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Vous avez perdu la bataille... – SUJET COMMUN
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Zola R. Shaw

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Message(#) Sujet: Re: Vous avez perdu la bataille... – SUJET COMMUN Vous avez perdu la bataille... – SUJET COMMUN - Page 3 EmptyMar 22 Nov - 18:41


Vous avez perdu la bataille ... Sujet commun
Milo

Mes doigts s'entortillent nerveusement, j'ai l'impression de vivre en plein cauchemar. Je suis assis sur un banc, impassible ou en tout cas c'est certainement le sentiment que je donne quand on me regarde. En fait je ne suis pas impassible, je suis totalement vide, épuisé, exténué même, perdu. Je me noie dans l'incompréhension totale. Tout va trop vite à mon goût, je suis totalement à côté de mes baskets. Qu'est-ce qu'il se passe au juste ? Qu'est-on en train de vivre. Installé sur mon banc, je suis rêveur, repensant à cette nuit étrange que nous avons passé, mon voisin de droite et moi. Il n'y avait que lui et moi ou presque et finalement, même si cette attente était angoissante, je la préférais largement à maintenant. On était en sécurité dans notre salle commune, loin du danger, tout était si différent. Là bas, je me sentais pousser des ailes, j'étais prêt à me battre pour protéger les gamins qui se trouvaient à notre charge. Ici, installé sur mon banc, je n'étais plus rien, il n'y avait plus une once de courage en moi, j'étais juste terrifié. Pourtant je me souviens encore avoir tenu fermement ma baguette à l'approche des Mangemorts, prêt à tout pour protéger Sybille et les gamins et sans Dan, j'ignore ce que je serais devenu. Serais-je aller jusqu'au bout sans l'intervention de Dan ? Franchement je l'ignore et je crois que je n'ai pas envie de le savoir. Tout se que je sais, c'est que quand ils sont entrés, je n'ai plus vraiment été maitre de mon corps, je suis resté en retrait, perdu et terrifié. Je devais ressembler à une statut en marbre, je n'ai pas bougé un doigt de pied, bien trop apeuré à l'idée qu'ils puissent s'en prendre à moi ... quel courage !!

Tout s'enchaine très vite autour de moi, je n'y comprends plus rien et je crois que mon inconscient veut volontairement que je reste dans le flou, c'est mieux pour moi. Je sens l'épaule de Dan faire pression sur la mienne et c'est bête à dire, mais ça me fais du bien. Il m'aide sans même le vouloir à me raccrocher à la réalité, sinon je serais déjà parti depuis bien longtemps. Je ferme les yeux quelques instants, pour retrouver un semblant de contenance, mais je pense que c'est vain, l'angoisse peut se lire sur mon visage. Que va-t-il nous arriver ? Je ne suis pas sur la liste des nés-moldus, une chance mais Billie y est et c'est ma plus grande peur. Que va-t-il lui arriver à elle ? Et aux autres ? Hope aussi y est, tout comme une grande partie des gens que je connais. Même Ashley s'y trouve et là où je devrais me réjouir de son sort, je n'y parviens pas. Elle a beau être une sacrés chieuse et j'ai beau la détester, je ne lui veux pas autant de mal. Personne ne mérite ce sort, personne. Ils quittent la pièce, il n'y avait pas Billie et j'avoue que ça aussi ça ne me rassure pas des masses. Où est-elle ? Va-t-elle bien ? Pourquoi n'est-elle pas avec les autres ? Je sais que Sybille est à l'infirmerie, visiblement elle est saine et sauve mais il va lui falloir un peu de temps pour se remettre définitivement. J'ai été rassuré, je ne me serais jamais pardonné de ne pas avoir pu l'aider quand elle en avait besoin. Mais je n'ai pas pu rester très longtemps, beaucoup d'allers et venus et l'infirmière ne voulait des gens qui ne servaient à rien dans les pattes. Peut-être que Billie y était mais si c'est le cas, je n'ai pas pu la voir. Mon coeur se serre, j'ai du mal à respirer. Où est ma meilleure amie ?

