Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibility



 
AccueilAccueil  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
Le Deal du moment :
Funko POP! Jumbo One Piece Kaido Dragon Form : ...
Voir le deal

Partagez
 
PADDY ☽ this is just like old times
Anonymous

Invité

Invité

À SAVOIR

DETAILS EN PLUS

PADDY ☽ this is just like old times Empty
Message(#) Sujet: PADDY ☽ this is just like old times PADDY ☽ this is just like old times EmptyMer 31 Aoû - 21:09


                       
Padraig est un sang-pur, né le 21 décembre 1916 à Dublin en Irlande. D'ailleurs il n'y vit plus puisqu'il a déménagé récemment à Londres en Angleterre. Aujourd'hui, Padraig a donc 16 ans depuis 96 ans et est en 6ème année.

Il est bon de savoir que Padraig est un garçon tout à fait charmant, aussi bien d’apparence que de comportement : bien élevé, poli, d’agréable compagnie, il sait quoi dire et quoi faire pour s’attirer vos faveurs, ce que d’aucuns verraient comme les traits d’un manipulateur. Lui préfère se définir comme un beau-parleur ou un séducteur né que les années ont perfectionné, aidées d’un esprit cultivé et d’un humour impertinent. Désinvolte par nature, rien ne semble jamais l’atteindre véritablement, ce qui, couplé à son éternel sourire effronté, peut parfois lui conférer une certaine arrogance. Généralement discret, il est néanmoins très engagé lorsque cela touche aux conditions de vie des vampires. Opportuniste et persuasif, il n’y a pas grand-chose qui lui résiste et il est prêt à tout pour parvenir à ses fins. S’il n’est pas particulièrement violent, donner quelques coups de poing ne le dérange jamais tout à fait. Il a des goût étranges, par exemple il aime sentir peser sur lui les regards admiratifs, lire, surtout des romans du 19e siècle, prendre une tasse de sang frais au petit matin, les grandes étendues d'eau d'apparence si fragiles mais si meurtrières; la compagnie des membres de son clan ou encore collectionner les diplômes et les passeports alors qu'il déteste (même si détester est un bien grand mot le concernant) perdre le contrôle, ceux qui affirment haut et fort que les vampires sont des créatures nuisibles, les noms ridicules choisis par Sélène, ne pas comprendre quelque chose et Sélène, tiens, dans ta face vieille mégère.

Sa baguette est composée de bois très flexible de chêne rouge avec un cœur de poil de Womatou et mesure 32 centimètres. Grâce à elle, Padraig a le malheur de suivre les cours de Arithmancie, Astronomie, Histoire de la Magie, Défense Contre les Forces du Mal et de Vol.



Padraig « Paddy » Finnigan
feat. Maxence Danet Fauvel

ET EN VRAI ?
J'ai 26 ans, mais peut-être que tu le sais déjà parce que je suis Harriet et Rosalie, j'ai même dépensé aucun points pour être un vampire. Je suis arrivée sur NYL parce qu'on m'a forcée et je devrais être là en moyenne trente jours par semaine. Avant de finir j'aimerais juste rajouter que franchement j'avais dit pas de troisième compte.


Tout le monde a une histoire


☽ Oliver de Lacy ☾

Certains souvenirs finissent par se troubler avec les années — les visages de mes parents, la couleur des murs de ma chambre, le parfum des tartes aux pommes de ma mère — tandis que d’autres conservent tout leur éclat — sa silhouette auréolée des lumières du village, la rudesse du mur contre lequel je me suis effondré, l’odeur entêtante du sang, de mon sang — et se font les gardiens de ma stupidité d’alors. C’est que j’ai eu le temps de vérifier, depuis, et toutes mes recherches sur le sujet se sont révélées catégoriques : il n’est vraiment pas bon de défier un homme que l’on pense être un vampire et de l’insulter de lâche lorsqu’il se contente de vous ignorer. Pour ma défense, je n’avais que seize ans et toute la confiance adolescente qu’une bière obtenue frauduleusement auprès de la jeune serveuse sensible aux sourires de trois idiots vient décupler. On fêtait mon anniversaire avec quelques jours d’avance, avant que les vacances de Noël nous séparent. Amusant, non ? De toute façon, j’étais convaincu que les rumeurs étaient fausses. Ce type n’était pas réellement un vampire — qu’est-ce qu’une créature pareille viendrait faire à Pré-au-Lard, franchement ? — et il pouvait ou avaler une gousse d’ail pour renforcer mon assurance, ou bien boire mon sang pour me prouver le contraire.

Il avait retenu la seconde option.

