[1ère, 2ème année] 1er cours / Apprendre à voler

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Apprendre à voler

Me voilà donc de retour à Poudlard pour enseigner à voler. Je prépare donc à donner cours à des premières et deuxièmes années. Pour ce premier cours, j'ai décidé de faire les choses simples leur apprendre à voler. C'est évidemment la chose à faire pour les premières années qui dans l'ensemble aller apprendre à voler pour la première fois. Pour les deuxièmes, je pense que je sauterais cette étape pour passer sur la suite du programme du jour.

Je quitte mon bureau et me dirige donc vers le terrain de Quidditch. Une fois sur place, je vais faire un tour dans la réserve à balai et je me saisis donc de mon balai un magnifique Nimbus 2023. Mon balai en main je me dirige donc vers le lieu de rendez-vous. Ensuite, je fais plusieurs aller-retour afin de récupérer un certain nombre de balai pour les élèves.

J'attends et commence donc à voir petit à petit un certain nombre d'élèves arrivent. Je jette alors un coup d'œil à ma montre. Et je me rends compte qu'il est temps que ce premier cours de Vol débute. Alors, je quitte du regard ma montre pour fixer à nouveaux les élèves. Et avec un grand sourire, je décide de débuter par une petite présentation personnelle:

"Bonjour à tous, je suis Mr William Piers, votre Professeur de Vol."

J'arrête un moment mon intervention et observe un peu plus élèves. Et après quelques secondes, je prends à nouveau la parole:

"Aujourd'hui vous allez apprendre à voler sur un balai. J'imagine que certains le savent déjà, mais mieux vaut commencer avec de bonne base. Surtout que je ne sais pas depuis quand vous n'avez pas eu un Professeur de Vol. En tout cas, pour aujourd'hui cela se passera en trois étapes qui sont les suivantes. Premièrement, vous allez vous passer à droite de votre balai et tendre votre main au-dessus de celui-ci et dire simplement Debout. Si vous avez un talent, le balai va se lever directement ou bien il faudra tenter plusieurs fois. Deuxièmement, vous apprendrez à comment enfourcher correctement votre balai. Et pour finir, nous apprendrons à décoller et atterrir."

Je m'arrête alors de parler me rendant compte que j'ai un petit monologue lors de cette intervention. Je jette à nouveau un coup vers les participants puis je dis à nouveau en souriant:

"Bon j'espère avoir bien été clair dans mes explications. Alors jeune gens, c'est parti pour la première étape. Et si vous avez le moindre soucis, n'hésitez pas à me faire signe. Pour les deuxièmes années, je pense que vous pouvez attaquer directement la troisième étape du coups. Vous allez donc décoller et voler sur une courte distance afin d'essayer d'atterrir dans une zone précise."

Juste après cette dernière intervention pour le moment je dessine un grand cercle sur le sol à l'aide de ma baguette avec écrit dessus "départ" et ensuite un autre à une dizaine de mètres avec cette fois le mot "arrivée". Ensuite, il est temps pour moi d'observer les élèves.

Codage par Libella sur Graphiorum

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Voler... J'en ai rêvé toute ma vie. Et ça y est, je m'apprête à toucher mon rêve du bout des doigts. Et pas grâce à un engin comme la machine volante de Jules Verne, oh que non.

Car je ne suis plus seulement une inventrice, mais aussi une sorcière ! Et ici, à Poudlard, les sorciers prennent des cours de vol. J'ai hâte ! J'ai tellement hâte que mes yeux s'ouvrent déjà un peu avant deux heures et demi du matin.

Je tourne la tête vers la droite, m'apprête à murmurer un Tu dors ? à @Iris Collins... et c'est lorsque je me retrouve face à ma voisine de dortoir paisiblement assoupie que je me rappelle, à nouveau, que désormais, Iris et moi dormons séparées. Je vais finir par m'y faire, pas vrai ?

Vinci semble sentir mon agitation dans son sommeil, et frotte sa tête contre mon dos. Je me retourne vers lui et me force à me rendormir, malgré les joyeux rêves éveillés qui tentent de m'en empêcher. Il faut être en forme, pour un cours comme celui là. Finalement, je termine ma nuit et me réveille à nouveau à une heure décente, plus pleine d'énergie et d'enthousiasme que jamais.

