[EVENT D'HALLOWEEN] Le groupe GUILLOTINE

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halloween : groupe guillotine

cruz, elliot, isidore & perrin

The dead rise again, bats fly, terror strikes and screams echo, for tonight it’s Halloween.

J’avais réussi à dégager Elliot de la poigne de fer de la femme-zombie. Je ne sais pas par quel miracle j’avais eue tant de chance, mais j’étais sacrément content d’en avoir eu. Imaginez ce qui aurait pu arriver s’il avait fallu qu’il reste coincé. Et si elle s’était décidée à bouger et s’en prendre à nous ? Je préférais ne pas trop y penser. Autant éviter de se laisser emporter par son imagination. Se concentrer sur le présent était ce qui importait pour le moment. Le bras de mon ami par exemple qui avait une affreuse teinte rouge à l’endroit où la femme du lit l’avait attrapé. Je m’inquiétais de savoir s’il allait bien. « Ça fait super mal… » Exactement ce que je disais ! Je me penche un peu plus près pour observer sa blessure faisant remarquer qu’on allait être dans l’obligation de mettre de la glace en rentrant si on ne voulait pas que ça devienne mauvais. Elliot plonge ses yeux dans les miens ce qui me fait rougir jusqu’aux oreilles comme un débile. “ Prend sur toi Perrin ! T’as l’air d’une tomate doublé d’un triple crétin!”, me sermonnai-je mentalement. Heureusement que le jeune et noir choisit ce moment pour tourner la tête, observer notre environnement. Moi, je n’arrive pas à bouger les yeux de sur lui, comme hypnotisé. « Euh…merci beaucoup de m’avoir aidé. » ,ajoute-t-il se retournant vers moi un quart de seconde. C’est la phrase de trop qui me met mal à l’aise, me poussant à détourner le regard. « Y a pas de quoi. Tu aurais sans doute fait la même chose pour moi. », répondis-je d’une petite voix en repensant au premier cours de métamorphose lorsqu’il avait bravé Maxwell alors que je ne me sentais pas bien d’être enfermé dans la salle de classe. Soudainement, un râle se fait entendre du côté de la femme-zombie. Sursautant, j’attrape le bras de mon ami pour l’attirer un peu plus loin en arrière.

Une fois en sécurité, alors que tout est redevenu calme l’espace d’un instant, Elliot s’assoie sur le sol en soupirant. Il a pas l’air trop bien, ce qui m’inquiète. « Je me demande où ils sont passés... » Je n’ai pas bougé depuis qu’on a reculé, mais à la mention de nos camarades, je me retourne pour jeter un coup d’oeil en direction de l’armoire où - je suppose - ils ont disparus. « Au moins, ils ne sont plus dans la même pièce que l’autre morte. » J’avais dit ça en espérant au plus profond de mon coeur que là où ils étaient, ils n’avaient pas trouvé pire qu’une femme-zombie qui donnait des frissons dans le dos. « Ils ont peut-être même trouvé un moyen de sortir d’ici. »,lançais-je cette fois tout à fait optimiste. Elliot se lève d’un coup partant en direction de l’armoire. Il a l’intention de l’explorer plus en profondeur ? Il est vrai que je n’ai pas eu le temps de mener ma tâche à bien avant que cette folle ne le fasse prisonnier. Je le suis donc du regard, curieux de voir s’il va dénicher quoi que ce soit d’intéressant. Du coin de l’oeil, je vois du mouvement dans la direction du lit. Nerveux, je bondis pour me retourner dans ce sens croyant qu’il s’agit de la femme qui s’est remise à bouger. Je fronce les sourcils en me rendant compte qu’en vrai, c’est une chaise berçante qui s’est mise à se balancer toute seule. Elliot me jette un regard interrogateur auquel je réponds par un haussement d’épaules. Sérieusement, cette pièce, elle fait flipper ! La chaise se mets à bouger de plus en plus vite accaparent toute mon attention. Je sursaute en entendant un claquement dans la direction de mon ami. Me retournant, je remarque les portes de l’armoir qui s’ouvrent et se referment. Je me retourne pour regarder le reste de la pièce en prise d’un mélange d’inquiétude et de curiosité. Je ne rends bien vite compte que quelque chose cloche. Les objets, ils volent ! « C’est quoi ce bordel !? », dis-je à l’intention de mon ami vers qui je me retourne tout en parlant. J’étouffe un acclamation de surprise en m'apercevant que lui aussi, il lévite. « Elliot… Le sol… Tu… » fis-je en m’étranglant à moitié. Est-ce que moi aussi je subis le même sort ? Je baisse les yeux vers le plancher pour m’enquérir de ma situation. « Je lévite ! » Ma voix était pleine de surprise. Je jetai un coup d’oeil en direction de la femme sur le lit, me demandant si elle subissait le même sort que nous. Non. Elle n’avait pas bougé d’un cheveux. Est-ce que je devais trouver ça rassurant ou inquiétant ? Pas de temps de me faire une idée que mon attention est attiré par un bruit de fan venant du plafond. En levant la tête, j’aperçois un espèce de gros ventilateur là où il y avait des planches quelques secondes plus tôt. Je me sens attiré vers le haut, de plus en plus. Ça sent pas bon. Si on continue comme ça, on va se faire réduire en lambeaux en touchant le plafond ! « Faut s’accrocher à quelque chose ! Arrêter de monter ! » ,criais-je à mon ami afin de couvrir le bruit des portes de l'armoire devenue folle.

1 & 4 : Malgré mes efforts, rien à faire, je continue de monter vers le plafond comme un ballon. Je veux pas finir en pâté pour chat ! J’essaie de “nager” vers le bas, mais ça ne fonctionne pas. Au plus, j’arrive à ralentir un minimum ma progression, mais pas assez pour éviter de finir broyer. On est mal ! Ou plutôt ; je suis mal. La panique m'envahit tout comme la peur. J'ai envie de dire à Elliot de faire quelque chose, mais je n'y arrive pas. Les mots s'étranglent dans ma gorge...

2-3-5-6 : J’arrive à m’accrocher au lit. Je tends une main en direction d’Elliot pour tenter de l’attraper, le tenir loin de la fan. Il est un peu trop loin. Va falloir qu’il tire le bras dans ma direction que je puisse le retenir. « Attrape ma main ! », dis-je à mon ami d’une voix un peu trop aigüe. J’ai peur pour lui, mais également pour moi. Je veux pas qu’on meurt !

(c) DΛNDELION

Le membre 'Perrin S. O'Riordàn' a effectué l'action suivante : Le Hasard

'Le Hasard' : 4

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Perrin, Isidore, Cruz & Elliot

Event Halloween

Heureusement que Perrin était là pour m’aider à me défaire de la femme zombie, parce que tout seul, je m’en serais jamais sorti. C’est un peu la honte quand même, ne pas réussir à se dégager tout seul de la poigne d’une femme, mais j’y peux rien moi, j’vous jure elle a une force surhumaine. D’ailleurs, elle peut pas être à 100% humaine, c’est pas possible… Enfin bref, on s’est tous les deux écartés de la femme-zombie, parce que honnêtement maintenant je suis pas hyper à l’aise si je suis trop proche d’elle. J’ai toujours ma main valide sur mon poignet qui me fait mal, je vais avoir un bel hématome. « Y a pas de quoi. Tu aurais sans doute fait la même chose pour moi. » J’acquiesce d’un bref signe de tête. Effectivement, j’aurais fait la même chose pour lui. Je me vois mal le laisser tout seul à se débattre contre une folle à moitié vivante qui a décidé de lui agripper le poignet. C’est normal je trouve, c’est la moindre des choses. Avec tout ça j’en oublie presque qu’à la base, on était quatre. Mais où sont donc passés les deux autres ? J’ai beau y réfléchir, je vois pas comment ils ont bien pu disparaître comme ça en cinq secondes top chrono… Je concentre à nouveau sur l’armoire. Ils étaient tous les deux devant celle-ci la dernière fois que je les ai vu, et ils avaient l’air assez intéressés par ce meuble. « Au moins, ils ne sont plus dans la même pièce que l’autre morte. » Oui, certes. Mes yeux quittent l’armoire pour se poser une nouvelle fois sur la femme allongée sur le lit. « Peut-être qu’ils ont pire qu’une femme zombie à affronter aussi. » Je ne leur souhaite pas. C’est pas parce que je n’aime pas Izzie que je lui souhaite tout le malheur du monde non plus. J’suis pas si cruel. Je hausse les épaules à la réflexion de Perrin. Je sais pas pourquoi, mais je doute un peu qu’ils aient trouvé un moyen de sortir d’ici. Enfin après tout, qui sait ?

Je me lève par la suite pour partir vers l’armoire. Peut-être qu’il y a un truc qu’on a pas vu, quelque chose qu’on a loupé. Un truc ouais… Mais quoi ?! J’en ai pas la moindre idée ! J’examine le meuble en face de moi, mais un mouvement du côté du lit attire mon attention, et je tourne la tête pour constater que la chaise à bascule commençait à bouger toute seule. Ok d’accord, super… On aura tout vu ici ! Je lance un regard interrogateur à mon ami qui me répond simplement par un haussement d’épaules. La chaise bougeait de plus en plus vite, et ça commençait à devenir réellement flippant. Et puis maintenant les portes de l’armoire commencent à s’ouvrir, et se refermer violemment. Je sursaute en même temps que Perrin et instinctivement, je recule de quelques pas de l’armoire. Une sensation étrange commence à m’envahir. Comme si j’étais en train d’étouffer. Je me sens…oppressé. Oui c’est le bon mot : oppressé. « C’est quoi ce bordel !? » Je regarde partout autour de moi, les objets commencent à voler… Non mais c’est une blague ?! Mes yeux s’écarquillent, et je ne réponds pas à Perrin. De toute façon, je ne sais pas quoi lui répondre, moi aussi je suis perdu… Et plus les secondes passent, plus je me sens oppressé. J’ai cette horrible impression que tout bouge autour de moi… « Elliot… Le sol… Tu… Je lévite ! » Je fronce les sourcils tout en baissant les yeux en direction du sol. Quoi ?! Non mais…on vole. Littéralement. Perrin et moi sommes en pleine lévitation. Dit comme ça, ça a l’air cool ! Mais je vous assure qu’en fait, ça l’est pas vraiment. Je trouve ça même hyper paniquant. Tous les objets de la pièce volent. TOUS. Sauf la femme-zombie, et donc bien sûr son lit. Perrin me cri qu’il faut qu’on s’accroche à quelque chose. Je hoche la tête. Il est beaucoup plus réactif que moi. Moi j’ai l’impression de plus pouvoir réfléchir, je suis un peu en état de choc de ce qui est en train de se passer. Je regarde partout autour de moi et je tente de m’accrocher au premier truc qui me tombe sous la main.

