Attaques furtives dans les couloirs [RÉVOLTE - 7 RÉVOLUTIONNAIRES]

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'Le Hasard' : 1

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La victoire était loin d'être acquise de base, mais si tout le monde foirait ses sorts, c'était mort. Aimie eut la chance de réussir son sort, mais son sentiment de satisfaction s'évanouit vite quand la contre attaque d'un manquemort unique arriva. Ziegler fut blessé. Et d'autres mangemorts allaient arriver. Leurs pas résonnèrent. Il fallait qu'ils se dépêchent de s'occuper de l'unique mangemort afin de préparer la contre-attaque suivante. Sauf que s'occuper du mangemort fut plus compliqué que prévu. Maël fut le premier à tenter, mais échoua, sûrement à cause de sa blessure. Le professeur Burgess fut désarmée alors qu'elle tentait de soigner Thomas. D'ailleurs, elle ne lui fit aucune remarque sur ce qu'Aimie avait dit. Elle devait être gênée, la pauvre. Ce n'était pas le moment pour de telles effusions d'amour. Anoushka échoua également, suivi de Noel qui se pétrifia tout seul. Thomas rata le même sort que les autres. Décidément c'était laborieux. Ils rataient tous le même sortilège. Aimie avait toujours de sentiment de déjà-vu, mais elle s'efforçait de le balayer pour se concentrer. Le professeur Cooper arriva et tenta de s'occuper du mangemort, en vain. Elle avait du mal à lui faire confiance après ce qui était arrivé avec Narcissa mais de l'aide n'était pas de refus. Enfin, en supposant qu'elle soit bénéfique. Le professeur avait raté. Aimie fronça les sourcils, si les professeurs n'arrivaient pas à s'occuper du mangemort, elle n'y arriverait peut être pas non plus. Elle commençait à vraiment se sentir mal, elle imaginait déjà le mangemort se moquer d'eux. Il était seul, ils étaient un petit groupe et ils n'arrivaient pas à le battre. Dans un autre contexte, ça aurait pu être drôle. Mais là, ça ne l'était pas. Elle espérait vraiment réussir son sortilège parce que les autres mangemorts arrivaient, et ça allait devenir vraiment compliqué pour eux s'ils ne s'organisaient pas un minimum. Les bruits de pas des autres étaient plus proches. Elle commençait légèrement à paniquer. Légèrement. Néanmoins, elle tenta de se rappeler des paroles du professeur Winslow. Elle ne devait pas laisser ses émotions prendre le dessus, ses performances magiques en pâtiraient. Elle prit une grande inspiration et jeta son sort, concentrée. « Petrificus Totalus ! » Maintenant, il faut prier.

Spoiler:

Le membre 'Aimie J. Rutherford' a effectué l'action suivante : Le Hasard

'Le Hasard' : 5

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« Vous avez si peu foi en notre victoire que vous faites des choses désespérées, professeur ? »
« Voyons, Aimie ! Ce n’est pas flatteur pour ta prof de potion voyons... »

Mon ton était bien entendu moqueur. Certainement que Burgess n’apprécierait pas, d’ailleurs je l’avais bien embarrassé. Je ne pus donc réprimer un sourire des plus satisfaits – voir même machiavélique – avant de me diriger vers Bras cassé. Mes méfaits étaient accomplis, je pouvais mourir tranquille. Mais malheureusement, je n’étais pas au bout de mes peines...
Quel malheur ! Je n’avais pas réussi à soigner en totalité le bras de Suricate – c’était bien son nom ? Ma mémoire me joue des tours. Quelle piètre infirmière je faisais ! C’était inadmissible ! M’enfin je pouvais toujours m’estimer heureux d’avoir pu soigner Aimie la dernière fois, c’était au moins une victoire parmi mes échecs. C’est à croire que j’avais plus de chances avec les filles qu’avec les mecs – je ne vois pas pourquoi. Dans tous les cas, je pourrais toujours réessayer ultérieurement de le soigner lorsque l’occasion se présenterait, pour le moment ce n’était pas tellement ça.
Le coup de traitre ! Alors que je terminais de bander le bras de Suricate, je me pris un sortilège. C’est à croire que le mangemort avait attendu que ça : que je sois distrait par ma casquette d’infirmière. Je fus projeté contre un mur. J’entendis distinctement mon crâne se fendre tandis que le sang – chaud – se mit à se déverser sur ma nuque et mon dos. Sonné, je ne me rendis pas compte que je me retrouvais à terre. Le monde commença à tourner autour de moi tandis que les autres tentaient des sortilèges. Grimaçant, je plissais les yeux, le regard rivé sur un point fixe le temps que mes vertiges cessent. Ma tête me faisait mal, et il me faudrait certainement des soins – peut-être de la part de Burgess ?
Reprenant mes esprits, je regardais autour de moi. Il ne restait qu’un mangemort, mais d’autres ne tardaient pas à nous rejoindre. Ce fut Aimie qui réussit à le mettre hors d’état de nuire malgré l’intervention d’un autre professeur, alors que les autres soient ratés soit se pétrifier eux-mêmes – sérieusement, Noel ! Tu me déçois, j’en ai presque honte.
Me relevant avec peine, je repris la parole.

