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(carla) let me bitch about you in peace, pls.
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Message(#) Sujet: (carla) let me bitch about you in peace, pls. (carla) let me bitch about you in peace, pls.  EmptyLun 27 Avr - 0:18

carla yaxley + maxwell carter

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Tight like a rope, try to not reach for memories. Lover, lover, what have we done ? We made our heart leap, then it gave up. Lover, lover, let me in. You came in the door like thunder, then hit the floor like thunder. Laying me down you wonder. You came towards like thunder.

Quelques jours s’étaient écoulés, et Maxwell avait du mal à décolérer, du mal à comprendre. Cet aparté avec Carla l’avait totalement chamboulé. Et forcément pour un garçon qui n’aimait pas se prendre la tête, ces derniers jours avaient été légèrement compliqués. D’ailleurs, il avait du faire un sot à l’infirmerie après leur fameux rendez-vous, puisque pris d’un excès de colère, le garçon n’avait rien trouvé de mieux que de taper contre un mur. Cette réaction plutôt animale lui avait valu d’avoir la main dans un bandage. Génial, comme s’il avait besoin d’un rappel de ce qu’il s’était passé à voir tous les jours. Mais soit, heureusement l’infirmière ne lui avait posé que trop peu de questions, pensant certainement que c’était simplement un petit accident. Devant la mine fermée du garçon, elle avait compris qu’il fallait mieux ne pas insister. Ainsi, revoilà le garçon quelques jours plus tard en cours de botanique plutôt distrait. Une plume dans la main, la tête dans les nuages, et un prof qui continue sa théorie sans se douter que certains de ses élèves ont déjà décroché. La botanique a beau être l’une de ses matières préférés, le poufsouffle n’est pas d’humeur à être attentif. Il s’est quand même fait humilié dans cette salle de classe vide … Et il ne comprend toujours pas réellement ce qu’il s’est passé. Un instant, la jeune femme était rieuse, sympathique, joueuse et avenante, et la seconde d’après, elle était froide comme une porte de prison ? Qu’es-ce qu’il avait bien pu se passer dans sa tête à ce moment-là ? Pourquoi l’embrasser si c’était au final simplement pour le rejeter quelques secondes plus tard ? Parce que oui, bien sûr qu’il était entré dans ce jeu de séduction, et qu’il avait continué de l’alimenter encore et encore au fil des minutes mais il n’était pas celui qui avait choisi de sceller ce rapprochement par ce baiser. Elle en avait décidé ainsi. Maxwell avait beau se retourner la scène dans tous les sens dans sa tête, il avait du mal à trouver une explication à ce changement radical de comportement …

Et si … Et si la jeune femme avait simplement eu envie de se venger de tout ce qu’il avait fait cette dernière année ? Cette idée venait de lui traverser l’esprit. Après tout, à la base, elle était très énervée contre lui et voulait lui arracher les yeux. Peut-être qu’elle avait voulu utiliser la manière forte. Que dans ce couloir, elle lui avait proposé de rentrer dans cette salle de classe vide avec une idée derrière la tête … Serait-ce possible ? Carla avait-elle tout calculé depuis le début. Maxwell réfléchissait à cette possibilité. Le fait qu’elle ait pu en avoir tellement marre de ce comportement malsain qu’elle ait décidé de monter un plan de toute pièce qui n’avait de but que de l’humilier et de lui faire du mal. Dans ce fameux plan, elle aurait compris que gueuler sur lui n’avait absolument aucun effet, alors elle aurait décidé de le prendre à son propre piège. Ainsi, elle était entrée dans son jeu pour lui faire baisser la garde, pour qu’il prenne confiance, sachant pertinemment qu’il était dans son élément, qu’il la suivrait complètement dans ce jeu de séduction. Et elle l’avait embrassé pour pouvoir mieux le repousser, pour finalement lui envoyer en plein visage qu’il n’était pus rien pour elle, et qu’il ne valait rien en comparaison de son nouveau mec. Etait-elle capable de faire ça ? Un plan du tonnerre certes … Plus il pensait à cela, plus Maxwell semblait croire que c’était possible. Que son envie de l’humilier pour comprendre une bonne fois pour toute avait primé sur le fait de le respecter. Et en soit, elle avait réussi à le blesser dans son égo, dans ses sentiments. Elle l’avait perdu, chamboulé, énervé, à tel point qu’il ne savait même plus quoi faire de toute cette histoire.

L’heure de cours avait finalement pris fin, et Maxwell s’en rendit compte lorsque son pote lui donna un coup d’épaule, histoire de le sortir de ses pensées. Le garçon ramassa ses affaires, et reprit le chemin du château à moitié présent dans la conversation avec ses amis. Il était ailleurs, ressassant cette possibilité qui lui faisait du mal. Ils arrivèrent à l’entrée du château et trainèrent un petit moment dans le grand hall. Cab, son frérot, en avait surement marre de voir son poto beaucoup moins enjoué que normal, et il décida d’en faire part.

– OH MAXWELL. Reprends toi mon vieux, tu vas pas non plus te laisser abattre par une bouffonne sans importance. Vas-y je te donne un pass. Tu peux dire 3 trucs sur elle. Des trucs méchants, injustes, faux, c’que tu veux poto, mais après ça tu la vire de tes pensées, et à la poubelle, c’est clair.

Max ouvrit de grands yeux un peu surpris par cette proposition, mais un petit sourire s’afficha sur le coin de ses lèvres. Parce qu’au fond, il savait que son poto faisait ça pour lui. Il ne pouvait pas non plus passer ses prochaines semaines à ruminer, n’est-ce pas. Et se défouler en balançant plein de choses sur son ex ne pouvait que lui faire du bien. Max savait très bien que Cab ne pouvait pas vraiment saquer Carla, donc pas étonnant qu’il soit toujours partant pour entendre son pote de toujours la critiquer à mort.

– Aaaaaah. Elle me rend taré j’te jure. Ok, vas y. Déjà, un, elle se la joue grosse garce en ce moment. Deux, elle joue les saintes nitouches alors que c’est la pire manipulatrice qui existe dans ce putain de château. Trois, elle s’ait trouvé un parfait petit toutou/sac à main/bouffondor pour se pavaner dans Poupou histoire de bien montrer qu’elle vaut bien mieux que tout le monde et tout le tralalala. Quatre, elle–
– Max …
– S’ra contente que quand elle m’aura bien humilié, émasculé, fait passé pour la dernière des merdes devant toute l’école. Et après madame est une fille bien évidemment.
– … taggle gros, elle est juste derrière toi.



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Aisling Dashner

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Message(#) Sujet: Re: (carla) let me bitch about you in peace, pls. (carla) let me bitch about you in peace, pls.  EmptyLun 27 Avr - 2:28

Just leave me alone, please



Pour ceux qui la connaissait, Carla n’avait pas l’air au top de sa forme. Cela ne se voyait pas nécessairement puisqu’elle mettait un soin méticuleux à ce que son apparence soit parfaite pour ne rien laisser paraître, mais elle semblait plus distraite que d’habitude. Et elle avait de légères cernes inhabituelles. Elle se remettait mal de son entrevue avec Maxwell. Cela l’avait ébranlé. Elle détestait la personne qu’elle avait été. Déloyale avec Finn, malhonnête avec Maxwell. Il n’y avait rien à sauver dans ce qu’elle avait fait. Peut-être qu’elle se serait sentie mieux si elle avait eu la certitude d’avoir agi pour le mieux. Même là, elle n’en était pas sûre. Une part d’elle se mourrait à petit feu des regrets qu’elle éprouvait. Quand elle était occupée, elle arrivait à en faire abstraction, mais dès qu’elle était seule, c’est comme si elle était condamnée à ne penser et revivre que ce foutu laps de temps avec lui dans une pauvre salle vide. D’un autre côté, est-ce qu’elle n’avait pas eu raison d’interrompre ce jeu malsain ? Combien de rencontres est-ce qu’elle avait gâchées parce qu’elle était un coincée à moitié dans le présent, et à moitié dans le passé ?

N’étant pas en cours de botanique, elle s’était retrouvée avec deux heures de liberté. Elle avait voulu travailler, sincèrement, mais elle en avait été tout bonnement incapable, à se débattre avec sa pensée. Au bout d’une heure, elle avait fini par lâcher l’affaire et elle était partie prendre l’air dans le parc. Ce qui était extrêmement rare chez elle ; Carla n’était pas une grande fan de l’extérieur. Trop salissant, des insectes … Rien qu’elle n’appréciait en soi. Mais elle avait une telle sensation d’oppression que l’air frais lui fit du bien. Sans qu’elle y réfléchisse, ses pieds la portèrent aux abords des serres quand le cours de botanique terminait. Elle en profita pour se mêler à la foule des élèves qui retournaient vers le château, histoire de comblait la solitude et d'échanger deux mots avec des connaissances. Arrivée dans le hall, elle traversa plusieurs groupes pour se diriger vers sa salle commune. Elle fit quelques pas supplémentaires, dépassant la grande salle, quand son oreille capta la voix de Mawell. Elle eut comme premier réflexe de faire demi tour, puis le peu de mots qu’elle distingua lui firent comprendre qu’il parlait de lui. Elle s’avança donc, écoutant ce qu’il racontait.

- Déjà, un, elle se la joue grosse garce en ce moment. Deux, elle joue les saintes nitouches alors que c’est la pire manipulatrice qui existe dans ce putain de château. Trois, elle s’ait trouvé un parfait petit toutou/sac à main/bouffondor pour se pavaner dans Poupou histoire de bien montrer qu’elle vaut bien mieux que tout le monde et tout le tralalala. Quatre, elle s’ra contente que quand elle m’aura bien humilié, émasculé, fait passé pour la dernière des merdes devant toute l’école. Et après madame est une fille bien évidemment.

Elle était soulagée d’être son dos puisque son visage se décomposa quand elle entendit ce qu’il racontait sur son compte. Dire qu’elle se flagellait ou presque depuis des jours de ce qu’elle lui avait fait, alors que lui allait en racontant partout à quel point elle était une garce. D’une autre personne que lui, ce qualificatif l’aurait faite rire. De lui, elle vivait ça comme une agression. L’autre idiot qui lui servait d’ami qui essayait vainement de le prévenir qu’elle était là. C’était pathétique. Toute cette putain d’histoire était pathétique La colère monta en elle et elle tapota rageusement l’épaule.

- Maxwell. Ravie d’entendre ce que tu penses de moi. T’as le courage de me le redire en face ou tu t’exprimes uniquement devant un auditoire conquis ?

La surprise que son visage afficha quand il la vit valait tout l’or du monde. Malheureusement, cela ne fut que fugace. Quant à elle, elle était folle de colère. De voir que comme d’habitude, elle était la méchante, alors qu’elle se rendait malade à se taper la tête contre les murs pour lui. Malade d’entendre que comme d’habitude, il ne se demandait même pas ce qu’elle pouvait penser, s’il pouvait la blesser. D’un geste brusque, elle le poussa légèrement, pas assez pour qu’il tombe, mais assez pour le faire reculer d’un pas ou deux.

- JE suis une garce ? Tu veux qu’on parle de tous tes petits plans foireux ? JE suis manipulatrice ? Est-ce que tu veux qu’on évoque cette sortie au restaurant à Pré-au-Lard ? JE t’humilie parce que je sors avec un garçon en étant célibataire alors que tout le monde se fout de ma gueule parce que tu t’es tapé la moitié de l’école ? Tu veux qu’on discute des torchons que tu laisses traîner avec mon nom dessus et que les gens lisent ?

A chaque phrase, sa voix était montée un peu plus en puissance et dans les aigus, preuve qu’elle était en train de perdre totalement le contrôle de ses nerfs.

- Mais j’en peux plus de toi ! Peu importe où je me trouve tu y es aussi, en train de cracher sur moi. Mais tu vas t’arrêter quand ? Quand tu m’auras fait pleurer devant tout le monde ? Quand tu m’auras tellement poussée à bout que je t’aurais frappé ?

Dans les deux hypothèses, il suffisait qu’il continue encore un peu pour y arriver. Elle n’avait pas assez dormi ces derniers jours pour totalement maîtriser son canal lacrymal et elle se sentait tellement acculée quand elle était prête à lui lancer un sort au moindre mot de travers. Elle avait l’impression qu’il l’étouffait, que ses bêtises allaient se refermer sur elle jusqu’à ce qu’elle n’arrive même plus à respirer.

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Dernière édition par Carla P. Yaxley le Lun 27 Avr - 11:28, édité 1 fois
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Message(#) Sujet: Re: (carla) let me bitch about you in peace, pls. (carla) let me bitch about you in peace, pls.  EmptyLun 27 Avr - 10:10

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Cab avait complètement raison au fond, est-ce que ça valait réellement le coup de faire la gueule tous les jours, d’être renfermé sur soi, et d’en oublier de rire et de s’amuser ? Oui il avait été blessé … mais de toute façon faire la tête n’y changerait rien. Carla ne serait pas plus désolée, le baiser aurait toujours eu lieu, et sa relation avec Finn resterait inchangée. Finalement il se faisait simplement du mal à lui-même en agissant de la sorte. Il était temps que ça cesse. Le serpentard était son frérot alors forcément il voulait retrouver son vrai pote, le Max souriant, plein de conneries, et heureux de vivre. En plus de cela, lui n’était pas du tout un fan de Carla, au contraire moins elle trainait aux alentours de son pote mieux il se sentait. Pour Cab, la jeune femme était une terrible manipulatrice qui avait ses griffes bien plantés dans le dos de Maxwell. Et une meuf qui pouvait contrôler son pote, c’était la dernière chose qu’il voulait. Max était quand même content d’avoir un pote comme lui, car il savait que ce qu’il lui dit, c’était pour son bien, et qu’il voulait simplement le meilleur pour lui. Bitcher sur Carla en plein milieu de l’école ? Bon après, ils n’étaient pas non pus des centaines autour, n’est-ce pas, il n’y aurait que Cab qui entendrait. Ca valait la peine d’essayer … alors le jeune homme s’exécuta et commença un peu à se lâcher sur son ex petite amie. Les mots garce et manipulatrice sortirent. Evidemment, il ne pût laisser de côté sa relation avec Finn qui devait également être critiqué avec soin. Le garçon ne se rendit d’ailleurs pas tout de suite compte que Cab essayait de le couper. Au contraire, puisqu’il enchaina sur un quatrième point en expliquant à quel point la jeune femme aimait le faire passer pour le dernier des cons devant toute l’école. Quand Cab lui demanda de se la fermer parce qu’elle était derrière lui, le garçon ouvrit de grands yeux ronds. Putain. Toujours au bon endroit au bon moment celle-ci. Cab lui fit un signe de main pour le prévenir qu’ils se retrouvent après. Mais quel battard … c’était son idée de balancer sur Carla, et maintenant qu’il se retrouvait bien dans la merde, il le lâchait. Tout se passa très vite en soit, puisque Carla tapotait sur son épaule, l’obligeant à se retourner. Non, il n’avait pas la moindre envie de lui parler pour le coup.

Elle lui demanda si il avait le courage de répéter ce qu’il venait de dire, autre que devant un auditoire conquis. Bon parlant très clairement de Cab, elle n’avait pas totalement tort pour le coup. Maxwell était évidemment surpris de la voir par ici, et surtout d’entendre sa voix. Après tout, ils ne s’étaient pas adressé la parole depuis le fameux baiser dans cette salle de classe vide quelques jours auparavant.

– J’imagine que t’as entendu l’essentiel, j’ai pas besoin de répéter.

Répondit le jeune homme d’un ton calme, presque légèrement provocateur. De toute façon comment osait-elle lui reprocher quoi que ce soit maintenant. Mais elle était réellement en colère, plus qu’il ne se l’était imaginé en tout cas, mais elle poussa, ce qui le fit reculer de quelques pas. Et elle commença à faire entendre son mécontentement. A chaque reproche qu’il avait balancé sur elle pour se vider, elle venait lui reprocher ses propres actions. Il connaissait Carla, elle était en train de perdre le contrôle, avec sa petite voix aigüe là. Mais Max la regardait avec un peu de distance. Franchement il ne comprenait pas cette réaction démesurée selon lui. Parce qu’il restait sur ce qu’il s’était passé dans cette pièce vide. Comment elle l’avait humilié, comment finalement il avait perdu un jeu qu’il pensait maitrisait, comment elle lui avait fait mal en le rejetant et en lui expliquant clairement que son pauvre mec était bien que lui. Qu’est-ce qu’elle pensait après ça ? Qu’il ne serait pas énervé ? Qu’il n’aurait pas des mots à son égard ? Et puis déjà qu’est ce qu’elle fichait par ici à écouter ses conversations avec Cab.

– Mais c’est une blague ? A quelle heure t’as le droit d’être énervé après tout ce qui s’est passé ce week-end ?

Balança-t-il froidement. Bien sûr qu’il avait fait des choses contre elle pour le passé, il ne le niait pas sur le fond, mais maintenant le fond du problème c’était quand même son attitude à elle qui était étrange et changeante au gré de ses humeurs. Elle n’en pouvait plus de lui apparemment génial. Et maintenant c’était elle qui lui demandait quand il allait bien pouvoir s’arrêter. Max eut un petit rire jaune. Incroyable cette meuf.

– On est deux t’inquiète pas. Franchement ait pas le culot de continuer à me gueuler dessus ici si tu veux pas que je balance tout ce que je te reproche aussi.


Dit-il d’une voix clairement énervé, mais le message est clair. Si elle veut continuer cette conversation, mieux vaut trouver un coin tranquille puisque le problème était clairement autour du baiser, et comme elle n’avait surement pas la moindre envie que quiconque sache à propos de ce qui s’était passé entre eux. Elle avait de la chance que Max ne balance d’ailleurs pas toute cette histoire là maintenant autour de témoin, juste pour bien enfoncer le clou. Heureusement pour elle qu’il avait une once de conscience.

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Message(#) Sujet: Re: (carla) let me bitch about you in peace, pls. (carla) let me bitch about you in peace, pls.  EmptyLun 27 Avr - 11:31

Just leave me alone, please



S’il avait été surpris l’espace d’une demi-seconde, désormais, il contrôlait parfaitement ses nerfs, ce qui frustrait encore plus Carla. Plus il était calme, plus ça la faisait sortir de ses gonds. Elle vivait sa froideur comme une marque d’extrême indifférence à ce qu’elle racontait, comme s’il lui balançait à la figure, “je m’en fiche que tu t’énerves, je m’en fiche de te blesser, même un caillou dans ma chaussure m’intéresserait plus que toi”.

- Je suis en colère parce que quoique tu me reproches, c’est une conversation privée. Pas à avoir avec ton pote qui me déteste et qui fait tout pour jeter de l’huile sur le feu.

Un jour, elle tuerait ce Cab. La mort était certes une solution un peu définitive, mais cela lui ferait le plus grand bien. Elle était persuadée que ça calmerait ses nerfs et que, une fois la tristesse passée, cette séparation ne pourrait être que bénéfique à son ex petit ami. A eux d’eux, ils arrivaient à avoir un QI négatif, alors ça remonterait le niveau. Elle ajouta, cette fois plus sincère qu’énervée

- Je t’ai dit que j’étais désolée.

Là, comme pour l’achever, il la menaça sans aucun doute possible de dire ce qu’il s’était passé dans cette foutue de salle vide. Carla sentit le refluer de son visage pour devenir presque aussi translucide que les fantômes qui se baladaient dans le château. Il n’allait pas oser ... Si ? Elle lui avait dit qu’elle était désolée. Elle avait tenté d’adoucir le truc. Même si en vrai, il n’existe pas réellement de ménager un ego blessé dans ce genre de situation. Et depuis, elle n’avait rien dit à personne. Alors que cela aurait été facile de raconter l’histoire de manière à l’humilier pour de vrai. Suffisait de parler du contrat et de dire qu’elle l’avait recadré en disant qu’elle avait choisi son nouveau petit ami, le tout en mettant le râteau du siècle à Carter. Elle n’en avait rien fait du tout. Elle le fusilla du regard

- Tu viens déjà de dire ce que tu me reproches Carter. Quant à tout le reste, depuis presqu’un an que tu racontes des bobards sur mon dos, tu n’es même plus crédible.

A son tour de le menacer. Parle et je nierai tout, ou je déformerai ce qu’il s’est passé. Puis de toute façon, elle n’était pas certaine qu’il ait réellement envie d’admettre qu’après avoir retenté quelque chose, elle l’avait planté en expliquant que les baisers de son petit ami actuel éveillaient plus de choses chez elle que ceux du Poufsouffle. Son ego était une faiblesse dans laquelle elle pouvait s’engouffrer. Ou du moins essayer. Ils se toisèrent un instant, et Carla soupira, déjà fatiguée par cette conversation. Toute cette situation l’épuisait. Elle voulait que les vacances arrivent pour pouvoir retrouver sa maison et sa tranquillité. Ne plus avoir à se laisser bouffer par ses émotions. Elle avait besoin d’un sas de décompression de manière presque vitale à ce stade.

- Maintenant, qu’on a joué à qui a la meilleure arme de dissuasion, viens avec moi. Tu pourras me déverser tout ton venin dessus et moi me casser une corde vocale, mais au moins on règlera ça sans oreilles indiscrètes.

Elle lui désigna d’un mouvement de la tête un coin plus isolé. Pas une salle vide cette fois, mais une zone assez loin de tout et surtout vide d’élèves qui permettrait de parler sans faire le bonheur de tous les amateurs de ragots.
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Message(#) Sujet: Re: (carla) let me bitch about you in peace, pls. (carla) let me bitch about you in peace, pls.  EmptyLun 27 Avr - 18:05

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Mais c’était une blague ? Comment pouvait-elle être celle qui s’énervait sur lui maintenant, après les derniers évènements qui s’étaient déroulés. Il n’était pas celui qui l’avait abandonné comme une merde dans cette salle de classe vide sans la moindre explication. Alors non, il ne comprenait pas du tout, et n’avait surtout pas envie de comprendre pour le moment. Pour lui, il avait tous les droits d’être énervé, et cracher sur sa gueule auprès de son meilleur pote n’était finalement pas réellement méchant comparé à tout ce qu’il aurait pu faire s’il avait réellement eu envie de lui pourrir la vie. Il aurait très bien pu aller directement voir son pseudo-mec pour lui raconter qu’elle s’amusait bien à embrasser quelqu’un d’autre qu’il avait eu le dos tourné, où il aurait très bien pu laisser échapper cette rumeur pour qu’elle arrive aux oreilles de tous les élèves de Poudlard, pas sûr qu’elle aurait aimé, elle qui tient tellement à contrôler ce que les gens pensent d’elle, et qui ne supporterait pas d’être jugé pour avoir replongé avec un sang impur. Mais il n’avait rien fait de tout ça, il avait juste eu besoin de se lâcher auprès de son meilleur pote, de celui qui était toujours là pour lui, qui avait été là après la rupture dans les bons comme dans les mauvais moments, celui qui ne l’avait jamais trahis, ou humilié, ou fait senti comme la dernière des merdes … Alors oui, il était celui à qui il allait se plaindre et pour lui Carla n’avait aucunement le droit de lui reprocher de se confier à son meilleur pote. Et puis quoi encore ? Il était censé garder tout pour lui et rien dire ? Manquerait plus que ça. Elle s’était déjà bien assez foutue de sa gueule la dernière fois pour qu’il puisse encore décider des personnes à qui il voulait parler. Et encore, il n’avait pas tout raconté à Caleb. En effet, le jeune homme avait bien omit de citer le baiser qu’ils avaient échangés. Parce qu’il savait que s’il lui avait donné ce détail, son pote serait surement parti directement voir la principale concernée. Et un échange entre Carla et Cab était clairement la dernière chose qu’il voulait voir se passer. Inutile d’envenimer les mauvaises relations qui étaient déjà présentes entre les deux personnes. D’ailleurs Carla lui fit bien comprendre que Cab n’avait pas sa place dans cette discussion, qu’il n’avait pas à se plaindre auprès d’un mec qui allait jeter de l’huile sur le feu. Le garçon eut un rire jaune à peine dissimulé.

– Ah donc maintenant j’ai juste le droit de fermer ma gueule sans même parler à mon pote. Excuse-le d’en avoir quelque chose à foutre quand il me voit dans tous mes états.

Evidemment qu’il prendrait la défense de son meilleur ami quand elle le critiquait ouvertement de la sorte. Il avait le droit de parler à Cab s’il le désirait et ce n’était certainement pas la jeune femme qui allait l’en empêcher. Après, il ne fallait pas se méprendre, même si Cab ne pouvait pas saquer Carla, il savait qu’il ne pouvait pas non plus aller trop loin devant Max, qui n’avait pas hésité par le passé à le stopper quand il devenait trop virulent sur le compte de la jeune femme. Mais ça, elle ne pouvait pas le savoir non plus. Elle pensait surement qu’il s’amusait à dire du mal d’elle dés qu’il en avait l’occasion et que Max ne disait jamais rien pour la défendre.

Carla ajouta qu’elle lui avait dit qu’elle était désolée. Il leva les yeux au ciel. Oui peut-être qu’elle s’était excusé mais pour le moment, ça ne changeait rien à ce que le garçon ressentait. Comme si il ne pouvait même pas croire à ses excuses. Après tout, elle s’était bien amusé à le manipuler donc pourquoi en être désolé, comme si ce n’était pas calculé à l’avance … Peut-être était-ce parce qu’il n’avait pas l’habitude de perdre le contrôle, parce qu’en temps normal il était celui qui maniait la manipulation, et pour une fois il s’était complètement laissé avoir alors qu’il avait baissé sa garde … Carla l’écoutait donc lui reprocher ce qui c’était passé. Il ne l’aurait jamais balancé en pleine face si elle ne s’était pas introduite dans sa conversation pour lui crier dessus. Max restait plus ou moins calme, sentant clairement les nerfs lui monter, alors qu’une fois de plus elle lui reprochait des choses. Cette blague … Il n’avait pas l’intention de parler, il n’avait pas l’intention de crier dans tout le château qu’il s’était fait prendre pour le dernier des cons. Pour elle, de toute façon, il ne serait pas crédible puisqu’il raconté sans cesse des conneries sur elle. Très bien. Le jeune homme secoua la tête comme dégouté d’en arriver ici, comme dégouté de tout ce qui s’était passé. Il ne savait même plus comment réagir devant elle. De toute façon, elle avait finalement eu ce qu’elle voulait. Peut-être qu’elle cherchait simplement à le faire sentir comme une merde, espérant qu’il la laisse tranquille une bonne fois pour toute. Pour ce qui était de se sentir comme une merde, qu’elle ne s’inquiète pas, elle était en bonne voir pour atteindre son but. Elle voulait qu’ils se mettent à l’écart pour discuter. Pas étonnant, elle ne voulait surement pas être une nouvelle fois vu en sa compagnie, et ne désirait pas que qui que ce soit entende cette conversation. Alors le garçon la suivit. Peut-être qu’il n’aurait pas du, peut-être qu’il aurait simplement du se barrer et la planter là, après tout elle l’avait déjà bien assez humilié pour le mois …

– J’sais même pas pourquoi tu veux casser tes cordes vocales sur moi … Genre comme si t’avais le droit d’être énervé après m’avoir pris pour le dernier des cons. Ca va j’ai compris la leçon tu sais. Si tu veux me faire du mal comme j’t’en fait … Paris réussi. Pas besoin de me galoche juste pour me balancer par la gueule que ton mec est bien mieux que moi.


Sa voix était froide et distante comme pour contrôler tous ses sentiments et ne rien laisser passer.

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Message(#) Sujet: Re: (carla) let me bitch about you in peace, pls. (carla) let me bitch about you in peace, pls.  EmptyLun 27 Avr - 19:38

Just leave me alone, please



Carla l’observa sans comprendre. Pourquoi aurait-il été dans tous ses états ? Quand elle lui avait dit qu’elle avait été amoureuse de lui en potions, il n’avait rien répondu. Quand, dans la salle, elle avait baissé les armes en lui disant qu’elle refusait de le partager, il n’avait jamais émis la moindre proposition autre. Pas renchéri en disant que lui non plus. A chaque fois qu’elle lui avait parlé de sentiments, il lui avait dit qu’il la regrettait au lit. Est-ce que ce n’était pas assez clair ce qu’il pensait d’elle ? Qu’elle n’était qu’une jolie plastique à gagner ? Un jeu dont elle serait le gros lot ? Ce n’est pas que ça ne lui faisait rien de le voir malheureux. Au contraire, à chaque fois qu’elle croisait son regard, son air renfermé, elle se dégoûtait un peu plus elle-même d’avoir fait ça et d’avoir tout gâché. Ca lui serrait le cœur, lui compressait la cage thoracique au point qu’elle en ressentait une douleur physique. Il la pensait manipulatrice ? Force était de constater qu’il n’avait pas tort. Mais est-ce qu’elle avait choisi de faire ça pour lui faire du mal ou juste pour couper court à une situation qui l’effrayait terriblement ? C’était plutôt la deuxième réponse qui l’emportait. Quelque part, elle était jalouse aussi de son amitié avec Cab. Elle n’avait pas eu l’occasion de voir Casey et elle avait tellement bien joué son rôle que personne n’avait vraiment vu à quel point elle était triste.

- Arrête de me faire dire ce que je n’ai pas dit. Je n’ai jamais sous-entendu qu’il ne s’inquiétait pas pour toi parce qu’on sait tous les deux que Cab est un … bon ami.

Elle avait admis ça à contrecoeur. Ca lui avait arraché la bouche même. Mais c’était la vérité. Son ami était stupide, il ne pouvait pas l’encadrer, ce qui avait le mérite d’être réciproque, mais il était fidèle et manifestement toujours présent. Une sorte de gros Saint Bernard. Collant, baveux, le cerveau moins développé que celui d’un être humain lambda mais animé de bonnes intentions envers son maître. Quand il leva les yeux au ciel face à ses excuses, elle se mordilla la lèvre, ne sachant pas quoi dire. Les excuses, c’était ce qu’elle avait de mieux à lui offrir. Elles étaient sincères. Mais s’il s’en fichait, alors elle ne pouvait rien faire de plus. Elle n’avait rien à lui dire qui consolerait son ego blessé. Ou plutôt, si, elle avait des dizaines des choses qui aurait pu soigner son ego : lui répéter qu’elle avait aimé, qu’elle l’aimait encore même, qu’elle avait adoré ce baiser, qu’elle voulait recommencer, qu’elle avait peur de recommencer parce qu’elle était incapable de retrouver chez un autre garçon ce qu’elle ressentait avec lui. Mais si elle disait ça, elle était foutue. Ca ne serait même plus une question d’emprise, elle serait carrément à sa merci alors qu’il n’avait pas démontré tenir à elle autrement que pour s’envoyer en l’air. Elle blesserait Finn qui avait confiance en elle. Non, elle était bloquée, murée dans un silence contraint. Le vrai problème, c’est qu’ils en avaient trop dit ou pas assez, mais ils n’avaient plus confiance l’un dans l’autre. Quoi qu’elle dise, quoi qu’il dise, l’autre n’en croirait rien. La frontière entre ce qui relevait du jeu ou non était trop floue.

Contre toute attente, il la suivit. Elle n’aurait jamais parié là-dessus. Elle l’écouta parler, désespérée parce qu’il racontait. Il la voyait vraiment comme une garce. Est-ce que ça voulait dire qu’elle l’était ? Pour de vrai ?

- Parce que j’ai le droit d’être énervée quand on m’insulte ! Je n’ai rien dit sur toi et sur cette salle vide. Même à des amis. Je n’ai rien à dit personne pour Pré au Lard, les potions, ton contrat … Pas un mot désobligeant sur ton compte. Et toi, dès que je suis pas là, tu te plantes sur l’un des endroits où il y a le plus de passage dans Poudlard pour y exprimer toute ta rancœur ? Faudrait que je reste derrière toi, à t’écouter et quand tu as fini ta tirade, je fais quoi ? Je t’applaudis ? Je signe des autographes ?


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Message(#) Sujet: Re: (carla) let me bitch about you in peace, pls. (carla) let me bitch about you in peace, pls.  EmptyLun 27 Avr - 21:13

carla yaxley + maxwell carter

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Caleb avait eu l’occasion de voir passer pas mal d’histoire entre les deux ex. Il avait suivi l’histoire plus ou moins de près cette dernière année, et il faut dire qu’il avait clairement choisi son camp. Evidemment, il était du côté de son pote de toujours. Carla n’aimait pas et n’avait jamais aimé son meilleur ami, et d’ailleurs il le lui rendait bien. Depuis qu’elle était entrée dans la vie du garçon, Cab avait eu un problème avec elle. Surement que de voir son pote passer de moins en moins de temps avec lui, et plus de temps avec une fille qu’il connaissait à peine l’avait vite soulé. Parce qu’elle prenait beaucoup de place dans la vie de Max à l’époque, parce qu’elle était toujours autour, parce qu’à cause d’elle, son pote avait moins de temps pour lui, tout ça … Et puis quand Carla l’avait finalement quitté, il avait quand même du se taper les humeurs changeantes de Max. Mais il croyait peut-être qu’il serait enfin débarrassé de la jeune femme. Et bien non malheureusement … Max avait continué d’être absorbé par elle au point de monter des plans sordides tous les mois. Alors ouais, Cab n’était pas un grand fan du personnage, de cette meuf qui possédait son pote. Et vu ses paroles d’aujourd’hui, il était clair que les sentiments de Carla pour Caleb n’avaient pas évolués. Elle ne l’aimait toujours pas. En même temps comment aimer quelqu’un qui ne pouvait pas vous saquer. Mais Maxwell ne supportait quand même pas qu’on puisse le critiquer. Certes, il pouvait être lourd et chiant quand il s’y mettait, mais il n’en restait pas moins son fidèle ami depuis leur rencontre dans le poudlard express. Et six ans d’amitié, c’était quand même quelque chose. Le mec qui était toujours là pour lui, avec qui il avait fait les quatre cent coups, avec qui il avait rigolé à s’en donner mal au ventre. C’était son frère. Dommage que Carla ne puisse pas entrevoir ne serait-ce qu’un petit peu à quel point c’était un mec formidable. En tout cas, déjà qu’il était en colère contre elle après le baiser, elle n’arrangeait pas son cas en critiquant son poto. Bon, selon elle, il avait mal compris ses paroles … pour changer. Au moins, elle admettait quand même qu’il était un bon ami. Même si ça avait l’air de lui arracher la bouche de le dire. On pouvait lui reprocher ce que l’on voulait mais pas ça.

Ses excuses, Maxwell ne voulait pas les entendre. A quoi bon de toute manière. Peu importe si elle était réellement sincère, ça ne changeait pas qu’elle l’ait surement fait exprès juste pour lui faire du mal encore une fois. Bah ouais, après l’avoir humilié, avoir joué avec lui, l’avoir embrassé, et s’être barré sans même lui laisser d’entendre la bouche, elle attendait quoi maintenant ? Qu’il soit sympa avec elle ? Qu’il comprenne totalement son geste et qu’il fasse comme si de rien n’était ? Désolé mais ce n’était pas aussi facile. Surtout que Max pouvait être sacrément têtu dans son genre, et en ce moment, ça n’allait pas en s’arrangeant … Il ne savait même pas pourquoi il l’avait suivi. A quoi ça servait d’avoir encore une conversation avec elle si c’était pour qu’elle lui en mette plein la gueule ? Maxwell n’avait pas réellement envie d’être là. Parce qu’elle l’avait vexé, et humilié, et qu’elle aurait mérité que de l’indifférence de sa part. Mais visiblement il n’était pas capable de jouer les indifférents avec la jeune fille. Putain, c’était bien digne d’un faible ça, comme si elle méritait pas d’être punie de sa présence après son coup bas. Alors maintenant qu’elle était là, autant lui dire qu’il ne comprenait pas pourquoi elle s’énervait. Bah ouais, c’était quand même elle qui était en tord là, on est d’accord … Ah les femmes, toujours capable de retourner la situation pour vous faire passer pour le grand méchant. INCROYABLE.

– Mais après ce que tu m’as fait, encore heureux que je suis énervé. Mais t’as rien dit, parce que c’est pas non plus dans ton intérêt de le raconter à qui que ce soit.

Bah oui pourquoi irait-elle crier sur tous les toits ce qui venait de se passer ? Déjà techniquement, elle avait trompé son mec en embrassant Maxwell dans la salle de classe vide, et puis qu’allait dire ses potes pro-sang-pur en sachant qu’elle était à moitié retombé dans les bras du poufsouffle. Ce n’était surement pas quelque chose dont elle avait envie de se vanter auprès d’eux. Elle avait déjà assez fait d’efforts pour redorer son blason auprès d’eux après l’avoir largué l’année dernière. Donc non, au fond il n’était même pas surpris qu’elle ait gardé le secret sur cette situation. Elle n’avait pas envie de se taper la honte. Bref, ce n’était pas le problème il s’en foutait. Parce qu’il s’en foutait qu’elle le garde pour elle, ou qu’elle le balance à ses potes. Elle lui reprochait de parler sur sa gueule quand elle avait le dos tourné, mais aussi dans un endroit bondé où tout le monde pouvait l’entendre. Bon, il est vrai qu’il n’avait pas réellement fait attention aux gens autour. Parce que Max n’était pas réellement du genre à se soucier de ce qui se passait autour de lui. La plupart du temps il se fichait bien de qui pouvait l’entendre ou non, parce qu’il n’avait pas honte de ce qu’il était et qu’il assumait ce qu’il pensait.

– J’vais gérer mes sentiments comme il me plaira. J’comprends que ça fasse jamais plaisir d’entendre des trucs sur soi, mais déjà j’en ai rien à foutre des autres. Je te demande pas de m’applaudir mais c’est ouf quand même … genre je devrais fermer ma gueule et rien dire t’sais.

Bon pour garder la façade on repassera. Mais il savait qu’il allait un peu loin dans ses paroles. Comme s’il voulait la blesser après ce qu’elle lui avait fait aussi. C’était petit et pas très classe, mais c’était un moyen de défense.

– Tu voulais parler ? Parlons. C’était quoi le délire de m’embrasser pour me foutre dans la gueule ta relation avec ton bouffondor juste après ?

Et les pieds dans le plat.

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Message(#) Sujet: Re: (carla) let me bitch about you in peace, pls. (carla) let me bitch about you in peace, pls.  EmptyMar 28 Avr - 15:28

Just leave me alone, please



- Mais je les comprends pas moi, tes sentiments ! Tu fais que jouer et quand on fait de même, ça ne convient pas. Puis d’un coup, tu fais comme si je t’avais promis la lune alors que toi, t’es pas fichu de me proposer d’être autre chose qu’un agréable passe-temps pour satisfaire tes envies. Tu m’as proposé qu’on fasse bien plus que s’embrasser dans cette salle, juste pour un défi ou un contrat bidon. Alors pourquoi diable un pauvre baiser te met dans cet état ? Des filles, tu en embrasses tout le temps, ça n’a rien de différent.

Au fond d’elle, elle savait que c’était parce que ce baiser était différent. Il ne l’avait pas embrassé comme une conquête éphémère, il l’avait embrassé comme si, à ce moment précis, elle était la seule personne capable de retenir son attention sur cette terre. C’était la faille de son mensonge. Ils avaient vécu le même moment et, bien qu’elle prétende fermement le contraire, cela n’avait pas été anodin. Elle regrettait sa souffrance, sincèrement. Mais lui n’avait jamais fait l’effort d’écouter la sienne. Il la blessait aussi avec ses mots tranchants comme des lames. L’erreur avait été de s’en mêler. Si elle était juste partie au lieu de le confronter, il n’aurait pas pu en dire plus. Elle ne l’aurait pas entendu.

Quand il la confronta de manière frontale, Carla se contenta de garder la bouche fermée, les lèvres tellement pincées qu’elles ne semblaient plus former qu’une mince ligne sur son visage. Elle n’avait rien à dire. Elle lui avait offert une explication qui ne lui convenait pas, c’était son droit. Mais son droit à elle était de ne pas avoir à se justifier. Ils n’étaient pas ensemble, elle ne lui devait rien du tout. Le silence s’éternisa quelques secondes, le temps de renforcer son malaise et peut être d’attiser encore la colère de Maxwell. Mais comme il ne tournait pas les talons, elle finit enfin par répondre d’un ton qui oscillait entre tristesse et colère.

- En admettant que je te doive des explications, à quoi bon ? Tu n’en veux pas. Tu as déjà ton opinion de moi. Tu penses que je suis une garce manipulatrice qui avait fomenté son petit plan diabolique pour te pourrir la vie. Et ça te va très bien comme ça, parce que ça veut dire que je suis une menteuse et que tu as toutes les raisons légitimes du monde de me détester. Quoi que je dise, tu ne retiendras et ne croiras que ce qui colle à cette image de moi.

Elle était fâchée qu’il pense ça d’elle et encore plus énervée par le tour que prenait cette conversation. Il ne voulait pas s’expliquer avec elle, ce qu’il prévoyait était de rendre coups pour coups. Chaque blessure d’ego qu’elle lui avait causée, il allait essayer de lui en provoquer une équivalente. Il y arrivait avec brio d’ailleurs. Elle lui demanda, cette fois avec une indifférence feinte

- Tu le pensais ce que tu disais n’est ce pas ? Que je suis la pire manipulatrice qui existe dans ce château ?

Pourtant, Poudlard regorgeait de personnalités plus dérangées les unes que les autres. Il n’y avait pas à chercher loin pour trouver des concurrentes sérieuses côté garces. Carla était même, sous les airs glaciaux qu’elle pouvait se donner, l’une des plus mesurées. Savoir qu’il avait une image aussi fausse d’elle lui donnait envie de hurler et de pleurer en même temps. A force d’être une enfant unique choyée et pourrie gâtée, elle ne savait que vivre à travers le regard des autres. Comme si ce que les autres pensaient d’elle étaient la vérité. Évidemment certains regards comptaient plus que d’autres. Celui de Max en faisait partie.

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Message(#) Sujet: Re: (carla) let me bitch about you in peace, pls. (carla) let me bitch about you in peace, pls.  EmptyMar 28 Avr - 21:30

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Maxwell ne comprenait pas. Il ne comprenait pas comment elle pouvait lui balancer tout ça par la gueule. Donc il n’avait pas le droit d’être énervé après ce qu’il s’était passé pendant leur dernière entrevue ? Mais encore heureux qu’il laissait échapper sa haine vu comment elle l’avait traité, non ? Le jeune homme n’avait clairement pas dans l’intention de s’excuser sur comment il gérait ce qu’il avait ressenti. Alors s’il voulait en vouloir à la terre entière, ou simplement lui refoutre tout sur le dos, il ferait comme bon le semble. Elle n’avait pas le droit de contrôler ses émotions, ou de décider quand est-ce qu’il avait le droit de s’énerver ou non … Elle n’était pas à sa place. Elle n’était pas celle qui s’était pris ses mots en pleine figure. Carla avait la place facile au fond, parce qu’elle avait bien décidé de l’embrasser, et elle avait encore décidé de complètement l’envoyer boulet, de lui dire que c’était terminé, qu’elle était passé complètement à autre chose puisque désormais Finn était le mec qu’elle voulait et dont elle avait besoin. Et puis au final, pourquoi s’était-elle arrêté en entendant Maxwell parlait sur elle ? Oui ce n’était jamais très plaisant de se faire critiquer à l’école, mais elle devait savoir que vu le caractère du poufsouffle il allait lui en vouloir. Et si elle n’avait vraiment plus envie de rien par rapport à lui, elle aurait dû totalement l’ignorer et passer son chemin. Du côté de Max, c’était un simple défouloir, il avait besoin de balancer des méchancetés histoire de sortir toute cette négativité de ces pensées, sans quoi il lui était dans l’impossibilité de se concentrer sur autre chose. Il avait ce penchant un peu obsessionnel qui n’était clairement pas un cadeau. Le poufsouffle la regardait l’air froid, les yeux plantés dans le sien, comme lui faire comprendre qu’il n’avait rien à se reprocher pour le coup, et donc qu’il ne détournerait pas le regard. Elle semblait toujours aussi énervée, comme si elle voulait simplement l’étrangler pour qu’il arrête enfin de se l’ouvrir.

