J'attends devant la porte depuis près d'un quart d'heure et je ne sais définitivement pas ce que je fous là. Je me suis dit ça toute la journée, hier. À chaque début de cours. Et je n'ai toujours pas de réponse. Je ne sais pas pourquoi je suis monté dans ce train, je ne sais pas pourquoi je me suis embarqué dans cette année... Enfin, si, je le sais mais... Mais si c'était évident le 1er septembre, ça ne l'est plus autant depuis quelques jours. J'ai dû mal à savoir quelle est ma place et la solitude que je côtoie depuis quelques soirs maintenant n'arrange rien. J'entends les autres rire et parler quand je passe devant leur dortoir pour rejoindre le mien et le silence qui m'accueille ne fait qu'accentuer mon impression d'être loin de tout. Loin des miens, une fois de plus. Et les nuits qui s'éternisent me laissent comprendre que ça n'était peut-être pas l'idée du siècle. Si je me suis toujours plaint de ne pas me sentir vraiment chez moi dans cette famille à rallonge, force est de constater que je ne le suis plus d'avantage ici. La porte s'ouvre en grinçant, ce qui me fait sursauter bêtement. « Entrez. » Je m'exécute sans broncher. « Bonjour, Professeur. » Je ne m'attarde pas et me dirige vers une table, dans les rangs du milieu et près du mur, là où il n'y a pas de fenêtre. Pas une place qui me catégorise automatiquement parmi les cancres mais une qui reste quand même assez loin du monde. J'ai du mal à me mêler aux autres, depuis qu'on est revenus. Je crois que je regrette de ne pas avoir été lâche au point de fuir. «  Bien, bien, asseyez-vous où bon vous semble. » Je pose mes affaires à côté d'une statuette de dragon à laquelle je ne prête pas grande attention, tire ma chaise et m'installe sans un bruit. « Je ne veux juste aucun bavardage tant que ce dernier n’a pas au moins un rapport avec mon cours. Que tout soit clair entre nous, je ne suis pas là pour jouer les nourrices. Ceux qui ne sont pas là pour travailler seront mis dehors sans sommation. » Je sors mon livre, un parchemin et ma plume, retenant tant bien que mal un soupir épuisé. Avec qui est-ce qu'il voudrait que je parle ? Mes amis ont redoublé, ou alors ils sont partis. Je ne connais quasiment pas mes camarades de classe. De vue, vite fait, leurs noms quoi. Mais je n'irai certainement pas m'installer à côté pour leur taper la discut' en plein cours.

