Raindrops on the window ☀ Erin & Finn ▽ TW : violence (# NFS)
Agatha Kline
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Arrivé(e) le : 13/01/2017 Parchemins rédigés : 2167 Points : 18 Crédit : Azure (c) Année : 16 ans (06/02)
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(#) Sujet: Raindrops on the window ☀ Erin & Finn ▽ TW : violence (# NFS) Dim 13 Mar - 14:57
Dernière édition par Finnbjörn K. Sørensen le Lun 14 Mar - 0:48, édité 1 fois
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(#) Sujet: Re: Raindrops on the window ☀ Erin & Finn ▽ TW : violence (# NFS) Dim 13 Mar - 15:38
( raindrops on the window | FINNBJÖRN ♚ ERIN )
L’air est froid et humide, ce soir. Avec un petit reniflement dédaigneux, j’enjambe une flaque sombre qui pourrait aussi bien être de l’eau que tout autre liquide, étant donné l’endroit où nous venons de transplaner. Mes bottes en cuir de dragon sont parfaitement imperméabilisées mais je préfère tout de même éviter d’entrer en contact avec des fluides non-identifiés. Surtout lorsqu’on a conscience de la vermine qui pullule dans ces ruelles crasseuses. L’héritage familial est quelque chose que nous chérissons particulièrement et sur lequel il convient de veiller avec une attention particulière, aussi cela m’irrite-t-il profondément d’imaginer qu’un sang-mêlé puisse avoir posé ses mains souillées sur une relique qui nous revient de droit. Les pas de Finnbjörn et les miens battent la même mesure, nos longs manteaux agités tels des ombres sur nos flancs. Ce serait puéril de ma part que de saccager cette belle cadence parfaitement millimétrée mais l’envie effleura un instant mon esprit le plus rancunier. Je n’avais pas encore trouvé de vengeance à la hauteur de l’affront causé par mon détestable jumeau et m’en étais tenue à des températures glaciales pendant tout le mois de janvier. Des rapports qui se réchauffaient légèrement et qui trouveraient peut-être de quoi se réconcilier définitivement dans cette quête familiale.
Je laissai Finn nous guider dans de dédales de bicoques branlantes, parcourant les alentours de mes yeux clairs qui détaillaient toutes les ombres. Il faudrait être bien sot pour s’en prendre à nous mais les habitants de ce quartier n’étaient pas spécialement réputés pour leur intelligence. Ma baguette à portée de main se préparait à toute éventualité. L’enseigne que nous cherchions se dessina finalement devant nous. Une vitrine recouverte de poussière proposant des objets qui devaient faire le bonheur des plus crédules. Pure camelote. Un sifflement méprisant acheva mon inspection des étagères protégées par cette vitre noircie de saleté. Je m’en détournai rapidement, tandis que la voix de mon frère s’élevait, vérifiant nos arrières, déjà impatiente de devoir attendre sur le pas de la porte de cet apothicaire minable. Je ricanai à l’entente des politesses dont faisait encore preuve Finnbjörn, bien plus mesuré que je ne l’étais, bien plus patient également. « Je me languis d’entendrrre le son de sa voix. » ironisai-je dans notre langue natale à l’attention de mon jumeau, le ton lourd d’un sous-entendu brûlant, mes doigts battant une mesure dangereuse sur mon poignet.
