Classe de 7e Année

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Classe de 7e Année - Les Sortilèges Informulées

Sue avait eu une bonne première journée, après la répartition des nouveaux étudiants, qu’elle avait accueilli à bras ouvert, le début des cours semblait une chose presque surréaliste. On avait renégocié son contrat de travail et maintenant elle était réellement professeur attitrée, mais en bonus elle avait eu le poste de directrice de maison; c’était tout un honneur. Le début de l’année débutait assez abruptement, la 7e année. Elle savait que certain n’avait qu’hâtes de quitter les bancs d’école et faire autre chose de leur vie, mais elle ne les laisserait pas quitter dépourvu de tout ce qui pourrait se révélé nécessaire pour leur survie, de plus, plusieurs iraient probablement à l’université et c’était son devoir de les aider à trouver leurs voie, si ce n’était pas déjà fait.

C'était le matin et elle avait un peu de tract, mais rien de très sérieux, elle était quand même une femme doué et pleine de ressource. Elle s’attendait à ce que ces élèves de terminales sachent se tenir. Du moins, elle l’espérait. Ceux qui quitteraient l’école l’an prochain ne devaient-ils pas montrer l’exemple ? Du moins, c’est ce qu’il aurait dû être le cas. En rentrant dans la classe. Elle rejoint le petit bureau en avant, bien surélevé, et feuilleta ses notes. Elle prit une liste, qu’elle posa sur le coin droit du pupitre. Et finalement, elle repoussa les manuels et s’assit au-devant du bureau prêt à voir arriver ces nouveaux élèves. Vêtue de son chemisier blanc crème, ces cheveux ébène détachés, une jambe par-dessus l’autre, elle posa ces paumes sur son genou du dessus. Ils n’avaient qu’à arriver, elle serait prête. Prête à tout. Nouvellement élue Directrice de Gryfondor, elle s’attendait à ce que ces derniers la test, après tout, elle aurait fait la même chose dans son temps à elle.

Elle releva les noms des élèves entrant sur sa liste, en hochant la tête à chacune de leurs entrées. Elle avait eu la chance de les suppléer plusieurs fois au courant de l’année antérieur et donc elle arrivait à associer les visages et les noms. Si certain pensait être turbulent dans sa classe, c’était très mal considéré la dame qu’elle était. Elle s’attendait à ce que tout le monde se tienne à carreaux. Elle était toujours sympa, mais ne tolérait pas les écarts déplacés. D’ailleurs, elle se le répétait sans arrêt. Ils étaient censés être le plus mature ceux-là. Voyons maintenant s’ils atteindraient ce qu’elle s’attendait d’eux. Avec tous les vas et viens de professeur au courant de l’année antérieur, elle avait un peu révisé la matière de sa classe en début d’année pour qu’elle soit plus profitable pour tous et de rattraper la matière qui avait été échappé, mais non pas intéressante.

Tous les étudiants - À Lire:

Élève Inscrit à ce cour et Post fait. :

Place en classe:

Place Assise:

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"Classe de 7e Année - Les Sortilèges Informulées"

"New teacher, youhou !"

« T'as vu Matt', apparemment on a une nouvelle prof' aujourd'hui ! Dommage pour c'vieux Cricky, j'aimais bien sa voix. »

¤ Dis-je à mon meilleur ami, en marchant à ses côtés pour que l'on puisse se rendre en classe de Sortilège, ce matin-là. C'était le premier cours de la journée et je remontais les escaliers en compagnie de Matthew après avoir pris le déjeuner. Deux toasts avaient suffit pour moi bien que je connaissais mon estomac qui en voulait toujours plus. Malheureusement, je ne digérais plus du tout, tout ce qui venait de l'eau et ça me donnait de terribles nausées. Avant, j'adorais mais maintenant, je n'étais plus capable et je ne l'avais dit à personne encore. C'était comme être végétarienne sauf que c'était uniquement envers les poissons parce que j'adorais toujours autant me gaver de viandes...

¤ La classe était près maintenant et j'allais aussi y voir Erwan, le garçon que j'aimais, tout comme des présences indésirables genre Faust ou encore la majorité des Serpentards présents, incluant cette affreuse garce de McDermott. Ça pourrait toujours être amusant ! Dommage que je ne connaisse pas l'identité de la personne remplaçant Cricky mais apparemment, c'était un poste permanent. Déjà que l'on avait une nouvelle directrice, soit Pelvenche qui fut remplaçante auparavant mais que je ne connaissais pas plus que ça... À voir !

¤ Nous avions donc entré en classe, où j'aperçus le regard d'Erwan. Je lui fis un sourire en lui faisant signe que je le verrais après le cours avant de tomber sur l'affreux regard de vipère de McDermott et sa bande. C'est à cet instant-là que je vis qui était le nouveau professeur et c'était miss Pelvenche ! Passant à côté, je l'ai saluée d'un signe de la main en conservant mon sourire avant de prendre place à côté de Matthew. Je dis, à mon meilleur ami :

« Ça risque d'être cool ce cours, c'est notre directrice et cette garce de McDermott n'aura qu'à bien se tenir, son titre de préfète n'y pourra rien ! » Dis-je, avant de sortir mon bouquin ainsi que mon encrier, plume et parchemin afin de prendre des notes. Ma baguette aussi, évidemment.

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fiche par century sex.

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Les sortilèges informulés.

Premier cours de la journée, Sortilèges. C'était certainement le cours le plus attendu par Wilhelmina depuis qu'elle avait commencé sa scolarité à Poudlard. Depuis sa première année, la blonde adorait les sortilèges, elle s'investissait toujours à fond dans les cours pour donner le meilleur d'elle même. Bien sûr, elle n'avait pas toujours tout juste, sinon à quoi servirait qu'elle aille en cours si elle savait déjà tout faire, mais elle ne baissait jamais les bras quand elle faisait une erreur et reprenait depuis le début, jusqu'à réussir, c'est ce qu'il lui avait donné l'opportunité d'être l'une des meilleure dans cette matière. Elle ne laissait pas pour autant les autres matières de coté, mais on pouvait le dire, les sortilèges avait une grande place dans le coeur de la serpentard.

Ce matin, elle s'était donc levé avec le sourire quand elle s'était rendu compte qu'elle allait commencer par sa matière préférée. Elle n'avait pas mis longtemps à se précipiter dans la douche, et pour se préparer convenablement pour la journée. Après avoir mis son uniforme, nouée sa cravate aux couleurs de sa maison et s'être coiffée, laissant tomber en cascade ses long cheveux blond dans son dos, elle était déscendu dans la grande salle, pour prendre rapidement un jus de fruit en attendant que son copain ai finit de déjeuner. Parce que oui, en plus que les sortilèges soit sa matière préférée, elle les aimait encore plus quand elle savait qu'elle avait ce cours en commun avec Faust, au moins elle pouvait passer un peu de temps avec lui, elle ne crachait jamais sur le moindre temps qu'elle pouvait avoir avec lui. Une fois le petit déjeuné finit, elle se dirigea vers le hall, où se trouvait le serdaigle et se précipita directement dans ses bras, c'était certainement la seule personne qui avait autant de droit à ces élan d'affections de sa part. Mais faut dire qu'il n'était pas n'importe qui non plus. Après l'avoir légèrement embrassé elle lui sourit un peu contente de le voir.

« Prêt à affronter cette nouvelle journée ? » Elle lui sourit un peu, avant de regarder légèrement sa montre, qui lui disait silencieusement qu'ils ne devaient pas trainer, si ils ne voulaient pas être en retard. C'est pourquoi après avoir attendu sa réponse, elle attrapa sa main, et se dirigea en couple à ce premier cours. Quand elle rentra dans la salle, elle remarqua la nouvelle professeur qu'elle ne connaissait pas encore, et après un bonjour , elle se dirigea doucement vers les tables, mis à disposition pour eux. La salle était encore vide, mais celle ci se remplit rapidement, par des personnes agréable comme Etalyrae qui l'avaient rejoint où plutôt désagréable comme Taylor, bien que Wilhelmina ne chercha pas à la regarder, qu'elle soit là ou pas, tant que celle ci ne cherchait pas la guerre avec elle, ce n'était pas Wilhelmina qui lancerait les hostilités, elle avait bien plus important à faire. C'est pourquoi elle sortit alors ses affaires, prête à travailler.

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Les études avaient une très grande place dans la vie de Faust, il était toujours prêt à y consacrer beaucoup de temps et c'était donc étonnant en rien que le Choixpeau l'ait envoyé sept ans plus tôt chez les aigles. Jamais il n'avait peur de la charge de travail, même si elle semblait énorme à ne jamais diminuer. Cette année était sans doute l'une des plus importante de toute sa scolarité à Poudlard, plus que jamais il devrait fournir des efforts, parfois monstrueux, mais ça ne lui avait jamais fait peur et ça n'était pas prêt de changer. Encore moins quand il s'agissait d'aller en cours avec des personnes chères à notre cœur et dont on peut profiter de la présence. L'année dernière, il n'avait pu profiter du soutient en public ni de son meilleur ami, ni de sa petite-amie. Résultat des courses, ils avaient tous les deux rétrogradaient d'une énorme quantité de place dans son estime et dans sa vie pour faire simple, et d'autres les avaient remplacés. Wilhelmina, contrairement aux autres, ne l'avait jamais laissés tombés que ce soit en apparence ou totalement, s'affichée avec lui ne lui avait pas fait peur et ne pas tout savoir sur ses motivations pour faire telle ou telle chose un peu étrange vis-à-vis de son comportement habituel. Jamais elle ne lui avait fermé ses bras, c'est pourquoi il était heureux de pouvoir cette année encore et plus que jamais, compter sur elle et ce, pendant quasiment tous les cours même si ils ne disposaient pas tout à fait des même matières à leurs programmes.

