[Groupe 1] Grand huit.

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'Le Hasard' : 1

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A peine l’attraction commençait à amuser ses clients que les choses semblaient tourner au vinaigre. Ce n’était pas ce à quoi s’était attendue Erika, essayant du mieux qu’elle put de conserver son calme alors que son propre harnais l’empêchait de pouvoir respirer convenablement. A proximité, la panique était présente chez ses camarades, et chacun cherchait une solution pour pouvoir s’en sortir. Par chance, le sortilège de la rouquine parvint à repousser son harnais sans pour autant le détacher complètement. Inspirant profondément, elle éprouva un incroyable soulagement suite à cette libération. D’ici la fin de la journée, elle compterait certainement toucher un ou deux mois aux concepteurs de ces manèges défectueux. Comment osaient-ils présenter de telles distractions à des jeunes personnes qui en profitaient pour rire un bon coup ? Si personne n’avait pris leur baguette, les choses auraient été plus compliquées. Elle préféra ne pas y penser.

Le principal était que tout le monde s’en soit sorti indemne. Matthew eut d’ailleurs la bonne idée de vouloir stopper l’avancée périlleuse des nacelles grâce à un sortilège adéquat à cet effet. Les roues crissèrent sur les rails en un bruit perçant insupportable, mais qui signait au moins l’immobilisation totale de l’engin. Le rythme cardiaque d’Erika sembla s’apaiser durant un instant… du moins, jusqu’à ce qu’une odeur de brûlé ne vienne faire frémir ses narines. Alarmée, sa tête rousse se tourna de droite à gauche, à la recherche de la source de cette mauvaise senteur.

Avec horreur, elle constata qu’Eris était la plus exposée à des flammes qui venaient incendier les nacelles. Matthew n’avait finalement pas arrangé si bien les choses qu’il ne l’aurait voulu. Wilhelmina fut alors la première à réagir la première, en ayant l’idée pertinente de l’éteindre avec un sortilège d’eau. Ce fut un succès, ou du moins, elle aurait pu mieux viser : Eris était sauvée, mais tout le monde était trempé. La douche froide laissa échapper un petit cri de surprise à notre allemande, toutefois, elle préférait mille fois cette situation que celle de finir carbonisée. Elle remercia la bonne action de son amie, avant de lâcher un petit commentaire soulignant son agacement vis-à-vis de la tournure de cette journée.

« Je n’ose même pas imaginer comment ces fichus moldus peuvent faire dans de telles situations. » murmura-t-elle, blasée.

Pressant ses cheveux à l’aide de ses mains pour évacuer l’eau, elle dut se résoudre à tenter quelque chose pour sécher le groupe entier. Il ne serait pas bien confortable d’attendre que le soleil ne fasse effet, et puis, Erika détestait que ses vêtements soient mouillés quand elle les portait. Cela lui procurait des sensations bizarres.

« Tergeo Maxima » prononça-t-elle.

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'Le Hasard' : 3

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Son harnais enfin relâché, la jeune Adway pu reprendre son souffle. Quel plaisir de sentir l'air passait dans ses poumons sans qu'aucune entrave ne la gêne. Elle sentit la panique qui l'avait prise quelques instants plutôt s'en aller et elle retrouva peu à peu sa raison. Même si sur ce dernier point, elle en doutait fortement. Venait-elle de rêver ou Hummel avait-il cherché à l'aider comme elle avait essayé de faire plutôt ? La vipère ne s'était pas comprise sur le coup, elle avait lancé son sortilège afin d'aider ses deux camarades encore emprisonner comme l'aurait fait n'importe quel autre âme. Cela ne lui ressemblais absolument pas. D'habitude elle était bien plus égoïste, surtout avec des gens qu'elle n'aimait pas. Le manque d'air avait dû endommager son esprit de réflexion. Bref. Pour le moment, elle était sauvée, bien que toujours solidement attacher à cette fichue attraction.

La descente fut rapide, mais angoissante. Éris restait sur ses gardes attendant le prochains coups foireux. Et il ne se fit pas attendre. La descente était très rapide, peut-être un peu trop. Et la vipère commençait vraiment à douter du bien fondé de cet événement. Heureusement pour eux, le préfet des lions eut la bonne idée de freiner et de sauter leurs wagons. Ce qui ma foi, ne déplut pas à Éris. Du moins, un certain temps. Alors que les wagons étaient arrêtés à quelques mètres du sol, la vipère commença à sentir une odeur de brûler, une chaleur intense et une épaisse fumée noire vint obscurcie son champ de vision. L'air devint lourd, irritant, irrespirable...elle avait la gorge qui brûlait...Elle ne mit pas longtemps à comprendre, regardant les roues près d'elle, elle y aperçut des flammes. Cet idiot de lion avait si bien arrêter les wagons qu'il avait déclenché un incendie. La vipère sentit et la peur montait en elle et la colère. C'était un vraiment un crétin !