Un coup d'œil de son côté et je constatai qu’il avait les yeux rivés sur sa montre à gousset. De l’autre côté de la porte, aucun son. Le visage levé vers les étages de la bâtisse à l’agonie, je vérifiai une nouvelle fois qu’aucun rai de lumière ne trahissait une quelconque présent, sans en voir aucun. Si le dénommé Heron était bien là, il savait au moins se faire discret de manière correcte. Non pas que cela lui serait très utile dans les prochaines minutes, au contraire, mais malgré l’air moite et les odeurs diverses, j’étais d’humeur à trouver un brin de positif dans cette partie de Londres définitivement miséreuse. Enfin le silence fut brisé par une demande qui me convenait, à la hauteur de mes talents, flattant mon tempérament autant que cette envie d’action qui me démangeait depuis que nous avions commencé à fouler les pavés londoniens. J’avais déjà saisi ma baguette et m’étais tournée vers l’entrée de la boutique mais Finnbjörn termina sa phrase, complétant ses propos d’une nuance qui m’arracha une grimace désabusée. « Pourrrquoi faut-il toujourrrs que tu sois si rrrabat-joie. » Le bois de tremble resta à sa place, mes doigts gantés s’agitant dans le vide pour déverrouiller la serrure. « C’est prrrotégé. » constatai-je sans la moindre émotion. Même le plus impur des sorciers pouvaient avoir la présence d’esprit de sécuriser son habitation grâce aux sortilèges les plus élémentaires. « Allons voirrr à l’arrrièrrre, il y a peut-êtrrre une autrrre entrrrée. » Suivant les pierres noires jusqu’à une petite arrière-cour, j’avisai une porte, toute aussi crasseuse que la première, mais bien plus abritée des regards indiscrets. Sans demander l’avis de mon tendre jumeau, ma main se dressa en direction de la clenche, ma manche glissant le long de mon poignet, juste avant que la poignée ne se mette à s’enfoncer dans le bois, jusqu’à ce qu’il ne reste plus qu’un trou et l’écho des grincements provoqués. Du bout du pied, je poussai la porte. « Nous pouvons entrrrer. » fis-je avec un sourire qui le mettait au défi de redire quoi que ce soit sur mes méthodes. Je m’étais trouvée particulièrement discrète, qu’il ne commence pas à ronchonner.
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(#) Sujet: Re: Raindrops on the window ☀ Erin & Finn ▽ TW : violence (# NFS) Dim 13 Mar - 16:30
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(#) Sujet: Re: Raindrops on the window ☀ Erin & Finn ▽ TW : violence (# NFS) Dim 13 Mar - 18:03
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D’un haussement d’épaules, je signifiai à Finnbjörn que je n’en avais pas la moindre idée. Plus vraisemblablement, cela ne m’intéressait guère de comprendre les raisons derrière la protection de la porte. Ou le misérable qui vivait ici avait une trop haute opinion de lui-même et de la valeur de sa marchandise de pacotille ; ou il cachait quelque objet de plus grande valeur, comme nous le supposions ; ou il craignait pour sa vie après avoir commercé avec plus dangereux que lui. Les raisons étaient faciles à deviner et une courte investigation nous offrirait probablement toutes les réponses, mais nous étions ici pour mettre la main sur notre héritage et le ramener dans un lieu à sa hauteur, pas pour spéculer sur l’intelligence d’un indigent. Dans le fond, il ne serait pas le premier ni le dernier à n’afficher que des objets de piètre valeur en vitrine pour attirer des imbéciles faciles à escroquer, gardant ce qu’il avait de plus précieux dans une autre pièce, accessible pour les initiés uniquement. Néanmoins, j’en doutais. Dans un tel cas de figure, nous connaîtrions ce nom, Heron, et n’aurions pas à nous introduire de nuit dans ses quartiers. Les marchands de cette espèce les plus intelligents savaient se placer du bon côté de notre famille.
Puisque la porte principale était protégée et qu’il nous fallait être discrets — sérieusement, cela manquait de saveur — nous longeâmes le mur de pierres, accompagnés par quelques gouttes annonciatrices d’une pluie imminente. Le temps était aussi humide que la dernière fois que j'étais venue à Londres, en compagnie de mon meilleur ami, mais les températures, plus froides. Nous avions échappé à la pluie en nous réfugiant dans le confort de son appartement familial ; Finn et moi n’allions pas avoir cette chance, ce soir. Inutile de perdre du temps, je n'essayai pas de lancer un Alohomora sur la poignée et passai directement à quelque chose de plus offensif qui creusa la porte jusqu’à laisser un trou béant à la place de la serrure. Le cuir de ma botte repoussa le battant qui gémit dans un grincement pitoyable et plus rien ne nous empêchait désormais de pénétrer dans la boutique. « Si tu ne brrridais pas constamment ma crrréativité, nous serrrions passés parrr devant. » répliquai-je avec un claquement de langue sincèrement agacé. C’était entièrement de sa faute si notre entrée n’était pas aussi flamboyante que nous le méritions.