Mon regard se pose sur notre nouveau professeur. Un peu maltraité par les ans. Pas franchement très engageant. La porte se claque et je sursaute à nouveau. Un frisson se glisse sous ma chemise. Je suis légèrement sur les nerfs... L'année vient à peine de commencer que je suis déjà au bout du rouleau. Je ne sais vraiment pas ce que je fous là. « Le travail commence par la ponctualité. Quiconque sera en retard à ce cours passera son chemin et devra rattraper de lui-même les deux heures qu’il aura manqué. Bien entendu, il ne sera pas dispensé des devoirs. » Je ne comprends pas vraiment ce qu'il cherche. À nous faire peur ? À imposer une autorité qu'il craint de voir sapée si par malheur il avait l'air sympa ? Je ne suis pas certain que Poudlard ait besoin du double masculin et retraité de Burgess. Il quitte sa chaise alors que je me tasse sur la mienne. « Commençons. Je suis le Professeur Maxwell. C’est moi qui suis chargé de vous donner des cours de métamorphose cette année. Bien entendu, vous allez passer vos ASPICs en fin d’année et je vais vous dispenser d’un long et pénible discours sur l’enjeu de ces examens. Vous en êtes sûrement conscients. » Sans m'en rendre compte, je baisse les yeux. On va passer nos ASPICs en fin d'année. Ça me semble tellement loin et si proche en même temps... Je n'ai aucune envie d'être ici mais je n'ai pas plus envie d'en partir. Comment ce sera, dehors ? Il n'y a pas grand chose qui m'attend, je crois. Une famille que je ne connais pas vraiment et un job que je n'ai pas envie de reprendre. Des espoirs torturés, sûrement aussi. Je me vois déjà m'accrocher bêtement à des rêves qui finiront par mourir salement parce que de toute façon, l'éloignement a raison de tout. Et je ne pourrai en vouloir à personne, pour ça. Je finis par reposer les yeux sur lui. « De même qu’en ces périodes troubles, au vu de ce que vous avez vécu l’an passé, les ASPICs doivent vous sembler bien futiles. » Je me renferme aussitôt. Je n'ai pas envie d'entendre parler à tout va de ce qu'il s'est passé l'an dernier. J'ai juste envie d'oublier une bonne fois pour toutes. Tourner la page. Mais non. Personne ne nous en laisse la possibilité. Comme si ça n'avait pas été assez compliqué et qu'il fallait ressasser encore et encore. « En tant qu'enseignant, je ne vous dirai jamais que vous avez raison, mais je ne dirai pas non plus que vous avez tort. Mais vous avez remarqué que ce qui peut vous attendre à l’extérieur, et même à l’intérieur de ces murs, dépasse largement ce qu’on peut attendre d’un jeune diplômé. C’est pourquoi durant le temps que j’enseignerai ici, je me suis fixé comme devoir de vous faire changer de vision sur la métamorphose. » Je ne sais pas ce qui nous attend hors de ces murs. Une fois dehors, je tirerai un trait sur la magie, qu'est-ce qui pourrait encore m'y attendre, hein ?! Une vie interminablement chiante, au pire, et après ? Rien qui ne nécessite de savoir transformer des rats en verres à pied en tout cas ! « Si en grande partie, la métamorphose qu’on enseigne au collège se limite grandement aux transformations, en partie pour votre sécurité, je vais essayer avec vous de voir plus loin que ce qu’on attend de vous. Bien entendu, ce sera bien plus difficile et dangereux que ce que vous aurez vu jusque-là, mais je ferai ce qui est en mon devoir de faire de vous des sorciers que je juge aptes à se défendre dans le monde extérieur actuel. » Et si on ne veut pas, hein ? Et si je ne veux pas ? Jouer à transformer des choses qui ne serviront jamais à rien me suffit. Les dangers et les difficultés, j'ai eu ma dose, c'est bon ! On ne peut pas juste avoir une année tranquille, pour une fois ? Apprendre des choses inutiles, passer un diplôme qui l'est tout autant et oublier toute cette histoire ? Plus il parle, plus cette salle me paraît étouffante. Je veux sortir de là. Le laisser « nous apprendre à nous défendre » sans moi. J'ai pas envie de ça. On est censés être en sécurité, cette année ! Pourquoi nous avoir ramenés ici, si c'est pas sûr que ça soit le cas, hein ?! J'ai pas signé pour que ça recommence. Si c'est vraiment ce qui nous attend, je préfère encore me barrer dès la première sortie à Pré-au-Lard ! Transplaner jusqu'à Lucan et plus jamais refoutre les pieds dans cette putain de prison !

