Quand les allergies s'en mêlent

AHHHAAATTTTTTTCHHHOOUM!

Mais elle renifle sa vie, Azure. Dans une absence de chic, et le nez bien rougie par la succession de mouchoir qu’elle aura passé dessus. Mais c’est plus fort qu’elle, vraiment, et elle n’y peut pas grand-chose jusqu’à ce qu’elle passe à l’infirmerie plus tard dans la journée. L’infirmière n’ayant plus de potion pour les allergies saisonnière de prête, elle devait se remettre à son chaudron, laissant Azure avec une nouvelle boîte de mouchoir et un pot de baume hydratant. Appliques-en autant qu’il en faut, lui aura-t-elle dit. On remerciera l’école pour les coupes monumentales sur les mouchoirs de qualité qui finalement sera transformé en une sorte outrageusement moins douce et soyeuse. Ils sont minces, très minces, dès qu’elle en tire un il lui arrive presque qu’en charpie dans les mains – non, c’est limite des confettis une fois sur deux. Elle a songé un moment à coller les résidus avec du ruban adhésif, puis plus la boite se vidait, moins il y avait des lambeaux. Elle aurait bien tenté de faire un chaudron pour sa semaine, mais Azure ne connait pas les ingrédients ni n’en a à sa portée sans devoir penché la tête et tenté d’en obtenir auprès du nouveau Directeur de Serpentard; l’ancêtre n’a guère encourageant alors qu’il tempête en fin de cours ou ronfle pendant qu’il se mette à leur chaudron – y’a même des échos qui disent qu’il aurait littéralement laissé les élèves de 7e faire n’importe quoi pendant prêt d’une semaine sans surveillance. Vous êtes grand! Arrangez-vous! On parle de la pédagogie ? Sauf qu’Azure, elle est pas tant fan de potion alors ce qu’il fait, c’est pas ce qui l’intéresse. Quoique maintenant, ça aurait été bien utile!

ATTTTTTTTTCCCHHHOOOUM!

Mais ça vient de loin en plus, creux, profond, alors que ces yeux coulent à la fois par l’effort et comme réponse à leur appréciation au changement de météo. Elle est sonore un brin dans la bibliothèque ? Au moins, elle essaie de lire son livre et relire la partie en boucle en but de réviser pour les examens de fin d’année d’Histoire. Mais son front là, se plonge vers le manuel, outragé par elle-même de n’arriver qu’à relire le même paragraphe, quoi cinq fois depuis ? Paléontologie ? Éternuez lui efface la mémoire, faut croire. CTRL-DELETE!, après chaque embardé.

ATT - AATT - ATTTCHOOOUMM!

Mais non, elle a encore la face dans son livre la Gryfonne ? Plus que! Elle s’est littéralement balancé la tête directe dedans, avec option commotion cérébrale sur le livre avec bonus de table. Le seul avantage c’est que ce n’est pas sa part du gâteau du midi, sinon elle en aurait pleine de crémage blanc sur le visage. On souhaite bon courage à quiconque se joindra à elle, ou plutôt ce qui reste d’Azure qui s’est pris la tête entre les mains en gémissant et en jurant contre la table, contre le livre, contre tous ce qui lui est possible d'imaginer avec sa tête dans le sirop. Courage Azure, l’infirmière à dit deux heures! Deux petites heures!

Quand les allergies s'en mêlent

En cette période de révision, Jun Woo se rendait une fois de plus à la bibliothèque. Il y allait tellement souvent depuis le début du mois qu'il commençait sérieusement à se demander s'il ne vaudrait pas mieux quitter le dortoir des Serdaigle pour installer son lit au milieu des livres. Trainant son sac rempli de ses manuels de cours, il ignora la fatigue qui commençait à se faire sentir et rentra dans la salle. Quand il passa la porte, il se retint de prononcer un juron et hésita à faire demi-tour. En effet, la pièce était bondée. Il n'était pas le seul à s'y rendre le plus souvent possible. Le sachant, il tentait régulièrement d'y aller en dehors des heures où les autres élèves s'y rendait, en profitant pour réserver sa place pour le reste de la journée. Mais, ayant eu cours jusqu'à cette heure-ci, il n'avait pas put mettre en place son plan ce jour-là.

