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(#) Sujet: Do your thing on the runaway : Work. Max et Teddy & Kenneth. Sam 23 Sep - 12:24
Teodora aurait pu utiliser son temps libre pour étudier. Mais à la vérité, entre les révisions pour le groupe, les cours à Saige et ses futures obligations pendant les vacances de Noël, la jeune fille s'était esquinté tant les doigts que les neurones sur ses partitions. Elle avait besoin d'un divertissement sans enjeux, de s'amuser. Et elle devait bien un peu de compagnie à Maximilianna qui subissait sa passion pour la musique bien plus que les autres. Il faudrait qu'elle lui demande s'il lui arrivait de chanter en dormant.
Aussi avait-elle rebondit sur la proposition de tester la robe d'elle ne savait qu'elle créateur à la mode dans une ville d'Europe où elle ne mettrait probablement jamais les pieds. Mais l'idée que sa camarade la relook l'amusait grandement. Elles s'étaient fixé la fin d'un dimanche après midi et avaient promis à Kenneth qu'il pourrait avoir une vue sur le défilé final. Ça ne pouvait qu'être drôle. C'était quoi les mailles décousues, un filet de pêche ?
A l'heure dite - Teddy avait fait l'effort de sortir pile à l'heure de la douche - elle avait attendu sa camarade dans le dortoir. La jeune fille avait enfilé ses sous vêtements les plus neufs, espérant que le noir ferait l'affaire. Elle tenta d'ajuster du mieux qu'elle pût son soutien gorge : il était devenu un peu petit et inconfortable. Elle s'en passait souvent, se contentant de transformer un de ses débardeurs en brassière si elle se sentait vraiment mal à l'aise dans une tenue. A cet instant, ce n'était pas tant de se mettre à nu devant sa camarade qui la gênait, de toute façon, elle portait son peignoir élimé… mais plutôt la différence de moyen qui était toujours criante. Mieux valait qu'elle ne prenne pas goût à ce genre de frivolités.
"Hallooo Schatzchen'! T'as passé une bonne journée ?" Demanda-t-elle enjouée. "bon je te fais confiance, j'y connais rien!" Est-ce qu'elle allait devoir porter des chaussures à talon pour déambuler comme un zombie sous-alimenté? Bah…au pire elle imiterait sa démarche saoule et ça passerait crème. Peut-être qu'elle pourrait prendre un cours de maquillage ?
"j'ai jamais fait ça je suis trop surexcitée !" Dit-elle en riant.
Maximilianna S. Stein
À SAVOIR
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(#) Sujet: Re: Do your thing on the runaway : Work. Max et Teddy & Kenneth. Mer 27 Sep - 0:34
Dimanche, relooking ? Je n’avais pu que dire oui, c’était rendre service à l’humanité que de le rendre encore plus fabuleux. En plus, c’était une bonne occasion pour moi de faire essayer cette robe à cette pauvre Teodora qui n’avait presque rien à se mettre. Je la plaignait beaucoup de n’avoir que quelques t-shirts élimés et des jeans bon marché; d’ici la fin de l’année je prévoyais que le bouton n’en déchire et qu’elle doive littéralement le faire tenir avec les moyens du bord, des épingles à cheveux ? Déjà, je prévoyais un désastre. J’avais longuement songé à lui léguer certains morceaux que j’appréciais un peu moins, pour garder son dressing, mais depuis toutes ces années, j’avais compris qu’elle et moi n’avions pas tout à fait les même goût côté vestimentaire. Pavlo Tecv avait été une sorte de révélation de l’été! Quand Norine avait soulevé qu’elle verrait bien ma colocataire avec l’une de ces pièces, j’avais choisi l’une des plus jolie en fin de défilé pour l’acquérir à une modique somme. Bon. Modique pour moi, nous dirons!
Alors quand finalement, je descendit rejoindre notre chambre à l’heure dite, Teodora était toujours dans la salle de bain. J’en profitai pour sortir la pièce et la suspendre pour faire ventiler le vêtement qui ne méritait clairement pas d’être abandonné aussi creux dans le dressing. Les mailles arachnéennes, donnait presque l’impression d’être transparente par endroit. Ce n’était pas le tissu qui était fait comme cela, chaque maille avait été cousus magiquement l’autre après l’autre dans un modèle rappelant des toiles d’araignée. Mais au-delà du simple fait que c’était une pièce d’art littéralement, c’était le côté transparent qui avait choqué une partie de la société sorcière, ou du moins, les familles des bonnes maisons d’Europe qui était habitué à un style plus conservateur et net. J’appréciais la frivolité et la délicatesse alors que je le soupesais sous mes doigts quand finalement la porte s’ouvrit pour laisser apparaître ma rousse de colocataire. Les boucles lâchent sur les épaules, son peignoir qui qui se mourait et qu’elle devait avoir depuis longtemps tant qu’il lui remontait sur les cuisses, mais néanmoins un grand sourire auquel je répondit.
Plutôt bien. J’ai passé la journée à me questionner si tu rentrerais dans mes Bottes Cahn; et puis, je me suis résolu à trouver un manuel pour trouver des sorts pour ajuster ma garde-robe à ta taille. - Je ris. Je savais qu’elle n’y connaissait rien. C’était bien un fait notable depuis ces dernières années. – Ça te laisse tout un monde à découvrir, Schatzchen! Et c'est un monde absolument sublime! Tu verra bien. J’ouvrai la large les portes de la section chaussure de mon dressing, avant de sonder du regard les options que j’avais ici avec moi. – Semelle compensé ? Ça me semble être plus ton style. – Je posai un doigt sur mon menton, en faisant tourner le disque où se succédait des chaussures de tailles, apparence et couleur différente. – J’ai sorti la Pavlo. Elle est là-bas! – Je m’accroupis pour regarder les chaussures plus basses, dont les Cahn longueur pleine jambes noire en semelle compensée, qui m’arrivèrent dans les mains après quelques précieux secondes pendant lesquelles j’observais la beauté incarnée des boitillions Linus à talon aiguille rouge cramoisi à bout pointu de la saison d’hiver d’il y a deux ans. Je stoppai le carrousel d’une main, et m’écartai avant de poser les bottes devant mon lit et de sortir la seconde paire de mon designer préféré. – Rouge ? – Dis-je en secouant les épaules, visiblement excité. – On va devoir essayer quelques agencements jusqu’à trouver celui qui cris : Regardez-moi! Débutons, et rendons-toi, absolument fashion!
De fils en aiguille, ce fût les Cahn qui gagnèrent non seulement parce qu’elle donnait moins l’impression de ne pas tombé à chaque pas, mais aussi parce que j’aurais fait une crise cardiaque qu’elle détruise mes Linus. Pour autant, elle avait pu les essayer après avoir ajuster la taille d’un coup de baguette. Et j’en avait aussi profiter pour ajuster le pauvre soutien-gorge une fois qu’elle l’eut révélé. Pas qu’elle avait tant pris de bonnet, mais c’était surtout qu’elle avait grandi de partout et qu’il s’ajustait plus très bien à son buste.
S’ajoutai un collier délicat composé d’une série de tout petit diamant orange dévalant jusqu’au plus profond du décoté de Teodora, mais assez discret pour ne pas attirer l’œil sur la joaillerie, quoiqu’à l’endroit où il était, qui sait ça serait peut-être la seule chose que le fils du Ministre verrait. Les cheveux remontés dans un chignon lâche, cachant les lobes d’oreilles de la Poufsouffle et un maquillage dramatique noir parfait pour souligner le regard, les lèvres claires, les sourcils retouchés. Elle n’avait absolument plus l’air de la petite étudiante de 4e qui portait à peu près rien. J’avais compris que tant que nous parlions et que ça restait plutôt animée, ma colocataire semblait oubliée un peu les altérations que j’opérais sur elle. Parce que c’était en soit une opération à cœur ouvert pour sauver l’humanité de la laideur pour quelques heures. Cela étant, elle n’était pas vraiment laide, mais disons qu’elle manquait à ses devoir en prenant aussi peu de temps le matin qu’elle n’en passait dans la salle de bain pour faire les traitements pour ces cheveux. J’en finit par la faire lever pour la mettre devant le miroir plein pied du côté gauche de mon dressing.
Tu es sublime! Et méconnaissable. C’est parfait! Je te montre comment marcher ?
Parce qu’il s’agissait pas juste de tenir un pas devant l’autre. Ça requérait de l’attitude, du maintien. Seigneur cette robe méritait un port de reine, quand même. Si ce n’était pas pour moi, qu’elle le fasse pour la robe de Designer qui méritait d’être porté sous son meilleur jour. S’en suivit un petit exercice, et quand elles furent prêtes, il ne restait qu’à montrer le résultat à Kenneth qui devait se demander si elle ne finirait jamais pas arriver. Fashionnly late, dit-on ? Il n’y a rien de plus vrai!
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(#) Sujet: Re: Do your thing on the runaway : Work. Max et Teddy & Kenneth. Mer 27 Sep - 7:59
Alors que Maximilianna débarque dans la chambre avec sa pièce - puisque c'est comme ça qu'on appelle un vêtement cher - Teodora est enjouée. Mais quand elle aperçoit la robe sur le cintre, elle se prend à douter un peu. Est-ce que ce vêtement n'est pas composé à 80% de trous? Pourquoi diable acheter une telle robe? Maximilianna ne mettrait jamais ce genre de chose à l'école quand même. Teddy ne se considérait vraiment pas comme une fille prude, mais il était évident qu'elle ne porterait pas ce genre de choses au bal. "Oh mais c'est trop bien ça comme sortilèges? Carrément plus utile que ce qu'on voit en cours!" Reparo faisait parfois des miracles, mais on ne transformait pas un vêtement usé en vêtement neuf aussi facilement. Et puis, ça voulait dire qu'elle pourrait économiser un peu en agrandissant ses vêtements plutôt que de devoir compter sur Noël ou son anniversaire pour les remplacer, et consacrer son peu d'argent de poche à des choses plus intéressantes que la mode.
La jeune fille ne sait pas vraiment ce qui est plus son style. Des vêtements à sa taille, c'est déjà pas mal, et qui vont tous entre eux. Clairement elle a une jolie collection de vêtements noirs et de chemises à carreaux. Peut être que sa mère lui offrira un t-shirt de rock à Noël, à force d'insister. La poufsouffle manque de faire une syncope en voyant le tourniquer à chaussures. Merde. Elle a une paire de bottine et une paire de derbie et c'est déjà pas mal. Heureusement, Max lui indique du doigt quelle est réellement la chaussure pavlo avant de débusquer une paire de compenser et des escarpins à talons rouges. " Wow sexy." Comment on marche avec ces trucs ? "Mais quand est-ce que tu portes tout ça? Tu les comptes le soir pour faire de beaux rêves?" lui demande-t-elle amusée. Et un peu dépitée par tant de richesse ostentatoire.
Elle enfile précautionneusement la robe, la manipulant comme si elle touchait du cristal. Elle n'avait jamais rien touché d'aussi doux, et pourtant, cela ressemblait à ce qu'arachnée aurait pu tricoter dans la forêt. "On est d'accord que je peux garder mon soutif hein? C'est pas très haute couture, mais si quelqu'un balance, je vais finir avec un rapport chez le psy à devoir expliquer pourquoi je me balade à poil dans la salle commune." Elle rigole à moitié, elle est presque sûre que les adultes pèteraient un plomb. Et même si elle n'est pas du genre complexé, sur ce coup là, elle avouera qu'elle préfère jouer la sécurité. Sa colocataire ne s'en offusqua pas et ajusta doctement son soutien gorge d'un coup de baguettes alors qu'elle finissait de s'habiller.
Teodora se regarda dans le miroir, un peu intimidée. La jeune fille ne faisait pas bébé en temps normal, mais clairement, dans cette robe, elle passait d'adolescente à jeune fille sans même faire d'effort. Et bon sang, ce décolleté. Elle n'a pas une poitrine énorme mais suffisamment pour qu'elle se trouve particulièrement exposée. "J'imagine même pas la fortune qu'ont coûté tout ses trous!" dit-elle en riant. Elle enfile les Linus rouge tendues par Maximilianna et se sent le pied aussi sûr que sur un bateau en pleine tempête. Ouch elle essaya de faire deux pas, se tordit les pieds et rendit les précieuses à leur maman.Ce n'était pas vraiment ses chevilles qui l'inquiétaient mais plutôt le fait qu'elle n'aurait jamais les moyens de les rembourser si elle cassait le talon par inadvertance. "Il est vraiment trop bien ton sortilège Max." Je la regarde malicieusement. "On trouvera peut être la tenue rêvée pour Ken sans qu'il craque tes jolies robes." Enfin en vérité Kenneth était encore assez gringalet et ne détruirait probablement rien du tout. Mais pour l'heure, elle se laissa pomponner aussi ravie qu'un chaton qui ronronne.
