À ce moment de la journée, impossible d’avoir une bonne lumière ailleurs que dans les salles de l’ailes Ouest de l’école. Après trois heures de travail sur multitude versions d’une forme que je tentais d’intégrer dans l’entrelacement du métal sur des pendants d’oreilles, j’avais rendu les armes quand finalement le ciel d’avril s’était à nouveau couvert pour donner à la pièce des allures aussi ternes qu’une mornille. J’avais rangé fusain et craie grasse dans leur étui, avant de soupirer devant l’état de mes doigts manucuré que je tentais de nettoyer d’un coup de baguette quelques secondes après. Soulevant feuille après feuilles vers la lumière de la fenêtre, je tournai la tête, question de voir ce que j’avais produit sous un nouvel angle. Indécise, oui, j’étais vraiment indécise. Je rangeai, alors, tout dans mon portefolio déjà bien composé. Dessous, le croquis d’un arbre spécial que j’avais vu chez les van Aken en République Tchèque et dont la lumière dans la pièce de l’atelier de baguette m’avait éblouie par ses couleurs et sa grandeur. J’avais repris le dessin un certain nombre de fois, ne trouvant pas tout à fait exactement l’aspect qui m’avait le plus charmé et qui lui était plutôt immatériel. J’avais un certains talents certes, mais je n’étais pas particulièrement doué pour dessiner des scénettes, ni n’y mettait souvent beaucoup de temps. Mais on ne devenait doué qu’en y accordant tout le temps à l’accomplissement, et ma vie était bien trop occupé pour être dans le contemplatif. La forme que je tentais de donner était tiré de celui-ci, bien qu’il me semble ne pas lui rendre justice. Maintenant qu’il était rangé, je pouvais à peu près l’oublier pour l’instant.

Un port de reine, la démarche gracieuse et déterminé je traversai couloir sur couloir avant de descendre les marches, mes doigts brillants de bijou défilant sur la main courante de la rampe de la seule manière qu’un escalier ne devrait jamais être descendu, noblement. Je balançai ma coiffure parfaite de gauche à droite, avant d’arriver au prochain pallier et m’y arrêté en remarquant une tête qui m’était à moitié inconnu. Après tout le monde avait pu voir le grand frère de Dmitri arriver et s’incruster comme une mauvaise veine en plein milieu du cristal de l’école. Il avait dû l’asseoir sur le tabouret pour mettre ce couvre-chef poussiéreux sur sa tête, dans le bureau du Directeur Armitage. Espérons qu’il avait eu la présence d’esprit de mettre le feu à cet affreux et poussiéreux artefact.  Que faisait-il là, ici et maintenant ? Aucune idée. C’était important ? Poudlard avait-il un quota de van Aken à respecter ? Avait-on envoyé un rejeton remplacé l’expérience ? J’étirai un grand sourire de mes lèvres soyeuses et rouge comme si je m’attendais à une prochaine négociation, et qu’elle serait particulièrement ardue. C’était le cas d’à peu près le cas de tous ceux qui étaient du mauvais sexe et de la même caste, à mes yeux.