D'humeur un peu grincheux, il tenta malgré tout de se trouver une place parmi les tables bondées et les fauteuils occupés. En voyant que toutes les tables étaient occupées par un élève au moins, il hésita une nouvelle fois à faire demi-tour. Mais, bien décidé à ne pas perdre plus de temps en retournant étudier à la salle commune, il finit par se décider sur une table occupée pour le moment par une seule personne. Il s'agissait d'Azure, qu'il avait eut l'occasion de rencontrer précédemment lors du voyage à Londres organisé par le professeur d'Etude des Moldus. Il s'installa en face d'elle et lâcha avec un sourire poli.

« Salut, j'espère que ça ne te dérange pas si je m'installe ici. »

Sans attendre sa réponse, il sortit de son sac un parchemin, une plume et ses livres d'astronomie. Il devait rédiger un devoir sur Saturne et ses satellites, en particulier Titan, le plus notable de ces derniers. Il était justement en train de commencer à lire un chapitre consacré à celui-ci lorsqu'il remarqua que sa camarade de quatrième année se tenait la tête entre ses mains en pestant. Il était tellement absorber par sa lecture qu'il n'avait absolument pas remarqué la raison de son comportement. Devait il lui dire quelque chose ? Il regarda tour à tour Azure, puis son livre, puis de nouveau Azure et enfin encore son livre. Il poussa un léger soupir, sa gentillesse prenant le dessus sur sa mauvaise humeur et son envie irrésistible de boucler son devoir.

« Euh... Est-ce que tout va bien ? »

AVENGEDINCHAINS

Azure & @Jun Woo Seo

Quand les allergies s'en mêlent

Vous la voyez cette tête brune le visage littéralement scotché entre deux pages de son manuel. Elle ne devait pas y être et pourtant, se résoudre à remonter les marches menant jusqu’à son lit, l’aura dissuadé vu qu’elle a tant de mal à respirer normalement et même si la journée à l’air magnifique sortir aura été comme signer son arrêt de mort alors que fait-on avec deux heures à dissoudre dans le continuum espace-temps de Poudlard; on va à la bibliothèque. Mais peut-être aura-t-elle dû simplement trouver un endroit ou se poser, s’étendre pour le temps qui passe ? Quelques parts entre deux rayons ? Envahir une salle de cours inutilisés pour faire l’étoile sur le plancher et laisser milles et un mouchoir sur le sol comme pour se faire un tapis. C’était surement un mauvais choix; oui parce qu’en plus d’être incommodé par ces allergies, maintenant elle avait un assez bon mal de crâne pour compléter le tableau. Alors, elle ne l’aura pas vu, Jun. Ni entendu alors que sa tête tourne et qu’elle entend surtout le sang de ces temples pulsés dans ces oreilles, ni ne l’aura vu s’approcher, les yeux fermés. Deux pires heures de sa vie, voilà les seules choses qu’elle eut entendues parmi tout le brouhahaha que son propre corps faisait

Alors quand Jun lui demande si elle va bien, elle est même pas sûr si elle a vraiment capté de plus être seule à cette table. Non? Il lui aura fallu un cran d’arrêt pour frotter des yeux qui lui démangent et les ouvrir malgré leur look un peu enflé.

Non, rien ne vas.

J’espère qu’on attendait pas qu’Azure signale avec courtoisie que ça ira mieux dans deux heures, parce qu’elle est un peu trop submergée par son mal être immédiat pour avoir une projection hypothétique aussi loin. Et elle le sens, la vague lui monté au nez alors qu’elle aspire l’air par la bouffe en prévision d’un nouvel éternuement. Ça monte, monte, monte.

ATTTTTTTTTTTCCCCCHHHoum!

Elle aura mis ces deux mains devant son visage, les deux écartés comme si elle s’apprêtait à attraper le ballon qui lui servait de nez. Alors même si elle essaie du mieux qu’elle peut, y’aura quand même son nez qui continue à faire des siennes sans distinction si elle est seule ou non.

Dé:

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Quand les allergies s'en mêlent

Lorsqu'Azure releva la tête, celle-ci eu pour premier réflexes de se frotter les yeux. Jun Woo remarqua alors que ces derniers étaient rouges et enflés. Si la réponse de sa camarade de lui donnait pas plus d'indication, il comprit rapidement qu'elle devait être en train de faire une crise d'allergie. Il s'estima heureux de ne pas être dans ce cas. Mais il avait remarqué qu'une partie de ses camarades semblait souffrir de l'arrivée du printemps, même si la majeure partie d'entre eux se contentait d'éternuer et de se moucher, sans avoir leurs yeux dans un tel état.