Je dévale les marches quatre à quatre sans la moindre hésitation. Je me suis faite beaucoup plus vite aux escaliers mouvants qu'à l'absence nocturne de ma sœur. Je trouve ça plutôt fun à vrai dire, et au final, ils sont plutôt prévisibles une fois qu'on a réussi à calculer la formule de leurs mouvements. Il faut juste descendre en cadence, danser à leur rythme.

Je retrouve ma sœur avec joie et, après une étreinte comme si ça faisait une semaine, et non une nuit, que je ne l'avais pas vue, je file déjeuner avec mes amies de Gryffondor. Parmi elle, une élève plus âgée et pleine de gentillesse @Sarah C. Davenport, qui m'a fait un accueil chaleureux dès le premier jour. Rayonnante de joie, je lui annonce, ainsi qu'à sa voisine du jour, la sympathique @Azure Zinnia, qu'aujourd'hui, c'est mon premier cours de vol.

Et enfin, je me dirige vers le terrain de quidditch en compagnie de mes camarades de Gryffondor en première et deuxième année, parmi lesquels @Matthew Merryweather, @"Monday Woodsen" et @Orion Donquixotte, trois camarades de mon âge que j'ai hâte d'apprendre à connaître. J'ignore quelles maisons en seront - à part Serdaigle, bien sûr, puisque je sais qu'Iris en sera.

Enfin, je me présente au cours, les yeux pétillants d'enthousiasme et le pas sautillant.
- Bonjour, professeur ! je m'exclame d'une voix guillerette en arrivant.

Nous prenons place, et le professeur finit par regarder sa montre et se présenter. William Piers. Professeur de vol. Il a l'air sympa, je trouve.
Je vais vraiment apprendre à voler. Sur un balai. Moi je ne sais pas, justement : contrairement à Iris, je n'ai jamais volé, seulement fait voler un objet, une fois. Mais j'ai hâte. Oh, j'ai tellement hâte !

Le cours d'aujourd'hui est en trois étapes.

1. Se placer à droite de son balai, tendre la main et dire "debout". Apparemment, il devrait se lever directement si on a un talent, ou alors il faudra le répéter.
Je ne m'inquiète pas. S'il y a une chose où je dois forcément assurer, c'est bien le vol, j'en suis certaine.

2. On apprendre à enfourcher son balai.
Et 3. À décoller et à atterrir. Oui, oui, oui !

C'est parti, on peut se lancer. Je prends place et je tends la main. Puis j'inspire profondément - j'ai appris depuis longtemps à ne pas laisser mon enthousiasme débordant prendre le pas sur ma concentration et ma précision - et j'articule d'une voix claire.
- Debout.

Le balai se lève et je le saisis fermement. Puis je cherche Iris du regard pour lui montrer, toute fière.

Observant mes camarades, j'enfourche le balai et cherche spontanément à adopter la position la plus aérodynamique.

J'observe avec une amélioration mêlée d'envie les élèves de deuxième année qui s'envolent sur un court parcours d'un cercle à l'autre. Est-ce que...

- Excusez-moi, professeur ? Je pourrais essayer aussi ? S'il vous plait ? je lui demande.
Des étoiles brillent dans mes yeux tant je me sens proche de réaliser mon rêve.

Apprendre à voler

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Matthew était surexcité. Il y avait des cours ennuyeux, comme l’histoire de la magie où il fallait passer des heures assis à écouter raconter des histoires si vieilles qu’elles n’intéressaient personne. Il y avait des cours qui alternaient entre théorie et pratique et Matt pouvait voir son envie de bouger s’exprimer même s’il fallait supporter un peu de blabla pour ça. Mais en vol, il ne s’agissait que de monter sur un balai avant de faire des galipettes dans tous les sens, de quoi faire plaisir au jeune garçon. Il était donc impatient de s’y essayer pour la première fois.

Il arriva donc dans les premiers et sourit immédiatement au professeur qui était son espoir d’un cours passionnant et stimulant, avant de pouvoir postuler dans l’équipe de Quidditch, l’année prochaine. Matt se voyait déjà remporter la Coupe de Quidditch, il ne savait même pas à quel poste. N’importe lequel lui conviendrait bien en réalité, tant qu’il pouvait jouer. Mais il était inutile d’y penser pour le moment. Ce ne serait pas avant l’année prochaine, quoi qu’il en soit. Il devait d’abord apprendre à tenir sur un balai. A la maison, il avait déjà eu l’occasion de s’entraîner, mais ce n’était pas pareil en vrai.

