[FINI] - Retour vers le futur - PV Suzanelle [LEMON]

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Retour vers le futur

Le goûter et le sentir prendre du plaisir à ces caresses, autant ces mains que sa bouche l’avait profondément allumé. Elle avait pris du plaisir à lui en procurer, de plus elle se sentait si forte quand elle pouvait faire trembler un garçon sous ses doigts. D’ailleurs, pendant un bref moment, elle avait bien cru qu’elle était allé trop loin, poussant et glissant sa langue avec délectation sur le membre durcis par l’excitation de son amant. Elle en avait un peu perdu la notion du temps trop absorbé par la tâche qu’était de faire plaisir à Louis et s’assurer de plus de plaisir pour la suite des choses. Elle entendait ces soupirs rauques, son souffle s’enrayer et des gémissements pris entre deux lèvres pincées. Ce que son avait quelque chose de tout bonnement captivant; elle aurait pu continuer cette danse buccale éternellement se disait-elle. Elle glissa son corps contre celui de Louis alors qu’elle allait s’épancher sur ces lèvres. Le goûtant à nouveau et le permettant de se goûter lui-même sur ces lèvres humides et légèrement salé.

La suite… que des mots alléchants. Et surtout qui était rempli de promesse des plus agréables à l’oreille et excitante pour son esprit. Sa réponse lui semblait plus que juste. Elle ne lui aurait pas permis de s’en tirer à si bon compte sans pour autant profiter elle-même de son propre moment de félicité. Ces deux mains avaient rejoints le cou et le derrière de la tête de son amant, qu’elle pressait et caressait sous ces doigts, lors de leur précédent baiser. Elle soutint son regard complice et brillant d’amusement, alors qu’elle se sentait chaviré rapidement sous lui. Son rire léger, désinvolte et court fut arrêter par un long et savoureux baiser sur ces lèvres, alors que le sourire de la belle demoiselle se perlait tranquillement pour une expression plus douce et plus tendre. Cambrant légèrement le cou, elle s’offrit aux lèvres du français qui papillonnaient en laissant çà et là un baiser dont le fugace souvenir semblait imprégné la peau de l’anglaise. Un peu plus bas et elle aurait du mal à se contrôler, extrêmement chatouilleuse juste en dessous de la clavicule. La zone fût évitée et alors qu’elle regardait son amant s’élancer sur la découverte de son corps. Suza fermi les yeux pour continuer à savourer la chaleur et la moiteur des lèvres de Louis sur son corps nu niché dans des draps soyeux. Sa poitrine embrassé d’abord un peu timidement, puis avec plus vigueurs, semblaient débuté le bal de ces sensations. Puis une main vint se joindre à la partie, pétrissant doucement son sein droit puis le gauche, alors que sa bouche s’accordait à une danse pour n’en délaissé aucuns des deux. La gryffonne dont l’attention était porté complètement sur son ressentie jubilait de plaisir et alors qu’elle sentait son corps pulsé d’un long frisson soutenu, son cœur lui semblait battre si fort qu’elle pouvait se convaincre que son amant pouvait l’attendre ou même le voir sortir de son buste. La bouche du jeune homme se glissa sur son bas-ventre, alors qu’elle sentait sa seconde main englobé son sein tout juste délaissé. Son corps était déjà si stimulé qu’elle sentait parfaitement la pression lancinante sur sa poitrine qui était devenu hypersensible sous la stimulation.

