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À SAVOIR Arrivé(e) le : 05/03/2024 Parchemins rédigés : 32 Points : 1

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no need to be vanilla

Keylan se tenait devant les vitrines de la salle des trophées, les yeux rivés sur les différentes coupes et récompenses qui étincelaient sous la lumière tamisée des flammes magiques. Chaque trophée racontait une histoire, témoignant des exploits passés des élèves de Poudlard. Pour le Gryffondor, c'était comme contempler les pages vivantes de l'histoire du Quidditch. Il commença par observer les trophées remportés par les équipes de Quidditch de Gryffondor au fil des ans. Chaque coupe représentait une victoire, un triomphe sur le terrain. Parmi les trophées, il remarquait que sa maison n'avait pas remporté de coupe annuelle depuis son entrée à l'école. Il se souvint avec émotion du frisson qui l'avait traversé alors que son équipe avec laquelle il jouait en Irlande avait levé le trophée dans les airs, célébrant leur victoire avec jubilation sur une saison quasi parfaite. À côté, il y avait une série de trophées plus anciens, témoins des triomphes passés des anciens élèves de Gryffondor. Keylan imaginait les matchs épiques qui avaient mené à ces victoires, les joueurs survolant le terrain avec grâce et détermination, poursuivant le souafle et évitant les cognards avec agilité.

Alors que le jeune sorcier continuait d'admirer les trophées, un sourire nostalgique étira ses lèvres. En plus d'être un fervent admirateur du Quidditch, il était lui-même un joueur passionné. En tant que poursuiveur dans l'équipe de sa ville natale, il connaissait l'excitation et l'adrénaline de voler à toute vitesse à travers le terrain, traquant le souafle et marquant des buts sous les acclamations de la foule. Il contuniait de s'entraîner sans relâche pour améliorer ses compétences, rêvant du jour où il pourrait enfiler le maillot de son équipe favorite de la ligue professionnelle. À seulement 16 ans, le jeune sorcier savait qu'il avait encore du chemin à parcourir avant de réaliser ce rêve, mais chaque jour, il se rapprochait un peu plus de son objectif. Les heures passées sur le terrain étaient incalculables, mais il savait qu'il devait se perfectionner sans cesse. S'il ne le faisait pas, sa compétition le ferait, et il perdrait sa chance de signer chez les pros. Chez les Ballycastle Bats pour être plus précis. Son équipe favorite depuis qu'il était enfant, en même temps, c'était aussi l'équipe favorite en Irlande, il était un peu forcé d'en être fan, surtout avec ses grands frères tout aussi passionnés que lui par le sport. Hobby et intérêt qui leur avait été transmis par leur père, qui fut co-propriétaire d'une équipe de seconde division jadis.

Le rêve de rejoindre les Bats était une source constante de motivation pour Keylan. Il se rappelait encore du jour où il avait reçu son premier souafle miniature des Ballycastle Bats, un cadeau de son père pour son cinquième anniversaire. Depuis ce jour, il avait passé des heures à s'entraîner avec ce souafle, rêvant du moment où il porterait le maillot de son équipe préférée sur le terrain professionnel. Mais il savait que ce rêve n'était pas facile à atteindre. Il devait continuer à travailler dur, à s'améliorer à chaque match, à se surpasser chaque jour. Il avait déjà attiré l'attention des recruteurs avec ses performances remarquables dans l'équipe de Kildare, mais il savait que ce n'était que le début.

D'ailleurs, parlant d'attirer l'attention, le jeune sorcier allait devoir trouver un look plus professionnel puisqu'il passait dans l'équipe de niveau supérieur, incluant de jeunes hommes au début de leurs vies d'adultes, et dont les coachs exigeant une tenue propre à l'arrivée lors des jours de matchs. L'irlandais se plaisait à jouer un rôle plus sérieux, surtout qu'il ne ressentait pas le besoin d'affirmer quelconque maturité une fois la porte du vestiaire passée. Ayant souvent joué avec ses grands frères, dont l'un visait aussi d'entrer chez les pros avant une blessure, il avait été inclu dans des cercles d'amis bien plus âgé que lui, et la différence n'était plus visible une fois qu'ils se retrouvaient tous à huitclos.

C'était donc motivé qu'il prenait la route du terrain de Quidditch. Keylan marchait d'un pas déterminé à travers les couloirs familiers de Poudlard, son cœur battant d'excitation à l'idée de l'entraînement qui l'attendait sur le terrain de Quidditch malgré le froid qui persistait encore. À mesure qu'il approchait, il sentit son anticipation monter. Mais tout d'abord, il devait passer par le vestiaire.

Le vestiaire était un lieu chargé de souvenirs et d'émotions, un sanctuaire où les joueurs se préparaient mentalement et physiquement pour les défis à venir sur le terrain. En poussant la porte en bois massif du vestiaire, Keylan fut enveloppé par une atmosphère familière et réconfortante de l'endroit. La pièce était spacieuse, avec des murs en pierre solide et des casiers en bois sombre alignés le long des murs. Les casiers n'étaient pas ornés des couleurs de l'équipe de Kildare comme par chez lui évidemment, mais il retrouvait tous les repères classiques d'un vestiaire de Quidditch.

L'irlandais prit une profonde inspiration, s'imprégnant de l'odeur familière de la cire à balai et du cuir des équipements. Il sentit une vague de nostalgie l'envahir alors qu'il se remémorait les nombreuses heures passées dans ce vestiaire avec ses coéquipiers, se préparant pour les matchs à venir et partageant des moments de camaraderie.

Il se dirigea vers un casier disponible, situé près de la fenêtre qui laissait filtrer la lumière tamisée de l'après-midi. Keylan ouvrit son sac de sport révélant l'intérieur soigneusement organisé. Son équipement de Quidditch était rangé méticuleusement à l'intérieur, alors que son balai reposait contre le mur. Ses gants et son plastrons furent posés sur une étagère, et sa cape était accrochée à un crochet. Profitant d'un moment seul dans le vestiaire, il prit son temps pour enfiler son équipement. Assit sur un banc de bois à même le casier, il laçait ses jambières en sifflotant.