Sans plus m’attarder sur les tentatives de plaisanterie de mon jumeau — si c’en était bien, rien n’était moins sûr avec lui — je pénétrai la première dans la pénombre de cette arrière-boutique. Quelques pas parmi les ombres ne suffirent pas pour que mes yeux s’acclimatent à toute cette noirceur pleine d’une poussière suspendue tout autour de nous. J’entendis Finn farfouiller dans son sac avant de sentir son bras se glisser sous le mien et enfin les ombres furent repoussées, chassées par la bougie qui reposait entre les doigts décharnés de la main de la gloire. Toute la lumière du monde ne pouvait rendre cet endroit plus reluisant, mais celle-ci en particulier lui conférait des airs plus minables encore. Tout semblait à l’abandon, sale, abîmé. Un rictus aux lèvres, je tournai mon attention vers mon tendre frère dont le visage était barré d’une grimace. Je n’eus pas le temps de le taquiner qu’il prenait ce ton directif pour m’envoyer du côté de la remise tandis qu’il s’intéresserait au comptoir. L’artefact passa de ses doigts aux miens et il s’éloigna d’un pas avant que je ne le retienne, le ton railleur. « Et comment comptes-tu voirrr quelque chose sans la main ? » persifflai-je, mon bras retrouvant le sien pour lui offrir les capacités magiques de notre unique source de lumière. Un Lumos aurait été plus pratique, mais si le gérant des lieux surgissait, il ne serait pas aveugle comme le permettrait la main de la gloire.
Tandis qu’il inspecte minutieusement le comptoir, sa grimace de dégoût se fortifiant à chaque seconde, je passe en revue les alentours offerts à mon regard par la magie. Rien de très intéressant. Finalement, puisque Finn en est à compter la maigre fortune trouvée dans la caisse, je décidai de m’éloigner et de l’abandonner à l’obscurité. « Je vais inspecter la rrremise. Ne te blesse pas en mon absence. » Il n’y verrait rien pendant quelques minutes mais, de toute façon, il n’y avait absolument rien à voir, aussi n'était-ce pas une grande perte. Je n’eus pas beaucoup plus de succès dans la remise. Des étagères branlantes, certaines brisées, beaucoup de poussière et très peu d’objets intéressants. Aucun, en réalité. Un petit coffre en bois vide, quelques fioles louches, des parchemins à droite et à gauche, et un ou deux livres à deux doigts de s’effriter complètement. Même pas de quoi faire un bon feu. Le mépris guida mes pas hors de cette pièce dénuée d’attraits et me ramenèrent jusqu’à mon jumeau. Je n’avais pas sitôt enlacé son bras pour qu’il retrouve la vue qu’il s’enquit d’un bruit qu’il venait d’entendre. Je n’avais rien perçu, dans la remise, mais j’aurais été idiote de ne pas faire confiance à Finnbjörn. Il était non seulement un être exceptionnel, mais il était en plus particulièrement attentif et perspicace. S’il disait avoir entendu quelque chose, je le croyais.
Ma main droite se libéra de l’artefact qu’elle portait jusqu’à présent pour jeter un Hominum Revelio. Pour l’instant, je laissai ma baguette à sa place, cette magie que j’apprenais à maîtriser de mieux en mieux parfaitement apte à s’en passer. Il y avait bel et bien quelqu’un. Mon index dressé sous le gant en cuir pointa le plafond. Que ce soit le fameux Heron ou n’importe qui d’autre, les ténèbres s’étendraient bientôt à l’étage puisque nous commençâmes à monter, lentement, les escaliers aussi pourris que le reste du mobilier. Malgré la qualité plus que douteuse du bois utilisé, nous fûmes silencieux, telles deux ombres venues se venger. Ce qui n’était pas loin d’être la vérité. La dernière marche débouchait sur une pièce de petite taille, aussi miteuse que tout le reste. Un lit poussé dans un coin, une armoire immense à l’opposé. Et, au beau milieu de tout cela, un homme dont nous pouvions discerner les traits désemparés d’être devenu ainsi aveugle. Encore un pas et je m’approchai de lui, toujours liée à Finnbjörn. « C’est trrrès aimable de nous avoirrr ouverrrt. Ackerrrly Herrron, je prrrésume ? » fis-je dans un anglais rendu plus sauvage par cet accent qui nous était propre alors que l’homme cherchait désespérément à comprendre d’où venait ma voix.