Un craquement désagréable brise le silence. Un nouveau frisson me prend pour cible. Je déteste cette école, je déteste cette année et je déteste ce Maxwell sorti de je ne sais où ! « La Métamorphose ne sert pas qu’à transformer les tables en cochon ou d’autres pitreries du genre. Cette branche de la magie nous permet aussi, par exemple, de se servir de l’environnement pour prendre l’avantage lors d’affrontements en nous permettant de contourner diverses protections comme le Charme du Bouclier. Mais si la métamorphose est aussi limitée dans votre enseignement, c’est parce qu’elle demande une connaissance et une rigueur d’esprit bien plus élevée que n’importe quelle autre branche de la magie. Un peu comme les potions où une erreur de posologie change votre potion de sommeil en poison mortel. Ici, une transformation mal effectuée peut donner naissance à des mutations irréversibles ou bien pire encore. » Super ! Donnons à des élèves décérébrés des armes toutes prêtes à se retourner contre eux au premier combat venu ! C'est exa-cte-ment ce qu'il nous manquait ! Parce qu'on était pas assez mal en point entre les mains cruelles de Blackman et ses potes, il faut en plus qu'on puisse nous achever nous-mêmes en cas de besoin ! « Bien, trêve de blabla. » J'attrape ma plume, prêt à noter le cours. Même si je donnerais cher pour être loin d'ici, je sais pertinemment qu'il me faut rester sérieux et concentré si je veux espérer m'en sortir un minimum. Il y a des gens bourrés de facilités, qui peuvent s'en sortir sans bouger le petit doigt... Et puis il y a moi, souvent incapable de dégoter plus d'un A, sauf miracle inespéré, malgré des heures passées à réviser... « Comme vous pouvez le constater, vous avez devant vous le support pour notre premier cours. Quelqu’un a une idée du sort que nous allons étudier ? Pas la peine d’ouvrir vos livres, vous ne le trouverez pas dedans. » Mon regard quitte notre professeur pour s'intéresser à la statuette qui empiète sur mon territoire depuis que je suis arrivé (à moins que j'empiète sur le sien, qu'importe). Qu'est-ce qu'il veut que je trouve un sort qui n'est même pas dans le bouquin ? Il pense sérieusement qu'on s'éclate tous à transformer des statuettes de dragon en je ne sais pas trop quelle connerie encore ?! Surtout si c'est « difficile et dangereux ». C'est gentil mais je passe mon tour volontiers...

Draconifors

les glandus de Métamorphose

Après une matinée dédiée aux Sortilèges et un repas englouti en quelques secondes, je gravi les escaliers deux par deux pour me rendre au cinquième étage au cours de Métamorphose. La rentrée n’a eu lieu que samedi et déjà j’ai l’impression que c’était il y a un mois. Je n’ai eu aucun mal à me remettre dans le rythme des cours et je suis au contraire plutôt content d’être revenu sur les bancs de l’école. Certes l’atmosphère est encore pesante mais ce n’est rien comparé à l’année dernière. J’ai le cœur plus léger. Keagan et les autres sont sortis des cachots, tous mes proches sont en sécurité et nous pouvons essayer de retrouver une vie normale. Enfin, je suis conscient que c’est facile pour moi de dire ça, je n’ai pas été confronté à toutes les horreurs qu’ils ont dû vivre. Je suis parvenu à faire profil bas, passant pour un élève sans intérêt aux yeux des Mangemorts avant de frapper fort lors de la dernière révolte. Je dois admettre que du coup, j’étais un peu gêné par la médaille que l’on m’a décerné. Dans le fond, ce n’est pas comme si j’en avais fait beaucoup mais bon … C’est toujours gratifiant pour l’égo et je pourrai toujours mettre ça en avant pour après.

Je salue notre nouveau professeur en entrant dans la salle de classe avant de m’installer à une table libre. Je fronce les sourcils en remarquant la statuette qui s’y trouve avant qu’un demi-sourire ne vienne étirer mes lèvres. Si c’est ce que je pense, les cours va être très intéressant. Quelques minutes à peine plus tard, le professeur commence son discours. Je l’écoute avec attention. Cette année va s’avérer cruciale. C’est la dernière, celle de nos ASPICs et je suis bien déterminé à obtenir les meilleures notes possibles. Mon avenir en tant qu’Auror en dépend après tout. Après son petit speech se voulant très certainement motivant pour nous il pointe de sa baguette les petites statuettes nous demandant d’identifier le sort que nous allons voir aujourd’hui. Je n’attends pas longtemps pour lever la main. « Le sort Draconifors, qui permet de transformer des statues de dragon en véritable dragon ? » je demande avec enthousiasme. J’ai toujours été fasciné par ces incroyables bêtes et je serai plus que ravi de parvenir à donner vie à cette simple statue. Il me semble qu’un sort identique permet de transformer des statues de lapin en lapin, mais soyons honnête, ça n’a pas le même charme et c’est bien moins impressionnant.

made by black arrow

L'année recommençait et rien n'avait changé pour moi. Je m'étais habitué à l'ambiance calme et quasiment désert du Château. À présent que les nés-moldus avaient repris leur place à Poudlard, tout était beaucoup plus animé, bruyant et divertissant. En soi, je n'ai rien contre eux. Évidemment, je suis exaspéré à l'idée de passer trop de temps dans les couloirs, à ne pas trouver une place à l'écart à la bibliothèque et à l'idée de devoir m'infliger la présence de personnes dont je me serais bien passé, mais en soi, je suis plutôt soulagé par ce retour à la normale. Je suis même plutôt heureux que les responsables ont été pris, et que mon paternel a eu la bonne idée de s'inscrire en dernière minute à ce petit stage pour les néo-mangemorts en formation, et surtout, qu'il s'était fait prendre. Son procès avait fait du bruit et mon nom avait été affiché dans à peu près tous les quotidiens sorciers, mais j'étais soulagé qu'il était à présent dans un endroit où il ne comptait plus. La seule surprise qu'il pourrait nous faire à présent, c'était tombé malade et mourir. Et encore, pour une fois, la surprise ne serait pas empoisonnée ou de mauvaise augure.

Je quittai la bibliothèque pour emprunter les escaliers mouvants en direction du cinquième étage. Coincé sur un îlot avec quelques portraits curieux, ça ne me dérangea pas de patienter quelques minutes en discutant avec eux des dernières nouvelles de la Gazette du Sorcier. Le monde magique peinait à se remettre, mais il était en bonne reconstruction, et notre nouveau Ministre de la Magie prenait des décisions drastiques pour modifier quelques arrêtés de lois et protéger les sorciers d'ascendance moldue de quelconques injustices, afin que les événements de l'an dernier n'aient pas la possibilité de se réitérer dans le futur. C'était un peu léger, d'après moi, mais il faisait ce qu'il avait à faire pour rassurer les victimes de l'histoire et mettre en garde les potentiels récidivistes. Un escalier me permit de reprendre ma route et je saluai les hommes encadrés en me dirigeant vers la Salle de Métamorphose. J'avais, d'une manière, hâte d'en savoir un peu plus sur ce nouveau professeur. Un auror, paraissait-il - il y avait eu du grabuge durant le cours des quatrièmes et cinquièmes années, apparemment - et son manque d'autorité n'allait - je l'espérais - pas poser de soucis à son apprentissage, avec des septièmes années plus matures que les autres élèves et plus conscients que leurs ASPICS étaient ce qui allaient les confirmer dans leur choix de profession et détermineraient en une façon leur avenir.

J'entrai dans la classe que je connaissais à présent par cœur. La décoration avait évidemment changée, mais je m'attardais davantage sur le Professeur Maxwell que sur le décor. Corpulent, des petites lunettes, l'air grognon et la chevelure grisonnante. Typique d'un auror en fin de carrière voulant mettre à profil son expérience et son savoir. Il promit de ne pas faire de longs discours et pourtant, je m'impatientai que le cours ne commencer. Les ASPIC, futiles ? Quoi de plus important que les ASPIC en ses temps troublés ? S'ils voulaient vraiment s'insérer dans cette société et la rendre meilleure, la seule chose qui leur restait à faire était étudier pour décrocher haut la main ses ASPIC et prétendre à n'importe quelle carrière avec des aspirations peu communes. Je restai impassible en me contentant d'essayer d'oublier ce que je venais d'entendre juste-là. Heureusement, il débuta son introduction à la métamorphose et il trouvait des mots qui suffisaient à rattraper ses dernières absurdités. Mes yeux se posèrent sur la statuette de dragon que je n'avais pas vue en m'installant à mon banc d'école, mais je ne pus que constater qu'il s'agissait-là d'une statuette grossière de dragon, à museau court. « Quelqu’un a une idée du sort que nous allons étudier ? Pas la peine d’ouvrir vos livres, vous ne le trouverez pas dedans. » Un petit sourire en coin était apparu alors que le professeur posait la question. Je levai tranquillement la main pour répondre et Maxwell interrogea Carter qui répondit le fond de sa pensée, ce qui fut confirmé par l'éminent professeur de Métamorphoses. Il repartit dans ses explications, et je ne pus m'empêcher de dénoter son enthousiasme faussé. Il nous amadouait pour mieux nous contenir. Qu'importe, le cours du jour était intéressant, et si je regardais le programme prévu pour l'année, j'avais encore pas mal de choses à apprendre.

Les diaporamas projetés au mur étaient fantastiques et je pris quelques notes sur l'une ou l'autre race de dragon qui m'échappait. Pour en revenir au cours et sortilège du jour, je m'intéressai aux dragons des autres, mais surtout au mien. Les artifices que je reçus ne me permirent pas de douter, tellement les écailles étaient lisses et vaporeuses, les griffes transparents telles des diamants dont la faible lumière se diffusait à l'intérieur pour révéler les spectres visibles par l’œil humain. Je visualisais le dragon de notre école concurrente, Dumstrang, dans ma tête, mais l'Opalœil des antipodes était le dragon le plus beau qui ait, jusqu'à présent, été découvert, et il me manquait des détails qui lui faisait perdre de son charme. Sa peau blanche vaporeuse, un peu transparente, laissant apercevoir ses organes vitaux, saillés de ses os, couvert de ses écailles aux milles reflets colorés. Je me mordis la lèvre. L'exercice n'allait pas être aussi simple que prévu. « Voilà. Maintenant, je vais laisser à chacun d’entre vous une bourse. Dans celle-ci, vous trouverez une écaille, un croc et une griffe de votre Dragon. Touchez-les, examinez-les, c’est important. Plus vous aurez de connaissances, plus le sort sera facile à lancer et votre dragon conforme à la réalité. Le sort utilise en partie ce que vous savez. L’imagination, la connaissance, la volonté. La puissance magique seule ne suffit pas. Bien… » Sans blague, je m'apprêtais à devoir reproduire l'animal, mais mes souvenirs et le contenu du sac ne correspondaient pas forcément. Patiemment, je retirai une corne, une griffe et une écaille et je ne me les fis pas prier pour les manipuler avec précaution. L'écaille paraissait si lisse et au toucher, elle était pourtant si rugueuse. La griffe ne m'apparaissait pas dangereuse, ça ressemblait plutôt à un bijou qu'une femme pourrait porter au doigt ou au cou. C'était brillant, mais acéré et je me coupai légèrement à la paume de la main lorsque je la manipulai. Ma baguette tapotai cette dernière et la plaie se referma sans se faire prier. Je me re-concentrai, voulant absolument réussir ce tour que je n'avais jamais tenté, encore. « Draconifors » Ma baguette laissa échapper une lueur rouge et je sentis le lien qui l'unissait elle et moi. Je me concentrai sur la manière dont se mouvait l'animal, dont il crachait du feu, dont il grognait et se secouait les écailles.


1 : on reconnaît là un dragon. Je m'applique à lui donner bonne contenance, mais les détails ne sont pas soignées. Il agit comme n'importe quel dragon, vole comme n'importe quel dragon, crache du feu comme n'importe quel dragon, mais franchement, si on devait le reconnaître, il pourrait passer pour un Finlandais à museau court .. Allez, concentre-toi, mec ! (acceptable)
2-3-4-5 : Le dragon est une bonne réplique du vrai modèle. L'animal grimpe sur son encrier, et escalade sa plume à l'aide de ses crochets. Une fois arrivé au bout, il se laisse tomber en arrière, se retourne et prend son envol autour d'Andrea, qui l'anime en essayant de le perfectionner. Il manque un peu de grâce, et semble un peu flou, mais le feu qui naît de sa gueule chauffe. Manipule encore une fois ses attributs, tu verras que les écailles ne sont pas les mêmes, que les griffes ne sont pas les mêmes et que la corne manque de classe ! (effort exceptionnel)
6 : c'est un véritable Opalœil des antipodes qui s'anime de cette grossière statuette. Je ne sais pas si Maxwell m'a donné l'animal pour m'envoyer un message (Dumstrang = magie noire = Sevenoaks senior), mais je l'ai reçu, et en réalité, je mets cet auror à la retraite au défi de venir me trouver le moindre mal. (optimal) --> c'est le dé d'Octavia à prendre en compte ( au-dessus )