La demoiselle tressaillie un bref instant alors qu’elle sentait ces lèvres intruse dans son intimité, avant de réellement pouvoir en prendre plaisir. Se déliant du malaise comme s’il n’avait jamais été, elle mordit sa lèvre avec force tellement son plaisir était vraiment surprenant, en expulsant un gémissement un peu plus fort depuis le début de leur caresse. Puis cette langue, chaude et habile, qui la goûtait à son tour. Ainsi, elle était complètement vulnérable à tout ce qu’il pourrait penser lui faire. La tornade de sensation la dépassait, et bien qu’elle n’avait aucune idée s’il savait ce qu’il faisait ou pas les sensations était très bonne. Les mains crispés dans les draps de soie, à la hauteur de son bassin de chaque côté de son corps, n’épargnait en rien le décor qu’avait choisi Louis pour l’accueillir dans son lit ce soir. Un râle, une respiration plus courte de surprise la prit alors que son amant glissait ses doigts à l’intérieur d’elle, plaisir tyrannique auquel elle devait absolument se lier. Le bassin de la belle avait du mal à rester en place, ondulant légèrement pour trouver la position qui lui apporterait un maximum de sensation. Là, juste là! Elle posa ces mains sur la tête de Louis, insérant ces doigts à travers la masse de cheveux soyeux. Un gémissement et puis un autre et encore, elle n’arrivait pas vraiment à les contrôler, instinctifs et subséquent à chaque attaque réussi qui la submergeait du délice que lui procurait sa langue. Crispa tous son corps avant de se relâcher dans un tremblement qui la parcourait entière, le souffle coupé puis littéralement anarchique. La belle se sentait parcourir entière d’électricité la prenant d’assaut du petit orteil à ses oreilles. Elle rouvrit les yeux pour voir son amant revenir vers ces lèvres. Woah! Vraiment! Elle s’agrippa à lui et lui asséna un baiser plein, parfaitement subjuguée d’être aussi réceptive à tout ce que le sorcier lui faisait vivre. Elle le sentit se tendre vers quelque chose. Elle ouvrit les yeux avant de relâcher la prise qu’elle avait sur son cou et sa tête.

Elle passait à deux doigts de rire, mais en y repensant bien, la contraception des sorciers et des sorcières s’étaient plus la femme qui s’en occupait. Il y avait bien sur des potions et certain sort qui permettait de ne pas avoir d’enfant, mais si ça pouvait sécuriser le garçon, elle tenterait ma méthode moldu. S’il venait à perdre le momentum ou discuter de cela maintenant autant abandonné la course et dire que pour ce soir, c’était terminé. Si ceci était pour se reproduire, elle lui donnerait plus d’explication mais pour l’heure elle avait beaucoup trop envie de le sentir à l’intérieur d’elle pour lui faire une thèse sur les potions et les sortilèges. Son attention fût portée sur l’enveloppe argentée que Louis tenait, alors qu’elle se redressait. Le jeune homme avait ouvert l’enveloppe et alors qu’il semblait si hésitant, elle se décida à mettre la main à la pâte. La pellicule se moulant au corps et plus précisément au sexe de ce dernier alors qu’elle continuait à le dérouler d’un geste simple et doux. Elle n’avait aucune idée si c’était comme cela qu’il fallait que ça aille, mais d’une autre partie, elle n’était pas vraiment plus dérangé car elle avait elle-même pris ces précautions malgré tout et ce depuis les premiers jours ou elle avait commencé à sortir avec Damien. Une habitude qui ne se perdait pas et qui assurait probablement plus de sécurité que cette gaine humide sur laquelle elle avait posé ces mains. Roulant ces doigts dans sa paume, curiosité dirigé vers le lubrifiant qui avait humecté les doigts de Suzanelle.

Un sourire en coin et il était à nouveau sur elle. Elle le guida de la main pour le mener vers son intimité. Il ne se fit pas vraiment prié et le souffle court, elle le sentit l’emplir complètement et parfaitement. Ces lèvres s’étaient entrouvertes sous la surprise de la sensation. Elle le sentit bougé tranquillement alors qu’elle passait ces mains sous ces aisselles pour caresser son dos de manière soutenu, avant de descendre vers ces épaules puis ces biceps. La demoiselle reporta son attention sur le garçon au travail, et fixa son regard dans le sien comme une ancre. Elle lui sourit complice, après tout aucun être humain ne pouvait être plus près physiquement que dans cette position. Il ne lui restait qu’à gagner son cœur, son esprit déjà conquis et elle pourrait réellement considérer Damien un élément de son passé. C’était une drôle de pensée, pour un moment si intime et si sulfurique que leurs deux corps en fusions se fondaient l’un dans l’autre dans une danse de plaisir commun, mais elle l’avait quand même eu.