Commencer par Sortilège voulait aussi dire commencer la journée ensemble, une bonne nouvelle qui illuminait le début de journée du jeune homme. Il réajusta sa chemise et sa cape de sorcier puis quitta son dortoir puis sa salle commune, un réel changement et soulagement pour lui de ne plus avoir à épingler sur son uniforme l'insigne de la BSPB. Le souvenir de ce temps là restait mais le fait de ne plus le voir sous ses yeux allégaient considérablement son esprit et son humeur, il se sentait serain et presque entièrement de retour à l'époque où Blackman n'avait encore jamais fait surface dans leur vie. Un temps qu'il n'était pas forcément sûr de regretter, au moins lui avait-il permit d'ouvrir les yeux sur beaucoup de choses et de personnes, seulement, si ça avait été d'une autre manière ça n'aurait pas été si mal. Jamais content, Faust s'était récemment découvert une manie de toujours trouver quelque chose à redire en ce moment, c'était du moins plus courant qu'avant mais au moins il ne faisait aucun commentaire sur la nourriture préparée par les elfes de maison, il n'avait pas envie de se retrouver sans nourriture pendant un temps indéterminé. Puis pour faire simple et en toute honnêteté, le jeune homme n'avait aucune critique à faire, chaque repas dans la grande salle était un vrai régal et il n'avait beau ne pas être un gourmand de nature, avec certaines viennoiseries préparées, il le deviendrait. Mais il savait encore reconnaître quand son estomac s'agitait pour de la gourmandise ou alors pour du véritable appétit, c'est comme ça qu'il dû refuser un croissant pour filer dans la salle d'a côté pour y attendre une jolie vipère.

Elle ne tardit pas à arriver et ils s'échangèrent leurs si chaleureuses et agréables banalités avant de monter les marches pour rejoindre leur salle de cours. Aller d'une salle à un autre constistait en soit déjà au sport de la journée, pas besoin de rajouter des cours de vol ou tout simplement des footing dans le parc pour aller se dépenser encore un peu plus. Et quand les escaliers faisaient des caprices, c'était pire, mais là, de bon matin, ils n'avaient pas l'air d'être décidés à embêter les élèves. Comme ça n'arrivait pas tous les jours, il fallait en profiter et Faust ne se fit pas prier puisqu'il entraîna sans traîner sa petite-amie avec lui en cours, ne voulant surtout pas être vicitme d'un soudain changement d'avis de la part des escaliers du château. Ils y allèrent un peu trop vite, personne ou presque n'était encore présent, encore une fois ils faisaient honneur à leur ponctualité. Et sans attendre, après avoir salué leur nouveau professeur de Sortilèges, ils se dirigèrent tous les deux vers des tables, disposées par rang de trois, en s'y asseyant le jeune homme se demanda si quelqu'un viendrait les rejoindre à un moment où à un autre du cours. Ce serait aussi à l'acceptation de sa copine, la place centrale était pour elle et c'était très bien comme ça, rester sur le côté lui allait très bien personnellement, tant qu'il pouvait suivre le cours tranquillement, rien ne pouvait se passer mieux.

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" Non, et puis un bleu métallique comme ça, ça ne lui va pas du tout. Encore, s'il n'était pas aussi écaillé…"

C'était la grande réflexion qu'Isis exposait à voix haute en compagnie d'un groupe de filles de Serpentard plus jeunes qui avaient semblé bon de consacrer leur temps à prêter de l'attention à ses dires. Le sujet à traiter du jour, n'était nul autre que l'ignoble vernis à ongles qui tapissait ceux d'une autre fille de leur classe plus discrète, découverte dans un cours de potions. Isis avait manqué de peu de régurgiter tout son petit-déjeuner sur son pupitre à cette vue insoutenable, aussi il allait sans dire que l'un des seuls remèdes qu'elle trouvait à cette situation qui semblait n'en avoir aucun, puisqu'il n'existait encore aucun antidote aux fautes de goût. Ses nouvelles compagnes de gloussements, puisque c'était à cette occupation qu'elles se livraient le plus, trouvèrent l'occasion rêvée pour laisser s'exprimer leur talent en la matière, agitant leurs doigts fraîchement manucurés comme si elles chassaient des insectes. Ravie, Isis rejeta donc sur ses épaules sa chevelure dorée et parcourut le couloir en se pavanant, veillant bien à ce qu'elle demeure l'élément central de cette cérémonieuse traversée. Cours de sortilèges avec une nouvelle enseignante, mais voilà qui promettait d'être barbant à souhait ! Isis se demanda donc à quoi elle pourrait donc occuper l'heure à venir. En petits gribouillages informes sur une feuille de parchemin de manière les voir s'animer par le biais d'une formule des plus basiques, peut-être, à moins de trouver quelques ragots de bas étage à échanger avec une camarade quelconque, ce serait sans doute très divertissant, assez pour lui faire passer le temps du moins. Elle pourrait également réviser ses stratégies quant à jeter son grappin sur Snow Shiver, en feignant de vouloir des conseils pour apprendre à voler, comme si diable ça pouvait l'intéresser. Elle s'installa donc, un peu aléatoirement, de manière à se laisser le plaisir de découvrir ses camarades par la suite, et attrapa ses affaires sans tarder. Plus loin, une tête connue sur laquelle elle pouvait immédiatement coller le nom de Wilhel… Wil… Wilhial… enfin, quelque chose dans ce registre, elle était certaine de ne pas être très loin du compte. La copine de monsieur le préfet des aiglons si elle croyait les rumeurs de couloir, et surtout son camarade de gauche. Plus loin, Taylor, une fille contre qui Freyja l'avait mise en garde, mais puisque Freyja n'était plus à l'école… Isis ne savait trop comment se comporter vis à vis de cette dernière, et trouva donc plus judicieux de s'installer dans un autre rang, où peut-être que quelqu'un d'autre viendrait se joindre à elle, avec en tête un bon programme pour lutter contre l'ennui. De toute manière, elle n'avait jamais été très douée en sortilèges.

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Etalyrae avait beau vouloir devenir un modèle pour ses petits camarades de maison cette année, elle n'en trouvait pas toujours une motivation suffisante et devait donc faire de grands efforts pour paraître une bonne élève visant une réussite non pas parfaite mais largement au-dessus de ce qu'on qualifie d'à peine correct. L'envie d'aller en cours ce matin était encore moins présente qu'à d'autres moments, notamment parce que les Sortilèges étaient enseignés par la professeur référente des lionceaux, qui bêtement, jugeraient utile de se pavaner fiers comme des coqs, pour pas grand chose en plus. Peut-être pensaient-ils que cela augmenterait la rapidité de leur sablier à se remplir, ce qui voudrait dire qu'ils étaient tombés bien bas pour penser à avoir recours à du pistonnage afin de rattraper leur retard au niveau des points. Si ils n'étaient pas connus pour être aussi gaffeurs et intrépides, on ne les attendrait pas à des endroit ou des heures non conseillées pour leur retirer des points, surtout qu'en tant que préfète, la jeune fille n'avait pas l'intention de leur faire de cadeau ni de servir des avertissements avant les sanctions, chaque infraction leur serait fatale.

Quand elle arriva sur le pas de la porte, la salle de classe ne venait pas à peine d'ouvrir ses portes mais Etalyrae n'était pas pour autant en retard. Faire des efforts pour ne pas arriver la dernière était déjà suffisant, elle n'allait pas faire la lèche-botte en arrivant trente ans en avance pour avoir une chance d'aider à ranger la salle avant l'arrivée des élèves. Pas besoin de se comporter de manière aussi hypocrite dans l'intention de se mettre l'enseignante référente des Gryffondor dans sa poche pour ne pas se faire retirer des points. Son comportement serait exemplaire, du moins tant que possible, et donc il n'y avait aucune raison à ce que le sablier de Serpentard voit quelques points s'envolés par sa faute. Quelle image de son rôle de préfète donnerait-elle sinon ? Elle ne voulait pas y penser, il y avait déjà tant à faire pour remettres les pendules à l'heure de certains rebelles au sein des serpents, elle ne voulait pas inspirer d'autres à en faire autant, sinon, à moins d'un miracle, leur maison ne parviendrait pas à regagner un semblant d'honneur auprès des autres. Considérés comme les ringards du château depuis le départ de Blackman, on ne leur prêté pas vraiment attention, ils étaient juste les ''pires'' du château. Et cette définition ne disposait rien pour les rendre fier, la demoiselle avait pour but de faire changer la vision de sa maison aux autres, il était hors de question qu'elle passe sa dernière année à se faire traîner dans la boue.