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(#) Sujet: Re: Raindrops on the window ☀ Erin & Finn ▽ TW : violence (# NFS) Dim 13 Mar - 19:28
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(#) Sujet: Re: Raindrops on the window ☀ Erin & Finn ▽ TW : violence (# NFS) Dim 13 Mar - 20:09
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Toutes les babioles présentes en ces lieux n’avaient rien d’intéressant à nous offrir. Qu’il s’agisse de ce comptoir dont le bois était écorché que mon frère fouilla avec minutie, ou cette remise délabrée dans laquelle je mis les pieds, partout nos yeux clairs ne se posèrent que sur des objets plus à leur place dans une brocante dédiée aux nécessiteux que dans une boutique qui revendiquait la possession d’artefacts magiques de valeur. Si nous ne vîmes rien susceptible de nous rapprocher de notre quête, Finn eut plus de succès avec son ouïe fine. Un simple sortilège nous confirma que nous n’étions pas seuls et nos regards se croisèrent, habillés de la même flamme, rehaussés d’un même rictus. « Je n’ai encorrre jamais chassé le rrrat. C’est sûrrrement moins palpitant que cette fois-là mais seule l’expérrrience peut parrrler. » Et sur ces mots chuchotés tout bas, nous prîmes la direction des escaliers, montant les marches les unes après les autres dans un silence à peine troublé par quelques grincements qui pourraient aussi bien être le vent se jouant des nombreuses fissures dans la charpente. Nous débouchâmes finalement sur une pièce à l’image de tout le reste : sale et parfaite pour un minable dans le genre de cet homme qui se tenait debout au centre de ce qui ressemblait fort à une chambre.
Son visage habité par la crainte se tournait tantôt à gauche, tantôt à droite, cherchant à percer les ténèbres dont nous étions les maîtres, aussi longtemps que nos doigts conservaient leur emprise sur la main de la gloire. Lui ne pouvait rien voir, pauvre créature prise au piège. Goguenarde, je fis un pas dans sa direction, aussi silencieuse que je l’avais été jusqu’à présent, avant de briser ce mutisme ambiant pour le saluer comme il se doit. Serions-nous en train d’inverser nos rôles habituels ? Car la voix de mon frère ne tarda pas à rejoindre la mienne, sommant le pathétique sang-mêlé de ne pas nous faire perdre plus de notre précieux temps. L’impatience lui allait à merveille. Mon rictus en coin s’affaissa à l’instant où le chien que nous tenions entre nos griffes tenta de se débattre, lançant un sortilège qui prit la direction de mon jumeau.
Mon regard opalin abandonna le sien, une flamme de rage y explosant à l’instant où ils se posèrent sur Heron. « Deflecto ! » Grâce à notre entraînement particulièrement poussé et notre talent inné pour les duels, je réagis assez vite pour lui renvoyer son offensive et éviter que Finn ne subisse de quelconques blessures. L’homme est audacieux. Et stupide. Une erreur qui va lui coûter cher. Son sortilège n’était même pas très puissant, je le constatai alors que son bras s’ouvre de quelques coupures dont la gravité n’est pas létale. La suite, en revanche, le serait peut-être plus s’il continuait de se montrer aussi inconséquent. « Carrrpe Retrrractum. » Un lien écarlate né de mes doigts fila dans sa direction, s’enroulant autour de son cou. Je tirai d’un coup sec et un cri étranglé s’échappa de la silhouette pitoyable avant qu’il ne tombe à terre, déstabilisé par un second à-coup. « Prrrends-lui sa baguette. » suggérai-je à mon jumeau tandis que la mienne retrouvait sa place, entre mes doigts, ceux de mon autre main toujours enroulés autour de cette cordelette qui ressemblait tant à du sang. « Nous n’avons plus besoin de ça. » rajoutai-je en désignant la main de la gloire du menton. Il n’allait aller nulle part et il était peut-être bon qu’il comprenne qu’il ne s’en tirerait pas s’il essayait, encore une fois, de s’en prendre à l’un d’entre nous.
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(#) Sujet: Re: Raindrops on the window ☀ Erin & Finn ▽ TW : violence (# NFS) Dim 13 Mar - 21:00
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(#) Sujet: Re: Raindrops on the window ☀ Erin & Finn ▽ TW : violence (# NFS) Dim 13 Mar - 22:06
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Et dire que toutes les informations que nous avions obtenues convergeaient vers ce type comme étant le dernier propriétaire d’un artefact d’une inestimable valeur. Pitoyable. S’il n’avait pas eu la bêtise d’enflammer mon mécontentement, j’aurais pu en éprouver une terrible tristesse. Mais il n’y avait plus de place pour une telle émotion alors qu’il gigotait misérablement au bout de mon lien écarlate enroulé autour de sa gorge pâle. La main de la gloire s’était éteinte, rendant à cette pièce sa luminosité naturelle qui mettait en valeur l’insalubrité de l’endroit. Et le rat allongé au sol gémissait comme la vermine qu’il était. Un reniflement dédaigneux accompagna un geste sec pour lui faire prendre conscience de la situation dans laquelle il se trouvait et qui n’était absolument pas à son avantage. Déjà mon frère s’emparait de sa baguette, prenant le temps de m’adresser des remerciements de convenance. « Je suis la seule qui a le drrroit de l’érrrafler. » Un sourire moqueur souligna ses propos sans en ôter la véracité. Si je prenais un plaisir brutal à abîmer son joli minois lors de nos duels, c’était un privilège que personne d’autre n’avait le droit de s’arroger. Encore moins un misérable tel que cet Ackerly Heron, pendu à mon sortilège comme un chien à sa laisse.