- Putain...lâcha-t-elle, la respiration coupée.

Voyant la mort approchée à grand pas, Eris, bien que solide, se mit à trembler légèrement. Elle tenta d'attraper sa baguette, mais la fumée lui déclencha une quinte de toux assez puissante et désagréable. Elle avait peur, peur de mourir là comme une abrutie, sans avoir laisser sa marque sur le monde. Elle savait qu'en plus, ces imbéciles de frères et sœurs seraient si joyeux qu'ils danseraient sur sa tombe. Non, elle ne devait pas se laisser aller….elle n'allait pas crever ici. Il en était hors de question. Recherchant sa baguette, elle sentit un liquide froid lui tombait dessus et la chaleur s'arrêta immédiatement. La fumée continua toutefois, mais elle n'était plus aussi sombre qu'avant. Quelqu'un venait de lui sauver la vie et d'éteindre le feu. Hébétée, et totalement trempée, elle regarda autour d'elle. C'était l'aînée des vipères qui venait de lui sauver la vie. Elle entendit Erika la remerciait et sa réflexion, mais la vipère resta encore un peu dans son monde. Elle avait échappé de peu à une mort certaine et cela, elle n'arrivait pas à s'en remettre. Finalement, elle reprit peu à peu ses esprits lorsque Erika la fit sécher grâce à un sort.

- Putain, tu pouvais pas faire attention, abruti de lion ? Non, il a fallut que tu fasses du zèle ! Tu aurais pu réfléchir aux conséquences avant ! Hurla-t-elle sur le préfet, afin d'extérioriser le surplus de peur qu'elle venait d'accumuler.

Après cet excès de colère, elle se sentit soulagée et surtout vidée de toute excès de colère. Du moins pour le moment. Se rendant compte que s'énerver sur le préfet des lions après qu'il vous aie empêché de vous écraser sur le sol et surtout après l'avoir insulté de crétin quelques minutes plutôt, ne jouait vraiment pas à sa faveur. Éris décida de faire une chose qu'elle ne faisait que rarement, elle allait s'excuser et jouer la comédie.

- Je suis vraiment désolée, et pour m'être énervée contre toi, et pour le crétin. C'était déplacé. Dit-elle d'une petite voix à l'intention de Matt'. Merci de nous avoir éviter d'être réduit en bouilli. Et surtout, merci du fond du cœur. Dit-elle à l'aînée des Serpents, Tu m'as sauvé la vie. Je t'en dois une. Sourit-elle sincèrement. Bon, et si on essayait de sortir de là avant qu'une prochaine catastrophe n'arrive ?

Elle ne tenta rien, encore un peu trop émotive. Elle avait du mal à se remettre de ce qui venait de se passer.

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Fête foraine avec les participants

Chacun avait enfin réussi à se défaire de son harnais ou du moins à le desserrer. Chris était même plutôt fier de lui, il avait réussi à se sauver et à sauver deux de ses camarades dont Eris qu'il détestait pourtant. Mais, en période de danger, il était prêt à tout bien évidemment, même à aider des gens qu'il ne pouvait pas voir en peinture. En attendant que le wagon se remette en route ou que quelqu'un ne l'arrête, il reprit son souffle et observa les autres jeunes sorciers faire de même.

Les wagons étaient arrivés au sommet du grand huit et allaient redescendre. Ce qu'ils ne tardèrent d'ailleurs pas à faire mais un peu trop vite bien évidemment. Chris espéra que, cette fois, quelqu'un le sauve ainsi que ses camarades. Heureusement, n'écoutant que son courage, le préfet des Gryffondor eut la bonne idée de lancer un sort qui immobiliserait les wagons. Un sort qui réussit. Cependant, alors qu'ils arrivaient à être enfin stoppés, le jeune Aigle sentit une odeur de brûlé. Il regarda autour d'eux: un feu avait été allumé et de la fumée en sortait. Chris n'était pas le plus près des flammes mais il tenta de distinguer qui c'était. Lorsqu'il remarqua que c'était Eris, il eut un petit sourire en coin. Il ne souhaitait évidemment pas sa mort mais, si elle était gravement brûlée ou même juste un peu amochée, ça lui ferait bien plaisir.