Au moment même où l'image de ses camarades entre train d'éternuer émergea dans la tête de Jun Woo, Azure prit une grande inspiration. L'éternument qui suivit surprit le Serdaigle qui sursauta. Devant l'état du manuel d'Azure, il paniqua et sortit sa baguette. Il fallait absolument sauver ce manuel.

« Tergeo. »

Satisfait de voir qu'il avait réussit le sortilège malgré la panique, il fouilla dans son sac à la recherche d'une boite de mouchoir, qu'il tendit à sa camarade.

« Tu n'es pas allée à l'infirmerie ? »

Vu l'état actuel d'Azure, il osait espérer que sa camarade avait au moins eu l'intelligence de passer voir l'infirmière de l'école. Mais il en comprenait pas, si c'était le cas, pourquoi elle l'avait laissée repartir dans cet état.

« Tu devrais peut-être aller te reposer dans ta salle commune. »

Il se retient tout juste d'ajouter « Voire directement dans ton lit. ». Il regarda son devoir, qu'il avait presque oublié depuis les cinq dernières minutes. Il devait vraiment le terminer, mais pouvait il laisser sa camarade se balader seule dans les couloirs ?

« Je peux t'accompagner si tu veux. »

Saturne et ses satellites risquaient de devoir attendre. Personne autour d'eux ne semblait avoir remarqué Azure, malgré le bruit de son éternuement. Tous les autres élèves étaient dans le même état d'esprit que Jun Woo : stressés par les révisions et concentrés en lisant un manuel ou en écrivant sur un parchemin. Il savait pertinemment qu'en laissant leur table libre, il n'aurait cette fois pas la possibilité de retrouver une place de disponible à son retour. Il jeta un coup d'œil par la fenêtre : le soleil lui rappela que, dans le pire des cas, il pourrait toujours terminer son devoir dans le parc.

Dé :

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Azure & @Jun Woo Seo

Quand les allergies s'en mêlent

Le printemps, c’est jamais joyeux pour Azure et tout bien considéré une véritable torture à chaque année. Il n’y a qu’à le regarder à cet instant pour en avoir la certitude : les allergies ça craint! Alors même que le mucus lui sort de ces orifices faciaux, la seule chose qu’elle vient à songer est combien monter les escaliers pour mieux les redescendre sera une corvée monumentale dans cet état. Elle a déjà du mal à respirer alors se claquer les escaliers, hors-de-question! Mais elle est tellement dans le sirop qu’elle remarquera qu’après le visage du Serdaigle qui agit comme le sauveteur auprès de son volume droit devant elle.

Dé-zzo-lé.

Mais c’est tellement grave ça voix alors qu’elle est clairement congestionnée; on dirait presque qu’elle en a perdu sa voix qui perce habituellement dans les aigu pour une option de baryton avec un vibrato à l’ouest. Non, si le visuel laissait bien comprendre le centre du problème, le son était tout aussi parlant.

Z’en viens….ahhh… ahhh..

Mais elle passe sa main, jusqu’à suivre jusqu’à son coude. Le mouchoir! Oh! Des mouchoirs, c’est qu’elle en pioche un avant de se moucher bruyamment en espérant que ça la soulagerait peut-être un minimum. Mais son nez est un torrent, toujours à en produire plus et si cela est un soulagement immédiat, il n’en restera qu’incomplet et très court.

Eille a dit, zun heur.

Une heure de souffrance, une heure à ne voir que des lettres sans les voir. On pouvait pas dire qu’elle essayait pas néanmoins! Elle aspirait presque qu’à couler la tête contre la table et poser le manuel sur ses cheveux pour disparaitre de la circulation. Vu l’état dans lequel elle était, la seule chose qu’elle arriverait à faire était assurément de passer encore moins incognito dans cette pièce. Non, vraiment, c’était pas la gloire!

Tro-de-march-euh.

