. Après de longues minutes (bien plus qu’il n’en fallait en temps normal pour arriver aux serres), ils arrivèrent sur place. Le garçon posa sa main sur la poignée.

– Euh … c’est fermé. Les profs sont vraiment des gros paranos, j’ai juré, ils nous font grave pas confiance, c’est ouf.

S’insurgea-t-il devant la porte. Clairement vu leurs comportements du soir, l’équipe pédagogique faisait bien de ne pas faire confiance aux élèves de l’école. Parce qu’ils n’étaient que des gamins pas très respectueux et surtout très stupides.

– Alo-Pokora

Rien ne se passe.

– Vas y j’suis sûr ma baguette elle a un problème, ça soule.

Déclara-t-il sans se rendre compte qu’il était loin du compte pour prononcer le sort digne d’un premier année correctement. Il se posta un instant devant cette porte tout à fait fermé. Comme s’il avait face à lui une énigme … la plus compliquée qu’il n’eut jamais à décoder jusqu’à présent. Cette porte était son nouveau Némésis, l’ennemi qui lui voulait du mal. Et en tant que serpentard, il fuyait devant le mal, devant le danger. Mais pas aujourd’hui. Aujourd’hui il affronterait son némésis. Et il en sortirait vainqueur. Il en était persuadé.

Mais pour ce faire, il lui fallait donc un plan. Et comme sa baguette ne marchait plus (il en parlerait au chef des serpentards demain), il devrait se résoudre à utiliser des tactiques de moldus. Mais que Gwen ne se fasse pas de soucis, il avait vécu chez les moldus toute sa vie. Alors forcément, il savait quoi faire.

– T’inquiète Gwen, je gère.

Dit-il sûr de lui. Il remonta sur son nez des lunettes (qui n’existaient pas) d’un geste de la main. L’espace d’un instant, il se sentait fort et puissant. Rien ne pouvait l’arrêter … et certainement pas une porte. Il recula de quelques pas, prenant de la distance pour affronter ce challenge. Puis il regarda au sol à la recherche d’un objet : le fameux objet qui résoudrait tous ses problèmes là, tout de suite, maintenant. Et il la trouva. Un caillou. Un magnifique caillou. Dans sa tête, il réussirait à casser la fenêtre avec un caillou, et ensuite ils pourraient tranquillement rentrer dans la serre. Comment diable ce plan pourrait-il ne pas marcher ?

Il se prépara, tel un sportif de haut niveau prêt à lancer une perche, et libéra le caillou de sa main. Celui-ci rebondit sur la fenêtre en un petit ‘pop’. Et retomba à ses pieds.

– AH. (HRP : Imaginez le AH de Denis Brognard pour une expérience auditive en même temps que l’expérience littéraire de ce passage)

S’exclama-t-il.

AH. Voyant le caillou retomber à ses pieds, Bailey en fut presque interloqué. Dans sa tête, son plan avait été parfaitement imaginé et il était impossible qu’il ne rate. Et pourtant … Devant lui une vitre non brisée, et une pierre inutile. Il jeta un coup d’œil à sa camarade qui semblait attendre après lui. Il haussa les épaules, et ne dit rien. Devait-il chercher un autre plan ? Devait-il relancer une plus grosse pierre pour pouvoir observer un résultat différent ? Car clairement il ne pouvait compter sur Gwendolyn qui semblait aussi bourrée qu’inutile. Pas qu’il ne soit d’une grande aide non plus, mais passons.