Chacun se mit à paniquer, enfin, Chris imagina cela. Lui-même n'aimait pas trop le feu et il ne comptait pas rester là à attendre. Il alla lancer un sort quand la plus vieille des Serpentards lança un sort pour éteindre le feu. Un sort plutôt réussi puisque l'incendie s'arrêta. Mais qui mouilla tout de même tout le monde. Les choses s’accélérèrent ensuite mais Chris était dans ses pensée, soulagé que ce nouveau coup dur soit fini.

La dernière Serpentard lança un sort pour les sécher mais il ne sembla atteindre que les filles. Chris s'en fichait d'être mouillé, de toute façon, vu la tournure de la journée. Il se sécherait de retour à Poudlard au pire.

Eris continua à parler et à hurler sur les autres mais il n'entendit rien. Il était perdu dans ses pensées, heureux de vivre avec tout ça. Tout à coup, il entendit Eris dire:

- Bon, et si on essayait de sortir de là avant qu'une prochaine catastrophe n'arrive ?

Bien qu'il la déteste, il était d'accord avec elle. Avant de se retrouver devant un autre coup dur, mieux fallait s'éloigner tout de suite. Il reprit ses esprits et dit, ce qui ne manquerait sûrement pas d'étonner les autres:

-Je suis d'accord avec elle. Quelqu'un a une idée de quoi faire?

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Quand on croyait pouvoir s’en tirer, une nouvelle péripétie nous attendait… c’était quoi cette attraction ?! J’avais réussi à faire stopper les nacelles et j’éprouvais un certain soulagement à ça. L’arrêt fut brutal, je n’avais pas prévu ça mais, après tout, je n’avais pas eu le temps de réfléchir, ça avait été du pur réflexe ! Les roues crissèrent d’une façon qui ma glaça le sang ! Alors que tout se stabilisait, une odeur de brûlé fit son apparition. C’était quoi ça encore ? Ça venait d’où ?! Surtout que la chaleur se faisait de plus en plus présente… Voyant que cela ne nous concernait pas, à l’avant, je me tournai du mieux que je pouvais et vis l’une des Serpentard dans une bien mauvaise posture. Et m****, ‘manquerait plus qu’on devienne un barbecue géant ! Je croisai le regard de Wilhelmina, paniquée, alors qu’elle m’attrapait le bras vigoureusement. De l’eau, il n’y avait pas le choix. Alors que je cherchais un sortilège, la jeune fille était déjà sur le coup et, ni une ni deux, elle prit la bonne décision.

Surpris, je me rendis vite compte que son sort ne toucha pas juste Eris mais bien nous tous. Je ne pus m’empêcher de laisser apparaître un petit sourire sur mes lèvres, surement dû à un relâchement de pression et à un certain soulagement… Je tapotai alors amicalement la main de Wilhelmina, lui disant : « T’as géré… au moins on est tous dans le même bateau ! » Dis-je en insinuant le fait que nous étions tous mouillés, levant les yeux vers Erika et souriant à sa remarque. Quelques secondes plus tard, elle lança un sortilège qui sécha les trois jeunes filles. Je tentai alors de regarder la Serpentard et lui lançai, d’un ton plus décontracté : « Merci pour le partage… ah, les filles ! ». Bon, tant pis, le fait d’être mouillé ne me dérangeait pas, et pour le moment nous devions nous sortir de là.

Cependant, je ne pus pas y réfléchir de suite, Eris s’était mise à me hurler dessus. Je me disais qu’en tant que préfet, je ne devais pas me gêner pour la remettre en place et jouer mon rôle… mais je me résonnai, sachant pertinemment que la situation n’était pas des plus plaisantes, le moment jouait, même si je rêvais de la rembarrer cette vipère ! Mais je soufflais, essayant de garder mon calme afin de ne pas partir dans un conflit inutile. Je me tournai juste une nouvelle fois, la regardant en fronçant les sourcils et disant d’un ton dédaigneux et sec : « J’ai pas vraiment eu le temps de réfléchir gamine… t’es saine et sauve, alors ferme-la ! ». Ce n’était pas mon genre de parler ainsi mais elle commençait vraiment à me taper sur le système celle-là !