« Bien joué Aimie ! D’autres arrivent, tenez vous prêts. Morgana, cesses de nous montrer tes fesses et va récupérer cette fichue baguette ! Suricate – tu t’appelles bien Suricate non ? – je finirai de te soigner tout à l’heure, je m’occupe de dépétrifier Monsieur le Préfet ! »

Je me dirigeais vers Noel, passant devant Cooper par la même occasion. Le regard que je lui lançais était clairement une mise en garde : au moindre faux pas, il allait morfler. M’approchant donc rapidement de Shiver, je levais ma baguette, préférant prononcer la formule pour me concentrer plus.

« Finite incantatem. »

1-3-5 : Sort réussi
2-6 : Un sort fuse dans ma direction et me désarme avant que je ne finisse ma formule.
4 : Une violente migraine me prend et je n'arrive pas à réussir mon sort, le coup à la tête semble plus problématique que prévu...

Le membre 'Professeur L. Ziegler' a effectué l'action suivante : Le Hasard

'Le Hasard' : 4

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Libération des nés-moldus

Malgré l’hésitation d’Anthony à vouloir rester ici près des autres, il s’était finalement décidé à écouter les arguments de Jayden, mesurant sans doute peu à peu tout ce qu’il avait à perdre à suivre le troupeau. Le deuxième année s’impatientait de seconde en seconde alors que la situation était loin d’être tirée d’affaire et il dut insister pour ne pas que Joanne n’embarque avec eux. Elle ne ferait que les retarder ou même les faire repérer avec son envie continuelle de parler et de jouer les téméraires. Non, Jayden ne souhaitait pas qu’il lui arrive quelque chose mais il savait qu’elle serait en sécurité avec ses amis plus âgés qu’elle et qui semblaient l’affectionner. Notamment Chuck et Isidore.

« On va où ? » Demanda Anthony dans un murmure.

Notre héros ne lui jeta aucun coup d’œil, bien trop observateur d’un éventuel piège ou d’une embuscade au loin. Ils avançaient parmi les couloirs humides des cachots, longeant les murs pour éviter une mauvaise surprise. Plutôt discrets grâce à la couverture de leur bruit de pas par les éclats de voix des autres, ils paraissaient bien partis pour s’en sortir.

« Peut-être qu’on devrait trouver une salle inutilisée ou un placard à balais pour commencer. » Supposa-t-il, un index sur la bouche.

Cette cachette serait provisoire mais suffisante pour les garder sains et saufs pendant un bon moment, le temps que les batailles cessent. Il espérait simplement que tout se passe bien dans les étages, qu’ils ne rencontreraient personne qui chercherait à les tuer ou à les dénoncer parce qu’ils étaient hors des cachots. Mais normalement, tout devrait bien se passer… Normalement.

Ils montèrent les escaliers menant au hall, toujours en prenant garde à ne pas se trahir.

« Aie ! Désolé. »

La voix de son ami l’alerta et il se rendit compte qu’ils étaient trop serrés l’un contre l’autre à cause de l’étroitesse des murs. Jayden secoua doucement la tête pour lui dire que ce n’était rien et il se focalisa de nouveau sur son chemin. Ils se retrouvèrent devant une porte sombre à l’aspect aussi lugubre que les donjons du château. On aurait dit une porte menant droit vers l’enfer, selon lui, mais il avait le sentiment qu’il ne devait y avoir personne derrière.

« Tu sais où ça mène ?
‒ Non mais ça doit sûrement être notre havre de paix pour un petit moment. Rien ne peut être pire qu’ici. Vas-y, ouvre. » Répondit-il avec assurance.