5 & 1 : J’arrive à m’agripper à l’armoire. Elle n’est pas trop haute et il y a donc encore de la marge entre le plafond et moi. Je stresse, j’ai peur et j’ai les mains bien trop moites pour qu’elles parviennent à me tenir. J’essaie de m’agripper de toutes mes forces, mais au bout d’une dizaine de secondes, je relâche. Et me voilà reparti dans les airs. Je lève la tête et je constate que je me rapproche dangereusement du plafond…

2, 3, 4, 6 : Je m’agrippe à l’armoire. C’est le premier objet que je vois et qui semble assez stable. Pour le moment du moins. Je m’y accroche de toutes mes forces, et puis je lève la tête pour voir Perrin qui continuait son ascension. Je lui tends une main. « Attrape ma main !! » criais-je assez fort. Malheureusement, je n’ai pas le bras assez long, même si j’essaie de me rapprocher le plus possible de lui, il va falloir qu’il réussisse à se rapprocher de moi…

⇜ code by bat'phanie ⇝

Le membre 'Elliot A. O'Griffey' a effectué l'action suivante : Le Hasard

'Le Hasard' : 1

**Invité** Invité À SAVOIR DETAILS EN PLUS

happy halloween (ou pas)

Vous êtes tous les quatre toujours en vie ce qui est déjà un exploit non négligeable, mais pour combien de temps encore ? Cruz et Isidore viennent d’être fraichement accueillis dans une salle pas forcément accueillante désormais plongée dans la pénombre pendant que leurs deux camarades lévitent dangereusement vers un ventilateur meurtrier. Vous êtes dans la mouise, pour changer.

Hasard #1 – Isidore et Cruz
Vous ne le savez pas encore, mais vous ne ressortirez pas tous les deux vivants de cet enfer, un seul d’entre vous pourra espérer revoir un jour la lumière du jour, mais lequel. Les mains qui vous ont attrapé ne vous lâchent pas, pire encore, ce ne sont plus deux mains mais des dizaines qui vous attrapent, vous immobilisant totalement. L’obscurité ne vous permet pas de distinguer de qui il s’agit mais vous n’avez pas besoin de connaitre l’identité de ces personnes pour savoir qu’elles vous veulent du mal. Alors que vous êtes totalement entravés, une voix résonne dans la pièce. « Bienvenue dans la salle du jugement, ici nous vous réservons la peine que vous méritez et vous avez tous les deux été désignés COUPABLES, mais rassurez-vous, le sacrifice de l’un d’entre vous pourra sauver l’autre. Qui va vivre ? Qui va mourir ? Ce sera à TOI de le décider ! »
Impair – C’est à Isidore de décider qui de Cruz ou lui va devoir mourir.
Pair – C’est à Cruz de décider qui de Isidore ou elle va devoir mourir.
La personne désignée par la voix se retrouve entrainée vers la chaise et sanglée sur celle-ci, elle ne peut pas bouger mais n’est pas bâillonnée, elle va donc pouvoir donner sa décision. « Alors ? Ta vie ou la sienne ? Tu as dix secondes pour faire ton choix ou vous mourrez tous les deux. » Bon courage.

Hasard #2 – Elliot et Perrin
Votre ascension n’en finit plus et rien ne semble pouvoir arrêter votre progression vers le ventilateur de la mort. Vous essayez de nager vers le bas, de ralentir votre progression mais rien n’y fait, vous montez, montez et montez encore… La femme dans son lit se met à rire alors que le moteur du ventilateur fait un bruit de plus en plus assourdissant. Vous allez y rester, vous le savez maintenant, il n’y a pas de doute possible.
Impair – Elliot est le plus près du ventilateur, il est donc le premier à atteindre les hélices à se heurter à elle. Le choc est violent, Perrin ferait mieux de fermer les yeux s’il ne veut pas avoir à jamais en tête les images de son ami broyé par cet engin de torture nouvelle génération. En tout cas, ton ami ne sera plus d’aucune utilité à présent, pour Elliot, l’événement d’Halloween est terminé. Quant à Perrin, il s’écroule lourdement au sol tout comme tous les objets qui lévitaient autour de lui, laissant le corps de son ami au plafond.
Pair – Perrin est le plus près du ventilateur, il est donc le premier à atteindre les hélices à se heurter à elle. Le choc est violent, Elliot ferait mieux de fermer les yeux s’il ne veut pas avoir à jamais en tête les images de son ami broyé par cet engin de torture nouvelle génération. En tout cas, ton ami ne sera plus d’aucune utilité à présent, pour Perin, l’événement d’Halloween est terminé. Quant à Elliot, il s’écroule lourdement au sol tout comme tous les objets qui lévitaient autour de lui, laissant le corps de son ami au plafond.

HRP : Désolée pour la violence du post, je trouvais que vous vous en sortiez trop bien sifflote

!

Ce que vous devez savoir

Alors sachez déjà que vos personnages ne risquent rien et que si par malheur ils devaient souffrir affreusement (mourir serait plus juste) ils se retrouveraient juste sagement à la sortie de la salle, le cœur battant certainement bien vite mais en un seul morceau.

Ensuite, notez bien que, comme dans tous les événements organisés par l'école, vous n'avez pas vos baguettes magiques, ce qui ne vous dispense pas de lancer le dé à la moindre occasion (ouvrir une porte, chercher quelque chose, déplacer un objet, que sais-je encore). J'attends de vous AU MOINS trois échecs (et pas des semi-réussites, bien des ratés) à chaque fois, sauf pour ceux qui ont trouvé leur équipe, qui peuvent évidemment en avoir que deux.

Rappelez-vous cependant que vos personnages n'ont aucun moyen de savoir qu'il n'y a pas un truc qui cloche (qui sait si ce qui vous attend est bien ce qui était prévu à la base...?) donc le stress, la panique, tout ça, ça fait faire des bêtises, lâchez-vous donc dans les choix du dé, je vous laisse avec plaisir vous attirer tout seul des ennuis.

Bien sûr, vos RPs doivent faire le minimum demandé (300mots) et je vous conseille quand même de faire des RPs courts histoire que ça avance à peu près rapidement. Merci également de lire les posts de vos camarades, et si vous le pouvez, de mettre en évidence les noms histoire qu'on s'y retrouve.

J'essayerai de poster à la fin de chaque tour (ou au moins une fois par semaine si jamais il y a des absents, ils reprendront en cours de route) donc attendez-moi mes braves petits et bien sûr, si je vois que vous vous en sortez trop bien, je pourrai vous faire des coucous surprises. Et s'il y a la moindre question, c'est Savannah qui s'occupe de votre groupe donc c'est sa boîte à MP qu'il faut spammer !

Tous les personnages ont un chiffre de réussite supplémentaire

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Le membre 'Il était une fois...' a effectué l'action suivante : Le Hasard

#1 'Le Hasard' : 4

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#2 'Le Hasard' : 3

This is Halloween

I just keep crashing Living on my rations The bullets and the roses Devil and the poses Don't know where my ghost is Don't know where my home is Guess we never chose this I'm in the sea with Moses Looking for my roses I guess it's never hopeless The bullets and the passion Devils and the poises This has never happened Nothing ever happens Rob from always on the run dot net is so bad and copy paste is a sin
Nothing ever happens

Ce n’était pas Cruz. Il le ressentit immédiatement, la froideur des doigts, et la sensation de cette peau trop osseuse le fit s’écarter de quelques centimètres, ce qui s’avéra bien inutile. De plus en plus de mains, des dizaines, s’emparèrent de lui, et le maîtrisèrent sans difficulté, tandis qu’il tentait de se débattre, sans trop de succès puisque sa main droite refusait toujours de lui répondre. On l’entraînait loin de Cruz, sans qu’il ne puisse se défendre ou réagir, tandis qu’il peinait à comprendre ce qui lui arrivait. Alors qu’il essayait à nouveau de se défaire de l’entreprise de leurs assaillants pour venir en aide à son amie, on eut tôt fait de l’immobiliser complètement… Cette sensation d’impuissance, il revivait la même que celle qu’il avait éprouvé lorsqu’on lui avait fait subir le Doloris, lors de la première révolte. Qu’est-ce qu’on allait leur faire… ? Ça aussi, c’était encore un coup de l’école ? Ce directeur était vraiment un enfoiré de la pire espère, et si ça se trouvait, c’était lui qui les avait vendus aux mangemorts… "Bienvenue dans la salle du jugement, ici nous vous réservons la peine que vous méritez et vous avez tous les deux été désignés COUPABLES, mais rassurez-vous, le sacrifice de l’un d’entre vous pourra sauver l’autre. Qui va vivre ? Qui va mourir ? Ce sera à TOI de le décider !" La lumière se ralluma, juste au dessus de Cruz, sanglée à une chaise, trop faible pour éclairer le reste de la pièce. Il resta estomaqué, réalisant soudainement ce qu’on venait de lui demander. L’un d’eux allait mourir, et ce serait à elle de prendre la décision. La décision de qui d’eux deux aurait le droit de vivre. Vivre en sachant que sa survie aurait tué l’autre. L’autre, ce serait peut-être lui. Ou elle. "On est pas coupables !" ne put-il s'empêcher de hurler. "On a rien fait, allez vous faire foutre !" Le sang pulsa dans ses veines, et son coeur lui semblait sur le point d’exploser. Bam. Bam. Réfléchir dans ces circonstances demandait une énergie qu’il n’était pas capable de fournir. Une telle responsabilité relevait d’une monstruosité sans nom, et aucune solution ne lui venait… C’était horrible de leur imposer ça, ils étaient amis, et des amis n’avaient pas à vivre avec le poids d’une telle décision. Serrant le poing, comme si ça suffirait à étouffer la sensation d’injustice qui le dévorait de l’intérieur, il tenta d’intercepter le regard de Cruz. Sa position était absolument délicate, et faire ce choix allait être d’une difficulté innommable. « Alors ? Ta vie ou la sienne ? Tu as dix secondes pour faire ton choix ou vous mourrez tous les deux. » Dix secondes… ? Dix secondes pour faire un choix ?! C’était totalement inhumain, et infiniment trop court ! Mais Isidore n’eut pas besoin de réfléchir bien longtemps pour savoir quelle était la décision la plus logique. Et elle ne parviendrait jamais à la prendre toute seule s’il ne l’y aidait pas au préalable.