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Ft. @Keylan G. FitzGerald

Ça sera tout pour aujourd’hui les filles!

Depuis maintenant deux heures que les Poufsouffle revoyait des enchainement pour la danse en vue du match de Quidditch. En tenue, jupe courte à panneau et justaucorps à manche longue, l’équipe de cheers qu’elle avait monté en début d’année se mobilisait pour des entrainements dans les gradins. Aujourd’hui, il était en extérieur parce que la dernière fois, Suzie avait raté l’enchainement et était tombé sur deux autres filles. Elles avait eu l’air absolument ridicule; tout comme elle aurait pu aussi bien se blesser. Et s’il y avait deux chose que je ne tolérais pas, c’était l’échec et avoir l’air ridicule. Au moins cette fois, sur les deux niveaux de marche, repris encore et encore, elle était arrivée à quelque chose qui n’avait pas l’air d’un vulgaire jeu de quille moldu. Strike évité ! Les filles et les garçons se dirigeaient vers les vestiaires alors que je récupérais son sac et ces pom pom au couleur de l’équipe que je mis dedans et dont les rubans dépassait les bordures du sac, avant de faire de même que les membres de l’écouade. Si Suzie tombait encore… non, ça serait bien la dernière fois de sa vie qu’elle ferait partie de l’équipe, n’aurais-je pas de me dire pas à pas en retirant le sifflet accroché autour de mon cou. J’ignorai si ce qui me laissait le plus était le manque d’application de mes membres ou le fait que malgré l’application certains manquait tout bonnement de talent. De savoir que moi, je ne pouvais manquer d’un ou de l’autre, créait un gouffre dans mon humeur alors que je dévalais les derniers volées de marche avant de m’engouffrer dans le couloir menant vers les vestiaires garçons et fille, alors que j’étais à même de savoir que certains ne s’y arrêtait pas. Regarder Suzie se débattre dans sa tenue et encore y fait un accroc me poussa à prendre une tout autre direction que mon propre vestiaire alors que j’avais vu Keylan entrer dans celui des garçons. Ils allaient faire quoi ? Hurler quand j’entrerai ? Me lancer des propos salaces ? C’était dingue à quel point ça ne m’affecterait absolument pas. Alors, je poussai la porte, comme si j’étais chez moi, avant de tourner la tête de gauche à droite, et trouver l’individus tout habillé pour aller s’entrainé, faisant fi de protestation et des sifflements. Je levai les yeux dans les airs avant de venir jusqu’au cassier et m’adosser.

Toujours en train de t’entrainer, à ce que je vois! - Le sifflet dans mes mains devint bien vite particulièrement obsolète alors que je le repassai à nouveau autour de mon cou alors que mes propos étaient plus admiratifs que réprobateur. – J’voulais voir avec toi, on est toujours bon pour le Garden Party ? Grand-père va commencer à faire préparer les cartons d’invitations et je voulais savoir si tu étais toujours disponible pour m’y accompagner. Entre moi et ton équipe, je sais déjà que je perds, alors autant m’informer de tes disponibilités. Et pitié, dis-moi pas que tu peux demander à un de tes frères, la dernière fois ça c’était vraiment pas très bien passé. On en reparles plus de cet histoire.

L’évènement aurait lieu au début des vacances d’été, et accueillerait la noblesse Européenne. S’il était moins clignant que le bal de Noel, ne pas y aller équivalait à n’être personne socialement parmi les gens de la haute. Et recevoir une invitation un grand honneur.

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@Maximilianna S. Stein

Keylan était assit dans le vestiaire de l'équipe de Quidditch, ajustant sa tenue avec soin avant l'entraînement à venir. Alors qu'il attachait les lacets de ses jambières protectrices, il fut interrompu par l'arrivée de nombreux élèves de la maison noire et jaune. Une énergie était palpable alors que des élèves plutôt athlétiques semblaient arriver d'un entraînement et pourtant personne ne portait d'équipement de protection de Quidditch notait le Gryffondor. Ce fut la voix de Maximilianna qui recadra son attention. Elle aussi venait tout juste de terminer un entraînement de cheerleading, une énergie distincte se manifestant encore dans le ton de sa voix.

"Pas le choix! Pas d'entraînements, pas de contrat pro. Tu sors d'un entraînement aussi?" lança le Gryffondor, son regard se posant un peu trop longuement sur la tenue de Max, un sourire amusé étirant ses lèvres. Il ne connaissait pas l'intérêt que portait Maximilianna et cet uniforme était pour lui très nouveau. Il ne devait pas non plus trop réfléchir pour se dire que s'en était qu'une conclusion naturelle. La jeune sorcière semblait parfaitement accordée avec le rôle. C'était tout de même une surprise pour lui, et il ne le cachait pas.

''Tu viens faire ma coach?'' Dit-il, observant avec amusement le geste de Maximilianna qui replaçait le sifflet qu'elle tenait autour de son cou.

"J’voulais voir avec toi, on est toujours bon pour le Garden Party?" continua Maximilianna, changeant subtilement de sujet. "Grand-père va commencer à faire préparer les cartons d’invitations et je voulais savoir si tu étais toujours disponible pour m’y accompagner. Entre moi et ton équipe, je sais déjà que je perds, alors autant m’informer de tes disponibilités. Et pitié, dis-moi pas que tu peux demander à un de tes frères, la dernière fois ça c’était vraiment pas très bien passé. On en reparles plus de cet histoire."