Il augmenta la cadence et intérieurement, bien que cela augmentait la tension sexuelle qui la parcourait déjà, elle savait que les choses ne feraient que ce précipiter plus rapidement par la suite. La lenteur avait aussi de ces vertus que peu de gens considéraient. Mais l’exaltation était tout de même au rendez-vous. Chaleur et pression, glissant et se retirant presqu’aussitôt pour leur unique plaisir partagé. Elle glissa ces doigts dans la nuque du garçon affirmant sa prise alors qu’elle se cambrait sous le pilonnage du français. Son corps extatique ne rêvait qu’à une délivrance des plus érotiques dont les premiers paliers commençaient à se définir. La remarque la fit rire brièvement, avant de littéralement le balancé sous elle dans un tout autre mouvement que sa cambrure.

«Considère ceci comme déjà fait…» dit-elle en mordant sa lèvre inférieure avant de tranquillement recommencer le mouvement de haut en bas, en s’empalant sur lui avec aisance. Dans cette position, elle sentait le membre de son amant frotter doucement contre son pelvis, pression idéale pour d’autre sensation des plus intenses. Ces cheveux en cascades retombaient sur ces épaules et couvrait le haut de sa poitrine, et ces mains à elle lui caressait tranquillement le bas ventre. Le mouvement de la belle se faisait plus lentement, plus méthodique et pourtant tout aussi savoureux. Prenne les rennes même de manière temporaire avait de ces bons côtés, elle pouvait littéralement montrer à son partenaire ce qu’elle recherchait de lui, du moins, s’il en était capable. Un roulement de son bassin de devant par derrière, une lente monté et une lente descente qui lui tirait presqu’un sursaut de stupeur alors qu’elle exaltait et gémissait de le sentir si tendue en elle. «Aucun besoin de se précipiter. À moins que tu préfères ça rapide habituellement ?» Après tout, il devait lui aussi avoir des préférences, autant les savoir. Elle n’était pas si égoïste et préférait grassement comblé l’homme sous elle. Elle le surplombait de sa hauteur et sentait ces mains remonter le long de ces cuisses, puis glissé sur ces fesses. Un frisson la parcourut encore et toujours. Puis ces mains vinrent se percher sur les hanches de la gryffonne qui s’activait à prendre la cadence désirée par son amant. Elle glissa ces propres mains sur son corps caressant le galbe de ses seins, l’un après l’autre, son ventre, jusqu’à terminer sur les mains de Louis, entrelaçant leurs doigts ensemble. Quelques vas et viens plus tard, elle décollait les mains sur sa hanche droite, élevant le bras de son amant de le vide et s’assurant une prise différence sur le poignet du jeune homme, avant d’insérer son index à lui dans sa bouche, le licher et le sucer tout en fixant qu’un regard excité ce dernier. Elle le sentait tressaillir et sa vigueur augmenté. Suzanelle mordit sa lèvre inférieure d’un air sexy, satisfaite du résultat.