Malgré la position peu flatteuse de notre hôte, Finnbjörn poussa la prudence jusqu’à inspecter rapidement ce grenier sordide. Pour ma part, je ne quittai pas Heron des yeux, quand bien même la vue d’un tel énergumène était détestable. Il faisait peine à voir, à ramper misérablement sur un sol miteux, ses doigts tentant à intervalles réguliers de défaire ce qui lui enserrait la gorge, sans succès. Un claquement de langue assorti d’un nouveau coup n’étant pas suffisant pour qu’il cesse de bouger, j’enjambai quelques planches qui grincèrent sous mon pas pourtant souple et vint poser le talon de ma botte sur ses doigts aux ongles rongés et sales. « Je te conseille d’écouter mon frrrèrrre au lieu de rrremuer ainsi. » Il offrait vraiment un spectacle lamentable. Il n’avait plus sa baguette et aucune chance de fuir, ne pouvait-il pas montrer une once de dignité en se comportant comme un homme ?
Après avoir retiré son manteau — je l’observai faire d’un air circonspect tant la poussière et la crasse habitaient chaque millimètre carré de cet endroit — Finn eut la magnanimité de s’abaisser au niveau du prolétaire que nous n’avions d’autre choix que d’interroger. Je le laissai faire, certaine qu’il trouverait toutes les réponses à nos questions dans l’esprit affaibli de l’homme, me tenant prête à ajouter un peu de violence physique s’il n’était pas capable de déjà percevoir qu’il était trop tard. C’était prévisible et en même temps terriblement décevant. Dès la première question, une rebuffade. Mon talon effectua quelques va et vient, de gauche à droite, la pression plus forte que précédemment. Un cri de douleur remplaça l’insolence. « Je crrrois qu’il n’a pas comprrris. » soupirai-je à l’attention de mon jumeau, tout en appuyant d’un coup sec mon talon vers le sol, jusqu’à ce qu’un craquement satisfaisant se fasse entendre, rapidement suivi d’un autre cri, plus aigu que le précédent. « C’est embêtant. Faudrrrait-il insonorrriser les lieux ? » Il serait embarrassant que ses voisins s’inquiètent même si le mot d’ordre, dans ce quartier, est de ne rien entendre, rien voir, rien répéter. Mes yeux clairs accueillent ceux de mon frère, levés dans ma direction, alors qu’il réfléchit à haute voix sur la meilleure manière de procéder. Un rictus fauve ourle mes lèvres alors que l’homme à nos pieds pâlit vraisemblablement. « Le gauche. Puis le drrroit. Voyons, c’est un objet d’une valeurrr inestimable, il nous faudrrra bien deux yeux pourrr compenser sa perrrte. » Mon visage se pencha vers celui de l’homme, son regard croisant le mien, tandis que mon sourire devenait plus dangereux encore. « Je crrrois qu’il va vrrraiment falloirrr insonorrriser cette pièce. Qu’en dites-vous ? » Silence. D’un geste du menton, j’engage Finn à commencer. S’il faut sévir, ce n’est pas nous qui auront le plus à perdre. Dans un éclair de lucidité, Heron semble se rendre compte de la mauvaise posture dans laquelle il se trouve et choisit la coopération, la voix haletante, une forme de panique au fond de celle-ci. « Non non non, s’il vous plaît, ne-ne touchez pas à mes yeux. Mes-mes objets de valeur sont en b-bas. Dans la remise, il y a une tr-trappe sous l’une des étagères. » De l’impur navrant, mon regard passe à mon tendre frère. J’haussai les épaules face à sa question silencieuse. Non, je n’avais rien vu, mais je n’avais pas pris le temps de tout déplacer dans cette pièce sombre et poussiéreuse. « Bien, montrrre-nous. » le sommai-je en retirant ma botte de ses doigts brisés et en tirant sur le lien écarlate que je maintiens depuis quelques minutes maintenant pour le forcer à se relever. « Et parrr pitié, n’essaie pas de t’enfuirrr, les conséquences serrraient rrregrrrettables. Pourrr toi. » J’ai un regard entendu avec mon jumeau. Les faibles ont cette fâcheuse tendance à ne pas savoir se soumettre et à essayer de se rebeller dans les pires moments.