Me dis pas que tu es perdu ? Ils auraient pu au moins faire l’effort de te fournir une carte magique de l’école. C’est ridicule, vraiment!  – Je plaçai mon portefolio à demi devant moi couvrant à moitié mon buste et mon ventre par sa superficie, mon ton légèrement outré plus, pour l'effet que réel. – Ça aurait été le minimum pour accueillir un van Aken dans cet école. – J’affichai mon humeur charmeuse et hautaine, avant de poursuivre naturellement par me présenter. Ce qui était non seulement nécessaire mais absolument le but premier de mes pas qui s’était arrêté à sa hauteur. Quel chance pour lui, vraiment!  – Je ne crois pas qu’on ait jamais été présentée, officiellement, par le passé. Maximilianna Saphyra Stein. Dommage que ça soit en plein milieu d’un couloir aussi laid et non lors d’une vrai soirée digne de ce nom! C'était vraiment dommage que de ne rencontrer Dmitri à votre résidence familiale de Prague, cet été. C'est Kryštof, il me semble. – Si ça n’avait pas été de cette période de deuil que les Stein avait respectée pour envoyer leur invitation pour le bal de Noël, alors que les rapports commerciaux étaient à nouveau en vigueur entre nos deux familles, j’aurais eu la chance, peut-être, de croiser l’un ou l’autres des aînés de Dmitri. En tant que digne héritière de ma famille, impossible de ne pas chercher à entretenir de bonne relation avec eux sans potentiellement compromettre ce qui se passait qui était beaucoup plus grand que nous, les petits-enfants. Et grand-père s’était assuré que j’ai bien tous les noms et les visages en tête avant même de franchir la cadre de la porte d’entrée du domaine de Tchèquie. On ne livre pas une négociation sans emporter quelques armes. Pour grand-père c’étaient des informations, pour moi c’était surtout de porter le bon ensemble du bon designer, mon sac à main et mes chaussures assorties.  Ce qui, il fallait l’avouer n’était pas tant réussi dans l’humidité et la noirceur graduelle de cette journée qui virerait probablement en pluie torrentielle.  

Maximilianna, je t’en prie. Après tout, nous sommes si peu, et je préfère qu’on ne me hèle pas comme une joueuse de Quidditch, quand même. -Affirmais-je d’un sourire, avant de reconnaître que comme dans toutes les fratries sang-purs, les couteaux étaient disponibles à être lancé comme sur des cibles mouvantes dès que l’individus avait la tête tourné. Après, des uns aux autres, c’était à peu prés pareil. Une famille uni était plus comme celle qui était capable de recevoir les pires piques en gardant un sourire et en préparant la contrattaque.

Alors encore chanceuse de pouvoir rencontrer quelqu’un qui pourra redorer votre blason familiale à sa juste mesure. Je compte sur toi, alors.

Je bougeai d’un coup d’épaule sur le côté, échangeant de manière animé plutôt que stupidement fixe sur mes pieds, l’air de vouloir le challenger à me prouver la justesse de ces propos. Après tout, à n’avoir aucune comparaison, on se limitait à ce qu’on connaissait; soit il était juste pompeux, soit il était exactement ce qu’il disait – ce qui serait beaucoup plus intéressant pour moi. - Je comptais me rendre au bureau de Professeur Grant; pour une question sur notre devoir à remettre jeudi prochain.  - Répondis-je tac o tac avant de passer à la prochaine question de son attention vers mon portefolio que je dégageai sur le côté de ma hanche gauche, un sourire amusé sur les lèvres. Parce que jamais je ne m’étais moi-même considéré comme une artiste en soit. J’avais des bonnes aptitudes, mais de là à dire que j’y passais mes journées, c’était loin d’être le cas.

Mes esquisse sont des ébauches pour des design d’orfèvrerie. Créer, demande des idées nouvelle. Dessiner est un premier des pas dans la réalisation du travail. Je ne gribouille pas, j’innove. Il y a une grosse différence. Et des ces innovations, ta propre famille en achètent à gros prix pour parer vos propres créations. Nos portes baguettes n’ont rien de brouillon, Krystof, elles font parti intégrante du commerce établi, mais aussi de notre renommé. C’est d’ailleurs, qu’une très très petite portion de l’art de ma famille.

Ce n’était pas une négociation, c’était un fait. Je le savais comme les lois du commerces de l’offre et de la demande. Si j’estimais le premier contact intéressant, je ne voulais pas non plus qu’il me prenne comme une personne fantasque sans but ni ambition; une potiche jolie et manucuré qui ne servait strictement à rien; d’un parce que ce n’était pas le cas, et de deux parce que jamais au grand jamais je n’aurais laissé personne rabaisser mon travail à de la vulgarité. Ils n’étaient pas toujours parfaits et j’étais fort critique avec moi-même avec tout ce que j’entreprenais, mais ce n’était pas le tout dernier arrivant van Aken frais sorti de Durmstrang qui me ferait déchanter de ci-tôt.