Un sublime collier en diamant, elle manqua de s'étouffer en comptant le nombre, atteri entre ses seins. Maximilianna s'occupa ensuite d'attacher ses cheveux. Cela lui arrivait rarement de les attacher, à moins qu'elle ne se trouve en cours de vol. Elle arborait fièrement sa crinière rousse comme un gigantesque doigt d'honneur à qui viendrait l'emmerder. Mais elle devait reconnaître que quitter sa coupe d'enfant sauvage lui donnait un air plus mature. "OUAH il faut trop que tu m'apprennes à me maquiller." Teodora se sentit soudainement puissante, comme enrobée dans une armure de peinture. Sa peau blanche laiteuse semblait resplendir à travers le tissus.
Alors qu'elle enfilait la paire de chaussures sélectionnée par sa camarade se regardant dans la glace comme si elle se découvrait par la première fois, la jeune fille eu l'impression d'avaler un verre de glaçon en entendant les paroles de sa camarade. Elle était parfaitement sublime, parce qu'elle ne se ressemblait pas. Et c'était vrai. Elle pourrait parader pour la blague devant Kenneth, mais elle remiserait les vêtements et les bijoux de luxe à la fin de la journée, et redeviendrait Teddy. Juste Teddy et ses vêtements bons marchés, son style dicté par la nécessité plus que par ses goûts. Elle n'arriverait jamais à la cheville d'une Agatha ou d'une Maximilianna. Elle était juste déguisée. Et si sa camarade ne souhaitait probablement pas la blesser, la conscience aigüe de son statut lui revenait en pleine face. Teddy aurait mille fois préféré naître sang de rien du tout que d'être née sang-pur en devant galérer pour trois mornilles en "piquant" le travail des elfes.
En tout cas, elle ne payait pas des fortunes pour porter des guenilles, aussi finement cousues soit-elle. Et ça la consola un petit peu. Elle n'allait pas se laisser maltraiter par une robe. Elle se regarda dans la glace, lança son regard le plus féroce, et se retourna vers Maximilianna et lui fit son sourire le plus charmeur : "Hey, tu parles à une rock star, je sais enflammer la piste!" Elle se posta plus loin, regarda à travers Maximilianna comme si elle n'était qu'un courant d'air à traverser. Néanmoins, elle prêta attention à ses conseils. Il est vrai qu'elle n'allait pas se jeter dans la fosse, mais devoir faire demi-tour et afficher sa petite culotte un peu plus. Merlin soit remerciée, si elle ignorait l'existence des sortilèges impliquants l'ajustement des vêtements, elle n'était pas trop mauvaise quant à ceux d'épilation. Comme l'avait si bien dit sa mère il y a quelques années "ne t'inquiète pas Teddy, tu vas apprendre à t'appliquer car personne n'aime les brûlures." Bon, cette fois-ci, elle avouait volontiers qu'il ne valait mieux pas que le sortilège soit enseigné en cours. Entre l'odeur de poil grillé et les couinements des ratés, Aylmer se jetterait probablement par la fenêtre et les élèves aussi.
"Encore un coup, où on lance le coup d'envoi? Et d'ailleurs, tu mets quoi toi? Avec une armoire pareil, ce serait un crime de pas en sortir au moins une."
Maximilianna S. Stein
À SAVOIR
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(#) Sujet: Re: Do your thing on the runaway : Work. Max et Teddy & Kenneth. Mer 27 Sep - 11:48
J’avais su que le sort me serait utile mais je n’avais pas prévu qu’il le serait autant, parce qu’il fallait se l’avouer que ma Pouff de colocataire était du genre à n’avoir droit qu’à un changement de chaussure par année, alors que j’en avait plein mon dressing. Comme quoi quelque fois, vaut mieux chercher dans les livres quand on a une idée précise. Chose qui devait manquer un peu à celle des deux qui n’étaient pas particulière scolaire. Et ce n’était pas moi. Oui, les Linus étaient superbes, et le rouge, de saison en plus, avait quelque chose de très tape à l’œil. Sexy ? Probablement pour un œil vulgaire. J’assurai un sourire amusé. Oh, non! Si je me mettais à les compter, j’aurais envie de les mettre et me balader dans la chambre au lieu de coucher ma tête sur l’oreiller. Après pour savoir quand elle les portait ? Je les mets dès que j’ai pas besoin d’enfiler mes Campi pour les cours. Car il avait bien fallu porter quelque chose de plus sobre pour aller en cours, bien que quelque fois, je m’échappais avec l’une paires de ces merveilles aux pieds dans mes journées les plus morose. Ça me remontait le moral, instantanément! Digne d’une visite au spa, que Poudlard n’avait même pas. C’était un peu outrageant en même temps!
Il ne fallu pas moins que quatre mains pour enfiler la super création et de la manipuler avec soins. Les millions d’interstices risquant toujours de s’accrocher au passage mais aussi sur le rebord de soutien-gorge de Teodora. J’avisai, pour qu’elle soulève la maille à défaut de m’en charge moi-même. Alors qu’elle finissait en jeter un coup d’œil vers le bas de l’échancrure d’où son soutien-gorge noir semblait ressortir de la masse, ces propos me tirèrent un sourire amusé.
Et dire que j’étais justement à songer d’en changer la couleur pour pouvoir en faire un nude, à la place! Je t’avais bien dit que Pavlo était controversé! Ils n’y connaissent absolument rien de juger. Ils distinguerait pas une jupe trapèze d’une à frange, ni le bleu gentiame du cobalt. Alors de savoir ce qui classe et beau, alors qu’ils sont tous à porter du noir comme si on était dans un enterrement à tous les jours, autant dire que c’est plutôt eux que j’enverrai voir un psy. C'est peut-être la seule chose que je reproche à cette robe, c'est d'être noir, pour le reste, elle est tellement délicate!
Je continuai à m’occuper de choisir les pièces avec soin, alors que je sortais quelques bijoux sur ma coiffeuse, dont une série de bague, installé dans des écrins de velours bleu nuit de présentation comme dans une boutique, deux boites de colliers un de diamant orange en chute et une parure d’onyx cerclant le cou. Elle se questionnait sur le prix.
L’important n’est pas le cout, mais l’effet que ça donne. On peut devenir n’importe qui en ayant la bonne tenue. Quelque fois, c’est beaucoup plus une question de projection d’image. On sous-estime ce que peux nous apporter le regard des autres en confiance en soi, on mésestime le pouvoir qu’il a sur nous-même aussi. Quand on passe beaucoup de temps à se préparer, on se sent plus forte parce qu’on aspire à être une version sublimisé qui nous plait de nous-même; et personne ne peut nous enlever ce pouvoir que peut avoir cette persuasion de nous-même.
Je la regardai essayer les Linus, en ayant un geste par en avant alors qu’elle faisait subir une session de torture à celle-ci. Pas que son pied n’allait pas, mais surtout qu’elle, et je n’avais pas remarqué, n’était pas habitué à porter ce genre d’escarpins.
J’ai des vestons qui pourraient probablement bien lui aller, je crois. J’ai des trois pièces dans ma garde-robe, mon préféré est fushia, mais je doute que ça soit tout à fait sa palette. Peut-être le bleu à fleur ? – Je haussai les épaules amusées. – Sinon, j’ai vu des jupes hommes cet été dans la collection de Pavlo; mais j’imagine déjà son regard dès que je vais même lui proposer. Après, je sais me montrer convaincante! – Finit-je avec un sourire du haut de mon port altier.
Je soulevai dans les airs la parure d’onyx avant de procéder par la suite avec les diamants, que je choisi finalement, avant de passer derrière Teodora et l’installé jusqu’au tréfond de son décolleté. La couleur des pierres rappelaient la couleur de sa chevelure, tout en étant brillant et scintillant. Ce n’était pas seulement la seule chose que faisait le bijou enchanté, mais en vrai, la Pouffsoufle n’avait pas besoin de connaître les charmes appliqués sur ce qu’elle portait, vu qu’aucun des bijoux de sa collection ici ne porterait pas préjudice à son porteur. D’ailleurs, celui-ci, ne faisait office de protection, créant une bulle magique si on s’en prenait à son porteur. Kenneth allait pas se mettre à déclencher un duel en plein défilé, alors le problème n’était même pas à prévoir.
Il est magnifique sur toi. – Pensais-je en tournant les doigts dans ces cheveux, pour les remonter à demi et dégagé sa nuque laiteuse. J’agitai les doigts, n’usant de ma baguette pour Accio les épingles à cheveux vu qu’il me fallait les mains libres pour continuer à travailler ses cheveux. Ça devenait de plus en plus naturel pour moi, et surtout c’était vraiment plus pratique que ma baguette.
Oui, si tu veux. Mais pas aujourd’hui. Kenneth doit déjà se demander si on va finir par arriver. Tu lui avais dit qu’on descendait à quelle heure au juste ?
S’en suivirent finalement de glisser les Cahn, qui remontèrent pour lui couvrir presque toute la cuisse dans un bruit de fermeture éclair qui sillonnait du talon presque jusqu’à sa fesse. Je m’assurai, en m’accroupissant de soulever la robe pour qu’elle n’accroche pas l’un des précieux mailles. Il fallait qu’elle sache comment bouger, un minimum pour s’assurer de magnifier la création.
C’est pas tout à fait la même chose, Schatzchen. Je te regarde, montre-moi.
L’exercice se passa quand même bien; elle avait quelque point à améliorer selon ma perception, mais Teodora ne ferait jamais carrière comme mannequin dans les prochaines minutes; et ce n’était pas plus grave. Si ça la motivait à reporter cette robe à un autre moment de sa vie, c’était déjà cela qui était important. J’étais un peu désemparé par son manque d’option. Après, il y avait assurément des manières différentes de styler le tout que nous n’avions pas essayé; ne laisserait qu’au Pouffsoufle de réinventé le vêtement à la prochaine occasion, en insérant une robe dessous pour lui ajouter une touche de couleur, peut-être un boléro ou une veste.
Moi ? – fis-je avec un sourire aguicheur avant de ranger les superbes bottillons Linus rouge manuellement. – J’en sorti une paire d’escarpin noir, fin et délicat, avant de sonder ma garde-robe pour quelque chose qui pourrait bien s’agencer à la tenue de Teodora. – Pour rester un peu dans l’effet de toile d’araignée et des mailles, j’ai celle-ci. – Et rapidement elle passa en revue les tenues qui tournait jusqu’à prendre la robe nude constellé de toile noire, avec une petite traine. Si Teodora trouvait que la sienne avait un décolleté plongeant, la mienne descendait presqu’à la naissance de mon nombril. Je la suspendis devant le miroir pour qu’elle l’observe alors que je retirai mes bijoux pour sortir une paire de boucle goute en diamant blanc, puis jetant un regard au miroir devant moi, j’arrivai à me convaincre que mes cheveux en tresses conviendrait parfaitement tant au niveau de la longueur que à l’aspect globale. Je commençai à me changer avec une certaine rapidité de la personne qui sait exactement ce qu’elle fait et qui s’attend à des résultats. Je retirai la robe de son cintre molletonné rose alors que j’étais en dessous en dentelle aérienne nude. – Regarde ailleurs, un instant, s’il te plait. - Arrivé au buste, de dos à Teodora, je retirai totalement le soutien-gorge n’en ayant nullement besoin avec cette création. Filai demander un coup de main pour les quelques boutons de derrière que je n’arrivai pas à atteindre, avant d’insérer mes pieds parfaits en manucure française dans mes Linus noir brillant. La paire de boucle d’oreille rejoint mes oreilles, alors que je songeai à savoir si je rafraichissait mon maquillage, mais il était plutôt délicat et j’en convins qu’un peu de gloss et je serais prête.
Prête !
Je passai derrière les cheveux de Teodora pour un dernier petit coup de pouce et nous étions prête à rejoindre celui qui n’était probablement pas prêt à un tel show pour un dimanche d’automne tout bête au calendrier. Jamais rien n'était moche quand c'était moi qui pouvait en décider.