( Pando )
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(#) Sujet: Re: Raindrops on the window ☀ Erin & Finn ▽ TW : violence (# NFS) Dim 13 Mar - 23:07
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(#) Sujet: Re: Raindrops on the window ☀ Erin & Finn ▽ TW : violence (# NFS) Dim 13 Mar - 23:45
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Sous ma bottine, les os craquent. Sur mes lèvres, fleurit un sourire, digne reflet de celui de mon frère. « Ainsi soit-il. » Mon soupir semblait consentir à un immense sacrifice mais nous savions, l’un comme l’autre, que ce n’étaient que de simples taquineries fraternelles qui donneraient, tôt ou tard, lieu à un duel en bonne et dûe forme. Pas ce soir, cependant, car nous avions un chien à dresser et à qui il était nécessaire de rappeler qu’on n’aboyait pas au visage de ses maîtres. « Une chose à la fois. D’aborrrd les yeux, ensuite la langue. Il pourrrait en avoirrr besoin s’il décide subitement d’êtrrre coopérrratif. » Ce qui serait une preuve d’intelligence de sa part mais, à en juger par l’air hagard qu’il arbore et ce rictus pitoyable, il est tout l’inverse. Un sot doublé d’un sournois, cela ne fait jamais bon ménage. Ils ne cessent de se faire prendre la main dans le sac mais continuent de croire qu’ils sont plus futés que tout le monde. Décidément, nous avions tiré le gros lot. Néanmoins, les menaces firent leur office. Elles ou le flegme avec lequel nous parlions de sa prochaine mutilation. Je pensais sincèrement avoir été claire mais j’ai le sentiment qu’au fond de lui, il minimise encore ce qui pourrait lui arriver s’il avait l’audace de nous déplaire de nouveau. Je ne vais pas m’en plaindre, je suis certaine que, si cela devait se produire, Finn me laisserait tout le loisir de lui faire passer l’envie de recommencer.
D’un geste brusque, je le forçai à se relever. Mon tendre frère reprend son manteau et nous laisse ouvrir la marche. Le chien devant, des fois qu’une marche décide de céder sous la moisissure et les allées et venues subites. Je n’avais guère envie de passer à travers le bois pour atteindre l’étage inférieur. Nous arrivons sans encombre au rez-de-chaussé, même si je ne peux pas en dire autant de la prestance et de la fierté du bougre qui nous guide, ses doigts pendant piteusement le long de son flanc. Comme s’il lisait dans mes pensées — et je sais que ça n’est pas impossible mais qu’il utiliserait cet agaçant don de manière plus intelligente en l'occurrence — Finn se fend d’une petite moquerie. Décidément, il est d’humeur bien taquine ce soir. « Est-ce que ton humeurrr délicieuse est due à une cerrrtaine vipèrrre ou bien est-ce un nouveau trrrait de carrractèrrre que tu es en trrrain de développer ? » ricanai-je en lui jetant un coup d'œil par-dessus mon épaule. Nous pouvions bien nous permettre de bavasser et, avec notre récente querelle, je n’avais pas pris le temps de suivre l’évolution de cette relation.
Quoiqu’il en soit, nous finissons par pénétrer dans la remise. La trappe dont il parlait s’avère n’être que le tiroir d’un bureau enfoncé si profondément dans le mur qu’il s’y confond presque. Je laisse à Finn le soin d’examiner ce qu’il contient, un rictus aux lèvres alors qu’il me conseille de surveiller notre malheureux hôte de près. Des fois que la sournoiserie ne se soit pas brisée en même temps que ses phalanges. D’un coup de pied violet à l’arrière de la rotule, je le fais tomber à genoux. « Tu as entendu mon frrrèrre ? Assis. » C’est vraiment désolant de devoir ainsi éduquer un homme qui a pourtant atteint l’âge adulte, mais que pouvons-nous attendre de plus du bas peuple, après tout ? Les secondes s’écoulent dans un silence religieux. Enfin, Finn sort quelque chose du tiroir et s’en écarte, me permettant de voir ce qui ressemble fort à un œil de verre entre ses doigts. Un sourire commence à étirer mes lèvres, rapidement remplacé par un rictus mauvais et une flamme mécontente au fond de mes yeux clairs quand il déclare que c’est une contrefaçon. Heron est plus stupide que je ne le pensais. Et plus arrogant. La colère se fait liquide, feu brûlant qui s’arroge tous les droits sur mon sourire alors que mon frère me laisse le champ libre. Je tends le bras afin de repousser la porte, lentement, sans me presser, prenant un malin plaisir à voir le visage de cet insolent se décomposer au fur et à mesure. Je ne lui laisse pas le temps de se repentir. Il est bien dommage pour lui que sa vanité l’ait poussé à nous mentir, deux fois de suite. Mais dois-je vraiment m’en plaindre ?