Quelques temps après, je fus surpris de l’entendre s’excuser. Je lui dis, calmement et sans aucune pointe d’agressivité : « On est sur les nerfs, évitons de se prendre la tête pour des conneries. » J’acquiesçai à la question du Serdaigle puis me retournai alors, cherchant une solution pour que l’on puisse s’extraire de ces harnais. Bon, eh bien si nous essayions de les découper… après tout, je ne trouvais pas d’autres solutions. J’avais bien une idée en tête mais il me fallait ma baguette. J’essayais alors de la tirer de ma poche arrière, l’amenant près du haut du harnais de Wilhelmina. Dans cette position, je ne pouvais m’occuper d’elle et je ne savais pas si ça marchera… si c’était le cas, tout le monde devra faire de même. Je pris ma baguette et dis à la Serpentard :

« Ne bouge pas… Cracbadaboum »

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'Le Hasard' : 3

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Wilhelmina avait entendu les remerciements de la Serpentard et sa phrase n'était pas tombé dans l'oreille d'une sourde, en effet elle lui en vaudrait une et Wilhelmina attendrait le moment opportun pour cela. A cet instant précis elle ne voulait pas chercher la petite ^bête avec personne et roula des yeux quand elle entendit les gens commencer à s'engueuler. Mais vite fait, le calme fut revenu et wilhelmina lança un regard désolé à son coequipier trempé jusqu'au os alors qu'elle n'avait plus rien. Faut dire que l'idée du feu n'était pas la meilleure dans son cas et elle espérait que sa peur n'avait été flagrante qu'à Matthew, ne voulant pas qu'on se serve de ça contre elle, pendant 7 ans elle avait réussi à se faire discrète, elle espérait que ça continuerai.

Quand Matthew parla de sortir d'ici, la jeune fille essaya de retirer ce harnais encore trop serré sans magie, mais c'était sans espoir et elle ne voulait pas resté ici, dans la crainte d'avoir encore une mauvaise surprise. Une fois ça suffisait, elle ne voulait pas deux fois. Elle cherchait donc un moyen quand Matthew murmura un sort qu'elle reconnu très vite. Sur le moment elle lança un regard stupéfait à son "ami", lui lancer un sort comme ça dessus en espérant qu'il ne fasse pas de dégats était dangereux et il pourrait très bien la blesser, fort heureusement se ne fut pas le cas, mais le sort était bien trop lent, et la blonde commençait à s'inquiétait de ce que l'avenir leur réservait. Elle pris alors la décision de tenter un autre sort pour sortir plus rapidement d'ici. Baguette toujours en main, elle prononça sa formule.

" Confringo ! "

Ce sort n'étant pas spécialement travaillé par la jeune fille, quand elle le lança elle espérait honnêtement qu'il touche quelqu'un, ou peut être pas. en tout cas, jusqu'ici elle avait eu pas mal de chance, peut être que celle ci serait encore avec elle. Elle ferma lentement les yeux, attendant de voir si une voix allait se déclarer, ou du moins le bruit de l'explosion du petit en bout tenant leur harnais de sécurité. Harnais plutôt de leur fin de vie à ce rythme là, mais bon elle préférais ne pas trop y penser et attendit alors ne sachant vraiment pas si elle avait réussi quoi que se soit.

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'Le Hasard' : 4

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Une fois que les filles furent séchées, Erika afficha un air légèrement désolé aux garçons. Il fallait croire qu’en lançant son sortilège, le stress avait certainement un peu interféré. Quoi qu’il en soit, le soleil leur permettrait sûrement de pouvoir les sécher d’ici quelques temps.

« Boude pas. Un mec trempé, c’est beaucoup moins grave qu’une fille trempée. » dit-elle avec ironique en s’adressant à Matthew.

Cela lui paraissait étrange d’échanger quelques mots avec le copain de sa pire ennemie. En vérité, elle ressentait moins de haine à son égard qu’elle ne l’aurait cru. Il s’avérait être le petit rigolo du groupe très sociable et amical, mais le fait qu’il soit devenu le partenaire de l’ogresse qu’était Brooks gâchait absolument toutes les qualités qu’il pouvait avoir. Erika méditait là-dessus, se demandant vraiment si elle pouvait l’apprécier ou non. Et puis, que penserait Eleonore d’une future amitié entre une fille qu’elle détestait et son copain ? L’idée en était plutôt drôle et si elle devait se révéler devenir réelle, il n’y avait plus qu’à espérer que Brooks en serait folle de rage.

Perdue dans ses propres pensées, Erika suivit vaguement le cours des choses. La discussion semblait devenir un peu plus explosive suite à la colère qui s’accroissait chez Éris. Cela se comprenait ; elle venait d’échapper à une mort douloureuse à cause de l’erreur d’un Gryffondor qu’elle ne portait peut-être pas dans son cœur à la base. Elle ne mâcha pas ses mots, avant que le garçon ne réplique. De toute façon, il fallait s’attendre à ce genre de conflits lorsqu’on l’intègre des personnes qui ne se connaissaient pas tant que cela. Et puis, l’organisation de ce parc laissait à désirer. Quand finalement les tensions s’adoucirent, le sérieux reprit au cœur de la conversation générale. On cherchait tous un moyen de se sortir de là avant que les problèmes ne reviennent plus forts.