Peut-être Bailey avait-il été un peu trop perdu dans ses pensées à la recherche d’une suite à cette escapade car il laissa échapper un cri strident lorsque les portes de la serre s’ouvrirent violemment devant lui. Il n’eut le temps de rien faire, et vit des cordes s’attacher autour de sa camarade, impuissant. Il ouvrit de grands yeux ronds, de manière un peu trop théâtrale. Mais qu’était-il en train de leur arriver ? Il avait placé, presque instinctivement, ses bras autour de sa tête comme pour se protéger d’une attaque imminente. Stupide … puisque si on était réellement en train de les attaquer, ce n’était certainement pas ses pauvres bras qui manquaient un peu de musculature qui le protégeraient contre un sort. M’enfin. Gwendolyn se dandinait sur le sol, incapable de se dépatouiller. Bailey leva enfin les yeux pour voir le visage de la personne qui les avait pris sur le fait accompli. La vieille de bota. Une nouvelle fois, il ouvrit de grands yeux ronds surpris. Il ouvrit la bouche, de laquelle aucun son ne sortit. Et son professeur commença à les insulter allègrement de débile.

– Euh … Oh … OH. Euh on avait grave pas l’intention de fumer, madame hein. C’est pas bien, très bien, super cool, de nous accuser sans preu–

Et il s’arrêta bien rapidement. Pour deux raisons, la première était le regard que lui offrait son professeur qui clairement était beaucoup moins amical que lorsqu’il la voyait en cours. Et la deuxième, parce qu’elle venait de lui envoyer en pleine face une phrase grave méchante. D’un geste théâtral, il s’attrapa le cœur (enfin le torse, à l’endroit où quelques centimètres à l’intérieur, il y avait son cœur). Est-ce que ça lui faisait vraiment du mal d’entendre de telles paroles ? Pas vraiment. Au fond, ce n’était rien qu’il n’avait jamais entendu auparavant maintes et maintes fois par sa très chère maman. MAIS. Peut être était-ce l’alcool qui le rendait un peu plus sentimental, ou alors le regard de déception qu’elle lui offrait, mais Bailey se sentait étrangement touché, mais surtout vexé par ses paroles. Genre elle était déçu de lui ? Alors qu’elle était la première à fumer des gros oinj, même pas en cachette, dans les serres ?

Devant le silence de mort, la vieille reprit la parole en leur demande si l’un d’entre eux voulait lui expliquer la raison de leur présence à une heure aussi avancée de la nuit. Elle les insulta aussi par la même occasion (un peu plus discrètement que la première fois d’ailleurs). Vu que Gwendolyn se trouvait encore sur le sol comme un pauvre animal saucissonné, il comprit que c’était son rôle d’expliquer. Mais voilà, il ne pouvait pas décemment lui dire la vérité, n’est-ce pas ? Il n’allait pas lui raconter qu’ils étaient en train de se bourrer la gueule pour le fun, juste parce que le frisson de l’interdit leur donnait des petits papillons dans le ventre.

– Euh faut p’t’être la libérer pour monter dans le bureau, nan ? Enfin je sais pas.

Dit-il assez rapidement, regrettant presque immédiatement d’avoir ouvert la bouche. Il ne voulait pas qu’elle pense qu’il se la jouait petit malin alors qu’il se trouvait être dans une TRES mauvaise posture. Il prit une grande inspiration (de manière très peu discrète) pour se donner un peu de courage. Puis une deuxième pour la chance. Et enfin une troisième parce que trois c’est mieux que deux. Une fois son petit cinéma terminé, il ouvrit enfin la bouche pour s’expliquer.

– En fait. Genre depuis que je suis rentré à Poupou, j’ai grave des problèmes d’insomnie et de crise de panique. Genre full wow, vous voyez. Et … et … et … bah Gwen … c’est la meuf par terre, là. Donc Gwen m’a juste accompagné pour que je prenne l’air et que ça aille mieux tout ça.

Était-il en train de s’enfoncer ? NAN. Il déchirait grave avec ses explications.

– Et j’ai lu dans un … mince comment ça s’appelle c’te connerie … AH OUI. SI. Un bouquin. Que et bah genre un peu d’élixir de vie genre corsé … du WPF, quoi. Et bah ça pouvait aider pour les crises de panique, askip.

Il fit une courte pause, sans réellement se rendre compte qu’il était grand temps de la boucler, et vite.

– Mais j’crois on a mal dosé un peu, fin j’suis pas sûr.

La ferme.