« Endolorrris. » L’éclair rouge fuse de ma baguette pointée vers le chien dont la laisse a déjà disparu. Il s’écroule instantanément au sol, le corps secoué de spasmes, le visage tordu par la douleur. Ses lèvres exsangues poussent bien quelques cris mais les hurlements deviennent rapidement muets, concentrés dans ses yeux qui ne demandent qu’à jaillir de leurs orbites. Il est en train de devenir fou, je peux le lire sur son visage. Son esprit est faible et j’estime à quelques secondes sa capacité à résister au flot de violence qui coule actuellement à la place de son sang. Une minute ou deux de ce traitement lui sera probablement fatal. Ses mains se dressent à la verticale, griffent le vide comme pour se dégager de cette torture. En vain. Il est chanceux que Finn soit avec nous. Sans la voix de mon jumeau pour me rappeler à l’ordre, je n’aurais pas mis fin à cette délicieuse scène aussi rapidement. Ma baguette pointée vers le sol, je me détourne du tableau lamentable qu’il nous offre, plein de sueur, de spasmes et de bave. Avec une petite moue de dégoût, je finis par repositionner le bois de tremble dans sa direction, mais je ne suis même pas certaine qu’il en ait conscience. « Si tu nous disais la vérrrité, maintenant ? » Je jette un regard désespéré vers mon frère.
( Pando )
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(#) Sujet: Re: Raindrops on the window ☀ Erin & Finn ▽ TW : violence (# NFS) Lun 14 Mar - 0:45
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(#) Sujet: Re: Raindrops on the window ☀ Erin & Finn ▽ TW : violence (# NFS) Lun 14 Mar - 22:39
( raindrops on the window | FINNBJÖRN ♚ ERIN )
Mes plus grands plaisirs ont toujours été les plus simples. Rien de très compliqué derrière l’envie de naturelle de partager des moments privilégiés avec mon tendre jumeau. Ce soir, je suis exaucée. Il n’en fallait pas moins pour atténuer l’affront perpétré le jour de notre anniversaire, mais l’amertume est restée à l’extérieur, sur le pas de la porte. Il ne reste plus que la joie sauvage de renouer avec ce qui fait notre plus vive complicité. Tandis que nos pas précautionneux s’engagent sur les marches branlantes, nos langues s’échangent quelques taquineries fraternelles. Il est assez rare que Finn se montre aussi plaisantin et, une fois passée la surprise des premières fois — c’est que Junior et moi avions été proches d’appeler Sainte-Mangouste tant la chose était originale et nous faisait craindre une maladie neurologique —, j’appréciais ces élans frivoles de sa part. « Tout ce que tu entrrreprrrends est une rrréussite, min Brrrorrr. » J’esquissai un sourire plus amusé que jamais lorsqu’il confirma à demi-mot mes propos. Derrière les vipères en général, nous savions tous deux qu’il était particulièrement sensible aux charmes de l’une en particulier. D’un Serpentard à un autre, sa question me fit machinalement poser les yeux sur cet anneau masqué par mon gant. « J’ai toujourrrs aimé chasser. Ce n’est pas ce que je porrrte qui changerrra ça. »
Nos badinages prirent fin à l’approche de la remise. Lors de mon inspection sommaire, j’étais passée à côté d’un bureau, tellement enfoncé dans un coin qu’il ne fait plus qu’un avec les ombres. Au bout de sa laisse écarlate, Heron en désigna le tiroir et mon frère, du bout des doigts, l’ouvrit pour entreprendre de le fouiller. À quoi pouvait bien servir un chien si ce n’était renifler une piste pour nous conduire à notre but ? Mais même cela, une tâche pourtant si simple, à la mesure de son esprit lamentable, il l’échouait. Il n’en fallait pas beaucoup plus pour qu’une colère légitime face à son arrogance déplacée ne se déverse en moi comme une langue de feu à laquelle Finn laissa libre court de quelques mots, douce mélodie à mes oreilles. Puissance et jouissance ne font plus qu’un, ne demandent qu’à s’exprimer, rendant le Doloris aussi aisé à lancer qu’un ridicule Lumos. Le corps se tortille et hurle une douleur bientôt muette, contenue par des lèvres exsangues et une langue incapable de produire le moindre son. Une partie de moi serait curieuse de connaître ce que cela fait que de subir mes sortilèges. Mieux comprendre pour pousser la torture plus loin encore, ne laisser aucun millimètre libre de cette souffrance viscérale.
