Ma mère n'avait pas prévu de tomber enceinte. Elle avait à peine 22 ans lorsqu'elle a rencontré Cornelius d'Archambault, mon cher géniteur qui a généreusement brillé par son absence durant ces seize dernières années. Elle ne m'a jamais dit si elle avait consciemment eu une relation avec un homme marié, où s'il n'avait pas jugé utile de lui fournir un tel détail. Ce que je sais, c'est que ma mère n'a jamais eu à l'idée de renoncer à sa grossesse. De plus, elle ne s'est pas gênée pour joindre le père et le prévenir de cet heureux événement. Je ne sais pas si elle s'attendait réellement à une effusion de joie de sa part. En tout cas, si c'était le cas, elle fut vite déçue. La première réponse à sa lettre ne lui parvint que plusieurs mois plus tard. Mon père s'était contenté de prendre de maigres nouvelles, sans réellement s'intéresser à celle que j'étais. Je suis persuadée qu'il cherchait juste à vérifier que ma mère avait bien compris qu'elle devait taire l'identité du père à son entourage. Ainsi, mon géniteur se résuma longtemps à « un homme de passage, marié, et qui n'a jamais souhaité savoir qui était sa fille ». Ce détail ne sembla guère plaire à mon grand-père. Je n'ai bien entendu pas vraiment été témoin de la dispute entre ma mère et son père, mais de la façon dont elle m'en a toujours parlé, je comprends bien à quel point cette dernière avait été virulente. S'en résulta des liens complètement brisés. Un grand-père, un oncle, des cousins et cousines que je ne verrai ni ne connaîtrai jamais. Ma grand-mère n'a jamais réellement compris la réaction de son mari. Ma mère m'a raconté qu'elle avait voulu lui faire entendre raison, avec une fureur qu'on ne lui avait jamais vue, et que cela s'était terminé au tribunal, autour des papiers pour le divorce. D'après ma mère, ma grand-mère n'en avait été que légèrement affectée. Visiblement, les choses n'allaient peut-être pas si bien entre mes grands-parents...

Durant les trois premières années de ma vie, cela avait été ma grand-mère, ma mère, et moi. La vie était douce, même si je n'en garde que très peu de souvenirs. Grand-mère a arrêté de travailler, parce que ma mère a longuement insisté. Elle la voyait s'épuiser en souriant, inconsciente du mal qui la rongeait lentement. Je n'en ai aucun souvenir, mais les récits de ma mère me suffisent : ma grand-mère s'est envolée en quelques semaines à peine. Tous les soins n'y auraient rien fait, puisqu'aucun médecin ne semblait savoir la teneur de cette étrange maladie. À partir de cet instant, ce ne fut plus que ma mère, et moi.

J'ai grandi en pleine conscience de celle que j'allais devenir, car la magie faisait déjà partie de ma vie. Si j'allais à l'école, c'était bien parce que ma mère n'avait d'autres choix que d'aller travailler afin de gagner de quoi nous nourrir toutes les deux. Les économies léguées par ma grand-mère restaient constamment à la banque. Ma mère disait que c'était pour parer aux incidents qui pourraient survenir, tout simplement parce qu'elle ne voulait pas m'avouer que c'était pour moi qu'elle préservait cet argent. Alors, elle travaillait autant que possible, histoire de payer notre loyer, et les achats nécessaires à cette petite famille que nous formions. Il s'est vite avéré que j'étais une excellente élève, et ma mère s'en trouva grandement soulagée. Elle n'avait de cesse de me dire qu'elle espérait me voir aller plus haut, bien plus haut qu'elle, afin que je puisse atteindre un niveau de vie plus acceptable que celui que nous avions. Pourtant, malgré le petit appartement qui était le nôtre, nous avions suffisamment de place pour nous deux. J'ai l'impression que ma mère n'a jamais réalisé que je me sentais très bien à ses côtés. Peut-être parce que je ne le lui ai jamais vraiment avoué.