Comme si cela expliquait pourquoi elle s’était arrêtée ici et qu’elle n’avait aucune intention d’en bouger. Et pour une tête de mulle, il faudrait littéralement qu’il soit doué en sortilège pour la faire l’éviter jusqu’au 7e pour qu’il arrive à seconder sa proposition. Elle dévissa le pot couleur ambre avant de prendre la mixture gluante, légèrement translucide dont on voyait quelques morceaux de feuilles à peu près broyé. Elle aurait pu essayer de deviner ce que c’était… si… son nez lui aurait permis de sentir quoi que ce soit. La Gryfonne applique de la pommade de chaque côté de son nez, bien irrité en espérant que ça fonctionnera pour lui donner l’impression ne pas plus avoir un nez de boxer peut-être.

Mais j’vous jure que lorsque la mixture devient opaque d’un violet foncé et qu’il s’anime comme pour rentrer dans son nez, Azure se met grave à paniquer, à essayer de l’enlever sans grand résultat au départ. Qu’avait dit l’infirmière déjà, que ça allait l’aider… mais putain!

Ah . AHhhhhhhh!!!!

Et frénétiquement ces mains essayait d’attraper la gelé qui semble avoir sa volonté propre et vu la viscosité et l’incapacité d’Azure a en attraper un bout, la panique s’améliore que dale! Après c'est la première fois que l'infirmière lui donne ce fameux pot, qui sait si c'est... peut-être normal. Mais pas pour elle. Non pour elle s'est digne d'une suffocation gratuite et garanti. Assassinée, étouffé par de la gelé lubrifiante! Digne d'un super film de Sci-fi!

Dé 1
1-2-5-6La pommade c’est du toc. Clairement y’a quelque chose dedans de pas net.
3-4-Tout vas bien. La pommade c’est le bonheur.

Dé 2
Si Dé 1 – 1-2
1-3 Son nez lui fait plus mal mais il est anormalement blanc.
2-5 C’est pas un putain de truc hydratant. En contact avec la peau d’Azure, le truc veut littéralement entrer dans son nez, en mode Symbiote à la Spiderman. Lire la notice ? Ça aurait été une bonne idée.
4 Contre toute vraisemblance, la pommade tâche… alors qu’elle est transparente… violet c’est mignon ?
6 Ça sent tellement mauvais que l’ouverture du pot déclenche une réaction de tous sauf… Azure qui sent rien de rien.

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Quand les allergies s'en mêlent

À la suite de la question du Serdaigle, Azure tenta visiblement de lui répondre. Mais Jun Woo peinait à comprendre ce que lui disait sa camarade de classe. Son nez bouché rendait sa prononciation difficile et, pour couronner le tout, ses poumons apparemment bien pris l'obligeaient à faire des pauses. Il parvint cependant à distinguer l'essentiel : elle s'était déjà rendue à l'infirmerie et devait attendre une heure. La pauvre, devoir attendre comme ça. Le deuxième année ne put s'empêcher de se faire la remarque qu'Azure n'avait peut-être pas eu la meilleure du siècle en décidant de passer l'heure d'attente à la bibliothèque. Sa chambre et son lit auraient surement été plus appropriés... La nouvelle explication de la Gryffondor lui apporta la réponse : elle avait été trop épuisée pour effectuer cet effort.

« D'accord, mais je maintiens que tu ne seras pas bien installée ici. »

Il avait proposé de l'aider et, même s'il savait que ce n'était pas de sa faute, il n'avait pas envie de rester une heure auprès d'elle sans pouvoir réviser. C'est alors que Azure commença à étaler une sorte de pommade autour de son nez. L'infirmière ne l'avait pas non plus totalement abandonné à son sort pendant une heure. Puis, la pommade prit une drôle de couleur : violet foncé. Elle devint également plus opaque, plus épaisse et... commença à entrer de son propre chef dans le nez d'Azure.

« Mais qu'est-ce que c'est que ce truc ? »

Jun Woo commença malgré tout à paniquer en voyant qu'Azure essayait de l'enlever, sans succès.

« T'es sûre que tu es pas allergique à ce machin aussi ? »

Il faut dire que vu l'état d'Azure pour un peu de pollen, alors qu'en plus on était à l'intérieur, il ne pouvait pas exclure que sa camarade soit aussi allergique à des médicaments et autres pommades. Il attrapa le tube de pommade : il ne connaissait pas le nom inscrit dessus. Il lui fallait la notice.