À mon réveil, mon crâne m’élançait comme s’il s’était fait piétiner des heures durant, chacun de mes muscles n’était plus qu’une douleur lancinante et mes gencives me brûlaient en continu. Dracula n’avait pas laissé grand-chose dans mes veines puisque mes canines s’affinaient déjà. Le Ministère se présentait peu de temps après pour les formalités d’usage, une jolie tournure pour ne pas dire expressément qu’ils allaient désormais consigner mon identité dans les registres des êtres à surveiller. J’ai essayé de revenir mais je ne suis pas resté à Poudlard pour terminer mon année scolaire. Les couloirs murmuraient sur mon passage et me pointaient du doigt, chaque inspiration me nouait le ventre d’une violente envie de mordre ce qui était ma portée, tout était trop intense, trop déconcertant, parfaitement invivable. Le cottage familial sur les côtes irlandaises était bien plus propice à trouver le temps d’apprivoiser cette nouvelle nature.

Six mois plus tard, je mordais cette femme.

Qu’il est ardu de résister à cette soif déchirante qui aiguise les sens les plus primaires et fait taire toute raison. Tout de même, avec le recul, je ne suis pas peu fier, non pas d’avoir attaqué une moldue, mais d’avoir tenu tout ce temps sans blesser personne, sans m’en prendre à mon père qui rentrait tous les soirs avant que le soleil ne se couche, tentation vivante de goûter, juste un peu, rien qu’un peu, sans profiter des premières heures où ma mère se levait, seule, pour la mordre et que personne ne le sache jamais. Il y avait toute cette viande crue à ma disposition et des moutons achetés précipitamment pour palier au plus urgent mais rien qui ne parvienne jamais à faire taire ce désir brûlant de boire du sang, leur sang, n’importe lequel tant qu’il attéunait la torture de cette soif constante. Ce jour-là, j’étais allé profiter d’une météo capricieuse pour me promener. En général, rares étaient les moldus qui en faisaient de même, dans le coin, mais celle-ci cueillait des herbes, le long d’un sentier isolé, la peau pâle de son cou tendue telle une offrande à laquelle il était impossible de résister. C’était plus tendre que le bœuf crû et bien meilleur que le mouton.

C’est comme ça que mon père a sombré dans la folie.

Immobile, il contemplait la scène, sous le choc de ce liquide écarlate qui maculait mon visage. Il a eu un dernier sursaut de vie grâce auquel il a soigné la morsure de la femme avant de l’oublietter et puis, plus rien. Je me souviens l’avoir raccompagné en balbutiant des excuses effrénées et dénuées de vérité — je me sentais repus, pour la première fois depuis ces nombreuses semaines — mais lui ne disait rien. Son regard perdu dans le vide y resta, même face aux lamentations de ma mère et aux diagnostics des médecins. État de choc émotionnel, tétanie paralysante, peut-être une amnésie partielle, qui pouvait dire, le temps seul ferait l’affaire. Je ne sais plus si la culpabilité m’étreignit. Je me rappelle juste de la soif qui revenait déjà et de ce corps gorgé de sang mais dépourvu de tout le reste. Je cédai une fois, me jurant que ce serait la seule, juste une fois pour atténuer ce besoin obnubilant. Je tins quelques semaines avant que mes crocs ne s’enfoncent derechef dans la peau malléable de son poignet. À partir de là, les intervalles se réduisaient un peu à chaque fois.

Que faire lorsque la source se tarit ?

Mon père mourut presque un an jour pour jour après cet incident. Ce n’était pas de ma faute, du moins, pas comme on pourrait le suspecter. Il n’avait jamais quitté cet état de paralysie et cessa simplement de respirer dans son sommeil. Du sang, il en avait encore à revendre, je n’y étais donc pour rien. Je ne sais pas depuis combien de temps ma mère avait compris mon petit manège, ni pourquoi elle me laissait faire sans s’interposer — je suppose que c’était la crainte d’être la prochaine — mais quelques jours après l’enterrement, je trouvai un mot sur la table m’ordonnant de quitter cette maison sans quoi elle préviendrait le Ministère.

Ma propre mère.

Je n’avais rien à faire, nulle part où aller, aussi Poudlard s’apparentait-il au meilleur choix. Le seul, en réalité. J’étais suivi de très près, rien de mal ne pouvait se produire. Si ce n’était ce manque qui se faisait grandissant, la conscience d’être constamment dévisagé, ce contrôle si difficile à garder.

J’avais seize ans depuis trois ans quand je décidai de disparaître.

☽ Conor ☾

Ces souvenirs-là sont parmi les plus nébuleux. Conor, c’était comme ça je me présentais le plus souvent. Il y a eu des errances jusqu’à rencontrer ce groupe d’excentriques — et par excentrique j’entends secte — dévoué à un culte quelconque et persuadés d’être des vampires. Soit. Boire leur sang était un rituel que seule la morphine qu’ils avaient introduite dans mon existence parvenait à tempérer. On passait nos journées étendus entre deux addictions et j’avais à portée de main tout ce que je pouvais désirer — je ne désirais pas grand-chose, ça aidait peut-être.

Si c’était à ça que devait ressembler l’éternité, ce n’était pas si mal, non ?

