C'était comment à et avant Poudlard ?:On disait de lui qu’il serait un vrai Gryffondor, comme son père, comme son parrain. Qu’il avait du sang de héro, que ça se voyait dans ses yeux. Mais il n’était pas d’accord. Il n’est pas particulièrement courageux, Il n’est pas quelqu’un de fort. Mais il est loyal, patient, et surtout, il est gentil, comme sa mère. Alors c’est sans étonnement que, le jour de sa première rentrée à Poudlard, il fut envoyé à Poufsouffle. Parce que c’est ce qu’il était au fond de lui, c’était ce qu’il avait toujours été, et c’est ce qu’il serait toujours.

Teddy, il n’a jamais été véritablement populaire, ou du moins, il n’a rien fait pour. Pourtant, il était aimé. Il avait des amis, il amusait la galerie, il était drôle, Teddy, comme sa mère. Mais il pouvait être sérieux, quoi que plus rarement. Les études ne l’ont jamais intéressé plus que ça. Il avait ce qu’on appelle des facilités, il obtenait de bons résultats mais ne brillaient pas, et ça lui suffisait, il ne voulait pas être sous le feu des projecteurs, comme son parrain. Ce n’était pas son truc. Lui, il préférait être dans l’ombre, aidé les autres sans jamais rien demander en retour. Alors il se demande encore aujourd’hui pourquoi on s’est tant intéressé à lui. Une petit voix dans sa tête lui répète sans cesse que c’est parce qu’il est le neveu du grand Harry Potter. Mais non, c’est parce qu’il est lui, Ted Lupin, celui qui fait l’andouille mais qu’on ne peut qu’apprécier, parce qu’il a ce truc avec les gens.

Poudlard, ça a été pour lui une période très importante, il s’y est véritablement révélé. Il a toujours été un peu mal dans sa peau, et l’école de sorcellerie, ça a été comme un remède magique. Il s’y est fait des amis qu’il n’oublierait jamais, et puis, il l’a rencontré, elle. En fait, il l’a connaissait déjà avant, mais ce n’était que la nièce de son parrain, et grâce à Poudlard, elle est devenue sa Vicky.


Et ta baguette, elle est comment ?: Ted, il ne s’est pas rendu chez Ollivander, comme tous les gamins de onze ans. Parce que sa baguette, elle l’attendait bien au chaud depuis des années. C’est son parrain qui la lui a remise le jour de son anniversaire. Une belle baguette en Cyprès et crin de licorne, de 25.75 cm, légère et souple. La baguette de son père. La baguette qui le revient de droit, la baguette qui, bien évidemment, l’avait accepté.

Et depuis qu'il (elle) en est sorti(e) ? : Diplômé de Poudlard, Ted Lupin repartit sur les bancs de l’école, à la faculté magique, cette fois ci. Il voulait étudier la justice magique, quelque chose qui le passionne vraiment. Il s’est avéré très bon, comme si le simple fait de travaillé une matière l’intéressant vraiment avait réveillé son âme de travailleur.

Malheureusement, cela ne dura qu’un temps, bien vite, il s’ennuya, parce qu’il était comme ça, Ted, il ne savait pas rester à sa place, il fallait qu’il bouge.

Il était prévue que sa petite amie le rejoigne, 2 ans plus tard, après l’obtention de son diplôme, il devait, ensemble, vivre sur le campus. Malheureusement, cette dernière changea d’avis, se tournant vers le chicaneur. Ce dernier, malgré son absence de diplôme, l’embaucha immédiatement, ce qui ne plut pas à Teddy.

Ils prirent malgré tout un petit appartement au milieu du Londres Moldu, mais ne se voyait que très peu, n’ayant pas les même horaires. Ils vécurent ainsi pendant quelques années, et la nouvelle tomba. Victoire était enceinte, victoire attendait un bébé, son bébé.

Mari (Femme): Il se souvient encore de la première fois qu’il avait vu Victoire. Il devait avoir cinq ans, et il l’a trouvait drôlement jolie avec ses boucles blondes et ses yeux bleus. Son parrain lui avait expliqué que c’était la fille du frère de Ginny, qu’il fallait être gentil avec elle, qu’elle était de sa famille, comme une cousine. Le gentil petit teddy avait accepté, tout content d’avoir un nouveau membre à son étrange famille, mais l’enfant de trois ans qu’était Victoire ne s’intéressait pas beaucoup à lui, alors il s’était vite résigné.

Il l’a croisa plusieurs fois dans son enfance, à chaque fois qu’il passait les fêtes avec la famille de Ginny, en fait, c’est-à-dire, pratiquement tous les ans. Il prenait un malin plaisir à amuser les enfants, en changeant de forme, malheureusement, cela n’intéressait pas beaucoup la jolie blonde, qui préférait lire dans son coin.

Il était en 3e années, à Poudlard, quand leur relation prit plus d’ampleur. Pour une raison qu’il lui était encore inconnu, la toute jeune victoire, fraichement envoyé à serdaigle, disait à qui veut l’entendre qu’elle connaissait très bien Ted Remus Lupin, qu’ils se voyaient tous les ans.
Elle s’était alors mis à lui courir après, et le jeune homme voulait simplement l’éviter, parce qu’il ne comprenait pas, et il n’aimait pas particulièrement être le centre d’intérêt de quelqu’un.


C’est lors de sa dernière année qu’ils se sont rapprochés. Depuis toujours teddy l’a trouvait jolie, drôle et intelligente, mais il ne lui avait jamais dit, il avait peur de voir sa réaction. En fait, il avait surtout l’impression d’être dans la « friendzone. »

C’est donc Victoire qui fit le premier pas, ce qui est assez rare, dans un couple, mais elle avait hérité du caractère de sa mère.

Elle lui avait donc avoué son amour et il lui avait répondu, en souriant, les joues rouges et les bras battant. C’est ainsi que leur relation débuta véritablement.



Enfant(s): Papa. Il va être papa, il va avoir un enfant, il est déjà là, dans un sens, bien au chaud dans le ventre de celle qu’il aime le plus au monde, celle pour qui il pourrait tuer, mourir. Oui, il est déjà là, cet enfant, et ça le terrifie. Parce qu’il ne sait pas ce que c’est, un père. Il n’en a jamais eu, il n’a pas eu cette chance. Il n’a pas été malheureux pour autant, parce qu’il avait sa grand-mère, et puis Harry, Ginny, et tous les Weasley. Mais malgré tout, comment pourrait-il être un bon père, alors qu’il n’en a jamais eu l’exemple ? Oui, il a peur, Ted, mais il veut être là pour son enfant, parce qu’il l’aime déjà profondément.


Reste de la famille: C’est drôle, parce qu’il n’a pas de parent, et pourtant, il a l’une des familles les plus grandes d’une monde sorcier. En fait, Ted, c’est un peu une pièce rapporté, mais il s’en fiche, parce qu’il se sent vraiment chez lui. Il a toujours vécu avec sa grand-mère maternelle, une femme extraordinaire qui ne cessait de lui parler de ses parents. Et puis, il y avait Harry, son parrain, qui prenait ce rôle très à cœur. C’est grâce à lui qu’il peut considérer les Weasley comme sa famille. Ils l’ont tous accueillis les bras ouverts, les yeux remplis d’amour pour cet orphelin. Molly est devenue sa nouvelle grand-mère. Ginny, Hermione, des mamans de substituions tendres et aimantes, Harry, le modèle du père parfait. Oui, il a vraiment de la chance, teddy, d’avoir une famille comme celle-ci. Et même si parfois, il aimerait avec, comme tout le monde, un père, une mère, il ne se plaint pas, il n’en a pas le droit, il est trop heureux pour ça.

Exemple de RP Ce jour-là, Teddy avait les cheveux d’un rouge éclatant et les yeux brillant de mille lueurs dorées, aux couleurs de Gryffondor. C’était le match final, opposant les aigles aux serpents. Poufsouffle n’était pas allé très loin, et le jeune homme ne pouvait s’empêcher de ce dire que c’était de sa faute, que s’il ne s’était pas stupidement cassé le bras, il aurait pu jouer et peut être gagné. Mais ainsi va la vie, on lui avait interdit de monter sur un balai durant le mois à venir, et il s’était finalement résigner.

Le match était terminé et il ne rêvait que d’une chose, retrouver son lit. Il avait pas mal bossé, ses derniers jours, pour les examens blancs, ce qui ne lui ressemblait pas. Alors évidement, maintenant, il voulait se trapper en roupillant tout le week-end.

Alors qu’il rejoignait, avec ses camarades de dortoirs, le château, quelque chose attira son attention. Il tourna la tête vers les gradins et ne vit qu’une longue chevelure blonde disparaitre derrière ses derniers. Teddy, il était d’in naturel curieux, c’est donc sans étonnement qu’il suivit la jeune femme, comme attiré par cette dernière. Tout au fond de lui-même, il savait qui s’était, il s’en doutait, et il voulait savoir ce qu’elle fichait ici, elle qui n’aimait pas particulièrement le quidditch.

Il se retrouva donc sous les gradins, en compagnie de la jolie Weasley, qui le regardait de ses grands yeux bleus.

« Sympas, les cheveux » dit-elle en souriant légèrement. Il le connaissait par cœur, ce petit sourire, celui qui voulait dire « je me moque, mais pas trop ». Il le connaissait par cœur et l’adorait.

Il ne répondit rien, un peu gêné de se retrouver là, en face de la demoiselle, sans n’avoir rien à lui dire. Il se balança d’un pied à l’autre et la jeune femme leva les yeux au ciel.

« Tu m’énerve, Lupin ! »

Il arqua un sourcil, se demandant bien ce qu’il avait pu lui faire, encore. Avec elle, il semblait toujours faire quelque chose de travers, de toute manière.

« Me regardes pas comme ça, Ted ! » elle soupira, garda le silence un instant avant de reprendre. « Tu vas bientôt quitter Poudlard. »
« Si je suis diplômé… »
« Ferme-la » cingla-t-elle. Elle cherchait ses mots, se donnait du courage et cet idiot la déconcentrait.
« Pourquoi tu ne m’as pas demandé de sortir avec toi ? »

Teddy manqua de s’étouffer, ses grands yeux mordorés la fixant avec incrédulité. Etait-elle tombée sur la tête ?

« Dom’ m’a dit que étais amoureux de moi. »

Le visage pâle du jeune homme prit alors une jolie couleur rouge, semblable à celle de ses cheveux. Il allait l’a tué. Sérieusement, Dominique Weasley venait de signer son arrêt de mort ! Victoire se mit à rire en secoua la tête, ses cheveux blond formant un halo de lumière autours de son visage d’ange.

« Teddy, Et embrasse-moi. »

Elle faisait sa petite moue, celle qu’elle servait à son père quand elle souhait quelque chose, et Ted ne pouvait, dès lors, rien lui refusait, de toute manière, il n’en avait pas l’intention. Il s’approcha doucement d’elle, et Victoire se recula pour prendre appuie sur l’un des piliers de bois, coloré en vert. Un sourire étira le visage de Ted et ses cheveux reprirent leur teinte brune naturelle, tout comme ses yeux. Il l’a fixait de son regard outremer, s’approchant doucement, ne voulant pas rompre le charme.

Malheureusement, Ted Lupin restera toujours Ted Lupin, et, maladroit, son nez se cogna contre celui de la jeune femme, qui éclata de rire, avant d’embrasser la joue du garçon, doucement, tendrement.

« Qu’est-ce que je t’aime Ted Remus Lupin ! »