Et toi, qu’est-ce qui t’amène, ici ? C’est l’infirmerie ? Déjà le mal du pays ?

Mais la solution pour cela, se trouvait beaucoup plus à l’Ouest, voir littéralement au bout de l’allée. Le Balcon monde avec ses vues pourraient largement donner l’image qui lui rappellerait pourquoi il était parti et pourquoi il voulait revenir d’où il venait. Du moins, peut-être. Vous le voyez mon petit air de sollicitudes tout travailler pour la cause ? Décidément, l'échange restera un peu tendu.

Il y a de bien meilleurs option, pour le blues de voyage.

C’était vraiment une étrange manie de chercher à se montrer supérieur à moi. D’autant que, c’était impossible, d’autant que c’était un comportement typiquement masculin. Mon frère se serait peut-être porté au jeu, mais moi. C’était non seulement risible mais hors de question.

Je n’ai pas besoin de rabaisser vos baguettes pour savoir ce que je vaux et, par extension, ce que ma famille vaux. Ça manque non seulement de classe, mais aussi fait offense aux ententes de partenariat commercial.

Je souris à mon tour, franche avant de d’étirer mon sourire avec la même mimique que la sienne, ajoutant d’une voix suave : Et dire que je croyais que la courtoisie tiendrait plus de deux minutes! Mais j’ai oublié que vous, les mecs, avez la fâcheuse manie d’êtes incapable d’apprécier quelque chose sans chercher à vous comparer. C’est vraiment dommage de se sentir menacer pour si peu. D’autant que, ça ferait de toi quelqu’un de tout à fait banal.

Je me penchai légèrement en avant, mon portefolio caller sur le côté de ma hanche, l’air de vouloir lui confier quelques chose. – Je m’attend à ce que tu ne le sois pas, alors, ne gâche pas tout. – Je me redressai; un air légèrement déçue de sa performance mais lui offrant une seconde chance d’arrêter d’avoir l’air d’un idiot, en public, qui plut est. Mon regard vers les portes doubles l’infirmerie me poussa à la questionner en retour sur la raison de sa présence; et pour lequel il ne répondit pas.

Je suis sûr que tu arriveras à te convaincre qu’arriver après cinq ans d’étude de Durmstrang et d’arriver plein mois d’Avril sont tout à fait les déterminants d’une grande gloire personnelle! – Les Steins avaient décidé de quitter cette école depuis deux décennies maintenant, si j’étais la première scolarisé à Poudlard, le reste des Steins, sauf mes deux cousines du même âge, étaient scolarisé à Beauxbâtons. Pour ce qui était des branches secondaires, dont les sœurs de Rozé du côté des Netaniev, la plus vieille et la plus jeune arpentait l’ancienne école de Krystof encore à ce jour. Pour autant, les échos que j’avais de mes cousines éloignés ainsi que de Darina, ma nouvelle colocataire depuis quelques mois, n’étaient guère bien reluisant. C’était la même recette pour beaucoup de chose, dont tout ce qui avait attrait à la pureté de sang et la grandeur de l’école et des performances de ces étudiants. Celui-là devant moi ne devait pas être très enchanté d’arriver ici, alors qu’ils comparaient Poudlard à une école de seconde zone depuis tous les incidents des dernières années. Si quelques fois, il avait été question de me transférer à Beauxbâton par le passé, pour du mieux; lui aurait peut-être l’impression d’être tombé bien bas – et son attitude n’allait pas l’aider, loin de là. – Tu me vois fort navré pour toi. – Et j’étais convaincue qu’il détesterait de passer pour quelqu’un qui était à plaindre, voir tout petit et triste; alors qu’il dégageait de lui un tel égocentrisme. C’était risible, tout bonnement. Je comptais ne comptait pas vraiment les secondes, bien que je ne songeasse pas vraiment à m’attarder en sa présence s’il était encore tout bonnement désagréable. Il s’en mordrait les doigts, parce que force était de constaté qu’il était dans mon école, et pas l’inverse.  Je faisais le minimum. Après la suite, ne dépendait que de l’antipathie qu’il saurait dégager de mon humeur, ou encore du challenge qu’un échange avec lui pouvait représenter. J’attendais une réponse à ma première question, et je soutint son regard en sachant pertinemment qu’il m’avait comprise et que je n’allais pas m’abaisser à répéter ma question; je n’était pas un volatile exotique et n’en serait jamais un. Ça n’était pas près d’arriver. Et si le silence perdurait, je serai bien la première à quitter.  