« Où est la boîte ? »

Il espérait que sa camarade saurait au moins lui désigné où elle l'avait mis et que l'infirmière ne la lui avait pas donné comme ça, sans notice. Inquiet, il jeta un coup de d'oeil autour de lui : la bibliothécaire n'était pas les parages. Si Azure n'allait toujours pas bien d'ici deux secondes, il lui faudrait prévenir un élève plus âgé, dans l'idéal un septième année, qui pourrait l'aider.

AVENGEDINCHAINS

Azure & @Jun Woo Seo

Quand les allergies s'en mêlent

Quand bien même elle serait pas bien ici; elle serait assurément pas bien nulle part tant qu’elle serait aussi mal. Pour unique réponse, elle avait tout simplement passé de sa tête de fatiguée et enrhumée à celle de fatiguée et ennuyés; à croire aucune différence. Appliquer cette pommade était assurément le seul recours qu’elle pouvait s’accorder. Le pot dévisser, le doigt dedans, on l’étend bien des deux côtés de l’arcade de son nez d’une bonne couche bien épaisse; comme elle l’aurait fait avec de la gelée de pétrole du temps qu’elle était haute comme deux pommes. Si elle allait avoir l’air moche, elle le serait au niveau cent; ronchonnait-elle dans sa tête alors qu’elle essuie le restant de pommade en frottant ces doigts l’un avec l’autre. Ça fait du bien, peut-être ? Du moins, c’est pas originalement l’idée ? Mais quand la pommade change de couleur, s’anime; ces yeux se croisent nette sur son nez, avant d’essayer de tirer dessus d’un air largement paniqué. On vous l’a dit qu’Azure aime pas trop les soins magiques ? Y’a toujours quelques choses de louche qui se passent. Ils arrivent même à faire repousser des os en buvant une potion; alors les pommades elles sont assurément pas plus normale. Mais elle s’y connait pas, vraiment pas! Et voilà c’est la panique qui passe au premier plan, passé la fatigue, l’ennui et la lassitude de se sentir malade comme une dingue.

Il a beau lui demander si elle est allergique à ce truc, elle sait même pas ce que c’est. Même le réflexe de sortir sa baguette, n’y passe pas, tellement son réflexe est juste de tirer dessus. Elle aura vaguement donné un coup sur le pot qui finit par roulé en chambranlant de son côté alors qu’elle l’accroche avec son coude tout en assurant une prise avec des mains sur son visage.

A dit que zetait ze la pom.. – mais ça pénètre sa narine avec une élasticité particulièrement étonnante. Ça semble vouloir s’étirer et s’étirer encore, comme si quand bien ce qu’elle pourrait en faire, ça n’avait qu’une seule et unique directement -…zade. – Déjà qu’elle a du mal à respirer, l’ennuie devient complètement insupportable quand finalement les sécrétions des mucosités commence à lui coller directement dans la gorge. La glue lisse les parois de sa narine droite jusqu’à la combler. Bon, elle est bien congestionnée alors c’est pas comme si elle arrivait déjà à respirer par les narines, mais c’est vraiment très différent quand c’est un corps étranger qui te rentre par un orifice. Elle souffle, trousse; et c’est étrangement froid dans son nez soudainement. Pas glacial, juste froid.Za N’empêche, elle continue à tirer sur la masse, sans vraiment se rencontre compte si ça lui fait du bien ou pas. Elle attendra de voir s’il le Serdaigle a quelques explications à lui donner, après tout, peut-être que c’est écrit sur le contenant; mais elle est un peu beaucoup occupé à ce stade!

... dit quoi ?

Quand les allergies s'en mêlent

Azure ne semblait même pas en capacité de répondre au jeune Seo lorsque celui-ci lui intima une fois de plus de se trouver un endroit plus confortable pour patienter. La pommade semblait être pour la jeune fille la seule solution viable pour soulager son mal-être. Mais la couleur violette et l'épaisseur soudaine prise par celle-ci au contact de la peau de la jeune Gryffondor n'indiquait rien qui vaille à Jun Woo. Le deuxième année fut soulagé lorsque sa camarade parvint à faire rouler le pot dans sa direction. Les doigts tremblants, il saisit le contenant de l'étrange remède. Il faut dire qu'il était déjà d'un naturel stressé au quotidien, alors s'il devait en plus gérer une autre élève, plus âgée que lui qui plus est, cela faisait beaucoup pour le jeune garçon. Jun Woo ouvrit le pot sans plus attendre. À l'intérieur, aucune trace d'une quelconque notice. Ne se trouvait que la pommade, qui semblait bien sage dans son petit récipient et avec une couleur on ne peut plus normale. Il faut toujours se méfier de l'eau qui dort, ou plutôt de la pommade.