Je n'ai jamais pris l'habitude de discuter avec ma mère. Au début, c'était surtout parce que je préférais la laisser tranquille. En rentrant du travail, la fatigue se lisait sur son visage, et pourtant, elle continuait à faire plus. La cuisine, le ménage, la lessive. J'avais l'impression qu'elle ne se reposait jamais, et j'avais toujours peur de simplement lui prendre le temps qu'elle utilisait pour faire ses tâches avant d'aller dormir. Alors je me taisais. Et au fil du temps, c'est simplement devenu une habitude. Je n'avais jamais parlé de moi à ma mère, alors pourquoi commencer maintenant ? Je n'ai jamais su si c'était quelque chose qui la blessait, car comme pour toutes autres choses, nous n'en parlions jamais. Nos discussions se résumaient souvent à son travail, ou le mien à l'école. En dehors de ça, ma mère ne savait pas grand chose de moi. Oh, bien sûr, c'est elle qui m'a offert des cours de violon lorsque je lui en ai fait la demande, mais elle ne savait pas grand chose, en vérité, des loisirs qui occupaient mes instants libres. Elle ne connaissait ni le nom ni l'allure de mes amis d'école, qui, de toute manière n'avaient jamais été très nombreux. Elle ne savait pas ce que j'aimais plus que tout, ou ce que je détestais. Mais je ne lui en ai jamais voulu. J'étais un peu fautive aussi, et son amour me suffisait. Elle n'avait pas besoin de me connaître par cœur pour être ma mère et me protéger.

Ma dixième année fut celle du premier chamboulement de ma vie. Ce n'était pas étonnant que ma mère ne soit pas au courant que je n'avais jamais apprécié les grands changements. L'annonce du déménagement m'avait presque terrifié, mais je devais être bonne actrice, car ma mère n'a reçu de moi qu'une seule réponse « Chouette ! ». J'étais très loin de penser ce mot, mais d'un autre côté, Beauxbâtons se rapprochait et me tendait gentiment les bras. C'était un mal pour un bien, de filer vers le sud du pays. Alors j'avais ravalé ma peur et mon envie d'exprimer mon souhait de ne pas quitter Saint-Malo, pour les remplacer par un sourire de façade.

L'année suivante fut celle de mon entrée à Beauxbâtons. C'était pour moi un véritable pas vers le monde magique, qui semblait à la fois présent et trop éloigné de moi. Des amis, j'en eus quelques-uns. Cela ne m'a jamais dérangé d'être seule, car je savais qu'il était bien impossible de plaire à tout le monde. Je me contentais alors de ce que j'avais, ignorant superbement ceux qui vivaient pour cracher sur les autres. Mon dossier scolaire était impeccable, et c'était là le principal. J'étais douée un peu partout, et les professeurs appréciaient particulièrement mon sérieux, bien qu'ils ne manquaient pas une occasion pour me rappeler qu'il était mieux de tenir ma langue. J'avais selon eux la mauvaise habitude d'exprimer trop franchement ma vision des choses. Même si je n'avais jamais levé ni les poings ni ma baguette face à un autre élève, je ne supportais guère les moqueries ou les réflexions qui pouvaient fuser à tout-va. Je n'étais pas particulièrement de ceux à défendre quiconque, mais s'il était question de moi, ou de mes amis, je n'hésitais jamais pour répondre. Ma mère tenta plusieurs fois de me faire la remarque, mais ses réprimandes n'avaient rien de très convaincant. Elle semblait au contraire plus satisfaite qu'autre chose de voir que j'étais capable de me défendre, et que je ne me laissais pas écraser par les autres.

