S'il (elle) devait choisir une seule matière ce serait laquelle ? : Même s'il a toujours adoré voler, sentir le vent dans ses cheveux et retrouver un semblant de liberté, ce ne serait pas ce qu'il lui viendrait en premier. Non le vol, ce n'est qu'un passe temps, une fuite de la réalité, mais ce n'est pas ce qui l'anime le plus. Ce qu'il aime par dessus tout c'est la botanique. Il se souvient encore des heures qu'il avait passé avec sa mère, à apprendre le nom des plantes, leurs caractéristiques et les compositions des différentes potions qu'elle prenait pour se sentir « normale ». Absolem se dit qu'un jour il trouvera la potion miracle qui pourra la guérir et que pour y arriver il devait apprendre, encore et toujours, connaître toutes les plantes qui recouvrent cette planète, pensant au fond de lui même qu'il doit bien y en avoir une qui pourra l'aider.

S'il (elle) s'approchait d'un chaudron d'Amortentia, il (elle) sentirait quoi ? : Absolem sentirait une note florale, du muguet très certainement, le dernier parfum que sa mère portée la dernière fois qu'il l'a vu. Peut-être une pointe de Belladone, si cette plante à une odeur car c'est le nom qu'il aurait pu porter s'il avait été une fille. Le jeune Moriarty pourrait y déceler la même odeur que l'encre qu'il utilise pour ses dessins et l'odeur de la peinture en train de sécher, comme celle qu'il sentait à chaque fois que sa mère se mettait à peindre.

Amortentia: le philtre d'amour le plus puissant
Identifiable par sa couleur nacrée caractéristique et sa vapeur qui s'élève en spirales très reconnaissables. Elle a une odeur différente pour chacun, par rapport à ce qui les attire.  source: EHP.


C'était comment avant Poudlard ?: (10 lignes minimum)

Avant Poudlard Absolem ne savait même pas que cette école existait. Il n'a jamais été vraiment conscient qu'il était un sorcier, tenant cela de son cher paternel qui avait pris la tangente un peu avant sa naissance. On lui a souvent demandé où était son père et s'il lui manquait parfois mais comment voulez-vous répondre que c'est le cas alors qu'on ne sait même pas ce que veut dire « avoir un père » ? Pour lui qui n'a jamais connu cet homme dont sa mère est tombée amoureuse, il n'y a pas de manque possible, l'idée d'avoir un père reste une notion très vague et pas toujours très avantageuse aux dires de certains. Si on ne lui avait pas dis qu'une vie de famille lambda c'était d'avoir un père et une mère, il ne l'aurait jamais su. Sa mère ne parle jamais de cet homme qui l'a abandonné et parfois Absolem se demande si elle s'en souvient vraiment. Il n'a jamais trouvé de photos de lui ou d'eux deux, ni de lettres, ni quoi que ce soit qui pourrait le mettre sur la piste de cet inconnu. Est-ce qu'il lui ressemble ? Est-ce qu'ils ont des points en commun? Il ne le saura peut-être jamais ou en tout cas c'était ce qu'il avait fini par se dire, résigné. De toute façon un homme qui abandonne une femme enceinte juste parce que ça ne rentrait pas dans ses plans d'avenir, ce n'est pas un homme intéressant à connaître. C'était donc préférable qu'il coupe tous les ponts avec sa « première famille » pour en construire une meilleure avec une seconde, ou peut-être une troisième, allez savoir jusqu'où Monsieur était capable d'aller pour obtenir une famille parfaite. Même les grands-parents d'Absolem refusait de parler de son père quand il leur avait posé la question. Pour eux c'était une histoire révolue et une belle erreur et que la seule bonne chose qu'il en était sortie, c'était lui. Pourquoi le détestaient-ils tant ? Qu'avait-il donc fait de si mal, en dehors de sa disparition soudaine dans la vie de leur fille ? Absolem était bien trop jeune à cette époque pour comprendre tout ce que cet abandon avait eu comme effet sur sa mère et il valait mieux pour lui qu'il continue à l'ignorer, le plus longtemps possible.