Puis il a fallu qu’une guerre déclenchée en Europe pousse notre groupe à se disperser, la moitié n’étant pas de sang-pur et ayant des familles à retrouver, des devoirs à accomplir, que sais-je encore. Une fille — je crois que je n’ai jamais su son nom — me proposa de la suivre jusqu’à New-York pour des raisons et par des moyens qui avaient alors du sens, suffisamment pour que je parte avec elle. C’était la toute première fois que je prenais l’avion et je dois bien admettre que c’était tout simplement détestable, pire encore que le transplanage d’escorte. Confort abominable, du bruit à vous détruire les tympans et tout ce sang que je ne pouvais pas boire sous peine de rencontrer très vite de nombreux problèmes. Nous sommes arrivés en Amérique sans que je ne tue personne — notez que ça n’était pas arrivé une seule fois… mais ne parlons pas trop vite — et nous avons rapidement retrouvé nos belles habitudes. Un peu plus de sang à chaque fois, un peu plus de morphine entre les doses, un peu plus instable, beaucoup moins de contrôle.

Alors, il fallait bien que ça arrive.

C’était un vrai gâchis. Il faisait nuit noire lorsque j’ai quitté l’immense appartement où nous vivions depuis notre arrivée ici. Je me souviens parfaitement de cette chemise complètement tâchée de sang et de ce manteau trouvé aux pieds d’une poubelle pour le cacher. Une chose était sûre, il fallait que je disparaisse. C’était facile, dans une si grande ville, de boire du sang de temps en temps. Lorsque mes instincts primaires devenaient trop puissants, je n’avais plus les moyens de faire la fine bouche et de n’accepter que du sang délicat. Ce n’était pas plus mal, personne ne s’intéresse aux sans-abris et certains savaient même très précisément où se procurer quelques doses de morphine à bas prix.

C’est à cette période qu’il m’a trouvé.

☽ Michael ☾

Isaac dégageait toute la vigueur d’un homme d’une trentaine d’années mais je découvris rapidement qu’il fallait multiplier ce chiffre par trois ou quatre pour approcher la réalité. Il n’avait aucune intention de me laisser ponctionner le sang d’une partie de New-York à ma guise, mais pas la moindre envie d’impliquer le MACUSA dans cette affaire. Les histoires de vampires se règlent entre vampires, c’est ce qu’il avait l’habitude de dire d’un air qu’il voulait profond mais qui, de mon humble avis, faisait vraiment stupide. Ça a demandé pas mal de temps et de nombreux coups pour me sevrer de la morphine, en premier lieu, du sang humain dans un deuxième temps. Il faut dire que le vieux avait une patience infinie mais qu’il fallait tout de même alimenter celle-ci de quelques rappels physiques. Pour garder la forme, qu’il disait.

Ce n’est pas peu dire que d’affirmer que je lui suis éternellement reconnaissant. Rapport au fait que je suis un vampire, vous voyez ?

Les années se sont succédé. Nous étions tantôt père et fils, tantôt deux frères orphelins, parcourant l’Amérique puis l’Europe. Lui avait une chance que je n’avais pas : il paraissait tout à fait adulte aux yeux du monde, là où je n’étais qu’un adolescent qui parvenait parfois à tirer jusqu’au début de la vingtaine. Il m’était donc difficile de faire autre chose que des petits boulots qu’on acceptait de me confier. Nous nous étions établis en Allemagne depuis quelques mois lorsque l’idée de retourner à l’école se fit une place dans mon esprit. Et pourquoi pas, après tout ?

☽ Peter ☾

Ah, Durmstrang. Climat, neuf sur dix. Il faisait parfois vraiment froid mais j’ai adoré les journées dénuées de soleil. Décoration, cinq sur dix. Si vous n’êtes jamais allé là-bas, vous ne pouvez pas vous figurer ce que ça fait de déjeuner en face d’une immense toile où des vieux sorciers rabougris vous fixent d’un air méchant : ça coupe l’appétit. Ambiance... C’est là que le bât blesse. Les quelques personnes dont la compagnie était agréable me permettent d’accorder un ou deux points. Entendre constamment parler de la supériorité du sang sorcier sur tous les autres n’était pas vraiment ce qui me dérangeait le plus — disons que chacun a le droit d’avoir son point de vue, aussi stupide soit-il — mais devoir écouter sans broncher professeurs et élèves rabaisser les vampires au rang de créatures infâmes méritant la mort… Non. Non, ça ne passait pas. J’ai tout de même tenu deux ans avant de foutre mon poing dans la gueule d’ange de cette brute épaisse de Marius. Il méritait bien plus mais décevoir Isaac n’était pas une option. Les examens terminés, mon diplôme en poche, nous avons simplement décidé de quitter la région.

☽ Pavel ☾

On est restés plusieurs années à travailler dans une réserve magique au nord de la Pologne. Isaac, beau-parleur, savait comment me faire embaucher malgré mon jeune âge apparent. Et puis, lorsque les remarques sur le temps qui semblait ne pas avoir de prise sur nous ont commencé, on a compris que l’heure était venue de démissionner.