« Bonjour, Professeur ! » lança-t-il avant de s’avancer vers une de ses camarades Gryffondor. « Salut, Rose, c’est ça ? Toi aussi t’as hâte de monter sur un balai ? J’ai trop envie de faire des cabrioles dans les airs. »

Il se plaça à-côté de son balai et plaça la main au-dessus de lui. Il était plein d’enthousiasme et de conviction et puis, il s’était entraîné à la maison. Il savait comment s’y prendre et il avait bien envie de brûler les étapes. Son père lui dirait qu’il était là pour apprendre et devait faire preuve de patience, mais il ne pouvait pas le faire. C’était tellement excitant comme expérience. Avec détermination et conviction, le jeune garçon fixa le balai et prononça les mots sans aucune hésitation.

« Debout ! »

Le balai fila dans sa main comme s’il était aussi impatient que lui de s’y mettre. Mais celle qui était vraiment enthousiaste, c’était Rose. Elle aussi avait envie d’aller plus loin, plus vite. Matt se dit qu’elle allait être une bonne alliée pour tout ce qu’il pouvait avoir envie d’inventer comme facéties durant sa première année à Poudlard. Il ne pouvait pas faire autrement qu’espérer trouver un allié en farces et attrapes en tout genre.

« Ho oui, moi aussi, j’aimerais voler, Professeur. Je sais déjà me tenir sur un balai, vous savez. »

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Apprendre à voler

« ENFIN un cour un peu intéressant, ce matin ! », pensa Orion en se préparant pour la journée, tentant de nouer sa cravate alors que son chat Guimauve tentait d’en attraper un bout avec ses pattes. Aujourd’hui, le professeur Piers leur apprendrait à voler sur balai, ou tout du moins les bases. Le plus jeune des Donquixottes estimait ne pas avoir vraiment besoin de ces leçons, s’étant déjà bien entraîner en « empruntant » le destrier volant de sa sœur Mia lors des vacances et ne s'en sortant pas trop mal pour un petit de première année. Il avait remarqué que c’était à chaque fois sa pauvre sœur qui se faisait reprendre par leur père pour ses bêtises concernant le vol.

Une fois son uniforme enfilé, il passa affectueusement une main sur la tête du félin noir et dévala les escaliers fous. Dans la grande salle, ils pouvaient voir ses grandes frangines dépitées d’avoir une interrogation en métamorphose et il ne trouva rien de mieux à faire que de les charrier de manière moqueuse. Il esquiva un Confundo de sa sœur Iris, en profita pour lui chaparder la part de gâteau Victoria sponge et partit en hurlant de rire vers l’extérieur du château pour rejoindre ses camarades de même année. Ingérant la pâtisserie, Orion remarquait que deux de ses compères Gryffondor, Rose Collins et Matthew Merryweather, étaient déjà présent.

Orion saluait le professeur Piers avec un sourire et écoutait – du moins, fût mine – les instructions de monsieur Piers. Faire lever un balai et l’enfourcher n’était pas sorcier pour le jeune Donquixotte. Ni pour la question du décollage et le Gryffondor trouvait cela injuste que l’on ne laissait pas les premières années s’envolaient avec les élèves de deuxièmes années. Lui savait voler et il estimait que sous la responsabilité d’un professeur, ils ne risquaient rien. Orion espérait vraiment que les plus jeunes pourraient décoller avec les autres.

Car avec ou sans l’accord de l’enseignant Piers, le lionceau n’allait pas se priver d’atteindre les cieux !

Se plaçant à côté de son balai, il n’eut qu’à dire un « Debout ! » Pour que le manche vînt se réfugier dans le creux de sa main. Cela n’était pas bien compliqué, le secret étant la confiance. Si le sorcier ne désirait pas voler ou que du doute se faisait entendre dans le ton de la voix, le balai refusera d’être empoigné et ne bougera pas d’un pouce. Certains semblaient l’avoir compris, dont ses camarades. D’ailleurs, ils quémandaient à l’enseignant le droit de quitter le plancher des vaches pour partir dans le royaume des créatures ailées qu’était le ciel. Le Gryffondor se disait qu’il pourrait en profiter pour apporter ses arguments et peut-être faire céder le professeur.