Les places réaménagées auraient pu lui permettre de prendre place aux côtés de Wilhelmina, depuis la fin de l'année précédente, elles étaient devenues des amies et ça comptait pour Etalyrae qui avait l'impression de perdre quelque chose en refusant de trop s'attacher aux gens. Il lui fallait quelqu'un pour s'appuyer, et depuis qu'elle s'en était rendue compte, elle faisait plus attention à l'évolution de ses relations sociales. Mais sa camarade était en compagnie de son petit-ami et même si une place restée vacante dans leur rangée, la demoiselle considéra qu'il serait beaucoup mieux de les laisser profiter d'être ensemble. Au milieu, vers le fond, les places étaient occupées par de trop mauvaises têtes et il n'était pas question qu'elle se mette juste devant eux ou au premier rang. Finalement, elle longea les tables collées au mur pour s'installer au rang du milieu, à la place collée contre le mur. Derrière, elle aperçut Isis et son regard perçant, toujours prêt à transformer le moindre détail en prochain ragot croustillant, même si ce n'était pas la voisine idéale c'était toujours mieux qu'ailleurs pour cette fois et maintenant qu'elle avait déposés ses affaires sur la table, Etalyrae n'avait pas envie de faire marche arrière, il lui suffirait de feigner une attitude assidue en ne se retournant pas une seule fois.

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Le cours n'avait même pas encore commencé, et la nouvelle enseignante même pas eu le temps de procéder aux conventions sociales qu'étaient les présentations de base, qu'Isis en avait déjà assez et n'attendait que sa fin. Ce serait l'heure du repas dans la grande salle, elle pourrait retrouver toutes ces petites greluches écervelées plus jeunes qu'elle qui croyaient toutes les rumeurs qu'elle lançait sans même réfléchir de manière à déterminer si elles étaient crédibles ou non. Isis jeta par réflexe un oeil sur sa table de droite avec une certaine mélancolie : c'était d'ordinaire toujours Freyja qui occupait cette place… Isis avait du mal à le reconnaître, puisqu'elle avait vécu le départ de son amie comme une trahison, mais en l'occurrence l'ancienne vipère lui manquait beaucoup. Elle était son alter ego, partageait ses opinions, ses passions, ses habitudes… l'une avait pris l'habitude de calquer son mode de vie en fonction de l'autre. Être privée de la compagnie de sa meilleure amie l'avait affectée bien davantage que sa perte de notoriété finalement, à croire qu'au final son rêve de popularité ne l'intéressait plus tant que ça, et que ses relations affectives avaient pris le dessus. Quelque peu contrariée, la jeune fille balança ses jambes en mordillant du bout des dents le bout de sa plume. Elle qui ne savait pas quoi faire durant le cours, une idée lui vint à l'esprit, se disant que puisque les hiboux circuleraient lors du déjeuner, elle pourrait profiter de l'opportunité pour envoyer une lettre à Lexie par le biais de Macha. Ses conversations trop plates avec les autres filles commençaient à l'ennuyer, aussi elle avait fini par se dire que cela ne lui ferait pas de mal d'en avoir une plus constructive avec sa soeur, maintenant qu'elles s'entendaient mieux toutes les deux. Cette dernière pourrait lui donner également quelques conseils sur la manière dont elle devrait procéder avec Snow Shiver, puisqu'elle n'avait pas vraiment de suite à son plan de l'équipe de Quidditch. Le fil de ses pensées fut néanmoins interrompu : le cours n'avait toujours pas commencé, mais une fille qui lui était bien connue venait de s'installer près de sa position. Etalyrae McDermott, leur préfète. Isis la connaissait bien, cette fille l'avait remplacée au bras de Ryan, et même si elle n'avait pas très mal vécu cette séparation, voire même au contraire, elle avait moins apprécié d'être ainsi remplacée. Toutefois, les temps avaient changé, et il était temps pour Isis de tirer un trait là-dessus. Elle comptait pas envisager une amitié ou quoi que ce soit, sans compter que l'initiative ne risquait pas d'être au goût de l'autre Serpentard. Mais ce n'était pas une raison pour ne pas la saluer dans les règles, non ? Alors Isis examina la situation de la classe, et au bout de quelques regards, rapports effectués, elle se rapprocha de sa voisine de devant et chuchota à son adresse.

" J'ai l'impression que la Gryffondor un peu plus loin ne te voit pas d'un bon oeil, Etalyrae. Enfin, ce n'est peut-être que moi. " affirma malicieusement la vipère.

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L'heure était venue pour moi de me rendre en cours. Cours de Sortilèges apparemment et avec une nouvelle professeur. Le professeur Cricky étant parti. Chose bien dommage car j'appréciais bien ce prof, il était gentil. Enfin, trêve de bavardage Erwan, tu vas être en retard. Sortant rapidement de l'endroit où je me trouvais, je filai à toute vitesse vers la salle de classe. Sans d'ailleurs au passage remonter quelques bretelles à des élèves de secondes et troisièmes années indisciplinés. Après tout, j'étais préfet et je me devais de répandre l'ordre et la discipline à toutes heure de la journée. Surtout que je venais de postuler pour le poste de préfet en chef voulant ainsi remplacer Astride partie à l'université et Seth disparu. Ce dernier point ne m'était en aucun cas pénible. Depuis ce fameux jour à la grande salle, je me méfiais grandement de ce qu'il était. Enfin, c'était du passé désormais.

Je cru apercevoir Taylor dans les couloirs, elle était en compagnie de Matt' d'après ce que j'avais vu. Malheureusement je ne pus pas les rattraper étant occupé à régler un soucis entre deux élèves. Après leur avoir retiré un point chacun pour s'être battu dans les couloirs, je me dépêchais de rejoindre ma classe. Il ne fallait pas que je sois en retard. Heureusement ce ne fut pas le cas . Voyant qu'une place était libre au premier rang près de la fenêtre j'y allais m'asseoir. Ne remarquant qu'au dernier moment que je me trouvais juste devant Faust et sa nouvelle conquête. Et zut. Enfin, pas grave ce n'était que le temps d'un cours. Et puis cette histoire datée. Aussi n'allais-je pas la ramener sur le devant de la scène maintenant. Cela ne servirait à rien. Autant rester dans l'ignorance. De toute manière nous n'étions plus sur la même longueur d'onde. Lui préférait rester avec les gens de son rang et moi, je me concentrais sur mes amis et mes responsabilités. De plus, je ne lui faisais plus confiance. Et une amitié sans confiance, cela ne servirait à rien.

Me concentrant sur l'intitulé du cours, je me demandais si « Les sortilèges informulés » n'étaient déjà pas un sujet vu et revu. Si je me souvenais bien, l'année dernière, les septièmes années les avaient travaillés avec la professeur de Défense contre les forces du mal. Pourquoi les sortir de leur contexte et les mettre dans ce cours ? Je ne comprenais pas la logique de notre professeur. Certes c'était des sortilèges, mais cela représentait également un danger puisque ceux qui les utilisaient à majorité était des mages noirs. Pour moi donc, ils n'avaient pas leur place ici. Enfin, je n'étais pas prof.

Détournant mon regard du tableau, j'aperçus Taylor entrait dans la salle en compagnie de Matt'. Je ne m'étais donc pas trompé c'était bien eux que j'avais aperçu dans les couloirs. Taylor me fit un grand sourire et me fis comprendre qu'on se verrait après le cours seulement, je remarquai qu'une place à côté d'elle était toujours libre. Aussi décidai-je de déroger à ma règle et de partir m'asseoir au fond de la classe à ses côtés. Non pas par jalousie, mais simplement car j'avais envie d'être auprès d'elle en ce moment. Je m'en voulais encore de l'avoir abandonné au bal de fin d'année l'année dernière, aussi voulais-je me rattraper cette année. Tant pis si je devais en faire trop. Prenant mes affaires, je me dirigeai vers la place 14, juste devant elle. J'y posais mon livre et ma baguette avant de me tourner vers elle. Elle venait de parler à Matt' et quelque chose avait attiré mon attention.

- Coucou toi ! Souris-je amoureusement, Salut Matt' repris-je amicalement. Vous allez bien ? Alors c'est la nouvelle directrice des Gryffondors ?

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Nous y étions. La dernière année, la 7ème. 7 étant un nombre à fort pouvoir magique, il semblait normal que ce soit en cette année que s'arrête les cours à Poudlard. J'y étais enfin, après avoir passé mes BUSE et tous les examens de fin d'année nécessaires, j'atteignais le bout de l'aventure, le cul de sac du château. Après toutes ces années passées dans cette école, la quitter me semblait plus irréel que de l'avoir intégrer. C'était pourtant une étape essentiel dans ma vie de sorcier, étape à laquelle je devais irrémédiablement me préparer, et ce dès maintenant, alors que l'année commençait à peine. Ce matin, premier jour officiel de cours, était l'un des jours si particuliers où l'année n'a pas réellement commencée, et pourtant si.
L'heure semblait venue, même plus que ça. 9h05, 9h10 ... Comment pouvais-je être en retard au premier cours de l'année, de plus au cours de ma DERNIERE année à Poudlard ? Même pour moi, cette question restait un mystère. Je n'avais pourtant dérogé à aucune règle, ce matin. Je m'étais levé à la même heure, avais déjeuné à la même heure, avais traversé les couloirs menant à la salle de sortilège à la même allure... Et pourtant, je me retrouvais à courir le long du dernier corridor menant à la salle où mon cours avait lieu. Alors que j'arrivais face à la porte, je m'arrêtais un instant, reprenant mon souffle et mon calme. Il ne valait mieux pas pour moi que j'entre dans la salle paniqué et à bout de souffle !
J'ouvrais la porte et me faufilais le plus discrètement possible dans la pièce fortement éclairée, à l'odeur âcre de parchemin vieux comme le monde. Les élèves étaient déjà tous là. Gryffondors, Serdaigles, Poussouffles et Serpentards confondus, tous de 7eme année, tous aussi sûrs d'eux et ravis de retrouver le chemin de l'étude et de l'apprentissage. Du moins en apparence. Je souriais en mon for intérieur et me forgeais une mine grave, de circonstance vu mon retard de plus de cinq minutes.

