C'est toujours difficile de savoir par où commencer. 
Je ne sais pas si c'est pour ça que j'ai jamais aimé respecter les règles, mais je suis né en étant un immense pied de nez au monde. 
Grâce à mon oncle, les démarches administratives ont été grandement facilitées pour que ma mère puisse se faire passer pour une simple femme célibataire demandant assistance à une agence de don de sperme. Et c'est après plus d'un an d'attente et d'angoisse que je suis né, le 8 juin 2012 à Saint Andrews en Écosse sous les premiers rayons du soleil d'été. La chance a été de leur côté, et même si vivre dans un petit village n'assure jamais de la confidentialité, aucun de leurs voisins n'a eu envie de leur attirer des ennuis. Au contraire, j'étais l'attraction majeure de toutes les mamies qui venaient admirer ce petit miracle dans ce couple si atypique. Sans compter tous les jeunes couples qui nous offraient des présents de naissance pour pouvoir apercevoir la tête de ce bambin. 

On habitait au 6 Crails Lane, juste derrière notre boulangerie rue de l'église. Un coin idéal. Notre passage était des plus tranquilles : une seule habitation vendue sur les douze disponibles autour de la nôtre, juste en face, le parc saint John où je retrouvais mes amis pour grimper aux arbres et jouer aux pirates quelques années plus tard, au croisement on trouvait non seulement l'église mais également l'hôtel de ville et son marché deux fois par semaine, et de l'autre côté nous n'étions qu'à quelques miles de l'université de Saint Andrews. Un vrai petit coin de paradis. 

Je n'ai pas de souvenirs de ces premières années, en dehors des photos entreposées dans le grenier, mais l'un des premiers événements marquant de ma vie fut l'explosion de joie qu'il y eu dans la maison lorsque l'Écosse autorisa les mariages de même sexe le 4 février 2014. 
J'avais alors 2 ans, mais j'ai l'impression que leurs robes blanches sont gravées dans ma mémoire à tout jamais. Comme si ces images étaient si éclatantes de joie et de bonheur qu'elles laissaient une trace indélébile dans le fond de mes yeux, des paillettes dorées. 

Le 25 mars 2014, fini les secrets, j'étais officiellement le fils de Jo et Karen Oaken.

L'année suivante, je suis entré à la Montessori Children's House ravi de rencontrer des nouvelles têtes et de pouvoir découvrir tout un tas d'autres choses. Je ne sais pas trop ce que je peux en dire de plus même si mes mères aiment beaucoup me rappeler que j'avais un certain succès auprès de mes amies et que j'avais atteint le fabuleux record de 6 amoureuses en même temps. 

À 5 ans, j'ai changé d'établissement pour entamer le cursus complet de la Saint Leonards School, qui aurait dû m'accompagner jusqu'à mes 18 ans. 
J'ai été bien banal pendant tout ce temps-là. Pas nul ni exceptionnel en cours, pas exclu ni adulé par mes camarades, je ne me posais pas trop de questions de toute façon. Mais c'est en 2019 que mon esprit trouva quelque chose d'absolument fascinant qui méritait que j'y porte toute mon attention. En effet, après avoir changé d'employeur ma mère, Jo, nous offrit un voyage mémorable aux États-Unis, plus précisément à Washington. L'occasion pour mes mères de se retrouver en amoureuses pendant leurs vacances partagées et pour moi, de prendre pour la toute première fois l'avion !
J'avais déjà fait l'équivalent de deux fois le tour de la terre en comptant tous les allers-retours chez mon oncle et mes grands-parents à Edimbourg dans la voiture familiale. Et nous étions des habitués des bivouacs à travers l'Angleterre, mais prendre l'avion... Un rêve !
Imaginez les yeux de ce gamin de 7 ans qui découvrait qu'il était possible de voler plus haut que les oiseaux. Et son émerveillement qui n'était alors jamais retombé lorsque ce même regard croisa celui des fusées du centre spatial de la NASA. 
L'amour de l'espace avait définitivement trouvé une place toute particulière dans ce petit cœur. 
Je me souviens avoir tanné mes parents en rentrant pour redécorer entièrement ma chambre avec des étoiles fluorescentes. Et elles n'ont jamais rien pu me refuser.

Malheureusement ce moment à également marqué une rupture dans mon apprentissage des interactions sociales. Je me suis perdu dans les photos, les livres et tous les noms d'étoiles, délaissant mes amis au fur et à mesure que cette passion dévorante grandissait en moi. Tout me rapportait à cette envie de piquer une tête dans le ciel. Même mes mères étaient incapables de rediriger mon attention plus que cinq minutes.

Le jour de mon dixième anniversaire, elles m'emmenèrent voir une exposition sur la mission Apollo et la conquête de l'espace à Dublin. Et à la fin de cette journée tendue j'eu droit à l'une des conversations les plus étranges de ma vie. Elles prirent un milliard de pincettes pour m'expliquer difficilement d'où je venais. Je ne sais pas de quoi elles avaient peur, que je me fâche ou que je ne les crois pas, je l'ignore. Pour moi ça ne changeait rien, elles étaient mes deux mamans, les seuls et uniques parents que j'ai jamais eu, et même si selon la loi j'avais droit de demander l'identité de mon père biologique à partir de mes 18 ans, j'y trouvais qu'un très faible intérêt. Pour autant, ce jour-là ne m'a pas laissé complètement indifférent, même si l'amour de mes parents avait toujours été important, je commençais alors à y porter une attention toute nouvelle. Je n'avais jamais été très démonstratif de mes sentiments, mais j'absorbais ceux des autres comme une éponge. Le moindre regard, la moindre plissure sur le front ou la posture étaient pour moi comme d'immenses panneaux à information. Et après cette révélation, leur faire plaisir, les rassurer, m'assurer qu'elles allaient bien était devenu un reflex ou plutôt une obsession. Je me renfermais dans mon esprit, tournant et retournant le moindre événement déviant de la normalité. Je passais alors le plus clair de mon temps à faire semblant d'être occupé, soit à travailler soit à lire ou écrire, tant et si bien que j'en oubliais de dormir et il devenait de plus en plus difficile de me faire décrocher un mot. 
C'est à la fin de deux années difficiles à la maison que mes mères eurent l'idée de m'offrir Popcorn. Bien sûr, elles avaient vite remarqué que quelque chose n'allait pas malheureusement sans trouver quoi. Popcorn devait être un petit rayon de soleil qui serait capable de remettre un peu de vie dans cette maison bien trop silencieuse. Mission accomplie pour le bonheur de toute la famille.

Ça n'a pas eu d'effet miracle non plus, je suis resté un garçon pas hyper à l'aise en groupe, préférant nettement un bon livre, un jeu vidéo ou une discussion profonde plutôt qu'une fête ou une partie de lacrosse avec ma classe. J'ai cependant réussi à diversifié mes centres d'intérêts en démarrant une collection de vynils pouvant partager les goûts de maman Jo pendant qu'elle travaillait sur ses projets de jeux vidéo qui m'étaient strictement interdits, ou en me mettant à la cuisine pour aider maman Karen à la boulangerie et littéralement mettre la main à la pâte. Partager des fous-rires le nez plein de farine ou dévorer des discussions bien trop complexes pour moi qui ravissaient ma soif de connaissance. Passer les vacances avec la nouvelle copine de mon oncle et emmener leur golden retriever courir sur la plage avec Popcorn. Rendre visite le week-end aux grands-parents dans leur petit cottage en bordure de la ville et apprendre à construire une petite maison à oiseau.



À 13 ans j'avais même droit de conduire la voiture avec maman Jo en pleine campagne. Karen aurait clairement désapprouvé donc on faisait ça en cachette prétextant d'aller au cinéma municipal de Guardbridge.

C'est d'ailleurs ce mois de décembre-ci que je nous ai flanqué la frousse de notre vie. Ma mère m'avait laissé seul aux manettes alors qu'elle était sortie fumer sur le bas-côté. Ce n'était pas hyper responsable de sa part, mais je n'étais pas non plus sensé appuyer sur l'accélérateur. Je ne me souviens plus pourquoi je l'ai fait, mais j'ai dû être piqué par la curiosité et l'adrénaline. J'ai répété les gestes que j'avais vus un millier de fois et qu'elle m'avait apprit. J'ai passé la première et appuyé à fond sur l'accélérateur. Bien sûr, je n'ai pas fait un pic à 100km/h non plus, mais c'était suffisamment inattendu, y compris pour moi, pour que la voiture fasse un sacré bon en avant, parte en diagonale sur la route de terre et plonge directement dans le Cameron Reservoir. Une espèce de lac bien détouré et suffisamment profond pour que la voiture s'enfonce complètement dans l'eau glacée.