Le Garden Party était un événement incontournable dans le calendrier social de la haute société magique, une occasion de se mêler à l'élite sorcière et de profiter d'une soirée de divertissement raffiné. Il se rappela avec amusement la dernière fois où l'héritière Stein avait dû être accompagnée, ou plutôt chaperonnée dans les faits, par un des membres de la fratrie FitzGerald. Le Garden Party était bien plus qu'une simple soirée mondaine pour la haute société magique ; c'était un rendez-vous incontournable où se mêlaient prestige, élégance et glamour. Organisé dans des jardins somptueux l'événement offrait un cadre féérique. Pour l'irlandais, cet événement était l'occasion de revêtir ses plus beaux atours et de se fondre dans une atmosphère de luxe et de sophistication. C'était aussi l'opportunité de retrouver ses pairs de la haute société magique, de nouer de nouvelles alliances et de renforcer les liens déjà existants. En tant que membre de la famille FitzGerald, il se devait d'être à la hauteur des attentes et de représenter sa lignée.

''Et j'y gagne quoi? Surtout si tu me fais manquer un match...''répondit-il après avoir fait mine de rélfléchir. Le ton était blagueur, Keylan appréciait en fait l'invitation de Max. Ils avaient l'occasion se retrouver plus souvent que certains élèves à l'extérieur des murs de l'école grâce à leurs familles, et ce serait une bonne occasion de pouvoir se voir en dehors du cadre scolaire.

Si ce rendez-vous aristocratique ne devait pas être manqués, c'est aussi que c'était une occasion parfaite pour tout amateur de mode estivale. S'il y avait bien une passion que le jeune sorcier connaissait de son amie, c'était celle de la mode. Elle l'avait conseillé maintes fois, surtout en lui faisant remarquer ses erreurs vestimentaires, et si elle l'invitait maintenant, il s'attendait à devoir suivre un cours express sur les dernières tendances.

''Laisse-moi deviner. Tu viens dicter ma tenue?''dit-il en haussant un sourcil.

by Nathie

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Ft. @Keylan G. FitzGerald

Adossé contre le casier, je ne me sentais pas le moindrement intimidé par les regards des homologues masculins dans la pièce. Et comment ?! J’étais assez brillante à l’âge de huit ans pour savoir qu’on m’amenait dans les soirées pour être exhibé comme sautoir de rubis et de diamant. Être regardé était plaisant, mais être un sujet de convoitise et de regard sous-tendu n’avait rien d’irrégulier dans mon existence. Je n’étais pas un prix à acheter, pour m’avoir il fallait le mériter réellement. J’étais contente de ne pas avoir l’air d’un gibier sous le regard de Keylan, ça me rassurait beaucoup plus qu’il n’aurait pu l’imaginer et m’encourageait encore plus à lui accorder ma pleine compagnie lors de ces soirées mondaines qu’organisait ma famille. J’hochai la tête, mes mains manucurés passaient à gauche et à droite de mon corps pour signifier que j’étais bel et bien en tenue pour m’entraîner, avant de passer le sifflet autour de mon cou, gênée de l’avoir en main.

Tu n'aimerais pas. Je sais être une vrai tyrante quand je sais ce que la personne vaut! Et tu vaux quand même pas mal plus que les membres de l’escouade de ta maison.

C’était peut-être flatteur ou était-ce aussi pour signifier qu’il ne les aidait en rien à rester sur la touche pour ne pas se faire des blessures inutiles pour les vrais match qui comptait pour lui. Cette décision lui était toujours revenue et bien que j’appréciasse le sacrifice qui pouvait être à l’avantage de ma maison, je n’aurais pas été déçu de le voir donner quelques correction à Serdaigle et Serpentard. Mais Keylan n’était pas quelqu’un qu’on mettait sur la touche et assuré un rôle de réserviste, même si c’était lui qui décidait quand il jouait ou non, n’était pas vraiment logique pour autant. J’enchainait sur la raison de ma visite alors que plus loin certains de mes pom pom boy en était à retirer leur tenue dans mon plus grand désintérêt de mater.

Oh mais disait-il qu’il pouvait songer à rater un match pour moi ? Par Merlin, comme s’était intéressant sur le coup. J’avais toujours su que le prix de chacun dépendant du montant qu’on était prêt à y mettre, mais de là à dire que je pouvais me mettre entre le Quidditch et Keylan, c’était quand même une première hautement intéressante. Je fis mon chemin, le doigt sur le menton, faussement pensive parce qu’au fond je n’avais aucune limite réelle à ma volonté d’éviter d’un certain fils de famille Autrichienne comme s’il avait les boutons bleu d’Azmanie. Quand je tournai sur moi-même la jupette se souleva avant de revenir vers lui.

Je vais penser que tu ne me trouve plus assez généreuse. – Je me penchai en avant, mon regard à la hauteur du sien, la tête penché sur le côté alors que la corolle de mes cheveux détachés tombaient de chaque côté de mon visage. – Demande. Et puis, j’offre un bonus si tu t’assures que l’aînée Freiherr ne puissent même pas poser son regard sur moi ou s’approcher de toute la soirée. Je lui aurait bien mis un bandeau sur les yeux, mais ça manque un peu de subtilité. Norine – Ma cousine chérie – propose de verser quelques goutes de potion dans son champagne. Je préfèrerais quand même qu’elle n’encoure pas le courroux de notre grand-père, alors que je peux t’avoir pour moi toute la soirée. – Un sourire en coin sur mes lèvres parfaitement rouge. Il savait que je ne le prenais pas que comme outil, j’étais prête à considéré de donner même de ma personne pour prouver ma reconnaissance, ce qui n’était pas rien. – Plus un plus gros bonus si tu le remet à sa place s’il déconne. Il avait l’air de pensé que c’était moi son gibier à Noel. Et tu sais que je déteste ça! – C’était fun de négocier ainsi, alors qu’il était toujours assis, je le regardais par en haut, me donnant une fausse impression de pouvoir mais lui donnait tout l’occasion de m’attraper s’il le désirait. Je savais que la tenue pouvait être attrayante et on négociait plus facilement quand on était capable de brouiller l’esprit de quelqu’un.

