Cours des Cinquième Années Episode Un : Evanesco.

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Cinquième année

Evanesco

Nous venons de passer seulement quelques minutes dans la salle de cours que j’ai déjà pris le prof de métamorphose en grippe. Je ne l’aime pas et je ne l’aimerais jamais, c’est mort. Il aurait au moins pu s’écraser en se rendant compte qu’il avait tort plutôt que de nous traiter comme des enfants capricieux. Mais non, au lieu de ça, il nous prend de haut, nous parle avec un mépris des plus irritants et nous traite de babouins par-dessus le marché. Je n’en peux plus, il me sort par les yeux et la colère gronde en moins, plus féroce et plus vive que jamais. Pourtant, je me contiens, sachant pertinemment que les conséquences peuvent être particulièrement désastreuses si je m’attaque à un enseignant, même si celui-ci a tort, évidemment. Au lieu de m’en prendre à lui, je me contente d’attraper ma baguette comme il me l’a suggéré pour me diriger vers la porte d’une démarche assurée alors que je tente de regagner mon calme et de maitriser la rage que je menace d’extérioriser à n’importe quel moment. « ALHOMORA » Dis-je d’une voix forte, entendant de manière quasi immédiate le cliquetis de la serrure qui se déverrouille. Je suis plutôt fière de ma prestation mais refuse de sourire alors que je retourne m’assoir, je plonge mes yeux dans ceux de mon professeur alors que je regagne mon siège et soutiens son regard un instant, non sans une lueur de défi, avant de baisser les yeux vers mon pupitre pour ne m’attirer une nouvelle fois ses foudres. C’est décidé, je n’aurais pas le moindre respect pour cette homme-là, jamais. Certes, je vais suivre ses cours, obéir, réaliser les exercices et faire ce que je peux pour obtenir des notes correctes aux BUSE parce que j’en ai besoin et que ce ne serait pas me rendre service que de me faire virer pour insolence, mais mon opinion à son sujet ne changera pas et il ne risque pas d’obtenir quoi que ce soit de moi, ne serait-ce que mon estime. Heureusement pour lui, il s’en fiche probablement comme de son premier caleçon et tant mieux, mais il ferait bien de se rendre compte que ses méthodes éducatives sont dépassées et obsolètes, ça rendrait service à tout le monde.

J’arrive un peu à me calmer en écoutant la fin de ses explications et commence tout de même à prendre quelques notes sur le cours. La porte étant déverrouillée à présent, je me sens tout de même un peu mieux parce que je ne me sens plus oppressée comme ça a pu être le cas auparavant. Je sais que je dois me reconcentrer sur le cours d’autant plus que savoir qu’on peut faire disparaitre des êtres humains et des animaux n’est pas franchement inintéressant, bien au contraire. Dommage pour moi, mon niveau en métamorphose reste très moyen, je ne pense donc pas avoir le niveau pour réussir la prouesse de faire disparaitre un être vivant quel qu’il soit, mais j’avoue que j’adorerais faire disparaitre notre nouveau professeur qui est déjà, après quelques minutes de cours, dans ma ligne de mire. Je devrais peut-être demander à Spencer ? Lui, il est doué partout, alors je suis sûre qu’il réussirait à faire ce que je lui demande. Ou alors, il faut que je demande à Tracy, elle est loin d’être mauvaise, elle aussi, même si je suis persuadée qu’elle est plus douée en théorie qu’en pratique parce qu’elle apprend tout dans les bouquins. Mais bon, ce n’est peut-être qu’un simple préjugé parce qu’elle a un peu la dégaine de la petite intello de la classe. En attendant, ça va être à moi de faire mes preuves et en attendant de pouvoir faire disparaitre le prof, il faut d’abord que je me concentre sur ce verre d’eau. Je prends ma baguette et m’apprête à réaliser le deuxième sortilège de ma journée, le tout en essayant évidemment de ne pas complètement me planter histoire de ne pas attirer l’attention du professeur qui serait probablement très heureux de me rappeler à l’ordre après le mini scandale de tout à l’heure, même si celui-ci n’était destiné qu’à exprimer le fond de ma pensée et non pas à attaquer personnellement notre enseignant. « EVANESCO ! » Je prononce distinctement le sortilège, pointant ma baguette sur la coupe remplie d’eau qui se trouve devant moi.

1 et 2 – Réussite parfaite, toute l’eau s’évapore soudainement. A croire que la colère me donne des ailes.
3 et 4 – L’eau commence à s’évaporer mais bizarrement l’évaporation s’arrête avant que la coupe soit complètement vide. Il en reste au moins la moitié, ce n’est pas une belle réussite.
5 et 6 – Je n’ai pas l’impression d’avoir fait un truc mal pourtant au lieu de disparaitre, l’eau forme une énorme bulle qui s’élève avant de retomber, éclaboussant mon pupitre, mon parchemin, moi-même et tout ce qui se trouve autour… Pour ce qui est de ne pas se faire remarquer, c’est raté.

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Dernière édition par Savannah R. Caldwell le Ven 10 Nov - 21:33, édité 1 fois

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'Le Hasard' : 5

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Cinquième année

Evanesco

Les choses étaient clairement en train de dégénérer dans ce cours, les élèves commençaient à se dresser contre le professeur pour une histoire de porte et ça commençait vraiment à prendre une ampleur un peu trop importante aux yeux de la Gryffondor. Certes, elle pouvait parfaitement comprendre que ce soit difficile à vivre pour les nés-moldus, elle-même n’appréciait pas trop la façon de faire de l’enseignant même s’il était un peu normal qu’il les pousse à aller de l’avant mais ce n’était pas une raison pour être agressif comme ça. En plus, le professeur Maxwell semblait être un homme d’âge mûr, donc un homme d’expérience qui savait nécessairement ce qu’il faisait. Certes, il devait certainement être susceptible de faire des erreurs, mais dans ce cas, il devait être tout à fait possible d’en discuter avec lui de manière à peu près sereine et courtoise sans que le cours finisse en véritable pugilat. La tension était palpable dans l’air et Sinéad n’hésitait pas à se tourner toutes les deux secondes vers Perrin pour être sûr que ce dernier n’aurait pas la très mauvaise idée d’essayer de défendre la veuve et l’orphelin en se lançant dans une bataille qui ne le concernait pas vraiment et dont il ne ressortirait évidemment pas vainqueur. Bon, en soit, les élèves avaient le droit d’exprimer ce qu’ils pensaient mais il y avait des façons de faire les choses et elle avait toujours trouvé que contredire ouvertement un professeur ne se faisait pas, même en cas de profond désaccord. Les éléments perturbateurs n’avaient qu’à aller le voir après le cours, se serait très bien. Même la pauvre Tracy qui tenta tant bien que mal d’en revenir au sujet du jour se fit lâchement rembarrer par le professeur qui préféra gérer le conflit en cours avant de revenir à elle.

