(TERMINE) “Avec de la prudence, on peut faire toute espèce d'imprudences.” [Edward & Keagan]
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(#) Sujet: (TERMINE) “Avec de la prudence, on peut faire toute espèce d'imprudences.” [Edward & Keagan] Jeu 27 Avr - 18:18
“Avec de la prudence, on peut faire toute espèce d'imprudences.”
Edward & Keagan
Il fallait que je le trouve. Je devenais fou et j’avais peur de faire des conneries qui n’impliqueraient malheureusement pas que moi. Bon sang mais qu’est-ce que j’avais fait ?! J’étais un punaise de psychopathe ! Un malade ! Je me dégoûtais… je n’arrivais même pas à en parler à Daniela tellement j’avais honte. Il faudrait que je le fasse… évidemment qu’il le faudrait ! Mais là c’était impossible. Elle voyait que quelque chose clochait mais vous vouliez que je lui dise quoi au juste ? Que j’avais séquestré une nana pour la faire flipper ? Que j’étais un parfait sadique qui s’était nourrie de la peur de quelqu’un ? Et pire : que j’avais aimé ça ! J’allais vomir… J’aurais pu chercher à trouver Anoushka aussi mais, sincèrement, ce n’était pas envisageable. Je n’étais pas objectif et elle était la raison qui m’avait fait déconner, je ne pouvais pas lui avouer avoir fait une telle chose. Il n’y avait que lui qui pouvait réellement comprendre, qui pouvait être là comme je le voulais ! Et puis de toute façon c’était purement déconnant de ne pas le voir au quotidien, j’en pouvais plus, il fallait que je le vois, et pas juste pour une foutue thérapie !
Depuis plusieurs jours, pendant mes corvées, j’essayais d’être attentif à ce que les élèves pouvaient dire. Leurs cours, leurs plannings… et notamment celui des sixièmes années. Il fallait à tout prix que je le trouve et pour se faire il fallait que je le choppe en tous discrétion. Enfin, le mieux que je pourrai faire quoi. Edward me manquait, vous n’imaginez même pas ce que c’est de ne plus voir son meilleur pote quand j’avais l’habitude de passer une grosse partie de mon temps avec lui ! Je savais que je risquais de le mettre en danger, j’en avais conscience et je m’en voudrais pour toujours de faire une telle connerie. Mais c’était plus fort que moi, il fallait que je lui parle… je ne pouvais pas me raisonner, croyez-moi. Fin des cours ce jeudi. J’avais cru comprendre que les sixièmes années terminaient par un cours de Sortilèges. Espérons juste que mes infos soient exactes. J’avais la chance d’effectuer une corvée dans les placards du château aujourd’hui, à ranger les multiples réserves. Réserves de tout et n’importe quoi, je pouvais vous l’assurer ! Overton prenait un étage, j’en prenais un autre… on arrivait à peu près à s’entendre, le mieux était de ne pas être l’un sur l’autre et d’effectuer ses tâches chacun de son côté ! Même si on savait s’allier pour des conneries… bref ! J’avais donc choisi le quatrième étage et avait « réservé » ce magnifique placard à quelques portes de la classe de Winslow, guettant le couloir d’un œil averti. Au bout de quelques minutes, je remarquai une certaine animation qui me prouvait qu’Ed n’allait pas tarder à sortir. Bien… Je sortis alors du placard, me mettant à nettoyer la statue la plus proche du couloir. De toute façon, on nous voyait presque comme des elfes de maison, ça craignait ! A croire que c’était normal de nous voir des choses si dégradantes juste sous leurs yeux ! Put*** ! Ca me faisait rager ! Bref, je fis en sorte de ne capter aucun regard de ceux qui étaient de la même année que moi, leur tournant le dos en me montrant très concentré. Jusqu’à ce le serpent passe non loin de moi et que je me recule afin de lui rentrer dedans. Laissez tomber la discrétion mais, la chance étant avec moi, personne n’avait l’air d’avoir fait gaffe. Quand je disais qu’ils ne nous voyaient presque plus… Je ne savais pas, en réalité. Juste le temps d’échanger un regard d’une microseconde que je l’attrapais par le bras et l’emmenais malgré lui jusqu’à une vieille salle vide que je barricadai avec une chaise, ce geste me rappelant douloureusement la dernière mésaventure avec Tracy. Enfermés tous deux dans la salle, je finis par soupirer de soulagement, me laissant tomber contre le mur. « Désolé, c’était un peu maladroit mais j’savais pas comment faire pour te voir… » Dis-je enfin en captant son regard, me rendant compte que ça faisait bien trop longtemps que je n’avais pas vu mon meilleur pote. Put***, repartir serait sûrement la partie la plus difficile…