DETAILS EN PLUS Et plus en détails ? Statut Sanguin: Sang-Mêlé Pouvoirs spéciaux: Aucun Poste de Quidditch: Attrapeur Patronus: Un paon Epouvantard: Sa mère en tant que directrice Matières suivies et niveau: Points Défis: (2000/2000) Disponible pour un RP ?: Si t'es pas pressé, c'est d'accord ! D'autres comptes ?: Agatha & Murphy
(#) Sujet: Re: Do your thing on the runaway : Work. Max et Teddy & Kenneth. Dim 22 Oct - 14:24
Do your thing
Kenny en pleine fashion week
Je dois avouer que j’étais un peu sceptique à propos de cette idée de défilé, au début. La mode, c’est pas mon truc : je rechigne à chaque fois que ma mère insiste pour me faire porter ces stupides smokings en velours qui gratte dès que nous sortons quelque part, leur préférant nettement mes sweat-shirts à l’effigie des Chicago Bulls. Les seuls magazines que je consulte ne sont pas franchement des références en la matière - la plupart privilégient même l’absence de tissus - et je me fous la plupart du temps de savoir avec quoi ira mon jean déjà usé. Aussi, quand Teddy, ma rouquine préférée, a évoqué cette histoire de haute-couture, j’ai ri de bon coeur ! Autant dire que je me rends là-bas sans savoir à quoi je dois m’attendre, ni même si c’est vraiment du sérieux. Apparemment, c’est Maximilianna qui l’a embarqué dans cette histoire. Une fille plutôt mignonne, mais qui débarque clairement d’un autre monde que le notre… Sa famille a l’air ultra friquée, et à chaque fois que je l’ai entendue ouvrir la bouche, c’était pour parler des bijoux qu’elle portait. Ironiquement, je pense qu’elle plairait bien à ma mère… ce qui est bien loin de m’emballer. En attendant, je me laisse tomber sur un fauteuil de style victorien près du feu qui crépite, et envoie quelques vannes par courrier à August pour passer le temps, profitant du fait que la salle commune soit encore un peu déserte.
Mais en les voyant descendre les marches, je ne suis pas certain de croire ce que je vois : Teddy et Max sont dans leur plus simple appareil, à peine recouvertes d’un voile de tissu qui laisse aisément deviner leurs formes apparentes. Ma bouche s’entrouvre, prenant la forme d’un "o" bien rond… J’imagine qu’il aurait été plus correct de ne pas les détailler, mais le gamin prépubère que j’étais il y a peu, sur le terrain de Cricklewood Square, ne m’aurait jamais pardonné de laisser échapper une telle opportunité de mater deux filles aux trois quarts dénudées. Si Lee, Nico et les autres avaient été à ma place, ces gros obsédés auraient perdu tous leurs moyens, c’est certains ! « Oh… woah ! » Je dois avouer qu’à part sur les pages spécialement réservées à Sabrina la sirène coquine, j’ai rarement vu autant de peau dénudée sur une fille. Incapable de détacher mes yeux de leurs poitrines apparentes à travers les mailles qui les recouvrent, je me demande bien dans quel genre de réalité je suis tombé… Finalement, je retire ce que j’ai dit : moi aussi, je suis un fan invétéré de mode. Quand elles ont achevé leur descente et arrivent à mon niveau, je les arrête d’un geste, laissant échapper un ricanement nerveux. « Euh ok les filles, je vous arrête de suite, j’adore l’idée du strip-tease, mais mon anniversaire c’est en Juin. » L’humour est toujours la dernière branche à laquelle je me raccroche quand je perds mes moyens… Alors autant dire que tant qu’elles continueront de me faire face à moitié nues, mes vannes même les plus minables seront intarissables. « Après on peut prendre de l’avance sur celui de l’an prochain, j’ai rien contre ! » Je suis à nouveau tenté de baisser les yeux en direction de leur décolleté anormalement plongeant et me retiens, me forçant à rester concentré sur leurs visages. C’est à ce moment-là que je remarque que Teddy est franchement méconnaissable… Mais pas simplement à cause des vêtements qu’elle porte. Tous ces bijoux, ce maquillage… J’ai l’impression d’avoir affaire à quelqu’un d’autre, et cette idée me met un peu mal à l’aise. D’accord, elle est sexy, comme ça, mais… où est passée mon amie, celle aux cheveux emmêlés avec laquelle je me marre à chaque intercours, et qui est capable de gober une part de pastèque sans même en ôter la peau, la bouche dégoulinant de jus ? C’est la fille la plus entière, la plus naturelle et la plus authentique que je connais, et pourtant je me demande à quel point elle cherchait à ressembler à Maximilianna en voulant jouer ce jeu-là. Je chasse finalement ces interrogations et en revient au programme de la soirée. « Il se passe quoi du coup après le défilé, vous dansez ou un truc du genre… ? » Je n’y connais pas grand chose, mais si elles se la jouent comme ces filles dans les clips de rap, ça devient franchement intéressant, cette histoire. Si elles se mettent à se déhancher autour de mon fauteuil, cette fois, j’en aurais la certitude : nous aurons définitivement quitté la réalité pour rejouer un de mes fantasmes.
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(#) Sujet: Re: Do your thing on the runaway : Work. Max et Teddy & Kenneth. Ven 27 Oct - 10:03
Teddy ne savait jamais comment se comporter avec sa colloc. On ne pouvait pas dire que Maximilianna n'était pas sympa et accueillante, elle était toujours prête à aider ou à étaler sa science, selon comment voyait les choses... Mais la jeune fille n'aurait pas su dire si Maxi l'appréciait vraiment, où la considérait comme un mal nécessaire à leur dortoir. En tout cas, elles n'étaient probablement pas suffisamment amie pour que Maxi évite de la faire se sentir stupide. Bon, la poufsouffle était tout a fait consciente d'être stupide. Mais était-ce bien nécessaire d'appuyer sur ce trait de caractère. Comme si ouvrir un bouquin l'aurait rendue moins mauvaise avec sa baguette.
Elle décida de ne pas relever autrement que par un petit signe de tête. Teddy se demandait à chaque instant un peu plus si elle allait regretter cette idée à la con. Maxi n prit sa blague un peu trop au pied de la lettres, mais peut-être était-ce parce que son allemand était moins naturel que le sien? Qui préfèrait marcher avec des écrase orteil pareil plutôt que de dormir si ce n'était sa camarade...
"Boh, je pensais pas vraiment lui demander son avis t'sais. On le désape, on le resape, emballé c'est pesé!" dit-elle en riant...Vu la tenue qu'elle allait elle-même porter, elle ne se gènera pas pour prendre les initiatives, hors de question qu'il se rince l'oeil et joue les timides. Enfin, elle savait aussi qu'au final, on ferait surtout comme Maxi en déciderait. Chacune des remarques qu'elle faisait était suivie d'une longue tirade.
Elle lâcha l'affaire, laissant la richissime Maximilianna Stein se lancer dans des explications lunaires. Si faire des compliments à sa camarade revenait à se faire descendre l'air de rien, autant la fermer. L'important c'est pas le coût, probablement, quand tu dégueules des diamants dès que tu ouvres la bouche. Elle voulait bien admettre qu'elle était plus sûre d'elle quand elles s'était préparée, mais ça signifiait généralement avoir choisi des vêtements normaux et dompté sa crinière. Pas...ça. Est-ce qu'il fallait être à moitié nue pour être classe? ça lui paraissait tellement étrange.
Comment ça être une rockstar c'était pas la même chose? OUi peut être finalement, c'était carrément autre chose, il fallait posséder la scène, se connecter à la foule et l'embraser. Pas se contenter d'être un cintre. Et elle allait lui montrer. Maximilianna devrait bien admettre qu'elle savait au moins faire ça. En tout cas se fut suffisant pour qu'elle se passe de commentaire.
Teddy se tourna docilement alors que sa camarade s'habillait à son tour. Elle trouvait ça cocasse, dans la mesure où Maxi lui avait filé un vêtement plus que transparent... D'ailleurs quand sa camarade eu finit, Teddy estima que vu le peu de tissus qu'elle portait elle aussi, c'était pas nécessaire d'en faire tout un flan. Un dernier coup dans ses cheveux, visiblement, la jeune fille était un chantier permanent, et elles se mirent en route.
Il n'est plus temps de faire demi-tour... ALors quand il faut y aller, on y va! Teddy et Maximilianna descendent côte à côte les escaliers qui mènent du dortoir à la salle commune. La jeune fille fait semblant d'être à l'aise du mieux qu'elle peut, après tout, c'est comme ça qu'on gère le trac. Et sans faiblir, elle arrive en bas.
La tête médusée de Kenneth vaut quand même la peine. Elle lui lance un regard lour de sens : Ouais t'inquiètes gars, moi non plus je m'attendais pas à ça. Mais maintenant qu'on est là... Alors qu'il essaie de trouver un truc intelligent à dire - spoiler alert : ça n'arrive pas, mais c’est pour ça qu’elle apprécie Kenneth - elle s'assoit sur l'accoudoir du siège à côté de lui. En temps normal, elle ne se serait pas encombrée d’un accoudoir inconfortable et se serait tassée avec lui sur le fauteuil, mais pour aujourd’hui, l’absence de couches de vêtements significatives l’arrêta tout de même un peu. « Ça porte malchance de fêter son anniv ‘en avance, faudrait pas qu’il t’arrive quelque chose. J’ai mis trop de temps à l’enfiler pour le retirer. Et concrètement, ce serait plus fun de rajouter des trucs que d’en enlever à ce niveau.» dit-elle en riant à son tour, pour se défaire de cet embarras.
Quant à ce qu’il passerait après le défilé… C’était mort, elle avait 0% l’intention de danser, elle avait déjà fait le max non ? Par contre… Il était peut-être temps de passer au plan B : « Mmmh c’était pas vraiment le plan non, on avait autre chose en tête. » dit-elle en jetant un regard complice à Maximilianna. « Wie machen wir das? Bringst du uns SEIN Outfit des Jahrhunderts?“
Est-ce que son altesse Stein veut se lancer dans les négos ou est-ce qu'elle va opter pour la méthode plus autoritaire... La jeune fille est curieuse de voir!
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(#) Sujet: Re: Do your thing on the runaway : Work. Max et Teddy & Kenneth. Lun 13 Nov - 11:04
Elle venait vraiment de dire qu’elles allaient désaper toutes les deux Kenneth Appleton ? En pleine salle commune ? Il ne pouvait naturellement pas venir dans leur dortoir et aller dans le sien pour lui assurer un minimum d’intimité n’avait encore rien de mieux pour l’adepte de Sabrina la sirène. Je continuai à songer la question avant de me dire que dans tous les cas, il y aurai matière à penser selon sa réaction initiale. Dernière touche à la tenue, avant de se diriger vers les quelques volées d’escalier menant à la salle commune de Poufsouffle. Nous étions comme deux joyaux, dans un décor qui n’avait absolument rien de renversant. Les murs de lambris brun clair, les coussins jaunes et noirs et les pots de confiseries sur un buffet manquait d’une classe qui était de mon univers. Côte à côte, je passai une paume sur la main courante de manière aérienne comme on m’avait toujours montré que je devais le faire, le buste haut, les épaules dégagées, regardant avec connivence Teodora avant de porter mon regard vers plus bas ou Kenneth attendait. Je laissai tout le loisir à la rousse de répondre à son ami pendant que moi je savourai sans mot le regard qui était porter sur moi, en levant les yeux, un sourire en coin sur les lèvres, avant de le reposer sur elle alors qu’elle s’adressait à elle dans une langue dont, à sa connaissance, Ken, ne connaissait pas.
Tu viens avec moi. - J’avais simplement comblé le vide de distance, assez pour retirer sa cravate de maison de son pull, avant de la lisser sur lui en balançant la tête sur le côté. C’était largement pas une question, mais plutôt une proposition plutôt ambiguë. Mais comme il se faisait des shows de danse dans sa tête, il était à parier qu’il n’allait pas s’opposer trop, non ? - Such dir aus meinem Kleiderschrank aus, was du willst, ich lenke ihn ab, bis du da bist, Schatz. La suite, ça peut pas se faire ici. Elle viendra nous rejoindre, elle a une petite course avant. Ton colocataire sera pas trop choqué si on va dans ta chambre ? Je suis assez certaine que tu veux que ça reste privé. J'en tirai un regard de côté à la rousse, de connivence, ignorant à demi ces intentions parce que dans ma garde-robe, les options étaient minime quoiqu'abondante en considérant son propre demi tiroir rempli. Haut, bas, robe, jupe, pantalon, ensemble, chaussure de tous genres. Il n'y avait que la boite à bijou qu'elle ne pourrait pas ouvrir dû à son mécanisme qui requérait une empreinte magique. Mais pour le reste, c'était un vrai carnaval de couleur et de variété qui s'ouvrait à elle. J'en priais presque qu'elle sache trouver quelques choses qui lui plairait rapidement, ne sachant trop combien de temps, j'arriverai à maintenir l'intérêt d'Appleton sans devoir jouer au petit jeu qui semblait hanter mes sombres idées et lui ces rêves.