Heureusement pour tout le monde, une fois la porte rouverte, le cours put reprendre normalement et le professeur Maxwell acheva la partie théorique en lui faisant remarquer qu’elle avait tort ce qui lui donna forcément envie de se cacher dans un trou de souris. Mais bon, elle n’allait pas se formaliser pour si peu, l’heure était venue de passer à la pratique et le professeur l’impressionna en montrant l’exemple sans la moindre difficulté. En même temps, il n’était pas leur professeur pour rien, il était bien normal que ça ne soit pas trop difficile pour lui, sinon ça aurait juste prouvé qu’il ne maitrisait pas sa matière, chose particulièrement inquiétante. La rouge et or écouta donc parfaitement les instructions de la partie pratique, prenant encore quelques notes pour être sûre d’avoir tout bien retenu avant de se lancer. Toutefois, avant même qu’elle ait pu lancer son sortilège, une bulle d’eau explosa dans la classe la forçant à se coucher à moitié sur son parchemin pour éviter qu’il ne soit trempé. Heureusement, il n’y avait pas trop d’eau dans cette coupe et la rouge et or avait reçu à peine quelques gouttes. Son parchemin était sain et sauf et elle allait pouvoir reprendre l’exercice du jour sans plus tarder. De nouveau, elle se concentra sur son exercice, espérant que cette fois, aucun raté ne viendrait mettre à mal cette concentration. Baguette en main, sortilège révisé bien en tête, la jeune fille tenta enfin sa chance, prononçant distinctement le sortilège qu’ils venaient tous d’apprendre de la manière dont le professeur l’avait énoncé précédemment. « Evanesco ! » Déclara-t-elle en visant l’eau qui se trouvait dans la coupe en faisant bien attention à ne pas viser la coupe en elle-même, l’exercice semblait peut-être simple quand il était réalisé par leur professeur mais ce n’était pas pour autant qu’il l’était pour de vrai.

1 & 2 – L’eau s’évapore parfaitement, un vrai jeu d’enfant, elle a bien fait de se montrer attentive.
3 & 4 – L’eau disparait, certes, mais le problème c’est que la coupe aussi a disparu… On ne peut pas dire que l’exercice soit pleinement réussi du coup.
5 et 6 – Au lieu de disparaitre, il y a de plus en plus d’eau dans la coupe qui se remplit à vue d’œil avant de commencer à déborder. Inondation partie deux.

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Dernière édition par Sinéad P. O'Riordàn le Ven 10 Nov - 22:55, édité 1 fois

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'Le Hasard' : 4

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c'est ma tête qui va s'evanesco

J'avais tendance à me renfermer dans ma bulle quand les choses ne tournaient pas comme je le voulais, et à rendre cette paroi hermétique. Alors je fixais le professeur en me demandant quelles étaient ses réelles intentions. C'est vrai, c'est pas comme si nous avions été traumatisés pendant des mois. Ce n'est pas comme si nous étions âgés entre 11 et 17 ans. Certainement je ne gérerai plus mes traumas de la même façon à son âge, mais c'était inutile de nous faire un discours moralisateur en prime.
Personnellement, cette porte, qu'elle soit ouverte ou fermée, je m'en fichais. Je l'avais fait pour Jill et je ne me mettrais pas à défier l'autorité en rouvrant la porte sans permission. Si j'avais un peu plus de cran, un peu plus de volonté, ou si j'étais simplement moi-même, j'aurais certainement argumenté pour sortir, mais les renforts de mes camarades et ma voix qui se nouait était le signe que je pouvais m'effacer. Je mordis ma lèvre intérieure, fixant le Professeur Maxwell comme si j'espérais qu'il allait avouer que tout cela était une farce, puis baissai les yeux vers mon carnet de notes, où j'ajoutai un nouveau tiret. Ce n'était pas celui du cours, sensé être porté sur le sortilège de disparition. C'était mon carnet personnel, où le psychomage me demandait de renseigner toutes les pensées destructrices qui me restaient en tête. Je ne sais pas si c'était réellement sensé m'aider, mais il faut dire qu'elle doit être à court d'idées. Au moins, cette liste me faisait me rendre compte que j'étais en colère. En colère que tout le monde et personne à la fois, parce que les responsables de mon état se trouvaient dans leurs cellules à Azkaban, étaient morts, ou en fuite. Maintenant, je ne sais pas pourquoi ma colère ne s'évaporait pas. Je ne sais pas pourquoi ma tête se focalisait automatiquement vers les mauvaises choses. Il n'y avait qu'à voir ces courtes vacances avec Jill, j'étais bien, j'allais mieux. C'est seulement quand je me retrouve seule dans ma tête, seule dans mes pensées, que cette orage qui me dévore tonne à nouveau et m'assaillit de noires pensées. Il est sensé être un soutien dans notre reconstruction, il est notre nouveau bourreau. Je baisse les yeux et l'émotion m'envahit à nouveau. Ma peau est parcourue de frissons et les larmes me montent aux yeux sans que je ne puisse les retenir. D'un revers de manche, je les sèche avant que quelqu'un ne me voit, et m'oblige à cesser de trembler comme une feuille.

Elle se tient près de la porte close, mais déverrouillée et regagne sa place le visage fermé. Je la fixe, je la comprends et j'essaie de croiser son regard pour lui souffler un merci, dont le son ne franchira jamais mes lèvres. J'essaie d'inspirer par le nez, d'expirer par la bouche pour me calmer. Tant que je ne fais pas une crise, tout va bien. Ce serait l'horreur sinon, la honte intersidérale ; je fais ma valise et je rentre au Manoir. Le professeur et directeur de maison parle, mais je ne l'entends pas. Je ne veux pas l'entendre, je veux qu'il se taise. Je veux qu'il s'excuse et nous laisse nous en aller. Je veux qu'il me répare, qu'il fasse disparaître ce malaise qui me ronge. Je m'en fous de son eau à faire disparaître. Je fixe ma baguette, posée dans la rainure de mon banc sans la toucher. Je ferme les yeux. Je n'y arriverai jamais. Pas dix mois comme ça. Pas dix jours non plus. Survivre au moins à cette journée. Dix heures après dix heures, on verra après. J'entends distinctement la voix de Savannah et rouvre les yeux pour voir l'eau de sa coupe s'élever et l'éclabousser. En temps normal, j'aurais certainement éclater de rire sans ménagement. Mais étant donné qu'elle venait de s'élever dans mon camp, je ne pouvais pas la laisser tomber. Sans me poser de nouvelles questions, j'attrape ma baguette et la pointe dans sa direction, confiante. Je ne suis certainement pas la meilleure en sortilèges ou défense contre les forces du mal, mais je me débrouille en métamorphose. Alors si je peux mettre à profit mes compétences pour rendre la pareille à l'une des jumelles, c'était le moins que je puisse faire. « Evanesco. »

#Dés 1 :
1-4 : Oh oh, il aurait mieux valu s'abstenir, c'est carrément pire que mieux.
2-5 : Mission réussie, l'eau s'évapore sans vapeur.
3-6: Rien ne se passe, mais je reste sceptique devant mon échec. Cette fois, je cible l'eau contenue dans mon gobelet personnel. « Evanesco. » avec un peu plus d'insistance.