De toute façon, c’était soit cette porte, soit essayer de passer par le rez-de-chaussée pour accéder aux étages supérieurs et c’était une mauvaise idée car il y avait de l’agitation qui provenait de là-bas. C’était à croire que la rébellion se menait aussi dans la salle du bal. Durant quelques secondes, Jayden pensa à Ashley qui avait été forcée de jouer les serveuses auprès des conviés. Allait-elle bien ? L’avait-on blessée ? Cette pensée l’empêcha, durant un instant, de franchir la fameuse porte. Un petit élan de courage venait de le submerger et il s’imagina en train de courir à l’endroit où trente mangemorts surveillaient la piste de danse, cherchant désespérément son aînée. Hélas, il était bien trop rationnel et trop peur suicidaire pour rendre cette idée concrète. Il devait donc se persuader que l’ingéniosité et l’instinct de survie d’Ashley devaient être des atouts suffisants pour qu’elle soit encore en vie. Il l’espérait de tout cœur, en tout cas.

« Désolé… J’arrive. » Dit-il, se ressaisissant, alors qu’Anthony venait de dépasser l’encadrement de la porte.

La porte se referma toute seule derrière eux, les laissant face à un spectacle encore plus infernal que celui des cachots. Il faisait chaud, très chaud, comme si des flammes venaient de lécher les murs, les plafonds et les sols.

« Qu’est-ce qui se passe ici ?! » S’exclama-t-il en veillant tout de même à baisser le ton.

Tout autour de lui, le plafond avait été ravagé. Des débris formaient un nuage de poussière où l’on pouvait voir à travers mais qui donnait l’envie de tousser. Visiblement, des combats faisaient encore rage ici. Jayden se tourna vers Anthony, une expression peu sereine sur son visage déformant un peu ses traits. Puis, presque collé à un mur pour éviter d’être éventuellement touché, il observa la scène. Il y avait deux professeurs, Burgess et Ziegler ‒ qu’il ne connaissait que de nom ‒ en train de chercher à soigner des blessés et un dernier Mangemort qui était plutôt doué pour les mettre à mal. Au même moment qu’eux, le professeur Cooper débarqua en renfort mais se fit rapidement propulser ailleurs, ce qui ne rassura pas vraiment Jayden. Il appréciait bien cet enseignant qui s’occupait de sa matière préférée mais si même lui n’était pas capable de les débarrasser d’un opposant, ils étaient bien tous dans un gros guêpier.

« C’est encore pire qu’en bas, pesta Jayden, toujours à voix basse. Qu’est-ce qu’on fait ? D’autres arrivent, ils sont déjà là ! (il désigna un groupe qui venait d’arriver, baguettes tendues et prêts à riposter) On balance nos deux potions explosives sur eux et on s'en va ailleurs ? Ou tu crois que les profs feront le poids ? Quoi que pour le moment, ils ont plutôt l'air de galérer... »

EXORDIUM.

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Blessés et Blessures:

Le dernier mangemort debout a été vraiment difficile à neutraliser. Est-ce vous qui êtes vraiment nul ou lui qui est vraiment bon ? Pas le temps de réfléchir plus longtemps sur la question que vous entendez un bruit sur votre gauche. Les 6 mangemorts qui étaient coincés derrière la barrière de feu viennent enfin de trouver une solution et les 6 autres mangemorts dont vous entendiez les pas au loin et que vous commenciez à apercevoir en face de vous sont de quasiment sur vous. 12 mangemorts au total vous font face, il va falloir se réveiller et viser mieux que ça si vous voulez vous en sortir.

BLESSE N°1

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BLESSURE N°1

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***

BLESSE N°2

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BLESSURE N°2

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***

BLESSE N°3

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BLESSURE N°3

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Quelques points d'infos

Allez, décédez bien !!

Alors comme vous l'avez compris, vous risquez d'avoir mal, ce qui ne sera pas sans conséquences sur votre jeu. On vous laisse le choix des blessures, mais si on voit que vous minimisez le truc, on interviendra, évidemment. Une blessure grave, c'est pas franchement se couper le bout du doigt, de même vous allez pas perdre un membre avec une blessure légère.

Donc soyez crédible

.