« Cruz… ? » appela-t-il une première fois, fébrile. Lorsqu’il fut certain qu’elle était capable de l’entendre, il la regarda fixement. Il déglutit, et s’efforça d’ignorer cette sensation pâteuse dans sa bouche, se rappelant qu’il avait éprouvé la même lorsqu’il avait été persuadé de rencontrer la mort, le soir de la révolte. « Cruz, il va falloir que… que tu te choisisses. T’as du potentiel, t’es brillante, t’as toute la vie devant toi pour aller aussi loin que tu le voudras. Je sais pas si je récupèrerais un jour l’usage de ma main. Prends pas ce pari. » déclara-t-il, aussi rapidement que possible, s’efforçant de mettre les mots les uns après les autres, et de ne pas les laisser se noyer dans un ramassis confus et inintelligible. Les dix secondes étaient presque à moitié écoulées, il devait faire vite, beaucoup plus vite. « Je sais que c’est dur, et que ce sera pas facile à vivre comme décision, mais il faut que ce soit toi. J’ai… j’ai confiance en toi, je sais que tu y arriveras ! » enchaîna-t-il sans tarder, tandis que la sueur perlait à son front. Il avait l’impression que les mains qui le maintenaient immobile s’enfonçaient lentement, au point que ça en devenait douloureux. A ce rythme, autant en finir le plus vite possible… il aurait voulu plus de temps, bien plus de temps ! « Il faut que tu dises à Spencer et Savannah que je suis désolé, dis… dis à ma mère que je l’aime. Tout va bien se passer Cruz, je te le promets. Ne… ne regarde pas ça ! » Il avait parlé aussi vite qu’il avait pu, mais le compte était terminé, c’était le moment de vérité. Lui n’avait aucune envie d’entendre la sentence être prononcée, ni de sentir la manière dont il franchirait la frontière entre la vie et la mort. Il n’avait jamais réfléchi au moment où il saurait qu’elle était imminente, et maintenant, il se rendait compte qu’il y avait trop de choses qu’il n’avait pas pu vivre, et qu’il ne vivrait probablement jamais. Il n’avait jamais fini de dire à son père tout ce qu’il avait sur le coeur, il ne s’était pas réconcilié avec Savannah, trop de choses étaient en suspens… mais Cruz avait encore toute la vie devant elle, et encore tellement de possibilités, il se sentirait monstrueux de lui ôter ça. Il ferma les yeux, pour ne pas avoir à assister à sa propre fin, sentant sa mâchoire se contracter. Avoir accordé sa confiance à cette école une deuxième fois était décidément ce qu’il avait pu faire de plus idiot, et il allait en payer le prix de sa vie.

black pumpkin

This is Halloween

feat. Cruz & Izzie & Perrin & Elliot

La température de la pièce descendit très rapidement jusqu'à devenir glaciale. Un frisson parcourut Cruz de la tête aux pieds. La jeune femme avait comme un mauvais pressentiment. Le vent s'engouffra dans ses cheveux alors qu'elle entendait des rires étouffés venus d'on ne sait où. Il ne lui semblait pas reconnaître la voix d'Isidore. D'ailleurs, où était-il ? Cruz essayait de le trouver à tâtons mais en vain. Ce qu'elle croyait être le vent qui caressait sa peau se révèla bien plus humain qu'elle ne le croyait. Alors qu'une brise glacée s'enroulait autour de sa taille, ce furent finalement deux mains glacées qui se posèrent sur ses hanches. Deux mains qui semblaient bien trop froides et squelettiques pour être celles d'Izzie. A peine eut-elle le temps de faire cette constatation qu'une autre main vint se plaquer sur sa bouche, l'empêchant ainsi de crier. D'autres encore l'encerclèrent, la saisirent de toute part tant est si bien qu'elle ne put bientôt plus se débattre. Impossible de compter combien de paires de mains différentes immobilisaient son corps, il y en avait beaucoup trop. Les sentirent contre sa peau nue donnait la nausée à Cruz. Son rythme cardiaque s’accéléra, tandis qu'elle essayait de crier sans succès. La pièce était plongée dans le silence le plus total. Qu'avait-il bien pu arriver à Isidore ? « Bienvenue dans la salle du jugement, ici nous vous réservons la peine que vous méritez et vous avez tous les deux été désignés COUPABLES, mais rassurez-vous, le sacrifice de l’un d’entre vous pourra sauver l’autre. Qui va vivre ? Qui va mourir ? Ce sera à TOI de le décider ! » Avant que la jeune femme ait pu comprendre ce qui lui arrivait, les mains la poussèrent sur la chaise que les deux Serpentards avaient aperçu en arrivant dans la pièce. Elles l'attachèrent à l'aide de sangles, ligotant la jeune femme pour l'empêcher de s'échapper. Cruz commença enfin à comprendre l'horreur de sa situation : elle allait devoir tuer quelqu'un ... Soit elle, soit son ami. La lumière se ralluma enfin, mais juste assez pour éclairer convenablement la jeune femme. Heureusement, elle distingua Izzie dans la pénombre : il n'avait rien, la voilà soulagée. « On est pas coupables ! On a rien fait, allez vous faire foutre ! » Cria le jeune homme à la voix qui venait de les déclarer coupables. Coupables de quoi d'ailleurs ? En voilà une bonne question. Quant à Cruz, elle était totalement incapable de produire le moindre son. Trop de pensées se bousculaient dans sa tête, toutes plus horribles les unes que les autres. Elle allait devoir désigner quelqu'un et elle n'avait aucune envie de le faire. Qu'est-ce qui était le mieux ? Mourir en martyr ou survivre avec la mort de l'autre sur la conscience ? C'était une équation insoluble. « Alors ? Ta vie ou la sienne ? Tu as dix secondes pour faire ton choix ou vous mourrez tous les deux. » QUOI ?! Dix secondes pour prendre une telle décision, mais c'était infiniment trop court. Cruz ne savait pas quoi faire, il lui fallait peser le pour et le contre. Elle avait toujours été une gosse rationnelle, qui avait besoin d'examiner toutes les données du problème avant de prendre une décision. Elle n'aurait pas cette chance aujourd'hui.

« Cruz… ? » La voix d'Izzie prononçant son prénom ramena Cruz à la réalité. Elle releva un peu la tête et plongea son regard dans celui de son camarade. Il semblait aussi désespéré qu'elle. « Cruz, il va falloir que… que tu te choisisses. T’as du potentiel, t’es brillante, t’as toute la vie devant toi pour aller aussi loin que tu le voudras. Je sais pas si je récupèrerais un jour l’usage de ma main. Prends pas ce pari. » Attendez ... elle avait forcément mal compris, ce n'était juste pas possible. Il était vraiment en train de lui demander de se choisir elle et de le laisser mourir, qui sait de quelle horrible manière. Ces mots ... ces compliments, pourquoi avait-il choisi de les utiliser comme des arguments en sa défaveur ? Cruz aurait tellement aimé les entendre en d'autres circonstances. La vie pouvait être bien cruelle parfois. « Je sais que c’est dur, et que ce sera pas facile à vivre comme décision, mais il faut que ce soit toi. J’ai… j’ai confiance en toi, je sais que tu y arriveras ! » Non, il la surestimait. Elle ne pouvait pas prendre cette décision, elle ne pouvait pas le sacrifier lui. Elle n'aurait pas pu le faire même pas pour son pire ennemi (eh oui Keagan, comme quoi ...). La jeune femme ne voulait pas mourir, comme l'avait dit Izzie elle avait encore tant de choses à faire et elle avait le potentiel d'y arriver. Mais elle ne se sentait pas non plus la force de désigner son ami, non elle ne pourrait pas vivre avec cette culpabilité sur ses épaules. A cause de son incompétence, ils allaient très certainement y rester tous les deux. « Il faut que tu dises à Spencer et Savannah que je suis désolé, dis… dis à ma mère que je l’aime. Tout va bien se passer Cruz, je te le promets. Ne… ne regarde pas ça ! » Ces derniers mots résonnèrent dans le cœur de la Serpentard. Isidore avait des amis, une fille qu'il aimait sans doute encore, une famille ... Des gens qui tenaient à lui et qui l'aimaient autant que lui les aimaient. Elle n'avait pas le droit d'arracher le jeune homme à ce bonheur : s'il mourrait, elle briserait non seulement sa vie mais aussi celle de ses proches. Quant à Cruz, elle ne manquerait à personne. Les paroles de Savannah, cet été, lui revinrent en mémoire : c'était en réalité bien triste de n'avoir personne à ses côtés, sur qui compter. L'Espagnole s'en rendait compte à présent : elle s'était trompée sur toute la ligne. Maintenant, il fallait être forte. Le temps était écoulé, elle devait rendre son verdict. Une larme roula sur sa joue tandis qu'elle fixait Isidore du regard. « Tuez moi. » Prononça Cruz avec une assurance qui l'étonna elle-même. Non, elle n'allait pas se montrer faible et elle n'allait pas leur faire le plaisir de s’effondrer. Isidore lui avait promis que tout se passerait bien, elle espérait vraiment qu'il allait tenir cette promesse. Qu'il allait lui pardonner ce choix et qu'il s'en remettrait, qu'il utiliserait sa vie pour faire de grandes choses parce que c'était un mec génial et qu'il méritait de s'en rendre compte. Parce qu'il était important pour quelqu'un, contrairement à elle. Cruz aurait voulu le lui dire, elle espérait que Savannah ou Spencer s'en chargerait pour elle. Alors qu'Izzie fermait les yeux, l'Espagnole l'imita. Cruz pensa à Ashley, à Edward, à ses copines du Club et sa dernière pensée fut pour Madison : elle aurait tellement aimé dire à cette gamine à quel point elle avait changé sa vie. Mais c'était trop tard désormais, la sentence allait être prononcée. Cruz espérait juste avoir droit à une mort douce et rapide, si possible.

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**Invité** Invité À SAVOIR DETAILS EN PLUS

happy halloween (ou pas)

Isidore ne peut absolument rien faire pour sauver Cruz, alors que la jeune fille donne sa réponse, il est repoussé sans ménagement dans l'ascenseur dont les portes se referment avant qu'il ait le temps de voir ce qui arrive à son amie. Celle-ci ne met pas très longtemps à rejoindre les morts puisqu'une main la saisit à la gorge, pressant cette dernière jusqu'à ce que le dernier souffle de vie s'échappe de ses lèvres. Merci d'avoir participé, l'événement d'Halloween s'achève ici pour toi. Pour Isidore en revanche, les choses ne font que commence, à peine les portes se sont-elles refermées que l'ascenseur remonte à vive allure poussé par une force inconnue. Il pensait probablement arriver à une nouvelle destination et tomber sur des inconnus mais c'est finalement l'inconnu qui va venir à lui puisqu'alors que l'ascenseur continue son ascension, son toit s'ouvre pour laisser passer le corps plus ou moins vaillant d'Octavia Rosenberg qui s'écroule aux pieds du Serpentard. Pour elle, un petit ascenseur vaut sûrement mieux que la boucherie à laquelle a dû assister quelques minutes auparavant mais l'homme à la tronçonneuse n'est peut-être pas loin... Vous n'avez pas le temps d'échanger le moindre mot pour comprendre ce qu'il s'est passé, l'ascenseur s'arrête net et vous vous retrouvez projetés à l'extérieur, passant les portes de l'armoire franchie préalablement par Cruz et Isidore. Vous vous écroulez au sol aux côté de Perrin. Vous voici de nouveau réunis. Bon courage.

HRP : L'event d'Halloween est terminé pour toi Cruzzie-chérie. Coeur

Je vous laisse accueillir chaleureusement Octavia, bon courage pour la suite !

Ce que vous devez savoir

Alors sachez déjà que vos personnages ne risquent rien et que si par malheur ils devaient souffrir affreusement (mourir serait plus juste) ils se retrouveraient juste sagement à la sortie de la salle, le cœur battant certainement bien vite mais en un seul morceau.