Les grands-parents d'Absolem vivait en Angleterre, mais ils tentaient de faire des allés-retours régulier à Stockholm pour vérifier que tout se passait bien. Ils appelaient toutes les semaines et demandaient un compte-rendu détaillé de tout ce qui s'était produit. Ils avaient obligé leur fille à suivre se faire suivre par un psychiatre et il avait fait de même pour le jeune homme, ce qui ne l'enchantait absolument pas, mais c'était le prix à payer pour garder leur indépendance. Le jeune Moriarty s'occupait de sa mère avec Maggie, une voisine de palier qui était infirmière. Elle appréciait la mère et le fils et était toujours prête à rendre service. Elle aidait Grace à payer les factures, prendre ses rendez-vous quand elle ne s'en sentait pas la force, faire les courses et tout ce qui pouvait paraître anodin aux gens, mais qui ne l'était pas quand on était atteint d'un problème mental. Grace était née avec une déficience mentale, liée à la grossesse difficile de sa mère. Elle possédait un intellect légèrement en dessous des gens lambda mais pouvait vivre sa vie comme elle l'entendait sans avoir à passer par des centres spécialisés. Mais étant une jeune femme très nerveuse, elle faisait beaucoup de crise de parano et d'hystérie, frôlant parfois la schizophrénie. Mais elle prenait son rôle de maman très au sérieux, voyant en Absolem sa réussite et sa capacité à faire des choses extraordinaires, comme tout un chacun. Oui elle était handicapée mais cela ne l'avait pas empêché d'avoir un enfant tout à fait normal. Ils étaient très proche tous les deux, s'occupant mutuellement de l'autre. Absolem veillait sur sa mère quand elle allait mal, qu'elle faisait une crise et évitait de le répéter pour ne pas qu'on l'interne car il savait qu'elle ne supporterait pas de perdre sa liberté et son indépendance. Sur ce point de vue là, tous les deux se ressemblaient beaucoup.

Mais malgré l'amour de sa mère, la vie n'était pas toujours simple pour l'enfant. Voir sa mère se détruire et tenter ensuite de remonter la pente n'était pas toujours simple. Voir les gens se moquer, juste parce qu'elle était différente était dur à supporter, pourtant il le fallait, il devait rester fort pour sa mère et la protéger. De nombreuses fois le jeune Moriarty a fini chez le Directeur de son école pour bagarres et même si le Directeur comprenait le jeune enfant, il ne pouvait tolérer cette violence. Normalement, voir un psychiatre devait l'aider à canaliser sa colère et apaiser sa peine, mais le jeune enfant préférait rester muet, ne voyant pas l'intérêt de parler à un homme qui ne connaissait qu'à peine son nom et qui se moquait éperdument de sa mère et lui. Il préférait s'ouvrir à Maggie quand le poids était trop dur et qu'il n'en pouvait plus, il savait qu'elle ne le jugerait pas et qu'elle l'aiderait au mieux.

C'est vers ses 9 ans qu'il a découvert qu'il possédait un don. Ce fut d'abord l'angoisse qui l'assaillit, se pensant fou, comme sa mère. Puis après s'être ouvert à elle, il comprit que ce n'était pas des hallucinations, que c'était bien réel. Elle lui expliqua tout ce qu'elle savait sur la magie – bien peu de chose finalement – et il découvrit le reste tout seul. Il entra à ses 11 ans à l'école de magie de Suède, avec la boule au ventre. Ce n'était pas de partir loin qui le dérangeait vraiment, c'était d'abandonner sa mère dans leur petit appartement miteux, en plein cœur de Stockholm. Allait-elle se débrouiller ? Qui allait s'occuper d'elle si elle faisait une crise ? Maggie lui promis de veiller sur elle. La première année se passa presque normalement, Absolem se faisait petit à petit à la vie de sorcier, il écrivait très régulièrement à sa mère, qui lui répondait pour le rassurer.