Et pour sa tenue. – Oh je sais même pas ce que je vais mettre encore. Mon petit doigt me dit que même sans conseil, ton père t’empêcherait de sortir avec un sac de jute en guise de tenue. J’ai jamais eu à redire par le passé; mais si tu veux, on pourra l’inclure dans le volet entente. J’ai vu un défilé homme de Paris avec Ha Na en janvier et la collection était intéressante. J’te montrerai si tu le souhaite. Très saison estivale. Et rien ne vaut la mode Parisienne!

Je vins poser une main sur son épaule, ce qui déclencha encore des sifflements dans le vestiaire. Autant de réaction pour si peu, c'était un peu consternant. D'autant, que de l'autre j'insérai le sifflet entre mes lèvres avant de tourner sa tête en direction des noirs et jaunes un peu trop observateur. Un coup sec, avant de le libéré et qu'il ne retombe à quelques centimètre de la tête de Keylan avant de scander dans leur direction.

Aux douches tout de suite! Y'a rien à voir.

Si ça attira des rires, une bonne partie quand même s'exécutèrent sous mon regard directif, avant de redonner mon attention à Keylan.

Sans blague que veux tu pour en être ?

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@Maximilianna S. Stein

S'il était vrai que depuis son plus jeune âge, Maximilianna avait été paradée comme un trophée, toujours dans ses plus beaux habits, ornée des diamants familiaux, Keylan ne l'avait jamais observée comme certains le faisaient sans la moindre gêne. L'aisance et la transparence avec laquelle certaines familles exhibaient leur richesse et leur statut social suscitaient chez le Gryffondor un profond sentiment de malaise. Il ne comprenait pas cet étalage, cette volonté de se mettre en avant à tout prix, et si sa famille faisait partie de cette sphère, elle profitait de son statut pour développer l'altruisme et la philanthropie chez ses membres, tentant d'en influencer leur cercle.

Si les frères irlandais avaient été initiés très tôt dans leur enfance aux traditions de l'aristocratie magique, ils n'y avaient jamais pleinement adhéré. Ils préféraient feindre une certaine hypocrisie, conscient de l'absurdité de certains codes sociaux, se contentant de jouer le jeu pour maintenir les apparences. C'était une sorte de compromis avec leur conscience, une façon de naviguer dans ce monde de privilèges sans renier complètement leurs valeurs et leurs convictions.

Il n'y avait vraiment qu'avec Maximilianna que le rouge et or se sentait pleinement lui-même lors des soirées mondaines, souvent organisées par les Stein. La proximité de leurs deux familles était devenue au fil des ans une habitude dans un monde où les alliances étaient souvent dictées par l'intérêt et la convenance. Les conversations avec Maximilianna étaient toujours empreintes d'une sincérité rafraîchissante, dénuées de toute prétention ou faux-semblant. Il partageaient tout de moins leur authenticité.

"La barre n'est pas bien haute..." répondit Keylan avec un sourire, acceptant le compliment de Maximilianna. C'est qu'elle savait sur quel bouton presser. Il haussa légèrement les épaules, conscient que ses compétences en matière de Quidditch étaient bien ancrées, mais sans prétention excessive. Il savait que certains pouvaient considérer son choix de ne pas rejoindre l'équipe de sa maison comme une décision étrange. Après tout, il avait le talent et la détermination nécessaires pour briller sur le terrain, comme en témoignaient ses performances lors de ses entraînements solitaires.

Ce n'était pas par manque d'ambition ou de confiance en ses capacités qu'il avait choisi de ne pas intégrer l'équipe de sa maison à Poudlard, mais plutôt par souci de préserver sa santé pour les saisons estivales. Peu de joueurs de Quidditch prenaient leur retraite à cause de leur âge avancé pour le sport. C'était plus souvent des blessures qui terminaient les carrières, et le Gryffondor voulait s'éviter de subir ce soir avant même d'avoir foulé la pelouse des plus grands stades.

Une blessure au mauvais moment pouvait compromettre sa carrière, mettre en péril ses rêves de rejoindre un jour les rangs des professionnels. Et donc, il avait fait le choix de se concentrer sur ses entraînements personnels, sur sa progression individuelle, tout en restant fidèle à son équipe de cœur.

Son regard se porta sur elle alors qu'elle se penchait en avant, ses cheveux tombant gracieusement de chaque côté de son visage. La situation avait quelque chose de captivant, mais il resta calme, essayant de garder son sang-froid malgré le charme certain de la jeune sorcière.

''La seule limite que ta générosité pourrait avoir, c'est ton compte en banque. J'suis pas inquiet.''

Il écouta attentivement ses exigences, un sourcil légèrement levé en signe d'étonnement, puis croisa les bras, affirmant physiquement les prochains mots soigneusement choisis qu'il prononcait. Il fallait bien que cette constante prise de masse serve hors du terrain aussi.

''Pas besoin de boni si je peux lui régler son compte directement à celui-là. L'idée d'une potion est pas mal, mais tu sais que je préfère qu'il puisse s'en souvenir plus longtemps.'' S'il n'était pas le chevalier en armure blanche attitré de l'héritière, il se portait volontaire à tous coups si cela incluait de se battre à coups de poings ou de baguettes. ''Enfin, tout dépend du genre de boni que tu avais en tête...'' La Poufsouffle savait user de ses traits et de ses belles paroles pour arriver à ses fins, et le pauvre sorcier en avait été victime de nombreuses fois, surtout étant plus jeune. Si ce n'était pas pour le forcer à jouer ensemble, c'était pour faire des caprices et des beaux yeux à ses frères plus vieux afin de les avoir dans son camp à elle si les deux en venaient à ne pas être de commun accord. Mais jamais il ne s'était sentit comme un outil, encore moins maintenant qu'il était inclu dans les plans et les stratégies de Max, et il appréciait cette forme de respect qu'elle avait pour lui.