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(#) Sujet: Re: (TERMINE) “Avec de la prudence, on peut faire toute espèce d'imprudences.” [Edward & Keagan] Ven 5 Mai - 22:59
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(#) Sujet: Re: (TERMINE) “Avec de la prudence, on peut faire toute espèce d'imprudences.” [Edward & Keagan] Jeu 11 Mai - 15:50
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Ce n’était sûrement pas la meilleure année de l’idée. Ce n’était pas non plus la plus discrète mais je pouvais vous assurer que je n’en pouvais plus. Mon meilleur pote me manquait, j’avais besoin de lui parler, son absence me devenait plus qu’insupportable ! Alors plutôt que de faire des choses que je puisse regretter par la suite, je décidai d’aller le chopper après l’un de ses cours – Put*** ce que je l’enviais, lui et les autres, de pouvoir encore y assister ! – un peu contre son gré. En espérant qu’ils ne fuient pas, bien que je pourrais complètement le comprendre. Lui faire courir un éventuel risque, c’était totalement envisageable. Hors de question !
Avec une maladresse sans égale, me voilà à m’enfermer dans une salle inoccupée avec Edward, barricadant la porte derrière moi comme si cela pouvait nous protéger de toute intrusion. En théorie, c’était le cas, espérons juste que personne ne suspecte mon initiative, j’avais juste besoin d’un peu de temps, tranquille, avec le serpent. Soulagé de ne pas avoir été pris, je m’adossai contre la porte, soufflant comme pour me remettre les idées en place. Je n’avais même pas pris le temps de regarder le comportement d’Ed’, bien trop occupé à le détacher du groupe des sixièmes années et à l’isoler. Comme un mouton de son troupeau… Ok, la comparaison était mauvaise. Lui soufflant quelques excuses, je finis par poser mon regard sur lui, remarquant que mon ami est un peu perturbé par mon incruste. Bon, c’était vrai, j’aurais pu le prévenir, avec un quelconque ou je-ne-sais-quoi mais pour dire la vérité, ça ne m’était même pas passer par la tête. C’était impulsif, c’était important et c’était surtout inné. Je cherchai son regard, voyant qu’il tentait de se remettre un peu de cette émotion. Nos regards se croisèrent l’espace d’une microseconde et le voir baisser la tête, comme honteux, me procura une douleur indescriptible dans le ventre. Il ne voulait pas me voir, c’est bien ça ? Il était mieux, loin de moi, de tout ? Mon cerveau se mit en route à toute allure, en venant à penser des choses toutes aussi idiotes les unes que les autres. J’allais finir par craquer…
« Keagan… » Jusqu’à présent, c’était encore mon prénom, oui. Je le fixai, attendant une réaction optimiste de sa part, qui ne me ferait pas penser que mon meilleur pote avait définitivement tourné la page. Nan, c’était inimaginable pour moi, pas lui… Je l’observai, attentif, alors qu’il secouait la tête et se passait une main sur le visage. Je me sentais stressé, comme c’était le cas bien trop régulièrement en ce moment. Que voulait-il me faire comprendre par ces petits signaux ? Me faisais-je des films ? Les secondes, les courtes secondes, qui s’écoulèrent furent suffisantes pour me faire encore plus douter de moi-même, insistant sur les risques que je venais de prendre pour le voir. Je le mettais en danger et ce n’était peut-être pas pour un bon moment. Non, non c’était mon meilleur pote, impossible ! Pas depuis tout ce temps ensemble. Pas avec cette personne qui me connaissait plus que quiconque et que je considérais comme mon propre frère !