Ce fut vers ses 12 ans que sa vie bascula et qu'il en perdit totalement le contrôle. Un peu avant Noël, un homme vint frapper à leur porte. Absolem alla lui ouvrir et bien entendu ne le reconnu pas. Après tout il n'avait jamais vu de photo de son père et jamais on ne lui en avait parlé. L'homme l'observa un instant, avant de lui demander si sa mère était à la maison. Absolem hocha la tête et l'appela de l'entrée. Cette dernière arriva presque sur le champ et sans un mot, ferma la porte violemment sur l'inconnu, la verrouilla et attrapa Absolem par le bras pour l'entraîner vers sa chambre. Grace se mit à hurler, qu'il était inconscient d'ouvrir aux inconnus, qu'elle ne l'avait pas élevé comme ça et qu'il était puni. Elle était hors d'elle sans qu'Absolem ne comprenne pourquoi. Elle ferma la porte de sa chambre et alla ouvrir pour la seconde fois à l'inconnu qui tambourinait à la porte en hurlant le prénom de sa mère. Une discussion s'en suivit, assez violente, mais Absolem n'arrivait pas à entendre ce qu'ils se disaient. Sa mère était hors d'elle, paniquait, elle criait qu'il n'avait aucun droit de débarquer chez elle, qu'il n'avait pas le droit de lui prendre son fils, qu'elle s'en était bien occupée jusqu'à présent et qu'il ne pouvait rien lui dire. La « discussion » continua un moment et puis le silence revint. L'inconnu était parti en laissant Grace effondrée sur le sol, en pleure. Absolem sortit timidement de sa chambre et se précipita vers sa mère. Les Moriarty restèrent allongés sur le sol un moment avant que Grace décide soudainement qu'il fallait qu'ils s'en aillent. Grace était hors d'elle, paniquait, en pleine crise de paranoïa. Il allait revenir qu'elle disait, il fallait qu'ils s'en aillent loin, très loin pour qu'il ne puisse pas les retrouver. Qu'il ne le lui prendrait pas, qu'elle avait été une bonne mère. Absolem essayait de comprendre, lui demandant des explications, lui demandant qui était cet homme qu'il n'avait pas le droit de voir, mais n'obtint aucune réponse cohérente. Ces retrouvailles avaient bouleversé Grace et elle était en pleine rupture psychotique. Le soir même, bagages en main, la famille Moriarty s'enfuit dans le froid hivernal et se réfugia chez des amis à Grace, dans le Nord de la Suède. Ils y restèrent une semaine, avant que les autorités les retrouvent et les ramènent à Stockholm.

La suite reste encore flou dans les souvenirs d'Absolem. Tout ce qu'il se souvint c'était que l'homme était de nouveau là, à les attendre et que cela déclencha une nouvelle crise chez Grace. La mère d'Absolem fut interné à l'hôpital psychiatrique et le jeune homme se retrouva sans foyer ou en tout cas c'était ce qu'il crut. L'homme se présenta comme son père, Lord Albert Mycroft Henderson. Il lui expliqua brièvement qu'étant son géniteur, le droit de garde lui revenait en l'absence de sa mère et qu'Absolem devrait le suivre en Angleterre. Il prétendit comprendre que de se retrouver loin de sa mère devait être dur mais qu'ils trouveraient rapidement une solution en la faisant transférer à l'hôpital de Londres. On ne lui demanda bien entendu pas son avis et il se retrouvera de nouveau balloté vers une destination inconnu. Le jeune homme atterrit à Londres, dans une belle demeure familiale, en plein cœur de la ville. Il découvrit qu'il avait deux demi-soeur, dont une qui avait le même âge que lui, ce qui n'échappa pas au jeune Moriarty. Son père dû se résoudre, après insistance de son fils à avouer la vérité. Son père était déjà marié avec Miranda quand il rencontra Grace pour la première fois. Lors d'un de ses voyages d'affaire, il s'amouracha de Grace, mais ne pensait pas que cette simple nuit à l'hôtel aurait une conséquence aussi dramatique. Il apprit par les parents de Grace que leur fille était enceinte de lui et qu'ils espéraient qu'il ferait ce qu'il fallait pour réparer son erreur. Mycroft envoya de l'argent à Grace et lui interdit de le contacter. Lisbeth naquît trois mois avant Absolem et elle devint officiellement le seul enfant de ce cher Lord. Miranda donna une seconde fille à son époux, trois ans plus tard. Absolem planait au dessus de la famille Henderson, mais Miranda préférait jouer à l'autruche plutôt que d'ouvrir les yeux sur l'éventualité qu'un beau jour, un jeune homme sonne à leur porte en se présentant comme le fils légitime de ce cher Lord.

La cohabitation fut très dure pour tous le monde. Absolem ne parlait pas et quand il ouvrait la bouche c'était pour demander à rentrer chez lui. Lisbeth détestait ouvertement ce frère sortit de nul part et Miranda haïssait ce que représentait Absolem. Après tout, il était le fils unique de son époux, il pourrait prétendre à la succession comme ses filles et ça, c'était intolérable pour elle. Il n'y avait finalement que Catherine qui était ravie d'avoir un grand frère et qui aimait passer du temps avec lui, à l'écouter parler avec son drôle d'accent, apprenant chaque jour de nouveau mot dans sa langue natale. Ce ne fut que bien plus tard qu'Absolem comprit pourquoi son père avait débarqué à Stockholm, quand il se retrouva dans une salle d'auscultation. Visiblement on avait découvert une malformation naturelle de l'aorte, pas dangereuse quand elle était surveillée, mais qui pouvait avoir des conséquences dramatiques si on l'ignorait. Ses filles ne l'avaient pas, mais il y avait de forte chance qu'Absolem l'ait. Après avoir vu planer la possibilité d'avoir également la maladie de sa mère, il se rendait compte qu'il pouvait également avoir les tares de son paternel, ce qui l'enchanta au plus haut point. Absolem se retrouvait donc dans un pays qui n'était pas le sien, loin de sa mère, de ses grands-parents, dans une école qui n'était pas la sienne, avec une famille qu'il détestait et qui le lui rendait bien et en plus, il avait le droit à un bonus, la malformation de son père … La vie souriait vraiment à ce jeune Moriarty, mais jusqu'où irait-elle ?


Et une fois qu'il (elle) en sera sorti(e), il (elle) fera quoi ? :

Si Absolem devait écouter son géniteur, il deviendrait avocat. Il travaillerait d'abord avec lui avant de reprendre son cabinet une fois son père à la retraite. Il changerait bien évidemment son nom pour prendre celui de sa famille paternelle, afin de perpétuer la tradition des Henderson.
S'il devait écouter sa mère, il ferait se que bon lui semble, deviendrait qui il a envie de devenir, sans se soucier des avis des autres.
La liberté n'a pas de pris, c'est la plus belle chose qu'elle lui a offerte et c'est l'un des seul héritage qu'il aspire à récupérer coût que coût. L'argent aux yeux d'Absolem n'a aucune espèce d'importance, tout comme tous les titres du monde. C'est une entrave au bonheur et sa mère le comprit très tôt et tenta de l'inculquer à son fils. Peut-être qu'il est différent des autres, mais n'est-ce pas un avantage d'être unique ? Pourquoi vouloir ressembler aux autres alors qu'on peut sortir du lot ? Absolem ne suivra pas les traces de son père parce que malgré le fait qu'il vit chez lui, il ne l'a pas voulu, cela lui a été imposé et c'est déjà trop pour lui. A sa majorité, il oubliera qu'il a un père, une belle-mère et une sœur du même âge que lui. Il s'envolera pour Stockholm pour sortir sa mère de l'hôpital psychiatrique où elle se trouve, afin de s'occuper d'elle. Il retrouvera la trace de Maggie afin que les deux femmes puissent vieillir et finir leurs jours ensemble, comme elles l'avaient prévu quand il était enfant. Tout comme sa mère, il aime dessiner, c'est d'ailleurs lui qui a dessiné tous ses tatouages. Peut-être qu'il ouvrira une boutique de tatouages, une galerie d'Art ou il deviendra caissier dans un supermarché, le jeune Moriarty ne le sait pas. Tout ce qu'il sait c'est qu'il récupéra sa liberté et son indépendance et il retrouvera sa mère. Catherine viendra le rejoindre à Stockholm, pour un temps ou pour toujours et ils vivront selon leur conception de la famille.

Père: Lord Albert Mycroft Henderson : Mycroft est issu d'une vieille famille aristocrate anglaise. Il déteste son premier prénom et préfère qu'on l'appelle par son second prénom, Mycroft, voir qu'on l'appelle Lord Henderson, ça sonne tellement mieux. Mycroft est avocat, il a hérité du cabinet de son père à sa mort, qui l'a hérité de son père. C'est une vieille tradition des Henderson et Mycroft espère qu'un jour il pourra à son tour léguer son héritage à Absolem, à la seule condition qu'il abandonne le nom de sa mère pour prendre son nom. Mycroft est plutôt un bel anglais, grand, élancé, charismatique, mais très colérique et avare. Chaque mois il donne une somme d'argent à son épouse, qui doit gérer les dépenses et déteste quand elle vient lui réclamer plus d'argent. Il trouve les femmes bien trop dépensière à son goût et se targue d'avoir trouver la solution au problème de lapidation d'héritage.

Mère: Grace Alice Moriarty : Grace est la mère d'Absolem qui est sa plus grande fierté. Jeune anglaise partie à Stockholm pour vivre de sa peinture, elle ne réussit jamais à percer et dû se résoudre à trouver un petit travail pour subvenir à ses besoins afin de ne pas être obligé de rentrer en Angleterre. C'est une femme simple, souriante et charmante, quand elle est dans ses bons jours, mais quand une de ces crises arrivent, elle peut devenir totalement l'inverse. D'une nature calme, elle est capable de crier pour un rien, s'énervant de tout, fondant en larmes pour rien, suppliant, maudissant et insultant à tout va tous les gens qui lui passent sous la main. Elle a très mal vécu son enfance dans le village reculé où habitaient ses parents. Vu comme une enfant stupide et trop rêveuse, elle eut souvent le droit aux quolibets de ses petits camarades. Aujourd'hui revenir en Angleterre serait bien trop dur, trop de mauvais souvenirs, trop de stress, Grace ne supporterait pas.

Belle-Mère: Miranda Ann Clapperton-Henderson : Miranda est la femme officielle de Mycroft. Absolem pense qu'elle l'a toujours aimé, mais il a un doute sur les sentiments de son paternel à son égare. Le jeune homme le soupçonne d'en vouloir à Miranda de ne pas avoir été capable de lui donner un fils. Miranda est une femme soumise, qui obéit à son époux, pensant que c'est ainsi qu'une femme de son monde doit se comporter. Bonne mère, attentive aux besoins de ses filles et très stricte quand à leur éducation. C'est elle qui est chargée de leur trouver des percepteurs et de régler leur journée. L'arrivée d'Absolem est une chose qu'elle a toujours redouté et elle trouve que c'est trop tôt. Dans le fond, elle n'a strictement rien contre le jeune homme, trouvant même cela triste de le voir arraché à son monde et à sa famille de cette façon mais le savoir chez elle, dans un monde qui n'est pas le sien, c'est trop lui demander. C'est donc toujours patiente, mais froide qu'elle s'adresse à Absolem et ce n'est pas de sitôt qu'elle se dégélera.

Soeurs : Lisbeth Henderson : L'aînée de Mycroft et Miranda et finalement l'aînée de toute la famille. Elle a trois mois de plus qu'Absolem et prend toujours plaisir à le lui rappeler. Lisbeth déteste ouvertement le jeune Moriarty et ne se gêne pas pour toujours le dénoncer quand il fait une bêtise. Elle ne l'a jamais accueillie et ne rêve que d'une seule chose, le jour de son départ. La jeune fille est persuadée qu'il deviendra un trouble-fait et un vaurien et en rit d'avance. Il n'a strictement rien à faire dans son monde et il finira bien par s'en apercevoir.

Catherine Henderson : La petite dernière de la famille et la seule qui est ravie de voir débarquer Absolem dans leur vie. Elle le trouve très rigolo et très gentil et c'est la seule avec qui Absolem discute. Cathy est très proche du jeune homme qu'elle voit comme son grand frère et ne comprend pas pourquoi sa sœur se montre si froide avec lui. D'une nature gentille et souriante, elle lui rappelle un peu sa mère dans ses bons jours.