''Bah, peu importe la tenue, je sais que tu vas nous trouver un ensemble qui se marie parfaitement. Tant qu'on ne passe pas six heures dans la même boutique...'' Il devait avouer qu'il y avait quelque chose de plaisant à avoir les regards portés sur eux, mais aussi de se pavaner avec Maximilianna à son bras, rendant jaloux certains sorciers de leur âge. Une main sur son épaule le sortit de ses pensées, sous quelques sifflements d'élèves de la maison jaune et noir.

''Tu viens avec des amies à mon match d'ouverture cet été, et...on a un début de piste'' dit il en tendant sa main droite vers elle, soutenant son regard. Il n'était pas intéressé par les amies de Max, mais ça ne pouvait qu'aider sa réputation dans le vestiaire d'avoir des fans à son premier envol.

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Ft. @Keylan G. FitzGerald

Ma seule autre limite serait les actes répréhensible. J’ai pas vraiment d’intérêt particulier à finir à Azkaban. Je suis sûr que la tenue rayés à fait un buzz le siècle dernier mais ça jure beaucoup maintenant. – Arquais-je avec un amusement certain. – En vrai, si tu as besoin d’autre chose qui ne s’achète pas, je ne suis pas fermé à en discuter. Ça serait une première par contre! Boni ou sans boni. – Je balançai la tête par en arrière avant de la relâcher par en avant, mettant de l’emphase à mes prochains mots. – Si tu savais comment tu me fais plaisir de vouloir t’en charger, me voilà encore plus reconnaissante. – Soupirais-je satisfaite. – Ça me donne envie de te donner de te donner une avance de boni.

Mais mon attention fût attirée par les noire et jaune, alors comme une bonne capitaine, je m’assurai qu’il ait des instructions clairs sur ou leur présence était requise. Soit absolument pas ici. D’autant que ça pouvait laisser le temps à Keylan de savoir ce qu’il voudrait, tout comme s’il voulait quelque chose plutôt illégal, il valait quand même mieux qu’il n’ait pas d’oreille indiscrète. J’analysai ce que trainait les membres de mon escouade rapidement, cherchant à savoir s’il n’aurait pas eu des petits futés qui aurait apporté avec eux des Oreilles à Rallonge de chez les Weasley, avant de finalement en revenir à la conversation qui m’intéressait.

Sinon, j’envoie mon elfe Sylvy prendre tes mesures et je contacte l’un de designer que j’ai préféré, en espérant que ce n’était PAS que des tenues exclusives sur le podium à Paris. Ils en ont fait un véritable bain de sang l’an passé pour la collection de Veims; j’ai jamais vu mon oncle perdre son sang froid autant que lorsqu’on lui avait dit que le modèle n’était plus disponible et qu’il n’avait qu’à arriver le premier. Et dire que pour une fois il achetait quelque chose qui ne provenait pas de son tailleur habituel. – Avant de songer au fait qu’elle pourrait bien s’accorder une visite en boutique avec lui s’il le désirait réellement. – Par contre si tu veux aller sur place, il faudra venir me prendre et t’assurer d’avoir ton permis de transplanage avec accompagnement, les boutiques Française ne sont pas rattachées au réseau de cheminette du Royaume-Unis. – Ça restait d’ordre pratique. Mais je n’oubliais pas que j’avais promis spa à Teodora et qu’elle devait encore avoir une tenu non composé d’un jean délavé et de chandail reprisé pour les quatorzième fois. À croire qu’il y avait des mites qui le dévorait; mais en soit, après y avoir déjà jeter un coup d’œil c’était uniquement que le tissus était de très mauvaise qualité.

Avec joie, si tu veux. Je suis une bonne supportrice, comme tu vois. À condition que ça soit pas pendant le Garden, ou nous serons bien évidemment, tous les deux – Balançant mon sac avec mes pompom d’un balancement d’épaule et d’un mouvement retenu de bras. – Si tu veux, j’invite toutes mon escouades, même. S’ils sont disponibles! Quoiqu’on soit un peu pâle figure à côté de ce qui se fait sur le terrain. Y’a encore matière à amélioration, je dirais. – Et pas qu’un peu. L’annexation de Suzie était dans les options à balancer en bas des gradins. Elle me referrait pas le même coup. – Tu crois que tu peux passer le mot pour me réserver une loge? Je pourrai t’envoyer ce qu’il faut pour le frais dès que j’ai l’état de compte. – Avant de réaliser que… et mon sourire s’étira un peu comme un chat qui a trouvé un souris. C’était peut-être ce genre de compensation qu’il désirait après tout. - … t’avait une de mes amies précises en tête. Que je m’assure qu’elle vienne aussi! – Oh, étrangement ça me plaisait un peu trop de jouer les entremetteuses dernièrement.

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@Maximilianna S. Stein

Keylan observa Maximilianna avec amusement, sa bouche s'étirant en un sourire espiègle. Il sentait que cette conversation prenait une tournure intéressante, comme un duel verbal où chacun cherchait à surpasser l'autre.

"Une avance? Faudrait déjà se fixer sur le prix." répliqua-t-il d'un ton léger, son regard pétillant d'amusement. Il savait que Maximilianna était tout aussi redoutable que lui en matière de négociation, mais il appréciait ce jeu verbal entre amis.

Il leva un sourcil, accentuant légèrement son expression faciale pour montrer qu'il était prêt à relever le défi. Il était habitué à ce genre d'échanges avec Maximilianna, où l'humour et la taquinerie étaient de mise.

"Et toi, qu'est-ce que tu proposes en échange?" ajouta-t-il avec un sourire taquin. "Une promenade dans les jardins de Poudlard au clair de lune? Ou peut-être une séance d'entraînement de Quidditch en tête-à-tête? Après tout, je pourrais avoir besoin de me remettre en forme si je dois protéger ta réputation lors du Garden Party."

Son rire résonna dans le vestiaire, empli d'une joie contagieuse alors qu'il se laissait entraîner par ce jeu amical avec Maximilianna. Il savait que les enjeux étaient minimes, mais cela rendait l'interaction d'autant plus plaisante.

"Envoyer ton elfe prendre mes mesures? Ça ne serait pas une première, mais je ne mérite même pas que tu t'en occupe personnellement?" répondit-il avec un clin d'œil.

"Comme s'il y avait un moyen de transport dans le monde qui pouvait être obstacle entre une robe et toi." ajouta-t-il avec un sourire. Il savait que Maximilianna avait un goût impeccable en matière de mode, et il était curieux de voir ce que le designer pourrait lui proposer.

L'idée de faire un saut à Paris pour une séance de shopping ne semblait pas être la tasse de thé de Keylan. Il n'était pas vraiment un fan de déambuler dans les boutiques de mode, préférant de loin les activités plus dynamiques comme le Quidditch. Prenant mentalement note de l'avertissement de Maximilianna concernant le permis de transplanage avec accompagnement, Keylan se promit de s'assurer d'avoir toutes les formalités en ordre avant le départ. Il ne voulait pas risquer de gâcher cette occasion en se retrouvant coincé dans les méandres de la bureaucratie sorcière. Et surtout, Max pourrait le lui rappeller pour lontemps.

''Oui oui, je t'accompagnerai au Garden, promis, c'est bon? Contente?'' Elle n'avait maintenant plus besoin de sous-entendu ou d'ambiguité, il venait de se commettre, et elle savait bien qu'il n'avait qu'une parole.''Je peux voir ce que mon père peut faire, il connait les propriétaires.'' C'était pratique d'avoir beaucoup de contacts dans le monde du sport magique. Et l'irlandais avait conscience que c'était un avantage qu'il avait sur sa compétition.''Une amie précise? Euh non.'' Après tout, c'était elle qu'il invitait. En même temps, il s'attendait à ce qu'elle demande à voir les autres joueurs aussi. Quoi qu'elle pourrait simplement se permettre de le faire. On ne lui refusait presque rien.

Alors que le vestiaire se vidait rapidement pour ne laisser que le joueur de quidditch et la cheerleader dans une bulle d'intimité, le Gryffondor se leva de son banc pour vérifier que l'équipement qu'il venait de se placer au bas du corps tenait bien en place. Max était grande pour une fille de son âge, et l'irlandais la dépassait largement, il dû ajuster son regard pour ne pas le perdre sur l'accoutrement de son interlocutrice.

by Nathie

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Ft. @Keylan G. FitzGerald

En sommes, les premiers options de boni qui venait à Keylan avait l’air plus d’un rencard. J’en mordis ma lèvre légèrement enjôleuse appréciant le manège comme une gamine dans une fête foraine magique avant de boucler une mèche de cheveux comme s’il fallait en être un peu gênée.

Si le but de me faire remonter sur un balai, c’est un risque que je peux reprendre. Mais. Que. Pour. Toi. Cela étant, j’espère que tu es prêt à me rattraper au vol. Mes talents en looping ne se sont guère améliorés depuis la dernière fois ou je me suis arrêté à trois pouces du sol. Le seul nouvel avantage que j’ai depuis la rentrée c’est que j’apprend à lancer les sorts sans baguette, un caprice, papa dit, de ma mère qui tient absolument à ce que j’apprenne à faire de la magie comme dans sa tribu chamanique.

Je ne pouvais être qu’heureuse que tous ces nouvelles personnes s’intéressent soudainement à la mode sorcière. Peut-être le monde commençait à prendre des couleurs ou certains réalisait que leur apparence en disait long sur eux ou leur avenir. Projeter une image était généralement un outil très efficace pour faire bon impression. Je le savais depuis que j’était haute comme trois pommes, mais j’étais précoce pour ce genre de chose m’avait-on dit, à moins que ça n’ait coïncidé avec le moment ou soudainement père avait beaucoup de rencontre avec des familles des îles britanniques et avoisinantes, et qui avait des enfants de l’âge de Stefan. Si par le passé je les avais presque tous considéré comme des partenaires de jeux, maintenant je savais que la réalité en avait toujours été tout autre. Oh. Brutal et cruelle réalité! Comme j’aspirais à plus qu’à ce jeu politique que plus personne ne prenait la peine de même cacher dans un velours soyeux. Si Ha Na avait l’air convaincue que ces parents feraient le bon choix pour elle, moi j’étais surtout convaincue que si c’était le cas, mon choix devrait avoir plus de poids dans la balance que toute chose – or, on m’avait bien indiqué sous le couvert d’un porte close grand-père, mon père et mon frère que je n’avais strictement pas un mot à énoncer sur le parti qui apportait le plus de gain à cette famille.

Un massage avec cela ?

Mais je savais qu’il dirait oui, tout aussi amusé que moi par l’échange qui devenait de plus en plus lubrique. Si je considérai que ce n’était qu’un jeu, j’imaginais que c’était aussi bel et bien son cas. Alors quand bien même, j’irai moi-même prendre ces mesures ou pas, le résultat reviendrait au même. Quoique à tout bien considéré après l’épisode du pantalon avec Kenneth qui l’avait tout bonnement déchiré à cause d’un main rapide pour éviter la zone entre ces cuisse. Teodorra c’était bien marré à me regarder remonter mes mains comme la moins pudique de mes cousines alors que j’étais pleinement consciente de devoir rester le visage pleinement fermé de professionnalisme. L’avantage avec moi et elle, c’était que notre allemand bloquait tout compréhension pour son pauvre ami qui s’était tenu aussi raide qu’une barre sans faire de mauvais jeu de mot.

Tu me connais bien. Dommage que l’école ne soit pas négociable pour ma survie familiale sinon je serai à tout les défilés à toute moment de l’année. Mais hors Poudlard… - Je pressai mon regard vers lui comme pour mettre de l’emphase et confirmer qu’il avait hautement raison. – J’en suis enchanté qu’on s’entende sur cette question de haute importance. – Parce malgré tout ça me sauvait de déambuler avec lui au Garden Party, et que la promesse d’un regard sous un regard trop pointu de l’homologue Autrichien avait quelques chose d’hautement réjouissant. Keylan avait beau ne pas être de sang-pur, son père recevrait l’invitation de grand-père avec la plus grand ironie possible : peut-être pourrait-il le sauver de ce mariage avec cette impure de femme – et moi, c’était largement pour cette même raison que je tenais absolument à ce que ça soit lui qui soit à mon bras – choqué un peu et reprendre le contrôle de mon existence. Keylan en costard était aussi plutôt imposant, de quoi faire douter les gringalets qui voulait miser sur leurs argents plutôt que sur le réel intérêt que je pourrais développer pour eux. Miser sur mon père était exactement comment perdre la partie de mon angle de vue.

Ça ne ressemblait pas à un boni d’être dans l’assistance pour le match, mais je sais que quelques personnes y prendrait assurément goût dans l’équipe de cheer. D’autre n’avait même pas la possibilité de quitter leur trou à raz de tous l’été, si ça pouvait être un moment de joie et de réjouissance, j’étais assurée de vouloir en être l’instigatrice. Alors aucun amie en particulier. Mes yeux calculaient l’information avant de me reculer d’un pas le voyant se cambrer pour passer de position assis à debout.

Alors je les inviterais toute, t’aura l’embarras du choix.

J’étais la générosité incarnée. Je n’avais guère besoin de m’en convaincre, je le savais c’était bel et bien le cas. Je levai mon regard vers lui avant d’attendre qu’il ait fini l’inspection de son équipement, ce qui ne prit qu’une seconde. Avant de renchérir, un doigt se posant sur son plastron avant et remontant doigt après doigt jusqu’à peu près sa clavicule.

Je te laisse aller à ton entraînement. – Je tendis ma main sur le côté, n'usant pas ma baguette mais plutôt mon grigri, une bague entouré à mon doigt que je ne retirai même pas en entrainement dont la pierre serti s'illumina à peine un très courte instant. – J'crois qu'il te manque plus que ça. Accio Balai de Keylan.

Dé Accio (Sans baguette -1 au dé)
2-3 Réussite
Reste – Échec.

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Le membre 'Maximilianna S. Stein' a effectué l'action suivante : Le Hasard

'Le Hasard' : 2

À SAVOIR Arrivé(e) le : 05/03/2024 Parchemins rédigés : 32 Points : 1

Apple pie à la mode

no need to be vanilla

@Maximilianna S. Stein

Keylan, affichant un sourire à la fois amusé et reconnaissant, ne put s'empêcher de laisser échapper un rire léger face à l'espièglerie qui émanait de la jeune héritière. "Tu as vraiment le don de transformer un simple échange en une négociation?" commença-t-il, son regard soutenant le sien. "Et oui, je suis prêt à te rattraper, comme toujours. Mais, fais-moi une faveur, essaie de ne pas tester mes réflexes avec trop d'enthousiasme par contre. "

Et même si les options présentées avaient plus l’air de rencards comme le pensait la jeune sorcière, au moins l’irlandais allait pouvoir peaufiner ses manières avec la gente féminine. Il avait malheureusement plus la réputation d’être un typique ‘’jock’’ comme on les voit dans les films américains. Et pourtant, il n’était pas dernier de classe, dans la moyenne dans la plupart des cours, mais surtout, il était beaucoup plus rusé qu’il n’en paraissait.

‘’De la magie sans baguette hein? C’est pas un peu dangereux? J’aimerais pas me retrouver dans les dortoirs de ta maison en pleine nuit simplement parce que tu fais de beaux rêves.’’

Une fausse émotion apeurée s’afficha sur son visage l’espace de quelques secondes, comme s’il allait vraiment se plaindre si telle chose pouvait se passer.

‘’Un massage? Peut-être après mon entraînement!’’ ajouta-il en appuyant sa déclaration par un mouvement de fausse épaule endolorie, extirpant même une grimace de douleur inventée.

En ce qui concerne les arrangements familiaux et les attentes, Keylan haussa les épaules.

‘’Ah ça…Si l’école était négociable, je crois qu’on ne s’y croiserait jamais!’’

L'Irlandais se souciait peu d'être utilisé par l'héritière. Il savait pertinemment que ce n’était pas le cas de toute manière. En fin de compte, ils y trouvaient tous les deux leur compte, une entente tacite à défier les normes établies, subtile aux yeux du monde mais presque une rébellion aux yeux des initiés. Parfois, l'obsession autour du sang et des lignées agaçait le Gryffondor. Pour lui, ce n'était pas la naissance qui définissait la valeur d'une personne, mais plutôt ses actions et sa contribution à la société.

Lorsqu'elle évoqua l'idée de l'inviter à tout et de lui laisser l'embarras du choix, Keylan ne put s'empêcher de rire doucement. "L'embarras du choix, hein?’’ Il prit une pause, laissant son regard s'attarder sur elle, appréciant non seulement la tenue vestimentaire de la sorcière, mais aussi sa beauté naturelle. "Je choisirai toujours l'option qui m'assure de passer du temps avec toi."dit-il en lui faisant un clin d’oeil.

"Merci," dit-il en attrapant le balai qui volait vers lui, son regard ne quittant pas le sien, alors que la Badger se rapprochait, laissant marcher ses doigts sur le haut de son plastron. "Et toi? Pas d’entraînement? Superviser ce n'est pas s'entraîner.’’

Keylan se rendait compte que sa motivation à franchir la porte du vestiaire diminuait proportionnellement au temps que Max passait dans ce dernier. Il n'était pas pressé non plus, et pouvait même s'avancer à avouer qu'il pourrait bien profiter de ce moment pour passer du temps avec elle au lieu de monter sur un balair. S'il avait exprimé cette pensée audiblement en présence de ses frères, il aurait été leur cible pour les prochains mois.

by Nathie

Apple pie à la mode

Ft. @Keylan G. FitzGerald

Il était presqu’impossible que je m’imagine trop enthousiasme à remonter sur un balai volant. Pas que j’en avait horreur, juste que je savais que ce n’était pas pour moi et je détestais être moins que parfaite dans ce que je m’appliquais à faire. C’était la faute de papa; ça. Me donner l’impression qu’il n’y avait que cette manière de vivre qui me convenait; c’était parfait ou c’était rien. Alors c’était vraiment une très grosse avance que d’accepter cet activité avec Keylan en sachant que j’y serai vulnérable.

La journée ou tu te retrouves en pleine nuit dans mon dortoir de maison, je crois que c’est toi qui fait de très très beaux rêves. – Ajoutai-je amusé, en sachant que les accès étaient littéralement bloqués par magie pour tout intrus masculin dans la zone. – Tu me raconteras ce qui s’y passe, je suis sûr que c’est beaucoup plus croustillant que tout ce que j’arrive à faire avec le grigri de ma mère collé au doigt. – Je levai ma main, l’anneau le plus petit de ma collection et le plus noble visuellement, surmonté d’une seule pierre beaucoup moins ostentatoire que ce que j’avais l’habitude d’avoir sur moi. Ma famille créait des bijoux sublimes, des pierres magiques et des métaux de très grandes qualités que j’avais l’habitude de porter quotidiennement. À côté, on aurait dit que la bague avait l’air d’avoir été choisi de seconde main, alors qu’elle était presqu’aussi puissante d’une baguette avec son cœur magique incrusté dans la pierre. – C’est beaucoup plus difficile de lancer un sort. – Mais j’y travaillais et m’acharnait à le maîtriser, du moins, quand on ne m’observait pas. Qu’avais-je pensé! C’était sur qu’il prendrait le massage, voyons. Qui aurait dit non! – Tu veux dire après la douche ? Parce que je crois pas avoir dit que ça inclus l’équipement et ta sueur, chéri.

Est-ce que ça m’aurait déplu de ne plus croiser, le 6e ? Quand même un peu plus que mon air habituellement détacher pouvait renvoyer. Je m’autorisais quand même beaucoup de liberté à nos petits jeux et surtout ça m’aidait à oublier et repousser certains problèmes de ma vie et agir comme s’il n’avait pas autant d’impact sur moi. Moi à assister à tous les défiler, cosmopolitan et internationale; lui investit dans ce sport qu’il aimait tant. Au fond, c’était peut-être un peu ce qui nous réunissait; le fait que tous les deux nous aimerons nous investir à fond dans nos passions mais qu’à la place nous devions rester sur les bancs d’école comme tout ceux qui cherchaient encore une sens à leurs jours. – Tu as peut-être raison. Et par Melin! Que tes semaines seraient assurément très mornes sans moi! – Et aller le voir jouer, c’était aussi une certaine manière de lui prouver que malgré tout, si on voulait se voir sans le cadre de l’école, sans les soirées chic de grand-père, je n’y étais pas vraiment fermé. – Et dire que je pensais disparaitre avec tous le groupe après le match pour te laisser avec le fille que tu veux. -Je sais, j’étais du genre sympa et je savais qui j’étais et ce que je valais. La jalousie c’était fait pour les autres qui avaient quelque chose à perdre. Moi, ces les autres qui me perdaient, pas l’inverse. Jamais l’inverse. Et puis, moi et lui; c’était pas vraiment du type très sérieux, on le savait bien tous les deux. - Finalement, il va me falloir virer tout le monde ? - Et me revoilà qui pense à Suzie avec ces deux pieds gauches. Elle aurait pu se prendre les deux pieds dans une tuile de plancher bien plat et s’étaler tout son long pour attirer son attention, qu’elle aurait pu avoir l’air absolument ridicule. Autant pour moi de ne pas m’imaginer qu’il puisse avoir un si mauvais goût pour la blondasse catastrophe.

Oh mais j’étais un peu sensible à l’attention. Voir beaucoup, et mon doigt remontait sur l’équipement même s’il n’avait aucune raison d’y être alors que son balai avait fait son chemin bien droit jusqu’à ma paume de main ouverte. – J’entraîne mon mental à oublier l’hécatombe du dernier match. Crois-moi, c’est particulièrement épuisant. Surtout que je me force d’être magnanime avec Suzie. – Mes doigts avaient fini bien haut jusqu’à son épaule avant de balancer la tête sur le côté, visiblement déranger par cette cheerleader épouvantable. Si ce n’était pas qu’elle avait fini à l’infirmerie après l’incident et que l’équipe semblait la prendre en pitié, elle serait déjà partie. Avant de balancer les cheveux et la tête, comme pour dégager l’idée désagréable avant de retrouver ces yeux à nouveau. – Je comptais sur toi pour m’aider à me distraire d’elle un instant, mais c’est raté. – Et il ne me restait plus qu’à retourner terminer ce que j’avais commencé, la virer, sec et net; vu que mon esprit se tourmentait d’un nouvel incident. – Si tu la croise en sortant d’ici en pleurant, tu saura pourquoi. – Je passais mes doigts de mon autre main pour replacer ma frange, avant de la poser elle aussi par la suite sur le plastron. – Tu as un programme pour moi pour me faire suez un peu ? C’est pas comme si je ne faisais rien pendant les entrainements . Je révise la majorité des chorégraphies avec l’équipe, au moins quelques fois, tu sais.

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