Le Serdaigle referma rapidement le pot et poursuivit ses investigations. Il finit par trouver un petit encadré, qui semblait être le sujet de ses recherches. Il lut à toute à vitesse, avant de pousser un soupir soulagé et de s'effondrer sur sa chaise. Puis, il se rappela soudainement qu'il n'était pas le seul à paniquer et qu'Azure devait être surement encore plus stressée que lui. Il lut aussitôt à haute voix :

« Voilà ce qui est écrit : "Lors de l'application de la pommade, celle-ci change de couleur ou de forme, ce qui indique que le produit est en train de faire effet. Vous devez uniquement appliquer le produit par voie cutanée, celui-ci se chargera de lui-même de vous administrer le remède." »

Le jeune garçon releva la tête, satisfait, vers la Gryffondor.

« Bon, au final on dirait que c'est normal. Tu as fait ce qu'il fallait. »

Par précaution, Jun Woo poursuivit sa lecture des indications se trouvant sur la boîte. Après les avoir poursuivi rapidement, il mit tout de met en garde la jeune fille :

« Il est quand même écrit qu'il faut que tu respires tranquillement, par la bouche d'abord quand le produit est dans ton nez, puis par le nez quand il descends dans la gorge. Sinon tu peux t'étouffer. »

Prenant aussitôt conscience que sa dernière phrase pouvait avoir l'effet totalement inverse que ce qu'il espérait, il ajouta :

« Donc essaye de rester calme et tout ira bien. »

AVENGEDINCHAINS

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'Le Hasard' : 1

Azure & @Jun Woo Seo

Quand les allergies s'en mêlent

Azure se croyait tout droit sortir d’un très mauvais film! Ces mains essayaient de retenir l’amas visqueux et violet qui semblaient avoir pris vi tout à coup. S’il avait été sur sa jambe, elle n’aurait eu qu’à tirer un bon coup, balancer un sort à défaut de se toucher elle-même ou encore juste demander de l’aide à Jun qui semblait enclin à lui porter secours. En vrai, Azure était assez doué pour lancer des sorts, mais peut-être pas directement sur son propre visage! D’autant que rien ne lui garantissait que ça ait un quelconque effet sur la pommade aux allures diaboliques. Ces doigts semblaient commencés à glisser de plus en plus, alors qu’elle avait finalement réussit à la transféré au petit devant elle. Si elle n’avait pas été aussi inquiète de s’étouffer, tout comme la rapidité à laquelle le liquide semblait glissé, peut-être qu’elle aurait pu elle-même prendre connaissance de la notice, mais là, c’est deux mains étaient largement bien occupés à contrer ce froid qui la prenait alors que la texture s’engouffrait toujours un peu plus par ses orifices nasaux. Il était mieux de lui expliquer rapidement ce qu’il se passait parce qu’elle était à deux doigts de juste hurler un À l’aide du mieux que ces poumons pouvaient bien se permettre, alors la toux et les sécrétions.

Si le bleu s’affaissa sur sa chaise décidément bien rassurer, elle attendait toujours la réponse. Attendre, c’était plutôt mal choisi, elle était largement concentrée sur sa survie pour ne noter qu’il avait changé d’attitude. Se levant, en poussant sa chaise d’un coup en arrière, comme si se lever allait lui donner plus de chance de combattre. Mais les secondes à ne pas attendre, lui parrurent quand même avoir durée une éternité avant que sa voix ne perce le calme.

Elle avait fait ce qu’elle avait à faire ? Il se fichait d’elle ou quoi ? Ce truc voulait l’assassiner! Respirer par la bouche, en était-elle-même capable avec la toux ? Avait-elle seulement le choix ? Cela lui prit un moment, pour essayer de focusser sur sa gorge. Un bon raclement éprouvant suivit de la toux, c’était immonde; vraiment! Elle avait l’impression d’avoir littéralement des morceaux de gelés qui lui coulait au fond de la gorge et c’était même pas cette foutue glue rampante. N’empêche qu’elle ne la lâcha pas, non, pas avant d’être certaine de pouvoir respirer par la bouche. Les yeux en l’air, elle essayait vaguement de se concentrer sur quelque chose de paisible tout en tirant la pommade qui donnait l’impression d’un masque de gélatine qu’on aurait mis en boule.