☽ Lucien ☾

Beauxbâtons est sans conteste l’école la plus accueillante que j’ai fréquentée. Tout, là-bas, respirait la noblesse et la bonne éducation. Quel dommage que je sois arrivé directement en dernière année : cela ne m’en laissait qu’une pour profiter des plaisirs de ce château.

Je crois que c’est à ce moment-là que j’ai débuté ma collection de diplômes.

Est arrivé ce voyage scolaire, organisé pour fêter notre promotion. Est arrivée Marian, surtout. Cette fille qui n’était pas insensible à mes sourires et qui avançait sous-entendus après sous-entendus avec la subtilité d’un éruptif. Elle est venue vers moi, ce soir-là, au milieu d’une fête qui battait son plein. On a dansé, entourés de nos camarades, puis on s’est éloignés. Quelques baisers, quelques caresses aventureuses, nos vêtements éparpillés derrière nous comme pour s’assurer de retrouver notre chemin. J’étais enivré, son parfum me montait à la tête, elle sentait bon, si bon, de toutes les façons possibles. J’ai perdu le contrôle, une demi-seconde, mais c’était suffisant pour que mes crocs pénètrent sa chair.

Un oubliette et rien de tout cela n’était jamais arrivé.

☽ Hans ☾

On a travaillé encore quelque temps et puis j’ai repris la route de l’école. Koldovstoretz avait les avantages de Durmstrang sans les inconvénients. J’ai passé de belles années sans entendre quiconque déclamer que personne sur cette planète n’arrivait à la cheville des sorciers de sang-pur et qu’il fallait déposséder de leurs droits ceux de mon espèce. Il m’était facile de m’intégrer. Tout le monde m’adorait, élèves et professeurs confondus, filles et garçons sans distinction. Il y avait bien quelques jalousies, mais n’est-ce pas normal chez les adolescents ?

Et puis, j’ai découvert que la jalousie cachait parfois d’autres sentiments.

Lui l’était. Jaloux, j’entends. Son regard sombre se faisait noir lorsque je riais aux éclats avec une autre, sa mâchoire se serrait quand mes colocataires me proposaient une sortie, ses poings se crispaient lorsque les professeurs louaient mes bonnes notes devant toute la classe. Il était bien plus détendu lorsqu’on s’embrassait. C’est lui qui avait posé la question, son doigt repoussant ma lèvre pour dévoiler cette canine plus pointue que la moyenne. C’est lui qui avait relevé la manche blanche de sa chemise, proposé d’un air grave son poignet, sa peau tendue sous laquelle se dessinaient des veines violettes. Était-ce sa faute ?

Dans tous les cas, c’est moi qui lui ait fait tout oublier.

Alors, c’était peut-être la mienne. Sûrement la mienne. À quoi bon se voiler la face ? Même si eux ne se souvenaient de rien, les indices étaient bien là et je ne vois pas comment ces fanatiques auraient pu remonter jusqu’à Isaac autrement. La porte branlante sur ses gonds, notre chez nous dévasté, ce sang au parfum familier… J’ai pris mon sac, quelques affaires, et je me suis lancé à leur recherche, déterminé à retrouver les connards qui avaient fait ça. Je ne crois pas avoir eu un seul instant l’espoir de retrouver Isaac en vie. On savait trop bien, tous les deux, qu’il existait dans le coin des sorciers qui faisaient de la chasse aux vampires un passe-temps régulier.

Ils m’ont d’ailleurs trouvé les premiers.

Heureusement que j’avais de bons réflexes et que je courais vite, sinon j’y passais. Ça et peut-être son aide quasi-providentielle, à Sélène. À nous deux, on les a salement amochés avant de s’enfuir. Je ne sais pas comment ils ont fait pour tenir face à elle aussi longtemps parce que, personnellement, rien que de voir son visage au petit matin me donne envie de fuir à toute vitesse. Alors, certes, elle est laide comme le péché, il n’empêche que sans sa présence, je ne serais plus là pour accumuler les conquêtes et les jolis diplômes.

Je suis désolé, Isaac. J’ai jamais cessé de l’être.

Une bonne dose de culpabilité dans une poche et la compagnie de cette infâme sorcière de l’autre, j’ai quitté l’Europe, direction ces bons vieux Etats-Unis. Il y avait une famille là-bas, disait-elle, la sienne. Des vampires qui n’avaient aucune intention de vivre reclus mais qui n’avait pas non plus celle de se laisser dicter leur existence par des employés d’un quelconque gouvernement.