Je sais pas ce qui était le pire dans ce plan; qu’il serait amèrement déçu ou celui ou c’était moi qui menait la barque sur insistance de Teodora. J’en affichai qu’un plus grand sourire, complètement à l’aise dans mon travail de relookeuse professionnel. Pour ce qui était de retirer ma robe, c’était autant non qu’elle, mais ça il ne le savait pas. – Allez viens, ça va être amusant. J'avais passé une main dans son dos pour lui intimé la direction, restait plus que monter cet escalier.
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(#) Sujet: Re: Do your thing on the runaway : Work. Max et Teddy & Kenneth. Sam 9 Déc - 14:24
Do your thing
Kenny en pleine fashion week
D ’ordinaire, les nouvelles expériences ne m’effraient pas, mais je dois bien reconnaître que faire face à mes deux camarades de maison en petite tenue est plutôt inédit. D’autant plus que l’une d’elle est une amie proche, et que je ne la reconnais pas franchement dans ce genre de délire, elle qui se prend si rarement au sérieux… C’est normal qu’on voie sa culotte, d’ailleurs… ? Non pas que ça me dérange, mais disons que je suis pas vraiment habitué à la voir parader dans son plus simple appareil, et que seul un voile de tissu presque transparent semble la recouvrir. Maximilianna, elle, semble presque à son aise alors que la couleur chair de sa robe laisse à croire que sa peau est comme nue, parsemée de drôles de toiles d’araignée. Pour moi qui n’y connais pas grand chose à la mode, je ne sais pas trop ce qu’elles attendent exactement de moi… Et voilà que maintenant, elles se mettent à communiquer dans un dialecte étranger, sûrement pour me maintenir à l’écart de leurs petites combines. Je tape du pied, m’impatientant, avec un regard réprobateur en direction de Teddy… « Roh, allez, tu sais très bien que j’comprends que dalle à l’allemand. » bougonné-je tandis qu’elles échangent des phrases incompréhensibles avec un accent à couper au couteau. « Vous magouillez ou quoi ? » Il y a certainement anguille sous roche… Et tout à coup, Maximilianna m’intime de venir avec elle, sans pour autant me détailler ce qu’elle attend de moi. Je rêve, ou elle est en train de retirer ma cravate… ? Je pensais pas qu’on avait ce niveau de proximité elle et moi ! « Euuuuh, ok ! » lui réponds-je, quelque peu hésitant. On ne se connait pas si bien que ça, elle et moi, c’est peut-être un peu rapide pour se retrouver seuls dans une pièce… Discrètement, je me retourne dans la direction de Teddy, et lui chuchote, par dessus mon épaule, en espérant qu’elle saurait m’éclairer : « C’est quoi ce plan… ? ». Je ne manque pas de volonté pour les suivre là où elles le veulent, mais quitte à le faire j’aimerais bien savoir à quelle sauce je vais être manger. Est-ce qu’elles comptent me faire porter des hauts en résille et des pantalons de cuir ? Ou est-ce juste un prétexte pour admirer mon corps pourtant pas si athlétique pendant que je me déshabille… ? Ce sont beaucoup de questions auxquelles je n’ai pas encore de réponses. De toute façon, ce n’est pas comme si je me souciais vraiment de mon image, autrement cela ferait le bonheur de mes parents…
Sauf qu’il y a un problème technique qui se pose, alors que mes camarades de Poufsouffle ont prévu de me faire monter dans leur chambre. Les pièces de leur étage, mystérieuses, m’ont toujours fasciné justement parce que je ne sais pas à quoi peuvent bien ressembler les repaires secrets des filles, et qu’il est temps d’aller mettre la lumière sur certaines vérités : est-ce qu’elles s’échangent les derniers potins en lingerie fine sur leurs lits à baldaquins ? Est-ce qu’elles préparent des rituels runiques bizarres la veille de la Saint-Valentin pour mettre leurs rivales hors de course ? Est-ce qu’elles aussi, elles lisent des magazines porno ? La direction a hélas déposé un obstacle sur ma quête de vérité. « Je voudrais bien, mais les escaliers laissent pas les mecs rentrer dans les dortoirs des filles. C’est pas faute d’avoir essayé. » lâché-je en haussant les épaules. Je me suis bien fait avoir en seconde année quand on avait essayé de monter discrètement à l’étage avec mon camarade de chambre en espérant croiser Juliet Simmons revenir de la douche en serviette, mais les marches s’étaient soudainement métamorphosées en toboggan, nous faisant glisser à toute vitesse jusqu’à la salle commune… Alors disons que si elles ont préparé la suite de leur show dans leurs quartiers personnels, ça risque d’être un peu compliqué. Mais puisqu’elles ont l’air de s’être donné du mal toutes les deux, c’est à moi d’être force de proposition : je m’éclaircis donc la gorge, avant de tourner mon index dans la direction opposée. « Mais vous, peut-être que vous pouvez monter dans ma chambre… ». Bon disons, que ce n’est pas ça que j’avais précisément en tête quand je songeais à "ramener des meufs dans ma piaule", mais je m’en contenterais bien. De toute façon, quand je squattais son Coven, j’ai passé ce niveau de proximité avec Teddy depuis un certain temps… Et puis, je ne sais pas vraiment ce qu’elles ont derrière la tête, toutes les deux, mais j’aime bien les surprises, alors je suis partant pour jouer le jeu.
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(#) Sujet: Re: Do your thing on the runaway : Work. Max et Teddy & Kenneth. Sam 30 Déc - 7:55
Pas mécontente d’avoir une occasion de s’éclipser quelques instants dans sa tenue de princesse bien trop transparente, Teddy ne se fait pas dire deux fois qu’elle peut prendre ce qu’elle veut dans l’armoire. Elle risque de se perdre dedans, mais elle mènera à bien la mission. Avant cela, elle tapote avec amusement l’épaule de Kenneth : « Ben oui je sais bien, c’est tout l’intérêt. Un grand garçon comme toi, me dit pas que t’as peur Schatzy ! ». Comme s’il pouvait se passer autre chose qu’une séance d’essayages en bon et dûe forme ? Il ne s’imagine pas qu’il va se rincer l’œil…à l’œil justement. Il faut savoir donner de sa personne !
La poufsouffle remonte rapidement dans le dortoir alors que Maximilianna règle les derniers détails avec leur camarade. De toute façon, elles ne peuvent qu’aller dans sa chambre. Pourvu qu’il ait ramassé ses chaussettes puantes, ses vieux calbutes et planqué Sabrina quelque part hors de vue, personne n’a besoin de voir ça.
La jeune fille fouille avec soin les portants. Bien sûr, en premier lieu, elle a pensé à un truc un peu ridicule, plein de fanfreluches et de couleurs criardes. Mais c’est un peu trop facile. Ce serait amusant, mais pourquoi aurait-il l’air d’un clown quand elle avait dû revêtir une tenue de top-modèle ascendant tapineuse au premier degré ? Elle allait lui trouver quelque chose qui serait tout aussi vulgairement classe selon ce qui visiblement se faisait dans la haute société des fashionistas. L’avantage c’est que Kenneth était à peu près aussi épais qu’une baguette et qu’il n’aurait aucun mal à faire passer ses cuissettes de grenouille dans les vêtements de Maximilianna. Enfin… bien entendu Max dirait que ce n’est jamais un problème, puisqu’elle sait tout ajus ter avec une baguette.
Teddy pousse un petit cri de satisfaction en trouvant un bustier vinyle et mesh de Sariusai, avec un grand décolleté et une taille marqué… Avec le pantalon en dentelle qu’elle a croisé quelques cintres auparavant, ça pourrait faire un look intéressant. Quelques tatouages et piercings en plus et la jeune fille est prête à parier que les vieux Appleton renverrait leur fiston droit vers le purgatoire des âmes perdues dans la drogue. Mais bon, si elle savait tatouer et faire des piercings, elle en serait sûrement déjà recouverte. Elle avisa une paire de bottines à plateforme le plus simple possible, se demandant si même avec les chaussures sa camarade pouvait faire des miracles. Son butin sur le bras, ne perdant pas le nord, elle attrapa pour elle-même une sorte de Kimono dans lequel elle s’enveloppa le mieux possible, estimant qu’elle avait suffisamment montré son cul à tout le monde pour aujourd’hui. Elle s’apprêtait à sortir quand elle pensa à la trousse à maquillage de Max. C’était sûrement sa trousse de voyage, mais il y aurait bien de quoi mettre un peu de mascara ou autre au fils du ministre.
Chargée comme un mulet, elle gravit les marches du dortoir du cinquième année sans vraiment s’inquiéter des regards de leur camarade. OSEF pourrait être son premier tatouage. « Messieurs dames, livraison de la collection capsule Stein x Von Misère, pour vous servir. » dit-elle en déposant délicatement les vêtements qui devaient coûter un rein sur une chaise. «Je te laisse entre les mains de Max… t’inquiètes, c’est pas douloureux, tout au plus un peu frisquet ! » ajouta-t-elle malicieusement. Pas de pyjama en pilou pilou ou de vestes bien moelleuse. Que des courants d’air.
inspi:
Maximilianna S. Stein
À SAVOIR
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(#) Sujet: Re: Do your thing on the runaway : Work. Max et Teddy & Kenneth. Mer 3 Jan - 1:52
Si tu veux, je t’apprend. Conclut-je rapidement en lisant la cravate sur son torse hors de son débardeur. J’ignore pourquoi, mais alors qu’il s’éloigne pour valider ce que nous sommes en train de magouiller, j’en retire qu’un plus grand sourire. Ce qui m’étonne c’est que depuis qu’il est ami avec Teodora-chérie, qu’elle n’ait jamais songé à lui glisser quelques mots utiles à son vocabulaire de fils de Ministre; de ceux qu’il est impératif de ne pas dire autour d’une table de dignitaire, mais qui dit dans une autre langue passe comme étaler du beurre sur une tartine. J’adorais apprendre les langues étrangères, c’était hautement complexe et parfaitement satisfaisant. Je haussai les épaules, faussement modeste et angélique en regardant l’allemande, alors que je savais que c’était justement parce qu’il nous comprenait nullement que nous avions un ascendant sur lui à cet instant précis. C’était comme lui donné la clé pour qu’il ne l’ait plus jamais; à condition qu’il ait vraiment de l’intérêt pour la question, mais à sa tête; je n’avais nullement l’impression que ce fût le cas. C’était plus de la nature de la plainte agacé que dans l’intérêt d’y remédié.
Je regardai Teodora s’enfuir comme une jeune fille surexcitée d’avoir champ libre dans la penderie de sa mère. Ma collection changeait à chaque année, évoluant après Noel après avoir échangé les pièces que j’en avait sorti pour rejoindre les placards du domicile familiale ou ancestral selon mes besoins futurs. Si certaines avaient déjà été dévoilé par le passé, la majorité restait une marrée de nouveauté pour ma colocataire. – Je te suis, Kenneth. Wingardium Leviosa. – J’agite ma main dans un geste gracieux de ma bague soulignant la traine de ma robe qui se soulève doucement du sol, prêt à se dégager pour me laisser avancer dans les marches à sa suite sans risquer de l’abîmer d’un faux pas. Le mouvement se contrôle de ma main libre et de l’autre je tend ma seconde main vers la main courante à moins bien évidement qu’il ait la courtoisie de vouloir m’aider à monter les marches comme un gentleman; mais ça serait peut-être trop lui demander, qu’en sait-on.
J’avisai de prendre l’autre côté dont la familiarité m’allait alors que je m’aventurais en robe de soirée dans la section des garçons, en suivant un garçon. C’est Norine qui serait enchanté de savoir qu’on me dévergondait un peu, et Rozé qui s’inquiéterait, si pareille chose se savait. Qu’avait-je donc ces temps-ci à toujours terminer dans des lieux insolites avec l’un ou l’autre d’entre eux ? Bon, je n’avais en théorie aucune intention de laisser celui-ci prendre l’ascendant sur moi, à moins de devoir gagner du temps. Je le laissai prendre un peu de distance pour cacher ce qu’il y aurait à cacher en quelques temps, avant d’entrer dans l’antre, chercher du regard la pièce pour quelques choses pour signifier l’endroit à Teodora. Rien ne me vint instantanément aux yeux. Je m’en résolu finalement à dénouer le ruban qui tenait mes cheveux avant d’en faire une jolie boucle noire autour de la poignée et de tirer la porte dans mon dos pour la refermer derrière moi.
Nerveux ?