Oh. Mais il était mignon le petit oiseau. À peine arrivé qu’il se pensait un rapace? Il avait beau s’approcher, je soutint son regard avec le même aplomb, digne et largement au-dessus de son agressivité à peine voiler. Comme quoi, il était largement plus idiot que Dmitri. Par Merlin, maintenant j’en était à me dire que son grand-père avait eu la sagesse infini de ne pas me faire asseoir avec ce triste individus pour un après-midi. Quoique, je crois que je me serai bien esclaffer que leur patriarche lui donne une jolie fessé pour avoir été aussi imbu et impertinent avec moi. Oh, mais cette pensée étire mes traits sans même une retenu, alors qu’il pose ses doigts sur mon portefolio d’un geste particulièrement brusque; près pour me le retirer.

Nos rapports commerciaux n’ont été repris que cet été parce que nos carnets de commande ne le permettait plus depuis plus de vingt ans. C’est moi qui change la donne, pas l’inverse. Sans TA famille, je ne serai pas venu te saluer comme une personne digne de mon rang et d’intérêt. Mais décidément, c’est vraiment le seul apport que ta famille apporte à cet échange et qui soit réel.

Maintenant j’étais convaincue d’une chose, il n’avait vraiment aucune idée de qui était ma famille, ni même ce dont elle était capable. Comme si les huit dernières générations de Stein allait disparaitre dans les vingt prochaines années pour une utopique prophétie d’un mec aussi grossier qu’impertinent. Nous dominions le marchée Européens depuis très longtemps, et ce n’était pas près de s’arrêter. Il y avait toujours eu des petits joueurs, mais rien qui ne donnait le change à notre expertise. La volonté de mon père était d’accroitre notre marchée en Grande-Bretagne, et moi j’étais même prête à me dire que ce n’était que la première étape.

Avare, avec cela ? – Je roulai des yeux, absolument pas impressionner par la conjoncture absurde sur laquelle il arrivait. C’était du premier degré. Rien de plus, baser sur les apparences et rien d’autre. J’étais une jeune femme qui se lançait dans les affaires pas une blonde potion qui servait qu’à pondre une série de mioche débile pour satisfaire son mari. Je relâchai la prise le laissant se débattre dans le déséquilibre de sa propre poigne sur l’objet avec avant de toucher délicatement la pointe supérieur de mon portefolio en cuir violet. – C’est à moi, ça. – J’affirmai d’un ton calme en pleine négociation avec moi-même à ce que je finirai par faire ou non. Maîtresse de moi-même, j’allais faire exactement ce qu’il avait fait avec moi plus tôt à la différence que moi, je n’étais pas aussi atteinte à ces mots à ce que je voyais de son corps tout crispé. Je finis par ne plus lui laisser littéralement aucun espace personnel de quoi limiter le mouvement de ces bras dont l’un était trop occupé à tenir ce qui m’appartenait, d’un léger claquement de mes talons sur les dalles de pierre. – Les Stein m’appartiennent pas au van Aken, trésor. La réelle indécence, c’est de penser que ce qui m’appartient soit à toi; ce qui n’arrivera jamais. – Je hurlerai jusqu’à me rendre muette, si un jour, on m’y forçai. Comme un long frisson de dégout d’imaginer ce que grand-père pourrait faire pour me remettre à ma place si une telle inconvenance arrivait me glaçait beaucoup plus le sang que tout ce que pourrait jamais faire le triste individus devant moi avec sa baguette, quand bien même c’était une stupide Gregorovitch qui le rendait si fier. – Si tu voulais les voir, il fallait le demander gentiment. Du genre, sans menaces à mon intégrité personnelle, peut-être. C’est ce que font les gens civilisés. – Il pensait quoi, que j’allais lui tendre mon portefolio et lui sourire comme une gamine ravie qu’on observe son travail pendant des heures. Le sourire béat qui n’attendait pour vivre qu’un regard chaleureux et un compliment pour se sentir être quelqu’un ? Jamais en cent ans, ça ne serait moi, cette gamine avec une noix à la place du cerveau. Le premier perdant en affaire était celui dont les émotions pouvaient être calculé par l’autre; et j’avais droit à un beau spectacle sous les yeux, voir littéralement à porté de souffle. Il avait perdu, et cela était de plus en plus voyant.