☽ Cristobal, Esteve, Lazare, Basil et tous les autres. ☾

Auprès d’eux, l’errance était terminée. Depuis mon arrivée dans le clan, j’ai trouvé une certaine routine. De deux à quatre ans dans une école de magie puis, une fois mon diplôme en poche, je reviens à Boston et j’attends que Sélène me fournisse de nouveaux papiers pour voyager ici et là jusqu’à ce que l’envie de retourner étudier conduise mes pas vers une nouvelle école. Un mécanisme bien rôdé, au cours duquel cette sorcière ne se prive pas de choisir des noms plus ridicules les uns que les autres, pour le simple plaisir de voir la colère briller dans mon regard, suivie de la résignation de celui qui sait qu’il n’a pas le choix. Notons seulement quelques ratés rapidement oubliés d’un sortilège que je maîtrise décidément à la perfection.

☽ Chase Wilburn ☾

Chase me semblait un prénom des plus ordinaires après les Lazare, Esteve et autres Cristobal dont on m’avait affublé. Du moins, jusqu’à ce que j’apprenne par hasard — par hasard… ou pas vraiment : je suis certain que Sélène voulait que je le sache, son sourire satisfait ne trompait pas. Sorcière. — qu’il s’agissait de l’antagoniste principal d’un récent roman dépeint comme un pervers sociopathe incapable de nouer ses lacets. Cela ne m’a pas empêché de prendre mes nouveaux papiers, de les glisser dans mon sac et de préparer mes valises pour Ilvermorny. Patronyme stupide ou non, mon charme était intact et ma place rapidement acquise parmi mes camarades. J’aimais ça plus que tout, vivre ces années encore et encore, dans l’inconscience la plus adolescente, comme si jamais on ne m’avait jamais enlevé la possibilité de passer à autre chose. Le sport, les cours, les potes, les filles.

Il y avait toujours une fille.

De longues boucles brunes, un visage mutin, un regard qui se perdait souvent dans ma direction, un sourire arrogant. Agatha était belle. Complètement mon genre. Vous savez, le genre sûr de soi qui avance avec prestance mais vacille tout de même face aux sourires les plus enjôleurs, sous les oeillades les plus espiègles, le genre qui clame haut et fort que les romances naïves sont pour les petites filles mais qui adore qu’on l’appelle princesse. La faire rire, la faire se sentir désirée, la faire se sentir unique et supérieure aux autres. Quelques semaines après la rentrée, nous étions inséparables. Il me suffisait de repousser une mèche derrière son oreille en cours de magizoologie pour déclencher une vague de soupirs envieux dans les rangées qui nous entouraient. C’était plaisant, c’était amusant, c’était frivole, c’était facile, trop pour tenir dans le temps. Le jeu était gagné, à quoi bon continuer de jouer ? J’avais peut-être sous-estimé son caractère revanchard. C’est en tout cas ce que je me suis dit ce matin-là, attablé à la table du petit-déjeuner, parcourant machinalement un torchon qui recensait les dernières rumeurs people du monde magique, une tasse de sang de bison dans une main, le journal dans l’autre. Gillespie, hein ?

Une plume, il me fallait une plume.

Quelques jours plus tard, mes plus belles paroles couchées sur un parchemin de qualité s’envolaient vers la jeune fille. Les vacances de Noël terminées, elle était plus belle que jamais et ses lèvres avaient un goût de victoire. Il n’en fallait pas plus pour que notre couple se dépose sur celles de l’école toute entière. Une romance adolescente dont je profitais car je savais que ça n’était pas fait pour durer : rien de ce qui m’entourait ne l’était. Pour l’heure, Mrs. Wilburn jouissait de toute mon attention et de toute ma prévenance, matérialisées entre autres par ce pendentif qu’elle adorait. Dans ce joli tableau que je prenais plaisir à contempler, je dois avouer que je ne l’avais pas vu venir, le coup d’éclat de Gillespie. Le coup tout court, en réalité. Ce n’était pourtant pas tout à fait imprévisible mais je ne m’en étais pas préoccupé avant que son poing ne s’écrase contre ma tempe et que le mien ne réplique aussitôt. Quel petit con. Néanmoins, je pouvais lui dire merci : ça faisait bien longtemps que je n’avais pas eu une si belle occasion de laisser éclater une telle violence physique. En sueur, bien amochés, on a été séparés trop tôt à mon goût, mais j’imagine que le message était passé, dans un sens comme dans l’autre. Les animaux font pipi pour marquer leur territoire, les garçons se frappent.

Je n’ai pas montré les crocs, avec lui. Chanceux.

Le bal de fin d’année est arrivé, on a dansé toute la soirée, puis l’été a pris sa place et, avec lui, un léger goût d’inachevé. Alors je lui ai proposé de venir à Boston et j’ai veillé à ce qu’elle passe un merveilleux moment. Musée, dîner en tête-à-tête, balade sous les lumières nocturnes de la ville, tout y était. Elle était magnifique, dans sa robe argentée, ses épaules dénudées comme une invitation à les embrasser. Son parfum entêtant qui accompagnait chacun de nos pas, l’appétit ouvert par ce repas sans aucune saveur, la peau de son cou sous laquelle se dessinait quelques promesses… Elle me faisait perdre mes moyens, d’une manière qu’elle ne pouvait se figurer.