Matthew tenta de sortir Wilhelmina de son harnais à l’aide d’un Cracbadaboum, mais le sortilège se révéla être bien trop long à couper la matière. Le temps leur manquait, et ils ne s’imaginaient tous pas rester ici encore plus longtemps. Pendant ce temps, l’allemande tenta de forcer sur la sécurité afin de l’abîmer, mais cette action s’avéra sans effet. On ne pouvait strictement rien faire sans l’usage de la magie. Finalement, son amie d’enfance eut une autre idée et tenta d’exécuter un Confringo. Etait-ce un bon sortilège ? Erika craignait l’effet explosif de cette formule, mais contre toute attente, elle fut libérée de son harnais après avoir sursauté suite au bruit et à l’explosion provoqués. Une légère fumée s’échappa alors du harnais et elle la chassa vivement de quelques gestes de main. Soupirant de soulagement, elle crut durant une seconde ne s’être jamais sentie aussi bien de toute sa vie qu’une fois sortie de cet enfer.

« Merci Wilh, tu es vraiment notre sauveuse. » lâcha-t-elle, avec plus de quiétude.

Sans plus attendre, la rouquine tendit à nouveau sa brindille pour les assister.

« Confringo ! »

Tout comme la plupart des élèves de sa promotion, ce sortilège n’était pas celui qu’Erika maîtrisait le plus. Toutefois, si Wilhelmina avait réussi à l’utiliser, elle avait également une chance d’y parvenir. Dans le pire des cas, ils pourraient tous essayer de lancer un Cracbadaboum simultanément sur chaque nacelle pour améliorer la vitesse de découpe.

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'Le Hasard' : 2

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Décidément cette journée partait de plus en plus en eau de boudin et Eris commençait à regretter de ne pas être gentiment restée au château en compagnie de Kit. Elle aurait pu ainsi réfléchir à sa vengeance contre son imbécile de sœur. Et surtout, elle n'aurait pas risquer sa vie dans cette stupide attraction moldue. Ces gens alors, incapables de faire des choses correctes à tous les coups. Fallait toujours qui merde quelque part. Bon, les sorciers aussi ne faisaient pas les choses parfaitement à chaque fois, mais de son expérience, ils merdaient beaucoup mois que les moldus. Ou du moins leurs erreurs étaient rattrapables.

Encore sous le choc de ce qu'il venait de lui arriver, Eris s'était énervée sur tout ce qui bougeait et notamment sur le lion. Sa réponse ne tarda pas et elle fit grincer des dents Eris. Qu'il se méfie le chaton, son bel insigne ne le protégera pas éternellement et elle n'avait pas peur de lui. De plus, en terme de vengeance, la vipère était patiente. Alors qu'il ne la chauffe pas trop. Se mettre Eris à dos, ce n'était vraiment pas une bonne idée. Serrant davantage les dents, la fille Adway ne put s'empêcher de rétorquer.

- C'est pas grâce à toi en tout cas. Marmonna-t-elle entre ses dents, si bas que personne n'aurait pu l'entendre, surtout dans un brouhaha pareil.

Malgré tout, Eris avait décidé de s'excuser. Pour le moment, il n'était pas judicieux de se mettre le chaton à dos. Ni même de déclencher une guerre. Aussi, prononça-t-elle des excuses à la faire vomir. Elle aurait tout le temps de s'occuper de lui plus tard, quand elle sera sorti d'ici et que sa vie ne sera plus en danger. Ou du moins, que les risques ne soient plus aussi grands. Les élèves avant elle, c'est à dire le chaton, et les deux serpents, commencèrent à lancer des sortilèges pour défaire leurs harnais. C'était pas trop tôt. Le sortilège du préfet ne réussit pas, et Eris ne put retenir un petit rictus satisfait en constatant son échec. Par contre, les deux autres vipère réussirent à se libérer mutuellement. Bien décidé à ne pas faire comme elle, c'est à dire faire preuve d'altruisme, Eris se concentra pour que son sort réussi et la libère. Elle en avait assez de jouer les gentille en pensant aux autres. Elle l'avait déjà fait pour les deux premiers essais, il était temps pour elle de renouer avec sa véritable personnalité.

- Deffindo ! Dit-elle clairement en pointant son harnais.