Une. Deux. Toux. On recommence. Z’m’étouffe déza. Puis quand elle y arriva une dizaine de fois consécutive, là. Elle lâcha tout, en respirant outrageusement par la bouche. Elle se sentait comme un poisson hors de l’eau; les lèvres entrouvertes à défaut de se dire que si elle la refermait elle étoufferait littéralement comme une belle paumée. Le liquide s’engouffra dans sa narine tranquillement comme un liquide magnétique téléguidé, jusqu’à ce elle comme lui ne puisse plus que voir qu’un tout petit bout sortir d’une de ces narines. Les mains posées sur la table, Azure avait les yeux fermés depuis qu’elle avait décidé de tout lâcher. Faisant confiance à la lecture du jeune, sans pour autant savoir si elle pourrait s’y fier. Et puis, si elle tombait raide morte devant lui, elle aurait droit à un lit tout propre à l’infirmerie pour attendre ces médicaments, non ?

Dans ces sinus, tout était compris alors que la masse emplissait tout l’espace dans une vague sensation frigorifiant. Elle ne savait pas ce qui était le plus pénible cela ou le fait d’être si congestionné plus tôt. Les deux semblaient complètement l’obstruée au point de lui donner un léger mal de tête. Aie. Ça lui donnait l’impression de passer à l’engelure au cerveau comme lorsqu’elle buvait trop de breuvage glacé, alors qu’elle portait une main à sa tempe, son souffle buccal plutôt anarchique du tout. Z’truc est collé dans ma tête.

Dé 1
Se calme et arrive à respirer par la bouche.
Pair : Oui.
Impair : Non.

Le membre 'Azure Zinnia' a effectué l'action suivante : Le Hasard

'Le Hasard' : 4

Quand les allergies s'en mêlent

Même si Jun Woo était soulagé après sa lecture de la notice de la pommade, il s'inquiétait tout de même encore un peu. Après tout, même si la réaction d'Azure après l'application du remède semblait être normale, il fallait que celle-ci parviennent à pénétrer correctement dans la gorge de la jeune fille. D'autant plus que la Gryffondor semblait clairement manquer de s'étouffer. Le deuxième année hésita. Devait-il lancer un sort ? Attendre tranquillement de voir si sa camarade allait mourir ? Il décida de faire confiance à la notice, mais de guetter le moindre signe qui indiquerait qu'Azure avait trop de mal à respirer. Auquel cas, il appellerai à la rescousse un élève plus âgé : la bibliothèque était bondée, ce n'était pas ce qui manquerait. Aussi, il resta assis sur sa chaise, attendant de voir comment sa camarade allait s'en sortir. Jun Woo n'était pas du genre à vraiment savoir quel comportement adopter dans des situations comme celle-ci. Il se contenta donc de lâcher un petit :

« Courage, ça va bien se passer. »

Pas très encourageant, surtout avec sa voix tremblante. Il attendit alors qu'Azure parviennent à s'en sortir. Enfin, Azure finit par sembler arrêter de lutter contre la pommade qui trouva lentement le chemin à emprunter. Apparemment, le truc était coincé dans sa tête.

« Ça doit être l'effet de la pommade. Comment tu te sens ? »

Si la Gryffondor avait une impression bizarre dans la tête mais, qu'au moins, ses sinus était à peu près débouchés, cela serait bon signe. Peut-être que c'était comme cela que la pommade devait fonctionner, après tout. Rentrer dans les narines et emporter toute la morve sur son passage ? L'idée ne lui paraissait pas aussi stupide que ça en réalité. Le Coréen pensait tout de même qu'il aurait été plus malin d'inventer une pommade capable de faire sortir la morve, donc en sens inverse, plutôt que de la faire reculer. Mais, si cela pouvait permettre à Azure de respirer à nouveau correctement pendant une heure jusqu'à son passage à l'infirmerie, cela serait déjà entièrement suffisant.