Cependant, il y avait bien quelques réflexions qui faisaient mouche chez moi. Et finalement, trop curieuse et trop tentée de savoir la vérité, j'avais commencé à questionner ma mère. C'était là que j'avais connu son nom : Cornelius d'Archambault. Avant cela, il ne m'était jamais réellement venu à l'idée de vouloir en savoir plus sur celui qui m'avait offert une partie de ma vie. Mais j'avais aussi besoin de savoir qui j'étais, et qui je manquais. Comprenant que j'en avais besoin, cet « homme de passage » était finalement devenu « l'homme marié avec lequel on a couché ». Ma mère ne voulait pas en dire plus, et je crois que de toute façon, elle n'en savait pas beaucoup plus. Aussi décidais-je de mener mes propres recherches, découvrant rapidement qu'un certain Rufus d'Archambault avait brillé au sein du Ministère de la Magie Français, avant d'être embarqué dans un scandale qui avait causé la mort mystérieuse d'un né-moldu. J'avais vite regretté mes recherches. Mes conclusions étaient peut-être trop hâtives, mais il me semblait presque évident que celui qui s'avérait être mon grand-père était un meurtrier. Voire même un pro-sang-pur, si j'allais un peu plus loin dans mes déductions. Moi à qui on avait toujours nié la supériorité du sang, je me retrouvais avec une famille paternelle du côté le plus sombre. Mon envie d'en savoir plus sur mon géniteur s'était alors rapidement envolée, et je m'étais contentée de ce que j'avais appris, loin d'en être satisfaite.

J'en étais presque venue à en oublier tout cela, au fil des années. À simplement profiter de ma mère, lorsque j'avais l'occasion de la voir, et des quelques amis que j'avais à Beauxbâtons, poursuivant mes études avec une passion non feinte. Je pensais que je n'aurais jamais affaire à mon père, mais le destin sembla s'en mêler.
J'étais en cours lorsque la nouvelle me fut annoncée. Ma mère avait été victime d'un arrêt cardiaque en plein milieu de sa boutique, et ne s'en était pas relevée. Ce fut si rapide que j'avais bien du mal à y croire. Je m'attendais à tout instant que l'on m'annonce que ce n'était rien d'autre qu'une blague, bien que le premier avril n'était même pas encore arrivé. Mais au fil des jours, au fil des discussions menées avec les services sociaux, la réalité s'imposait peu à peu à moi. J'étais désespérément seule. La seule personne avec qui j'avais vécu ma vie venait de disparaître. Sans surprise, mon grand-père et mon oncle demeuraient introuvables, et je n'en savais que trop peu pour fournir plus de détails. Je m'attendais à finir dans une famille d'accueil, un orphelinat, en attendant ma majorité - qui n'était pas très loin, puisque j'avais déjà 16 ans. Mais non. La correspondance de ma mère avec mon cher géniteur fut mise à jour, et on commença à penser à m'envoyer chez lui. J'eus beau protester de toutes mes forces, les choses étaient déjà enclenchées, et je ne pouvais plus rien y changer.

La rencontre eut lieu quelques semaines plus tard. J'étais presque étonnée d'entendre que ce Cornelius d'Archambault avait fait le déplacement pour me voir. Bien vite, j'avais compris qu'il n'avait pas l'air enchanté d'être ici, tout comme je ne l'étais pas. La rencontre avait été une catastrophe. J'avais à peine parlé, me contentant de le fixer d'un regard froid et agacé, alors qu'il tentait de temps à autre d'engager un semblant de discussion, que j'envoyais valser un en instant. Et pourtant, ce fut vraiment à lui que l'on me confia environ sept jours après. Mes valises avaient été pliées en un rien de temps, et on m'avait poussé jusque dans l'avion pour l'Angleterre, priant pour que je ne fasse pas demi-tour. J'avais bien tenté une dernière parade, assurant que mon anglais était bien trop affreux pour que je suive une scolarité là-bas, mais l'excellence de mon dossier vint rapidement démentir mes propos. Ce fut bien la seule fois que mon intelligence me fut un poids.