Finalement, je préfèrerais ne pas trop inspecter la pièce du regard; focussant plutôt sur lui. J’ignorais pourquoi, mais j’étais un peu mal à l’aise de laisser couler mon regard partout en sachant pertinemment que nous ne nous connaissions pas très bien l’un et l’autre. Et puis, à lui demander s’il était nerveux, c’était comme lui confirmer qu’il devrait peut-être l’être, alors que dans ma tête ce n’en avait nul besoin. Peut-être était-ce moi qui l’était un peu. Je relevai la tête, comme à chaque fois que j’avais besoin de me faire une sorte de carapace mondaine, avant de m’avancer avec une aisance renouvelée dans la pièce. Quand finalement j’arrivai à sa hauteur, je me tint bien droit devant lui, l’air plus calme, mon regard cherchant son consentement.
Tu permets ?
Je passai les mains au-devant s'assurant qu'il verrait bien ce qu'elle ferait et ou il pourrait les arrêter à tout moment, desserrant lentement le nœud de sa cravate avec l’aisance d’une personne qui savait où tirer et probablement aussi comment la refaire. Je n’était guère impressionné par le nœud, appréciant largement plus un Eldrigde qu’un rapide demi-Windsor. Je glissai un regard vers lui avant de finalement le plus soustraire, en relevant le col, pour qu’il puisse le remettre sans pour autant devoir le défaire. Et c’est à cet étape que Teodora arriva les bras bien chargés; avait-elle-même vu l’indication pour la porte ou savait-elle exactement ou se rendre? Peu importe. Était-ce moi ou enlever une cravate dans une chambre donnait à cet action beaucoup trop d'impact alors que ce n'était qu'une bande de soie et coton dans sa franche réalité.
Was hast du genommen ?
Pendant que je tendais la cravate à Kenneth pour qu’il la place ou il voudrait bien. J’ajoutai malicieusement avant de tourner la tête vers Teodora d’un rapide coup d’œil.
Tu dis cela comme si c’était à moi d’enlever un à un ces vêtements, jusqu’à ce qu’il ne soit plus qu’en caleçon.
J’en reviens du regard vers lui; pour le mettre en contexte. Parce que collection capsule, ne veut probablement rien dire pour le néophyte masculin dans la pièce, et que le minimum serait quand même de lui expliquer plus en détail ce qui se passe.
On s’est dit que tu avais droit aussi à un essayage. Cela étant, j’ignore ce qu’elle a pris dans mon placard. Mais je ne doute pas qu’on puisse te faire un look digne d’un runaway. Je te laisse retirer pull, chemise, pantalon et bas.
Et c'était pas une question, mais une instruction maintenant. Voyons, pour enfiler mes précieux vêtements, je pouvais aider et ajuster la taille; mais pour les siens, il n'aurait pas besoin de plus d'aide, si ?
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(#) Sujet: Re: Do your thing on the runaway : Work. Max et Teddy & Kenneth. Dim 7 Jan - 12:55
Do your thing
Kenny en pleine fashion week
J’aurais du me douter qu’accepter de participer à ce défilé était un plan foireux : non seulement mes deux interlocutrices se la jouent Lady Gaga en cure de désintox, mais en plus elles comptent m’embarquer dans leurs petites combines. Je ne parviens même pas à comprendre un mot de ce qu’elles fomentent ! Circonspect, je me retiens de faire une vanne, arguant que la dernière fois qu’on a laissé des allemands conspirer, ça a terminé par une guerre mondiale… Je ne pense pas que Teddy et sa drôle d’amie aillent aussi loin, mais au vu de leur accoutrement atypique et des regards en coin qu’elles me jettent, je suis certain qu’elles préparent quelque chose. « Quoi, l’allemand ? J’ai rien retenu de mon apprentissage des runes alors à ta place je laisserais tomber de suite. » lâché-je un rictus aux lèvres, m’étirant le bras jusqu’à faire craquer mes articulations. Cette fille, Max… je ne la connais pas tant que ça, mais je devine que j’ai affaire à un sacré numéro : contrairement à Teddy, elle est parfaitement à l’aise avec ses atours, et elle semble si guindée et maniérée qu’il est plutôt cocasse que ces deux-là soient amies, quand on connaît notre rouquine nationale. Pour autant, je ne m’arrête pas à une mauvaise impression la concernant, je suis plutôt curieux face à ce personnage excentrique dont les connaissances en modes dépassent de loin les nôtres. Je m’en remets même à ses doigts de fée, acceptant de me prêter à leur drôle de jeu… Est-ce qu’elles croient m’effrayer, avec leurs robes presque transparentes et leurs bas résilles ? J’ai déjà perdu un pari y a deux ans consistant à traverser la salle commune nu comme un ver, seulement vêtu d’un string léopard destiné à camoufler mes parties génitales auprès des plus jeunes. Ma crédibilité a déjà été bien émoussée depuis le temps, alors pour ce que j’en ai à faire… « Non, à part si vous comptez m’emmener à un concert de métal gothique ou dans un club de strip-tease. » réponds-je en haussant les épaules, avant de jeter un regard interrogateur en direction de Teddy. « … on va pas vraiment dans un club de strip-tease, hmm ? » répété-je, comme pour m’assurer que ce ne soit pas le cas. Disons que le moment est mal choisi, mais on pourrait bien y croire… Étant dans l’incapacité de rejoindre les dortoirs des filles, je leur propose de poursuivre les essayages dans mes quartiers, et elles acceptent.
Sans crier gare, Teddy s’empresse de remonter les escaliers, me laissant là avec la fameuse Max, qui semble avoir la situation bien en main. Apparemment, elles ont des projets pour moi, et j’ai bien envie de voir jusqu’où elles peuvent aller, alors je m’en remets à elles… « Teddy dit que tu sais ce que tu fais, alors je crois pas… je devrais ? » demandé-je en montant les escaliers, mi-amusé, mi-appréhensif. Arrivé sur le palier, je réfléchis au désordre qui règne dans ma chambre et qui rendrait ma mère livide. Par sécurité, je me tourne vers ma camarade : « Attends deux secondes. » lancé-je avant de lui barrer le chemin menant à mon dortoir d’un geste de la main. Je glisse ma baguette dans l’interstice de la porte, marmonnant de rapides incantations tout en effectuant quelques mouvements circulaires… Puis, dès que j’estime que les lieux peuvent être ouverts au public, je tire la poignée à moi, lui faisant signe de me suivre : « C’est bon, tu peux rentrer. » Disons qu’un peu de ménage était nécessaire, au vu de la quantité astronomique de linge qui traînait sur la chaise de mon bureau, de mes affaires de Quidditch pendouillant sur mon lit à baldaquins, des magasines qui traînent dessous, mieux valait passer un coup furtif de Recurvite. Évidemment, les sortilèges ne font pas de miracle : mes bouquins jonchent toujours sur le plancher, mon astrolabe est à moitié renversé dans un coin de la pièce… Tant pis, j’espère qu’elle ne s’en formalisera pas. De toute façon, son attention semble déjà focalisée sur le col de ma chemise. Quelle n’est pas ma surprise lorsqu’elle commence à me dévêtir… « Euuuuh, d’accord. Dis donc, c’est du rapide entre nous ! » fis-je remarquer pour désamorcer cet instant de gêne qui se crée lorsqu’elle entreprend de me dénouer ma cravate. Ce n’est pas désagréable, disons seulement que je ne suis pas habitué à ce qu’une fille prenne ce genre d’initiative… Mais pourquoi pas. Peut-être qu’en fait, c’est moi qui n’ai pas bien compris les sous-entendus sexuels qu’il y avait derrière cette proposition de défilé et qu’en fait elle songeait à un plan à trois ! Ça expliquerait pourquoi elles se sont mises à parler allemand, tout à l’heure. Par sécurité, je me demande si j’ai toujours bien ce préservatif dans ma bourse en cuir de dragon, j’étais certain qu’il finirait par se montrer utile un jour.
Je ne suis peut-être pas sur la mauvaise piste, puisque Teddy arrive avec un cintre et un attirail digne d’un film X des années 90… Décidément, elles ont des fantasmes plutôt particuliers. Je tends un bras en direction de sa trouvaille, cherchant à sonder l’expression de son visage pour essayer de comprendre les attentes de ces demoiselles me concernant… « T’es une grande malade, Teodora Von Misère. Mais tu vas voir, je suis l’homme de la situation. » Mais soit, même si j’ai des doutes sur la pureté de leurs intentions, je suis toujours partant pour relever le défi, ne serait-ce que pour enfin comprendre ce qu’elles ont derrière la tête. Cependant, lorsqu’elles m’apprennent que je vais devoir me déshabiller devant elle, je suis étrangement moins à mon aise… J’en plaisante sur un ton badin, en ôtant ma robe de sorcier : « Si vous vouliez vous rincer l’oeil, vous aviez qu’à le dire tout de suite au lieu de me déguiser en chippendale, les filles. ». Teddy a bien du me voir torse-nu une demi-douzaine de fois, mais ce n’est pas pareil que de déboutonner ma chemise devant une assistance qui a les yeux rivés sur soi.
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(#) Sujet: Re: Do your thing on the runaway : Work. Max et Teddy & Kenneth. Ven 12 Jan - 9:21
Teddy ne regrette vraiment pas d’avoir proposé ce défilé ridicule à Kenneth, ok, c’était un peu trop too much pour elle, mais quand même, le poufsouffle était à mourir de rire et rien que pour ça, ça valait quand même un peu le coup de se peler le cul en public.
« Non, à part si vous comptez m’emmener à un concert de métal gothique ou dans un club de strip-tease. » Teddy sourit à son camarade, une moue moqueuse sur le visage « Tu serais nerveux à un concert ? Mec tu t’applatis un peu les cheveux, un coup d’eyeliner et ta meilleur tenue noire et BAM, top mec de la soirée. Faut juste que tu parles un peu moins, pour le côté mystérieux et torturé. » Franchement, avec son air de brindille frêle, Appleton pouvait tout à fait passer pour un fan de métal gothique. Par contre pour ce qui était des clubs de strip-tease… « Ah non, pour ça je m’en remets à ton expertise, je pratique pas » s’amusa-t-elle. C’était presque vrai, dans la mesure où elle venait de défiler à moitié nue, et qu’elle ne s’était pas vraiment rhabillée devant Adrian, mais ça, ça restait entre-elle et lui. t parfaitement convenir à un look dark and twisted. Il ne manquerait qu’un peu de vodka cheap et de musique déprimante, un petit joint en regardant le plafond et…et on perdrait probablement Max dans l’intervalle, ce qui était dommage, puisque c’était elle qui fournissait à peu près tout pour cette après-midi qui s’annonçait mémorable et surprenante. Maquillage et vêtements en main, elle rejoignit le reste de l’équipe qui était déjà dans la piaule plutôt présentable du Poufsouffle. C’était déjà ça. S’il avait l’air fanfaron alors que la jolie allemande le dépouillait de sa cravate, Teddy pouvait deviner qu’il n’en menait pas si large.
Was hast du genommen ? « Ich denke, es würde ihm ganz gut stehen, er ist dünn und groß genug, um hineinzupassen. Und blass, es wird ein Kontrast sein!*» enfin, elle ne doutait pas que Max ne serait pas en reste pour le faire rougir d’une manière ou d’une autre, blush à l’appui ou non. Et puis ça rentrait dans le thème grunge goth à la perfection.
La brunette protesta néanmoins, comprenant que Teddy comptait la voir déshabiller son camarade. Ce n’était pas vraiment ce qu’elle avait en tête, mais si elle y tenait : qui était-elle pour juger.
Tu dis cela comme si c’était à moi d’enlever un à un ces vêtements, jusqu’à ce qu’il ne soit plus qu’en caleçon. « Naaan, je disais juste que tu pouvais l’aider à ajuster les vêtements. Mais je connais probablement aucun garçon qui refuserait que tu le déshabilles tu sais. » dit-elle amusée. La plupart n’attendait que ça non ? Même si là, ça n’impliquait pas grand-chose de plus que de jouer à la poupée et de se faire rhabiller. En tout cas, ce ne serait probablement pas Kenneth qui la contredirait.
Le connaissant, il valait néanmoins mieux que la modiste en herbe le laisse se démerder avec ses vêtements. Un courant d’air étant un signe irrévocable d’intérêt pour lui, si elle commençait à poser ses mains sur lui, c’était mort. Il pourrait vanner tout ce qu’il voulait sur Max la bourgeoise, elle remontrait irrémédiablement dans son classement, Teddy en était convaincue.