Fort heureusement, le son de sa voix bien plus optimiste me soulage. Vous ne pouvez même pas imaginer ! Je soufflai une nouvelle fois, regardant le plafond comme pour me remettre de toutes ces pensées qui avaient traversé mon cerveau et qui m’étaient de plus en plus néfastes. Je ne pouvais pas me permettre de douter de lui, c’était évident ! « T’es sûr qu’on ne risque rien ici ? » Est-ce que je devais vraiment lui dire que je n’en avais absolument aucune idée ?! En guise de réponse, je haussai tout simplement les épaules avant d’observer la pièce à mon tour, ne sachant pas réellement dans laquelle je venais de nous informer. Je savais qu’elle était déserte, c’était déjà pas mal ! « On va dire que oui… » Dis-je avec une petite grimace qui montrait clairement que je n’en étais réellement pas sûr mais, après tout, je savais depuis plusieurs mois maintenant que tout endroit du château était dangereux, donc… Le temps était long jusqu’à ce qu’il pose un regard plus franc sur moi. Enfin, long pour moi. Je ne le lâchai pas du regard alors qu’il finit par me dire : « J’suis désolé … J’veux juste pas qu’il t’arrive encore plus de problèmes par ma faute... » Qu’il m’arrive des problèmes à moi ?! Alors ça c’était très drôle, parce que personnellement je pensais plus à sa sécurité qu’à la mienne ! Je le fixai quelques secondes, sans rien dire, avant de me décoller de la porte et d’aller d’un pas décidé vers lui. Sans l’avertir, et bien que c’était loin d’être dans mes habitudes, je me posai face à lui et en vint à lui donner une étreinte amicale, bien content de voir qu’il n’avait pas l’air d’avoir d’éventuelles séquelles d’une quelconque torture. Ca me rassurait, croyez-moi ! Je finis par le lâcher, gardant mes mains sur ses épaules pour le confronter du regard, lui disant sérieusement, bien qu'avec une pointe de sarcasme : « T’es toujours aussi con Carter ! J’te rappelle que c’est moi qui te fous dans cette galère donc c’est moi qui ai le droit de m’inquiéter pour toi ! » Je laissai ses épaules en paix, me reculant d’un pas, le voyant peu à l’aise. « Si tu le sens pas et que tu veux partir, j’comprendrai Ed’. J’avais besoin de te voir mais pas si tu sens que ça te fout en danger. » Et j’étais très sincère. J’aurais les boules et le manque serait toujours là mais je ne pourrais ni lui en vouloir ni être vexé. Ce serait compréhensible, il avait le droit de rester en dehors des emmerdes. Lui savait le faire, il avait toujours été le plus raisonné de nous deux de toute façon… Et put*** ce que ça me manquait de ne pas l’avoir à mes côtés quotidiennement !
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(#) Sujet: Re: (TERMINE) “Avec de la prudence, on peut faire toute espèce d'imprudences.” [Edward & Keagan] Ven 19 Mai - 0:45
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(#) Sujet: Re: (TERMINE) “Avec de la prudence, on peut faire toute espèce d'imprudences.” [Edward & Keagan] Jeu 1 Juin - 17:25
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Ce n’était pas mon genre, mais là c’était plus fort que moi. Revoir mon meilleur pote alors que cela faisait des mois et des mois que je ne m’étais pas retrouvé seul avec lui, c’était comme une délivrance. Alors sans crier gare, je m’étais approché de lui et l’avais enlacé. Maladroitement, sûrement, mais c’était le cœur qui parlait, et non la tête. De toute façon, mon cerveau ne fonctionnait plus normalement depuis quelques temps… je devais littéralement fou, et le pire était de m’en rendre compte. De façon aussi maladroite que moi, évidemment, Edward me rend mon étreinte avant que je lui fasse face, le forçant à me regarder droit dans les yeux tout en lui maintenant les épaules. Je lui fis une pseudo morale et cet idiot se mit à ricaner, ce qui eut pour effet de dessiner un petit sourire amusé sur mes lèvres sèches et rêches. Put*** ce que ça faisait du bien de le voir ! Je finis par me reculer un peu tout en l’observant, remarquant qu’il n’est quand même pas très à l’aise. Je ne voulais pas l’obliger à rester, ce que je lui fis amplement comprendre alors que ce dernier me fixait, sans que je ne sache trop quoi faire de ma peau. Il finit par secouer la tête et, avec soulagement, j’entendis de nouveau le son de sa voix, réceptionnant un magnifique coup de poing amical dans l’épaule ce qui me fit légèrement rire, soulagé une fois de plus par cette complicité toujours présente. « N’importe quoi toi ! Franchement Fassbach, de nous deux ce n’est pas moi qui ai le plus à craindre… Vraiment, t’inquiètes pas pour moi, je m’en sors bien. Je sais me faire discret. » Ben vu les bruits de couloir, et croyez-moi que j’en entendais des masses en faisant désormais partie des put*** de murs de cette école, ceux d’en haut n’étaient pas forcément mieux lotis. Ok, il n’y avait peut-être pas le même quotidien redondant et cruel que le nôtre mais, à leur façon, on leur faisait bien payer le prix ! Fort heureusement, je fus rassuré par les dernières paroles de mon meilleur pote. Il savait se faire discret. Ce qui ne m’étonnait pas, bien au contraire. « Bien, continue alors, qu’il y en ait au moins un de nous deux qui n’agisse pas comme un idiot… » Et on était bien d’accord que ça ne pouvait qu’être lui. Parce que ça faisait plusieurs semaines (mois ?) que je déconnais, et même si je tentais de me raisonner, cette situation ne faisait qu’empirer. Y penser encore et toujours me détruisait le cerveau et j’avais presque l’impression de n’être plus que l’ombre de moi-même. Quoiqu’il en soit, j’étais bien content qu’Ed’ ne se mette pas en danger inutilement. Je préférais largement ça, croyez-moi ! Je finis par remarquer son regard observateur sur moi, comme s’il tentait de m’analyser et j’en vins à hausser les sourcils. Je ne dis rien mais je me doutai de ce qu’il pensait. J’étais amaigri, j’étais pouilleux et sale, je devais sûrement sentir horriblement mauvais et, en plus de ça, je marquais la fatigue comme jamais. Un zombi était sûrement ce qui se rapprochait le plus de mon apparence physique. Rien de très agréable à l’œil, je devais l’avouer… « Je ne veux pas partir… Ca fait du bien de te revoir putain. J’ai cru que ce jour n’arriverait jamais… » Il avait mis du temps à le dire, mais il l’avait dit. C’était tout ce qui comptait. Un fin sourire satisfait se dessina sur mes lèvres avant que je ne finisse par les pincer, me laissant tomber sur l’une des tables, non loin d’Ed’. « ‘Fallait juste le provoquer ce jour, et c’est chose faite. » J’ouvris légèrement les bras comme pour souligner la fatalité avant de parcourir la salle des yeux. Cet endroit avait un goût d’amertume pour moi et me rappelais de bien mauvais souvenirs… mauvais souvenirs principalement à cause de moi, je ne pouvais le nier. Quoiqu’il en soit, je partageais ce qu’il disait : ça faisait vraiment du bien de le voir celui-là, je craignais désormais juste le moment où il faudrait se séparer. « Mais c’est de ma faute, j’ai rien tenté … J’suis désolé Keagan. Désolé de ne pas t’avoir transmis de message. Désolé de ne pas avoir essayé de te voir, de te croiser ou même de te jeter un regard d’encouragement. Je ne voulais vraiment pas prendre le risque que tu te fasses choper. J’imagine même pas ce que tu dois endurer … » De sa faute ? Il était sérieux ? Et c’était quoi ce regard de chien battu ? Put*** mais jamais je ne lui en voudrais, il avait eu totalement raison de se protéger, je préférais largement ça, le savoir en sécurité me suffisait pour calmer un peu mes nerfs. Jamais je ne lui en voudrai, jamais il ne me décevra. C’était mon meilleur pote, comme mon frère, ce n’était pas ces crétins de Mangemorts qui changeraient tout ça, ça me paraissait on-ne-peut-plus logique. Maintenant, je craignais que lui soit déçu de moi… pour mes actions, pour ce que je devenais. L’inverse pouvait être plus vrai, parce que pour être sincère je devenais un vrai malade mental. Je me rendais compte que j’avais besoin de lui, tout autant qu’Anoushka et Daniela. Alors imaginez à quel point les deux premiers me manquaient… « Tu déconnes ou quoi ? J’préfère largement que t’aies rien tenté, que tu sois en sécurité et que tu vives ta vie. Et puis, me la fais pas à moi, j’ai eu de tes nouvelles par Anoushka et je sais ce que tu as fait… Merci pour mes parents, vraiment. » Lui dis-je avec beaucoup de sincérité, le fixant droit dans les yeux avant de les baisser, prêt à lui avouer honteusement : « Je merde Ed’. Depuis quelques temps j’arrive plus à avoir le contrôle et… j’fais des choses que j’vais regretter. Je… » Put*** je me sentais tellement con, tellement idiot. A plusieurs reprises je relevai les yeux vers lui avant de les rebaisser. Je finis par prendre mon courage à deux mains et à regarder mon meilleur pote, lui avouant difficilement : « J’suis désolé pour ce que je deviens mais… j’crois que cette situation me change plus que je le voudrais. » La fin de ma phrase resta bloquée dans ma gorge tant je prenais conscience de tout ce que je devenais. Je fermai un temps les yeux, me disant que je risquais de décevoir Edward mais que j’avais besoin d’en parler à quelqu’un, et ce quelqu’un ne pouvait être que lui. J’avais l’impression de devenir un monstre… et je me disais que je ne pouvais pas me permettre cela en étant au quotidien proche d’une personne merveilleuse qui n’était nulle autre que Daniela. Le pire ? S’apercevoir que tout ça n’était peut-être pas qu’une impression et que même si je me battais contre moi-même, je perdais.
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(#) Sujet: Re: (TERMINE) “Avec de la prudence, on peut faire toute espèce d'imprudences.” [Edward & Keagan] Sam 10 Juin - 20:21
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(#) Sujet: Re: (TERMINE) “Avec de la prudence, on peut faire toute espèce d'imprudences.” [Edward & Keagan] Mer 14 Juin - 15:01
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Edward s’était protégé, il avait joué profil bas pendant tout ce temps, et il avait raison. Une part de moi avait envie de lui crier que j’avais eu l’impression qu’il m’abandonnait, que j’avais un instant douté, lui en voulant un peu mais, pour une fois, la raison reprenait le dessus. Je comprenais. Je n’avais pas le droit de le juger. Mieux : je préférais qu’il ne se soit pas mis en danger inutilement, ce dont je lui fis part. Et puis, je le savais qu’il avait envoyé quelques nouvelles à mes parents, alors rien que pour ça, je ne pouvais pas lui en vouloir. « C’était la moindre des choses. » Nan, ça ne l’était pas, mais le regard qu’on échangea voulait tout dire. Put*** ce que ça faisait du bien de voir mon meilleur pote ! Maintenant, j’avais besoin de lui. Sans lui laisser le temps de réaliser ce que j’allais pouvoir lui dire, je baissais les yeux un peu (beaucoup) honteux, lui avouant que j’avais merdé et que j’avais fait des choses que je commençais à regretter amèrement. Il paraissait que ce n’était que le début… Fermant les yeux, j’essayais de me contenir mais cette perte de contrôle était quotidienne et c’était tout simplement de pire en pire. Ces crétins de Mangemorts arrivaient à accentuer nos côtés sombres, et pour ma part c’était loin d’être du tout beau. Alerté par le bruit de chaises qu’on fait glisser sur le sol, je levai un regard curieux vers Edward qui plaçait l’une d’entre elles devant moi. Je l’imitai alors et m’assis… ou m’avachis, ce qui serait plus exact, face à lui. « T’as pas à t’excuser. C’est pas de ta faute si t’en es là aujourd’hui. Ce qu’ils vous font vivre … C’est pas humain et ils vous poussent à bout… » Oui, enfin il disait ça parce qu’il ne savait pas ce que j’avais fait… Ils nous poussaient à bout, ok, mais le fait de péter un câble me ressemblait malheureusement depuis bien avant leur arrivée à Poudlard. « Sérieusement, j’imagine même pas comment je réagirais si j’étais avec vous. Mais je suis sûr que je péterais aussi un câble. » Peut-être. Peut-être pas. Qui savait vraiment ? J’appréciais le fait qu’il tente de me rassurer mais rien n’y faisait, je culpabilisais à mort et me disais que j’aurais bien du mal à me défaire de cette image que je m’étais donné un peu malgré moi. J’étais une honte pour Danni, pour mes amis, pour ma famille… Comment avais-je pu tomber si bas ? Je soupirai alors qu’Edward plaçait ses mains sur mes épaules, m’obligeant à le regarder, ce qui ne m’aidait pas à être des plus à l’aise. « Keagan… Qu’est-ce que tu as fait au juste ? Qu’est-ce que je peux faire pour t’aider ? » Je passai d’un de ses yeux à l’autre, comme si j’étais perdu. Pourtant, j’avais bien compris ses questions, mais je me demandais juste par quoi je devais commencer. Si je devais me confier à quelqu’un, c’était bien lui, la preuve là maintenant. Comme un idiot, j’entrouvris la bouche comme pour dire quelque chose mais rien n’en sortit, manifestement je n’arrivais pas à trouver les premiers mots… Je la refermai avant de refermer les yeux quelques secondes, passant mes mains sur mon visage comme pour me remettre les idées au clair, et les réouvrant enfin en devant assumer le fait d’affronter le regard de mon meilleur ami en lui avouant des choses assez gênantes. « Je… J’ai fait du mal à des gens. J’ai torturé physiquement un… un Mangemort et… j’ai aussi torturé une fille, psychologiquement… je l’ai un peu, enfin totalement plutôt, séquestrée pendant presqu’une heure et à ce moment-là je n’avais qu’une envie… une seule… lui faire peur. Dans une salle un peu comme celle-ci… » Lui avouai-je d’un ton plutôt posé, presque froid, cherchant à contrôler mes émotions, à ne pas ressentir ce que je ressentais à ce moment précis, ne plus sentir ce plaisir de la voir flipper, ne plus avoir cette adrénaline malsaine. Je culpabilisais pour deux raisons : celle d’avoir torturé des personnes, et celle d’avoir aimé ça. Je le fixai en disant tout ça, comme si décrochais mon regard du sien pourrait me faire craquer. Voilà… je devenais comme nos tortionnaires, et je n’avais absolument aucune excuse à tout ça.
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(#) Sujet: Re: (TERMINE) “Avec de la prudence, on peut faire toute espèce d'imprudences.” [Edward & Keagan] Mar 18 Juil - 19:42
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(#) Sujet: Re: (TERMINE) “Avec de la prudence, on peut faire toute espèce d'imprudences.” [Edward & Keagan] Ven 21 Juil - 16:33
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Je savais que j’avais mal agi. Je me considérais comme un monstre et même si la présence quotidienne de Daniela m’aidait, mon meilleur pote me manquait, sans aucun doute. J’avais besoin de lui et le retrouver me semblait primordial. Je n’avais pas toujours besoin de parler avec lui, il me comprenait rapidement et ce dont j’étais certain était qu’il ne me jugerait pas. Comme l’inverse était tout aussi vrai. Au début, il n’avait eu aucune réaction. Ca ne me surprenait pas, il était ainsi et ça m’allait. Ca me poussait même à lui en dire plus, parce que j’avais besoin de lui en parler, même si je me sentais comme un tortionnaire. Je lui balançai alors tout. Enfin, pas les détails hein, mais dans les grandes lignes c’était ça. Je n’osais pas trop le regarder, me sentant con, mais le silence qui s’installa me stressa encore plus et je levai les yeux vers lui en remarquant qu’il me fixait. Put*** il pensait à quoi au juste ? Il avait honte pour moi ? Je ne savais comment interpréter son regard mais j’attendais avec impatience qu’il mette des mots dessus. « Keagan. Je te connais. Tu n’aurais pas fait ça sans raison. » Je haussai simplement les épaules. Je l’avais fait… Le Mangemort, juste par plaisir je devais l’avouer, bien qu’à la base c’était pour retrouver nos baguettes. Et Tracy… du pur sadisme. Elle avait fait torturer Anoushka et j’avais eu l’impression de devenir fou. Je m’étais défoulé sur elle et le pire était que j’avais aimé lui faire peur. Alors oui, des raisons j’en avais, mais était-ce justifiable ? Je n’en étais pas certain. « Les Mangemorts nous poussent à faire ressortir ce qu’il y a de pire en nous, c’est malsain mais ce n’est pas de notre faute. On n’a rien demandé de tout ça. Pour le Mangemort en question, avec ce qu’ils vous font vivre, ce n’est certainement pas moi qui le plaindrai. C’était une vengeance méritée. » Même s’il avait raison, je n’arrivais plus à être aussi objectif. Là encore, je haussai les épaules, marmonnant juste : « J’ai failli le tuer Ed’… je n’veux pas être un tueur… » Et c’était vrai ! Je ne voulais pas ressembler à ce put*** de Fitzgerald qui avait enlevé la vie de mon frère, à ces Mangemorts qui prenaient plaisir à torturer. Et pourtant, j’avais l’impression de tomber aussi bas qu’eux et de ne plus savoir comment me relever. « Quant à la fille… J’ignore ce qu’elle a fait pour te pousser à agir comme ça mais… Elle en est sortie indemne non ? » Indemne ? Tout dépendait de ce qu’on voulait dire par indemne. Je fuis un instant son regard pour souffler afin de me remettre de cette boule qui occupe mon ventre avant de reposer mes yeux sur lui. « Psychologiquement ou physiquement ? Parce que la réponse n’est pas la même… » Dis-je de façon assez froide. Ce n’était pas contre lui, c’était juste que je savais que je l’avais fait flipper, qu’elle en était traumatisée et que quand je la croisais, j’avais l’impression qu’elle allait fondre en larmes. Je la détestais pour ce qu’elle avait fait, mais put*** j’avais merdé ! Et je n’étais même pas certain de ne pas refaire cette grossière erreur… je n’étais plus sûr de rien. « Ecoute Keagan, on a tous des moments de faiblesses. Surtout par les temps qui courent. Ce que tu as fait ne te définit pas et ce n’est pas moi qui te jugerai pour ça. Je sais que c’est dur mais tiens le coup. Des choses… » Ouais, enfin de mon côté c’était plutôt que j’avais rarement des moments de « normalité ». Mes moments de faiblesse étaient quotidiens et je ne me contrôlais plus. J’étais devenu une bête, ces Mangemorts m’avaient retourné le cerveau et le pire était que je m’en rendais compte mais que je ne pouvais pas lutter contre cette folie qui m’habitait. A la fin de sa phrase, je le regardai en fronçant légèrement les sourcils, attendant la suite, intrigué. « Des choses se préparent. On ne vous laisse pas tomber. Je ne te laisserai pas tomber. Pas une seconde fois. » Des choses se préparaient. Oh. Ok. Une seconde fois ? De quoi parlait-il ? Il ne m’avait pas lâché. Enfin, tout du moins je n’en avais pas eu l’impression. « Qu’est-ce qu’il se prépare ? Fais pas le con, te met pas en danger pour rien ! » Dis-je sur un ton protecteur avant d’ajouter : « Tu ne m’as jamais laissé tomber, arrête tes conneries ! Pense à toi, sérieux, j’vais pas supporter si tu te fais torturer toi aussi ! » Et j’étais carrément sérieux. Je deviendrai encore plus fou alors qu’il ne joue pas au con. Après, je pouvais comprendre, mais tout ce que je souhaitais était qu’il ne lui arrive rien. Mais punaise, ce que ça faisait du bien de le voir !
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DETAILS EN PLUS Et plus en détails ? Statut Sanguin: Sang-Mêlé Pouvoirs spéciaux: Animagus & Cuicuilang Poste de Quidditch: Aucun Patronus: -- Epouvantard: Les membres de sa famille morts Matières suivies et niveau: Points Défis: (2000/2000) Disponible pour un RP ?: Bien sûr, on le commence quand ? D'autres comptes ?:
(#) Sujet: Re: (TERMINE) “Avec de la prudence, on peut faire toute espèce d'imprudences.” [Edward & Keagan] Dim 20 Aoû - 0:38
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(#) Sujet: Re: (TERMINE) “Avec de la prudence, on peut faire toute espèce d'imprudences.” [Edward & Keagan] Mer 23 Aoû - 19:13
“Avec de la prudence, on peut faire toute espèce d'imprudences.”
Edward & Keagan
C’était un fait, j’avais vraiment failli tuer ce Mangemort et, même s’il le méritait, je m’en sentais mal. Je ne voulais pas être un tueur. Je ne voulais pas ressembler à ce put*** de Fitzgerald ! Enfin, lui je pourrais le tuer sans aucune once de remord mais… M**** je devenais réellement un monstre ! Je me souvenais encore et encore du regard apeuré de cette gamine que j’avais prise au piège. J’étais tellement en rogne contre elle que j’aurais pu aller encore plus loin si on ne nous avait pas dérangés… C’était sûrement ce qui me terrifiait le plus. J’en avais boxé des gars, et ce avec grand plaisir d’ailleurs, mais pas à ce point-là. J’avais un goût pour la violence, je ne pouvais pas le nier, mais il semblait que j’ai dépassé les bornes, non ? Edward posa ses mains sur mes épaules, comme pour me soutenir, alors que je me dis qu’il est la personne idéale pour en parler. « Mais tu ne l’as pas fait. Tu ne l’as pas tué, donc tu n’en es pas un ! » C’était vrai. Je ne l’avais pas fait. Pourtant l’envie était présente, je rêvais de le rouer de coups jusqu’à ce qu’il en crève ! Mais je ne l’avais pas fait… Je haussai doucement les épaules tout en secouant la tête. « J’en ai eu envie, je n’attendais que ça… C’est peut-être pire. » Dis-je en plongeant un regard aussi perdu que dur dans celui de mon meilleur pote. J’avais aimé ça, sans aucun doute, comme j’avais aimé voir cette peur sur le regard de Bennett… put*** ce que j’avais aimé ça ! Tout ça nous changeait. Tout ça me changeait, sans l’ombre d’un doute, et je ne savais pas si je pourrai me détacher un jour de ce que je devenais. Heureusement, Edward était là pour le ramener les pieds sur Terre. Edward, Daniela, Anoushka… je ferais tout pour eux ! Le Serpentard en vint à demander si j’avais blessé la petite aiglonne et ma réponse voulait tout dire : je ne l’avais pas blessée physiquement, mais je ne pouvais pas en dire de même pour l’aspect psychologique. Sa réaction me soulagea. Il n’en prenait pas compte, il ne me jugeait pas et, quelque part, c’était ce que je voulais. Je savais que si je merdais vraiment il serait le seul capable de pouvoir me remettre la tête sur les épaules, de me dire que je n’étais qu’un con et que j’allais trop loin. Sûrement dans d’autres situations. Là, les circonstances étaient mauvaises et il était plus que compréhensif. Ce qui ne m’étonnait pas le moins du monde. Put*** ce que sa présence au quotidien me manquait à cet idiot !
Edward m’avoua que quelque chose se tramait et au lieu de penser à notre futur bien être, je m’inquiétais pour lui, lui signalant direct de ne pas faire le con. Il ne devait rien lui arriver, c’était important, je ne le supporterais pas ! Réellement pas ! Et là encore, je ne me privais de lui en faire part. Il me fixa le temps de quelques secondes et je ne lâchai pas le regard pour lui montrer que je ne plaisantais pas, il ne devait pas se mettre en danger. Il se mit debout d’un coup, comme s’il avait entendu quelque chose. Je tendis l’oreille à mon tour, entendant que la porte tentait d’être forcée. M****, il ne fallait pas qu’on nous trouve ici. La personne ne sembla pas insister mais si nous restions trop longtemps, ce serait suspect. Il fut évident que nous partagions les mêmes pensées quand Edward se dirigea vers moi pour me dire : « Je crois qu’il vaut mieux qu’on ne traine pas trop. Il faut pas qu’on nous voie ensemble ici… Mais fais-moi confiance Keagan, je ne me mettrais pas en danger pour rien, tu peux me croire. Je ne peux pas vraiment t’en parler au cas-où mais on ne vous oublie pas. » J’acquiesçai juste d’un signe de tête, lui faisant totalement confiance. Je me levai à mon tour, replaçant la chaise où elle se trouvait. « Vous avez plutôt pas intérêt ! » Lui lançai-je sérieusement concernant son « on ne vous oublie pas » bien qu’au fond ce soit plus pour déconner. Je le laissai se diriger vers la porte, reculant pour ma part vers le fond de la salle, lui disant : « Vas-y, j’vais attendre un peu avant de sortir. On sait jamais… » Il commença à tourner les talons quand je l’interpelai : « Eh Ed’ ! Merci… J’espère que tout ça va vite finir… vraiment… » Lui dis-je en le regardant droit dans les yeux. Evidemment que je n’allais pas lui dire qu’il me manquait, que je voulais le voir plus, que j’avais besoin de lui et que je n’en pouvais plus de ne plus passer de temps avec mon meilleur pote. Mais je n’en pensais pas moins, et mon regard le laisser facilement transparaître. On ne se disait pas ses choses-là entre nous, mais elles étaient claires quand même. Je le regardai alors quitter la salle, une boule au ventre, me rendant compte que ce serait encore plus dur de ne pas le voir par la suite… Quelques minutes plus tard, ce fut mon tour, il était temps de retourner à mes magnifiques activités.