Ensuite, notez bien que, comme dans tous les événements organisés par l'école, vous n'avez pas vos baguettes magiques, ce qui ne vous dispense pas de lancer le dé à la moindre occasion (ouvrir une porte, chercher quelque chose, déplacer un objet, que sais-je encore). J'attends de vous AU MOINS trois échecs (et pas des semi-réussites, bien des ratés) à chaque fois, sauf pour ceux qui ont trouvé leur équipe, qui peuvent évidemment en avoir que deux.

Rappelez-vous cependant que vos personnages n'ont aucun moyen de savoir qu'il n'y a pas un truc qui cloche (qui sait si ce qui vous attend est bien ce qui était prévu à la base...?) donc le stress, la panique, tout ça, ça fait faire des bêtises, lâchez-vous donc dans les choix du dé, je vous laisse avec plaisir vous attirer tout seul des ennuis.

Bien sûr, vos RPs doivent faire le minimum demandé (300mots) et je vous conseille quand même de faire des RPs courts histoire que ça avance à peu près rapidement. Merci également de lire les posts de vos camarades, et si vous le pouvez, de mettre en évidence les noms histoire qu'on s'y retrouve.

J'essayerai de poster à la fin de chaque tour (ou au moins une fois par semaine si jamais il y a des absents, ils reprendront en cours de route) donc attendez-moi mes braves petits et bien sûr, si je vois que vous vous en sortez trop bien, je pourrai vous faire des coucous surprises. Et s'il y a la moindre question, c'est Savannah qui s'occupe de votre groupe donc c'est sa boîte à MP qu'il faut spammer !

Tous les personnages ont un chiffre de réussite supplémentaire

This is Halloween

I just keep crashing Living on my rations The bullets and the roses Devil and the poses Don't know where my ghost is Don't know where my home is Guess we never chose this I'm in the sea with Moses Looking for my roses I guess it's never hopeless The bullets and the passion Devils and the poises This has never happened Nothing ever happens Rob from always on the run dot net is so bad and copy paste is a sin
Nothing ever happens

« Tuez-moi. » Il peina à réaliser que c’était les mots qui venaient de sortir de la bouche de la jeune femme. Il ouvrit lentement les yeux, et la toisa, sans comprendre. Elle se sacrifiait. Ça n’avait strictement aucun sens, tout ceci le dépassait complètement. Il remua du mieux qu’il put pour se défaire de l’emprise des mains qui l’entravaient. Le goût pâteux dans la bouche revenait, tandis qu’impuissant, il était traîné hors de la salle au sein de laquelle ils venaient d’être jugés pour un crime qu’ils n’avaient pas commis. « Non ! Elle sait pas ce qu’elle dit, arrêtez ! » Sans surprise, ses protestations étaient ignorées, et il s’éloignait progressivement de la jeune fille sanglée et désormais condamnée, entraîné malgré lui. Ses forces étaient insuffisantes pour lutter contre une puissance probablement supérieure… « Lâchez-moi ! LÂCHEZ-MOI, CRUZ… ! CRUZ FAIS PAS ÇA, ARRÊTE ! CRUZ ! » s’époumona-t-il tandis qu’il se débattait, toujours en vain, et qu’on le repoussait dans l’ascenseur.

Les portes se refermèrent malgré ses efforts pour les maintenir ouvertes, et il martela alors du poing gauche les parois dans l’énergie du désespoir, tandis que sa prothèse laissait simplement échapper un bruit métallique lorsqu’elle rencontrait la surface en acier. Il s’effondra le long du mur, pour se laisser négligemment retomber sur le sol, alors qu’il peinait à réaliser ce qui venait de se passer : ils avaient pris Cruz. Elle était morte pour qu’il vive. Pourquoi ? Ça n’avait aucun sens… ! Elle avait tout gâché, tout, tout ce qu’elle aurait pu entreprendre… ! Et pourquoi, pour qu’il continue de geindre comme un marmot ? Certainement pas. Il fit du mieux qu’il put pour faire taire la haine grandissante qui s’emparait de lui pour se reprendre, et prit une décision : s’il sortait d’ici, il ne laisserait pas la direction s’en tirer comme ça, peu importait ce qu’elle avait pu croire, que c’était dans leur intérêt ou il ne savait trop quoi. Et alors que l’ascenseur remontait, sans qu’il ne sache quelle direction il empruntait, son plafond s’ouvrit brusquement pour laisser tomber quelqu’un à l’intérieur. Surpris, il eut tout juste le temps de s’écarter, avant de chercher à identifier la jeune fille qui venait de choir à côté de lui. Il la regarda, un peu médusé, tandis que l'ascenseur prenait de plus en plus de vitesse, se questionnant sur ce qui était en train de leur arriver. Cette soirée devenait complètement surréaliste...

Il n’eut pas le temps de chercher à faire connaissance, ou tout du moins de remettre en ordre les différents éléments de la soirée, puisqu’une force inconnue les projeta à l’extérieur de l’armoire, dans la salle du début de leur macabre aventure. « Eh, ça va ? Rien de cassé ? » s’enquit-il en tendant une main à la jeune fille pour l’aider à se relever. Maintenant qu’il avait un peu plus le temps de l’observer, il était presque sûr de l’avoir déjà vue. C’était une née moldue, et si sa mémoire ne lui faisait pas défaut, une des copine de Jill Adams. « Qu’est-ce qui t’est arrivé… ? » demanda-t-il prudemment, cherchant à comprendre d’où elle pouvait bien sortir. En face d’eux, il retrouva Perrin, un peu livide, qui ne semblait pas au meilleur de sa forme… « Perrin, comment tu… ? Oh, bordel. » commença-t-il en entrouvrant la bouche. La vue du corps déchiqueté d’Elliot lui donna instantanément la nausée, et il dut détourner le regard pour ne pas avoir à la supporter. C’était une vraie boucherie… qu’est-ce qui avait bien pu se passer ici ? Alors il n’aimait peut-être pas des masses le Poufsouffle, mais pour autant il était bien loin de souhaiter sa mort, et encore moins un sort aussi atroce… Leurs différends lui paraissaient tout à coup bien futiles à côté de l’horreur de la situation. Il devait se reprendre : la mort de Cruz l’affectait profondément, mais elle avait donné sa vie pour la sienne, même s’il ne comprenait toujours pas son geste. Ils étaient encore trois, et s’ils voulaient sortir de cet enfer vivants, ils allaient devoir y mettre du leur.

1-5 : Les pupilles de Perrin se dilatent brusquement, jusqu’à devenir blanchâtres. Son regard change du tout au tout, et il semblerait… qu’il ne soit plus vraiment lui-même. Isidore consulte Octavia du regard, un peu dubitatif. Est-ce qu’il serait… possédé, par une entité quelconque… ? Peut-être ne vaut-il mieux pas attendre de le découvrir.

3-4 : Les pupilles d’Octavia se dilatent brusquement, jusqu’à devenir blanchâtres. Son regard change du tout au tout, et il semblerait… qu’elle ne soit plus vraiment elle-même. Isidore consulte Perrin du regard, un peu dubitatif. Est-ce qu’elle serait… possédé, par une entité quelconque… ? Peut-être ne vaut-il mieux pas attendre de le découvrir.

2-6 : Soudainement, Isidore perd toute lucidité. Il ne sait pas ce qui lui arrive, mais ce qui est certain, c’est qu’il n’a plus aucun contrôle sur lui-même. D’ailleurs… il ne connait pas du tout ces deux élèves qui lui font face. Tout ce qu’il sait, c’est qu’ils doivent mourir…

black pumpkin

Le membre 'Isidore M. Vayne' a effectué l'action suivante : Le Hasard

'Le Hasard' : 1

**Invité** Invité À SAVOIR DETAILS EN PLUS

les citrouilles à la guillotine

Octavia nage en plein cauchemar. Alors que son plan se met en marche et que le canapé commence à flamber, elle se met à penser qu'elle peut venir à bout de leur terrible adversaire. La pensée de Shaelyn découpée à la tronçonneuse lui restera à jamais gravée dans la tête. Elle n'a pas osé regarder la mort de Saskia, qui a subi le même sort. Quand à Serafina, elle pensait pouvoir s'en sortir avec elle, ce qui la traumatisait davantage parce qu'elle se retrouvait seule face à cet homme complètement fou.
La jeune femme avait hurlé alors qu'il fondit vers elle. Elle était incapable de bouger, incapable de penser à faire le moindre geste pour se défendre. Elle aurait pu grimper par la fenêtre, qu'elle venait de briser, mais elle aurait été trop lente. Par Merlin, pourquoi n'avait-elle pas cherché à fuir et se cacher en premier lieu ? Avec Serafina, peut-être serait-elle restée en vie !

Le sol s'ouvre littéralement sous ses pieds. Sa chute est longue et elle croit manquer d'air alors que son hurlement persiste et lui revient en échos. La chute semble ne jamais se finir, et en réalité, Octavia vient à penser qu'elle préférait qu'elle ne se finisse jamais que de tomber d'une telle hauteur. Elle allait se briser les os à l'arrivée ! La chute ne se fait pas attendre. Des étoiles dansent sous ses yeux, mais paniquées, son instinct de survie reprend le dessus et elle se relève comme elle peut pour observer cette nouvelle scène étrange. Elle tremble de la tête aux pieds et met un moment avant de reconnaître Isidore comme un allié dans ce terrible cauchemar. Elle lève les yeux pour observer la petite cage d'ascenseur qui fait un drôle de bruit en se déplaçant. Elle est en pleine crise de panique et elle s'accroche à la paroi de l'ascenseur, fondant en larmes sans pouvoir ouvrir la bouche.
Ses pieds quittent à nouveau le sol et bien qu'elle s'accroche à une barre métallique de l'ascenseur, elle est projetée à même titre qu'Isidore hors de l'ascenseur. Le choc la force à s'arrêter de sangloter toute seule et elle s'oblige à respirer calmement. Leur calvaire n'était pas terminé, elle devait reprendre ses esprits et vivre. « Eh, ça va ? Rien de cassé ? » Cette petite phrase calme sa crise alors que la panique est toujours présente. Il lui tend la main, mais elle lui attrape le bras et s'y agrippe sans pouvoir le lâcher. C'est impossible qu'elle se calme véritablement. Elle hoche de la tête. Elle n'avait rien, elle n'était pas blessée, elle était juste traumatisée, à juste titre. « Qu’est-ce qui t’est arrivé… ? » Agrippée à lui, ses lèvres tremblent et elle doit s'y reprendre trois fois avant qu'un son ne daigne à sortir de sa bouche. « Un taré avec une tronçonneuse ... Shaelyn morte, Saskia morte, Serafina morte ... Qu'est-ce qu'on fout ici ... ?! » Et elle fond en larmes, incapable de pouvoir en supporter davantage. Elle ne se doute pas que cette réalité est une belle et fausse illusion. « Perrin, comment tu… ? Oh, bordel. » Elle lève les yeux vers Perrin, se rassure et s'inquiète à la fois. Elle n'avait pas envie de voir son allié de la Forêt Interdite se faire transpercer par une tronçonneuse. Une ennemie est déjà assez révoltant, elle ne voulait pas connaître ce qu'elle ressentirait pour un ami. Juste derrière lui, elle aperçoit le cadavre d'Elliott, complètement déchiqueté. Cette nouvelle vision d'horreur lui donne la nausée et elle croit vomir. Elle ne portait pas forcément Elliott en affection, mais en réalité, elle se rendait compte qu'elle n'avait pas grand chose à lui reprocher. Elle se raccroche à Isidore, qu'elle fixe pour se donner du courage de continuer. Il n'y a pas d'ennemi, heureusement, mais elle suit son regard inquiet et ouvre la bouche d'effroi alors qu'elle fixe les yeux de Perrin, blancs et exorbités. « Arrête ça Perrin, c'est pas le moment ! » Mais ce n'était pas son genre de blaguer dans une telle situation et le long silence ne lui disait rien qui vaille. Elle questionne Isidore du regard sans savoir quoi faire. À quoi ils avaient eu à faire, jusqu'à présent ? De la possession ? Elle se ressaisit et est frappée par cette pensée. Sans prévenir, Octavia lâche le bras d'Isidore et fout un pain à Perrin histoire de gagner du temps.