Je vois bien que Dan n'est pas pour tout ce qui se passe, qu'il déteste l'idée mais je sais aussi qu'il ne fera rien pour que ça change. Il me l'a très clairement fait comprendre dans notre salle commune, il se pliera à la volonté de nos tortionnaires, il ne fera rien de suicidaire et il m'a conseillé d'en faire autant. Ma lâcheté est d'accord avec lui et va me pousser à suivre son exemple, mais ma loyauté elle fera des siennes. Si Billie est en vie, je veux impérativement la voir, je veux pouvoir la prendre dans mes bras et je veux la sortir de là, elle et tous les autres. Je ne suis pas un héros, je suis un véritable trouillard, alors ça sera dur, long et pénible pour moi, mais je parviendrais à mes fins, un jour ... Dan finit par se lever, alors je lève brusquement la tête, étonné. Et puis je suis des yeux son regard et je vois Arabella. Visiblement ils sont très proches tous les deux, je suis content qu'il ait pu la retrouver, le chanceux. Pourtant il ne part pas et j'avoue que je ne comprends pas. "Va la rejoindre !" Lui dis-je faiblement, la voix un peu cassé et les yeux qui fouillé la foule en vain "Je suis content qu'elle aille bien." Repris-je en le regardant cette fois-ci dans les yeux, avec un faible sourire. "Si tu vois Billie, tu peux lui dire que je la cherche ... je ne la vois pas ..." Finissais-je avec l'angoisse qui pouvait se ressentir dans la voix. Surtout ne pas pleurer, se retenir au maximum même si j'étais terrifié à l'idée qu'il ait pu lui arriver quelque chose.

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Message(#) Sujet: Re: Vous avez perdu la bataille... – SUJET COMMUN Vous avez perdu la bataille... – SUJET COMMUN - Page 3 EmptyMer 23 Nov - 12:31


vous avez perdu la bataille
Rioghbhardan & les autres

C'est terminé. Ils se sont lamentablement plantés. La défense n'a même pas tenu la nuit. Mais je me rassure au moins de voir que je n'avais pas tort tout à l'heure : ils n'ont pas l'intention de tuer tout le monde. Et nous ne faisons visiblement pas partie des futurs cadavres. Il y en a sûrement qui se rajouteront, des idiots téméraires et inconscients qui voudront se prendre pour des héros. Parce qu'ils penseront que si une bonne partie de l'école n'a rien réussi ce soir, ils réussiront, eux, tout seul dans leur coin. Je leur souhaite bien du courage. Personnellement, je ne me joindrai pas à eux. Je ne veux de mal à aucun de mes camarades mais je n'ai pas envie de m'en attirer pour leur éviter ça. Après tout, je n'y suis pour rien s'ils ne sont pas nés dans les bonnes familles et que l'esprit de la direction est trop étroit pour réaliser que ça n'est pas un problème. Je fais ce que je peux pour ne pas penser à ma propre famille, pas plus « digne » que les leurs... Je n'ai jamais tant voulu rentrer chez moi. Me retrouver à batailler pour un morceau de canapé ou râler contre les accusations injustes de ma mère. Tout le monde sait que c'est toujours de ma faute avec elle. Mais l'injustice est moindre face à celle-là. Le silence qui s'est écrasé sur notre morceau de banc me fait peine à entendre. Qu'elle est loin notre conversation bancale nocturne. Si nous n'avions pas grand chose à nous raconter, on parlait. Là... Là c'est comme si tout était mort avec l'annonce de celle de McGonagall. Comme si toute vie s'était barrée avec les nés-moldus. On est tous hébétés, tous sous le choc. À part les quelques traîtres qui en profitent pour retourner leur veste. Je les observe de loin. Peut-être qu'ils n'ont pas vraiment tort, dans le fond. Je ne tomberai pas aussi bas mais je crois que je suis en mesure de comprendre. Si la protection passe par la trahison, peut-être que c'est un motif valable. Je ne sais pas. Je préfère ne pas vraiment y penser. J'imagine que si on fait rien de mal, ils nous laisseront tranquille. On est pas obligé de s'allier à eux pour ça, n'est-ce pas ? Si je me contente d'obéir, de ne pas m'opposer à quoi que ce soit, je suppose que ça suffira. J'espère en tout cas. Et j'espère que Milo suivra. Normalement, j'aurais dû m'en foutre royalement de ce garçon, on ne s'est jamais vraiment parlé avant cette nuit, mais je n'y arrive pas. Je n'arrive pas à ne pas m'inquiéter pour la suite, je n'arrive pas à me défaire de ce « nous » qui nous a portés jusque là. Je ne sais pas comment réagir face à tout ça. J'aimerais me sentir indifférent, tout envoyer valser sous prétexte que je ne suis concerné par rien, ni l'avenir des nés-moldus ni celui de mon voisin, mais c'est trop me demander pour l'instant. Il y a quelques cris ici et là. Je ne cherche pas à comprendre ce qu'il se passe. Je veux revenir à hier ou tout quitter. Ça ne serait sûrement pas pire ailleurs après tout... Arabella m'apparaît enfin et le monde se remet doucement à tourner. Tout ne va peut-être pas bien mais elle oui et c'est pour l'instant tout ce qui compte. Ils ne me l'ont pas prise, ils ne lui ont pas fait de mal. Elle va bien. Elle est saine et sauve et le reste n'a plus beaucoup d'importance. Pourtant, si je me suis levé dans le but de la rejoindre sur le champ, je m'arrête aussitôt. Là encore, je ne peux pas. Mon corps ne demande que ça, lui, d'aller l'enlacer et de ne plus jamais la lâcher mais je lui refuse.

Je ne suis pas seul. Je le pourrais si je le voulais, il n'y a aucun accord entre nous, mais force est de constater que je ne le veux pas. Je me souviens trop bien de la détresse que j'ai pu ressentir lorsque je suis monté jusqu'à la salle de bain tout à l'heure, quand j'ai réalisé qu'il ne m'avait pas suivi... Les minutes les plus interminables de ma vie. Il n'y avait rien d'autre que son absence et ma panique. Et je ne veux pas lui imposer ça. Tant qu'il n'y aura pas quelqu'un pour prendre la relève, je ne le laisserai pas. « Va la rejoindre ! » Je secoue doucement la tête, détournant péniblement les yeux de ma meilleure amie pour reporter mon attention sur lui. « Elle comprendra. » Je ne me fais pas prier pour me noyer dans son regard, comme c'est arrivé plus d'une fois cette nuit. Tout va bien. Tout va parfaitement bien... Ou presque. Ou pas. Son sourire fait naître un poids dans ma poitrine mais j'y réponds aussi faiblement qu'il ne me l'adresse. Non, je ne peux pas le laisser maintenant. Tout à l'heure. Demain. J'en sais rien. Quand nos vies auront retrouvé un semblant de normalité et qu'on aura plus aucune place dans celle de l'autre. Je crois que je ne suis pas pressé. C'est bête à dire mais je lui fais confiance. Moi... La pauvre andouille qui, en sept ans, n'a réussi à s'attacher vraiment qu'à Churchill se retrouve lier à un gamin qu'il ne connaît pas seulement parce que le destin s'est acharné sur eux. Oui, je sais, c'est pathétique. Mais je m'en fiche. Sans lui, ça aurait été l'enfer. Sans lui, Sybille serait sûrement morte à l'heure qu'il est. « Je suis content qu'elle aille bien. » Je ne sais pas si c'est sincère mais je lui en suis reconnaissant. Ma pauvre Bella... Je n'ose même pas imaginer ce qu'elle a enduré cette nuit pendant que nous étions à l'abri, tous les deux. Je crois que je ne préfère pas savoir. J'attendrai qu'elle vienne m'en parler d'elle-même, repoussant au maximum le moment où ça arrivera. Je ne sais pas ce qu'elle a vu, je ne sais pas ce qu'elle a supporté. Je ne sais rien. Parce que je n'étais pas à ses côtés, parce que je l'ai abandonnée, parce que j'ai été trop lâche pour la suivre... « Soren... » Le prénom du Serpentard m'arrache à ma noyade. Soren ! Je m'attends presque à le voir sortir de nulle part, peut-être qu'il rejoindra Blackman, je n'en sais rien. Je n'arrive plus vraiment à le suivre mais n'ai jamais eu tant envie d'essayer. Ça vient d'un groupe pas loin de nous. Malfoy, Potter... Pas vraiment des proches quoi. Juste d'anciens camarades de classe. « Ils l'ont tué ! » Mon cœur s'arrête de battre un instant. Ils l'ont tué. Soren a été tué. J'encaisse le coup sans ciller mais intérieurement, c'est un véritable cataclysme. Mes mains se mettent à trembler légèrement. Ma gorge est nouée. Ils ont anéanti toute mon existence ici. Mes coéquipiers ont été embarqués, mon colocataire également... Mes amis gravement blessés ou... ou pire... J'ai l'impression qu'il ne reste rien. Seulement Arabella pour soutenir les ruines qu'ils continuent de piétiner. J'ai du mal à respirer mais n'y accorde pas la moindre attention, puis délaisse le groupe qui ne m'apportera plus rien. Ils ont tué Soren... J'ai envie de fuir loin de tout ce monde. Il ne me faut pas longtemps pour revivre sans le vouloir nos heures passées derrière le terrain de base-ball où ils s'entraînaient avec Jackson, notre amitié mise à mal par de brusques changements de comportement ou les fous-rires partagés à cause de ses bêtises. Je n'ai même pas pu lui dire au revoir. Même pas pu vraiment le pardonner pour les années qu'il a passé à m'ignorer sans raison. « Si tu vois Billie, tu peux lui dire que je la cherche... je ne la vois pas... » Encore une fois, Milo me ramène doucement à la réalité. Je suppose que mes yeux se sont mis à briller et que le choc doit se lire facilement sur mon visage. Surtout pour lui qui y a sûrement vu passer beaucoup d'émotions cette nuit. Et je fais la seule chose que je suis capable de faire depuis mon réveil catastrophique : m'accrocher à lui. Je me sens secouer la tête une fois de plus. « On va la trouver, ta Billie. » Je pose maladroitement ma main sur son épaule. « Viens, on fera tout le château s'il faut mais on la trouvera. » Chercher son amie pour oublier que je ne reverrai jamais le mien, ça me semble être la dernière chose à faire à présent...
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Message(#) Sujet: Re: Vous avez perdu la bataille... – SUJET COMMUN Vous avez perdu la bataille... – SUJET COMMUN - Page 3 EmptyMer 23 Nov - 13:40

Finalement, le mieux était d’éviter de trop réfléchir… D’essayer de ne pas y penser et de me persuader que tout le monde allait bien… Je ne trouvais que ça pour ne pas penser au pire, pour espérer voir apparaître Maximilien, Dan et Knox… Je ne cessais de penser à Rhea, ChelseaBillie et au professeur Trelawney avec qui je m’étais battue. Nous n’avions rien lâché, nous avions tout fait pour éloigner les attaquants et finalement, nos efforts n’avaient servi à rien. Billie était blessée, Rhea aurait sûrement ces images en tête pour le restant de ses jours… Poudlard était un lieu ou tout le monde se sentait en sécurité… ce sentiment avait baissé après la fête foraine, il était désormais inexistant et nous devions faire avec et l’objectif principal était de retrouver nos proches. Je ne cessais de chercher, chercher… et espérer. Au moins, je ne pensais pas à la douleur ni à la fatigue ce qui était déjà un léger point de réussite.

Je trouvais Maximilien au bout d’un certain temps. Le soulagement que j’avais ressenti en le voyant était indescriptible…sûrement accentué par l’état de tension général et par ce désir puissant d’avoir la certitude qu’il allait bien… Repérant au passage d’autres élèves que je connaissais de vue, je m’approchais de lui, surprenant ce qu’il disait à un autre élève de Gryffondor qui n’avait pas l’air dans son assiette non plus. L’expression de Maximilien était indescriptible et il me prit dans ses bras sans attendre ce qui me soulagea d’autant plus. J’avais pensé à lui un nombre incalculable de fois au moment où je pensais que nous allions mourir dans ce couloir quelconque du château…Maintenant, tout était réel, il allait bien et je n’étais franchement pas pour l’idée de m’éloigner de lui… Je lui soufflais, suite à ses paroles : « Moi aussi si tu savais…. » Je croisais ensuite son regard, attrapant sa main d’un geste qui trahissait ma peur que l’attaque reprenne, qu’il s’éloigne, que l’horreur reprenne… Prenant un peu plus de conscience de la situation, je remarquais Chuck qui se trouvait là depuis le début et je tentais quelque chose qui ressemblait à un petit sourire à son égard, espérant ne pas donner l’impression de le connaître…
Maximilien me posa une question… Difficile d’y répondre mais je fis au mieux en lui disant : « Euh…une attaque dans le couloir du sixième étage avec… le professeur Trelawney et trois filles de ta maison… On a fait ce qu’on pouvait pour les faire reculer et pour entrer dans la salle sur demande mais… » J’avalais un peu de salive, préférant ne pas lui dire tout de suite qu’on ‘truc’ avait traversé le ventre de Billie et que j’avais perdu une bonne quantité de sang après avoir été touché… ni l’intervention du professeur Trelawney. D’une certaine façon, je ne parvenais pas à réaliser le courage que j’avais réussi à déployer malgré l’enfer de la situation… « Et toi ? Tu as trouvé un endroit pour te cacher ? J’voulais rejoindre ta salle commune mais… » Décidément, j’étais incapable de finir mes phrases, le quittant un instant du regard, je balayais la salle du regard et mon cœur fit un nouveau bond dans ma poitrine… DAN ! Il était là, un peu plus loin, vivant et visiblement en bonne santé. Ce deuxième soulagement était aussi intense que le premier et je le fixais pendant un certain temps jusqu’à ce que nos regards se croisent. Il n’y avait pas de mots…. Son regard en disait long et je me retenais d’aller le retrouver tout de suite pour traduire par les gestes pour bonheur de le voir. L’enfermement dans nos salles communes serait sûrement de mise et je savais que c’était à ce moment là que je pourrais passer un petit moment avec lui…. Un peu plus légère bien que toujours choquée par les événements, je me retournais délicatement vers Maximilien.

Je m’attendais à sa réponse concernant ma question… Il avait raison, il n’y avait rien à faire, nous étions coincés dans une situation à laquelle je ne croyais pas encore vraiment. Me serrant un peu plus à lui, je parcourais une nouvelle fois la salle des yeux tout en secouant tristement la tête… Je savais qui était Edward et je n’avais pas vu le serpent …. « Non…. » J’ajoutais, pour faire preuve d’optimisme : « … pas encore ! Viens, on avance, on va le chercher. Il faut également que je retrouve Knoxslay…. » Ce qui nous importait était d’avoir nos proches sous les yeux… la tension ne pouvait redescendre tant que nous n’aurions pas réussi. Blackman allait nous renvoyer bien vite dans les salles communes et il nous fallait certaines réponses.
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Message(#) Sujet: Re: Vous avez perdu la bataille... – SUJET COMMUN Vous avez perdu la bataille... – SUJET COMMUN - Page 3 EmptySam 26 Nov - 12:44

Chuck lui parla d'un ton très bas, à son intention. Il lui disait qu'il fallait s'y attendre, qu'il n'arrivait pas à croire qu'ils devaient s'allier à eux. Aimie ne pensait pas comme d'habitude, étant en colère, rancunière. En ce moment, elle voulait hurler, crier à l'intention de Narcissa. La frapper peut-être, lui demander ce qu'il lui prenait. Elle le ferait plus tard. Chuck la fit sortir de ses pensées, lui disant qu'il devait y aller, que c'était urgent. Aimie hocha la tête, comme Ziegler, sans s'en rendre compte, essayant de lui sourire un peu mais son sourire éclatant de tout à l'heure s'était évanoui. Elle était bien trop tiraillée, trop en colère pour essayer de faire réapparaître ce sourire. Elle ressentait bien trop de sentiments contradictoires, elle était juste sur le cul.

Il ne reste plus que Ziegler et elle. Celui-ci prit la parole. Il avait raison, peut être pour les autres, mais elle espérait qu'il tord pour Narcissa. Son amie n'avait pas pu la duper pendant plusieurs années. Elle ne pouvait pas. Aimie était loin d'être idiote, elle aurait compris le jeu de Narcissa plus tôt. Mais elle n'avait rien vu. Rien du tout, pas même un putain de signe. La personnalité qu'elle avait avec elle était aux antipodes de celle qu'elle montrait aujourd'hui. Son père allait être autant sur le cul qu'Aimie l'était actuellement. Voilà pourquoi Aimie prenait cela comme une trahison de la part de son amie. D'autant plus qu'elle savait maintenant, elle savait que son père avait disparu à cause des mangemorts, qu'il devait être leur prisonnier, qu'il pouvait être torturé par eux, et savoir aujourd'hui que Narcissa faisait partie des leurs, même si celle-ci n'était pas au courant de ce qu'il s'était passé cette nuit entre Aimie et la mangemort qui n'arrêtait pas de lui rire au nez. Ça la répugnait, la révulsait. Son ancienne amie lui donnait clairement envie de vomir. Elle ne rentrait clairement pas, à ses yeux, dans les raisons décrites par le professeur Ziegler. C'était impossible. Et puis il y avait cette Morwen, la soeur de Phoebe. La gryffonne était en train de reprendre connaissance à l'infirmière, que penserait-elle en voyant que sa soeur avait prêté allégeance ? Était-elle au courant ? C'était fou que, dans une même famille, il y ait des gens dont les idéaux étaient aux antipodes. « Je ne peux pas me prononcer sur les autres, professeur. Mais pour Narcissa, si. Je la connais, je croyais la connaître. Elle n'a rien à voir avec les mangemorts, depuis que je la connais, elle a toujours affiché des idéaux aux antipodes des leurs. Et aujourd'hui, elle est là à prêter allégeance ? Je parle avec colère ce soir, parce que je suis en colère, déprimée par ce qu'il passe et je vois que mon amie s'est foutue de moi pendant des années, qu'elle vient de me trahir ? Je ne sais pas comment le prendre professeur. Enfin, si, je le prends mal, très mal. Et oui, pour moi, elle est pathétique, elle aurait pu être honnête dès le début, elle qui prônait la franchise, l'honnêteté. Mais il n'en ait rien. » Aimie, bien qu'elle parlait tout bas, s'était un peu lâchée. Elle frotta vigoureusement son visage, voulant se calmer. Vite. « Excusez-moi, professeur. » murmura-t-elle. Elle était allée un peu loin et le professeur avait d'autres chats à fouetter que d'entendre cela.

Le professeur Ziegler, après avoir jeté un regard autour d'eux, reprit la parole. Il avait raison, c'était évident que les mangemorts n'allaient pas les laisser prendre des cours de défense contre les forces du mal, étant donné que le professeur Breckenridge leur enseignait comment ils devaient se battre contre les mangemorts notamment. Il parla de la salle sur demande, mais Aimie craignait que si c'était là bas, les mangemorts les trouveraient facilement. C'était prévisible, d'après elle, mais là, c'était son instinct méfiant qui parlait. Enfin, instinct pourri mais bref. Puis le professeur lui dit, sur un ton joyeux, qu'elle devait se reposer et qu'évidemment, sa jambe ne guérirait pas ainsi. Encore une fois, il avait raison. Elle hocha la tête à ses paroles. « Oui, vous avez raison. Elle va mettre du temps à guérir. Mais, ne sous-estimez pas professeur, peut être que vous n'êtes le plus qualifié, mais avec ce qu'il s'est passé ce soir, vous êtes qualifié pour le peu de sort qu'on vous a laissé jeter. » dit-elle en souriant légèrement. C'était vrai après tout, le professeur devait les soigner et ça avait pris du temps. Puis Ziegler reprit, lui disant qu'il devait aller voir d'autres gryffons, les rassurer. Il laissa le choix à Aimie, l'aider ou y aller. Aimie avait vraiment envie de partir, de se mettre sous une couverture mais elle n'arriverait pas à dormir. Alors, elle pouvait aider les autres à aller mieux, peut être qu'elle arriverait à les aider. « Mes amis sont soit partis, soit aux cachots, soit occupés. Alors, si vous avez besoin de moi pour rassurer les gryffons les plus jeunes, je peux vous aider, professeur. Sinon, je peux y aller si vous voulez. » Elle était sensible, un peu trop peut être. Sensible aux plus petits gryffons perdus. Si le professeur voulait bien la supporter quelques minutes de plus, elle ne dirait pas non. Et ça lui changerait la tête.
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Message(#) Sujet: Re: Vous avez perdu la bataille... – SUJET COMMUN Vous avez perdu la bataille... – SUJET COMMUN - Page 3 EmptyMar 29 Nov - 15:27

Les visages de ses camarades défilaient devant lui avec une lenteur exaspérante. Son regard s'attardait, contre sa volonté, sur chaque égratignure et sur chaque bandage. Visiblement, ils avaient été nombreux à se joindre à la bataille, c'était bon à savoir même si ça ne changeait malheureusement rien au résultat final. Ils avaient perdus et leur directrice bien aimée ne faisait plus partie de ce monde. D'accord, elle avait de longues années à son compteur, trop pour être une directrice dynamique et cool dont rêve tous les jeunes mais elle valait largement mieux que Blackman. Le règne de ce bouffon recommençait, plus horrible que la dernière fois. Maximilien devait bien admettre avoir les chocottes. A certains moments, l'angoisse prenait le dessus et son cœur s'emballait soudainement. Ce n'était vraiment pas un agréable moment à passer. Il lui sembla avoir chercher pendant des lustres quand ses yeux se posèrent enfin sur Arabella. La préfète avait aussi prit courageusement part aux combats, heureusement qu'elle n'avait rien. Du moins, rien de grave. « Moi aussi si tu savais…. » Un fin sourire se dessina sur ses lèvres, ce n'était pas grand chose mais leur étreinte lui avait redonné un peu de courage et de force pour affronter la suite des événements. Chaque seconde semblait durer des heures et les yeux lui piquaient maintenant que l'adrénaline et le choc étaient retombés, pourtant il se refusait à quitter la salle tout de suite. Il ne voulait pas laisser la Poufsouffle à peine retrouvée. « Euh…une attaque dans le couloir du sixième étage avec… le professeur Trelawney et trois filles de ta maison… On a fait ce qu’on pouvait pour les faire reculer et pour entrer dans la salle sur demande mais… » Et dire qu'elle n'avait pas été très loin... Peut-être qu'en allant plus vite, en réussissant plus tôt ses sortilèges, il aurait réussit à la rejoindre avant d'être stopper par un deuxième groupe d'ennemi. Maximilien s'en voulait énormément de ne pas avoir été présent aux côtés de sa copine pour cette épreuve, heureusement qu'elle ne s'était pas retrouvée toute seule. « Et toi ? Tu as trouvé un endroit pour te cacher ? J’voulais rejoindre ta salle commune mais… » Même si elle avait réussi à atteindre la salle commune des Gryffondor, elle ne l'aurait pas trouvé. Ils avaient eu la même idée de départ, se rejoindre mais les circonstances l'avaient conduit à prendre une décision stupide. « J'étais dans les escaliers de la tour d'Astronomie. » finit-il par avouer en baissant la tête. « Je voulais te rejoindre au début puis en voulant éviter un groupe de mangemorts je me suis retrouver là-bas. Inutile de te dire que je n'ai pas été brillant... » Ça avait fonctionné les quinze – disons vingt pour être gentil – premières secondes puis les choses étaient parties en cacahuètes...

Les gens réalisaient davantage la situation au fur et à mesure qu'ils se retrouvaient mais le pire serait quand il faudrait reprendre les cours sans leurs camarades nés-moldus. Maximilien n'en prendrait probablement pas conscience tout de suite en allant se coucher mais il faudrait également constater, au réveil, l'absence de ces derniers dans leurs salles communes. Il eut un pincement au cœur en pensant à ses amis qu'il avait vu partir sans pouvoir faire quoique ce soit pour les retenir. Quant à Fursy, le jeune homme préférait croire qu'il ne l'avait tout simplement pas vu parmi la foule mais qu'il allait forcément bien. Il ne pouvait pas lui faire un sale coup, si ? Demain, il trouverait un moyen de les voir et de leur parler, peu importe les règles de Blackman et de ses compères. C'était important de savoir. C'est ce besoin qui guidait son regard à travers les personnes restantes dans la salle. « Non…. » Ça ne voulait pas forcément dire que Edward n'était pas non plus dans les parages, il restait encore beaucoup de monde autour d'eux. « … pas encore ! Viens, on avance, on va le chercher. Il faut également que je retrouve Knoxslay…. » Le rouge et or hocha la tête et se laissa guider par sa petite amie. Il n'avait pas spécialement envie de croiser l'insupportable Serdaigle mais pouvait comprendre le sentiment horrible qui habitait Arabella en attendant de la retrouver. Pour une fois, au vu des circonstances exceptionnelles, il était prêt à faire un effort. Ce n'était pas le moment de se prêter à des petites guéguerre inutile. Il eut quand même envie de fausser momentanément compagnie à la préfète quand son regard croisa enfin celui d'Edward mais il s'abstint. Elle ne l'avait pas planté, elle. Ils allaient trouver Knoxslay et si il le fallait, il la prendrait même dans ses bras mais ça, c'était dans le pire des scénarios.
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Message(#) Sujet: Re: Vous avez perdu la bataille... – SUJET COMMUN Vous avez perdu la bataille... – SUJET COMMUN - Page 3 EmptySam 3 Déc - 12:55

Aimie sembla particulièrement énervée. Je le voyais dans son ton mais aussi dans son attitude. Elle me parla donc de Narcissa, une fille qu’elle connaissait bien. Une amie, sans doute. Ex amie, avec ce qu’elle venait de faire. J’écoutais avec attention ce que la gryffone disait, et sur le coup, je ne compris pas trop. Breckenridge avait démontré, avant cet évènement, des idéaux bien différents, et là, elle prêtait allégeance. Soit elle était une très bonne manipulatrice, soit elle avait autre chose en tête. Dans les deux cas, elle semblait magnifiquement bien porter le casque de la méchante au vu de ces amis qui se détournaient d’elle. Je me demandais, sur le coup, si Narcissa s’en remettrait, de ce qu’elle faisait. Car dans tous les cas, elle risquerait de perdre beaucoup. Et moi dans tout ça ? Je ne pouvais bien évidemment pas me prononcer. Je ne connaissais la serdaigle que depuis quelques mois à peine, je ne pouvais donc pas la juger comme le faisait ses amis – ex amis. Je pouvais tout aussi bien penser qu’elle était de mèche avec Blackman, que je pouvais penser qu’elle jouait à la dinette avec Casper. Je n’étais donc pas le plus avisé pour avoir une opinion bien rangée.

« Excusez-moi, professeur. »

J’eus un faible sourire avant de lui répondre.

« Ta colère est légitime. Ne t’excuses pas pour ça, c’est normal de vouloir évacuer. »

Je pouvais difficilement la blâmer pour ses propos, au vu de ce que moi-même j’avais fait et dit dans ma jeunesse lorsque mes parents furent tués et ma sœur traumatisée – hm, dure histoire – surtout qu’a contrario de moi, Aimie fut tout de même extrêmement polie dans ses propos. Dans tous les cas, Aimie n’avait pas à être disputée pour cela, ni à s’excuser outre mesure.
Nous enchaînâmes bien rapidement sur d’autres sujets, comme le fait d’avoir possiblement des cours de défense contre les forces du mal avec un professeur qui s’y connaissait peut-être un peu mieux que moi. Aimie fut, semble-t-il, d’accord avec mes propos, tout en me faisant un petit compliment sur mes qualifications de prof de magie défense et offensive. Cela m’arracha un large sourire, flatté. De toute manière, ce ne serait pas tous les élèves qui pourraient avoir cours, et si les cours sont donnés à tout niveau confondu, ce sera difficile d’instaurer un planning de sortilèges. Par exemple, des premiers années ne pourront certainement pas apprendre le sortilège de bombarda maxima. M’enfin, c’était des choses à réfléchir, et assez compliqués à mettre en place, ainsi mieux valait faire profil bas pour l’instant. Nous verrons bien plus tard si nous mettrons cela en place.
Par la suite, je laissais le choix à Rutherford de partir ou de m’accompagner. Moi qui pensais qu’elle allait partir vaquer à je-ne-sais-quoi, voilà qu’elle me demande si elle pouvait m’accompagner pour rassurer les petits gryffons. Il faut dire qu’il ne devait pas y avoir grand-chose d’autre à faire dans cette ambiance noire, sombre et paniquée. C’était beaucoup de changements et d’évènements en une soirée/matinée, alors j’imaginais bien qu’Aimie veuille s’occuper l’esprit.

« Bien sûr que tu peux venir. Ça fera du bien aux jeunes de voir un professeur et une élève, ils se sentiront plus en sécurité. Mais si jamais ta jambe te fait mal, ziou, tu files te reposer ! » mis-je en garde Aimie, un doigt levé pour me donner un air sévère.

Qui ne marcha pas du tout. J’étais un peu le genre de personnes à faire des menaces que personne ne prenaient au sérieux car j’avais une attitude bien trop amusante pour penser que je puisse être dangereux. De ce fait j’avais trouvé moi-même un moyen pour imposer un certain respect – ou plutôt une « peur » – à mon image : la roue de la honte ! Certains élèves en ont déjà eu un petit avant-gout. Enfin bon, je n’en restais pas moins non crédible.

Faisant signe à la gryffone de me suivre, nous nous dirigeâmes vers un enfant seul et isolé qui semblait légèrement perdu pour accomplir notre nouveau devoir pour l’humanité : jouer les nounous.

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