Je ne me souviens pas vraiment de ce qu'il s'est passé, simplement que la portière s'est ouverte et que je suis remonté sur la berge sec comme le Sahara sous les yeux ébahis de ma mère trempée jusqu'aux os après avoir plongé à mon secours.

● Jo Oaken (née Manning)



Josephine est une moldue élancée aux longs cheveux noirs bouclés et au regard doux. Née le 3 juin 1981 à Londres dans la "bonne famille" Manning, elle a toujours su garder son sourire et sa joie de vivre même après les avoir brutalement quittés à 24 ans ; quelques mois après avoir décroché son premier job de motion designer dans une petite boîte de St Andrews et quelques jours avant sa rencontre avec son âme sœur en 2005.

Très indépendante et stricte, aussi bien dans son travail que dans sa vie personnelle, elle n'a pas eu de mal à se forger une certaine réputation et gravir les échelons sans que l'ambition soit pour autant sa motivation.

Son naturel jovial et spontané lui ayant permis de ne jamais souffrir de la solitude, elle décide cependant, entre deux road-trip improvisés, d'emménager avec sa moitié en 2008, très vite suivit d'une demande en mariage l'année suivante.

Andreas, son grand frère, sera le premier au courant, étant le seul de la famille avec qui les liens ne soient pas totalement brisés. Il l'aidera notamment à se renseigner pour que Robbe puisse voir le jour en 2012.

Elle n'est pas la mère biologique de ce petit monstre, mais cela ne l'a jamais empêchée de l'aimer de tout son grand cœur. Elle lui a transmis sa curiosité et son goût du savoir, ainsi que son esprit diplomate et calme. Cependant pas moyen de l'emmener faire un footing ou nager dans la mer du Nord.





● Karen Oaken



Karen est également une jolie moldue blonde aux yeux verts perçants. Née le 19 septembre 1984 à St Andrews, c'est l'unique fille d'un couple de boulangers et, baignée dans ces odeurs de pain et de génoise depuis le berceau, elle finira par reprendre l'affaire familiale.

Ce qui la caractérise le plus, en dehors de son amour pour la musique et l'art de manière plus générale, serait son cynisme et son extraordinaire capacité à toujours avoir le dernier mot. Si ce sentiment d'infériorité quant à son parcours scolaire plus que chaotique ne l'a jamais vraiment quitté, elle a pour autant réussi à se forger un esprit espiègle, malin et sacrément farouche.

Elle avait 21 ans lorsqu'elle rencontra Jo, et même si tout les opposait, elle fut la première à déclarer ses sentiments. N'aimant pas tourner autour du pot et cultivant l'honnêteté et le courage dans sa famille, c'est elle qui a toujours mené Jo à la baguette selon ses humeurs. Elle ne l'avait alors pas un seul instant imaginé capable de lui demander sa main et ce fut une immense surprise qu'elle ne mit pas une seconde à accepter.

Officiellement la meilleure décision qu'elle ait pu prendre de toute sa vie.

Karen a toujours eu ce rêve cliché de la famille modèle avec la belle maison, le jardin et le chien et c'est suite à de nombreuses discussions mouvementées que la décision fut prise que le jeune couple fasse appel à un donneur. Karen étant choisie comme moitié biologique de ce petit bonhomme.

Officiellement la plus belle chose qui lui soit arrivée dans sa vie.

Robbe hérita donc de la droiture d'esprit des grands-parents Oaken, la chevelure de blé et le sourire de Karen, son obstination et ses entraînements de joutes verbales, mais surtout ce fantastique talent pour la cuisine !



● Homme inconnu



Ce monsieur X est sensé être le père biologique de Robbe.

Karen et Jo sont passées par une agence puis un catalogue de donneurs potentiels pour finir par le choisir lui sans avoir la moindre information personnelle. Le tout étant strictement protégé par l'anonymat des familles et des donneurs, elles n'ont jamais eu plus qu'un numéro dans un fascicule.

Dès qu'il a été en âge de comprendre, ses deux mamans lui ont tout expliqué autant de fois que nécessaire, mais Robbe n'a jamais exprimé la moindre envie d'en connaître davantage.

Vraisemblablement, la seule information que l'on peut déduire sur cet homme est sa nature magique de sorcier, considérant le lègue qui en a été fait à Robbe.



● Popcorn



C'est le chat. Il n'y a pas grand chose à dire mis à part que Robbe se l'est vu offrir pour ses 12 ans et qu'ils ne se sont plus jamais quittés.

Même Karen qui aurait préféré un chien n'a pas été si mécontente.

En effet, ce chat, c'est tout un programme. À 6 mois, il faisait déjà une vingtaine de centimètres pour 4 kilos (moyenne d'un chat adulte lambda). Il a constamment besoin d'attention, des caresses, des papouilles et surtout, surtout, jouer ! Il adore sauter sans la moindre raison et rapporte sa balle quand on la lui lance. Une vraie pile électrique !

C'est un croisement entre un chat et un félin appelé serval (d'où son pelage caramel aux allures de guépard), et ses instincts sauvages ont tendance à ressortir aussi facilement que ses griffes. Il raffole par-dessus tout de deux choses : pouvoir grimper sur tout (y compris les humains) comme sur une échelle et le poulet sous absolument toutes ses formes.

(Ps: c'est peut-être aussi la seule fois où vous verrez quelqu'un promener son chat en laisse dans la rue)
 

Je crois que je suis mort.

Depuis plusieurs mois, plus rien n'a de sens. Et ça serait la seule explication à tout ce bordel.

Je me souviens très bien d'avoir foncé dans le lac avec la voiture, mais après, mon cerveau à décidé de complètement débloquer. Même, en me pinçant l'avant-bras, rien ne change. Peut-être une sorte de stress post-traumatique ?

En tout cas, j'ai besoin de l'écrire quelque part pour ne pas perdre totalement la tête. J'ai trouvé des rouleaux de parchemin vierges dans le tiroir de ma table de chevet, ça fera l'affaire maintenant que mon téléphone est au fond du lac qui entoure le château où je me trouve. Et encore ça, c'est rien. Je dirais même la chose la plus normale ici, même si ça signifie écrire avec une plume et de l'encre comme au Moyen-âge.

Donc, juste après cet incident, je m'attendais à recevoir le savon du siècle. J'avais noyé la voiture alors qu'on n'avait pas fini de rembourser le crédit et que c'était l'outil de travail principal de ma mère. Autant dire que je ne pensais pas m'en sortir vivant cette fois. Mais rien. Absolument rien. Juste ma mère, qui me fixait comme si j'étais un extraterrestre. Je crois que son cerveau a freezé en mode "pause ", car elle n'a plus jamais changé d'expression, pas même une fois rentrés à la maison.

Puis il y a eu toutes les autres fois où je m'énervais sans raison. Je ne comprends pas moi-même pourquoi. Habituellement, je suis très difficile à mettre en rogne (pour cause, je passe mon temps à fouiller dans la tête des autres et imaginer toutes les bonnes raisons de les excuser) mais là, la moindre blague ou remarque et je partais au quart de tour explosant des assiettes, des portes de placard, des fenêtres. Sauf que c'est là que ça devient bizarre. Vraiment bizarre. Je n'ai jamais touché un seul de ses trucs.
Difficile de supporter le regard de ses parents après ça. Alors bon, même si j'ai du mal à l'admettre et que je trouve ça toujours aussi délirant, je suis content que ce type ait finit par arriver. J'ignore qui il est, j'étais cloîtré dans ma chambre comme j'en avais pris la fâcheuse habitude, quand il est venu nous voir avec sa lettre de parchemin. Poudlard avait-il dit de sorte que je l'entende à travers le mur.
Et pas uniquement ça : j'étais sensé être un sorcier selon lui. Je ne sais pas d'où il a bien pu inventer ça, mais si ça pouvait rassurer mes mères, c'est tout ce qui m'importait.

Cependant, on n'en est pas restés là, non !
Il y a eu le voyage à Londres, le chemin de Traverse, l'achat de soit disantes fournitures scolaires, une baguette magique et c'est là que j'ai complètement décroché. Pourtant, j'avais tenu super longtemps, mais là, c'était trop. Beaucoup trop n'importe quoi.

Même si au fond de moi, j'ai l'impression de ressentir un calme plat, comme si tout était normal et à sa place, ma raison ne peut l'accepter.


Le 1er septembre, le type de la lettre était revenu nous accompagner jusqu'à la gare de King's Cross d'où le "Poudlard Express" devait partir.C'est à ce moment-là que je me suis dit que je devais sûrement être mort et que toutes ces folies ne m'emmenaient que vers le train pour le paradis et y rester en paix. Alors j'ai laissé le sentiment de complétude m'envahir et je me suis laissé entraîner.