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La lune laissait une lumière. Une simple lumière, faible, douce. Elle traversait la neige froide pour venir rebondir sur les murs blancs de la salle sur demande. Cette salle d’un blanc immaculé qui pourtant était le témoin d’un acte d’amour charnelle, puissant et torride. Cette salle qui semblait en apparence si froide, comme le temps qu’il faisait à l’extérieur, était en fait une véritable fournaise, un brasier de désir que les deux amants nourrissaient avec envie et dévotion. Le français sentait doucement son corps se fatigué, il sentait cette emprise chimique sur le corps. Il buvait en ce moment même un véritable philtre d’amour. Cette fois ci, il tremblait de désir, il ne tomberait pas dans les pommes. Cette fois-ci, c’est bien sa tête et son corps, totalement conscient, qui choisissait, qui voulait le corps de la jeune anglaise. Ce corps musclé qui se laissait aller à des vas et viens plus qu’érotique. A chaque moment, il sentait le sang dans son sexe aller puis venir, il sentait totalement la vulve de Sue le prendre comme prisonnier puis le relâcher quelques secondes plus tard, avec le plaisir et l’envie qu’il y revienne. Il n’avait pas l’habitude, il ne savait pas ce qu’il faisait mais il s’en fichait, il prenait un plaisir. Le meilleur plaisir que tout être humain pouvait prendre sur Terre. Cet acte de désir qui chassait toutes les autres choses. A ce moment-ci, il n’y avait que les deux corps des deux amants qui comptaient et rien d’autre. Si Louis avait laissé la jeune demoiselle prendre les choses en main, c’est qu’il en avait envie et besoin. Besoin puisqu’il devait avoir une guide. Elle était sa maitresse, elle lui apprenait comment désirer encore plus, comment se faire désirer encore plus. Envie car il aimait les demoiselles avec de la poigne. Il n’avait pas eu la chance de le savoir avant ce soir, mais il aimait les demoiselles avec de la poigne même au lit. Son excitation n’était que plus grande. Savoir qu’elle pouvait faire de lui n’importe quoi alors qu’elle devait faire la moitié de son poids avait quelque chose d’intrigant ou plutôt de curieux. Les vas et vient qu’elle faisait imprimer à son corps semblait être venu d’ailleurs. Les deux corps se fusionnaient, ils se cherchaient. Ils voulaient aller à la découverte de terre inconnue, de sensation inédite, d’envie nouvelle. Les douces cuisses chaudes de Sue serraient doucement celle de Louis. Il se sentait encore plus enserré comme s’il était la proie sexuelle de Sue. Elle jouait de son corps sur tout le long du sexe de Louis appuyant au moins opportun, ne faisant qu’accroitre l’envie et le sexe du jeune français. Pour une première fois, il semblait être assez performant. Il n’avait pas du tout envie de couper la jeune demoiselle pour lui demander ça, il serait certainement passé pour un crétin. Tout ce qu’il voulait en plus de prendre et de rendre du plaisir, c’était de se montrer rassurant et aimant. Il voulait, maintenant qu’il faisait l’amour avec Suzanelle, que ça soit réellement plus que pour une seule et unique nuit.

La demoiselle quant à elle regardait Louis d’un regard de braise. De fine gouttes de transpiration coulait sur les deux visages des amants. Alors qu’elle continuait son rodéo, elle se lança dans des caresses sur elle-même qui était plus qu’excitant pour Deslestrat. La voir jouer avec ses seins était magnifique. Elle semblait vouloir prendre du plaisir de toutes les façons possible et imaginable. Louis pensait bien qu’il y aurait encore bien des façons de faire l’amour mais qu’il n’aurait certainement pas la chance de voir et d’expérimenter celles-ci ce soir. Ses mains vinrent prendre celle de Louis. Elles étaient douces et magique. Il savait maintenant qu’elle n’était pas douée que pour la magie avec une baguette. Elle avait le pouvoir de l’Imperium sur Louis, et ça lui plaisait totalement. Sa langue féérique prit avec envie le doigt de Louis. Le sang de celui-ci arriva d’un seul coup au niveau de son sexe déjà très dur. Alors qu’elle accélérait doucement le rythme, Louis lui dit, le souffle court de désir : « Accélérons un peu plus ». Il lui fit un clin d’œil puis il se mit à bouger un peu son bassin. La cadence que Sue imprimait été longue et dure. Louis apportait des petits coups de bassin qui semblait faire jouir doucement sa partenaire. Il avait trouvé un moyen de lui faire encore plus de plaisir et il n’allait pas s’en priver. Excité comme pas possible, le français se donnait entièrement à sa compagne. Il jouait avec son sexe d’une façon amoureuse et désireuse. Il accéléra un peu le rythme, le corps de Sue sautant un peu plus sur les jambes de Louis. Passant ses mains dans le dos de Suzannelle, il en profita pour lui donner des caresses tout en la tirant doucement vers lui. La poitrine dure de Sue vint se poser sur le torse chaud de Louis. Il lui prit sa bouche d’un baiser langoureux, continuant son va et vient puissant et lent. Les mains musclées du français prirent le fessier de Sue. Elle semblait vraiment être très sensible de cet endroit. C’était tant mieux car Louis aimait avoir ses mains ici. Il jouait doucement de ses doigts alors que son sexe dur continuait son travail qui faisait gémir de plaisir sa partenaire et ceux de plus en plus. Les caresses qu’apportait Louis touchait doucement l’intérieur des cuisses de l’anglaise voir même son sexe. Louis accéléra le pas quelques secondes avant de remettre Sue dans la position qu’elle occupait juste avant. Avec une grande rapidité, il s’assit sur les draps de soie qui avait totalement pris la forme de nos deux amants. Il senti doucement la demoiselle changer de position.