« Professeur Piers ... », Orion s’approcha. « Avant de rentrer à Poudlard, mon père m’a apprit à me tenir sur un balai, et même à voler dessus. »

Pour appuyer son argument, le Gryffondor enfourcha sa monture de bois et tapa du pied le sol pour légèrement décoller du sol. Il se tenait droit et ne présentait aucun signes de peur, prouvant qu'il ne s'agissait pas d'un mensonge.

« Si vous voulez, je pourrai aider les autres à voler sur leur balai et à prendre confiance en eux. », il planta ses yeux dans ceux du professeur, plein d’espoir en souriant de manière sincère. « S’il vous plaît ? »

Derrière ce geste généreux se cachait une raison tout autre : pouvoir voler comme il le souhaitait et sans devoir désobéir au professeur. Pas que cela le gênait ! Pas le moins du monde ! Mais, Orion ne voulait pas se retrouver avec une punition sur le dos ou une perte de points, ayant la flemme d'effectuer la sanction si elle venait à tomber et le petit ne tenait pas à se faire détester par les membres de sa maison.

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Apprendre à voler

Ce matin-là, Jun Woo fut réveillé bien avant l'heure habituelle tant il était excité. Aujourd'hui, il allait pouvoir assister à son premier cours de vol à Poudlard. Autant il adorait les cours classiques, autant celui-ci promettait d'être tout particulièrement excitant. Allongé dans son lit, il se retourna et jeta un coup d'œil à l'affiche qu'il avait accroché juste au dessus de son lit. Elle représentait les Tengu de Toyohashi, l'équipe de Quidditch qu'il supportait. Bien qu'elle soit originaire du Japon, il était un fan incontesté de celle-ci. Il se perdit dans ses pensées en regardant les joueurs animés qui se passaient le Souafle, si bien que lorsqu'il revint à lui il était l'heure de se lever. Il ne s'était que rarement habillé aussi vite. Il passa en coup de vent dans la Grande Salle pour prendre un petit déjeuner puis se rendit aussi rapidement qu'il le put jusqu'au terrain de Quidditch. En arrivant, il adressa un « Bonjour. » poli au professeur, accompagné d'un grand sourire. Il était tellement excité qu'il avait du mal à tenir en place. À Mahoutokoro, l'année passée, il avait déjà eu l'occasion d'expérimenter les cours de Vol, d'autant plus que l'école était réputée pour ces derniers. Il avait hâte de voir à quoi ces derniers ressemblaient à Poudlard.

Le professeur leur énonça la leçon du jour. Il fut soulagé lorsque le professeur annonça que les deuxièmes années pouvaient passer les premières étapes et commencer à s'entraîner à voler. Il regarda le balai de l'école qu'on lui avait attribué. Il ne connaissait pas ni la marque ni le modèle et son balai n'était pas en très bon état, témoignant des nombreux élèves l'ayant utilisé avant lui. Il pensa avec envie aux Yajirushi que possédaient l'équipe nationale du Japon et que son père lui avait promis de lui offrir s'il parvenait à intégrer l'équipe de Quidditch de sa maison.

«Debout ! »

Le balai décolla immédiatement du sol et atterri dans sa main. Il ne lui restait plus qu'à décoller et à s'entraîner. À côté des cours de Mahoutokoro, ceux de Poudlard paraissaient plus faciles. Après tout, les entraînements dans son ancienne école se faisaient au-dessus d'une mer mouvementée, parfois orageuse. Bien qu'il y ait une légère brise dans le ciel écossais, cela lui semblait tout de même beaucoup plus simple. Il réussit donc sans grande difficulté à passer dans les anneaux, appart le dernier qui était beaucoup plus petit que les autres. Il y parvint néanmoins du premier coup, malgré l'appréhension qui l'avait saisi quand il avait vu la taille de celui-ci en s'approchant. Seul l'atterrissage lui posa quelques difficultés puisqu'il ne parvint à se poser qu'à quelques mètres de l'endroit indiqué. Il pesta discrètement. Il avait pour espoir d'intégrer l'équipe de Quidditch de sa maison l'année prochaine et il se devait d'être exemplaire en cours de vol s'il souhaitait que cela arrive. Bon, l'atterrissage n'était pas l'élément le plus important pour atteindre cet objectif, mais tout de même. Il jeta un coup d'œil vers les premières années et le professeur, attendant le prochain exercice avec impatience.

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