La preuve même s’il avait l’air dubitatif quant à la tenue choisie par son amie, il ne se défila pas pour autant, ne manquant pas d’en faire des tonnes. Nul doute que pas mal de filles auraient aimé être à leur place. A commencer par Antonella. D’ailleurs, savait-elle que Teddy et Kenny avaient passé quelques temps ensemble cet été ? Après-tout, si jusque-là lui n’avait jamais vraiment vu la jeune fille très déshabillée, on ne pouvait pas dire que le fils du ministre avait passé l’été très couvert. Et c’est d’ailleurs bien pour cette raison que du point de vue de Teddy, l’amusement tenait surtout à l’accoutrement choisi qu’à la plastique du garçon. Elle n’avait pas grand-chose à découvrir. Et puis… c’était Kenneth, il n’y avait pas ce genre d’ambigüité entre eux. : « Si vous vouliez vous rincer l’oeil, vous aviez qu’à le dire tout de suite au lieu de me déguiser en chippendale, les filles. ». « Kenny d'amour, c’est toi qui t’es rincé l’œil gratos, tu veux pas un paravent, deux gallions et une chocogrenouille aussi ? » dit-elle en lui tapotant l’épaule compatissante avant de s’asseoir nonchalamment sur le lit du garçon. Dans une posture avachie qui ne faisait probablement pas honneur à sa tenue, mais Von Misère n’était pas une Stein, peu importe le costume qu’elle revêtait.
* Traduction : * Je trouve que ça lui irait pas mal, il est suffisamment mince et grand pour rentrer dedans. Et pâlichon, ça fera contraste !
Maximilianna S. Stein
À SAVOIR
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(#) Sujet: Re: Do your thing on the runaway : Work. Max et Teddy & Kenneth. Sam 13 Jan - 1:15
La réplique de Kenneth me fit sourire alors que j’en finissais avec sa cravate, ayant ralentis mon mouvement pour lui permettre d’accuser le coup de cette proximité nécessaire à l’action mais aussi parce que je me plaisais à me faire scruter par le fils du Ministre de la Magie. – Je sais exactement ce que je veux.– J’échangeai un regard avec lui avant de de retourner accueillir ma chère colocataire tout en lui demandant ce qu’elle avait bien pu ramener avec elle. L’échange ne fit que gonfler plus mon égo; bien sûr que n’importe quel garçon serait content qu’elle le déshabille – pour le rhabiller, complétais-je mentalement – n'importe quelle pièce de ma collection privée valait son pesant d’or. C’était comme prévoir de les parés de la beauté la plus éblouissante; qui n’aimerait pas cela. – Dans tous les cas, je n’aurai pas le choix pour les lui retirer quand il aura les miens sur le dos. – Pensant surtout au fait qu’enfiler était généralement moins dangereux pour un vêtement que l’enlever. – Von Misère ? – C’est moi ou son allemand est mauvais jusqu’au nom de famille de ma copine ? Et il ne se laisse pas moins prier à retirer sa robe de sorcier, et alors qu’il la passe par-dessus sa tête, j’en profite pour soulever et séparer les pièces de vêtements une à une en les faisant apparaître un fils entre les deux bras du lit à baldaquin pour suspendre les cintres, un bref instant avant de Teodora passe en dessous et s’assoit sur le lit de celui-ci.
J’ai suis à passé mes doigts sur l’étoffe et dessous pour dégager les portions de dentelle l’un à l’autre. – N’oublie pas tes chaussures et tes bas. – Je me souviens très exactement de la dernière fois que j’ai mis ces pantalons et me surprend à me demander l’extension nécessaire ici et là. Quand j’en viens à me retourner, je constate l’état du sorcier, un regard professionnel sur la question avant de lui demander : Retourne-toi, s’il te plait. – L’ajustement pour Teodora avait été relativement facile, j’avais une bonne idée de ces mensurations à la voir continuellement, ce n’était guère le cas de celui-ci. J’activais un sort de mesure de ma bague, déroulant un fils éthéré qui en sortait et que j’entourai à mon index en vue de calculer d’un côté à l’autre de ses épaules. Ma première main se posait sur celle de gauche, puis la seconde fit le chemin sur sa peau jusqu’à l’autre. Ce n’était pas la première fois qu’elle pouvait m’observer travailler, et ça apparaissait que j’étais à la fois concentrée et que j’aimais bien ce que j’étais en train de faire. Certes, je n’en ferait pas une carrière; mais l’idée pour la soirée me divertissait amplement. Je notai le chiffre mentalement, avant de libéré mon index. – Serais-tu par hasard chatouilleux ? – Parce que lorsqu’elle descendrait pour prendre les autres mesures de son dos, pectoraux et bras, il était à parier que ça serait soit le meilleur dix minutes de sa vie ou le pire, et ce même si j'avais la peau chaude et le toucher léger. Je préférais autant le savoir. Et j’en vins néanmoins à bout pour calculer les dimensions pour tout ce qui touchait au justaucorps, avant de revenir sur mes pas pour procéder à l’ajustement des deux pièces; car les manches était aussi un vêtement en lui-même et pas qu’un appliqué joint à une pièce principale; je devais lui donner assez de l’attitude pour qu’il puisse se sentir à laisse sans pour autant dénaturer la dentelle. J’espère que tu t’amuses, chérie. Parce qu’on en a pas encore fini, ici! Was genau ist ein Chippendale? Je détestais mon ignorance, mais je me voyais bien mal l'assumer devant le jeune homme.
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(#) Sujet: Re: Do your thing on the runaway : Work. Max et Teddy & Kenneth. Sam 10 Fév - 15:03
Do your thing
Kenny en pleine fashion week
La porte se referme, nous voilà dans mon antre, à l'abri des regards de nos camarades. Teddy et Maximilianna prennent leurs aises et s'approprient mes quartiers pour s'y établir elles aussi, le temps d'un après-midi... Au vu de la tenue qu'elles m'ont refourgué, je me crois prêt à aller assister à un concert de métal, avant que mon amie donne son ressenti. Oh, je suis loin d'être contre les cheveux plaqués, l'eye-liner... je veux même bien m'affubler de quelques accessoires SM, pour coller au personnage. Par contre, jouer les types énigmatiques... « Oh, pas sûr que ce soit mon truc, j’aime trop l’ouvrir. » répliqué-je en levant les mains en signe d'abandon. Quiconque affirmant me connaître le sait, j'aime bien trop la ramener pour consentir à jouer les timides... ! La vie perdrait bien de sa saveur sans quelques traits d'humour colorés pour la pimenter, n'en déplaise aux représentants de la communauté gothique. Mais puisque je suis partant pour revêtir tout type d'attirail, alors soit, pourquoi ne pas changer un peu de style... ? D'ici quelques mois, on me retrouvera sur un podium queer, rien de tel pour faire enrager mes parents... ! Cependant, les conversations cryptées de mes camarades réveillent toujours ma frustration. « Eh, y a toujours pas les sous-titres, vous savez ? » leur lancé-je en grimaçant. Gna-gna-gna, on a bien compris que c'est demoiselles manient l'allemand avec aisance, ce n'est pas une raison pour me garder hors de leurs discussions comme si j'étais un gamin... !
Maintenant que le ménage est fait - du moins, que j'ai réussi à planquer tout ce qui pourrait me compromettre -, je suis prêt à leur servir de cobaye pour leurs expériences vestimentaires. Et puisqu'il est question de me laisser dévêtir, bien loin de me défiler, je n'oppose aucune résistance. « Aucun problème : toujours prêt à me sacrifier pour la bonne cause ! » annoncé-je en levant le pouce, comme s'il s'agissait d'une corvée à laquelle j'acceptais gentiment de me soumettre. En un coup de baguette magique, un fil se retrouve suspendu à mon lit, supportant le poids de quelques vêtements fantaisistes... Quelques boutons défaits, et ma chemise est envoyée gésir sur mon lit, comme annonçant mon forfait. Je dévoile progressivement mon torse et mes bras nus à mes deux camarades, ce qui m'incommode légèrement... Finalement, aucune d'elle ne semble s'en formaliser ; Maximilianna s'attelle à sa tache avec un sérieux exemplaire, entreprenant de prendre mes mesures. Le contact de ses doigts froids sur mon dos m'arrache un frisson, et lorsqu'elle me demande si je ne suis pas chatouilleux, mon sourire se suffit pour toute réponse. « Hihi, un peu ouais. Pourquoi, tu comptes toucher les zones sensibles ? » ne pus-je m'empêcher de lui demander d'un ton enjôleur. Elle est presque un peu jeune, mais après tout, c'est elle qui a commencé en proposant de me défaire de mes habits... ! Sur ma peau dénudée, mes poils se dressent, dévoilant une légère chair de poule. Ce n'est pas franchement désagréable, bien que plutôt déconcertant comme expérience...
Pour détendre un peu l'atmosphère, je plaisante bien volontiers, et Teddy ne manque pas de me répondre avec son sarcasme habituel. Je fais mine d’être tenté d’accepter la proposition sordide de mon amie, une main caressant mon menton. « Maintenant que tu le proposes… ». J'imagine que cette chère Teddy ne me laissera pas avoir droit à la biéraubeurre, son pesant en mornilles et à la tireuse à la fois, mais je ne laisserais jamais passer une occasion inédite de la taquiner un peu. N'empêche, quel tableau surréaliste nous formons tous les trois... Je suis en train de me faire déshabiller dans ma propre chambre par deux filles enthousiastes, ça me rappelle mon fantasme d'avant-hier soir. Je simule une confiance excessive en mon corps et mes attributs, comme si je ne doutais pas un instant de mes charmes... mais à vrai dire, je ne suis pas si à mon aise que cela : en effet, je me sais de constitution plutôt fluette et de taille moyenne, ce qui m’a valu quelques moqueries sur le terrain de Cricklewood Square il y a quelques années. On ne peut pas dire que mon physique chétif avait de quoi faire rêver qui que ce soit ; on ne peut pas dire que qui que ce ce soit se bousculait au portillon pour mes beaux yeux, et j’ai cumulé râteau sur râteau avant d’avoir enfin droit à ma poussée de croissance. Aujourd'hui, je m'en amuse volontiers : « Vous jetez pas toutes sur moi, y en aura pour tout le monde. » lancé-je d'un ton badin, plaçant mes deux bras derrière ma nuque, profitant d'un temps privilégié pour me faire examiner sous toutes les coutures par Miss Max. Visiblement, la petite brune armée de son ruban sait ce qu'elle fait, je me sais donc entre des mains habiles... !
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(#) Sujet: Re: Do your thing on the runaway : Work. Max et Teddy & Kenneth. Lun 12 Fév - 9:59
Habituellement lorsque je m’attelais à prendre des mesures, ce n’était guère pour couvrir le corps entier d’un individu de métal, d’or et de pierre : ça se limitait généralement à une zone très précise. Le tour d’un doigt ou du poignet, la distance entre un lobe d’oreille et l’épaule, la circonférence du cou, la longueur de la gorge à au buste; alors j’allais de mémoire à calculer reprenant en tête uniquement ce que les couturières qui travaillaient pour notre famille validait sous chaque mesure de gallon qu’on avait passé toutes ces dernières années à cause de mes nombreuses poussées de croissance.
Partout où il sera nécessaire d’avoir des mesures. – Plus concentrée mais enjôleuse; avant d’arriver à la conclusion qu’il n’y échapperai pas. – Elle a choisi un pantalon. – J’encerclai sa taille en premier, puis ces hanches, passant ces mains contre sa peau nue à chaque retour pour ramener le fil derrière à son dos, soufflant contre son échine la tête penchée par l’avant à renoter mentalement les données du gallon. Il pouvait se faire tous les plans qu’il voulait dans sa tête, j’essayais pour ma part d’analyser qu’elle serait les justes mesures exacts que j’aurais besoin pour qu’il n’en défonce mon pantalon. Quand finalement, à m’afficher officiellement devant lui; mon premier réflexe fût de regarder tout en bas, en essayant de déterminer avec le sous-vêtement ce qu’il y aurait à faire. Si la majorité des dessous féminins étaient généralement collé au corps, ce n’était pas tout à fait la même chose devais-je constater. Les bras derrière la tête, il avait l’air hautement à l’aise dans cette analyse, à moins que ça ne soit qu’il n’ait rien remarqué de mon regard perçant sur les zones sensibles.