Quand je me suis penchée pour l’embrasser, ce n’est pas le vermeil de ses lèvres dont je me suis emparé.

Cela faisait longtemps, vraiment longtemps, que je n’avais pas perdu le contrôle. Sélène n’allait pas me louper. C’était bien la dernière de mes préoccupations alors que son sang emplissait ma bouche et que son corps alangui reposait entre mes bras. Aux yeux de n’importe quel passant pressé, nous étions deux amoureux perdus dans une étreinte passionnée. Ce n’était pas tout à fait faux, même si Agatha était plus captive que captivée et que j’étais assurément le plus enflammé des deux. Imbécile que je suis, j’avais laissé ma baguette chez nous. Tandis que son corps glissait jusqu’aux marches salies par les milliers de passages journaliers, j’ai échappé un soupir désolé. Je ne pouvais pas lui faire oublier mon écart. Je me suis essuyé le menton et j’ai refermé ma veste sur ma chemise maculée de sang, avant de transplaner.

Chase Wilburn n’existait plus.

☽ Padraig Finnegan ☾

Comme je le supputais, Sélène m’a littéralement couvert d’injures, un spectacle passablement effrayant à cause de son visage déjà hideux d’ordinaire, une condition qui empirait quand ses traits étaient déformés par la colère. J’ai argué que, d’accord, j’avais merdé, mais que celui qui n’avait jamais commis le moindre impair me jette la première pierre. J’aurais peut-être dû vérifier la présence d’Anton avant de balancer ces mots parce que ce parfait vampire qui n’avait jamais goûté le sang d’un seul humain ne s’est pas privé de me prendre au pied de la lettre et de m’envoyer un caillou en pleine face. Elle n’avait pas tort, l’autre mégère. Comment pouvait-on lutter pour améliorer l’image des vampires si des petits cons comme moi enchaînaient les caprices ? D’abord, je tiens à rectifier que ça n’en était pas un, mais plutôt une erreur de ma part, je consentais à l’admettre. J’ai ensuite proposé de faire profil bas et de m’exiler en Europe quelque temps pour que toute cette affaire ne soit qu’un lointain souvenir. Une semaine plus tard, je prenais un portoloin pour Londres sous une toute nouvelle identité, d’où j’ai rejoint les membres du clan qui vivaient ici.

J’étais excité à l’idée de retourner à Poudlard. Que devenait ce bon vieux château ?


Famille et compagnie

Tout a commencé avec Aoife et Cormac de Lacy. Tous deux sorciers, tous deux nés dans des familles aisés, tous deux trop peu ambitieux pour faire plus que ce qui leur assurait un confortable train de vie. Vous savez déjà tout de la mort de mon défunt père, quant à ma mère, sachez qu’elle est décédée près de quarante ans plus tard. Elle a rendu son dernier soupir dans son sommeil et rien ne laisse supposer qu’elle pensait encore à son fils après tout ce temps. Je sais pour l’avoir vu de mes propres yeux que son nom est maintenant inscrit sous celui de son mari, sur une pierre tombale qui abrite leurs deux cercueils et qui ne verra jamais le mien. Après toutes ces années, je donnerai plus volontiers le titre de père à Isaac, même s’il n’est plus là pour entendre ce qu’il appellerait une absurdité sentimentale. C’est quand même grâce aux siennes que je suis en vie aujourd’hui et je lui dois beaucoup, si ce n’est tout. Il était passionné d’histoire et adorait me raconter la sienne. Je le soupçonne d’avoir enjolivé bien des chapitres pour les tourner à son avantage, mais je ne lui ai jamais révélé que j’avais trouvé les coupures de journal qu’il conservait précieusement et qui dépeignaient des faits bien plus modestes. Il n’est pas le seul de mes proches à être mort sous les sortilèges d’un chasseur de vampires, d’autres membres du clan en ont fait les frais, au fil des années, mais sa disparition restera la plus marquante. Peut-être en partie parce que c’est là que Sélène a déboulé dans mon existence. Elle a cette place de tante insupportable et divinement laide, dotée d’une violence presque illégale. Je ne comprends vraiment pas comment Anton, [b]Glenn[/] et les autres peuvent louer sa beauté à chaque heure du jour et de la nuit. Sérieusement, avec ses longs cheveux blonds, sa peau immaculée, ses grands yeux bruns, elle me file des cauchemars. Quand même, j’ai beau hurler d’épouvante dès que je la croise par hasard entre deux portes, elle est l’un des ciments du clan et certainement la personne dont je suis le plus proche, même si je ne le lui avouerai jamais. Moi qui pensais être débarrassé d’elle en venant à Londres retrouver d’autres membres du clan, j’ai eu la peur de ma vie en la trouvant sur la pas de la porte, ses affreuses dents parfaitement alignées dévoilées dans un sourire qui m’annonçait qu’elle avait trouvé un poste en diplomatique au Ministère anglais. Le cauchemar.



CLASSEMENT DU CHOIXPEAU
Merci de classer les quatre maisons par ordre de préférence – J’ai très envie d’être dans une maison pour pourrir la vie à quelqu’un mais vous me mettrez dans celle qui vous arrange. sifflote


Revenir en haut Aller en bas
Anonymous

Invité

Invité

À SAVOIR

DETAILS EN PLUS

PADDY ☽ this is just like old times Empty
Message(#) Sujet: Re: PADDY ☽ this is just like old times PADDY ☽ this is just like old times EmptyMer 31 Aoû - 21:29

Nous ôter Erin pour ça, c'est cruel. PADDY ☽ this is just like old times 2972055691 Octavia
Rebienvenue quand même. Même si tu mérites pas. Yerk
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous

Invité

Invité

À SAVOIR

DETAILS EN PLUS

PADDY ☽ this is just like old times Empty
Message(#) Sujet: Re: PADDY ☽ this is just like old times PADDY ☽ this is just like old times EmptyMer 31 Aoû - 21:36

Mille fois Anoushka
Revenir en haut Aller en bas
Gwendolyn A. Chastel

Gwendolyn A. Chastel



À SAVOIR
https://nineteen-years-later.forums-actifs.com/t13781-gwendolyn-ava-chastel-a-l-encre-de-mes-souvenirshttps://nineteen-years-later.forums-actifs.com/t13796-en-construction-gwen-reseaux-et-contacts#283525https://nineteen-years-later.forums-actifs.com/t13797-gwendolyn-enquetes-et-histoireshttps://nineteen-years-later.forums-actifs.com/t13799-gwendolyn-histoires-a-partagerhttps://nineteen-years-later.forums-actifs.com/t13798-gwendolyn-notes-et-rendez-vous

Arrivé(e) le : 08/04/2022
Parchemins rédigés : 848
Points : 13
Crédit : Zuzu
Année : 7e années - (17 ans - 4 mai)

DETAILS EN PLUS
Et plus en détails ?
Statut Sanguin: Sang-Mêlé
Pouvoirs spéciaux: Legimancie
Poste de Quidditch: Attrapeur
Patronus: Dauphin
Epouvantard: Des copies déchirées
Matières suivies et niveau:
Points Défis:
PADDY ☽ this is just like old times Left_bar_bleue485/2000PADDY ☽ this is just like old times Empty_bar_bleue  (485/2000)
Disponible pour un RP ?: Bien sûr, on le commence quand ?
D'autres comptes ?: Azure/ Prof. Alexander / Maxi

PADDY ☽ this is just like old times Empty
Message(#) Sujet: Re: PADDY ☽ this is just like old times PADDY ☽ this is just like old times EmptyMer 31 Aoû - 21:39

Yerk Encore un vampire! Ils veulent nous saigner!
Revenir en haut Aller en bas
Agatha Kline

Agatha Kline



À SAVOIR
https://nineteen-years-later.forums-actifs.com/t14007-agatha-a-thousand-times-good-nighthttps://nineteen-years-later.forums-actifs.com/t14080-agatha-true-lovershttps://nineteen-years-later.forums-actifs.com/t14082-agatha-love-lettershttps://nineteen-years-later.forums-actifs.com/t14083-agatha-sweet-nothings

Arrivé(e) le : 13/01/2017
Parchemins rédigés : 2172
Points : 19
Crédit : Azure (c)
Année : 16 ans (06/02)

DETAILS EN PLUS
Et plus en détails ?
Statut Sanguin: Sang-Mêlé
Pouvoirs spéciaux: Vampire / Égo jupitérien
Poste de Quidditch: Aucun
Patronus: Une chauve-souris
Epouvantard: La solitude
Matières suivies et niveau:
Points Défis:
PADDY ☽ this is just like old times Left_bar_bleue2000/2000PADDY ☽ this is just like old times Empty_bar_bleue  (2000/2000)
Disponible pour un RP ?: Si t'es pas pressé, c'est d'accord !
D'autres comptes ?: Murphy / Kenneth

PADDY ☽ this is just like old times Empty
Message(#) Sujet: Re: PADDY ☽ this is just like old times PADDY ☽ this is just like old times EmptyJeu 1 Sep - 8:57

Admiratif Admiratif Admiratif

Je suis très très joie, merci beaucoup de t'embarquer une deuxième fois dans une de mes histoires foireuses. Slurp

J'ai vraiment hâte de voir ce que tu en feras en jeu, en tout cas entre nous deux (trois même si je puis dire PADDY ☽ this is just like old times 723178256 ) l'ambiance va être mortelle. Brooklyn

PADDY ☽ this is just like old times 1665869212 Diable PADDY ☽ this is just like old times 2738742592
Revenir en haut Aller en bas
Le Choixpeau Magique