Ce serait bien aussi que le hasard s'en trouve

modifié

, si une blessure légère vous ne vous empêchera pas de continuer, une plus importante pourrait vous déconcentrer/handicaper (donc un chiffre en moins les gars), voire pire puisque si vos adversaires sont pour vous hors d'état de nuire lorsqu'un de vos sortilèges réussit, vous le serez aussi une fois gravement blessés. Wink

Pour ce qui est dudit hasard, si jamais le même personnage apparaît deux fois, seule la première blessure compte, et vous pourrez vous féliciter de la chance que vous avez d'échapper à deux blessés dans votre groupe ! Quoi qu'il en soit, rassurez vous, on ne va pas poster tous les jours, donc vous allez avoir le temps de vous remettre à attaquer !

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Ma tentative de soigner Quincey fut un échec non pas parce que mon sort avait échoué mais parce que je n’avais même pas eu le temps de le lancer. Une force balaya ma baguette de ma main droite, la propulsant plus loin dans le couloir. Il ne restait plus qu’un Mangemort et nous n’étions même pas capable de nous en défaite vite fait, bien fait. Je pestai intérieurement, apercevant les vaines tentatives de chacun. C’était désespérant ; Sullivan subissait toujours les conséquences de son handicap qui le rendait plus maladroit et donc moins performant qu’autre chose et c’était sans parler d’O’Nyme qui n’était pas parvenue à se reprendre et qui venait encore de planter son sort. C’était à croire qu’assigner un poste d’enseignement à des Mangemorts avait fait baisser le niveau de magie des élèves. Mais avait-on atteint le pire ? Non. Après que Léo eut été touché, Shiver vint s’auto-pétrifier, son sort rebondissant contre lui-même. Sérieusement, qu’est-ce qui leur arrivait d’échouer aussi lamentablement ? Cela nous freinait, cela nous menait droit à la mort, à ce rythme.

« Merde, Shiver… » marmonnai-je, entre colère et nervosité.

Ce combat tournait au cirque et le dernier Mangemort prenait la confiance. Seul face à plusieurs personnes, il semblait bien tenir en attendant que ses copains n’arrivent. Je ne pouvais même pas récupérer ma baguette puisque je passais mon temps à esquiver les sorts du dernier debout, parfois avec réflexe, et quelques fois en lisant ses intentions. Je m’entraînais à cette fameuse faculté à laquelle je travaillais depuis décembre et c’était le bon moment pour m’en servir.

Malgré sa blessure, Quincey tenta une action mais ce fut inutile, sa blessure l’empêchant sûrement de bien employer sa magie. Il fallait vraiment que je le soigne et ensuite, ce serait le tour de Léo dont l’état m’inquiétait puisqu’il s’était tout de même cogné le crâne et du sang perlait sur sa nuque. Bon sang, s’ils se mettaient tous à être amochés, on ne s’en sortirait pas…

A ce moment-là, un autre professeur gagna notre étage : Gabriel Cooper. Son arrivée me soulagea d’un côté et je pensais qu’il nous débarrasserait du dernier élément de cette vague. Malheureusement, même avec trois professeurs, le cirque semblait continuer et mon collègue fut éjecté illico presto avant de retomber au sol lourdement. Je serrai les dents et lorsque je pus enfin récupérer ma baguette, la jeune Rutherford venait de neutraliser notre opposant.

« Bien joué, miss ! » Dis-je en même temps que Léo, apparemment soulagé lui aussi.

« D’autres arrivent, tenez vous prêts. Morgana, cesses de nous montrer tes fesses et va récupérer cette fichue baguette ! Suricate – tu t’appelles bien Suricate non ? – je finirai de te soigner tout à l’heure, je m’occupe de dépétrifier Monsieur le Préfet ! »

Je lui jetai un regard noir. Pourquoi fallait-il toujours qu’il fasse ce type d’humour durant une situation pareille ? J’aimerais bien l’y voir à ma place, avec un mangemort en train de se concentrer sur son dos pour l’empêcher de retrouver son arme. Je ne dis rien et regroupai toute mon attention vers la nouvelle vague qui nous attendait. Très sincèrement, nous étions très mal partis et je me demandais si nous allions parvenir à tous les contenir ici pour les empêcher de rejoindre les autres en bas. Avec mes deux collègues, les choses ne devaient normalement pas empirer mais j’avais le sentiment que la chance n’était pas de notre côté pour aujourd’hui. Pendant que nous nous défendions contre une série de sortilèges adverses, Léo venait d’échouer à sa tentative de sauver Shiver de son état de pétrification. Malgré mon inquiétude, cela ne m’empêcha pas d’esquisser un rictus à peine perceptible, tout en lui lançant :