Les fines jambes de Sue firent d’un coup le tour de Louis. Il se sentait encore plus serré. La demoiselle commença un va et vient fort et rapide, Louis lui donnant la réplique, donnant des coups de bassins quand le sexe de Sue prenait tout en entier celui de son amant. Les lèvres de Louis avaient pris celle de Sue, sa langue allait jouer avec celle de son amante. Ses baisers descendirent doucement vers la poitrine de Sue. Il en avait tellement envie. Alors que les deux amants se donnaient en va et viens, les doigts du français touchaient le bout de seins dur de Sue, sa langue jouant autour. Il voulait la faire encore plus languir alors qu’il sentait le sang de plus en plus fort dans son sexe. Il aurait très certainement mal après l’acte mais ça en valait tellement le coup. Ils étaient là, tous les deux, dans une salle parfaite, dans ce château qui était rempli de monde encore à cette heure-ci. Enfin, il ne le savait pas, il avait totalement perdu le sens du temps depuis qu’il se donnait à corps battu dans une bataille de désir. Ces deux amants qui avaient plaisanté durant deux semaines, se cherchant, flirtant. Ils se donnaient totalement l’un à l’autre en ce soir d’hiver. Les pensées de Louis étaient bien plus sexuelles. Plus l’acte continuait, plus il avait des envies sauvages, Sue devait certainement les avoir aussi. Sans même savoir pourquoi et comment, les deux grandes mains du futur batteur prirent les cuisses de la demoiselle. La portant, il se déplaça doucement. Il fit basculer Sue à nouveau le lit. Elle se trouvait maintenant, jambe écartés sur le lit, lui debout. Il tira donc les deux jambes humides de Sue puis il la pénétra à nouveau. Elle était souple et c’était tant mieux pour Louis. Il vit sa partenaire se retenir de crier, ses jambes se posèrent alors sur les épaules du beau châtain. Les va et vient de Louis se faisait dur, il gémissait avec insistance pendant que Sue elle ne retenait plus ses bruits de plaisir. Ils étaient tous les deux dans une symbiose qui était très rare. Jamais, pour rien, Louis n’avait été aussi proche et fusionnelle avec une personne. C’était pour ça qu’il avait attendu si longtemps pour coucher avec une demoiselle. C’était plus que bien, mieux que passable, c’était extraordinaire. Il savait très bien que Sue avait déjà vu certainement bien mieux mais elle ne mentait, elle ne semblait pas mentir en tout cas. Il l’espérait. Alors qu’il continuait son travail au corps, le jeune français commençait à sentir la jouissance arrivé. Il ne savait pas quoi faire. Continuer et finir en beauté tout de suite ? Une idée. Mais il avait encore des envies et il savait qu’il pouvait encore tenir. Et quoi de mieux et de plus jouissif encore que de faire crier sa partenaire encore une fois, encore plusieurs fois. Ou toute la nuit.