L'Angleterre s'était alors imposée à moi. Le luxe et l'abondance aussi, alors que j'entrais chez les d'Archambault, découvrant la fortune et l'opulence dans laquelle ils vivaient drapés. La pauvre femme de mon père semblait bien choquée d'apprendre que ce dernier n'était pas tout blanc, et je m'en serais presque sentie coupable. Mon entrée à Poudlard - école dont je ne savais que très peu de choses - fut négociée en quelques jours, durant lesquels j'appris que j'allais être confiée à ce demi-frère dont mon père semblait chanter les louanges à chaque fois qu'il prononçait son nom. Je ne l'avais jamais rencontré, mais il était certain que je le détestais déjà. Sa vie n'avait été qu'aisance et perfection, et plus j'étais persuadée que les d'Archambault étaient d'affreux élitistes, plus je me doutais que ce cher Cornelius Junior serait détestable. Mais il me fallait bien accepter mon sort. J'étais en un instant devenue une cousine éloignée, celle de ma belle-mère pour la famille de mon père, et celle de mon père pour la famille de ma belle-mère. C'était à croire que mon père continuait ouvertement à nier mon existence, alors que j'étais désormais sous son nez. Cependant, j'avais pris le pli d'éviter de me plaindre. Être accueillie ainsi me permettrait de préserver les économies de ma mère, que je pourrais ainsi éviter de dilapider alors que je ne travaille même pas. Une fois majeure, il est certain que les d'Archambault n'entendront certainement plus parler de moi. En attendant, il me fallait survivre à cette épreuve, alors qu'on me conduisait à Poudlard pour mon entrée en pleine fin d'année. J'allais briller par ma nouveauté, aux côtés d'un garçon auquel j'étais loin de vouloir être associée. Cependant, j'étais presque sûre qu'il serait tout aussi peu ravi que moi de devoir s'occuper de mon intégration. J'avais donc peu de chances de devoir me le coltiner tous les jours. Ne restait plus qu'à tenir, poursuivre mes études avec un toit sur la tête, aussi insupportable pouvait-il être, en attendant de pouvoir mener ma vie seule.

famille maternelle

gabriel pernelle & nathalie boisier (anciennement pernelle)

g r a n d s - p a r e n t s

cassandre pernelle

m è r e

alexandre pernelle

o n c l e

Je ne connais mon oncle Alexandre qu'à travers les récits que m'en a fait ma mère. Malgré leur sept ans de différence, il avait toujours été un grand frère aimant et protecteur envers ma mère. Ils s'entendaient très bien, se racontaient tous leurs problèmes, et se soutenaient toujours. Je crois que c'est son indifférence à lui qui a le plus blessé ma mère lorsqu'il a suivi les conseils de mon grand-père et qu'il a coupé les ponts avec elle après ma naissance. Je me souviens qu'elle a de nombreuses fois essayé de reprendre contact avec lui. Il ne répondait jamais. Les seules nouvelles que ma mère réussissait à avoir étaient celles fournies par les journaux où l'on relatait son excellence lors de ses procès qu'il menait aux côtés de mon grand-père. Malgré cela, ma mère a fini par perdre sa trace. Il a déménagé, et cela a finalement convaincu ma mère d'abandonner ses tentatives pour réparer le lien qui s'était brisé.

famille paternelle

rufus d'archambault & constance d'archambault

g r a n d s - p a r e n t s

cornelius d'archambault

p è r e

claire d'archambault

b e l l e - m è r e

cornelius junior d'archambault

d e m i - f r è r e

J'ai bien du mal à croire que d'ici quelques minutes, je serai entre les murs de cette fameuse école de Poudlard. Je ne sais pas grand chose de cette dernière. J'ai bien entendu dire qu'il s'y passe régulièrement des choses assez étranges, voire même dangereuses, et je me demande s'il est vraiment sûr pour moi d'y finir ma scolarité. Mais je n'ai pas réellement d'autres choix que de m'y rendre. Ma valise est prête, et elle l'est depuis que je suis arrivée en Angleterre puisque je n'ai guère pris la peine de la défaire entièrement. Couché en boule sur cette dernière se trouve Lycan, mon maine coon. Mon père n'a pas semblé très enchanté en découvrant que j'avais un chat d'une taille aussi conséquente, mais ce n'est certainement pas mon problème. S'il a décidé de m'embarquer avec lui, c'était avec tous les bagages, ou rien. Je ne comprends d'ailleurs pas pourquoi il a accepté de s'occuper de ma garde. Je ne vois pour lui aucun réel avantage, surtout qu'il déploie de grands moyens pour taire ma véritable identité. Je suis bien plus un poids qu'autre chose, mais je n'en ai que faire. Il ne m'aura que quelques temps, avant que je ne file pour retrouver une liberté qui me manque déjà. « Aimée, il est temps. » Bon sang, j'en viendrai presque à détester mon prénom tant sa voix peut m'horripiler. Heureusement, je ne l'entends que très rarement. Sans surprise, nous ne passons pas vraiment des heures à discuter.
Comme souvent, je me contente d'un hochement de tête. J'attrape Lycan pour l'installer contre moi, sans même grimacer lorsque je le sens planter ses griffes dans mon épaule pour s'accrocher. J'en ai assez l'habitude, et cela ne m'a de toute manière jamais dérangé. Ma valise dans une main, et la poudre de cheminette dans l'autre, je m'avance dans la cheminée sans même un regard vers mon père. Ce qui est sûr, c'est qu'il sera loin de me manquer.


Les couloirs du château défilent à bonne allure alors que je suis l'un des professeurs qui me mène vers la Grande Salle. On m'a débarrassé de mes affaires et de Lycan, m'affirmant que je les retrouverai ce soir dans le dortoir qui sera devenu le mien après ma répartition. On a aussi pris la peine de m'expliquer le fonctionnement des maisons, bien que je sois intelligente pour m'en être informée au préalable. De toutes ces maisons, aucune ne m'attire plus que les autres. Cependant, il faut bien avouer que j'aimerais le plus possible éviter celle de Serpentard, car d'après les dires de mon père, mon cher demi-frère en fait partie.
D'après le professeur, les élèves sont déjà installés en attendant le dîner. En résumé, j'ai bien compris que j'allais être répartie et présentée seule devant des centaines d'élèves qui doivent se demander pourquoi une élève arriverait en fin d'année. Vraiment, je n'y vois moi-même pas l'intérêt, mais encore une fois, je n'ai pas le choix. Les grandes portes de la salle s'ouvrent finalement pour me laisser entrer. Tous les regards se tournent vers moi, et je me félicite d'être de ceux qui ne sont pas gênés par le regard des autres. J'en soutiens quelques uns sans sourciller, et sans chercher à repérer le fameux Junior. J'aurais tout le temps de tomber sur lui plus tard. La directrice - en tout cas, je suppose que cela doit être elle - me salue d'un signe de la tête et d'un sourire. On m'indique finalement un tabouret pour que je m'assois, non sans m'avoir présentée d'un simple « Accueillez comme il se doit notre nouvelle élève Aimée Pernelle. » Le professeur qui m'a accompagné jusque-là pose une sorte de chapeau sur ma tête, dont la voix m'emplie l'esprit. Je prie simplement pour qu'il se dépêche un peu, histoire que je puisse manger un peu et échapper à ces regards insistants. Comme s'ils n'avaient jamais vu de nouvel élève... Le chapeau semble réfléchir un instant, avant de prononcer son verdict.

Maintenant que tu es réparti(e), il ne faut pas te reposer sur tes lauriers. Ta vie NYLienne commence à peine et pour la faire démarrer sur de bonnes bases, il te reste encore pas mal de petites choses à faire. Ne t'inquiètes pas, je vais tout te montrer...

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Heureusement, il n'y a pas que les cours dans la vie ! Tu vas pouvoir t'entraîner à être une fouine en écoutant les rumeurs qui se baladent dans les couloirs, attraper ton balai pour devenir le plus grand joueur de Quidditch de l'histoire de Poudlard... Enfin, pour être sûr(e) de ne rien louper des activités qui te seront proposées, garde un oeil sur le panneau d'affichage, et sur la Gazette du Sorcier pour être informé(e) de tout ce qui peut bien se passer dans le monde magique.

Le HRP (hors-RP) te donnera également de quoi t'occuper grâce à une partie Flood bien remplie. Tu pourras également faire plaisir aux autres membres en leur offrant des cadeaux. N'oublie pas, à l'occasion, de passer sur la ChatBox, avec un peu de chance, tu tomberas en plein jeu... S'il y a quelque chose que tu ne comprends pas, nous répondrons à toutes tes questions.

Sur ce, je te souhaite beaucoup de plaisir dans cette nouvelle vie qui commence, et plein de merveilleux RPs !