"Excusez-moi, Mme Pelvenche. Je n'ai aucune excuse valable expliquant mon retard, si ce n'est que je n'ai pas vu le temps passé. Je vous offre ma sincérité pour faire amende honorable."

Je m'inclinais légèrement. Cela pouvait paraître comique, voir déplacé, mais c'était pourtant sincère. Cherchant une place libre, je me retrouvais malgré moi au premier rang de la classe. Ma table était des plus miteuses. Normal, étant donné que c'était celle réservée aux cancres et autres perturbateurs de classe. Elle était parsemée de gribouillis griffonés dans le bois à l'aide d'on ne savait quel outil. J'observais ça, un sourire en coin, alors que je sortais mes affaires et me calais sur ma chaise. Levant un oeil vers le tableau, je lisais "Sortilèges Informulées". Mon sourire s'élargissait largement à cette vue, ravi que j'étais à l'idée du programme de l'heure à venir. Je rassemblais mes esprits, bloquais mon dos contre le dossier de bois de ma chaise, et, sans un regard pour mes camarades, me préparais à ce premier cours de l'année.

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" J'ai l'impression que la Gryffondor un peu plus loin ne te voit pas d'un bon oeil, Etalyrae. Enfin, ce n'est peut-être que moi. "

L'avantage de ne pas se presser pour aller en cours et d'arriver juste dans les temps aux limites de l'acceptable, c'était qu'on avait pas le temps de bavarder avec les voisins et qu'on se lançait directement dans le vif du sujet. Etalyrae n'était jamais pressée que le cours commence mais si elle avait pu éviter d'avoir à entendre Isis Seymour lui adressait la parole de sa place de derrière, elle en aurait été ravie. Contrainte de se retourner puisque qu'aucun bruit de fond ne serait une excuse crédible pour ne pas avoir entendue, Etalyrae s'adossa au mur avec pour champs de vision le devant et le derrière de la classe, histoire de surveiller quand est-ce que le cours commencerait pour pouvoir échapper le plus tôt possible à une conversation remplie d'hypocrisie avec sa camarade. Une sorte de trève avait-elle dit l'année dernière, mais Etalyrae n'avait rien perçu d'un quelconque changement dans leur relation, mis à part qu'elles avaient pris soin de s'éviter. Ce qui ne lui certifiait en rien que l'autre Serpentard ne soit pas allé craché son venin derrière son dos, une hypothèse plus que probable la connaissant.

« Je vois que tu as pris soin d'observer tous nos petits camarades, Isis. Mais en même temps, ça va faire la septième année que cette fille m'a dans le collimateur, il serait tant que tu t'en aperçoives. »

Etalyrae ne cherchait pas spécialement à déclencher les hostilités, elle avait même agrémenté sa réponse d'un sourire qui se voulait compatissant, sans son acolyte toujours accroché à ses basques, elle pouvait comprendre que Isis soit un peu perdue. Mais elle pouvait se rassurer, une fois qu'on ouvre bien les yeux sur chacun de ce petit beau monde, on s'y fait vite et puis ce qu'il y a de bien avec eux, c'est que ce n'est pas la peine de les analyser pendant longtemps pour comprendre le fond de leur pensée et leur façon de procédé. Ainsi il était facile de voir que la Gryffondor concernait n'aimait véritablement qu'une seule personne, son reflet dans la glace, la seule personne atteinte du même niveau de stupidité et d'incivilité. Isis pensait peut être que l'ennemie de son ennemie deviendrait son amie mais autant lui faire comprendre qu'elle ferait mieux d'abandonner de suite, personne ne devrait à supporter la trop longue compagnie d'un gorille croisé à un mammouth.

« Elle part du principe que tous les Serpentards sont mauvais, pour gagner son estime tu devras attendre longtemps et crois-moi, ça n'en vaut pas la peine. De plus, elle vient du bas-monde et ne dispose d'aucun trésor que tu pourrais lui ''emprunter''. »

Etalyrae n'avait jamais compris la lubie d'Isis et Freyja à propos de bijoux, de trésors et de collections, mais c'était bizarre et à chaque fois qu'elles en parlaient dans leur dortoir, elle avait pris soin de redescendre discrètement les marches pour patienter au coin du feu de sa salle commune puisqu'elle ne voulait pas être mêlée à une conversation bizarre entre deux filles un peu trop bizarre.

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Matt rit à la remarque de sa meilleure pote. Effectivement, pauvre Cricky ! Au moins ils pouvaient rire en cours… « Ouais, et il parait qu’elle est plutôt jeune, si tu vois c’que je veux dire… » Lui dit-il avec un clin d’œil malicieux, juste pour la provoquer un peu. Bon, en clair il s’en foutait royalement mais il était certain que Taylor avait compris son sous-entendu et qu’elle savait très bien qu’il faisait ça pour l’agacer un peu.

Les deux Gryffondor de 7ème année se rendaient tranquillement à leur premier cours de Sortilèges. Ils ne mirent que peu de temps à arriver jusqu’à la salle où la porte était déjà ouverte, comme si elle n’attendait qu’eux. Certains élèves étaient déjà présents, et Matt salua la plupart d’un sourire après avoir saluer poliment Miss Pelvenche, professeur qu’il avait déjà croisé étant donné que c’était la directrice de leur maison. Les deux jeunes gens allèrent alors s’assoir au fond de la salle, ce qui était plus que fréquent chez eux, une sorte d’habitude. « Tiens-toi bien aussi, ‘manquerait plus que McDermott te mette une raclée, tu perdrais ton estime auprès de notre chère directrice » Dit-il dans un rire pour se moquer de sa pote. Bon, bien sûr, il préfèrerait largement que Taylor mette une raclée à McDermott en Sortilèges mais l’inverse le ferait aussi bien rire.
Il sortit à son tour tout son matériel pour bien bosser ainsi que sa baguette qu’il garda entre les doigts alors qu’Erwan prenait place devant eux. En levant la tête vers lui, il remarqua que Faust et Wilhelmina avaient pris place sur le côté de la salle. Il les salua d’un large signe de la main, accompagné d’un sourire – Oui, il savait bien que Taylor et Erwan ne s’entendaient pas avec eux mais lui n’était pas concerné, il ne changerait pas son comportement d’un côté comme de l’autre – puis reposa son attention sur le préfet des Serdaigle, lui souriant poliment. « Salut Erwan ! ». Il lança un coup d’œil à la prof puis se retourna vers Erwan et Tay : « Ouais, la nouvelle directrice… bon on sait pas trop encore c’que ça va donner mais on dirait qu’elle s’implique bien, on verra. » Dit-il en haussant les épaules tout en posant son livre sur la table.

Matthew aimait cette matière, il était plutôt bon, arrivait à s’en sortir sans trop d’efforts. Ouais, c’était vrai, merci les facilités, mais quand même il bossait !! Il avait quand même la chance de ne pas avoir à trop travailler pour réussir, et il aimait être dans les meilleurs, réussir ce qu’il entreprenait, ce ne serait pas à ce cours que ça changerait !
La plupart des élèves avaient pris place dans la salle, il n’y avait plus qu’à attendre que le cours commence. Ca annonçait encore de belles compétitions… Matt avait hâte de voir ce que la prof avait préparé aux 7èmes années.

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"Classe de 7e Année - Les Sortilèges Informulées"

"New teacher, youhou !"

¤ Peu avant le cours, je parlais tranquillement à Matthew qui m'avait répondu :

« Ouais, et il parait qu’elle est plutôt jeune, si tu vois c’que je veux dire… »

¤ En guise de réponse, je lui avais donné un bon coup de coude dans les côtes, sachant parfaitement ses pensées actuelles. Il ne changera jamais, malheureusement... En fait, je ne souhaitais qu'il change uniquement ce côté de monsieur-je-suis-amoureux-de-toutes-les-filles-possibles. Encore une chance qu'il refuse de vraiment me regarder, moi. Il ne fait que me "draguer" pour le plaisir, c'est tout. J'embarque souvent dans le jeu mais jamais je ne lâcherai Erwan parce que je l'aimais bien trop pour ça malgré que je n'aie pas totalement confiance en lui à cause de ce qu'il m'avait fait l'été mais ça allait venir avec le temps... J'allais le voir en classe, en tout cas, et cela me plaisait bien. Donc, une fois dans la salle, j'avais salué la nouvelle prof', soit la nouvelle directrice de Gryffondor également, avant de prendre place au fond de la classe, en compagnie de Matthew où j'ai émis un commentaire sur McDermott envers qui j'ai lancé un regard dégoûté, surtout qu'elle était assise près de cette garce de Isis Seymour. Le préfet me répondit, d'un rire :

« Tiens-toi bien aussi, ‘manquerait plus que McDermott te mette une raclée, tu perdrais ton estime auprès de notre chère directrice »

¤ Ayant terminé de disposer de mon matériel sur mon bureau, je l'ai regardé, répondant, à voix basse :

« Tu penses vraiment que je crains les retenues ou n'importe quoi d'autre pour une petite minable de ce genre-là qui se farcit son frère ? J'en doute mon très cher. Surtout quand on voit avec qui elle se tient, cette catin de Seymour... Mmmmmh... » Dis-je, d'un sourire qu'on pouvait dire moqueur.