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'Le Hasard' : 2

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Fête foraine avec les participants

Les choses commençaient à se décanter mais ils étaient tout de même toujours coincés sous leur harnais, même si ceux-ci ne les étouffaient plus du tout. Chris avait envie que quelqu'un trouve un moyen de se sortir de là, même si ce n'était pas lui. Lui le Serdaigle qui était censé maîtriser des tonnes de sorts à la perfection. Sauf que, là, il était un peu trop paniqué pour en trouver un bon. Ce parc et son organisation laissait à désirer, il préférait mille fois celui où il était allé enfant à Londres.

Enfin, après avoir acquiescé à sa réponse, le Gryffondor tenta de libérer une des Serpentard avec un Cracbadaboum mais le sort ne réussit pas ici bien que voulu, il mettait du temps à découper la matière et, ce temps, il ne l'avait pas s'ils ne voulaient pas mourir dans ce parc. Chris cherchait dans sa tête un sort utile mais rien n'en sortait, il était vraiment trop paniqué, lui, le sorcier et extraverti qui n'avait que faire des rumeurs et de critiques... Eris tenta elle de forcer sur la sécurité mais ça ne marcha pas. C'est alors qu'une autre des Serpentard tenta de lancer un Confringo sur sa camarade et ça marcha, elle fut libérée. Elle chassa la fumée de ses mains puis remercia son amie.

Il se décida alors à l'aider en lançant elle aussi le sort. Chris n'avait même pas pensé à celui-là. Non mais vraiment, quel piètre Aigle il faisait dans ce genre de situation... Erika réussit à libérer sa propre sauveuse (comme par le plus pur des hasards) puis ce fut le tout d'Eris de le lancer. Chris se doutait bien qu'elle ne le lancerait pas sur lui, elle préférait sûrement le voir mourir ici. Et il n'avait pas tort car elle réussit à se libérer elle-même. Ce qui faisait qu'il ne restait plus que lui et le Gryffondor qui restaient coincés. Chris se décida alors à jeter le sort à son tour:

-Confringo!

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Le membre 'Chris Hummel' a effectué l'action suivante : Le Hasard

'Le Hasard' : 1

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Bon, ok, le sortilège utilisé n’avait pas été le meilleur mais, après tout, qui ne tente rien n’a rien. Ce n’était qu’en essayant qu’on arriverait à se sortir de là-dedans, et le plus vite était le mieux. Voyant que mon sort mettait un peu trop de temps à fonctionner, Wilhelmina lança un Confrigo qui permit à la Serpentard la moins hargneuse, derrière nous, de se libérer. Bien, si on arrivait chacun à se libérer, on sortirait vite de cet enfer ! Cette dernière lança à son tour le sortilège qui agit superbement bien sur la blondinette. Si on continuait comme ça, ce serait vite fait. J’attendais de voir ce que la vipère au sang chaud allait nous faire. Malgré quelques excuses, dites pour calmer les esprits j’imagine, je la retenais celle-là, c’était ce genre de nana hargneuse qui gâchait l’image des serpents… les pauvres ! L’autre Serpentard, Erika il me semblait, était beaucoup plus agréable, ‘y avait pas à dire. Mais bon, je ne la connaissais pas non plus… pourtant, c’était fou comme elle me disait quelque chose, comme si j’en avais déjà entendu parlé et pas forcément en bien. Il me semblait bien que j’avais déjà vu des échanges animés entre elle et Eléonore mais, clairement, je n’avais pas dû y prêter attention. Les crêpages de chignons, je m’en tenais bien éloigné et évitais de m’en mêler. Elle était cool, pour moi ça me suffisait largement pour le moment !

Evidemment, la vipère se détacha elle-même, on allait lui demander de faire preuve de de sympathie, il semblait qu’elle en avait très peu. Je n’étais pas du genre à juger rapidement les gens ou à avoir facilement quelqu’un qui m’agaçait, bien au contraire, je passais bien avec la plupart des élèves, mais elle… elle semblait être une vraie teigne, autant s’en méfier ! Je la gardai à l’œil et me promettais de ne pas l’épargner si je relevais quelques abus lorsque nous serons de retour à Poudlard. Ouais, faut pas me chauffer non plus ! Pour le moment, j’oubliai ce moment, évitons les conflits inutiles, j’avais horreur de ça ! Ca ne serait pas cette nana qui m’enlèverait ma bonne humeur, bien qu’elle soit bien entamée avec ces péripéties.
Le Serdaigle réussit aussi à s’extirper, il ne restait plus que moi et pas de raison que ça échoue ! Je jetai un coup d’œil à Wilhelmina, disant avec un petit sourire amusé : « Avouez que vous voulez me laisser là… » puis je saisis ma baguette et dis d’un ton assuré :