1 - 3 - 5 - 6 : elle vise la tempe et Perrin s'effondre au sol, il sera sonné pendant quelques instants, mais reviendra vite à lui-même, surtout s'il est réellement possédé ...
~~2 - 4 : elle vise mal la mâchoire et hormis un petit coup de poids plume, Perrin - et l'entité qui le possède - est tout à même de réagir, même beaucoup plus réveillée, à présent ...~~

Octavia attrapa un bras de Perrin et le tire vers le lit. Elle détache la ceinture de son pantalon et emprisonne le poignet du gryffondor autour de la structure métallique du lit en serrant un maximum. « Vous avez eu affaire à quoi jusqu'à présent ? » Le courage semble être revenu, à moins que ça soit son énergie du désespoir, ou son instinct de survie ... En tout cas, une chose est sûre, elle ne veut pas mourir.

Le membre 'Octavia Rosenberg' a effectué l'action suivante : Le Hasard

'Le Hasard' : 1

This is Halloween

feat. Cruz & Izzie & Perrin & Elliot

« Non ! Elle sait pas ce qu’elle dit, arrêtez ! » Alors que Cruz se préparait à subir la terrible sentence à laquelle elle s'était condamnée, la voix d'Isidore lui fit rouvrir les yeux. Elle aurait préféré ne rien entendre, cela aurait été plus simple. Croiser le regard désemparé de son ami lui serra le cœur et elle dut retenir à grande peine ses larmes. Il fallait qu'elle se montre forte, qu'elle lui prouve que tout allait bien se passer et qu'il allait s'en sortir. Qu'elle allait partir en sachant qu'elle avait pris la bonne décision et que lui donner cette chance avait été la meilleure action de sa vie. Oh, bien sûr, elle allait regretter beaucoup de choses. De ne pas être devenue quelqu'un à la hauteur de ses ambitions. De ne pas avoir dit aux personnes qu'elle aimait à quel point elles étaient importantes à ses yeux. De ne jamais avoir découvert qui était ses vrais parents ... Mais, au moins, elle avait la satisfaction de finir cette courte vie sur une bonne note. La mère d'Isidore retrouverait son fils sain et sauf et Cruz aurait ainsi sauver deux vies. Cela ne pouvait pas se dérouler autrement. « Tout va bien se passer, j'ai confiance en toi. » Assura la préfète de Serpentard avec un petit sourire triste. Elle observait la multitude de mains entraîner Izzie vers la sortie et cela la soulagea. Il n'aurait pas à assister à ça, il ne la regarderait pas mourir. Elle n'aurait pas à attendre ses supplications jusqu'au bout. Cruz se voulait forte, mais elle voulait surtout en finir le plus rapidement possible, avant que la pression ne la fasse craquer.

« Lâchez-moi ! LÂCHEZ-MOI, CRUZ… ! CRUZ FAIS PAS ÇA, ARRÊTE ! CRUZ ! » Hurla Isidore en essayant de se débattre, avant que les portes de l’ascenseur ne se referment définitivement sur lui. Les larmes de Cruz, retenues si longtemps, purent enfin rouler le long de ses joues, silencieusement. Mais l’accalmie fut de courte durée. Une main vint saisir la gorge de la jeune femme et commença à serrer, serrer, de plus en plus forte. Un sursaut de fierté s'empara de Cruz, qui cessa instantanément de pleurer alors qu'elle commençait à suffoquer. « Fils ... de ... » Essaya de prononcer l'Espagnole, tandis que ses forces et son souffle l'abandonnaient. « ... pute. » Et voilà, s'en était fini. La jolie Cruz Rosewood venait de rendre son dernier souffle, sa tête retomba lourdement sur son épaule alors qu'un sourire ornait ses lèvres. Elle avait tenu jusqu'au bout, défiant les instances divines de toutes ses forces.

Au même instant, les yeux de Cruz se rouvrirent dans une autre pièce. La jeune femme avait atterrit sur le sol dur et froid de la Cabane Hurlante. Avant même de chercher à savoir ou elle se trouvait, Cruz inspira une énorme bouffée d'air tout en portant immédiatement la main à son cou. Vivante ... elle était vivante ! La jeune femme avait donc eu raison de soupçonner un coup de la direction, alors que les murs de l’ascenseur se refermaient sur Izzie et elle. Un fou rire incontrôlable s'empara de la Serpentard, alors qu'elle se redressait. Bordel, elle était vivante ! Elle allait revoir Poudlard, les gens qu'elle aimait, pouvoir continuer sa vie ! Elle pensa immédiatement à Maddie, il fallait absolument qu'elle lui dise tout ce à quoi elle avait pensé alors qu'elle était attachée à cette chaise. Avant qu'il ne soit trop tard. Puis elle pensa à Izzie, qui était resté dans cet enfer virtuel. Lui aussi, elle devait lui dire ce à quoi elle avait pensé en choisissant de le laisser vivre. Mais avec le jeune homme, Cruz savait que les confidences seraient plus compliquées. Ce choix, qu'elle avait dû faire, allait-il avoir un impact sur leur amitié ? Toute occupée à ses pensées, la jeune femme n'avait pas remarqué qu'elle n'était pas seule dans la pièce. Ce n'est qu'en se relevant complètement qu'elle aperçut Elliot, dans un coin de la pièce. Depuis combien de temps était-il là ? Dur à dire, Cruz ne l'avait pas entendu arriver. « Alors, t'es mort comment ? » Le questionna-t-elle, d'un air détaché. Au fond, elle savait pertinemment que cet événement allait la marquer pour très longtemps. Rien que d'y penser, elle reporta la main à sa gorge. Plus jamais d'endroit sombre, plus jamais d'ascenseur, plus jamais attachée ! Plus jamais de choix aussi terrible que celui qu'elle avait dû faire ... Même si c'était aussi la chose dont elle était la plus fière, elle n'allait certainement pas le crier sur tous les toits. Elle parlerait juste de l'étranglement, point final. Le reste ne regardait qu'elle ... et Isidore.

made by guerlain for bazzart

**Invité** Invité À SAVOIR DETAILS EN PLUS

halloween : groupe guillotine

Isidore, octavia & perrin

The dead rise again, bats fly, terror strikes and screams echo, for tonight it’s Halloween.

On s’était senti monter, monter et monter avec Elliot. Comme des ballons. Exactement comme le reste du mobilier dans la chambre. Tout subissait le même sort que nous à l’exception de la femme-zombie qui, assise sur son lit, n’avait pas bougée depuis qu’elle avait attrapée le poignet d’Elliot. J’ai tenté de me rattraper à quelque chose, m’empêcher de voler comme une plume, sauf que je n’y étais pas arrivé. Rien à faire. Pas moyen d’attraper quoi que ce soit. Mon ami avait tenté de faire comme moi, de se rattraper à quelque chose. Il avait eu plus de chance en attrapant de haut de l’armoire. Une chance bien courte puisqu’il finit par lâcher sa prise. Une très mauvaise chose vu le ventilateur qui tournait en malade au plafond annonçant un fin très peu envieuse pour nous si nous n'arrivions pas à redescendre. J’aimais mieux ne pas y penser… Chose plus facile à dire qu’à faire comme Elliot s’en approchait dangereusement. Un peu trop près et…. J’écarquille les yeux lorsque je vois le poufsouffle heurter les hélices. La suite, elle restera gravée dans mon esprit à jamais. Il… Le ventilateur… Je n’ai rien pu faire pour l’aider et même que j’aurais été incapable puisque d’un coup, le sortilège de lévitation s’efface. Comme tout le reste des choses qu’il affectait, je retrouve le sol assez brutalement. Le choc fait mal, mais pas autant que les images du corps d’Elliot réduit en bouillie quelques secondes plus tôt. Je sens mon visage tout poisseux. De la manche, je tente de l’essuyer. Grave erreur puisqu’elle se teinte d’un liquide rougeâtre ; du sang. Celui d’Elliot…. Mon estomac proteste. Aucunement la force de tenter de le retenir. Je vomis une première fois. Puis une seconde. Je ne sais pas combien de temps je suis ainsi malade. J’en ai rien à foutre en vrai. J’ai juste envie que tout ça s’arrête. Je regrette d’être venu à cette soirée d’Halloween. J’aurais pas dû… Je suis en proie d’un nouveau soubresaut de mon estomac qui est déjà vide lorsque j’entends un DING! sonore. Je relève la tête pour voir d’où ça vient. Deux personnes sont rejetées de l’armoire. Je reconnais rapidement Isidore, mais il n’est pas avec Cruz. Il est avec une blonde ; Octavia. Mais… Elle est où Cruz ? Pas le temps de demande, Isidore est le premier à ouvrir la bouche. « Perrin, comment tu… ? Oh, bordel. » Je vois le serpentard lever la tête vers le plafond. Pas le temps de le prévenir que c’est une mauvaise idée qu’il se détourne du corps déchiqueté d’Elliot. Octavia a une réaction semblable, s’accrochant à Isidore. Moi, je me sens juste complètement vide - pas de mauvais jeu de mot. Je suis mal, tremblant et j’ai envie de dormir. Je ferme les yeux une minute, juste le temps de reprendre mes esprits. Je me sens partir d’un coup. Comme si je m’étais vraiment endormi. Peut-être que je rêve depuis le début en vrai ? « Dormir ? J’ai trop longtemps dormi. Il est temps de se réveiller. », me dit une voix inconnue dans ma tête. Surpris, j’ouvre les yeux d’un coup pour essayer de voir d’où vient cette voix. Il n’y a que mes deux acolytes devant moi. Personne d’autre. « Ils ne peuvent pas me voir. C’est que nous deux maintenant. Ou plutôt moi, parce que c’est à ton tour de dormir ! » Dormir ? Je veux bien, mais pas tout de suite. C’est pas le temps. Il faut… « Arrête ça Perrin, c'est pas le moment ! » ,lâche Octavia en me regardant, les yeux exorbités. Je comprends pas. J’ai rien fait moi. J’ai même rien dit ! Puis d’un coup, elle est sur moi. Ou plutôt, son poing est sur moi. Je sens la douleur se répandre dans mon corps puis, plus rien. Je suis out. « Elle est violente ton amie. Elle me plait bien…. », me susurre la voix étrange. Pourquoi je l’entends encore celle-là ? Je peux lui parler ? « Allo ? T’es qui ? T’es où ? » , tentais-je demander dans mon esprit. De toute manière, mon corps, il ne fonctionne plus. Octavia m’a complètement assommé. Il reste moi, cette voix et du noir. Beaucoup de noir. « Isolda. C’est comme ça qu’on m’appeltait. Et je suis là, juste au côté de toi sur le lit. » Hein? Quoi ? Je suis pas sur le lit. « Mais.. Je suis pas sur le lit. Et puis, la seule personne sur le lit, c’est la femme-zombie… Attend… Tu… » Oh non ! Ça sent mauvais ça. Même très mauvais. Faut que je me réveille. « Tuer. Égorger. S’amuser. » ,dit la voix quelque part et partout à la fois. Faut que je prévienne Isidore et Octavia !

Dé 1
1 & 4 : Je tente de me réveiller, mais rien à faire. Elle est plus forte que moi. Je sens mon corps se réveiller, se mouvoir, mais je suis relayé au second plan. Je suis prisonnier de ma propre personne. Elle va leur faire du mal et je n’y peux rien !

2,3,5 & 6 : Je tente de me réveiller. Je cligne des yeux, mais il y a quelque chose de bizarre. Je ne suis plus où j’étais. Je suis assis même. Comment je peux être assis alors que je croyais qu’Octavia m’avait assômé ? Et pourquoi je n’ai pas mal ? Je baisse les yeux pour faire un examen de mon corps lorsque que… Criss ! Je porte une robe. Je… Je…. Je me retourne pour regarder autour de moi. Mais… Je suis là, attaché au lit. Comment ?!? Puis, je finis par comprendre. JE SUIS DANS LE CORPS DE LA FEMME-ZOMBIE ! Je me tourne vers les deux autres, pour leur demander de l’aide. (voir dé 2)

Dé 2

Pairs : « Y a un problème ! Aidez moi ! Je suis coincé ! », dis-je d’une voix qui n’était pas la mienne. Une voix de fille...

Impairs : Je tente de parler, mais tout ce que j’arrive à produire comme son c’est un « Grrrr… Grrrr.. » Je suis vraiment dans la bouse d’hyppogriffe !

(c) DΛNDELION

Le membre 'Perrin S. O'Riordàn' a effectué l'action suivante : Le Hasard

'Le Hasard' : 2, 4

**Invité** Invité À SAVOIR DETAILS EN PLUS

happy halloween (ou pas)

Cruz a montré que son apparent égoïsme n’est en réalité qu’une façade et Perrin s’amuse à naviguer de corps en corps, peut-être que sa possession est liée à la mort aussi soudaine que brutale de son ami ? En tout cas, on peut remercier la nouvelle recrue, Octavia, pour ses bons réflexes, la folle ayant pris possession du corps de Perrin est désormais immobilisée grâce à la ceinture qui la maintient au lit mais une chose est sûre, vous n’êtes pas encore sortis d’affaire, loin de là.

Hasard #1
Pair – Vous avez sûrement surestimé les leçons de musculation de Perrin puisque celui-ci ou plutôt la personne qui le possède, soulève le lit du sol sans le moindre effort apparent et sans aucune considération pour son ancien corps resté attaché sur le lit. Le lit devient alors son arme et il s’approche des deux jeunes gens restés debout à l’autre bout de la pièce. Qui va souffrir le premier ?
Impair – Alors que le Perrin possédé se débat accroché à son lit, sans trouver, pour le moment, la possibilité de se défaire de ses liens, derrière vous, dans l’armoire, un bourdonnement caractéristique retentit et se rapproche de plus en plus. Ce bruit, Octavia le connait bien. Quant à Isidore, il pourrait croire dans un premier temps qu’il s’agit d’un simple appareil ménager ou d’une tondeuse à gazon… Mais il n’en est rien, apparemment l’homme à la tronçonneuse a suivi sa proie jusqu’ici.

Hasard #2 si #1 donne un chiffre pair
Pair – C’est Octavia qui se prend un coup de lit en premier, le choc est extrêmement violent et douloureux, pauvre elle.
Impair – C’est Isidore qui se prend un coup de lit en premier, le choc est extrêmement violent et douloureux, pauvre lui.

Hasard #3 si #1 donne un chiffre pair
1 – Le coup de lit explose le crâne de la personne touchée, RIP toi, fin de l’événement.
2 – Le coup de lit s’abat sur l’épaule de la personne touchée et lui déboite. Aïe.
3 – Le coup de lit s’abat sur le genou de la personne touchée et lui déboite. Aïe
4 – Le coup de lit projette simplement la personne sur le mur du fond, ce n’est pas très agréable pour le dos et le souffle de la personne touchée reste momentanément coupé mais à part ça, plus de peur que de mal.
5 - Le coup de lit projette simplement la personne sur le mur du fond, sa tête heurte violemment le mur et elle s’écoule au sol, assommée mais vivante.
6 – Le pied du lit entre dans le ventre de la personne touchée comme si elle avait pris une balle dans le ventre, alors que le pied ressort, retiré par le Perrin possédé, la plaie se met à saigner abondamment.

Ce que vous devez savoir

Alors sachez déjà que vos personnages ne risquent rien et que si par malheur ils devaient souffrir affreusement (mourir serait plus juste) ils se retrouveraient juste sagement à la sortie de la salle, le cœur battant certainement bien vite mais en un seul morceau.

Ensuite, notez bien que, comme dans tous les événements organisés par l'école, vous n'avez pas vos baguettes magiques, ce qui ne vous dispense pas de lancer le dé à la moindre occasion (ouvrir une porte, chercher quelque chose, déplacer un objet, que sais-je encore). J'attends de vous AU MOINS trois échecs (et pas des semi-réussites, bien des ratés) à chaque fois, sauf pour ceux qui ont trouvé leur équipe, qui peuvent évidemment en avoir que deux.

Rappelez-vous cependant que vos personnages n'ont aucun moyen de savoir qu'il n'y a pas un truc qui cloche (qui sait si ce qui vous attend est bien ce qui était prévu à la base...?) donc le stress, la panique, tout ça, ça fait faire des bêtises, lâchez-vous donc dans les choix du dé, je vous laisse avec plaisir vous attirer tout seul des ennuis.

Bien sûr, vos RPs doivent faire le minimum demandé (300mots) et je vous conseille quand même de faire des RPs courts histoire que ça avance à peu près rapidement. Merci également de lire les posts de vos camarades, et si vous le pouvez, de mettre en évidence les noms histoire qu'on s'y retrouve.

J'essayerai de poster à la fin de chaque tour (ou au moins une fois par semaine si jamais il y a des absents, ils reprendront en cours de route) donc attendez-moi mes braves petits et bien sûr, si je vois que vous vous en sortez trop bien, je pourrai vous faire des coucous surprises. Et s'il y a la moindre question, c'est Savannah qui s'occupe de votre groupe donc c'est sa boîte à MP qu'il faut spammer !

Tous les personnages ont un chiffre de réussite supplémentaire

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Le membre 'Il était une fois...' a effectué l'action suivante : Le Hasard

#1 'Le Hasard' : 3

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#2 'Le Hasard' : 1

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#3 'Le Hasard' : 2

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I just keep crashing Living on my rations The bullets and the roses Devil and the poses Don't know where my ghost is Don't know where my home is Guess we never chose this I'm in the sea with Moses Looking for my roses I guess it's never hopeless The bullets and the passion Devils and the poises This has never happened Nothing ever happens Rob from always on the run dot net is so bad and copy paste is a sin
Nothing ever happens

Cette soirée était aussi chaotique que surréaliste, et Isidore avait du mal à comprendre quelles motivations l'y avaient amené. Espérer que l'adrénaline suffirait à éveiller ses sens et retrouver l'usage de sa main tout en en se mettant en danger de mort, ça c'était de l'idée de génie… S'il sortait vivant de cet enfer, c'était le poing dans la figure que lui mettrait Spencer qui aurait tôt fait de calmer ses envies d'agir comme le dernier des imbéciles sous le coup de l'impulsivité. Et maintenant, Cruz était morte. Il peinait toujours à réaliser que cette école de malheur, à laquelle il avait encore fait la bêtise de faire confiance après qu'elle lui ait prouvé, maintes et maintes fois, qu'elle en était indigne, avait permis de nouveaux assassinats en son sein. Même si tout ça était complètement fou, c'était réel… les sensations qu'ils éprouvaient, la douleur, tout l'était… ! Même s'ils avaient été drogués par il ne savait quelle substance douteuse que la direction aurait jugé judicieux de leur faire ingérer à leur insu, l'illusion ne serait pas aussi frappante, n'est-ce pas… ? Et maintenant, il y avait cette fille, qui sortait littéralement de nulle-part et qui les avait rejoints. La pauvre semblait complètement à bout de nerfs, à en juger par les larmes qui dévalaient le long de ses joues, ses tremblements et la pression qu'elle exerçait sur son bras… Un peu désemparé, Isidore la regarda pendant qu'elle peinait à trouver ses mots, n'osant imaginer quelles horreurs avaient pu la mettre dans cet état. Au vu du niveau de perversité des petits jeux malsains qu'on leur proposait, ce n'était pas impossible que l'un de ses amis ait également du se sacrifier pour elle… "Un taré avec une tronçonneuse… Shaelyn morte, Saskia morte, Serafina morte… Qu'est-ce qu'on fout ici… ?!" Stupéfait, il la fixa pendant qu'elle lui racontait le cauchemar qu'elle avait vraisemblablement vécu de son côté. Se pouvaient-ils… qu'ils soient tous dans un seul et même grand bâtiment après tout ? Elle n'avait pas pu transplaner, et le plafond de l'ascenseur qui s'était ouvert pouvait bien laisser présager qu'il y avait d'autres étages, avec d'autres élèves, et… d'autres meurtres. L'idée était profondément écoeurante. Il n'y avait pas à en douter, Londubat était des leurs, et le traître qu'il était les avait vendus dans une gigantesque boucherie, au cours de laquelle ils étaient condamnés à ne ressortir que les pieds devant. De la chair à canon. C'était ça qu'il était censé dire à cette fille… ? Qu'ils s'étaient engouffrés les yeux fermés dans un piège les destinant à l'abattoir ? Elle avait déjà l'air suffisamment paniquée… "Eh, regarde-moi !" l'interpela-t-il d'une voix qu'il espéra être suffisamment rassurante, en plaçant ses mains sur ses épaules. "T'es Octavia, c'est ça ? Respire doucement. On est vivants, on est trois, et il est pas question que ces salauds nous tombent dessus. D'accord… ? Respire, ça va aller. Il t'arrivera rien." Foutue promesse en l'air, il savait pertinemment que c'en était une. Lui qui détestait mentir... Il n'était pas sûr de son efficacité… le tact était bien loin d'être une de ses spécialités, mais la situation était critique, et il se devait de l'aider à prendre le dessus sur la peur qui l'habitait. Qui plus était, une crise d'angoisse ne les aiderait certainement pas à sortir de là, et il préférait dans la mesure du possible éviter d'avoir à la gifler pour la ramener parmi eux. Heureusement, elle parut finalement retrouver un peu de calme, ce dont il se satisfit. "Vous avez eu affaire à quoi jusqu'à présent ?" Il grimaça, un peu mal à l'aise, et jeta un regard soucieux à Perrin. Est-ce qu'ils étaient vraiment obligés d'en parler… ? Parler de la mort de Cruz, même si elle n'avait pas été aussi sanglante de celle de ses congénères, était encore trop frais. Trop récent. Il ne savait même pas qui il devrait prévenir, si elle avait de la famille… comment serait-il capable de leur parler de tout ça ? De leur expliquer qu'elle avait préféré donner sa vie pour le bon à rien estropié et sans avenir qu'il était… ? "Un ascenseur fou, une bande de malades en bas, et… visiblement un ventilateur qui nous veut pas que du bien. Et toi, t'as parlé d'une tronçonneuse ?" Elle n'était peut-être pas prête à en parler, mais s'ils parvenaient à comprendre ce qui leur arrivait… ils auraient plus de chances de s'en sortir. Du moins, c'était ce qu'il préférait imaginer...

En attendant, c'était Perrin qui se comportait de manière étrange. Son regard avait subitement changé, perdant cette ingénuité qui le caractérisait d'ordinaire, pour prendre une teinte plus… spectrale. Isidore se tourna alors vers le Gryffondor qui n'était manifestement pas dans son état normal… et avant qu'il n'ait le temps de s'enquérir de son état, Octavia, après avoir tenté de l'interpeler, lâchait son bras pour… le frapper au visage. Les sourcils d'Isidore s'arquèrent devant ce réflexe qui avait eu raison du jeune garçon, alors écroulé au sol. Sans perdre de temps, elle l'attachait alors au lit à l'aide de sa ceinture, tandis qu'il l'aidait à bien le maintenir au cas où il se réveillerait pendant l'opération, sans toutefois comprendre quel phénomène l'avait frappé. "Y a un problème ! Aidez-moi ! Je suis coincé !" Son attention se reporta sur le cadavre de l'étrange femme qui se trouvait alors sur le lit… mais cette voix, c'était celle du rouquin. Déconcerté, Isidore regarda tour à tour le corps inerte de Perrin qu'ils avaient attaché, puis celui de la femme visiblement possédé par son esprit. Qu'est-ce qu'il se passait… ?! Leurs esprits semblaient avoir été échangés dans leurs enveloppes charnelles… "Perrin… ?! Perrin, comment on peut te sortir de là… ? Tu peux bouger ?" appela-t-il, se rapprochant de l'autre côté du lit. Malheureusement, il ne serait pas d'une grande aide, ignorant par tour de passe-passe le transfert avait eu lieu entre les deux entités. Il tourna brusquement la tête vers l'amoire, lorsqu'un bruit désagréable attira son attention vers l'armoire. Ça ressemblait à une perceuse, et au vu de ce qu'ils avaient croisé jusqu'ici, ça n'augurait rien de bon… Le temps qu'ils trouvent une solution, mieux valait qu'ils condamnent l'entrée, s'ils voulaient encore rester en vie. Sans tarder, il se précipita vers l'autre côté du lit, aidant Perrin en femme-zombie à se relever pour en sortir, et appuya de toute la force de sa main gauche sur les lattes pour le déplacer, avec quelques difficultés liées à sa main métallique qui rechignait toujours à se manifester. "Octavia, il faut que tu sois ma deuxième main !" appela-t-il en direction de la Poufsouffle, pour qu'elle puisse lui porter assistance. Ils étaient obligés de bouger de ce même geste le corps possédé de Perrin, ce qui, il l'espérait, ne le réveillerait pas.

1-2-3-4 : Le lit est déplacé jusqu'à l'armoire, bloquant momentanément ses portes. Reste à trouver de quoi tenir plus longtemps ou rajouter des meubles, parce qu'à ce rythme, il ne va probablement pas tarder à découper le bois qui les sépare.
5-6 : Malgré cette tentative, une lame de tronçonneuse commence à transpercer le bois de la porte. Quelqu'un a une idée de génie… ?

1-2-3-4 : La chance est avec eux, le Perrin possédé reste inerte.
5-6 : Super, le zombie s'est réveillé, il va falloir composer avec, même si pour l'heure il est toujours attaché.

Edit : Deux trois petits soucis de concordance : c'est édité !

black pumpkin

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'Le Hasard' : 3, 3

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les citrouilles à la guillotine

Elle ne sait plus réfléchir correctement. Son cerveau chauffe et son enveloppe crânienne commence à lui faire mal à la tête. Elle sait qu'elle a de la chance d'être en un seul morceau ; elle pourrait avoir été embrochée par le type à la tronçonneuse, et être entrain de se vider de son sang sans avoir aucun chance de survivre, à fixer les trois autres filles avec qui elle avait été enfermée dans ce calvaire. Elle sait qu'elle a de la chance de retrouver des élèves, peut-être eux aussi en mauvaise position, mais un peu plus éveillés que les trois autres goumiches avec qui elle avait eu affaire. On voyait qu'elle avait toujours eu tout sur un plateau d'argent et qu'en situation de crise, elles ne pouvaient pas s'aider elles-mêmes. Merci Maman, de m'avoir donné Naïa comme soeur. Je suis devenue une coriace, grâce à elle. La stature d'Isidore la réconforte, en un sens, et quand il l'attrape par les épaules, sa voix fait sens dans sa tête. « Eh, regarde-moi ! T'es Octavia, c'est ça ? Respire doucement. On est vivants, on est trois, et il est pas question que ces salauds nous tombent dessus. D'accord… ? Respire, ça va aller. Il t'arrivera rien. » Elle essaya de respirer, comme il l'aidait à le faire, et se calmait un petit à petit. Il faisait silencieux dans la pièce et Perrin, qui n'avait pas ouvert la bouche, commença déjà à se comporter bien trop bizarrement pour qu'il ne soit pas remis à sa place. Disons que je ne sais pas à quoi Octavia pensait en lui foutant une pêche, mais qu'elle avait compris que quelque chose ne tournait pas rond. Et que leurs vies ne tenaient plus qu'à un fil ..

Accroché au lit, l'enveloppe corporel de Perrin ne bougeait plus. Immobile, Octavia le fixait comme s'il allait se remettre à gigoter, et à la regarder comme tout à l'heure, de ces yeux blancs exorbités qui lui donnaient la chair de poule. Pourtant, la voix qui reprit la parole la première, c'était la voix fluette d'une femme en détresse. Et pourtant, c'était bien ça le soucis, ils étaient sensés être seuls, à trois dans cette galère. « Y a un problème ! Aidez moi ! Je suis coincé ! » Spontanée, innocente et rêveuse, il y avait pourtant un stress dans son intonation. (Tu m'étonnes, si je voyais mon enveloppe corporelle inerte sans pouvoir effectuer le moindre mouvement, je paniquerais aussi !) Octavia, elle, restait interdite. Ça dépassait ses capacités, qui étaient à agir spontanément, en bien ou en mal, en espérant très fort que toute cette situation serait derrière eux, et pleurer très très fort en espérant que tout s'arrête avant qu'elle n'ait plus de larmes à verser. Paniquer, agir sous le stress et puis s'en tirer de justesse. On s'en tient au plan. « Perrin… ?! Perrin, comment on peut te sortir de là… ? Tu peux bouger ? » Octavia laissa Isidore s'approcher, et préfère mettre un maximum de distance entre le corps de Perrin où vit l'âme de la femme, et le corps de la femme où s'est réfugié l'âme de Perrin. Elle rencontre le mur froid qui l'empêche de s'éloigner davantage, et réfléchit, mais aucune de ses merveilleuses idées habituelles ne lui montaient à la tête. Il faut croire qu'elle n'avait pas sa dose d'adrénaline pour pouvoir réfléchir correctement ...

Ce vrombissement lointain, elle saisit tout de suite ce que c'était, et ça n'envisageait rien de bon. Leurs cauchemars qui se lient ne pouvent être une bonne chose ... « Un ascenseur fou, une bande de malades en bas, et… visiblement un ventilateur qui nous veut pas que du bien. Et toi, t'as parlé d'une tronçonneuse ? » Elle était pétrifiée. Elle fixait l'armoire comme pour accueillir celui qui voulait sa mort. Allez chérie, il fallait faire quelque chose, pour survivre ! Mais sa cervelle ne répondait plus tandis. Son cœur s'impatientait en pompant son sang au maximum pour essayer de la faire repartir, mais ils étaient faits comme des rats et n'avaient qu'un lit pour se défendre. Pire encore, ou ils détachaient l'enveloppe corporelle de Perrin du lit pour que ce dernier ne doive pas vivre à tout jamais dans la peau d'une fillette blafarde et flippante, pour pouvoir s'en servir correctement, mais pouvait se faire attaquer à tout moment par Perrin possédé, ou il la laissait sur le lit et se servait de l'homme à la tronçonneuse pour décimer une de leurs préoccupations pour se concentrer sur cet homme à la tronçonneuse ... Ils allaient mourir dans cette pièce, parce que c'était tout le but de cet événement, qu'ils meurent tous, sans aucun survivant. « Octavia, il faut que tu sois ma deuxième main ! » À l'entente de son nom, elle releva la tête vers Isidore, comprenant ce qu'il voulait faire. Elle poussa le lit jusqu'à l'armoire, priant pour que ça soit assez solide pour retarder la Tronçonneuse. Ça manquait jamais d'essence, d'huile ou d'un autre machin, ces appareils-là ?! Est-ce que l'arme pourrait se bloquer avant que la lame ne s'approche trop d'elle ? C'était vraiment une mort atroce ... « C'est quoi le plan ? » articula-t-elle pour ses deux compagnons d'infortune, à court de solutions.

#Hasard n°1 :
1 - 3 - 5 - 6 : la femme, dans le corps de Perrin, reste endormie, c'est qu'il a vraiment le sommeil lourd, ce petit Perrin.
2 - 4 : la femme, dans le corps de Perrin émerge doucement sur la belle berceuse venant de l'armoire. Elle ne peut qu'observer cette fâcheuse situation et pousse un petit rire diabolique.

#Hasard n°2 si 2 ou 4 :
1 - 2 : Perrin - et la femme qui vit en elle - se tait. C'est Isidore qui se met à rire diaboliquement. Perrin est donc dans le corps de la femme, Isidore dans le corps de Perrin et la femme dans le corps d'Isidore.
3 - 4 : Perrin - et la femme qui vit en elle - se tait. C'est Octavia qui se met à rire diaboliquement. Perrin est donc dans le corps de la femme, Octavia dans le corps de Perrin et la femme dans le corps d'Octavia.
5 - 6 : Perrin - et la femme qui vit en elle - se tait. C'est la femme dans la chaise qui se met à rire diaboliquement. Tout le monde est dans son propre corps, mais ils sont toujours pas sortis d'affaire.

Le membre 'Octavia Rosenberg' a effectué l'action suivante : Le Hasard

'Le Hasard' : 5, 6

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halloween : groupe guillotine

Isidore, octavia & perrin

The dead rise again, bats fly, terror strikes and screams echo, for tonight it’s Halloween.

C’était un cauchemar. Un véritable, terrifiant cauchemar. J’étais coincé dehors en même temps d’être coincé en dedans. Hors de mon corps, mais dans celui de cette femme-zombie. Je ne pourrais expliquer comment le phénomène s’était produit. Je n’y comprenais rien. Pourquoi moi et pas l’un des deux autres ? Comment elle était arrivé à me mettre dehors ? Et pourquoi diable étais-je le seul à l’entendre parler ? J’avais vu beaucoup de manifestation magique dans ma petite vie, entendue beaucoup d’histoires des gens de mon peuple, de mon grand frère et lu bien des trucs dans les livres, mais jamais quelque chose comme ça. Comment pouvait-on avoir échangé notre enveloppe corporelle avec quelqu’un ? Surtout, comment on retournait dans son corps lorsque c’était arrivé ? Je sentis la panique m’envahir en comprenait à quel point j’étais perdu. Je ne savais pas quoi faire et je doutais que mes partenaires de galère arrivent à faire quoi que ce soit pour m’aider. Déjà, allaient-ils vouloir me tuer, croyant que je suis la femme-zombie et non pas Perrin ? Il allait me falloir demander de l’aide pour m’en apercevoir. Ma voix féminine me fit flipper. Ce n’était pas moi qui parlait. C’était bel et bien les paroles que je voulais dire, mais ce n’était pas moi qui les disait. Pas mon corp, pas ma voix, pas moi… « Perrin… ?! Perrin, comment on peut te sortir de là… ? Tu peux bouger ? » Ça fonctionnait quand même ! Isidore avait comprit que c’était moi. Ses questions me déconcertèrent celà dit. J’arrivais à bouger les yeux, mais est-ce que je pouvais me déplacer ? J’en savais rien. Quant à l’idée de sortir de là… « Je sais pas Izzie…. Comment je suis sensé faire pour sortir de là ? La femme, elle est… euh.. dans mon corps ?! Elle m’a foutu dehors. C’est comme si elle m’avait poussé en dehors. Je sais pas si je peux y retourner… » Une pensée me frappa d’un coup, me faisant paniquer de plus belle. « Et si je restais coincé là à tout jamais ? Je veux pas être une fille ! Je veux redevenir moi ! Je peux pas vivre comme ça ! » Il fallait trouver une solution. Il fallait me sortir de ce corps à moitié décomposé. C’était l’horreur. Il fallait se recentrer, se concentrer sur une chose à la fois. Pour commencer, la question d’Isidore ; est-ce que je pouvais bouger ? Il allait falloir essayer ! Je me concentrai, tentant de lever une main devant moi (voir Dé 1).

« Un ascenseur fou, une bande de malades en bas, et… visiblement un ventilateur qui nous veut pas que du bien. Et toi, t'as parlé d'une tronçonneuse ? » Pendant que je suis occupé à tenter de prendre possession de ce corps qui est, je l’espère, temporairement le mien, Isidore et Octavia s’expliquent ce qu’il s’est passé pour eux. Il est même question de notre aventure à Elliot et moi pendant une demi seconde. Un souvenir douloureux de la mort de mon ami qui est rapidement chassé par un drôle de vrombissement. Un bruit qui ne me dit rien qui vaille. Ni à moi, ni au serpentard et ni à la poufsouffle puisque les deux autres s’activent d’un coup alors que moi, je suis toujours aussi inutile sur le lit qu’Isidore entreprend de pousser. « Octavia, il faut que tu sois ma deuxième main ! » ,finit-il par demander. Moi aussi j’aimerais aider. J’aimerais nous protéger. Je jette un coup d’oeil à mon corps possédé qui est toujours inerte sur le lit. C’était déjà ça de gagné ! « C'est quoi le plan ? » La question d’Octavia me laissa un instant interdit. C’était quoi le plan ? J’en savais rien moi ! « C’est quoi une tronçonneuse ? » Quel question bête Perrin… Enfin, je savais pas moi c’était quoi ce machin. Visiblement, ça faisait peur aux deux autres, donc fallait supposer que c’était pas un truc génial. Sauf qu’ignorer ce que c’était n’aidait pas à s’en protéger. « Si on empile plein de truc devant l’armoire ça peut fonctionner ? » ,demandais-je dépassé par la situation. Il restait mon corps qu’il fallait protéger aussi. Et si on me tuait ?! Une idée ignoble s’infiltra dans mon esprit. « Izzie ? Et si mon corps à moi il mourrait ? Est-ce que moi aussi je mourrais ? Est-ce que je pourrais plus jamais y retourner ? Et si elle meurt, elle ? » Génial. Maintenant, je me faisais flipper tout seul. Super méga cool. Bon aller, fallait trouver une solution au lieu de se foutre la trouille. « On pourrait tenter de défoncer la porte ? Avec un truc, je sais pas trop… » (dés 2 ou 3)

Dé 1
1&3 : Incapable de bouger le bras. Je suis littéralement pris au piège dans ce corps qui n’est pas le mien…
2,4,5&6 : Bingo ! Ça fonctionne. Je me lève pour rejoindre mes compagnons. Pas question de rester assis près de moi, c’est trop flippant se voir comme ça !

Dé 2 (si dé 1 à donné 2,4,5 ou 6)
3&5 : J’attrape la chaise berçante et je la balance sur la porte. La chaise explose en morceaux, mais il ne se passe rien avec la porte. Au moins, on a des trucs pointues pour se défendre contre ce qu’il s’en vient. Ça fonctionne contre une tronçonneuse des bout de bois pointus ?!
1,2,4&6 : « Et si on mettait le lit debout et plein de truc devant ? Il est en métal, ça pourrait bloquer un peu plus. Non ? » Sans atteindre la réponse des autres, je détache mon corps du lit et le roule en bas. Il reste inerte, je suppose que ça va comme ça. Je pousse le matelas en bas de la base de lit avant de la redresser contre l’armoire puis repoussai le matelas devant. C’était pas si mal, non ? Plus qu’à ajouter encore des truc et la barricade serait pas mal, non ?

Dé 3 (si dé 1 est 1 ou 3)
2&6 : Mon corps possédé se réveille aux côtés de moi. Damn it !
1,3,4 & 5 : Toujours rien du côté de mon corps possédé. Toujours inactif. C’est déjà ça de gagné !

(c) DΛNDELION

Le membre 'Perrin S. O'Riordàn' a effectué l'action suivante : Le Hasard

'Le Hasard' : 5, 3, 3

**Invité** Invité À SAVOIR DETAILS EN PLUS

happy halloween (ou pas)

Vous êtes au point mort, ce n’est pas un lit qui va arrêter l’homme à la tronçonneuse, je pense qu’Octavia doit en avoir bien conscience puisqu’elle l’a côtoyé pendant pas mal de temps. D’autant plus que le Perrin possédé semble voir cette nouvelle arrivée d’un très bon œil et va sûrement essayer de venir en aide à son nouvel acolyte… Bon courage.

Hasard #1
1 et 2 – Le Perrin possédé se réveille enfin et déplace le lit sans la moindre difficulté, permettant aux portes de l’armoire et s’ouvrir et l’homme à la tronçonneuse fait irruption dans la pièce se jetant sans ménagement sur l’un d’entre vous. Et hop, un de moins !
3 et 4 – Le Perrin possédé semble vouloir rester assommé, elle a de la poigne notre petite Octavia, mais l’homme à la tronçonneuse ne semble pas être impressionné par si peu. C’est avec horreur que vous voyez la lame transpercer la porte de l’armoire et cette dernière est découpée à une vitesse impressionnante, à votre place j’essaierais de me cacher…
5 et 6 – Lancer cette chaise contre la porte était une mauvaise idée… Certes, la porte n’a en effet pas bougé d’un millimètre mais ce n’était pas pour autant qu’il n’y avait rien derrière et quoi qu’il se passe de l’autre côté, vous avez dérangé quelqu’un. Un grondement sourd vous parvient et un bruit sourd vous parvient de l’autre côté… Pas de doute, quelqu’un ou quelque chose essaie de forcer la porte et vu l’énergie déployée, elle ne va pas tarder à céder.

Hasard #2 si 1 et 2
1 et 2 – RIP Octavia
3 et 4 – RIP Isidore
5 et 6 – RIP fille au corps possédé par Perrin et RIP les chances de Perrin de réintégrer son corps, mais voyons le bon côté des choses, toi au moins tu es toujours vivant.

Ce que vous devez savoir

Alors sachez déjà que vos personnages ne risquent rien et que si par malheur ils devaient souffrir affreusement (mourir serait plus juste) ils se retrouveraient juste sagement à la sortie de la salle, le cœur battant certainement bien vite mais en un seul morceau.

Ensuite, notez bien que, comme dans tous les événements organisés par l'école, vous n'avez pas vos baguettes magiques, ce qui ne vous dispense pas de lancer le dé à la moindre occasion (ouvrir une porte, chercher quelque chose, déplacer un objet, que sais-je encore). J'attends de vous AU MOINS trois échecs (et pas des semi-réussites, bien des ratés) à chaque fois, sauf pour ceux qui ont trouvé leur équipe, qui peuvent évidemment en avoir que deux.

Rappelez-vous cependant que vos personnages n'ont aucun moyen de savoir qu'il n'y a pas un truc qui cloche (qui sait si ce qui vous attend est bien ce qui était prévu à la base...?) donc le stress, la panique, tout ça, ça fait faire des bêtises, lâchez-vous donc dans les choix du dé, je vous laisse avec plaisir vous attirer tout seul des ennuis.

Bien sûr, vos RPs doivent faire le minimum demandé (300mots) et je vous conseille quand même de faire des RPs courts histoire que ça avance à peu près rapidement. Merci également de lire les posts de vos camarades, et si vous le pouvez, de mettre en évidence les noms histoire qu'on s'y retrouve.

J'essayerai de poster à la fin de chaque tour (ou au moins une fois par semaine si jamais il y a des absents, ils reprendront en cours de route) donc attendez-moi mes braves petits et bien sûr, si je vois que vous vous en sortez trop bien, je pourrai vous faire des coucous surprises. Et s'il y a la moindre question, c'est Savannah qui s'occupe de votre groupe donc c'est sa boîte à MP qu'il faut spammer !

Tous les personnages ont un chiffre de réussite supplémentaire

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