« Tu disais, Léo ? Ressaisis-toi au lieu de dire des conneries. »

Quel piètre image il venait de donner aux autres à donner des leçons avant de foirer à son tour. Ceci dit, je savais que sa blessure était responsable de ce mauvais résultat alors je repris aussitôt mon sérieux en me rendant près du préfet de Gryffondor. Pendant ce temps, il fallait que Léo me couvre et je lui fis signe de la tête pour qu’il s’écarte de Shiver afin que je prenne le relai. Malheureusement, les choses ne furent pas aussi simples puisque la nouvelle vague de six mangemorts venait d’apparaître. Et comme si ce n’était pas suffisant, ceux que nous avions, jusqu’alors, tenus à l’écart à l’aide des potions venaient de revenir. Nous étions dans de sales draps… Ils n’attendirent pas pour nous prendre d’assaut, souhaitant faire le maximum de dégâts pour nous éliminer un par un. Sullivan fut touché de plein fouet et sembla s’écrouler au sol dans un état grave, ce qui détourna mon attention durant une fraction de seconde qui suffit à l’un de nos adversaires pour me toucher. Mon hésitation m’avait conduite à l’erreur et je venais de le payer assez cher. Voilà qu’une vilaine entaille profonde au niveau droit des côtes vint m’arracher un gémissement de douleur, me forçant à me courber et à me tenir contre le mur pour m’en remettre.

Bordel de merde…

Cela faisait mal et cela m’handicaperait pour la suite des combats. Il fallait que l’on se réorganise mais nous n’avions même pas une seconde à nous à cause de ces douze mangemorts qui n’allaient certainement pas attendre que nous finissions d’établir une nouvelle formation. En attendant que Léo ne vienne pour me soigner ‒ s’il arrive à se sortir de lui-même de sa blessure ‒ je tentai de faire sortir Shiver de son immobilisation. C’était la première chose à faire si nous voulions gagner un combattant en plus sur le terrain… Malgré la douleur, j’essayai de me concentrer sur ma magie, tendant ma baguette vers son corps saucissonné.

« Finite Incantatem… » Prononçai-je, le souffle court.

1,3,5 : Le sortilège fonctionne et Noel peut de nouveau se tenir debout et tenter de bouleverser la situation Aimie

(

Attaques furtives dans les couloirs [RÉVOLTE - 7 RÉVOLUTIONNAIRES] - Page 3 1908207533

)
2,4,6 : C'est vain. Une lumière sort de sa baguette mais elle se dissipe avant d'atteindre sa cible. La douleur est trop forte et Morgana n'est donc pas assez concentrée.

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'Le Hasard' : 2

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❝ Attaques furtives dans les couloirs ❞

Anoushka
Alors soit c'est increvable un mangemort, soit alors on est sacrément nul. J'ai un peu envie de dire les deux. La première hypothèse pour ne pas froisser trop notre égo et la seconde parce qu'au final c'est vrai. On est nul. Mais pas que nous, élèves, je constate que ce n'est pas mieux du côté des profs et du coup ça me fais me poser beaucoup de questions. Parce que nous, encore, je peux comprendre. On est jeunes et inexpérimentés, si on n'arrive pas à des sorts basiques, c'est encore pardonnable. Je ne dis pas que ça justifie notre nullité mais bon, ça peut l'expliquer en partie. Bon après si on regarde Aimie, elle réussit à chaque fois. En temps normal je serai jalouse et j'aurai bien envie de la détester mais là, pour cette fois, je vais plutôt me réjouir qu'elle soit là et ne pas m'éloigner trop d'elle, juste au cas où. Mael vient d'être touché gravement. Noel vient de se prendre un de ses sorts dans la tronche et visiblement aucun prof n'arrive à le soigner ? Le karma peut-être ... Mais bon, dans une autre situation je me serai réjouis de son sort, mais pour cette fois, j'aurai préféré qu'il évite. Parce que plus on se prend nos propres sorts dans la tronche et moins on va s'en sortir. Ca fait le 3ème qui voit son sort ricocher, après Thomas et moi, le voici out pour un bout de temps. Il faut se concentrer sur les mangemorts, parce que même si le dernier a été dur à mettre KO, voici que ses petits copains arrivent à grand renfort et là, je commence à me demander vraiment ce que je fous ici. Mon coeur s'emballe tout seul. Ils sont combien ? Trop nombreux, une dizaine au moins. Qu'est-ce qu'on va faire ? Un prof arrive mais est hors service assez rapidement. Je ne sais pas s'il va bien ou non mais ça ne sent pas bon. Il faut fuir, loin et vite. Mais comment ? Ils nous bloquent notre porte de sortie. On n'a pas vraiment d'autre choix que de les affronter. J'ai peur, parce que les profs ne sont pas dans un bon état. On va mourir. Je vois un sort m'arriver en pleine face. J'ai le temps de me décaler mais visiblement pas assez et je sens une douleur dans mon avant bras. Je pose mon regard dessus et je vois du sang. Pas énormément, ce qui me laisser à penser que ce n'est qu'une écorchure. Heureusement parce que sinon on serait vraiment dans la panade. Pour me venger je pointe ma baguette vers celui qui m'a visé « Petrificus Totalus ! »