¤ Je vis mon copain entrer dans la classe, au même moment où il s'assit directement en face de moi. Je me demandais pourquoi il ne s'était pas assis à la droite mais tant pis, au moins, il était tout près et je pouvais l'admirer de dos... Le bel aiglon se tourna vers moi, disant :

« Coucou toi ! » Il me fit un beau sourire et je lui répondis par la pareil, le regardant passionnément quelques secondes pendant qu'il disait : « Salut Matt'. Vous allez bien ? Alors c'est la nouvelle directrice des Gryffondors ? » Je ne pus répondre immédiatement, Matthew se chargeant de cette tâche où il lui souriait :

« Salut Erwan ! » J'espérais sincèrement que ces deux-là puissent s'entendre. Malgré le côté absolument stupide et insensé de Matthew envers les filles, c'était mon meilleur ami et je savais qu'il ne me ferait jamais défaut. Il devait apprendre à mieux connaître Erwan qui était un vrai gentleman malgré son partenariat avec Astride Whitby. « Ouais, la nouvelle directrice… bon on sait pas trop encore c’que ça va donner mais on dirait qu’elle s’implique bien, on verra. »

¤ Peu après, Matthew déposait son livre sur la table pendant que j'étais concentrée vers Erwan vers qui j'avais tendu la main en disant :

« Elle a l'air bien, cette nouvelle directrice d'après ce qu'on peut voir ! Oh et oublies pas, je t'attends toi, après le cours ! » Dis-je, en étirant le bras, prenant sa main quelques secondes avant de la relâcher, sans cesser de lui sourire.

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Classe de 7e Année - Les Sortilèges Informulées

Tout le monde était assis, un peu disparate dans la classe, mais ce n’était guère étonnant avec aussi peu d’étudiant. Elle les observait alors que certaine discutait entre eux. Pouvant voir les petites cliques à gauche et à droite. Après tout, il était normal que tout le monde ne s’entende pas. Quand Aaron entra en classe, alors qu’elle s’en allait la refermer, elle lui sourit avant d’ajouter : « Allez-vous asseoir s’il vous plait. Vous arrivez tout juste. » Tout les étudiants étaient arrivés et elle pouvait maintenant commencer. Elle sourit à l’assemblé, laissant un peu de temps à l’élève de Serdaigle de se choisir une place, alors qu’il l’avait presque percuté avant de s’installer tout près de la porte.

Marchant de ses talons qui claquaient doucement sur le parquet, elle revint vers son bureau, bien au centre de la classe, alors qu’elle parlait tout en marchant.

« Bonjour à tous, à ce cour de Sortilège pour votre dernière année. Mon nom est Suzannel Pelvenche et je serai votre professeur pour le restant de l’année. Pour ceux qui me connaisse, j’ai été remplaçante ici deux ans, et est la nouvelle Directrice de Gryffondor cette année. J’espère que nous passerons une bonne année ensemble et que je pourrai vous aider à préparer votre année prochaine pour nos futurs universitaires. » Rendue au centre de la pièce, elle sourit à l’assemblé. « Nous avons un cursus régulier à suivre cette année, et au vu de la multitude des enseignants que vous avez eu au courant de la dernière année, je me permets de faire un retour sur de la matière que vous avez légèrement abordé en classe de Défense contre les forces du mal : Les Sortilèges Informulés. Je sais qu’une partie de la théorie avait été partagé avec vous, et aie vérifié avec les notes de la nouvelle enseignante Professeur Coolidge sur ce qui avait été vu. Dès lors, je vous annonce qu’aujourd’hui, je vous donnerai la matière théorique plus avancé et nous passerons par la suite à la pratique. » Elle déposa sa liste de nom sur le bureau pour libérer ces deux mains.

Elle avança et vint s’asseoir sur le coin d’un de la table avant central que tout le monde avait délaissé. « Quelqu’un peut me dire ce qu’est-ce qu’un Sortilège Informulé ? Au cas où plusieurs aurait oublié d’écouter le cours de Professeur Sterben . Et partager l’information avec tout l’assemblé ? Mlle Seymour ? » Elle s’avouait que le vieux n’était guère passionnant. Bien que Coolidge était assez froide, et que les deux ne se comprenait pas, le ton de sa voix ne donnait pas envie de se coucher sur son bureau et oublier qu’on était en classe.

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"New teacher, youhou !"

¤ Après une petite discussion amusante avec Matthew à propos d'Isis Seymour et McDermott, Erwan était venu s'asseoir en face. Pourquoi pas à côté ? Je me le demandais intérieurement. J'ai ouvert un petite discussion avec lui en lui rappelant qu'on se voyait après le cours, tout en lui prenant la main quelques secondes pour la relâcher par la suite. Madame Pelvenche était sur le point de débuter le cours puisque c'était l'heure. Aaron Velvet, camarade de dortoir de mon chéri, venait d'arriver en retard mais ça ne m'a pas du tout affecté, préoccupée par le discours du professeur qui venait de débuter. C'était un peu fatiguant quand Pelvenche marchait à cause de ses talons mais je fis comme si de rien n'était. Je détestais marcher avec ce genre de truc et j'en avais de la misère. Bref, elle s'était présentée mais on la connaissait tous à cause du fait qu'elle était remplaçante. Néanmoins, personne ne pouvait en dire plus étant donné qu'on ne l'a pas eu très souvent. Pelvenche abordait le même charabia que d'habitude, en mentionnant la matière qu'on avait acquise l'année passée avec Laskovick sur les sortilèges informulés. J'aimais bien quand elle disant "plus avancée" mais j'appréciais moins la théorie. C'était long et lassant...

¤ Madame Pelvenche retourna à son bureau après avoir parcouru jusque dans le centre avant de s'asseoir sur une des tables sur la première rangée au centre où il n'y avait aucun élève d'assis... Elle posa donc :

« Quelqu’un peut me dire ce qu’est-ce qu’un Sortilège Informulé ? Au cas où plusieurs aurait oublié d’écouter le cours de Professeur Sterben . Et partager l’information avec tout l’assemblé ? Mlle Seymour ? »

¤ Tiens tiens, Mlle Seymour, la catin de l'école. Aussi bête que ses deux pieds, la fille qui fut rejetée de tout le monde, incluant son ex, l'ancien préfet de Serpentard. Pourquoi elle ? Sûrement parce qu'elle voulait tester les imbéciles de la classe ou du moins, LA plus stupide. Surtout que la question était facile. Je me suis retournée vers Matthew en lui chuchotant, amusée :

« Elle sait à peine jeter un sortilège de première année, alors j'ose pas imaginer les sortilèges informulés... Pauvre petite... C'est vrai que ses fréquentations ne l'aident pas plus... » Murmurais-je, en regardant McDermott de côté avant de me regarder de nouveau vers madame Pelvenche où je pouvais admirer mon copain de dos, ce que j'aimais bien au final malgré ma préférence de l'avoir à côté.

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Maintenant assis en cours, attendant que l’enseignante s’adresse aux élèves, Matt parlait tranquillement avec Taylor avant de discuter avec Erwan, qui s’était installé juste devant eux. Pour dire vrai, il ne le connaissait pas tellement, mais il ne pouvait pas nier qu’il semblait cool. Il savait que Tay était heureuse avec lui, c’était le principal ! Mais il savait aussi que l’amitié qu’ils avaient eue avec Faust avait subi de rudes épreuves… évidemment, il ne voulait en aucun cas s’en mêler, mais la situation Taylor/Faust avait toujours été plus ou moins difficile à gérer pour Matthew. Bien qu’il ne voulait pas s’en mêler, il y était parfois obligé, et clairement ça ne lui plaisait pas !

Taylor envoya un pique par rapport à McDermott, ce qui fit rire Matt qui connaissait très bien la relation conflictuelle entre les deux nanas. Il leva alors les yeux au ciel quand sa meilleure pote rétorqua. « Ouais, ça je sais que tu n’crains pas les retenues. Mais essaie d’être intelligente et cloue-lui son bec avec ta baguette… j’préfèrerai que tu nous fasses gagner des points plutôt que nous en faire perdre ! » Lui dit-il sur le ton de l’humour.
Ouais, il la charriait, la taquinait, bien sûr qu’il la soutenait et en rigolait. Mais depuis qu’il avait été nommé préfet, il faisait en sorte de se tenir un peu plus à carreau devant le personnel de Poudlard, c’était sa responsabilité et son sérieux qui étaient en jeu.