« Confrigo ! »

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Le membre 'Matthew E. Riddell' a effectué l'action suivante : Le Hasard

'Le Hasard' : 5

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Pourquoi Wilhelmina avait aidé Erika, parce qu'elle s'était toujours promis de la protéger. Certes c'était bizarre venant de Wilhelmina, mais la rousse la connaissait depuis toute petite, personne ne méritait plus son attention que elle, et puis Wilhelmina avait confiance en Erika, elle savait que dans tous les cas, celle ci ferait son nécessaire pour les aider, du moins elle l'espérait sinon ils risquaient tous d'y rester, après tout combien de temps diable ce truc allait rester calme ? même si ils étaient pas trop haut, c'était certain que si les boulons lachait ou n'importe quoi ils risquaient tous de faire une mauvaise chutes ou mourir. Ce n'était pas le plus inquiétant pour Wilhelmina, ce truc semblait détraquer, et dans le fond elle se disait que ce n'était pas détraquer toutes seule, quelqu'un avait voulu cela, elle se demandait bien qui mais n'avait aucune réponse, de toute façon elle n'était pas sur, mais si c'était le cas, la personne trouvera peut être quelque chose avant qu'ils ai pu s'en sortir et il en était hors de question pour la blonde.

Soudain elle sentit qu'elle était laché, le sort que son ami lui avait lancé dessus avait marché, il ne manquait plus que tous le monde fasse pareil, elle pourrait le faire mais après tout, chacun avait décidé de se débrouiller tous seul. Soit, Wilhelmina n'allait pas s'en plaindre, aider les autres n'était pas non plus son dada. Elle regarda les personnes se libérer à tour de rôle, tout en se tenant à la rembarde au cas ou bien sûr puis se mis à rire à la phrase de matthew en roulant des yeux.

« Bien sûr que non, mais tu es un rouge et or non, le courage est dans tes veines, donc tu pouvais être le dernier n'est ce pas ? » Habituellement, elle n'aurait pas fait ça, mais elle le serra un peu dans ses bras, quand lui même a son tour fut libérer et regarda tous le monde avant de lancer la suite des opérations pour elle.

« Bien, je sais pas vous, mais moi je ne compte pas rester ici, j'en ai assez eu pour la journée. Donc étant donné qu'on est pas trop haut, je pense que je vais sauter, mais ceux qui sont moins à l'aise, il y a une échelle là bas. Enfin vous faites ce que vous voulez, on se retrouve en bas. » Quitte à se casser une jambe, Wilhelmina n'avait pas la patience d'aller jusqu'à l'échelle alors que le sol n'était pas si haut que ça. Dans son enfance, elle avait réussit à se faire mal, à cette distance, elle en gardait une sacrée cicatrice dans le dos, mais cela ne l'empêchait pas de recommencer. Elle ne voulait pas mourir, et elle préférait sacrifier quelque chose de son corps plutôt que sa vie. Elle retira son manteau ainsi que son pull, se retrouvant en débardeur malgré la fraicheur et enjamba la nacelle, s'accrochant un peu et regardant le sol. Il ne fallait pas qu'elle fasse marche arrière et fort heureusement, elle n'avait pas le vertige.

« A de suite Matt... » A ses derniers mots elle sauta.

Atterrissage.:

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'Le Hasard' : 3

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A son plus grand bonheur, Erika parvint à libérer son amie d’enfance de son guêpier. Il était évident qu’elle préférait l’aider en premier, puisqu’elle la connaissait depuis si longtemps. Une confiance s’était établie entre elles et, elles le prouvaient encore aujourd’hui. Vint le tour où Eris parvint à s’extirper de son harnais, choisissant peut-être de ne pas aider les autres par colère. Bien qu’elle ait pris la décision de s’excuser auprès du préfet, on pouvait deviner qu’une jeune fille telle qu’elle devait conserver un peu d’animosité au fond d’elle, en raison de cette situation. Le Serdaigle, jusque maintenant assez discret, réussit à son tour son sortilège. Il ne restait plus que ce très cher Matthew, celui qui avait échoué à cause de son Cracbadaboum peu adéquat. Par chance, il parvint à s’éjecter du problème et, Erika lui adressa un sourire qu’elle voulait aimable.

« Tu vois, tu te débrouilles comme un chef. »

Il fallait continuer à jouer la carte de la sympathie. Ce garçon n’était certainement pas du genre à être associable et, il suffisait sans doute d’un simple sourire pour qu’il puisse se sentir bien. Quoi qu’il en soit, désormais, ils étaient tous sauvés du pire. Ils venaient d’échapper aux fourberies de la mort et, ils pouvaient en être soulagés.

Après la réponse de Wilhelmina et le câlin qu’elle octroya au rouge et or, celle-ci prit l’initiative – une fois de plus - de sauter de l’attraction pour atteindre le sol. Certes, la distance qui les séparait de la terre ferme n’était pas si haute, mais pas suffisamment pour éviter les mauvaises chutes. Cela restait assez risqué. L’allemande ne s’étonna cependant pas d’apercevoir son amie agir ainsi : elle avait toujours eu un petit trait téméraire. Evidemment, Erika n’avait jamais vraiment pu comprendre comment elle pouvait avoir un léger penchant pour les risques. Il y avait peut-être de l’adrenaline à revendre ? Cela valait-il vraiment le coup de risquer la cassure d’un de ses membres pour éviter de prendre une autre issue moins rapide ? La voir retirer son manteau et son pull pour se retrouver en débardeur avant le grand saut, suscita une crainte chez notre héroïne. Elle avait un mauvais pressentiment. Contre toute attente, elle crut entendre un cri en provenance d’en bas : la blondine s’était blessée.

« Et merde. J’arrive, Wilh’ ! »

Comme elle l’avait pressenti, les choses avaient pris une mauvaise tournure pour sa camarade. Il était temps de la rejoindre à son tour, en espérant que rien ne lui arrive de bien fâcheux.

Spoiler:

Le membre 'Erika Feuerwald' a effectué l'action suivante : Le Hasard

'Le Hasard' : 4

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Le calvaire touchait à sa fin. Tout le monde dans le petit groupe du Grand Huit s'était libéré du harnais mes emprisonnant. Désormais, ils n'avaient plus qu'à descendre de là. Heureusement, et même si cela devait écorcher les neurones d’Éris Adway de penser cela, le préfet des lionceaux avait eu la présence d'esprit de stopper le train à une distance relativement peu élever du sol. Certainement la meilleure nouvelle de la journée. Fini les sortilèges pour le moment, Éris n'aurait qu'à sauter ou à emprunter l'échelle se trouvant pas loin afin de descende de ce maudit wagon. Par la suite, elle n'aurait plus qu'à rejoindre son dortoir et passer ses nerfs sur Hope ou son abruti de clone. Et elle en aurait besoin. Non seulement elle avait failli être réduit à bouilli, mais en plus, elle avait risqué de brûler vive. Conséquences fort déplaisantes de l'arrêt d'urgence. Éris n'avait d'ailleurs pas pu s'empêcher de hurler sur le préfet suite à ça. Enfin, une fois que les flammes furent éteintes par l'aînée des vipères. Ce geste avait laissé une dette qu’Éris honorerait non sans grincer des dents. Malheureusement, hurler sur le préfet des lions, ou sur n'importe quel autre préfet, n'était absolument pas une bonne idée, surtout si on voulait avoir le champ libre pour faire ce qu'on voulait faire. Notamment des choses pas très très réglementaires. Consciente de son erreur, Éris arracha des excuses à sa volonté, et cela calma les esprits. Cependant le mal était fait, des deux côtés. La fille Adway avait déclenché la colère du préfet et le préfet, par son répondant jugé impertinent, venait de se mettre la jeune à dos pour le restant de sa vie. Une vengeance serait de mise. Elle allait devoir en parler à Aniek avant toute chose...c'était une histoire tendue et il ne fallait surtout pas qu'elle se fasse prendre, du moins tant qu'il serait préfet.

Pendant qu'elle réfléchissait à un plan, deux des vipères étaient descendues de leur perchoir. La première d'ailleurs s'était fait mal visiblement. A en croire le petit cri qu'elle venait de pousser et par la vue de sa voisine se dépêchant d'aller la rejoindre. Elle sauta également. Par chance, rien de fâcheux n'arriva. Il ne manquerait plus que ça : deux éclopées à traîner jusqu'au château. Voyant que c'était son tour, la fille Adway analysa les opportunités qu'elle avait. L'échelle lui semblait être une idée relativement sauve. Peu de risques de tomber et de se faire mal. Malheureusement, vu sa chance actuelle, Éris se doutait que les choses ne se passeraient pas si bien. Et elle avait plus vite fait de sauter. Quoique, finir éclopée à son tour n'était pas une option souhaitable. De toute manière, elle devait sortir d'ici. Elle devait donc se dépêcher et agir.

Spoiler:

Le membre 'Eris D. Adway' a effectué l'action suivante : Le Hasard

'Le Hasard' : 3

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