Eh bien oui, il me sembla à ce juste instant que nous avions terminé dans la jungle, et ce en plein couloir de Poudlard. Il voulait jouer au plus fort, sortir ces grands airs, s’imposer physiquement, s’il croyait que c’était le genre de comportement à me faire peur, il serait déçu. J’étais toujours autant maîtresse de moi-même alors que lui se transformait en gorille bedonnant. Excusez l’image, il fallait lui donner un minimum d’intellect, mais ça restait une offense pour les primates qui méritait un meilleurs représentant, tout de même!

Quand il posa son front, je ne me reculai pas; après tout je n’étais pas effrayé. Même ça me donnait juste envie de lui souffler au visage. Je savais qu’il détesterait, comme n’importe qui se prenant largement trop sérieux dans ces menaces. Lui avait l’impression d’avoir l’air d’un dragon ? Il lui manquait beaucoup de centimètre, une gueule rempli de dents acérés, un souffle chaud mais surtout fétide et des écailles sur tout le corps. Il n’avait du dragon que son arrogance.

Le seul arriviste, c’est toi, au sens propre.

Il poussa à nouveau son front et par réflexe, je levai ma main sous son menton. Allez, lève la tête un peu plus, déjà ton égo atteint le plafond ça ne serait pas plus grave. Il n’avait absolument pas idée que c’était exactement comme si je portai ma baguette directement à sa gorge. Il voulait jouer comme un animal ? Ça allait en avoir quelques saveurs, quoique largement moins vu qu’il était hors de question que mes lèvres touches même un millimètre de son épiderme.  Je soufflai lentement avant de terminer avec une incantation :

Arest-Lui donner l'impression qu'il a gagné et que je capitule ? On y verrait presque la lueur de plaisir dans ces yeux.o Momentum

C’était rien qui ne le blessait, en vrai. Non seulement, c’était parfait pour qu’il arrête d’essayer de m’abrutir les oreilles de fiel inutile et bidon; mais aussi ça permettait aussi de potentiellement le contourner et reprendre mes avoir pendant qu’il était au ralenti. Le sort ne durerait pas éternellement, déjà je devais me concentrer pour le maintenir, mais je pris quand même quelques secondes pour passer mon index de sa gorge sur sa peau jusqu’à la pointe de son menton, dans un éclats ténu de ma bague qui me servait de catalyseur.

Ce fût un réel plaisir de te rencontrer, Krystof. Tu m’excuses si je ne t’embrasse pas avant de quitter.

Et je me décalai sur le côté pour échapper à son front, son corps entier avant de tirer un bon coup sur mon portefolio pour le récupéré. C’était charmant de rencontrer d’autre membre de la famille van Aken, vraiment! Et dire que jusqu’à maintenant, ils m’avaient toujours fait bonne impression.  Il fallait bien une pomme gâté dans une famille; et on l’avait envoyé ici pour nous pourrir la vie ? Durmstrang aurait pu le garder, ça ne nous aurait pas fait bien de la peine. Vraiment!

Je récupère ceci. Merci, bien.

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Résultat
Sort - Sans baguette
3-4-5-6 Réussite
Reste - Échec