#Dés 2 :
1-4 : Le liquide disparaît jusqu'à la dernière goutte, mais je n'éprouve aucune réelle fierté. Aider Savannah me paraissait plus important que cet exercice stupide.
2-5 : Je ne sais pas pourquoi j'ai pensé au professeur. C'est vrai que je le ferais disparaître si je le pouvais, mais il semblerait que je l'ai fait disparaître, en partie ; quelques poils de son sourcil droit, pour être exacte ... On va faire comme si de rien n'était.
3-6: Rien ne se passe, puis un éclair blanc et le contenu se met à buller étrangement, en faisant s'élever de grosses bulles de savon au-dessus d'elle. Au moins, ça aura peut-être le don de détourner l'attention.

Le membre 'Octavia Rosenberg' a effectué l'action suivante : Le Hasard

'Le Hasard' : 6, 3

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Penser aux trois premiers chapitres du roman moldu que m’avait donné ma sœur Emmy cet été. Voilà ce que j’avais décidé de faire au moment où j’avais compris que la discussion allait s’attarder sur la porte de la classe verrouillée. L’idée m’horrifiait autant que les autres mais je n’avais pas eu l’intention de le dire à voix haute… Je voulais que le cours commence pour se finir encore plus vite ; là était l’objectif du jour. J’étais pourtant loin d’être désintéressée par le cours de sortilège, mais une seule contrariété pouvait parfois me suffire. J’osais un mince sourire bien calculé à Octavia quand elle me parla de Tracy…du moins c’est ce que je croyais, la jeune femme venait de se montrer imperturbable en répondant à la question du prof …. Je hochais la tête à la question d’Octavia avant de garder la bouche fermée… Pas la peine de rester sur ses craintes ; j’avais horreur d’avoir peur et surtout, en temps normal, je n’avais peur de rien ! Tracy continua à s’intéresser au cours après que ce dernier eut fait un aparté sur ce qui avait pour point de départ la porte verrouillée, ce qui me donna presque envie de sourire, mais je me reconcentrais sur autre chose attendant le moment où nous lancerions un sort (de disparition, si j’avais bien compris)…
Mon désintérêt forcé pour la conversation ne m’empêchait pas de remarquer que le prof était buté dans son idée et qu’il ne déverrouillait pas la porte. Un autre coup d’œil de la part d’Octavia me poussa à lui murmurer : « ça ne sert à rien d’écouter ce qu’il dit… des gens se plaindront sûrement à Londubat, non ? » J’osais un coup d’œil vers le prof qui levait les yeux au ciel en reprenant ses paroles que je me forçais à ne pas écouter. J’en profitais un coup d’œil vers les autres élèves et écarquillais légèrement les yeux en posant les yeux pendant quelques secondes sur Spencer. Trois secondes, pas plus, je détournais immédiatement pour adresser un petit sourire un peu navré à Tasha qui n’était pas assise très loin de moi. Elle non plus, ne disait rien et adoptait la même attitude que moi…. Elle attendait sûrement que le cours revienne à la normale.

Ce qui arriva quelques instants après à mon grand soulagement. Je n’avais écouté que la moitié de ce qui avait été dit sur le sort, mais cela m’importait peu. J’avais entendu « l’eau » et « faire disparaître », ce qui me suffisait à déduire le principe de l’exercice. Le sort venait d’être donné par le prof, il était maintenant question de s’exercer et le petit bruit de fond me soulagerait sans doute encore un peu. Profitant de voir que tout le monde s’activait pour prendre une coupe d’eau et de tenter le sort, je glissais à Octavia avec humour et discrètement : « Y’en a combien qui sont capables de la boire pour la faire disparaître ? » Je me reconcentrais après un petit coup d’œil amusé à Octavia, essayant de prononcer dire le sort dans ma tête avant de le formuler à voix basse. Ma concentration fut mise à rude épreuve quand je remarquais l’effet du sort d’Octavia sur sa coupe d’eau. A mourir de rire, mais je me pinçais tout de suite les lèvres pour ne pas en arriver là et tentais à mon tour en m’écriant : « Evanesco ! », la baguette pointée sur l’eau qui remplissait ma coupe.

1 – 6 : Parfait ! Un coup de baguette magique et un seul essai ont suffi à faire disparaître l’eau de la coupe… Sûrement cette envie de quitter la salle de classe plus vite qu’il ne faut… Malgré ce fond de pensée, je suis très fière de moi !
2 – 5 : L’eau disparaît et je m’apprête à sortir mon sourire triomphant avant de remarquer que la moitié de la coupe s’est vidée… Il reste de l’eau au fond, c’est une semi-réussite….
3 – 4 : Bon ben… y’a peut-être une goutte ou deux qui est partie, non ? C’est un échec….

Le membre 'Jill J. Adams' a effectué l'action suivante : Le Hasard

'Le Hasard' : 3

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Cours de métamorphose numéro 1Après que les élèves se soient révoltes contre lui, le professeur commença à les rembarrer et à les traiter de babouins et de gamins. Mais il savait ce qu'il faisait, non? C'était un professeur et il semblait assez vieux donc assez expérimenté. Finalement, une jeune élève de la classe ouvrit la porte avec "Alohomora" (un sort appris en première année), suggestion du professeur Maxwell d'ailleurs.

Tracy avait tenté de remettre les pendules à l'heure et donc de remettre le cours au premier plan mais le professeur avait préféré d'abord réglé le conflit avant de donner les explications sur le sort et sur la pratique. Logan en était heureux, vraiment. Il n'avait rien contre les Nés-Moldus, c'était plus sa famille qui était ainsi. Mais il donnait le change devant ses amis, quoi. En effet, il sortait avec un Né-Moldu en cachette et avait un "alibi" en face de ses amis ou parents, seules quelques amis et ses frères et soeurs savaient la vérité. Il se demandait bien si les Nés-Moldus qui avait eu peur de la porte fermée connaissait Maxim et quel aurait été sa réaction à lui face à ça. Bref revenons au cours.

Le professeur expliqua le geste et l'intonation du sort afin que l'eau dans les coupes disparaissent. Logan nota tout ça et se mit à répéter le geste sans dire le sort. Il avait hâte de voir ce qu'il ferait et qu'il réussirait. En cours de sortilèges, il n'avait eu qu'une semie-réussite. Peut-être le fait de ne pas avoir Maxim avec lui en cinquième année? En tout cas, il avait hâte de voir le résultat et d'accumuler de nouvelles connaissances, comme dans chaque cours et dans chaque année.

Une fois prêt, il lança le sort avec le geste. Il prononça donc "Evanesco" et accentua donc le "Co" comme prévu. Il avait hâte de voir si l'eau avait disparu dans la coupe entièrement ou non.

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1-3: Logan a bien lancé le sort et toute l'eau s'est évaporé dans la coupe... Réussite parfaite!
2-5: Logan a bien lancé le sort. Du moins, il le pense. En effet, après quelques minutes, il se rend compte qu'il y a quelques gouttes qui restent au fond de la coupe... Semie-réussite donc.
4:6: Logan fait mal le geste, il est distrait par ses voisins qui réussissent par la plupart, du moins partiellement. L'eau reste donc dans la coupe... Échec!

Le membre 'Logan A. Light' a effectué l'action suivante : Le Hasard

'Le Hasard' : 3

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métamorphose
Feat les 5ème année

Ce n’était que le premier jour de cours en Métamorphose et je commençais déjà à me sentir assez mal à l’aise dans cette salle. Le professeur semblait vouloir nous montrer qu’il comprenait tout à fait le calvaire qu’avaient vécu certaines personnes l’an dernier mais son nouveau discours ne m'a pas vraiment plu. Nous comparer à des babouins braillards ou tout simplement dire que nous agissions comme des enfants n’était pas la meilleure idée à faire. Pour lui, il ne s’agissait que d’une simple porte fermée mais pour d’autres, qui avaient croupi dans les geôles pendant des mois interminables, c’était le symbole de la privation de leur liberté, le symbole de l’hermétisme qu’on leur avait imposé, de l’impossibilité de s’y extraire et de l’obligation de se comporter comme des objets ou des esclaves. J’avais le sentiment que le professeur Maxwell en demandait trop à des jeunes de notre âge qui n’avions pas eu l’habitude de connaître les temps de guerre. Voir nos amis être retenus en captivité si longtemps constituait déjà une épreuve assez choquante pour que nous puissions nous en débarrasser en seulement quelques semaines…

Finalement, j’ai été presque soulagée de voir Savannah rouvrir la porte. Pas pour moi, mais pour les autres. Le cours a pu reprendre son cours normal des choses et l’enseignant nous a expliqué l’effet du sort Evanesco qui visait à faire disparaître une cible ou moins précisément des ‘choses’, comme il le disait. Il ne s’agissait en rien d’invisibilité puisque le sort affectait réellement l’existence de l’objet sur le plan physique. J’ai pris note de tout cela, soulignant les mots clés et me répétant de bien les retenir pour ne pas me planter à l’examen. En général, je m’en sortais avec un Piètre ou un Acceptable mais comme il s’agissait de l’année des BUSEs et que ma mère m’avait mis la pression là-dessus, il fallait que je gère un minimum. Enfin, je verrai bien. De toute façon, ce n’était pas comme si je souhaitais poursuivre la matière en sixième année.

Concernant la partie sur la où allaient les objets disparus, j’avouais être un peu paumée car si je savais ce qu’était le transplanage, la désartibulation était un truc dont j’avais vaguement entendu parler par mon beau-père quand il faisait ses déplacements jusqu’à son lieu de travail. Je saisissais un peu où Maxwell voulait en venir mais pas totalement. C’était difficile d’imaginer une partie de corps présente mais qui ne l’était pas vraiment. J’ai donc froncé des sourcils en essayant de recopier l’explication du mieux que je le pouvais.

Après une rapide démonstration du vieil homme, il nous a donné le feu vert pour pratiquer. J’avais les consignes en tête très rapidement et j’espérais ne pas être trop naze pour un premier cours. J’ai regardé attentivement ma coupe remplie d’eau, j’ai tendu ma baguette au-dessus de sa surface et j’ai tenté de me concentrer uniquement sur l’idée d’en faire disparaître le contenu.

« EvanesCO ! »

2 - 6 : Wow, Tasha ne s'y attendait pas ! L'eau disparaît effectivement et elle lève légèrement la coupe vide, sourire amusée aux lèvres.
3 : Ce n'est pas terrible... la coupe ne se vide qu'à moitié. Il faut recommencer.
1 - 4 - 5 : C'est n'importe quoi. La coupe explose au moment même où elle prononce la dernière syllabe du sortilège. Tasha se tourne en se couvrant le visage pour éviter l'impact. En revanche, elle craint pour ses voisins et notamment Perrin !

FRIMELDA

Le membre 'Tasha E. Lennox-Blackwood' a effectué l'action suivante : Le Hasard

'Le Hasard' : 1

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Evanesco

Elèves de 5ème année

Finalement, ce cours allait peut-être être intéressant. En tout cas, il me donne matière à réflexion et je ne pensais pas que cela serait possible pendant un redoublement. Je m’attendais plutôt à revoir strictement la même chose que l’année dernière ce qui n’a rien de très réjouissant en soi. Mais … Se pourrait-il que je me sois trompé ? Se pourrait-il que le cours de Métamorphose promette à l’inverse des cours originaux qui me permettront d’oublier ma routine ennuyante à souhait ? J’avais envie d’y croire. En tout cas, je pouvais au moins m’intéresser à ce cours. La voix d’Hadley se met à retentir et j’écoute avec attention les ajouts intéressants qu’elle fait, allant visiblement dans mon sens. Il serait donc possible de faire disparaître des animaux ? C’est plutôt cool en effet. Une Poufsouffle prend alors la parole mais pas réellement pour participer au débat. Elle demande plutôt s’il est possible d’ouvrir la porte. Me retournant vers elle, je remarque que sa voisine n’a pas l’air bien. La réaction du professeur me surprend lorsqu’il la rembarre purement et simplement. Je trouve ça un peu fort de café. Il n’a pas subi ce qu’on a subi l’année dernière, faut pas abuser non plus ! Certes, j’entends bien qu’il ne nous veut aucun mal mais il ne peut pas vraiment nous obliger à vaincre nos traumatismes comme ça … Tout le monde ne semble pas d’accord avec lui et Elliot se permet de le contredire. Je ne le savais pas aussi courageux le petit ! Quand est-ce qu’il prendra également son courage à deux mains pour aller plus loin avec ma sœur ? Il serait temps ! A côté de moi, Tracy se remet à parler du cours, comme si elle souhaitait qu’on ne revienne pas sur le sujet de la porte close mais un geste du professeur suffit à indiquer que les réponses ne sont plus dans ses priorités. Un détail attire alors mon attention et je fixe Tracy, remarquant qu’elle-même à l’air nerveuse. Qu’est-ce qui lui arrive à elle maintenant ? C’est alors que contre toute attente, la voix de Savannah retentit. J’ai presqu’envie de l’applaudir à la fin pour lui montrer mon soutient mais je m’abstiens. A la place, j’écoute Maxwell nous faire la leçon avant de revenir au cours. Assez lunaire cette heure dis donc. Savannah va déverrouiller la porte tandis que le prof confirme ce que je pensais à propos des sorts de disparitions. Après d’autres explications que je trouve vraiment intéressantes, le professeur nous propose de passer à l’action en nous exerçant à faire disparaître l’eau des coupes qui viennent d’apparaitre sous nos yeux. Il nous montre comment faire avant de nous enjoindre à nous entraîner à notre tour. Je me concentre, intégrant le geste et la formulation qu’il vient de nous montrer avant d’essayer.

4, 5 – L’eau disparaît d’un coup de la coupe. La réussite est parfaite. J’adore ce sortilège !
3, 6 – Seulement la moitié de l’eau contenue dans la coupe disparaît. On avait pas dit toute l’eau ? La réussite est partielle.
1, 2 – Rien ne se produit. Je crois que c’est ce qu’on appelle un fail.

Code by Sleepy

Le membre 'Avalon L. Caldwell' a effectué l'action suivante : Le Hasard

'Le Hasard' : 4

❝ Cours N°1 de Métamorphose : Evanesco ❞

Hadley Le cours s'arrêta en plein milieu. Sur le coup, je ne m'en suis pas rendue compte, trop occupée à écrire certaines informations intéressantes et quelques interrogations. Et puis finalement je me rends compte que le sujet a dévié sur un tout autre sujet. Le professeur avait fermé la porte à clé, afin de ne pas être dérangé. A mes yeux, cela ne posait aucun soucis. En fait je m'en moquais, nous pouvions tous l'ouvrir si nous le voulions, non ? Un petit coup de baguette magique et le tour était joué. Mais visiblement cela posait plus de soucis à mes camarades, surtout ceux qui ont été enfermé dans les cachots. Je pouvais concevoir leur angoisse, sans pour autant la comprendre. N'ayant pas vécu la même situation qu'eux, j'ai bien du mal à pouvoir mettre des mots sur leurs sentiments. Il étaient en train de tenter de se remettre de leur traumatisme, je pouvais le comprendre, mais nous n'allions pas passer notre année à devoir laisser la porte ouverte sous prétexte qu'ils sont devenu claustrophobe, si ? Je peux apparaître sans coeur, je le conçois, mais j'avoue que si ça doit perturber le cours, je ne suis pas trop pour. Après, était-ce le fait de fermer à clé qui leur posait problème ? Dans ce cas là, il suffisait juste de demander au professeur de ne pas le faire, il devait bien être compréhensif, non ? En prenant la conversation en vol, je me rendis compte que peut-être que non. Visiblement il avait une idée bien arrêtée sur la question et n'avait pas l'air d'être ultra ouvert d'esprit. C'était bien dommage, surtout que j'avais un peu peur que cette histoire perturbe trop longtemps le cours et que nous allions perdre une heure ou deux pour pas grand chose. Je sais, je parais encore inhumaine mais cela n'a rien à voir avec mes camarades, je n'ai juste pas envie d'être pénalisé à cause d'un traumatisme que je n'ai pas vécu.

Fort heureusement pour moi, Tracy remit le cours sur le devant de la scène en revenant sur mes propos et grâce à son intervention nous pûmes reprendre le fil du cours. Je n'étais pas contre une discussion entre les élèves concernés par le traumatisme et le professeur mais s'ils pouvaient faire ça à la fin de l'heure, ça m'arrangerais. Je repris en note les propos du professeur, mettant quelques interrogations en bas de page. Je déterminerais à la fin du cours, selon l'heure, si je les posais au professeur ou si j'allais chercher les réponses dans les ouvrages de référence, quitte à envoyer une lettre au professeur si jamais je ne parvenais pas à trouver la réponse. Mon poignet était légèrement douloureux à la fin de la prise de note mais pour être honnête, cela m'avais presque manqué. J'adore cette sensation, certes un peu douloureuse, mais révélatrice d'une acquisition de nouvelles connaissances. Une fois le point final mis, je rangeais ma plume et j'écoutais la suite des explications du professeur. Nous allions passer à la pratique maintenant. Moment un peu angoissant, mais en même temps extrêmement intéressant. Angoissant parce que c'était tout nouveau et que c'était bien joli d'apprendre dans les livres, mais cela demandait de l'entrainement de réussir les sorts, mais excitant parce que j'adorais réussir mes sorts. Alors parfois il me fallait du temps, mais j'étais quelqu'un de très patient et de très déterminé. On ne peut pas tout réussir du premier coup, il faut savoir user de sérieux et pratiquer beaucoup pour être au top. Mes parents m'ont toujours appris qu'on n'avait jamais rien sans rien. J'observais le professeur et je mémorisais ce qu'il nous disait. Cela n'avait pas l'air si compliqué, en théorie je devrais pouvoir y arriver sans trop de difficulté. Voyons ça. D'un mouvement de la baguette, je prononçais distinctement « EVANESCO »

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1-3 >> Réussite totale, plus une goute d'eau dans le verre devant moi. Je suis très fière de mon sort brillamment exécuté.
5-6 >> Réussite partielle, l'eau disparait mais pas complètement, il en reste encore un peu. Il va falloir réessayer et surtout ne pas baisser les bras.
2-4 >> Echec total, plus de verre, ni d'eau. Oups !!

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'Le Hasard' : 4

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Evanesco

Tracy & les cinquièmes

Ce cours commençait à ne plus du tout lui plaire. Entre les diverses protestations de la part de chacun, les débats quant à savoir si cette porte resterait ouverte ou non, et la question de savoir s’il était trop tôt ou non pour vaincre leurs traumatismes, Tracy commençait à être réellement agacée de cette situation. Elle avait tenté une nouvelle participation, afin de tenter de dévier le sujet et de le ramener à l’essentiel, c’est à dire au contenu du cours, mais non, l’enseignant ne semblait pas disposé à l’écouter. Pire encore, il lui adressa un mouvement de la main qu’elle jugea absolument irrespectueux, et qui la piqua au vif. Elle se redressa sur sa chaise, les joues teintées, légèrement écarlate. Comment pouvait-il se permettre… ? L’envie pure et simple de se lever, traverser la classe et déverrouiller cette maudite porte pour tout simplement quitter le cours lui traversa l’esprit tant elle était furieuse. Mais elle était encore suffisamment raisonnable pour se rendre compte des répercussions qu’une telle action entraînerait, elle se contenta donc de rester de marbre, le regard un peu plus noir, l’écoutant argumenter sur cette fichue porte qui semblait être le centre des intérêts. Comme si c’était censé leur faire oublier leurs effrois, et ne pas les réveiller qu’en parler sans cesse… ! Est-ce que c’était trop demander de tout simplement passer à autre chose ? Apparemment oui, puisque hormis Hadley, personne ne se résolvait à revenir à l’Evanesco. Lorsqu’il voulut bien revenir à son intervention, elle écouta attentivement sa réponse, et nota cependant méticuleusement toutes les informations qu’il voulut bien donner. Heureusement, on se recentrait un peu sur l’essentiel, et les effets du sortilège de disparition étaient prioritaires sur ces questions parasites… Depuis son retour de la Ferme, elle s’acharnait à penser le moins possible aux trois mois d’enfer qu’elle avait vécus, et elle refusait obstinément d’avoir à y revenir. Ne pas en parler, refouler tout souvenir d’enfermement, vaincre la solitude… ces solutions-là lui paraissaient plus efficaces. Et peut-être ainsi qu’un jour, elle aurait le plaisir de se lever un matin, avec l’impression que tout ça n’était qu’un mauvais rêve. Que ce n’était pas sa vie, mais celle de quelqu’un d’autre.