Je retirai pied à pied, mes deux chaussures très pointues et d’un noir brillant, question d’être confortable pour les prochaines mesures qui nécessiterait que j’abaisse mon centre de gravité; alors qu’elle me faisait gagner quelques pouces de grandeur habituellement. Je soulevai le bas de ma robe pour éviter qu’elle ne les fasses tombés avant de me placer devant lui. – Je fais les mesures pour le pantalon, et on en aura presque fini. – J’écartai le pan au niveau de ma jambe découverte, avant de me donner plus de latitude de mouvement, avant de m’agenouiller au sol avec une certaine réticence de salir la pièce de collection haute couture. Quand finalement, j’arrivai à placer la robe pour ne pas la mettre sous mes genoux, ce fût le sol froid qui m’attira un inconfort plutôt que celui qu’on puisse me regarder de haut. J’en commençais par les calculs de l’extérieur de sa cheville jusqu’à sa taille, en suivant le gallon qui m’obligeait à remonter le regard vers lui à chaque fois. Je n’était pas intimidé par lui, et pourtant je sentais que quelque chose dans mes mouvements ou la manière dont je balançais le regard ailleurs pour me concentrer sur le prochain n’était pas sans éveiller une certaine curiosité. – J’attendrai de toi que tu me dises si je dois m’arrêter. Chérie, peux-tu me trouver quelque chose pour attacher mes cheveux ? N’importe quoi. Je dirais pas non pour une chocogrenouille non plus, mais j'ai pas souvenir qu'il t'en reste, si ? - J’aurais dû attacher mes cheveux car ceux-ci me revenais sans cesse vers la bouche, et je devais continuellement les replacer à chaque mesure. Une mesure des hanches, me força à me rapprocher pour valider du regard le gallon; et puis ce fût de prendre la mesure du talon à la fourche avec autant de délicatesse que je le pouvais. Je n’avais jamais glissé mes mains dans cette zone par le passé, et j’ignorai à quel point c’était sensible ou non. Ça allait tellement contre les mœurs qu’on m’inculquait gamine que si ce n’avait pas été du sérieux pour lequel je m’appliquais à la tâche mes doigts n’aurait jamais passé la taille de cet individu que je ne connaissais que trop peu. Peut-être était-ce justement parce qu’il restait une personne tierce que j’en arrivais à avoir autant de self control. J’avais pas la main dans son slip, et c’était déjà ça; mais dessus, c’était pas totalement idéal pour autant. Je ne restait pas là éternellement, avant de prendre sa main. – S’il te plait. Pour me relever, un coup de main. – Avant de me redresser face à lui, pied après pied jusqu’à retrouver ma taille réelle et un angle plus noble avec ma prestance habituelle. – Ça allait ? – Validant du regard, pour une approbation que je n’avais pas dépassé ces propres limites, bien que Teodora affirmait sans mal que n’importe quel mec serait du genre à apprécier que je le déshabille, quelques choses me disait que le cadre actuel n’était pas vraiment l’idéal pour passer en mode nudiste. Même si ma peau se dévoilait au regard, aussi petit cela pouvait-il représenté, ça restait une sorte d’armure tant que l’étoffe était sur ma peau. J’ignorai si tout le monde était ainsi. – Je passe à l’ajustement, maintenant. – Ne cherchant pas à poursuivre le contact visuel plus qu’il ne le fallait, avant de reculer de trois pas pour enfiler à nouveau mes talons hauts, abandonnés plus loin. Mon chemin me ramena vers les pièces accrochés sur le fil tendu entre les deux poteaux du lit à baldaquin. J'en énonçai le sort clairement utilisant ma baguette pour étirer ici le tissus, diminuer la taille là, plus concerné à la finalité du projet que ce qui se passait derrière moi. Il fallait que ça soit parfait pour éviter les accro, voir qu'il ne déchire les coutures ou les broderie élégant du pantalon.
Dé 1 1 - Max est archi-précise. Rien à dire, elle a fait un travail de pro. 2-3 - Max fait bien son taff. C'est pas parfait. Mais c'est juste un peu plus grand alors on s'en fiche. 4-5 - Il y a une erreur quelque part dans la prise et l'essayage aura des accros. 6 - Elle a des ennui à lancer le sort et maintenir le ruban magique.
Dé 2 (Si 4-5) 1-3 Erreur à la chemise 2-6 Erreur au bustier 4-5 Erreur au pantalon - Clairement quelque chose l'a distraite ou elle a été plus rapidement qu'il aurait fallu!
Code by Joy
Dernière édition par Maximilianna S. Stein le Lun 12 Fév - 10:00, édité 1 fois
Le Hasard
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(#) Sujet: Re: Do your thing on the runaway : Work. Max et Teddy & Kenneth. Lun 12 Fév - 9:59
Le membre 'Maximilianna S. Stein' a effectué l'action suivante : Le Hasard
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(#) Sujet: Re: Do your thing on the runaway : Work. Max et Teddy & Kenneth. Mar 13 Fév - 16:43
Teddy s’installe alors que ses deux camarades se mettent au travail, elle a remplit sa part du marché. Bien sûr que Kenneth n’a pas le gêne du beau gosse mystérieux. Il est plutôt de la team beau parleur. Mais avec une bonne couche de maquillage, on y croirait peut-être. « Boude pas, on dit rien de si intéressant de toute façon. » Une chose est sûre, c’est que l’allemand n’est pas la langue la plus sexy, même si elles racontaient des cochonneries, il aurait du mal à y croire. « Pis c’est pas de bol parce que sinon je sais dire que des insultes en gaélique, et ça sonne pas mieux je crois. » plaisanta-t-elle. Bien entendu, elles pouvaient parler uniquement en anglais, mais c’était tout de même plus amusant de le faire rager un peu. Quant au strip tease… Teddy n’était pour ainsi dire pas farouche, Adrian avait pu profiter de la vue dans la salle de bain, mais là c’était quand même différent. Même Silas ne l’avait pas vraiment vue déshabillée, les adolescents préférant tout deux le couvert des vêtements ou d’un plaid. Elle a un peu de compassion pour son camarade à moitié nu, même si la situation l’amuse plus qu’autre chose. Maximilliana ne se laisse pas perturber et Kenneth joue les mecs à l’aise, même si Teddy parierait qu’il n’en mène pas si large. La rousse ne peut s’empêcher d’être impressionnée par la rapidité avec laquelle sa camarade bouge le ruban autour du garçon, mémorisant les chiffres là où elle-même ne verrait que les numéros danser en farandole avant probablement de constater que Kenneth avait pris du muscle ça et là et que tiens un papillon. Pieds-nus, la brunette finit à genoux, ce qui ne manque pas de faire glousser Teddy qui hausse les sourcils en direction de Kenneth. « Si tu finis alors… » taquine-t-elle sa colocataire. La jeune fille doutait que Kenneth demande quoi que ce soit. Mais pour l’instant, Max avait besoin d’assistance, et Teddy ouvrit l’armoire, cherchant à mettre la main sur une cravate propre de préférence.
Elle dégota l’objet, et passa derrière sa camarade pour le nouer en bandeau autour de sa chevelure, veillant à dégager les boucles brunes de son visage sans les aplatir dans le tissu. Bon, le look en pâtissait un peu mais soit. La jeune fille essaya de lancer un sortilège d’accio pour obtenir une chocogrenouille de la réserve de Max ou peut être même de l’infirmerie…Mais évidemment « Je suis vraiment nulle avec cette baguette » ronchonna-t-elle. « On ira dans les cuisines après » promit-elle penaude. Max réussissait toujours : à prendre des mesures sur un mec à moitié à poil, lancer des sortilèges même sans baguette et à être splendide en toute occasion, en plus d’être blindée. Bref, une fois de plus, Teddy ne brillait pas vraiment par son utilité. Peut-être est-ce pour cela que cette réplique de mauvais goût lui échappa : « Um die Messungen durchführen zu können, reicht es. Sonst machen wir das nicht so.“ Enfin, elle ne voulait pas répondre à la place de Kenneth bien sûr. Et puis Maximilianna était probablement une fille bien qui devait préserver sa belle image jusqu’à trouver un prétendant à la hauteur. Est-ce qu’un fils de ministre, c’était suffisant ? Se demanda-t-elle. Teddy était tant habituée à Kenneth qu’elle oubliait facilement ce détail, même s’il se rappelait à lui de temps à autre. Quand par exemple il avait un passe droit pour squatter son coven non mixte.
Alors que la brunette se fait aider pour se redresser et se carapate reprendre ses esprits devant les vêtements. Ne souhaitant pas être en reste Teddy se rapprocha de son ami en petite tenue. « ça va tu te cailles pas trop, bel Apollon ? » demanda-t-elle avec un sourire amusé. « T’étais chaud pour du liner on a dit non ? » dit-elle en dégaînant son arme de prédilection « Rapproche-toi un peu grande perche ». Teddy était déjà grande pour son âge, mais il lui manquait encore quelques centimètres si elle ne voulait pas prendre le risque d’éborgner le garçon. D’un geste sûr, elle appliqua un trait épais au-dessus de la paupière, qu’elle réhaussa de traits de crayon autour de l’œil. Pas un look de pinup, mais suffisamment pour faire ressortir les yeux verts du garçon. « Pas mal. » lui dit-elle avec un clin d’œil. Il fallait maintenant attendre le verdict de l’artiste couturière.
Accio chocogrenouille : 2 : Teddy arrive à accio une chocogrenouille de leur propre dortoir 6 : Teddy pique une chocogrenouille à quelqu’un dans le château Le reste : lol à quoi bon agiter cette baguette.
Trad : Pour prendre les mesures ça va. Pour le reste, c'est pas comme ça qu'on fait .
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(#) Sujet: Re: Do your thing on the runaway : Work. Max et Teddy & Kenneth. Dim 3 Mar - 10:29
Do your thing
Kenny en pleine fashion week
Cet après-midi devient de plus en plus étrange : s'il était question à l'origine de procéder à quelques essayages, me voilà embrigadé dans une drôle d'opération. Je commence même à suspecter un bizutage, lorsque Maximilianna se met à me tâtonner, à moitié nu, sous le regard inquisiteur de Teddy... Pourtant, mes deux camarades semblent parfaitement savoir ce qu'elles font, échangeant parfois quelques commentaires en allemand. Quant à moi, je n'en mène pas large... « Ouuuh, partout, vraiment ? J’espère que ton mètre ruban est assez long. » ne pus-je m'empêcher de lui faire remarquer, avec un sourire malicieux. Comment éviter les sous-entendus dans une telle situation ? C'est bien trop tentant. Sans rechigner, je continue de me laisser manipuler, comme un mannequin factice... Presque entièrement dévêtu, je me sens plutôt vulnérable, quand bien même je n'en laisse rien paraître. Quant à madame la styliste en herbe, elle ne se laisse ni distraire ni perturber, même si mon corps se trahit par quelques frissons discrets, à son contact. Je feins une certaine aisance, mais j'ai plutôt hâte de me rhabiller, en vérité... Quand bien même Teddy m'a déjà vu nu comme un ver - comme cette fois où nous nous sommes jetés dans une piscine pour un bain de minuit, les circonstances ne rendent pas ce moment particulièrement confortable : il y a quelques années, quand j'étais encore un gamin maigrelet à la constitution chétive, j'aurais préféré m'enfouir sous terre plutôt que de me déshabiller devant deux filles de ma maison. Lorsqu'elle annonce que je porterais un pantalon, je fais mine d'être déçu. « Dommage, moi qui croyais que je vivrais ma première expérience de drag… ». À vrai dire, l'expérience ne m'aurait pas déplu... Je me serais volontiers prêté au jeu, me déhanchant avec plaisir dans une robe moulante à souhait pour le show et les paillettes. Aujourd'hui, je me suis réconcilié avec mon corps, et quand bien même je n'ai pas le gabarit d'un poursuiveur bien bâti, je compte bien sur d'autres atouts pour compenser.
Les mains de Maximilianna effleurent parfois mes jambes, et je dois retenir un certain nombre de blagues graveleuses, en la voyant ainsi agenouillée près de moi. En contrebas, elle m’observe minutieusement et ses doigts s’aventurent sur des centimètres de peau peu explorées par des mains étrangères. Je me demande, en la voyant ainsi attelée à la tache, si elle n'en profite pas un peu... Réprimant un léger rire lorsqu'elle passe ses mains autour de mes cuisses, je lui réponds l'air de rien : « Non ça va, c’est marrant. » Disons que je croise juste les doigts pour ne pas voir grandir une bosse inopinée dans mon caleçon si jamais elle s'aventurait en terre interdite. Puisqu’elle l’exige, je lui tends ma main pour lui servir d’appui et se relever. « Oh ben t’sais, je suis jamais contre me faire tripoter pour la bonne cause. » répliqué-je avec une fierté non feinte. J'ai beau plaisanter, il n'empêche que n'importe qui pourrait se poser des questions, en pénétrant dans le dortoir... J'ai beau ne pas m'y connaître en tendances vestimentaires, j'imagine mal les autres gars de ma promo se prêter au jeu. Teddy s'approche à son tour, armée d'un crayon noir, s'enquérant de mon état. Il est vrai que même si la pièce est réchauffée, mon manque de tissu sur le dos commence à faire naître sur ma peau un peu de chair de poule... « Oh Teddy Jolie, tu te portes volontaire pour me réchauffer ? » lui demandé-je en battant des cils d'un air faussement enjôleur, avant de me redresser pour la session maquillage. « Évidemment que je suis partant. Allez, allez, et lésine pas sur le khôl ! » Il n'y a pas d'ambiguïté entre nous, c'est pourquoi je ne manque pas de jouer les séducteurs de pacotille avec elle. Enfin... peut-être en sera-t-il autrement une fois qu'elle m'aura transformé en chanteur punk-rock aux allures gothiques, c'est le secret pour la faire frémir. Je la laisse sagement exprimer ses talents artistiques sur mes paupières, avant d'oser les rouvrir. Jetant un oeil intrigué à mon reflet dans le miroir, j'affiche une mine réjouie. « Top, maintenant je vais pouvoir me fondre dans la foule la prochaine fois qu’on ira en festival. » C'est plutôt marrant après tout, je pourrais bien être tenté de renouveler l'expérience !
Arrivé(e) le : 15/05/2023 Parchemins rédigés : 266 Points : 3 Crédit : zuzu Année : 4e années - 4 septembre (15 ans)
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(#) Sujet: Re: Do your thing on the runaway : Work. Max et Teddy & Kenneth. Mar 5 Mar - 22:41
Mesure sur mesure, j’ajoutai les chiffres dans ma tête comme dans une très grande grille de commande. C’était un exercice fastidieux, mais quelques part je remerciai Kenneth de ne pas s’enfuir de sous mes doigts même si je m’apercevait de temps à autre des légers poils soulevé sur sa peau. Une cravate bouclé autour de la tête, j’étais digne des sorcières mode des années 80, alors j’en continuai mon travail moins absorbé par les boucles de mes cheveux la tête penché vers le sol.
Bonne idée. Soulignai-je mue par une envie fugace de parader dans ma tenue avec les deux autres en tête d’un scone et d’une tasse de thé. Ce qu’elle pouvait être drôle Teodora, ce n’était pas parce que j’étais de la haute bourgeoisie qu’on m’avait élevé comme une recluse. Si elle savait à quel point Norine rapportait des propos particulièrement déjantée à titre de distraction lors des bals et souper officiel des Stein, jamais elle n’aurait songé que j’étais une personne pieuse de ma personne. Après, j’avais une image à entretenir, que ma cousine n’avait pas à se soucier. J’enviais quelques fois la liberté qu’elle avait à pouvoir tout balancer ainsi sans risque ni conséquence. Nous avions aussi quelques théorie sur le nombre de verre que les cousins devaient boire chacun avant de sombrer sous la table, et Rozé s’amusait à faire le décompte calmement. – So wie das ? - Je finis le calcul de l’intérieur de la cuisse de Kenneth avant de remonter le long de l’aine, avant de bifurquer au dernier moment retenant un rire sur mes lèvres vermillions. – On dirait bien que tu aimes ça. – Finis-je par dire en croisant son regard l’air aussi angélique que possible, avant de céder ma place à Teodora pour le maquillage pendant que je glissai un pied puis l’autre dans mes escarpins. Derrière moi, j’écoutai peu l’échange, l’esprit complètement concentré à adapter la taille de mes pièces de vêtement. Le pantalon s’étira ici et là, ou les ajustements stratégiques étaient de mise. J’ignore encore comment il avait pu entrer, ni quand, mais je sentis alors quelque chose de très doux frôler ma cheville puis se poser entre mes deux pieds sous ma jupe dans un léger vrombissement. Peut-être Scnaps avait-il suivi Teodora d’un dortoir à l’autre ? Schnap avait toujours été très intelligente. Je jetai un coup d’œil vers le sol, avant d’étirer l’espace fendu pour regarder ce qu’il en était avant de continuer les ajustements, notant la présence de mon ferreur confortablement installé dans la tente exotique à tenture acariens. Encore un ajustement, et voilà!
Schnap. Sur le lit, mon amour. - Dis-je en tapotant la couverture du lit rapidement. À peine l’animal gris et blanc fût sur la couverture, que je m’en saisis pour le caller dans le coin de mon coude, pour lui caresser le ventre doucement. – T’es mignonne. – Légèrement gaga devant mon animal de compagnie, avant de tenir le haut du cintre bien haut devant en me retournant vers, avant de réaliser la maquillage appliqué sur ces yeux.
Oula. – Il y avait littéralement un accident de khôl, un peu plus et il finirait avec un œil au beurre noire. – Ne frotte surtout pas, sinon ça sera un désastre. Pour les cinq prochaines minutes. – Je tendis le cintre doublé de soir noire du pantalon auquel j’avais apporté les ajustements pour qu’il l’essai. – Vas-y doucement, ça reste de la dentelle. – Je rapprochai le cintre de moi, une dernière fois question de m’assurer qu’il ait bien pigé, avant de le lui tendre une seconde fois.
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(#) Sujet: Re: Do your thing on the runaway : Work. Max et Teddy & Kenneth. Mer 13 Mar - 15:47
Si Teddy avait pu être mal à l’aise dans sa tenue bien trop grande pour elle, pas tant par la taille que par le prix et le raffinement, le moment de gêne était passé et elle s’amusait comme une petite folle. Commérant d’un côté avec Maximilianna, plaisantant avec Kenneth de l’autre, elle n’avait pas attendu grand-chose de plus qu’un bon divertissement de ces essayages et elle était servie. Max laissa remonter ses doigts le long des cuisses de son camarade, arrachant un sourire amusé : « Des doigts de fée ! » commenta-t-elle cette fois-ci en anglais. Kenneth ne pourrait pas lui reprocher de faire de la rétention d'information.
« Promis Kenny-chéri, la prochaine fois, on te trouve la robe parfaite. Enfin, c’est bien ça un truc de drag ? Les mecs en robe et maquillage clinquant ? Avec un nom chelou genre Coco Glamour » demanda-t-elle pour confirmer ce qu’elle avait pu saisir de conversation de ses camarades plus au fait des us et coutumes moldus qu’elle qui sortait d’un coven. Mais si c’était le délire de Kenneth, elle était sûre de pouvoir entraîner Maximilianna dans une session de shopping grandiloquente pour trouver de quoi couvrir le boule nerveux du poufsouffle avec des sequins et des paillettes. Sa colocataire avait beau être une bourge de première, maniérée comme il n’était pas permis, on pouvait lui faire confiance pour ce genre de choses. Max n’était peut-être pas une fêtarde comme les deux amis pouvaient l’être, mais elle n’était pas du genre à se défiler. Teddy non plus, aussi quand son ami se plaignit-il du froid, l’enlaça-t-elle de ses bras avant de le frotter vigoureusement jusqu’à faire rougir la peau pâle de ses bras. « Evidemment, on ne va pas te laisser greloter comme un petit poussin. » Il n’avait pas précisé comment il voulait être réchauffé, alors elle s’était plutôt pas mal acquittée de la mission. Alors qu’elle continuait le relooking armée du khôl, Max fit la conversation avec son chat au prénom d’alcoolique. « Je t’ai jamais demandé pourquoi t’as appelé ton chat comme la liqueur ? Il est toujours bourré ? » Von Misère, c’était pas beaucoup mieux, mais tout aussi drôle songea-t-elle.
Max avait l’air dubitative quant à son œuvre picturale, mais la couche de khôl donnait un air dramatique à Kenneth, un peu brutal qui contrasterait avec la dentelle. Et puis, s’il l’étalait un peu trop, il aurait un air de bad boy toujours sorti du lit, au lieu d’avoir un air de mannequin anorexique. La fashion week ne convenait pas à tout le monde. « Oublie pas de tourner sur toi-même qu’on apprécie ! » lança-t-elle au garçon… Visiblement, la brunette avait bien du mal à se séparer de son précieux bout de tissus.
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(#) Sujet: Re: Do your thing on the runaway : Work. Max et Teddy & Kenneth. Lun 8 Avr - 8:29
Do your thing
Kenny en pleine fashion week
Il n'est guère aisé d'être un cobaye entre les mains expertes d'une modiste à l'imagination fertile. Vulnérable dans ma semi-nudité, je m'expose à ses regards et m'offre à son toucher, ce qui n'est guère confortable pour moi. J’ai un léger frisson lorsque son doigt remonte mon aine de manière sensuelle… Curieusement, je ne me sens pas vraiment à mon aise. Évidemment, je ne suis pas avare en allusions, mais je ne me serais pas permis de la toucher elle... Elle sous-entend que je semble aimer cela, et je bredouille, un peu gêné : « Hein ? Euh… on peut dire que t’es directe, toi ! » Ok, ce n'est pas moi qui rêve : j'avais quelques soupçons, mais ce dernier contact physique prouve bien que sous ses grands airs de couturière, Maximilianna me drague carrément. La sensation est loin d’être désagréable, se faire caresser la frontière de l’entrejambe par une fille qui sait manifestement ce qu’elle veut est même plutôt plaisant sur le papier, mais… le moment ne me semble pas bien choisi. Je veux dire, Teddy est à deux pas, et puis on est venus essayer des fringues, après tout. Si les choses avaient du déraper entre nous, ça aurait probablement du avoir lieu avant que je ne me retrouve comme une poupée entre ses doigts... Pourtant, je laisse faire, ne sachant quelle attitude adopter. Heureusement, notre amie commune vient détendre l'atmosphère en m'entourant chaleureusement de ses bras. Je suis un peu plus habitué à ce genre d'étreintes de sa part, dépourvues d'ambiguïtés. « Coco Glamour, j’adore. C’est tout à fait l’esprit du show… ! » déclaré-je en tournant sur moi-même, mimant une barre de pole dance sur laquelle je fais semblant de m'appuyer pour mieux trémousser. Et en retirant un chapeau imaginaire pour effectuer une révérence dans la direction de ces demoiselles, je relève les yeux vers elle avec un regard coquin. « Call me "madame" ». C'est amusant, en fait, c'est comme jouer un personnage de théâtre... !
Maximilianna me tend quelques étoffes qu'elle ne me confie qu'avec la plus grande précaution... On dirait qu'elle ne fait pas confiance à ma délicatesse. J'enfile soigneusement la dentelle, veillant à ne pas forcer sur le tissu. Mais tandis que je suis concentré sur ma tache, je ne remarque pas le félin poilu qui s'est introduit dans la pièce, profitant de l'entrebâillement de la porte. Lorsque celui-ci grimpe sur mon lit, je proteste, en direction de la Poufsouffle, qui semble être sa propriétaire : « Eh c’est pas un chenil ici, je dors là meuf. » trouvé-je pertinent de rappeler, en observant le fléreur se prélasser sur mes draps, semant sans doute par la même occasion un duvet de poils. Si ça ne choque pas Teddy outre mesure, eh bien, moi, si. Eh, il n’est pas obligé de la suivre à l’autre bout du dortoir, tout de même ! Enfin, je finis de me faire tartiner les paupières de noir charbonneux, abandonnant mon regard naturel pour un maquillage excentrique... Je glisse un oeil en direction du miroir, et même si ce n'est pas parfait, je crois que ça me plaît. J'achève de préparer ma tenue, nouant les derniers lacets pour la sceller, avant de me présenter aux filles, en levant une jambe. « Comme ça ? Vous en pensez quoi, alors ? » Évidemment, je le sais : mon père et ma mère détesteraient ce type d'accoutrement. Mais on s'en fiche ! Et ils ne m'empêcheront pas de porter ce que je veux. Les filles, elles, ont cette liberté de pouvoir être qui elles veulent, même avec une absence de tissu déconcertante. Alors je veux les suivre, franchir le pas : « Allez, on descend se taper la honte en défilant dans la salle commune, et débouche le meilleur cru de jus de citrouilles en remontant. C’est moi qui régale. » Plutôt les elfes, en réalité... moi, j'ai plus une thune et toujours pas d'autorisation de sortie. Mais ça, c'est un détail qu'elles n'ont pas besoin de connaître... Ouvrant la porte, en me déhanchant éhontément, je les laisse passer avant de m'insérer à leur suite dans les escaliers.
Hors-jeu:
Je pense qu'on est arrivées au bout. On ellipse et on termine là-dessus, si ça vous va ? Merci encore pour ce RP !