Le Choixpeau Magique



À SAVOIR

Arrivé(e) le : 21/04/2011
Parchemins rédigés : 1912
Points : 0
Crédit : (c) Septimus Veturia
DETAILS EN PLUS
Et plus en détails ?
Statut Sanguin:
Pouvoirs spéciaux: Aucun pour l'instant
Poste de Quidditch: Aucun
Patronus:
Epouvantard:
Matières suivies et niveau:
Points Défis:
PADDY ☽ this is just like old times Left_bar_bleue0/0PADDY ☽ this is just like old times Empty_bar_bleue  (0/0)
Disponible pour un RP ?:
D'autres comptes ?:

PADDY ☽ this is just like old times Empty
Message(#) Sujet: Re: PADDY ☽ this is just like old times PADDY ☽ this is just like old times EmptyJeu 1 Sep - 21:17




Bienvenue parmi nous

Bon... d'accord... Erin va beaucoup (beaucoup [...] beaucoup) me manquer mais j'ai quand même hâte de voir ce que ce nouveau perso va donner en RP... ...et j'ai hâte que tu me pourrisses la vie, aussi... Rusé Quoi qu'il en soit, je vais pas m'étaler sur le blabla de bienvenue, tu connais la maison... Donc juste bon courage pour ton installation et à très vite au détour d'un RP. Perv




Encore toi ? Faut laisser sa place aux autres un peu, c'est une fois par existence qu'on passe sous moi... mais ok... va pour cette fois... va bouffer les...
SERPENTARD
!
Serpentard Serpentard Serpentard



Quelques conseils pour bien commencer


Maintenant que tu es réparti(e), il ne faut pas te reposer sur tes lauriers. Ta vie NYLienne commence à peine et pour la faire démarrer sur de bonnes bases, il te reste encore pas mal de petites choses à faire. Ne t'inquiètes pas, je vais tout te montrer...

Commence par créer ta fiche de liens, ta fiche de RPs, ainsi que boîte aux lettres qui te permettra aussi de gagner des points RPs en écrivant des lettres de plus de 300 mots et ta boite à hiboux express pour les messages plus courts. Peut-être que tu n'en trouveras pas tout de suite l'utilité, mais ça ne saurait tarder... Alors mieux vaut l'avoir fait tout de suite. Et puis, si jamais tu cherches quelqu'un d'important pour le développement de ton personnage, n'hésite pas à créer un poste vacant.

Aussi, je te conseille d'aller lire comment marche le système de points, si ce n'est pas déjà fait. Ce serait bête de ne pas savoir comment rapporter des points à ta maison. D'ailleurs, tu peux jeter un coup d'oeil aux sabliers pour voir où en est la course à la Coupe. Et comme les votes, c'est le bien, Top-Siter rapporte des points !

N'empêche que le meilleur moyen d'obtenir des points reste d'aller en cours. Et oui, nous sommes dans une école et nos chers professeurs vont se faire une joie de t'apprendre tout ce qu'ils savent. Quand tu te seras bien installé(e) dans ton dortoir, attrape tes bouquins et rends toi vite en classe ! Nos professeurs t'attendent, et pour savoir à qui tu as à faire, tu trouveras la liste ici. La liste des sortilèges par année est disponible .

Il n'y a pas que les points des sabliers qui sont importants ici. Il y a aussi les points défis ! Tu peux aller lire ce sujet pour savoir exactement ce que c'est que les points défis. N'oublie pas de créer ton sujet d'ailleurs, qu'on puisse tous t'en proposer ! Bien sûr, tu peux également savoir combien tu as de points en allant voir la fiche ! Le nombre de point s'initialise automatiquement à 0/0 mais dès que vous avez un point, vous pouvez voir l'évolution de ceux-ci à 1/2000...

Heureusement, il n'y a pas que les cours dans la vie ! Tu vas pouvoir t'entraîner à être une fouine en écoutant les rumeurs qui se baladent dans les couloirs, attraper ton balai pour devenir le plus grand joueur de Quidditch de l'histoire de Poudlard... Enfin, pour être sûr(e) de ne rien louper des activités qui te seront proposées, garde un oeil sur le panneau d'affichage, et sur la Gazette du Sorcier pour être informé(e) de tout ce qui peut bien se passer dans le monde magique.

Le HRP (hors-RP) te donnera également de quoi t'occuper grâce à une partie Flood bien remplie. Tu pourras également faire plaisir aux autres membres en leur offrant des cadeaux. N'oublie pas, à l'occasion, de passer sur la ChatBox, avec un peu de chance, tu tomberas en plein jeu... S'il y a quelque chose que tu ne comprends pas, nous répondrons à toutes tes questions.

Sur ce, je te souhaite beaucoup de plaisir dans cette nouvelle vie qui commence, et plein de merveilleux RPs !


Revenir en haut Aller en bas

Contenu sponsorisé



À SAVOIR

DETAILS EN PLUS

PADDY ☽ this is just like old times Empty
Message(#) Sujet: Re: PADDY ☽ this is just like old times PADDY ☽ this is just like old times Empty

Revenir en haut Aller en bas
 
PADDY ☽ this is just like old times
Page 1 sur 1

Sauter vers: