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La mode est dans l’air, portée par le vent. ♥ Ha Na et Maximilianna
Maximilianna S. Stein

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Message(#) Sujet: La mode est dans l’air, portée par le vent. ♥ Ha Na et Maximilianna La mode est dans l’air, portée par le vent. ♥  Ha Na et  Maximilianna  EmptyMar 19 Déc - 5:53



La mode est dans l’air,

portée par le vent.

Ft.     @Ha na Seo   

Il y avait dans l’air de Paris, un peu comme une euphorie. Ça se sentait aux flocons blancs qui clairsemait la chaussé, au passant qui n’avait pas l’air de trop se presser sur Place Vendôme, alors que du balcon la vue du petit matin étant donné les volets de notre Suite au Ritz Paris; et pas n’importe laquelle la seule qui ait un réel sens pour moi et notre famille; la suite Coco Chanel.  Non seulement, ce fût une styliste renommée chez les moldus, mais la vue laissait entrevoir un nombre conséquent de joaillier qui avait pignons sur rue. Quelques parts, pas très étonnant que nous nous sentions comme à la maison. Ma grande tante Fidelina avait passé tout l’automne dans le confort luxueux baroque de ces murs d’un sable clair, de blanc pur et noir onyx; et les commodités avaient été mis en place pour qu’Ha Na et moi, y ayons un séjour tout aussi agréable. Chacune avait une chambre spacieuse, sa salle de bain annexé, qui menait à un hammam partagé, et si on sortait de la chambre, nous tombions dans un petit salon; les enchantements avaient été mis en place pour cacher notre nature profonde au moldu et offrir des chambres attenantes à notre personnel; Ha Na son chaperon et, pour ma part, c’était Sylvy notre elfe de maison qui avait fait le voyage.  Au petit matin de notre arrivé en transplantant, Sylvy avait fait le tour du propriétaire tout en téléportant nos bagages pour que notre entrée à l’hôtel s’effectue le plus naturellement possible.

Mlle Stein. Oui, bien sûr. Votre tante, nous a prévenue de votre arrivée.

Le commis jetait d’hors et déjà des regards de biais, à observer nos tenues qui devait être très différentes que celle de la majorité de la clientèle; encore que Paris comme ville de la mode dût en voir de toutes les couleurs, mais il me remit les clés – tragiquement – vu que je n’en aurait même pas besoin.

Merci. Perry. – Répondit-elle avec un accent cassant allemand, malgré ces propos tout à fait adéquats.

Et notre petit cortège de trois, arrivèrent en prenant l’ascenseur moldu, opéré par un membre du personnel en livré blanche. Sans valise, sans bagage, si ce n’est que mon sac à main griffé, nous arrivâmes à la porte de la suite dont il était tout bonnement inutile de me donner de quelconque direction, tant souvent j’y avait mis les pieds. La porte s’ouvra magiquement pour nous laisser passé et à peine passé et la porte refermée que Sylvy était à s’occuper de nous aider à ranger manteau, chapeau, sac et tout ce qui était nécessaire loin de nos yeux ou cela gâcherait le paysage. Je remis mes gants de cuir noir, retirai mon beret bourgogne et ma capeline noire onyx doublé de fourrure de Pati Coco, qui finirent par transformer Sylvy en parterre miniature, mignonne comme tout avec sa robe rapiécée d’une robe pâle qu’elle s’était fait d’une ancienne tenue qui avait subi le karma alchimique; bousillé par l’acide. Même ensevelie, elle avait l’air la créature magique la plus heureuse du monde à essayer de ne pas faire en sorte que tout ne tombe au sol.

Comme tu es mon invitée, je t’invite à choisir ta chambre. Sylvy s’occupera de défaire nos bagages, à moins que ton chaperon préfère s’en charger elle-même. Après tout, nous sommes là pour trois jours, un temps infiniment long. Et nos tenues doivent être aérée.

C’était sans équivoque; aucun vêtement ne finirait torturer dans une position douteuse dans nos bagages. Magique ou pas, nos valises n’était pas un lieu propice. Je levai la tête pour regarder l’horloge au mur, consciente que la voyage avait quand même été un peu plus pénible pour moi que pour elle, vu que j’avais dû transplanné deux fois. Une première avec Sylvy d’Allemagne et la seconde du domicile des Seo en Grande-Bretagne. Je n’avais même pas eu le temps de jeter un coup d’œil pour noter les différences de décors tel que Jun et moi l’avions parlé, vu que le temps allait s’écouler vite une fois dans le capital de la création; je n’avait qu’attendue Ha Na dans la petite salon le temps qu’elle soit prête à quitter pendant que j’avais eu droit à une tisane en compagnie de sa mère. Hors de tout doute, je devais être un minimum fréquentable pour qu’on lui permette de partir avec moi, à moins que ça ne soit l’épingle à cheveux serti d’un saphir jaune remis à sa mère qui avait gagné sa faveur. Mais je savais exactement comment je devais apparaître à ces yeux, et j’espérais qu’elle ne garderai pas trop longtemps un souvenir de ma personne; égoïstement, il va sans dire.

Je propose que l’on quitte dans une heure pour faire les boutiques; mais avant nous irons t’initier au café, ma chérie, et à la pâtisserie française. Couleur, saveur, texture; un vaste choix, mais une fois lancé hors de question de nous arrêter en plein shooping parce que nous avons un creux.

Bon; les bonnes maisons de stylistes avaient des menus disponibles pour les VIP; mais je préférais largement finir par un repas gastronomique en fin de journée que me couper avec une version édulcorée de ce que la gastronomie française avait à offrir.


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Ha na Seo

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Message(#) Sujet: Re: La mode est dans l’air, portée par le vent. ♥ Ha Na et Maximilianna La mode est dans l’air, portée par le vent. ♥  Ha Na et  Maximilianna  EmptyDim 28 Jan - 19:26

 
La mode est dans l’air, portée par le vent.




Ha Na ne se sentait plus de joie.

Les vacances d'hiver étaient arrivées, et avec elle, l'invitation de Maximiliana à voyager à Paris et en Allemagne. Avant de se rendre à Paris, elle avait dû néanmoins passer deux jours au manoir anglais, à Liverpool, d'où le reste de sa famille, à l'exception de sa mère, était déjà partie pour la Corée. Elle avait dû laisser la Sang-Pur prendre le thé avec sa mère, tandis qu'elle finissait de se préparer en compagnie des domestiques qui devaient lui servir de chaperons et de porte-bagage, et avait reçu une somme conséquente d'argent moldu et de gallions pour satisfaire ses caprices - et se montrer à la hauteur de la bonne société Sang-Pur occidentale, concédé généreusement par son cher papi.

Elle avait également reçu sa robe de bal, une véritable œuvre d'art, un héritage familial que la jeune fille avait reçu l'autorisation de porter et qui avait été légèrement modifiée afin de correspondre au thème de la fête. Le précieux vêtement, dûment plié par magie, avait directement été adressé à la demeure familiale de Maximiliana ; ce qui laissait tout loisir à la jeune coréenne de se divertir et de se consacrer à cette amitié naissante.

Pour la première fois de sa vie, elle ne travaillerait pratiquement pas - seulement la deuxième semaine de vacances - et privilégierait les futilités à sa scolarité. Elle en éprouvait une excitation naïve ; et ce fut vêtue d'un de ses hanbok moderne préféré, à jupe rose et à haut de dentelle blanche, avec un collant assorti et des chaussures typiques, qu'on lui avait cousu grâce à la magie. C'était d'ailleurs grâce à cette dernière qu'elles étaient particulièrement confortables pour marcher toute la journée, et après avoir été transplanée à Paris, son chaperon baraqué et son amie la conduisirent à un hôtel de luxe, mais parfaitement moldu - ce qui intimidait un peu l'adolescente.

On la fit monter par un "ascenseur" à la suite que la famille de Maximiliana avait réservé, et entra avec un grand sourire dans l'immense suite avec hammam qui serait leur appartement durant trois jours.

- "Mon domestique s'occupera de tout avec ton elfe de Maison, c'est parfait. Ils décideront de la chambre, mais je rêve de sortir et de visiter la ville. Où devons-nous goûter au "café" ? J'espère ce n'est pas trop parce que je meurs de faim... Tu devras me dire ce qu'il faut goûter en priorité, bien sûr."

Elle soupira en voyant l'elfe de maison sortir ses chaussures et ses affaires pour les mettre sur des valets de chambre, un peu inquiète que le cintre n'abîme la soie délicate et brodée.

- "Je vois que tu connais bien Paris ? Tu y viens souvent ? Il parait que les fêtes de Noël européennes sont charmantes ici. Oh, tu dois tout me montrer ... Je me sens toute excitée de découvrir la France !"

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Message(#) Sujet: Re: La mode est dans l’air, portée par le vent. ♥ Ha Na et Maximilianna La mode est dans l’air, portée par le vent. ♥  Ha Na et  Maximilianna  EmptyMer 31 Jan - 4:34



La mode est dans l’air,

portée par le vent.

Ft.     @Ha na Seo   

Sylvy en avait les jambes toutes tremblantes sur le poids des vêtements que je lui avais remis, mais elle continuait à sourire de ces petites dents jaunâtres qu’aucun traitement n’avaient pu corriger. Déjà, elle fait trois pas avant de se décider de transplaner dans la place et surtout de notre vue pour ranger nos tenues estivales. Ces petites mains aux doigts long et déformé se posèrent sur les bagages de mon amie qu’elle fit léviter d’un geste de main alors qu’elle suivait les directions que lui donnait la domestique d’Ha Na. Mon attention attirée vers les grandes baies vitrées, j’y avançai en prenant par la main mon amie pour l’y mener vers la vue des commerces de places Vendôme. Si température nullement assez plainte pour s’aventurer sur la terrasse extérieure ne nous laissait néanmoins appréciées l’architecture. Mon souffle sur la vitre formait des tâches humides rapidement.

Parfait! Alors. – Je soulevai ma main soigneusement manucurée pour lui indiquer qu’il faudrait sortir pour assouvir nos envies de caféine et de pâtisserie. – Dans un café! – Affinai-je le mot pour le dire à la française d’un sourire amusé suivant d’un rire cristallin enchantée. Ces français avait des manières très simples de nommer des lieux par ce qu’on y faisait. C’était simple et efficace. Si l’odeur habitait très légèrement les matins à Poudlard, par les choix de certains adultes et élèves plus vieux; la boisson restait néanmoins très peu commune sur les tables des élèves. – Alors! Il y a un vrai débat ici sur une pâtisserie, ici! Tu devineras jamais! Mais! On m’a fait des yeux très choqué quand j’ai demandé un pain au chocolat! J’étais si contente de dire correctement tous mes mots en français que j’ai eu l’impression d’avoir dit un juron! Mais il y a de tout! Tu verras! – Je me retournai pour prendre la seconde main d’Ha Na, animée par la joie avant que nous retournions nos regards vers Sylvy et la domestique qui était visible à s’occuper de nos effets. La vue aurait été globalement beaucoup plus merveilleuse si elle n’avait pas gâché le panorama, mais nous devions composer avec leur présence, minorité oblige. Le soupire d’Ha Na faisait-il écho à pincement de mes lèvres ? Je pressai à nouveau ces mains dans les miennes pour détourner son attention du décor, ce qui la ramena vers moi avec quelques questions. Moi aussi je trépignais d’impatience de me promener dans les villes. Il était encore tôt, mais sous les réverbères et les flocons en chute libre cet endroit devenait absolument merveilleux quand on s’ouvrait à la beauté et la différence du monde. Et tout était naturellement plus beau quand la pierre noire et l’ambiance gothique de notre quotidien était remplacé par la fête et le plaisir des sens.

Plus autant que j’aimerais. Mais ma grand-tante m’amenait souvent lors de ces escapades, ici. C’est elle qui habite cette suite habituellement. Elle a gentiment acceptée d’organiser notre séjour comme elle devait quitter quelques jours pour la Russie. – Peut-être que Rozé verrait son père, peut-être pas ? Mais le retour de Fidelina pour quelques jours chez les Netaniev était bien évidement un moyen de garder les relations les plus cordiale qui soit. Oui, une partie de l’héritage des Stein avait des liens parmi une des familles sang-pur de Russie; mais je préférais ne jamais en parler ouvertement au vu des dissensions qui avait bousculé notre si Allemande famille. Que le frère de grand-père ait accepté le mariage de sa seule fille avec l’un de ces individus avaient dû lui rapporter quelques choses de très gros, et par là, je ne parlais nullement de Esmaline et de Rozé, mes cousines chéries. Rozé était avec nous en classe, mais je supposais que mon amie n’avait pas fait le rapprochement du peu de connaissance des familles d’à l’Est de l’Europe, bien que le nom de famille eût une consonnance particulièrement typique et cassante. – Grand-tante Fidelina est la mère de Rozé. – Confirmant aussi au passage l’information. – Avec un peu de chance mes cousines auront peut-être la chance de voir leur père durant les vacances. Mon grand-oncle Rigoriv est un homme carrière. Elles ne le voient que très rarement. Je devais avoir six ans quand je l’ai vu la dernière fois. – Mes cheveux bouclés indéfiniement, ma robe rose à crinoline blanche préféré avec les bordures de fleurs brodés et mes longs bas avec ces jolies boucles aux genoux. Moi, tenant ce petit cheval de bois peint de vibrante couleur et qui posé sur le sol s’animait seul à faire le tour du parquet. Mon rire, enchantée. Rozé, Norine et moi qui regardions les petits animaux faire la course le ventre au sol et les pieds dans les airs dans le salon. Dans cette maison aux allures sinistres, qui réunissait pour une des rares fois toute la descendance et les affilés de notre famille. Je secouai la tête en train de s’emplir d’image mélancolique bien mal venue au travers de la féérie de Paris, comme si la bouée de la vitre s’était transposée dans mes songes. Un silence alors que je note encore le regard d’Ha Na vers Sylvy qui disparait dans la chambre voisine en parlant avec la servante.

Oui. Maîtresse. Oui. Comme il vous plaira. Dois-je pré…  - Mais la conversation qui ne nous inclue aucunes des deux se perd alors que la porte se referme sur elles pour un fois, elles y ont penser! Grand dieu, il était temps!

Je doute d’avoir le temps de tout te montrer. J’en découvre toujours un peu plus à chaque visite. Mais oui, je serais enchanté de t’apporter à mes endroits préférés! – Tranquillement, j’avais guidé Ha Na vers le canapé pour nous y asseoir. Avant d’ouvrir le tiroir de la table base ou se cachait généralement les esquisses de Fidelina, quelques feuilles de notes sur des styles à exploiter ainsi que les dernières revues de mode sorcière. J’en profitai pour regarder le tout avec Ha Na. M’informant sur ces goûts pour mieux nous guider dans nos escapades au travers du Paris sorcier ou moldu et ces boutiques. Les conversations s’animèrent et le cadran finit par tournée l’heure.  Comme programmé, un Sylvy, un peu mieux organisé avec mes vêtements pour sortir ainsi que la domestique d’Ha Na finirent par nous rejoindre eux-mêmes déjà prêt. Sylvy nous suivrait en se camouflant du regard des moldus sans problème une fois sortie, car Mère lui avait formellement interdis de me promener seule dans les rues de Paris. Elle devait toujours être assez proche de moi pour transplaner en cas d’urgence. Même si je la considérais comme mon elfe, je n’étais pas assez dupe pour me rendre compte que la haute autorité n’était pas formellement la mienne.

Allons-y! Paris n’attends plus!

Et bien vite, nous nous retrouvèrent à l’extérieur, sous une légère brise froide, Place Vendôme en quête d’un bon café.

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Message(#) Sujet: Re: La mode est dans l’air, portée par le vent. ♥ Ha Na et Maximilianna La mode est dans l’air, portée par le vent. ♥  Ha Na et  Maximilianna  EmptyVen 9 Fév - 11:54

Ha na Seo a écrit:
 
La mode est dans l’air, portée par le vent.




Du café et des pâtisseries françaises !

Ha Na se sentait flotter sur un petit nuage, tandis qu'elle serrait les mains de son amie avec affection, les yeux brillants et les joues rosies par le plaisir anticipé. Elle se laissa conduire sur un canapé confortable, surveillant du coin de l’œil sa propre servante, en grande conversation avec l'elfe de maison, qui disparut heureusement dans l'autre pièce, en leur laissant le loisir d'un peu d'intimité.
Elle était un peu étonnée de l'ascendance multinationale de son interlocutrice, qui parlait de noms à consonances si exotiques que sa curiosité naturelle en était excitée. Cela ne semblait pas très correct de poser des questions, mais la tentation était trop forte alors qu'elle saisissait les magazines pour les compulser avec enthousiasme.

La coréenne posa alors quelques questions sur la parenté de son amie, prenant beaucoup de plaisir à mieux la connaitre ; lorsque son chaperon refit irruption dans la pièce, apportant - enfin ! - un cadeau enveloppé d'une pièce de soie magique, qu'elle déposa devant Maximiliana, et la coréenne reprit la parole.

- "C'est pour te remercier de cette charmante escapade. Je sais que tu aimes les pièces d'exception, alors j'ai sélectionné ce manteau dans la nouvelle collection qui a été présentée cet hiver au Défilé de Mode magique. C'est une pièce unique, et je suis sûre que ça t'ira très bien ! C'est un vêtement qui s'adaptera à ta taille, alors tu pourras le mettre aussi longtemps que tu voudras. Au fait, qu'est-ce qu'un "homme carrière" ? Je n'avais jamais entendu cette expression..."

Elle se redressa, après avoir attendu poliment que la Sang-Pur ait ouvert son cadeau, avant d'approcher son regard de la fenêtre, où elle regarda avidement le paysage avant de se préparer à son tour d'une cape bleue tendre en jacquard. Elles descendirent ainsi, consciencieusement accompagnées, dans un charmant salon de thé du premier arrondissement, avant de faire le tour des boutiques issues des meilleures maisons de couture. Elles firent halte dans un restaurant français de Bussy, juste à côté de l'église Saint Jacques, avant dévaliser les petites boutiques de créateurs alentours, où Ha Na acheta des bijoux pour sa domestique et une robe de soirée très chic, dont le tissu était imprimé pour faire penser à une carte du monde.
Elle était une globe-trotter maintenant, après tout !

L'adolescente se sentait désormais fatiguée, et ce fut avec joie qu'elle s'assit enfin sur un banc au bord de la Seine, un peu fatiguée, mais toujours ravie.

- "J'ai une petite surprise pour toi, ma très chère amie. Je me suis dis que nous pourrions en profiter pour aller à l'Opéra. Ce serait l'apothéose de notre séjour, et peut-être l'occasion de tester un nouveau restaurant. Qu'est-ce que tu proposerais pour ce soir ?"

C'était une occasion si rare de s'amuser que la gamine gâtée avait envie de sautiller sur place - même si elle se contenait sagement. Elle aurait été curieuse de découvrir les quartiers magiques de Paris, d'aller au musée et même pas de passer par le célèbre Jardin des Plantes ; mais le seul spectacle des moldus valait le détour. Heureusement qu'elle avait pu se procurer une somme correcte dans leur argent... Elle aurait été bien trop malheureuse, sinon.

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Message(#) Sujet: Re: La mode est dans l’air, portée par le vent. ♥ Ha Na et Maximilianna La mode est dans l’air, portée par le vent. ♥  Ha Na et  Maximilianna  EmptyMer 14 Fév - 3:49



La mode est dans l’air,

portée par le vent.

Ft.     @Ha na Seo   

Il y avait dans l’air de Paris quelques choses d’excitant et de joyeux; peut-être était-ce les petits flocons qui semblaient se suspendre dans l’air ou simplement le fait que j’étais trop contente de revenir dans cet environnement que je chérissais tant. Un magazine entre les mains, j’en profitai pour apprendre un peu plus sur les goûts de mon amie afin de prévoir notre sortie. Certes, je savais! Je savais tout ce qui était nécessaire pour une bonne garde-robe soignée, les couleurs de la saison, les coupes qui me convenait le plus et les formes. À côté de moi, le teint beaucoup plus clair, voir opalescent, je devais prendre en compte qu’à ce niveau nous étions bien différentes et que je devais adapter les palettes de couleurs pour qu’elle n’ait pas un air tout bonnement malade. Le rouge, qui m’allait si bien, n’allait pas du tout sur elle. Nous furent momentanément interrompu par l’arrivée de la domestique qui tendit un paquet à Ha Na; et qui finalement termina sur la table basse devant moi.

Chérie. C’est trop gentil. – Répondis-je avec modestie, bien qu’une pointe de curiosité fît briller mes yeux. - Tu n’étais pas obligé de m’offrir quoi que ce soit, ça me faisait tellement plaisir de t’inviter.

Avant tout, je posai ma revue fermée sur le divan, avant d’attirer à moi à deux mains l’emballage. J’ouvris le présent délicatement avant de tâter la pièce d’un jolie bleu ciel, avant de hocher la tête suivant les informations qu’elle me transmit sur sa conception. Je pouvais me fier sur elle pour ne pas avoir de trou non plus dans son portemonnaie songeait-je par la suite; avant de tirer la pièce de collection sur mes genoux, lui donnant du corps pour noter la coupe et la confection avant de lui répondre.

C’est un homme qui se consacre sans faille à son travail plus qu’à sa famille.

C’était la version la moins toxique que j’ai pu formuler et la première qui me passa à l’esprit. J’ignorais réellement ce qu’il en était de ses propres relations familiales. Si sa mère m’avait paru accueillante et bienveillante, il pouvait autant en être une façade comme Grand-mère à un de ces gala de charité. Ma présence n’ayant été qu’un instant, rien n’était moins sur; d’autant toute les familles sang-pur cherchaient continuellement à paraitre à leur meilleur quand il y avait la présence d’inconnu. Comme le temps passait vite, en bonne compagnie!

Paré de ma capeline, de mon berret et mes gants nous sortirent finalement. Boutique après boutique, petit salon de thé puis restaurant français, j’allais comme si la ville m’appartenait avec un pas calme et déterminé, une démarche hautaine de quelqu’un qui n’a nullement besoin d’exploiter le temps à cœur de jour. À quoi bon courir, ce n’était pas comme si je pouvais jamais revenir à mon gré, de toute manière – bien que ce fût en partie faux. Après avoir déneigé un banc sur le bord de la Seine, la domestique s’écarta pour nous laisser s’y asseoir. Le paysage plus pittoresque n’était pas sans rappeler des œuvres d’arts que j’avais eu la chance de contempler lors d’un de mes visites dans une galerie. L’état du jour, déclinant, je soupirai d’une sorte d’aise repu comblé du plaisir de tous ce que nous avions fait depuis notre arrivée.

L’apothéose, chérie sera certainement le défilé juste avant notre départ. J’aurais cru que tu aurais préféré que nous allions Place Cachée pour terminer la soirée parmi les nôtres. Ma grand-tante m’avait suggéré un petit cabaret tout à fait charmant qui n’accueille que les gens de bonne fortune; il s’y produit l’une des étoiles montantes française sous forme de soirée cabaret. Je te laisse choisir. C’est ta visite, après tout.

Je gardais toujours en tête qu’advenant un problème, nous pourrions toujours nous fier à des sorciers adultes ainsi que de nos chaperons pour nous en sortir; ça allait pour les commerces qui ne voyait en nous que des acheteuses bien nantie. Mais l’Opera serait bien plus morne si nous n’en comprenions pas un traître mot.

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