Maintenant que tout le monde était bien à sa place, Miss Pelvenche prit la parole. Bon, espérons qu’elle était intéressante, c’était quand même la moindre des choses en étant directrice de Gryffondor. Mais elle en avait l’air, c’était déjà un bon point. Elle arriva sur le sujet Sortilège Informulé. Bien, ça ils étaient assez calés, ils les avaient pas mal étudiés l’année dernière et Matt en gardait un bon souvenir ! L’enseignante s’adressa alors à Isis vers qui tous les visages se tournèrent. Le griffon ne la connaissait pas vraiment, juste de vue pour tout dire, mais il savait que ce n’était pas le coup de cœur de Taylor. Bon, peut-être des crêpages de chignons de gamines, choses qui le faisaient rire. Pour tout dire, il n’avait aucune opinion sur la Serpentard. Avant que cette dernière ait répondu, Taylor se pencha vers Matt et lui chuchota quelques mots ravissants sur la demoiselle. Il ne put s’empêcher de sourire, amusé par les propos de sa pote, surtout la toute fin. « C’est ce qui va rendre le cours intéressant… laisse tomber si McDermott prend la parole, je pense qu’on ne pourra qu’en rire. » Lui lança-t-il avec un sourire moqueur avant de reporter son attention sur Isis.
Ouais, lui non plus ne portait pas forcément McDermott dans son cœur, et de toute façon elle non plus. Il n’était pas tellement du genre à se moquer des autres, mais là, s’il y avait matière à rire, il ne se ferait pas prier !

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J'arrivais un peu en retard en cours de sortilège et j'adressais un regard bref d'excuse à la prof lorsqu'elle me vit arriver puis je repérais une place libre à côté d'Etalyrae et j'allais donc m'y asseoir avant de la saluer amicalement. Je savais néanmoins que Pelvenche n'était pas du genre à accepter les discussions intempestives de ses élèves et j'essayais donc d'écouter ce qu'elle disait, ce qui ne fut pas chose facile étant donné mon intérêt pour les cours ...

Je cru comprendre qu'elle comptait nous faire bosser les sortilèges informulés et je laissais échapper un soupir, s'il y avait bien une chose qui demandait de la concentration c'était un sortilège informulé. Merveilleux, comme si j'avais que ça à faire ...

Elle interrogea Isis au hasard -en tout cas je crois- et je fixais le bois de ma table des yeux, réfléchissant déjà à ce que je ferais lorsque j'aurais quitté ce cours. Mieux vaut que cela arrive le plus tôt possible avant que je ne devienne vraiment détestable, on ne peut pas dire que j'étais le plus studieux des élèves mais en plus de ça depuis la rentrée je n'avais eu aucune motivation pour bosser alors ...

Ne me demandez pas pourquoi, où comment ça se fait. La seule chose dont j'ai totalement conscience est que le retour de McGonagall en a été l'élément déclencheur. A la base, Jennifer, Franz et moi avions pour projet de trouver un moyen de la renvoyer de là où elle venait, dans l'espoir de récupérer Blackman. Mais les choses n'étant pas aussi faciles que ça, nous n'avions pas le choix et tout prévoir correctement avant de se jeter à l'eau. Mais c'est sûr qu'à cette vitesse-là je suis bien parti pour devoir supporter McGo toute l'année. Autant vous dire que me retrouver dans le cours de la directrice de Gryffondor n'aidait pas, puisqu'elle devait très probablement être du côté de la vieille. En même temps, quel prof ne le serait pas ? Tout le monde sait qu'ils sont triés sur le volet pour être sûr qu'ils sont capables d'obéir aux ordres et de mettre leur opinion de côté. Alors même si nous avions un pro Sang Pur dans l'équipe professorale, cela était très probablement un secret bien gardé.

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Elle jeta un coup d’œil à la porte, alors que M. Gallagher entrait en retard en classe, il prit place sans rien dire, lui jetant un regard honteux. « Merci de vous joindre à nous, M. Gallagher. » Dit-elle sur un ton neutre. Puis elle reporta son attention sur la classe, et retourna son regard vers Isis.

«Non ? » Dit-elle en détournant le regard de la Serpentard qui visiblement ne voulait pas prendre la parole. «Quelqu’un d’autre ? » Interrogeant le reste de la classe du regard. « Vous avez bien vu la base des Sortilèges Informulés l’an passé, non ? » Mais plus le temps et les regards qu’elle lançait aux élèves depuis un moment s’étirait, plus elle avait l’impression que c’était véritablement une longue perte de temps que d’avoir pensée que Sterben avait pu leur apprendre quelque chose. Ce n’était pas non plus sa matière favorite, mais c’était une matière importante car on n’avait jamais aucun certitude quand d’autre évènement du même genre pourrait se reproduire, d’ailleurs pour elle, il n’était pas si loin, ayant vécu quelques années houleuse à l’école en même temps qu’un très célèbre élève dont elle ne voulait pas trop se rappeler car il la liait à la perte de ces propres parents. « Ne soyez pas timide. Je ne souhaite juste pas devoir refaire toute la matière au grand complet, si vous avez vu la plupart de la théorie avec Professeur Sterben. Je trouve vraiment très ennuyant pour vous, de devoir recommencer du début une matière qui aurait dû être acquise. Allez courage, je ne mords pas. » Dit-elle en riant, souriante. Elle se gratta la tête, visiblement embêté. C’était à se demander si elle avait l’air si effrayante pour que personne ne daigne vouloir répondre, du moins, elle avait vérifié ce matin, elle n’était pas un monstre. Et pouvait être sévère, mais était aussi quelqu’un avec un optimisme débordant.

Premier arrivé, Premier Servi.:

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Sa réussite scolaire et celle de sa copine ne devait pas devenir un point de compétition mais Faust savait très bien que leur sérieux et leur envie de toujours bien répondre pour être les meilleurs allaient les trahir, c'était plus forts qu'eux et ils allaient devoir composés avec surtout qu'en plus de ça ils commençaient leur dernière année au château, rien ne devait être laisser au hasard. Pour l'instant, entre Wilhelmina et lui aucune tension n'était apparue, ils répondirent même en cœur au signe de la main que leur fit Matthew ainsi qu'au grand sourire qui leur adressa. Malgré tout, le Serdaigle continuait à garder une certaine rancoeur mais il ne pouvait décidément pas tourner complètement le dos à son ami, ils se connaissaient depuis longtemps puis juste pour une petite erreur – avec sa valeur quand même – cela serait bête de gâcher leur amitié. Il avait un peu de temps au tout nouveau couple pour digérer la pillule mais l'été avait passé et leurs nombreux bons moments passés à deux avait laissé le temps à l'eau de couler sous les ponts. Il semblait même au jeune homme que sa copine et le Gryffondor était en train d'apprendre à faire connaissance, ce qu'il trouvait assez chouette parce que tant qu'à faire, si il doit passer un moment avec tous les deux en même temps, il ne veut pas leur parler chacun à tour de rôle. Il se demanda d'ailleurs dans quel contexte cette situation pourrait avoir lieu mais la nouvelle professeur de Sortilège ne lui laissa pas le temps de pousser sa réflexion.

Faust ne pu s'empêcher d'avoir un sourire en coin un peu moqueur à l'égard de la demoiselle intérogée par leur professeur, après tout c'était une question basique que n'importe qui connaissait, les sortilèges informulés étaient abordés par les élèves entre eux bien avant l'enseignement officiel prévu par le programme. En même temps, pour une des greluches qui était sortie avec Ryan, il ne pouvait pas attendre plus. Cependant, pas comme certains de ses voisins, le jeune homme garda ses pensées pour lui car il savait que sa petite amie était assez proche de l'une des vipères de la zone visée par Mme Pelvenche. La préfète des Serpentard n'avait en soit pas une très grande place dans l'estime de Faust, parce qu'il ne la connaissait pas mais pour être sortie avec son ancien préfet, devait avoir les même idéaux ou presque mais les bons commentaires fait sur elle récemment par Wilhelmina mais pas seulement lui laisser le bénéfice du doute. Et parce qu'il ne voulait pas contrarier sa copine, le Serdaigle préféra se taire, il s'agissait de ses camarades et elle avait peut-être dévellopé des liens bien plus qu'il ne pourrait le penser avec cette Isis. Une question à poser à la fin du cours, pour l'instant une autre planait en salle de cours et au vu de l'abstinance de tout le monde pour donner sa réponse, le jeune homme leva la main non sans avoir du faire beaucoup d'effort pour ne pas fusiller Asling du regard pour son arrivée tardive, heureusement qu'il eût l'intelligence de ne pas prendre place à leur côté.

« Les sortilèges informulés sont les sorts que nous jetons mais sans prononcer oralement l'incantation associée professeur. Pour se dispenser de prononcer leur formule en les lançant, il faut beaucoup de concentration et de force d'esprit. » Répondit le jeune homme après s'être assurée que Mme Pelvenche lui donnait l'autorisation de prendre la parole.

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Classe de 7e Année - Les Sortilèges Informulées

Elle pensait bien qu’elle continuerait à parler toute seule pour le restant de ces jours en avant de la classe, mais elle jeta un regard soulagé à Faust qui levait la main. Au moins, un Serdaigle était encore parmi eux, il y avait encore des chances pour qu’elle ne doive pas repartir de rien. « Oui. M. Churchill.» Alors qu’elle tenait le bras pour lui indiquer qu’il pouvait parler. Elle écouta la réponse et en fut satisfaite, puis sourit. « Effectivement. Concentration, Force d’esprit, et beaucoup de Pratique. 5 points pour votre maison M. Churchill. Merci d’avoir levé la main, j’ai bien cru devoir repartir de rien. Quelqu’un peut me dire pourquoi est-ce que c’est important d’apprendre des sorts de cette manière ? Ou dans quelle situation il se révèle nécessaire ? Parce que j’imagine que ceci aussi a été vu avec Professeur Sterben. Un autre volontaire ? » À moins qu’il n’ait fait preuve de laxisme tout l’année et ne leur ait appris que les grandes lignes, ce qui aurait pu être tout aussi probable.

Ce qui avait de compliqué avec des sujets partagés, c’était qu’il était dur d’évaluer ce qui avait été et ce qui ne l’avait pas été. Du moins, elle ne ferait pas l’erreur avec ces propres élèves pour les prochaines cohortes, elle s’assurerait de donner la matière en même temps que la classe de Défense contre les forces du mal pour éviter les apartés de la sorte. Probablement qu’elle verrait les Sortilèges Informulés avec sa classe de 6e aussi cette année. Il faudrait qu’elle s’assure de le mettre au programme. En fin, plus tard. «À moins que vous vouliez complété ? » Dit-elle a l'intention de Faust; Simplement désireuse que quelqu’un s’avance pour lancer des idées, même fausse c’était mieux que rien. Elle se releva et débuta à longée l’allée de droite. Se demandant s’il était tous attentif ou si c’était tout simplement parce que personne n’avait d’idée. « Sinon, je pars la théorie de là. À partir de la définition. Dernière chance, de me prouver que vous avez appris quelque chose du cours de Professeur Sterben.»

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Kurtis avait bien des qualités, mais la ponctualité le connaissait très peu. Premier cours de l'année, dernier cours de l'année, sortie entre pote, rien d'y faisait. On avait tenté de lui inculquer la ponctualité tant à coup de retenue qu'à coup de sermont, de pardon, de tout, c'était peine perdue. Cette année pourtant, il s'était lancé un défi : une routine s'était imposé. Tout allait mieux depuis qu'il s'y était mis, quoique là, c'était raté.

En effet, après le petit déjeuner, il avait mis sa robe de sorcier et s'en était allé se promener dans l'école avec des potes. Puis son attention avait été dérivée encore et encore jusqu'à ce qu'il croise une horloge qui lui ait indiqué la catastrophe. Il avait couru le plus qu'il pouvait pour se rendre en classe, calmant le pas en croisant quelques profs et surveillants, puis une fois devant la porte, il l'avait ouvert le plus doucement possible. Avec un peu de chance, en plus de son retard, il ne dérangerait pas le cours en entier comme certain. Au moins, il avait du respect.

La poignée fut tournée doucement, à peine fut-elle suffisament entre-ouverte qu'il s'y glissa comme un chat, la referma de la même façon et, tentant de ne pas attirer l'attention sur lui, il fila vers l'arrière de la classe.

"Désolé, Mme Pelveche..." tint-il à dire tout bas, malgré son intention de passer inaperçu.

Aussitôt assis qu'il sortit les bouquins nécessaire au cours en faisant mine de rien, lançant quelques salutations aux élèves qu'il reconnaissait et qu'il avait dérangé malgré ses efforts colossaux. Aussi, espérait-il que sa nouvelle professeure qu'il avait rencontré lors de suppléance, veuille bien lui pardonner cette arrivée tardive qui aurait pu avoir l'air d'un manque de respect à son égard.

Au moins, pour compenser, Kurtis sortit les notes qu'il avait pris des lectures qu'il avait préalablement fait pour ce même cours. Certains professeurs lors de son éducation avaient réussi à lui pardonner beaucoup en voyant son assiduité à l'oeuvre. Il croisait vivement les doigts pour qu'il en soit de même avec elle...

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Si il y à bien une seul chose que je ne peu pas supporter c'est les dur réveils, j'avais passer une sale nuit. Non pas que j'ai des problème pour m'endormir loin de là mais mon voisin de chambre avait la fâcheuse manie de ronfler comme un tuyau d'orgue. Cela avait durée une bonne partie de la nuit que bien évidement je n'avais pas pu dormir. J'étais habituer durant les vacances à un calme olympien, j'avais décider de partir seul en voyage, je voulais me retrouver et faire toute les choses que j'avais jurer de faire un jour. Je tiens une liste pour ça, et oui je suis de ceux qui veuille accomplir au moins dix choses qu'il rêve de faire avant de mourir, cette été j'en avais accomplis deux. Partir en vadrouille un peu partout avec le stricte minium, étant un grand fan de nature et de voyage j'avais été combler. Donc la rentrée fut assez difficile, surtout que c'étais ma derrière année, je ne devais pas me laisser aller. En parlant de se laisser aller.. je n'avais pas un cours de sortilège moi? En regardant mon emploi du temps je réalisa que j'étais évidement à la bourre, être en retards n'était pas dans mes habitudes, je déteste faire attendrais les gens, mais comme je l'ai dis je n'avais pas passer une des plus belle nuit qui sois. Durant ma pause je m'étais poser en salle commune pour réviser un peu mes cours quand soudain la fatigue aidant je sombra dans un sommeil des plus profond. C'étais ma veine, m'endormir comme ça en pleins milieu de la salle commune ! Ce qui me réveilla c'est le bruit d'un élève révisant un sort pour son prochain cours, je me réveilla en sursaut en criant " C'EST PAS BIENTÔT FINI CE BOR** ! " mais en voyant mon camarade une baguette à la main je réalisa que j'avais moi même un cours de sortilége. Je sortis de la salle en vitesse, courant comme jamais je n'avais couru de ma vie et je me dirigea vers la salle dite. En arrivant devant je pris mon temps pour reprendre mon souffle et j'ouvris la porte et je me tourna vers mon professeur et je lui dis.

"- Bonjour professeur. Excuser mon retards."

Tout le monde était assis et en pleine conversation. Je fis un signe à tout le monde et je pris enfin place pour que Professeur Pelvenche puisse enfin reprendre son cours. Je ne pris pas la peine de sortir mes affaires, je noterais plus tarde ce que j'avais entendu. Oui j'étais comme ça une personne autodidacte et surtout qui apprend en écoutant les personne parler, je n'avais pas besoin d'apprendre un cours pour le comprendre à moins qu'on me demande de la lire, alors la c'est encore plus simple en une seul lecture tout le texte et dans ma tête. Je tiens cela de mon oncle, c'est une facilité qui me permet de chahuter librement. Aillant vaguement écouter la question de professeur Pelvenche le leva la main et je débuta.

"- Si j'ai bien suivis la question, le Sortilège Informulées sers si par malchance on est sous l'emprise d'un sortilége de mutisme. "

Après avoir répondu je pouvais enfin me sentir libre de regarder le plafond jusqu'a la fin du cours. Ce que je fis immédiatement quand la jolie dame baissa son regards. Je me rappeler vaguement de ce sors mais je crois me rappeler qu'il m'avait été très utile lors de mes B.U.S.E.S. Il y avait une question concernant ce sort. Ou bien je me rappeler de ça en aillant vaguement suivis le cours concernant ce sort ce jours là. Qui sais?

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Classe de 7e Année - Les Sortilèges Informulées

Elle fût intérompu après la réponse du Serdaigle par l’arrivé de deux élèves de dernières années qui s’excusait de leur retard. Elle leur jeta un petit regard exaspéré, et un très déçu à l’élève de Gryfondor. Les deux étudiants avaient pris place et elle continua d’interroger la salle du regard question de savoir si quelqu’un voulait prendre la parole pour compléter les propos de l’autre étudiants. «Oui. M. Lynch.» Dit-elle soulagé qu’il participe malgré tout à la classe. Après tout, être en retard pouvait signifier qu’il s’en foutait pas mal de cette matière, mais elle l’observait d’un œil chaleureux alors qu’il répondait. Elle sourit. Au moins, elle avait deux élèves réveillés dans sa classe. « Merci à vous deux.» Elle prit une petite pause pour jauger la salle qui ne dura qu’un bref moment.

« Je peux alors considéré déjà que vous avez les informations de base sur les Sortilèges Informulés. » Elle leva ces fesses de la table et se mit à circuler dans l’allée droite entre les bureaux question de se garder en mouvement. « Les Sortilèges Informulés sont particulièrement efficaces lorsqu’il nous est impossible de parler; sous un sortilège de Silencio, de Bloclang, ou tout autre maléfices ou potions rendant la parole difficile ou intelligible. L’important c’est … » Dit-elle en posant un doigt sur sa temple, un bref instant. «… c’est votre tête et votre concentration, bien sûr. Par exemple, sous l’effet d’un Silencio, vous pourriez lancer un Finite Incantatem pour terminer le sort et vous en libérer. Il peut être utilisé pour faire un acte discrètement, sans attirer l’attention.» Ces pas la ramenaient tranquillement au-devant de la salle. « Quand on parles de concentration, c’est principalement en deux phase. Lancez un sort que par la force de notre concentration ne peux pas fonctionner si nous sommes dérangé par d’autre chose. Il ne doit y avoir que le sort en tête, hors donc, pour débuter à lancer un sort pareil, il faut absolument vider votre esprit. Il ne doit plus resté rien. Ni la conscience de votre voisin qui tape sur son bureau. Ni celle de votre ventre qui crie famine avant l’heure du repas. Du moins, pour débuter. »

Elle ne voulait pas les décourager, après tout, lancer un sort en informulé demandait de la pratique, mais plus on y faisait attention, plus les choses devenait facile par la suite. « Est-ce que faire le vide dans sa tête c’est difficile ? » Dit-elle en ne s’attendant pas à une réponse des élèves. « Ça dépends de chacun. Il n’y a pas de recette miracle pour atteindre cet état d’esprit. Quelqu’un a déjà essayer ou à un truc à partager avec le reste du groupe ? » Ça c’était un vrai question en soi.

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"New teacher, youhou !"

¤ J'étais assise à côté de mon meilleur ami et derrière mon copain. J'étais relativement bien positionnée ! J'avais hâte de voir ce que madame Pelvenche allait donner comme cours ou plutôt, de la manière dont elle allait le présenter. D'après ce que je connaissais d'elle, elle serait un bon professeur. Bref, elle avait ensuite débuté le cours, se portant sur les sortilèges informulés, dont on avait abordé le sujet avec le professeur Laskovick, l'année passée. Il s'était avéré que j'étais plutôt douée dans cette pratique, ayant réussi à vaincre Matthew à deux reprises. C'est donc que le professeur posa une question à Seymour qui ne répondit pas. Une question plutôt facile. Pendant que les élèves attendaient la réponse de la garce, je m'étais moquée de la blonde, regardant McDermott en même temps. Plus tôt, avant que Pelvenche ne débute ses notes, Matthew avait rit sur ce que j'avais dit à propos de la préfète des Serpentards. Il m'avait répondu, d'un ton humoristique : « Ouais, ça je sais que tu n’crains pas les retenues. Mais essaie d’être intelligente et cloue-lui son bec avec ta baguette… j’préfèrerai que tu nous fasses gagner des points plutôt que nous en faire perdre ! » Roulant des yeux, j'ai lancé un soupire en répondant, toujours à voix basse : « T'es rendu une poule mouillée depuis que t'es préfet, gros nigaud ! Môssieur est peureux. Oh et oublie pas que j'en fais gagner pas mal de points à Gryffondor hein ! » Ce qui n'était pas faux. Bref, je m'étais tut au moment où le professeur commença à parler en posant la question à Isis...

¤ Pendant qu'on attendait la réponse de Seymour, je m'étais moquée de celle-ci, toujours en parlant à Matthew, où celui-ci me répondit :

« C’est ce qui va rendre le cours intéressant… laisse tomber si McDermott prend la parole, je pense qu’on ne pourra qu’en rire. » J'ai lancé un sourire malicieux, surtout que je m'imaginais McDermott hésiter sur un sujet aussi facile... Peu après, cet imbécile de Pro Sang-Pur de Gallagher entra en classe, où je lui ai lancé un regard noir avant que madame Pelvenche encouragea de nouveau quelqu'un à répondre à la question dont Isis n'a pas été en mesure de répondre. C'est ainsi une personne que je connaissais qui répondit... Faust... Ne le regardant pas, je me suis contentée de regarder le professeur, sans rien faire d'autre. Il avait la bonne réponse, c'était simple. Par la suite, elle posa une autre question facile dont je voulais répondre mais Endy fut plus vite que moi, malgré son retard. Le sortilège de mutisme, en fait... J'ai donc commencé à prendre des notes sur ce que Pelvenche dit par la suite. Faire le vide de l'esprit était un exercice très difficile, surtout pour moi avec ce que je vis tous les jours depuis mai. Avec Laskovick, j'avais réussi sans problème puisque je n'avais pas encore découvert mon pouvoir et tout ça. Bref, après le flux de paroles de Pelvenche, elle demanda aux élèves s'ils avaient déjà tenté ou quelque chose à partager sur le sujet. Lançant un clin d'oeil à Matthew, j'ai levé la main pour ensuite prendre la parole :

« Professeur Pelvenche, avec le professeur Laskovick, on s'était pratiqués à lancer des sortilèges de désarmement ainsi que des sortilèges d'immobilisation. Pour se libérer la tête de toutes pensées, il suffisait de se concentrer ardemment sur son adversaire et sur le sortilège que l'on voulait lancer. Comme vous dites, faire le vide était quelque chose de plutôt difficile si on ne se focalisait pas sur notre adversaire... C'était une exercice plutôt amusante ! » Dis-je, avait de me taire, regardant Matthew en souriant et d'un regard complice, me souvenant que je l'avais immobilisé assez facilement tout comme le désarmer mais ce fut réciproque là-dessus.

fiche par century sex.

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J’étais complètement ravie de pouvoir participer à tous ces cours plus passionnants les uns que les autres, mais en ce moment, j’avais le moral dans les chaussettes et l’envie de m’isoler. Hors de question de me montrer amicale envers qui que ce soit. J’étais déterminée à envoyer sur les roses la moindre personne qui viendrait à me contrarier.
Ce matin là, j’allais en cours dans ma bulle, espérant avancer en matière de sortilèges et montrer ce que j’étais capable de faire.
Avec 5 bonnes minutes d’avances, je m’installais au premier rang, comme j’avais toujours eu l’habitude de le faire, à Beauxbâtons et dans tous les cours en général. Quoique mes camarades puissent en penser, je ne comptais pas changer mes habitudes et mes préférences.

Malgré tout, je jetais parfois un petit coup d’œil vers les 7èmes années qui allaient participer au cours avec moi : Humf … Faust Churchill, l’amoureux transit des moldus, si je ne me trompe pas ! Insupportable, il s’est attiré mes foudres à plusieurs reprises et l’a bien mérité. J’ai un peu de mal à supporter que l’on s’en prenne à Asling et en plus de ça, je trouve que Faust en fait trop. Peu importe, il s’est installé très loin de moi dans la classe et c’est tant mieux.
Peu de temps après, je constatais l’arrivée d’Etalyrae, une jeune femme que j’apprécie (pour une fois !). Je lui fis un simple signe de la main, déjà décidée à aller lui parler à la fin du cours, cela me ferait le plus grand bien. Quelques instants plus tard, c’est Asling qui fit son arrivée et je ne l’imaginais pas vraiment venir à mes côtés… depuis quelques temps, j’avais ce sentiments douloureux me laissant penser qu’il s’était fait de nouveaux amis pendant toutes mes années d’absence.

Fort heureusement, mon attention fut distraite par mon futur voisin de table ; un Serdaigle que j’avais déjà aperçu, mais que je ne connaissais pas forcément… Mes quelques mois de présence en 1ère année n’avaient pas été suffisants pour me souvenir de tous. A l’entendre s’excuser de son retard, un sourire moqueur étira mes lèvres. Je levais ensuite les yeux au ciel en le regardant s’installer à mes côtés. Ce garçon était vraiment dans son monde, ridicule ! Ma mauvaise humeur se déversait sur lui intérieurement alors qu’il ne m’avait même pas adressé un seul regard….

Je décidais de bloquer mon esprit sur le cours, afin de ne pas avoir la tentation de me retourner pour jeter un coup d’œil à Asling. Les sortilèges informulés ? Bien sûr que je savais ce que c’était, sauf que pour le coup, le professeur Sterben n’y était pour rien dans mon apprentissage puisque j’avais étudié à Beauxbâtons pendant presque toute ma scolarité.
Je baissais les yeux, écoutant ce que le professeur Pelvenche avait à nous dire sur le sujet… Je pensais immédiatement à mon expérience avec les sortilèges imprononçables : Avec mes copines de chambre, à Beauxbâtons, nos chamailleries nous amenaient à nous jeter des petits sortilèges inoffensifs, celle qui en avait réussi le plus au bout de la journée gagnait le droit d’avoir les autres à ses petits soins. Nous étions jeunes, idiotes, mais cela nous faisait mourir de rire mais surtout, nous obligeait à utiliser le charme du bouclier à de très nombreuses reprises. Voilà comment j’avais réussi à le maîtriser sans avoir à dire « protego ». Je n’avais aujourd’hui plus besoin de me concentrer pour le mettre en œuvre.

Spoiler:

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Classe de 7e Année - Les Sortilèges Informulées

Elle écouta la réponse que Mlle William lui donnait. Certes, se concentré sur un ennemis rendait l’exercice plus facile. Mais avant tout, elle voulait leur apprendre à se protéger en se lançant un sortilège défensif et non en agressant leur collègue. S’il ne faisait que se concentrer sur la tâche, il n’en oblitérait nullement les distractions autour de manière systématique. « Merci Mlle William, pour ce début de piste. Pour aujourd’hui, nous allons nous concentrer sur des sortilèges défensifs, et donc il s’avérera assez difficile de faire les sortilèges si vous ne videz pas votre tête, surtout si la cible se trouve à être vous-même. Quand vous prenez conscience de vous, il devient difficile de se focaliser sur la tâche si vous avez une folle envie de vous gratter, par exemple. La première chose que nous allons pratiquer ou plutôt tenté aujourd’hui, est un Finite Incantatem en Sortilège Informulés suite à un SIlencio. » Elle prit un pause, jetant un œil évaluateur à l’assemblé. « Vous allez vous rendre compte aussi que c’est vraiment très difficile de lancer un sort en Informulé lorsque vos émotions, la frustration et la volonté se frotte l’un contre l’autre. Mais bon, je m’égare un peu.» Elle jeta un regard à l’ensemble de la classe. « M. Lynch, si vous pouvez changer de place pour ici… » Dit-elle en pointant la place assise no. 15. « Vous serez le binôme pour M. Levingston pour l’exercice tout à l’heure.» Si Laskovich ne leur avait appris qu’à se concentrer sur leur ennemi, il leur manquerait très certainement quelque chose, après tout, ouvrir une serrure en informulé ne déclenchait pas le sentiment d’agression qu’un mage noir, mais pouvait se révéler tout autant utile. « Quelqu’un d’autre à quelque chose à proposer ? » Dit-elle en passant sa main dans ces cheveux noirs, attendant visiblement que quelqu’un se décide à prendre la parole, et ce même s’il était gêné.

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