© 2981 12289 0

1 - 2 - 3 >> Le sort fonctionne et un Mangemort est touché
4 >> Le sort fonctionne mais le Mangemort a le temps de lancer un Protego. FAIL
5 >> Même un sort de 1ère année je n'y arrive pas u_u
6 >> Le sort ricoche et touche ...

Si le premier chiffre est 6 :
1 >> Personne
2 >> Professeur Burgess
3 >> Aimie
4 >> Thomas
5 >> Anoushka
6 >> Professeur Ziegler[/strike]

Le membre 'Anoushka N. O'Nyme' a effectué l'action suivante : Le Hasard

'Le Hasard' : 1, 6

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Les révolutionnaires

Attaques furtives dans les couloirs

Franchement, plus le temps passait plus Maël avait l’impression que les choses n’allaient pas dans le bon sens pour eux. Bien au contraire, ils étaient dans la merde. Tous. Quasiment tout le monde avait été touché, plus ou moins gravement. Bref, ils étaient mal partis. Mais genre vraiment mal. Maël avait mal au bras. Ziegler avait tenté de le soigner, mais ça avait marché à moitié. L’os avait l’air de s’être plus ou moins remis en place, mais la douleur n’avait pas disparue. Bien au contraire. Il avait encore plus mal qu’au début. Pour vous dire, il avait tellement mal qu’il suivait à moitié ce que les autres se disaient. Et puis de toute façon c’était pas trop de moment la blaguer non ?! Ça serait cool que quelqu’un l’explique au professeur d’étude des moldus parce qu’avec le comportement qu’il adopté, on avait un peu l’impression qu’il prenait les choses à la légère. D’ailleurs il appelait le Serpentard Suricate… Non mais sérieux ? Suricate ?! Mais où est-ce qu’il était allé chercher ça ?! Bon, après Maël ne l’avait jamais eu en classe, il ne suivait pas son cours mais bon quand même. Noel venait de se prendre un de ses sortilèges en peine tronche, et le voilà dans un état de stupéfixion… Voilà que les mauvaises choses continuaient à arriver. Super ! Non mais vraiment c’était une véritable catastrophe, Maël espérait sincèrement que les autres s’en sortaient mieux que ça. Le professeur Cooper fit son apparition. Bon, cool ça faisait un troisième professeur qui était là pour leur apporter un peu d’aide. Non parce que là, ils en avaient un peu –beaucoup–besoin. Bon, malheureusement, peu d’instant plus tard, les mangemorts qui avaient été tenus à l’écart grâce aux potions firent leur petit come back. Comme s’ils avaient besoin de ça sérieusement. Là, ils étaient foutus. Il y avait une bonne dizaine de mangemorts. Bon… Bah… Là il allait falloir agir. Et vite, s’ils voulaient avoir ne serait-ce qu’une toute petite chance. Maël s’apprêta à attaquer, mais il ne fut pas assez rapide. Un sort toucha le jeune homme et l’éjecta à plusieurs mètres. Et là, à ce moment-là, tout commençait à devenir flou. Les bruits qu’il entendait étaient lointains, ou du moins semblaient lointains. Il tenta d’ouvrir les yeux, ma sa vision était terriblement trouble, il arriva tout de même à voir du sang s’écouler d’une profonde entaille dans sa jambe gauche. Le sang coulait encore et encore, la douleur était tellement forte qu’il avait l’impression qu’il ne sentait plus rien. Comme si son corps n’était pas capable d’endurer une telle douleur. Et c’était d’ailleurs peut-être le cas puisqu’il finit par perdre connaissance.

AVENGEDINCHAINS

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Il était une fois... a écrit: