Blaze n’avait pas souvenir d’avoir perdu connaissance – ce qui était plutôt normal quand on y réfléchissait – mais fut tout de même surpris de se réveiller dans une pièce inconnue et mit quelques secondes à remettre ses idées en place. Sous lui la pierre froide et anguleuse lui arracha une grimace, immédiatement suivie par une autre lorsqu’en essayant de remuer il réalisa que ses membres étaient entravés ; et pas qu’un peu ! Immédiatement, une sueur froide lui parcourut l’échine. L’obscurité des lieux, l’humidité de l’air, le contact du fer sur sa peau. Des souvenirs ressurgissaient malgré lui, la claustrophobie du cachot de sa première année, enchaîné à un mur, à attendre une punition dans le noir le plus complet.

Il déglutit difficilement. Pas de panique, c’était halloween, juste une blague, et il avait grandit depuis, il avait gagné en maturité, en force. Des années qu’il se préparait mentalement, s’entrainait, pour être prêt le moment venu, pour ne pas se laisser enfermer de nouveau… Il fallait voir cette soirée comme un exercice de plus. Mouais. N’empêche, tout ça lui rappelait furieusement son épouvantard, sauf que cette fois-ci, pas de ridikulus à l’horizon.

Se dévissant le cou pour scruter l’obscurité autour de lui, ce furent moins ses yeux que ses oreilles qui lui apprirent la présence de plusieurs de ses camarades. Ici et là certains s'éveillaient à leur tour, faisant cliqueter leurs chaînes en cherchant à remuer. Le fait de ne pas se savoir seul lui réchauffa un peu les tripes. Il était toujours meilleurs quand quelqu’un était là pour le voir faire.

- « Ça va ? » demanda-t-il d’une voix légèrement moins assurée qu’il ne l’aurait voulu. Merde, fallait se reprendre.

Dans son dos, la vibration de ce qui semblait être une grosse chaudière s’accompagnait désormais d’un léger sifflement, laissant penser que les choses n’allaient pas aller en s’arrangeant ici.

Blaze remua plus vivement. C’était agaçant mais ceux qui les avaient attaché avaient bien fait leur travail, rien que décoller le dos du poêle s’avérait compliqué et ses mains fixés légèrement en hauteur rendait complexe toute tentative pour accéder à ses poches. Au moins sa baguette s’y trouvait toujours, nouveau motif de soulagement.

Si son buste était solidement verrouillé, le bas de son corps, lui, bénéficiait d'un peu plus de jeu. Se ramassant sur lui-même, Blaze se contorsionna afin de surélever légèrement ses fesses de manière à permettre à sa main d’atteindre sa baguette. Une fois qu’il l’aurait en sa possession, se débarrasser de ces chaînes serait d’une simplicité enfantine…

Blaze essaye d'attraper sa baguette
(-2 dés pour le stress de l'épouvantard)
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➤ 1 = super ! du bout des doigts, le jeune homme parvient à se saisir de sa baguette, la suite devrait être plus simple
2 ; 3 ; 4 ; 5 ; 6 = non, il ne réussit qu'à se faire mal au poigner, et à faire augmenter son stress...
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- « Ah, super ! »

Un sourire de soulagement était venu se dessiner sur son visage. Soudain, il se sentait déjà plus puissant, et à nouveau sûr de lui.

- « Facile cette étape. » balança-t-il crânement, histoire de dissiper tout malentendu et accessoirement que quelques secondes plus tôt il n’en menait pas large…

la maison hantée ft. @Blaze H. Mansfield, @Carla P. Yaxley, @Hayden W. Lynch, @E. Murphy Leonhart, @Marlon O'Delee & Michaela O’Delee Le début de cette soirée était juste par-faite ! Retrouver Hayden pour lui dessiner des moustaches sur les joues avec un crayon pour les yeux trouvé dans les affaires d’une des filles de Gryffondor — promis, elle allait le remettre — s’accrocher à son bras durant tout le trajet comme s’ils étaient les meilleurs amis du monde — ils l’étaient, assurément — ou imaginer ce qui les attendait — sans jamais savoir s’ils partaient trop loin ou si c’était possible, avec Poudlard. C’était ça le problème dans cette école : tout était toujours possible et même parfois plus que tout. On pouvait imaginer des tas de trucs, on était toujours surpris… mais pas toujours dans le bon sens… mais bon, l’année dernière, elle s’était bien amusée, à Halloween, alors elle ne voyait pas pourquoi ce serait différent cette fois-ci. Et lorsqu’ils atteignirent le point de rendez-vous, ils étaient toujours autant dans le flou. Le bout de ses vieilles converses noires disparurent à moitié sous les feuilles mortes, ne laissant apparaître que des morceaux de lacets rouges. Ça sentait l’automne à plein nez, ça ! Un temps à rester sous un plaid avec un chocolat chaud et des biscuits. Sûrement que sa mère avait déjà sorti les bougies parfumées à la cannelle, celles qui puaient très fort mais qu’elle adorait allumer dans chaque pièce de la maison et que l’adolescente allait souffler dès qu’elle avait le dos tourné… Deux personnes cachées sous une capuche vinrent chercher quatre élèves et le concierge. Elle les regarda s’éloigner sans un mot. Est-ce qu’on allait venir les chercher par petit groupe, comme ça ? Tous ? C’était aussi arbitraire que ça ? Mine de rien, elle chercha Marlon du regard et, sous ses antennes qui bougeaient au moindre de ses mouvements, elle lui adressa un sourire légèrement stressé. Non pas qu’elle craignait quoi que ce soit, non, mais ne pas savoir, ça n’avait rien de très agréable… — Je préfère que ça soit eux que nous, depuis le début je suis sûr à 100% que le directeur est un vampire et qu’il attend l’occasion de faire de nous son dîner… Elle ne put s’empêcher de glousser bêtement en l’entendant. C’est vrai que c’était le bon moment pour se raconter des histoires de fantôme et autres créatures du genre. Ils faisaient ça tout le temps, à Derrytrasna, quand ils rentraient et passaient devant le cimetière qui jouxtait l’école. Parfois, ça lui manquait un peu… Mais quand elle rentrait, elle devait bien se rendre à l’évidence que ses copines moldues avaient une vie loin d’elle et que ce n’était plus vraiment pareil qu’avant… mais elle aussi elle avait une vie loin d’elles, il n’y avait qu’à voir ce soir ! — T’inquiète, j’ai de l’ail dans ma poche au cas où. Ou pas, bien sûr… Elle avait sa baguette et une poignée de dragées surprises enveloppée dans un mouchoir, rien qui puisse éloigner le vampire Sørensen. Les deux capuchons apparurent à nouveau, sans les cinq autres… Michaela resserra son emprise sur le bras d’Hayden, comme si ça pouvait empêcher qu’on les sépare mais personne ne chercha à faire un truc aussi horrible que ça. À la place, on les emmena dans une petite rue, à l’écart, et le groupe s’arrêta devant une vieille maison qui — elle en était convaincue — n’avait jamais été là avant. Ce fut leur directeur qui les accueillit finalement mais… sans être là. Sa voix la fit sursauter et elle gloussa de plus belle. Alors comme ça c’était une chasse au trésor avec comme trésor des gens qu’elle connaissait pas trop ? Bof, elle aurait préféré des bonbons, quand même ! Mais bon… Il fallait aller aider Monsieur Armitage. Déjà qu’il avait été destitué de son poste de directeur de Gryffondor alors qu’il avait fait le meilleur boulot de directeur de maison que la maison n’ait jamais connu, hors de question de le laisser moisir ici ! — On commence pa-, allait-elle demander à Hayden alors qu’elle entrait dans la maison… mais sa phrase n’eut jamais de fin et elle perdit le fil… Lorsqu’elle rouvrit les yeux, elle avait l’impression qu’il s’était passé une éternité. Autour d’elle, le peu qu’elle apercevait de la pièce ne lui disait rien du tout. Il faisait sombre et pas très chaud… D’autres chaines semblaient bouger, la laissant espérer qu’elle n’était pas seule. Sous ses fesses, on aurait dit de la pierre et, derrière elle, un truc un peu dur qui n’avait pas l’air content. Elle essaya machinalement de se relever mais comprit au premier geste qu’on l’avait attachée. Euh… Quoi ? Comment elle était censée retrouver les autres si elle était attachée ? On leur avait menti ? C’était les cinq autres qui devaient les trouver, finalement ? Ou alors c’était vraiment un truc flippant et Sørensen allait venir les bouffer… mais c’était un peu tiré par les cheveux quand même, même pour Poudlard. — Ça va ? C’était la voix de Blaze, ça. Rosalie serait morte de jalousie quand elle allait lui dire qu’elle avait fait le jeu avec lui ! — Ouais, j’crois… Et ça s’était la serial killeuse en chef des animaux de l’école : Murphy La Folle… Su-peeer… Elle s’agita un peu dans l’espoir de distinguer Hayden ou Marlon, quelque part dans la pénombre, ou même Dmitri, ou Rosalie… Ou n’importe qui avec qui elle était copine mais la dernière silhouette ne lui rappelait aucun ami… — J’ai vu un épisode à la télé, où pour se libérer des menottes, la fille se casse un os du poignet. Mais j’suis pas sûre d’avoir envie de faire ça… La rouquine était pourtant à peu près sûre qu’elle était assez tarée pour ne pas hésiter bien longtemps. Un peu de masochisme au milieu de tout le sadisme dont elle était capable, c’était envisageable, non ? Elle avait vraiment un grain, cette fille-là. Elle choisit de l’ignorer avec un soin tout particulier et s’intéressa à ce qu’ils étaient censés faire dans ce jeu. Parce que si ça avait été assez clair au début… ça devenait un peu plus flou maintenant qu’ils étaient fait prisonniers d’une grosse cocotte minute sifflante ! — Les autres sont censés venir nous chercher ou on est dans le caca ? Un peu plus loin, les chaînes cliquetèrent de plus belle. Quelqu’un était en train de se démener… sûrement pour s’en défaire, elle ne voyait pas assez bien pour savoir… Mais l’exclamation de victoire qui suivit la laissa espérer que c’était bel et bien le cas. — Tu t’es libéré ? Elle dut se tordre le cou pour voir que non, en fait, il avait juste récupéré sa baguette… mais c’était un bon début, clairement ! Avec un peu de chance, c’était le meilleur élève de l’école en sortilèges et en moins de deux, ils seraient tous libres ! — Pssst Blaze, libère-nous, vite ! Non mais vraiment, elle servait à rien, cette fille ! Pour assassiner la moitié des habitants de la planète y’avait du monde mais pour essayer d’en sauver trois, y’avait plus personne. Elle lâcha un claquement de langue réprobateur et s’agita à son tour pour essayer de récupérer sa propre baguette. Plus ils seraient à être en mesure de faire un truc, plus vite ils pourraient sortir de là… code by bat'phanie

Le dé:

Du bout des doigts, vraiment du bout des doigts il était parvenu a attraper sa baguette aux prix de contorsions qui lui tirèrent une grimace. N’empêche que le résultat était là, il était de nouveau armé et cela valait tous les muscles engourdis du monde. Préférant ne pas trop songer à ce qui se serait passé s’il avait dû rester attaché plus longtemps dans le noir sans possibilité de réagir il hocha la tête en direction du reste de ses camarades. S’il ne les avait pas toutes dans son champ de vision, et de toute façon il faisait trop sombre pour bien distinguer les visages, il reconnu au moins la voix de Murphy avec qui il avait réalisé une séance de spiritisme quelques jours plus tôt, ainsi que celle de Carla qu’il commençait à bien connaitre depuis deux ans. La troisième fille ne lui évoquait rien.

- « Vous inquiétez pas, vous êtes entre de bonnes mains. » dit-il crânement.

Il cherchait autant à se faire mousser qu’à se rassurer lui-même. La proximité entre cette situation et son épouvantard était trop évidente et le mettait profondément mal à l’aise. Plus vite il aurait viré ses chaînes mieux il se sentirait. N’empêche que ce n’était pas encore complètement réglée, cette affaire. Si dans d’autres circonstances le jeune homme n’aurait eu aucun mal à déployer un sortilège pour se libérer, les entraves l’empêchaient clairement de viser et comme une formule s’accompagnait d’un mouvement de poignet précis, la situation se révélait tout de suite plus complexe qu’elle n’y paraissait quelques instants auparavant.

Se posait également la question du sort à employer. Coincé comme il était, s’il ratait son coup la magie le frapperait directement. Pas question donc d’utiliser des formules trop agressives, ce n’était pas le moment de s’automutiler sur une maladresse. Voyons voir, il avait appris ça l’année dernière, non… ? Se tordant le poignet pour essayer de viser l’un des maillons de la chaîne qui le ligotait, il esquissa un rapide mouvement avec sa main et récita.

- « Emancipara. »

Dé 1 : Emancipara
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1 ; 3 = décidément, Blaze sait garder son sang froid, les chaînes tombent sur lui comme de vieilles cordes relâchées
➤ 5 ; 2 = faut croire que son geste est trop difficile à réaliser avec les poignets attachés, tout ça ne présage rien de bon
4 ; 6 = le sort rate la chaîne...
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C'est le bon sortilège mais le mouvement de poignet à réaliser est trop complexe dans sa position, fais chier.

- « Fais chier, faut un truc plus agressif... »

la maison hantée ft. @Blaze H. Mansfield, @Carla P. Yaxley, @E. Murphy Leonhart, & Michaela O’Delee Ça devait être une bonne soirée, un truc drôle, un jeu un peu flippant à faire avec Hayden… Ou Rosalie… Ou Marlon dans le pire des cas… mais finalement, rien de tout ça. Michaela se retrouvait attachée à un machin qui faisait un bruit d’enfer qui n’annonçait rien de bon avec des gens qu’elle connaissait à peine. Elle avait reconnu la voix de Blaze, le préfet de Serdaigle, parce que sa copine l’avait tellement bassinée avec lui l’année dernière qu’elle l’aurait reconnu entre mille juste pour pouvoir lever les yeux au ciel avec une exagération toute adolescente… Et puis Murphy la Folle, aussi, parce que la voix du diable ne s’oubliait définitivement pas… Quant à la dernière personne, une fille, elle ne parvenait pas à mettre de nom sur sa voix. Enfin, quoi qu’il en soit, ça n’était pas vraiment le groupe qu’elle aurait choisi si on lui avait demandé son avis. Bien sûr, elle était contente d’être avec Blaze juste pour pouvoir rendre sa colocataire verte de jalousie mais en dehors de ça, c’était clairement pas l’équipe du siècle… Surtout qu’ils ne savaient même pas vraiment ce qu’ils devaient faire. Partir de là au plus vite, c’était évident, mais comment, pourquoi et pour aller où, ça, ça restait un grand mystère… — Vous inquiétez pas, vous êtes entre de bonnes mains. Elle étouffa un gloussement stupide avant d’essayer de faire ce qu’elle pouvait pour attraper sa baguette, comme les autres, s’agitant dans tous les sens, se tortillant comme un ver dans l’espoir de mettre la main dessus mais rien à faire… À la place, elle attaqua sa voisine dans un geste maladroit et sûrement un peu douloureux également. — Aïe ! Eh, fais gaffe, c’était mon pied. — Oui bah ça va, j’ai pas fait exprès. Comme si elle avait que ça à faire d’attaquer les gens alors qu’ils étaient peut-être aux portes de la mort, sérieusement…! C’était stressant. Son coeur battait un peu plus vite qu’il ne l’aurait dû et la chaleur n’arrangeait rien. Elle avait beau se répéter que c’était un jeu — personne n’allait les tuer ce soir, c’était évident — l’immersion était tellement parfaite que c’était difficile de garder la tête et le sang froid. Dans le monde moldu, ça aurait fait un Escape Game du tonnerre… ici, on s’attendait seulement à ce qu’un truc affreux leur tombe dessus d’une minute à l’autre. Les joies de Poudlard, en somme ! — Je crois vraiment qu’il faut qu’on parte très vite d’ici. « Sans déconner », pensa-t-elle très fort en se tuant à moitié l’épaule pour attraper sa maudite baguette. Elle ne demandait que ça, elle, de partir très vite ! Mais il y avait des chaînes qui n’étaient pas d’accord avec l’idée alors forcément ça prenait plus de temps… Ce qui avait été drôle deux secondes commençait à être assez angoissant. Elle n’arrivait pas à attraper sa baguette, autour d’elle, les autres n’étaient pas plus utiles. Quand bien même ils l’avaient, les sorts qu’ils tentaient de lancer ne donnaient visiblement pas grand chose. C’était mal parti ! Si ça explosait alors qu’ils étaient toujours là, il se passerait quoi ? Ce serait pour de faux ou alors ça allait exploser pour de vrai ? 1 — Miracle ! Elle arrive enfin à attraper sa baguette ! Avec un peu de chance et malgré la douleur qui irradie dans tout son bras maltraité pour y parvenir, elle pourra lancer un sort avant qu’il ne soit trop tard. code by bat'phanie

Spoiler:

Autour de Blaze, tout le monde s’agitait à présent. Les chaines cliquetaient avec un boucan d’enfer, pas assez puissant toutefois pour couvrir le vrombissement de la chaudière qui devenait de plus en plus inquiétant.

Ne pas céder à la panique. Ce n’était qu’un jeu, tout ça, rien qu’un jeu. Une animation comme il en avait connu tant, parfois de mauvais goût, mais toujours pour rire. Et tant pis si ces chaînes et cette obscurité faisaient ressurgir des souvenirs d’une autre époque où enchaîné pareillement il avait attendu de longues heures dans le noir une punition qui, cette fois, n’avait pas été un jeu.

La seule chose à même de combattre cette sourde angoisse, c’est qu’il n’y a que des filles avec lui. Alors pas question de jouer les poltrons, il a un rôle de coq à tenir.

- « Stressez pas, si on panique on arrivera à rien. » dit-il autant pour elles que pour lui. « Attrapez vos baguettes et essayez de lancer un sort d’emancipara. »

Pour sa part, ça n’avait pas super bien fonctionné. Difficile de réaliser correctement le geste du poignet lorsque ceux-ci sont entravés par les fers. Mais peut-être qu’une de ses camarades aura plus de chance que lui ? En attendant, Blaze est prêt à passer aux choses sérieuses. Contre la peur, contre le doute, un seul remède : l’action. Et tant pis s’il faut prendre des risques pour cela.

Le sortilège de defodio se prête plus à la situation. Plus simple, et demande moins de souplesse dans la main. Par contre, ce n’est pas sans risque, surtout à lancer sur soi. Une respiration profonde, ne pas se laisser déconcentrer par les vibrations de la chaudière ni par la voix de ses camarades.

- « Defodio. »

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1 ; 3 ; 5 = le sortilège percute la chaîne et la creuse suffisamment pour la faire céder : Blaze est libre !
➤ 2 ; 4 = à nouveau le sortilège échoue ! Être attaché commence à vraiment l'énerver.
6 = le sortilège vise mal, Blaze se touche à la jambe.
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- « Putain ! »

Elan du cœur, s’il y a bien une chose que Blaze n’aime pas trop, c’est de perdre le contrôle sur la situation et force est de constater que ces chaînes le lui ôtent complètement. L’obscurité de la pièce, les bruits des fers. Il faut qu’il se calme, qu’il se calme. Super, il commence à vraiment paniquer maintenant…