J’en suis convaincue, son esprit s’approche déjà des portes de la folie et son cœur ne sera pas capable de tenir suffisamment longtemps pour l’en garder éloigné. Il pourrait sombrer, à chaque seconde qui passe et durant laquelle je me réjouis de sa terreur. Cependant, nous sommes ici pour trouver ce qui nous appartient et dans son malheur il possède une certaine chance puisqu’il est le plus à même de nous mener à l’objet de toutes nos convoitises. Il nous étonne en se montrant encore capable de parler — glapir serait plus juste — et les aveux coulent, hors de son contrôle. Mes yeux clairs croisent leurs jumeaux avant qu’ils ne se portent dans la direction indiquée par l’impur à nos pieds. « Quelle perrrte de temps. » soufflai-je tout en observant Finn se pencher et inspecter minutieusement les lattes en bois. Mais mon sourire ne pourrait se satisfaire plus de l’idiotie de l’homme qui rend cette soirée plus palpitante que je ne l’aurais imaginé.
Un craquement plus tard, mon jumeau se redressa et sa voix me parvint, empreinte d’une émotion certaine. C’était le bon. Nous avions en notre possession l'œil de notre ancêtre. « Parrrfait. » Un petit soupir appréciateur vint ponctuer le tout, Finnbjörn se détournant des ombres et des toiles d’araignées pour me rejoindre. La lueur que je vis au fond de ses prunelles opalines contribua à rendre mon sourire plus brûlant encore, sans parler de ses compliments qui me vont droit au cœur. « Je n’ai pas pourrr ambition de rrregrrresser. Et ce sorrrtilège a tellement de charrrmes qu’il serrrait dommage de ne pas lui rrrendrrre honneurrr. » Sur le côté, l’homme gémit. Prenait-il enfin conscience de notre toute puissance et de l’incommensurable supériorité qui nous séparait de sa personne ? Mon frère tira sa baguette tandis que je rangeais la mienne dans ma manche et une terreur pure habilla les traits du miséreux. Une petite moue déçue agita mon visage face à l’absence d’éclair vert, rapidement remplacée par un dégoût né de la tache humide qui s’élargissait sous le corps de l’homme. « L’odeurrr rrrisque d’empirrrer. » fis-je en fronçant le nez, écoeurée de cette scène pitoyable. Sans plus de considération pour celui qui s’approchait plus de l’animal que de l’humain, nous quittons la remise. Mes doigts se serrent autour du battant en bois et je jette un dernier regard derrière nous. Un rictus indéfini étire mes lèvres, un souffle passe mes lèvres et mes doigts s’agitent dans le vide avant que je ne repousse la porte derrière nous, masquant le feu qui s’empare de quelques parchemins posés sur le comptoir et qui s’en prend déjà aux débris alentours.
« On se rrretrrrouve à Prrré-au-Larrrd. » Et dans un crac sonore, je disparais. J’aurais adoré pouvoir rester et me délecter des flammes qui grossirent après notre départ, léchant l’intérieur de cette misérable boutique, s’emparant d’un corps resté prostré dans la petite pièce sombre de laquelle nous avions retiré l'œil, faisant disparaître toute trace de ce taudis et menaçant même ses plus proches voisins, mais il nous fallait rentrer.
HS:
Si tu veux qu'on fasse encore un ou deux posts pour qu'ils papotent on peut, sinon je crois que c'est terminé ?
( Pando )
Agatha Kline
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(#) Sujet: Re: Raindrops on the window ☀ Erin & Finn ▽ TW : violence (# NFS) Lun 14 Mar - 23:43
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