AVENGEDINCHAINS

Azure & @Jun Woo Seo

Quand les allergies s'en mêlent

Azure détestait aller à l’infirmerie, et c’était loin d’être une euphémiste! Dès sa première année, la gryffonne avait découvert qu’il y avait rien de plus étrange que ce qui s’y passait. On faisait repousser des os avec des potions, on traitait des verrues avec des produits tout aussi peu ragoutants et chaque fois, chaque fois, c’étaient des excentricités délirantes qui s’y passaient. À chaque fois, ça lui donnait plus envie de courir que d’y entrer. Mais le fils des années avaient rendu ces choses, un peu plus acceptable. Non seulement, elle comprendrait un peu mieux à force de potionner divers mélanges, mais le choc avait laissé place à une certaine accoutumance. Était-elle la première à cogner à la porte de celle qui occupait les hauts lieux de traitements de l’école ? Non. Mais est-ce qu’elle avait moins de craintes à ces tous premiers jours, assurément. N’empêche qu’elle avait vraiment, bêtement, pensée que c’était simplement un traitement on ne peux plus traditionnel. Alors du choc à la panique, elle en avait solidement perdu son calme alors que, brûlé, elle n’avait voulu que patienté la ration de potion. La sensation interne lui faisait étrange. Là, les mains sur la table à patienter. Sa toux reprenait quelques fois, mais elle était forcée de constater qu’après un instant, ça avait diminué. Elle ne comprenait pas vraiment ce que faisait la glue mais elle était là, et elle la sentait que trop bien. Ça l’emplissait, poussait dans sa tête, froid sans être glacial, n’en restant pas moins largement désagréable! Elle se serait attendue à se mettre à tousser, infiniment alors que les sécrétions, si envahissante, devait laisser leur place à la mixture étrange : mais ce n’était pas le cas. Et passé un moment, à respirer par la bouche, le froid diminuant un peu à chaque seconde, Azure avait fini par relever la tête et lancer ces temples dans un état quelque part entre la stupeur et le scepticisme. Ce qui rentrait, devait forcément ressortir... Il l’encourageait, et elle eut un sourire un peu gênée qu’un élève plus jeune ait besoin de lui venir en aide. Il n’était guère méchant avec elle, et cela la soulagea beaucoup de voir sa mine plus décontractée alors qu’il était bien assis le pot de pommade fermé et sa si précieux notice sur la table.

Mal, et en même temps, moins mal.

C’est que ça lui fait très étrange. Et puis, soudainement, ça descend dans sa gorge, elle sent la masse mue lui remonter et suivre le chemin vers son palais supérieur. Ça rampe, comme si ça suivait la paroi alors que ça défit littéralement la gravité. Elle ouvre la bouche un brin. Ça la chatouille là, dans le plus profond de sa bouche, dans une zone si rarement touché. C’est vraiment terrifiant quand elle y pense, parce le machin violet lui se faufile vers sa bouche et ces mains, elle va littéralement les porter à ces lèvres en espérant que ça se passe vraiment très vite! Parce que… en plus d’être terrifiant, c’est tout bonnement dégoutant! Si ce n’est que rien ne semble effleurer sa luette, elle en serait déjà à vouloir une poubelle pour vomir tout ce que peut contenir son estomac. C’est pas un lavement gastrique qu’elle cherchait à avoir, c’est quelques choses pour l’aider avec ces allergies! Elle a quand même quelques doigts un peu écartés, alors qu’elle tente bien que mal de se préparer à l’issus final.

Mouch…

Alors que la boite est devant Jun Woo. Ça lui plait pas! Pas du tout de cracher cela à même la table, et puis c’est pas comme si elle contrôlait quoi que ce soit, non ? Il en fera pas un cas si y’en a plein la table de la glue ? D’autant que probablement qu’elle serait peut-être beaucoup moins violette, de quoi se dire qu’elle s’est littéralement nourrie de ce qui se trouvait dans ses sinus. Oh mais, trop tard. C’est rendu à ces lèvres, alors qu’elle a toujours la main tendue en direction de la boite et de lui.

Dé 1 - Mouchoir à temps ?
1-2 Azure réussit à avoir un mouchoir, ni vu ni connu. Elle arrive à tout mettre dedans.
3-5 Pas de bol, elle en a sur les mains, c'est d'une affreuse couleur verdâtre en plus
4-6 Ni plus ni moins, après être sorti, ça tombe en masse sur la table, juste sous Azure alors qu'il sort de sa bouche comme une glue extraliquide, passant entre ces doigts sans qu'elle arrive à retenir le tout. C'est pas faute d'essayer.

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