Bougeant encore une fois, il se retira doucement. Ne sachant pas trop comment demandé ce qu’il voulait à sa partenaire il lui dit : « J’ai envie d’une position sauvage ». Alors qu’il venait à peine de finir sa phrase, l’anglaise s’exécuta. Elle le regarda d’un regard de braise, elle se mordit les lèvres une fois puis son corps se tourna pour se mettre à quatre pattes sur le lit. Il n’y avait rien de plus bestiale que cette position. Elle s’offrait donc encore une fois totalement à son amant sans limite. Du moins, Louis n’était pas assez fou pour trouver des limites que l’anglaise ne voulait pas franchir. Faisant basculer ses cheveux sur le côté, elle regarda Louis d’un air de défi. Elle voulait qu’il lui fasse une fête de sexe, elle voulait qu’il la désir plus que tout au monde, qu’il lui fasse l’amour comme si c’était la dernière fois qu’il pouvait le faire de sa vie. Louis allait se donner corps et âme quand Sue se tourna un peu pour prendre son sexe dans sa main. Elle retira doucement le préservatif puis elle prit la baguette de Louis qui trônait sur sa veste. Le français eu peur quelques secondes. Elle voulait faire quoi exactement avec ça ? Il savait que les moldus avaient recours dans certains cas à des jouets sexuels mais ça ne devait pas être pareil pour les sorciers. Du moins, il l’espérait. La demoiselle chassa vite ses pensées négatives. Elle venait de lancer un sort qu’il ne connaissait pas. Louis était quand même assez intelligent pour comprendre que c’était une protection magique. Elle voulait donc vraiment qu’il se donne entièrement à elle. C’était ce que Louis allait faire. Prenant sa partenaire par le bassin, il recommença un va et vient. Au début lent et profond puis il commença à accentuer le mouvement. Ses mains se portèrent sur la poitrine de Sue qui bougeait. Cambrer sur sa partenaire, il allait de plus en plus vite. Les deux amants prenaient du plaisir en même temps. Ils ne gémissaient plus, ils criaient tout simplement. Personne ne pouvait les entendre de toute façon. Avec une vigueur énorme, Louis sentait sa semence venir. Cette fois-ci il ne s’arrêtait pas. Il voulait jouir. Sue lâcha tout ce qu’elle avait, son sexe était mouillé d’une telle façon que les va et vient de Louis étaient ultra rapide. A un moment, Louis senti son corps tout entier se raidir. Une sensation qu’il n’avait jamais senti avant ce soir. Il venait de jouir, à l’instant même où le sexe de Sue s’était serré. Les deux amants, le souffle court, venaient de prendre du plaisir, au même moment. Baissant sa tête, Louis déposa des baisers sur le dos nu de Sue. Il avait bien fait d’attendre. Cette nuit resterait comme la plus belle qu’il avait passé depuis tout ce temps. Pendant encore quelques minutes, les deux amants s’enlacèrent, s’embrassèrent. Ils avaient décidé qu’il était préférable de ne pas trop tarder. Les profs iraient faire des tours dans les dortoirs pour voir si tous les élèves étaient bien à leur place. Louis ne voulait pas avoir d’ennuis.

Rhabillés comme il faut, les deux amants sortirent de la salle sur demande. Au loin, on n’entendait plus aucun bruit. La fin du bal avait déjà dû être donnée depuis un bout de temps maintenant. Ne faisant pas de bruit mais se tenant par la main les deux amants tournèrent dans un couloir. En face d’eux, se trouvait McGonagall. Les deux jeunes se stoppèrent net. Elle semblait étrange. Le professeur se hâta vers eux. Ils allaient avoir le droit à des punitions. Arriver à leur niveau, Minerva McGonagall leur dit : « J’ai toujours su que vous seriez ensemble vous deux. Profitez que j’ai un peu bu et que je sois généreuse pour aller dormir … chacun de votre côté ». La prof parti, les deux amants éclatèrent de rire ensemble avant de s’embrasser et de se séparer. La nuit allait être belle.