Après le train, il y eu les barques sur le lac des enfers (le Styx si je me souviens bien de mes cours d'initiation) et enfin ce château immense.
C'est donc entouré d'une foule de gamins un peu plus jeunes que moi complètement surexcités que j'ai fait mes premiers pas dans l'enceinte du bâtiment.
Je dois avouer que j'imaginais là bien autre chose lorsque je pensais au paradis.
Il y avait certes des chants, mais pas de petits bébés potelés avec des trompettes dorées.
Il y avait plus d'une centaine d'autres enfants plus ou moins âgés assis autour de quatre longues tables attendant que le jugement dernier leur soit prononcé (probablement par l'assemblée du jury installée face à eux).
À leurs pieds, sur l'estrade, un tabouret et nous, tous entassés devant, comme une immense portée d'oisillons attendant la becquée trépignant d'impatience depuis de longues minutes interminables dans le brouhaha de la salle.

Et soudain, une voix. Claire, tranchante, implacable comme le glas.


_ Le moment est venu de vous répartir dans l'une des quatre maisons. Quand j'appellerai votre nom, vous viendrez vous asseoir et je poserai le Choixpeau sur votre tête !


Le choixquoi?

Maintenant que tu es réparti(e), il ne faut pas te reposer sur tes lauriers. Ta vie NYLienne commence à peine et pour la faire démarrer sur de bonnes bases, il te reste encore pas mal de petites choses à faire. Ne t'inquiètes pas, je vais tout te montrer...

Commence par créer ta fiche de liens, ta fiche de RPs, ainsi que boîte aux lettres qui te permettra aussi de gagner des points RPs en écrivant des lettres de plus de 300 mots et ta boite à hiboux express pour les messages plus courts. Peut-être que tu n'en trouveras pas tout de suite l'utilité, mais ça ne saurait tarder... Alors mieux vaut l'avoir fait tout de suite. Et puis, si jamais tu cherches quelqu'un d'important pour le développement de ton personnage, n'hésite pas à créer un poste vacant.

Aussi, je te conseille d'aller lire comment marche le système de points, si ce n'est pas déjà fait. Ce serait bête de ne pas savoir comment rapporter des points à ta maison. D'ailleurs, tu peux jeter un coup d'oeil aux sabliers pour voir où en est la course à la Coupe. Et comme les votes, c'est le bien, Top-Siter rapporte des points !

N'empêche que le meilleur moyen d'obtenir des points reste d'aller en cours. Et oui, nous sommes dans une école et nos chers professeurs vont se faire une joie de t'apprendre tout ce qu'ils savent. Quand tu te seras bien installé(e) dans ton dortoir, attrape tes bouquins et rends toi vite en classe ! Nos professeurs t'attendent, et pour savoir à qui tu as à faire, tu trouveras la liste ici. La liste des sortilèges par année est disponible là.

Il n'y a pas que les points des sabliers qui sont importants ici. Il y a aussi les points défis ! Tu peux aller lire ce sujet pour savoir exactement ce que c'est que les points défis. N'oublie pas de créer ton sujet d'ailleurs, qu'on puisse tous t'en proposer ! Bien sûr, tu peux également savoir combien tu as de points en allant voir la fiche ! Le nombre de point s'initialise automatiquement à 0/0 mais dès que vous avez un point, vous pouvez voir l'évolution de ceux-ci à 1/2000...

Heureusement, il n'y a pas que les cours dans la vie ! Tu vas pouvoir t'entraîner à être une fouine en écoutant les rumeurs qui se baladent dans les couloirs, attraper ton balai pour devenir le plus grand joueur de Quidditch de l'histoire de Poudlard... Enfin, pour être sûr(e) de ne rien louper des activités qui te seront proposées, garde un oeil sur le panneau d'affichage, et sur la Gazette du Sorcier pour être informé(e) de tout ce qui peut bien se passer dans le monde magique.

Le HRP (hors-RP) te donnera également de quoi t'occuper grâce à une partie Flood bien remplie. Tu pourras également faire plaisir aux autres membres en leur offrant des cadeaux. N'oublie pas, à l'occasion, de passer sur la ChatBox, avec un peu de chance, tu tomberas en plein jeu... S'il y a quelque chose que tu ne comprends pas, nous répondrons à toutes tes questions.

Sur ce, je te souhaite beaucoup de plaisir dans cette nouvelle vie qui commence, et plein de merveilleux RPs !