L’heure de passer à la pratique vint, et sans tarder, elle se saisit de sa baguette pour s’exécuter. Elle étudia le mouvement de pendule qu’il effectua au dessus de la coupe, et se plaça au dessus de la sienne, avant de voir comment s’en sortaient les autres en premier lieu. Celle qu’elle considérait comme la plus sympathique des jumelles Caldwell s’exécuta, sans malheureusement rencontrer beaucoup de succès dans son entreprise, puisque sa bulle d’eau explosa littéralement sur ses affaires. De là, une suite d’échecs s’ensuivit, avec O’Riordàn qui fit malheureusement disparaître sa coupe en plus de l’eau, Rosenberg qui semblait davantage rencontrer de succès en créant des bulles de savons, et la soeur d’Oliver qui ne parvint pas à un résultat… sa gorge se serra. Saurait-elle faire mieux ? Elle n’en était pas persuadée. Trépignant presque sa chaise, elle remarqua, avant d’effectuer son sort, que Lennox-Blackwood se lançait elle aussi dans la réalisation de son sortilège… « EvanesCO ! »

3-6 : L’eau contenue dans la coupe disparait entièrement. C’est une réussite pour Tracy, qui tente maintenant d’aller aider les autres, en commençant par sécher le pupitre de Savannah avec un « Recurvite » basique.
2-4 : L’eau ne disparait qu’à moitié… c’est bizarre, peut-être n’a-t-elle pas prononcé la formule avec suffisamment d’insistance ?
1-5 : L’eau ne disparait pas, c’est un échec pour Tracy, qui regarde sa baguette avec insistance pour essayer de comprendre ce qui cloche.

1-2-5 : Tracy parvient de justesse à éviter les débris de la coupe projetée par Tasha, mais c’est un autre élève qui risque d’être touché…
3-4-6 : L’un des débris touche Tracy au visage dans un impact douloureux, la faisant saigner du nez abondamment.

Emi Burton

Le membre 'Tracy A. Bennett' a effectué l'action suivante : Le Hasard

'Le Hasard' : 5, 1

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Evanesco

Depuis le début du cours, Megan se montrait silencieuse, écoutant attentivement ce qui pouvait être dit et grattant tout ce qui lui semblait important sur son parchemin. Elle était un peu dans ses pensées en entendant la plupart de ses camarades parler du sujet du cours. Elle jeta un petit coup d’œil aux notes de Tasha, à côté d’elle, avant de lever les yeux vers l’enseignant. Elle avait beau aimer les cours, ce qu’elle souhaitait était tout de même de passer inaperçu, si possible.

Tracy, Hadley, Avalon, Elliot… etc. Tous semblaient bien déterminés à participer et Megan les écoutait, encore et toujours, attendant patiemment la suite en agitant sa plume entre ses doigts. Son regard se perdit sur Perrin, aux côtés d’Elliot, et elle se disait qu’il était bien souvent perdu dans ses pensées. Bien trop, en réalité. Mais bon, avoir la tête dans les nuages, ça lui arrivait tellement souvent à elle qu’elle ne se voyait pas le reprocher à quelqu’un d’autre.
Faire disparaître l’eau des coupes. C’était le but de l’Evanesco pour ce cours. La motivation n’y était pas vraiment, aujourd’hui, aussi étrange que cela puisse paraître venant d’elle. Mais elle s’y attellerait, forcément, elle n’était pas du genre à dire non à un prof. Ou à n’importe qui d’ailleurs…
Elle sursauta quand la coupe de Tasha explosa à côté d’elle, se protégeant par pur réflexe avec son parchemin où elle avait pris ses notes. Au bout de quelques secondes, elle regarda le résultat de sa meilleure amie, grimaçant. « Au moins tu as fait disparaître la coupe… » Lui dit-elle avec un petit sourire, de façon bienveillante. En réalité, cela n’aidait en rien à son stress. Elle n’était jamais sûre d’y arriver bien qu’elle se donnait toujours à fond. Sans plus attendre, elle brandit sa baguette et la dirigea vers la coupe d’eau, s’exclamant : « EvanesCO ! » Espérons que le dire d’une petite voix ne serait pas une erreur…

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1 & 2 : Même avec beaucoup de discrétion, ça semble fonctionner. Plus d’eau ! Ouf… elle ne se sentait pas d’insister aujourd’hui.
3 & 4 : C’est sûrement le ton de sa voix qui a fait que l’eau ne disparaît qu’à moitié. Bon, ce n’est pas une réussite, mais peut-être qu’en le disant plus fort, ça fonctionnera mieux.
5 & 6 : Rien ne se passe. Même pas une coupe brisée, ou une disparition de la globalité… nan, rien du tout, un échec total. Elle le sentait, que ce n’était pas sa journée !

AVENGEDINCHAINS

Le membre 'Megan A. Euston' a effectué l'action suivante : Le Hasard

'Le Hasard' : 5

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Feat le prof' sadique & les cinquième année

Evanesco

Spencer n’est jamais vraiment serein, mais on peut dire qu’il était moins sur ses gardes a qu’à l’habitude, en ce cours de début d’année. Si le claquement de la porte quelques minutes plus tôt ne l’a pas le moins du monde perturbé, ses camarades s’en sont chargés. L’angoisse est contagieuse, l’exaspération et la colère aussi au passage, Spencer ne tarderait pas à les ressentir mais pour l’instant, ce n’est pas le comportement du prof’ qui prime dans la liste de ses priorités, mais sa meilleure amie. « J’ai connu mieux, mais je gère. Et toi ?» Il hoche la tête, sans pour autant lui accorder un sourire, se concentrant sur sa question. « Pour l’instant ça va aussi… Pour être honnête, j’ai omis de prendre en compte qu’il avait verrouillé la porte. » Cette information non traité est-elle une conséquence de sa fatigue ou une action calculée de son subconscient ? Peut-être un mix des deux, difficile à dire. Toujours est-il qu’il n’a à présent d’autres options que d’étudier la question, comme d’autres sont en train de le faire, à l’instar d’Elliot et de justement Savannah qui s’opposent au prof’.

L’avis de sa meilleure amie, Spencer la devine plus qu’il ne l’apprend de sa bouche, en cause la distraction deux rangs derrière qui attire son attention au point de lui faire perdre le fil du bras de fer. Du moins, jusqu’à ce que Maxwell reprenne la parole. Le sourire inapproprié du poufsouffle stagne encore quelques secondes mais a définitivement disparu quand Savannah se lève pour aller déverrouiller la porte. Si la colère de la capitaine est palpable, Spencer lui serre les dents, visiblement prêt à changer de sujet et à reprendre normalement le cours. En dépit du fait qu’il sait déjà que faire abstraction ne va pas être une chose facile étant donné que la dernière réplique de Maxwell n’a fait que confirmer Spencer dans son point de vue, amplifier ses émotions pourtant détournées quelques secondes plus tôt.

Prendre en note lui est devenu aussi naturel que de beurrer des tartines, on devine un cours aussi bien noté qu’à l’habitude restait à voir si sa concentration serait suffisante pour la pratique. Difficile d’en jurer en constatant le recul bien trop lent de Spencer face à la bulle d’eau créée par Savannah qui s’écrase sur elle et ne l’épargne pas lui, bien qu’il soit naturellement moins touché qu'elle. Sur ce coup, comme quasi toujours d’ailleurs, Spencer n’a pas eu de reflex, mais dans tous les cas, il aurait été bien difficile de sauver leurs parchemins de l’eau qui réduit les caractères à l'état de taches sombres à vitesse grand V. « Evanesco » C’est Octavia qui prend l’initiative d’éponger la zone, malheureusement sans succès. Face à cet échec, et après avoir écarté ses affaires un peu trop tard vers la partie de son bureau à l’opposé de Savannah, Spencer sort sa baguette, répète la formule dans sa tête avant de se raviser au dernier moment. « Tergeo ! » A moins d’une énorme malchance qui ne survint pas, ce sortilège-là, il était certain de le réussir. Chose faite, à un détail prêt, tout ce qu’ils ont pu écrire sur leurs parchemins s’est évaporé avec l’eau. « Ce n’était pas prévu ça. » Leurs affaires sont bien sèches, mais ils n’ont plus qu’à récupérer les notes d’un gentil camarade. « Désolé Sav’. » Il aurait su, Spencer ne se serait pas abstenu, après tout, l’encre avait déjà bien bavé, mais il aurait cherché une autre solution avec Savannah, c’estt trop tard. Ne reste plus qu’à effectuer l’exercice.

Hasard 1 :

1,2,3 : « Ah ! » C’est du sang qui se met à goutter dans la coupe avant que Spencer n’ait le temps de lancer son sortilège. Il s’est pris un éclat de verre dans le bras. Décidément, les cours de métamorphose ne s’annoncent pas de tout repos.
~~4, 5, 6 : Tasha n’est pas tout à côté et il a le temps de lancer son sortilège sans être importuné.~~

~~Hasard 2 (si 4,5,6)~~

~~1,2 : « Evanesco. » C’est une réussite, Spencer se saisit de la coupe et la retourne lentement et prudemment. Elle est belle et bien vide.~~

3,4 : « Evanesco. » En fin de compte, si l’on omet les gouttes accrochées aux parois de la coupe, l’eau a bel et bien disparue au bout de quelques secondes, s’est évaporée plus exactement. C’est bien joli d’envoyer un nuage de vapeur dans l’atmosphère mais ce n’est pas l’exercice. Semi-réussite.

~~5,6 : « Evanesco. » C’est un échec. Rien ne se passe. Concentre-toi Spencer !~~

code by Silver Lungs

Le membre 'Spencer L. Mortensen' a effectué l'action suivante : Le Hasard

#1 'Le Hasard' : 2

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#2 'Le Hasard' : 1

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c'est ma tête qui va s'evanesco

« ça ne sert à rien d’écouter ce qu’il dit… des gens se plaindront sûrement à Londubat, non ? » Je ne sais pas si c'était ma rancune contre les derniers événements, ou si ce professeur de métamorphose m'insupportait au plus haut point, mais je serrai les dents et acquiesçai. Elle avait raison, bien sûr. Ça ne servait à rien de débattre avec lui. Il ne se remettrait pas en question et il ne remettrait pas en question ses méthodes. Je me rappelai la Soirée des Poufsouffles et je revoyais ce professeur se venger d'une maladresse d'un élève par une autre maladresse. J'aurais dû directement capter qu'il n'avait rien du gros nounours auquel il me faisait penser. « Oh ça oui, je me plaindrai à Londubat. » Je ne comprenais toujours pas sa réaction, à vrai dire. Je ne comprenais toujours pas ce que ça pouvait lui foutre de laisser une porte ouverte, lorsque la moitié de la classe sursautait dès qu'un chaudron tintait un peu trop fort. Je ne comprenais pas ce que ça pouvait lui foutre de nous laisser tranquille pour qu'on puisse reprendre mon souffle. Cette colère, toujours cette colère. Celle qui me prenait à la gorge, et celle qui me faisait devenir quelqu'un d'autre. Je savais que ce n'était pas moi de réagir comme ça, mais ça arrivait tellement souvent que je devais m'accepter, je devais m'accoutumer à ce nouveau moi dont la haine avait bouffé une partie de mon âme. Je devais vivre avec. Accepter que ce nouveau geôlier ait droit sur nous. Accepter que les élèves nous ayant humiliés et s'étant moqué de nous puisse s'asseoir dans la même classe et retrouver leur vie normale sans une seule punition.

« Y’en a combien qui sont capables de la boire pour la faire disparaître ? » Franchement, je ne dirai jamais assez merci à Jill pour être à côté de moi et me faire retrouver mon calme. Cette pensée absurde m'avait traversé l'esprit, et un petit gloussement s'étrangla dans ma gorge. Je faisais tout de travers. J'avais l'impression d'avoir été complètement déstructurée, comme si ce magicien moldu m'avait vraiment coupé en morceaux lors de son fameux tour de magie avec la boite et le sabre, et que Jill avait essayé de me remonter comme elle l'avait pu, des morceaux pas à leur place. Comment pouvait-on être aussi étranger à soi-même ? Je jetai un œil à la coupe de Jill qui ne s'ondula même pas avec ce petit souffle et toute cette attention. Un sourire en coin, légèrement triste pour son échec également, je la relançai : « Alors, pas chaude pour ce lever de coude ? Moi, je suis capable ! J'en ai marre d'être contrariée, y a que comme ça que j'y arriverai, franchement ! » Mais les bulles ne me firent pas pour autant passer à l'action. J'observais toujours la mousse sortir de mon gobelet en me disant qu'il allait bien se vider à un moment ou à un autre, et puis m'impatientai au bout de quelques secondes et retentai ma chance à l'exercice. « EvanesCO ! »

Hasard #1:
1-2 : C'est vrai que je ne suis vraiment pas douée pour les sortilèges en tout genre. J'allais finir par déclencher une catastrophe nucléaire si on ne m'arrêtait pas. La mousse prend une teinte kaki et dégage une forte odeur désagréable qui se répand rapidement dans toute la classe. Bon, on va peut-être déclarer forfait pour aujourd'hui ...
3-4 : La mousse se dissipe et quand je regarde à l'intérieur de ma coupe, je vois que l'eau est toujours au même niveau, sa surface lisse. Elle me nargue cette b*tch ! Le combat n'est pas fini !
5-6 : Ma coupe n'a jamais été aussi vide et propre. La mousse scintille un peu avant de s'évaporer, tout comme l'eau qui émet un petit bruit d'aspiration en s'évaporant. À moins que ça soit ma voisine qui ait fini son verre à la paille ?

Le membre 'Octavia Rosenberg' a effectué l'action suivante : Le Hasard

'Le Hasard' : 4

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premier cours ; evanesco

perrin & les autres

" La métamorphose est une des formes de magie les plus dangereuses et les plus complexes que vous aurez à étudier "

Je ne pouvais pas prétendre que la porte vérouillée par le professeur Maxwell me faisait le même effet qu’à mes camarades nés-moldus. Loin de là. Je n’avais absolument pas enduré les mêmes choses qu’ils avaient été forcé de subir sous prétexte que leur statut de sang n’était pas adéquat. On en a quoi à foutre de base du statut sanguin ? Je n’ai aucun certitude si je suis de sang-mêlé ou de sang pur moi même comme ma soeur et moi ignorons tout de notre père. Qu’est-ce que ça change au final ? Ça ne vaut pas la peine d’être enfermé pour autant. C’est justement parce que j’ai des idées de la sorte que je me suis retrouvé à mon tour mis sous clé. Certe, ce ne fut que temporaire et j’ai été enchaîné à une chaise par magie aussi. Sauf qu’à la base, mettre quelqu’un qui déteste être à l’intérieur, limite claustrophobe sous clé, ça laisse des traces. Je ne dis pas que ce sont les mêmes pour tout le monde et que chacun réagira de la même manière. Sauf que pour moi, ça ne le fait pas. C’est justement pourquoi je remercie Elliot, Octavia et tous les autres d’avoir parlé au nom des autres qui n’étaient pas bien avec ce sortilège qui avait eu pour effet d'enclencher la serrure. Malgré tous les efforts de mes camarades, ce n’est pas suffisant pour notre enseignant qui est bien décidé à nous mettre au plus mal… «Seigneur… Qu’ai-je devant moi ? Une bande de babouins braillards armés de bâtons ? [...] Miss Caldwell, je vous laisse le choix d’aller ou non déverrouiller cette porte à l’aide de votre baguette magique. Et je ne veux plus en entendre parler. » Je fronce les sourcils, dubitatif, en l’écoutant parler. Ça n’aurait pas été un manque de respect à son égard que d’aller à l’encontre de son geste ? Enfin, il l’aurait sans doute pris comme ça. C’était nettement plus poli de demander même si, au final, ceux qui ont parlé en on prit sur la gueule pour avoir voulu aider les autres. Décidément, ce professeur il laisse vraiment l’impression qu’on a au premier regard : un homme très peu conciliant. Je le penche vers Elliot alors que Maxwell se remet à parler du sujet du cours qui, visiblement, n’était suivie que par Tracy. « Tu crois que Savannah va le faire ? Déverrouiller la porte je veux dire. », demandais-je au poufsouffle en chuchotant. Il devrait avoir une idée non ? La serpentarde n’est-elle pas sa meilleure amie ou un truc dans le genre ? La réponse vient d'elle même alors que la formule retentit dans la classe suivit du cliquetis de la serrure. Je regarde la serpentarde, un sourire en quoi. Elle a de l'audace celle-là. D’ailleurs, elle est plutôt jolie - tout comme sa soeur d’ailleurs, mais ce n’est pas une surprise comme elles sont jumelles identiques. Est-ce que Elliot s’est déjà fait la réflexion ? Est-ce qu’il la trouve jolie ? Ah non. Je ne veux pas savoir. Mauvaise idée de penser à ça…

Je tente de me concentrer de nouveau sur le cours. En vrai, j’ai manqué un bon bout. Pas du tout suivie jusqu’à maintenant… « [...] Evanesco semble fonctionner différemment. Comme l’a très bien décrit Miss Lewis, si vous n’arrivez pas à faire entièrement disparaître un animal, la partie restante répondra et vivra comme si de rien n’était. Et aussi, il sera bien plus simple de faire réapparaître la partie disparue. Dans le cas d’une disparition totale, il est vraiment difficile de faire revenir l’objet effacé. C’est possible, mais très compliqué. Pour vous rassurer, il est quasiment impossible qu’un Evanesco n’affecte un humain. Même un sorcier aux pouvoirs très puissants en serait incapable. » Quoi ?!? Fonctionne différemment de quoi ? J’essaie de lire sur le parchemin d’Elliot, mais je n’y vois rien pouvant me venir en aide. Finalement, je devrai trouver quelqu’un pour me faire une résumé après la classe ou pour copier les notes. Tasha, elle a tout noté ? Et Sinéad ? Je jette un coup d’oeil en direction de ma soeur pour tenter de communiquer via un regard alors que le professeur annonce donner vingt points à serdaigle. Pas moyen d’attirer l’attention de Sinéad. Je regarde donc la coupe remplie d’eau qui apparaît devant moi alors qu’on nous transmet les informations pour l’exercice pratique. Des notions que je fais de mon mieux pour assimiler. Si je n’ai pas retenu la partie théorique, ça ne m’empêche pas de réussir la pratique. Avec un peu de concentration, je devrais m’en sortir.

« Hâte d’essayer ! Ça peut-être amusant ! », lançais à Elliot alors que Maxwell nous donnait le signal pour se mettre au travail. « La coupe ou la porte ? » Je n’étais pas sérieux, ça va de soi. Je doutais être en mesure de faire disparaître une grande porte, mais l’idée était assez tentante d’essayer. Ce serait une sacrée réussite. J’allais me décidé à lancer le sort lorsqu’un bruit d’explosion me fit sursauter. Me retournant, j'aperçue ma meilleur amie qui affichait une mine surprise ; sa coupe avait littéralement explosé. Ça suffit à dissiper mes dernières appréhensions. « Wouah ! Tasha elle est douée pour se planter en grand ! »,dis-je en riant. L’explosion était marrante par l’échec de ma meilleure amie. « EvanesCO ! » J’avais prononcé la formule pointant ma baguette sur la coup. Si ça réussissait, je pourrais tenter sur la porte.

1&4 : Réussite parfaite. L’eau disparaît de la coupe laissant cette dernière vide. Génial ! À moi la porte maintenant ! Je pointe ma baguette en direction de cette dernière prononçant prudemment : « EvanesCO ! » (dé 2)
3&5 : La quantité d’eau dans la coupe diminue, mais il en reste toujours. Bon faut pas que je me décourage, c’est presque ça !
2&6 : L’eau se met à bouillonner, puis il y a un sifflement et un craquement se fait entendre alors qu’une flaque se forme sous ma coupe maintenant craquée. Il en a pas fallu loin avant que je ne suive les traces de Tasha et fasse tout exploser… « Recurevite » On nettoie tout et on recommence.

La porte
5 : Réussite parfaite. Plus de porte du tout ! Joie ! Je suis hyper fier de moi !
4 : Elle a bien l’air moins opaque cette porte, non ? On voit une ombre passer derrière. Ce n’est pas tout à fait ça, mais pour une cible de cette taille, c’est pas si mal je trouve !
1,2,3&6 : Il ne se passe rien du tout. La porte reste bien là...

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