J’avais demandé son aide parce que sincèrement, le truc n’arrêtait pas de me glisser des mains, vagabondant dans le sac. J’y étais allé le premier parce que la préfète était un peu anxieuse de mettre sans main dans un sang sans savoir ce qu’il y aurait dedans. Mais bon, je la comprenais un peu, on n’y voyait rien. J’avais besoin de son aide et elle y glissa la main avant de bloquer ce dernier. «Super, ma belle.» Je sortis ma main en même temps qu’elle. On ne le voyait pas, mais après avoir décrit chacun ce qu’on avait sous les mains, on arriva à un consensus sur ce qui nous avait attiré ici. «Ton Amortentia sent ?» J’avais un peu le goût de rire, mais en même temps, j’en découvrais plus sur la jeune femme en ayant les yeux fermés, un poignet attaché et dans cette mission que jamais auparavant; il était clair qu’elle me donnait beaucoup de chose à penser. «C’est particulier.[/b]» Laissais-je vagué en suspens. «[b]Retournons à la porte. Je le range, au cas où il faudrait leurs rapporter. » J’insérai de ma main valide l’objet dans la poche arrière de mon pantalon, avant de me laisser guider par la belle qui faisait glissé sa main le long du mur pour que nous retrouvions la porte de tout à l’heure. «Tu penses qu’on tombe sur quoi d’autre après?» J’étais assez intrigué. Les choses s’était somme toute bien passé mais rien n’empêchait que de l’autre côté de cette porte, d’autres péripéties les attendait. Tant qu’un vague de les percutaient pas au visage, ça serait assez bien. «Prête, princesse ?» Et j’ouvris la porte de ma main libre avant de passer devant au cas où il y aurait problème de l’autre côté de cette nouvelle porte. Élé c’était déjà fait mal, et je me sentais atrocement mal à cause de cela, pas la peine de me causer plus de soucis.