Quand Gwen avait pris une décision, elle s’y conformait. Alors quand elle avait finalement choisi potentiellement de le suivre contre un bon bain et un service de nettoyage, quelque chose de comique c’était passé aussi en même temps dans sa tête. Elle aurait pu avoir une jolie pile de galion, et ce qui l’intéressait c’était de cesser de sentir affreusement mauvais. Quelle fille! C’est Azrael qui en rirait un coup ce soir quand elle aurait récupéré une bouteille d’hydromel après leur quart de travail, si et seulement si, elle finissait par lui raconter toute l’histoire. Mais cette bouteille, elle serait pas de refus pour célébrer le fait qu’elle aurait réussi à rentrer, sans avoir nullement l’idée que ça arriverait, le petit bout de territoire Russe, l’ambassade, ou Yaga habitait actuellement. Elle se souvenait vaguement l’expression qu’elle avait eu quand elle était passé devant ces bâtiments, avec les grillages qui signifiaient de ne pas passer ainsi que le personnel qui s’occuper d’en bloquer l’accès. Ce qu’il avait l’air sérieux; à croire que leur seul devoir était d’avoir l’air aussi déplaisant les uns des autres. À moins que ça ne soit que typiquement le visage que faisait les gens de ce pays ? Va savoir! On lui avait gentiment demandé de circuler, et elle avait juste continué son chemin les yeux remplis d’une interrogation toute sérieuse. Ça avait l’air de grouillé, là-dedans, et pas sans raison! Elle avait récupéré sa Gazette à tous les jours, validant une bonne portion des histoires autant humoristique, que politique ou encore de fait inusitée.

Ces pas se faisant rapide, elle essayait de ne pas se laisser distancer par le plus petit qu’elle alors qu’il traversait une des routes les plus achalandé d’Angleterre, voir LA plus achalandé! Que lui disait-il ? Il voulait lui donner des objets pour ses cheveux; elle comprenait moyennement ce qu’elle pourrait en faire. Lâchez un peigne en pleine ville aurait assurément des répercutions particulièrement désastreuse. Déjà l’image se formait dans sa tête.

J’ai l’impression que tu t’attends à être souvent poursuivi.

Parce qu’honnêtement, c’était pas si loin de la réalité actuelle, non ? Il leur aurait bien fallu un peigne plus tôt. Attends, il allait pas lui dire qu’il en trainait un dans sa poche depuis le début et qu’ils s’étaient coltinés les trois rigolos alors qu’il avait un moyen sur de s’assurer qu’il ne les suivent tout simplement pas ? Et elle enchaîna tout simplement par lui expliquer pourquoi cette récompense lui allait très largement. C’était commode, sans pour autant lui coûter que le service. Elle aurait pu le garder pour plus tard, garder un bout de sa chemise dont les taches de sang n’était pas tout à fait disparu; mais elle aurait trouvé cela abusé de revenir plus tard pour quelques choses avec des buts et des intentions moins noble. Déjà qu’au départ, ces intentions ne l’étaient qu’à demi; elle se garderait bien de le lui dire.

C’est gratifiant d’avoir un peu de liberté. Mais ça vient avec des responsabilités.

Peut-être cela rendrait-il ces actions avec une texture plus honorable et gratifiante. Déjà, il arrive au grillage et elle le suit en calquant son pas au sien sans se laisser distancer. Il s’arrête pour parler à quelqu’un, et sagement, elle ne le salut pas, porter à regarder vers le haut et ces murs qu’elle n’a pu que voir de loin. Le voilà repartit, c’est qu’elle se rattrape avant de le suivre dans le hall. WOAH! Ça lui passe par la tête et il n’y a que ces grands yeux qui signalent que ça ressemble absolument pas à son dortoir actuel. Les lieux ont quelques choses de très protocolaires! Êtres vêtus et sentir aussi mauvais la rend alors assurément particulièrement mal à l’aise. Un elfe de maison passerait dans le coin et c’était pas ses vêtements qu’il nettoierait, ça serait littéralement elle qui serait jeter sur le perron pour avoir souillé l’endroit. Clac! Et elle serait dehors, comme la malpropre qu’elle a assurément l’air actuellement.

Mais son attention est attirée encore une fois par le jeune homme et elle avance vers lui avant qu’il jargonne quelque chose qu’elle comprend assurément. Mais c’est Gwen, alors :

Qu’est-ce que tu as dis ?

On pouvait pas passer à côté! Quand bien même elle n’aurait pas la réponse, elle s’engouffre quand même derrière la porte y jetant un regard étonné puis la fixe avant de se retourner vers le filet du hall qu’elle entre-aperçoit disparaitre. Elle l’entendit bouger, le léger glissement des semelles de chaussures sur un parquet assurément bien ciré; avant de tourner la tête vers Nikita. Déjà il faudrait qu’elle sache laquelle c’était! Pour ne pas y aller. Et puis la manière la plus facile de s’y conformer était quand même de juste le suivre, non ? À la place, son regard s’attarde au mur et au objet suspendu; peinture puis une sorte de pièce de métal accroché au mur, et quand elle arrive face à un large miroir ovale et peut voir son reflet, ça lui sort littéralement d’entre les lèvres.

Seigneur!

C’est largement pire que tout ce qu’elle ait pu songer. Elle passe ces mains dans ces cheveux, avant de se rendre compte qu’elles sont vraiment largement moins propres que ce qu’elle avait aussi imaginée. Elle file un regard vers une porte entrebâillée, de l’autre côté. Mue par la curiosité, elle se recule en mettant son poids sur sa jambe arrière. Il a dit pas entrer, regarder ça compte ? C’est sa chambre ? Si oui, il est archi-bien ce mec dans la vie. Son lit à l’air tout droit sorti de la brocante, même celui chez ces parents fait pitié à côté; mais c’est surtout la moquette et la déco qui a de quoi être impressionnant, bien loin de ce qu’elle aurait pu s’attendre en réalité. Manquerait plus que ça soit pile le moment ou le Domovoi sorte de sa cheminée pour l'attaquée comme une intruse, avant un timing terrible.

Elle savait à peine sur quoi son regard s’était posé. C’était tellement une grande pièce à comparer à sa propre chambre qu’elle s’était largement laissé berner à regarder la déco. Elle n’avait pas fait attention au désordre, ni aux peluches, ni au jouet en bois, son regard c’était attardé sur rien de cela, à priori qu’une vague impression de globalité juste avant de l’entendre à nouveau mais cette fois sur un ton furieux. Il repoussa la porte aussitôt, alors qu’elle lève les yeux vers lui plutôt étonnée. Un furet ? C’est qu’elle se mord l’intérieur des joues en pinçant les lèvres pour éviter de trop sourire. Ah pour être un furet, s’en est toute une! Elle va quand même pas le lui clamer.

Alors c’était ta chambre ? – finit-elle par dire sur un ton énigmatique. – Navré, c’était si grand. J’aurais cru un salon. Je cherchais pas à te vexer.

Mais c’était déjà fait, et quand elle capte la serviette entre les mains, en la tenant le moins possible pour l’y transférer l’odeur et les détritus, elle finit sans mal par lui emboîter le pas d’une manière plutôt déterminé. Ah! Il était là, le salon! C’est qu’elle glousse littéralement dans son esprit pour éviter le drame, avant de filer dans un nouveau couloir ou il finit par lui ouvrir une porte et lui donnant cette fois des instructions un à un. Déjà y’a quelques choses d’assez particuliers à l’idée d’entrée dans la salle de bain de maman Yaga. Surtout si elle peut ni toucher au robinet, au savon, etc. Et pour les tâches… elle pouvait qu’espérer. Après, sa baguette ferait largement le reste, advenant un incident. Les plus jeunes oublies souvent que leur aînée n’ayant plus la trace peuvent continuer de lancer des sortilèges comme ils veulent pour le restant de leur jour – assurément trop habituer par la coupure de l’été. – Alors, je vais devoir toucher à quelques petites choses pour me laver. Mais je vais me tenir à ce qui est habituellement utiliser, c’est bon pour toi ?

Elle cachait quoi dans sa salle de bain la matriarche de la famille; des explosifs, un coffre mangeur d’homme ? Il avait dit cela comme si elle devait s’attendre à voir des trucs – intéressant – louche. Ça lui donnait juste encore plus envie de les découvrir à vue d’aile. En vint finalement à ce qu’elle allait bien pouvoir porter, parce que logiquement elle allait pas se promener en peignoir ou en serviette le temps que ces vêtements soient propres. Ça serait affreusement gênant. Elle a envie de lever un doigt, elle aussi, mais ne se résout qu’à lui poser que la seconde question qui berce son esprit. Et ma robe, je la met où ? Parce qu’elle va clairement pas lui demander si elle prend aussi la lingerie de maman dans son tiroir, ça serait largement plus malaisant pour lui de devoir se poser la question. Ces dessous iront aussi au lavage… et ça ne fera simplement que confirmer une fois de plus que Gwen ne porte pas de culotte sous sa robe. Seigneur! Elle aurait l’impression encore d’avoir Bailey qui continuerait à la regarder avec des yeux ronds autour de ce feu de camp l’été dernier. Et puis, ça ne sera pas éternel, non ? – Ça va aller. T’inquiète! – Il y a toujours une solution aux problèmes, et généralement la majorité font des masses avec des broutilles, elle survivra au malaise.

Quand elle pousse la porte, c’est pour découvrir quelques choses de largement plus agréable que la douche microscopique de la commune ou elle habite. Elle reste un moment un peu ébahi avant de se rappeler qu’elle peut pas prendre tout son temps non plus. À moins de vouloir créer un incident diplomatique, avec Agatha, le mieux est d’arriver sans trop de délais; sinon ça sera la guerre, voir l’inquisition. En vrai, elle ne la détestait pas tant; mais l’entendre râler rendait tellement moins agréable.

Sa coule, l’eau, alors qu’elle ajuste les mesures. Et hop, on enlève tout et on s’immerge. Les étiquettes sur les pots, elle arrive pas à les lire, alors ça serait ce qui lui semble être une barre de savon avec ce qui lui semble le plus ressembler à un gant de toilette qu’elle se mettra à bien frotter partout. Pour ces cheveux, ça c’était plus compliqué. Outre les plongés dans l’eau, il lui fallut prendre un peu plus de temps pour déterminé à l’odeur et à la texture ce qui s’avérait être la bonne chose. Propre, elle sécha ses cheveux, avant de passer au corps, avant de cherche les tenues de maman Yaga. C’est étrange de fouiller dans les vêtements des autres. Étrange et particulièrement perturbant! Particulièrement passionnant. Elle passe ses doigts sur le vêtement, notant une fibre un peu plus rigide que le coton doux de sa précédente robe; avant de choisir une tenue dans le lot d’une manière totalement aléatoire. Dans tous les cas, elle sera assurément trop grande pour elle, ça ne lui sciera pas au teint ou elle aura juste l’air de s’être trompé d’armoire. Ce qui était vraiment le cas. Elle s’arrête sur le chemin; notant une petite dame, une poupée laissé là au centre de la table. Elle la fixe de ces deux yeux en peinture, sans pourtant bouger. Alors qu’elle pose la main sur elle, elle entend trois coups sur la porte, lui rappelant qu’elle est pas sensé resté éternellement ici. Oh mais, sa main se relève avec la tête de la gigogne; et puis il y a ce minuscule visage en dessous, pile poils comme le sien qui la fixe. Perturbant! Mais, elle allait la remettre en place quand elle se met à lui brailler dessus.

Il va savoir que tu le suivais, furet.

Ah non! Pas un autre qui l’insulte, c’est quoi cette manie avec ces pauvres petites bêtes. Elle la recouvre aussi rapidement, alors qu’elle s’attend à ce qu’elle lui balance encore des trucs à la gueule. D’ailleurs, comment elle sait ça, cette poupée. Mais elle enfile sa tenue, aussi rapidement possible. Noue la ceinture qui était accroché avec elle, sangle et noue les nœud du mieux qu’elle peut, avant de filer vers la sortie ces vêtements sales, la serviette et le gant de toilette, laissé à l’endroit exacte ou il lui avait dit. Mais surtout, l’esprit rempli de question par rapport à cette fichue statuette. C’était quoi ce truc ? Elle s’apprête à sortir de la salle de bain et pousse la porte.

J’ai été longue ?

C’était bien les garçons de dire que les filles étaient longues à se préparer. Il avait juste à sortir de la douche, enfiler des vêtements et même si leur cheveu était encore mouillé personne ne voyait la différence. C’est qu’elle avait fini par sécher ces cheveux rapidement avant d’appliquer le sort de lissage pour éviter qu’elle ait des frisotis évitant la brosse n’était clairement pas autant à vue. Lentement ces cheveux s’étaient placés alors qu’elle agita sa baguette d’une main et regardait et déplaçait les vêtements de l’autre. Il n’y avait eu que ce moment de flottement ou son regard c’était posé sur la figurine, un d’égarement ou alors qu’elle s’était vite tournée, la capsule lui était littéralement rester entre les doigts. Il y avait assurément tant de chose à regarder ici, tant qui attirait son regard.

Alors va savoir ce que la poupée lui scande alors qu’elle le suit du regard et qu’elle lui crie aussi à la tête. Elle sait pas trop ce qui se passe alors qu’elle glisse ces doigts dans ces cheveux sèche et droit, comme il aurait toujours dû se trouver. Oh là! Les accusations! Elles sont pas plus fausse que vrai. Tout dépend bien sur de ce que la gigogne peut bien avoir jargonné dans sa langue à lui. Et puis, qui sait comment marche ce truc ? Pas elle. Non. Bien qu’elle aimerait bien savoir maintenant qu’on s’en sert pour lui faire avouer rien de vraiment compromettant.

Elle en dit des choses! Je te suis depuis le Chemin de Traverse. – Oh combien cryptique comme parole; malgré tout la poupée ne pourra assurément pas dire le contraire, le bémol est de savoir exactement à quel moment elle s’est mis à le suivre. Dit petite poupée, tu fais cela aussi ? Parce qu’elle sera bien impressionnée du coup! – C’est même toi qui m’a mené jusqu’à ici. La douche t’a pas effacé la mémoire quand même ? - Elle fronce des sourcils, en replaçant sa ceinture de lainage qui ne semble pas vouloir tenir en place. Elle doit mal s’y être pris. Elle et les tenues traditionnelles russes, c’est pas gagné tout de suite; mais elle fera avec. Son regard se pose sur le vêtement, comme distraction la plus évidente, s’attendant presqu’à une contre-attaque. C’est elle contre la matriochka. Mais Gwen a pas mal de secret facile à éventer, elle n’est pas la personne qui se livre le plus. Raconter sa vie, ça risque d’être long longtemps si elle veut s’y adonner. D’autant qu’elle est littéralement une mine de secret d’un très grand nombre d’étudiants à Poudlard; tout viens à ses oreilles. Et pour le reste, si elle veut vraiment gratter, elle peut aussi potentiellement se servir. Elle ne l’utilisait que rarement, bien ça lui aurait largement utile de comprendre cette langue étrangère.

D’ailleurs, comment elle fais cela ? Elle lis dans ma tête ou quoi ?

Ça lui plaisait que moyennement. Déjà son attitude changeait. Si entrevoir par la porte d’une chambre était effrontée. C’était quoi comme poupée ensorcelé pour lui piquer ces souvenirs ou les deviner. Elle avait toujours pas pigé comment elle pouvait bien savoir cela. Et puis, même si elle l’avait vu sortir de la boutique de Mme Guipure, c’était pas elle qui l’avait poussé à se balader du côté de l’Allée des Embrumes. Ça n’avait jamais été elle.

Une espionne ? C’est quoi cette histoire ? Elle fronce les sourcils légèrement, avant de comprendre qu’il a l’impression qu’elle cherche spécifiquement quelques choses, mais c’est absolument pas le cas. Si la curiosité de Gwen y est pour beaucoup, c’est surtout actuellement mue par un mélange d’admiration et que l’envie d’en découvrir plus. Elle n’était pas là pour chercher dans les tiroirs, ni pour en sortir une information ou un objet spécifique. C’était pas cela que faisait les espionnes, déboulé dans le bureau à la recherche de LA preuve compromettante pour faire chanter quelqu’un. Elle faisait chanter personne, et avec sa tenue c’était plus à se demander si ça serait pas lui qui prendrait des photos pour la rendre mal à l’aise et la faire chanter par la suite. Ainsi elle laissa justement supposer le fait que c’était bien lui qu’elle suivait jusqu’à cette maison, non ? La gigogne, elle faisait quoi au juste ? Son regard s’affairant à se décaler de celui de son interlocuteur pour fixer la petite poupée un peu plus grande qu’une main. Elle lisait dans les pensées ? Si oui, elle l’entendrait probablement hurler si seulement il la soulevait pour une nouvelle fois. À la place, ce fût une pression sourde qu’elle sentit sur sa temple avant qu’elle ne se force à poser sa main directement dessus.

Mais je rêve!

Son arrière fit bien plus que la choquer alors qu’elle leva un regard mi-fâchée mi-exaspérée sur lui, tout en abaissant sa main en lui faisant un signe de son doigt levé.

TOI! Arrière! Ta place est pas dans ma tête.

Mais déjà, la jeune fille leva un front haut et fière avant de lui donner le change de son impertinence. Elle se pencha pour attraper ces propres boucles d’oreille laissé sur le lit avant de les mettre une après l’autre dans un calme rageur. Avant de finir sur un ton particulièrement abrupt, ajustant ces boutons d’oreilles alors qu’elle fichait la tige dans le papillon derrière son lobe :  Tu recommence et je te jure que je vais pas me gênée! C’est qui le furet maintenant? - Sa réaction est on ne peut plus normal, quoique sa suspicion à son égard est largement mal placée.  – Calme toi.  – Ce qui est largement applicable pour tous les deux, alors qu’elle réagit avec une lenteur démesurée pour placer la deuxième boucle d’oreille; lui offrant bien à vue ce que ces mains puissent contenir. Elle est légèrement tendue, certes, ce qui bousille un peu tout les bienfait de s’être lavé de la tête aux pieds. Oui, il y avait une part d’elle qui ne disait pas tout, mais c’était Gwen. Elle disait jamais tout ce qu’elle savait, certains seraient probablement détruit au passage et elle n’aimait pas vraiment le sentiment de les regarder tomber en morceau devant elle. À la place, elle préférait largement avoir l’opinion des deux parties, une image claire et non qu’une série de bride. Sa seule manière pour avoir l’image complète de ce que lui vivait, de ces réactions, était d’elle de rentrer dans sa tête. Elle aurait pu, si elle avait voulu; mais elle avait un boulot à rejoindre et largement pas le temps à écouter les jérémiades du gamin gâté pour lequel elle s’était fendu le cul pendant une bonne partie de sa journée.

83 du chemin de traverse. Juste à côté de la Boutique de baguette. C’est ou je loge, pour mes vêtements.

Parce qu’il avait demandé une adresse pour sa robe. Et il était mieux de la rapporter. En même temps, ne venait-elle pas de lui donner une donnée personnelle. S’il avait des doutes sur son identité ou ses intentions, peut-être se calmerait-il de savoir ou il pourrait la retrouver lorsqu’il arrêterait de lui faire de gros yeux. Lui tant pressé à lui donner son gage tout à l’heure. Comme quoi, sa parole pouvait largement se pervertir au moindre instant.