Elle lui balança en pleine tête qu’elle ne comprenait pas ses sentiments. Qu’elle ne s’inquiète pas pour le coup, il n’était pas réellement sûr de les comprendre non plus au fond. Mais la liste de reproches était à nouveau ouverte, et Maxwell détestait quand elle faisait cela. Quand elle lui balançait des choses à la figure plus ou moins vielle comme pour lui rappeler que peu importe ce qu’elle faisait, elle n’arriverait jamais à faire pire ou à égaler, ce qui lui avait déjà fait contre elle. Elle confondait tout dans sa tête, ou du moins il n’était pas d’accord avec ce qu’elle était en train de raconter. Il y avait une différence entre jouer et ce qui s’était passé entre eux dans la salle. Du moins de son point de vue. Pourquoi ça le mettait dans tous ses états ? Peut-être parce que jamais il ne pensait qu’elle l’embrasserait réellement là-bas, parce qu’elle avait mis un point d’honneur à lui faire croire qu’elle en avait rien à foutre de lui. Alors quand elle l’avait embrassé, il n’avait pas pensé l’espace d’une seconde que ça puisse être un jeu, ou une sorte de manipulation de sa part. Et il avait baissé sa garde, l’espace d’une seconde, avant de se faire durement rappelé à la réalité. Mais il ne pouvait pas balancer ce qu’il ressentait, il ne pouvait pas réellement expliquer pourquoi ça lui avait fait du mal. Déjà parce qu’il avait du mal à parler et à comprendre ses sentiments comme toujours … et puis aussi parce qu’il s’était déjà fait humilié une fois dans la salle de classe vide, et il était hors de question de se refaire humilier une deuxième fois aujourd’hui.

– MAIS J’EN AI RIEN A FOUTRE DES AUTRES MEUFS. Putain mais c’est pas possible d’être comme ça. Bien sûr que c’est différent.

Coup d’éclat. Heureusement que la jeune femme avait eu la bonne idée de partir dans un coin tranquille pour se mettre à l’écart parce que Maxwell n’avait pas été capable de se contrôler. Comme s’il était arrivé à son maximum d’énervement intérieur et qu’il fallait que ça sorte. Il n’avait pas l’habitude de gueuler comme ça. D’un naturel plutôt calme, hausser le ton à ce point n’était pas dans ses habitudes, et Carla ne l’avait sans doute jamais vu comme cela auparavant non plus. Il le regretta presque aussitôt. Parce que ça ne servait à rien de se mettre dans un état comme celui-ci. Mais c’était trop pour lui. C’était tout simplement trop. Il s’en était pris plein la gueule ces dernières semaines, et à force de tout accumuler, il ne pouvait plus. Il ne pouvait pas faire des coups de sang comme ça. Mais elle semblait à chaque fois réussir à toucher la corde sensible, le bouton qui allait tout faire exploser.

Maxwell était tellement perdu dans sa propre colère, tellement enfermé dans toute cette rancune qu’il avait qu’il ne se rendait même plus compte à quel point ses paroles étaient blessante, à quel point il pouvait faire du mal simplement par la parole à la jeune femme. Il allait trop loin finalement. Encore plus lorsqu’il la confronta directement sur le baiser. Il voulait l’entendre de sa bouche. Il voulait qu’elle lui dise en pleine face qu’elle avait fait ça juste dans le but de le voir souffrir. Comme s’il avait besoin de se reprendre une deuxième gifle maintenant. Mais la jeune femme lui offrit un silence insupportable. Chose qui faisait monter le garçon en pression évidemment, comme si elle s’amusait à jouer avec ses nerfs. Finalement, elle ouvrit la bouche. Et là, encore une fois il ne la comprenait pas. Pour lui elle lui devait des explications du moment où elle avait posé ses lèvres sur les siennes. Mais pour elle, il avait déjà une opinion bien formée sur elle. Elle avait raison finalement dans le fond quand elle parlait qu’il avait besoin d’une raison pour la détester. Il avait besoin de la détester maintenant pour mieux se protéger. Il n’était peut-être pas capable de le voir pour le moment, mais elle avait mit le doigt sur la chose. Il planta son regard dans le sien, le visage impassible pendant quelques secondes.

– J’peux pas continuer comme ça, j’te jure.

Finit-il par lâcher. C’est tout ce qu’il peut dire pour le moment. Parce que cette conversation était bien pire que de rester énervé dans son coin. Et il ne pouvait pas continuer à se disputer comme ça avec elle. Il n’était pas sûr pourquoi. Il n’était pas sûr de savoir si c’était son coup de sang, le fait de perdre le contrôle ou autre, mais il était à bout.

Elle venait de lui demander s’il pensait ce qu’il avait dit, comme quoi elle était la pire manipulatrice dans ce château. Comme si son avis importait réellement maintenant. Il ne comprenait pas réellement pourquoi elle lui posait cette question. Après tout, ce n’était pas elle qui lui répétait qu’elle n’avait pas besoin de son avis, ou de son approbation … mais dans le fond, bien sûr qu’il y avait pire qu’elle dans ce château. Fallait quand même voir le nombre de tarée à l’école qui manipulait les gens à la perfection.

– Non, j’le pense pas.


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Message(#) Sujet: Re: (carla) let me bitch about you in peace, pls. (carla) let me bitch about you in peace, pls.  EmptyMar 28 Avr - 23:27

Just leave me alone, please



Carla avait vu que Maxwell était contrarié, il aurait fallu être aveugle pour ne pas le comprendre. Comme elle lui avait indiqué, elle n’était pas capable d’identifier pourquoi mais elle pouvait le voir. Ca l’intriguait autant que cela la rendait mal. Par contre, ce qu’elle n’avait pas prévu, c’est qu’il se mette à lui hurler tout d’un coup dessus, sans préavis. Il ne lui avait jamais crié dessus. Il était charmeur, taquin, indifférent, au maximum renfrogné, mais il n’élevait pas la voix. C’était elle qui perdait son self-control et qui commençait habituellement à hausser le ton. Lui se contentait de l’observer avec un calme qui achevait de la rendre furieuse, ou, s’il craignait un peu trop pour ses chances de survie, il prononçait une phrase ayant le mérite de la calmer. A son grand désespoir, il y parvenait généralement assez bien. Mais là, c’est lui qui était furieux et rien ne l’avait préparée à cela. Carla sursauta violemment quand il se mit à crier, le cœur s’emballant sous l’effet de la surprise. Elle le fixa, interdite. Elle ne savait pas si elle voulait comprendre ce qu’il voulait dire ou juste l’empêcher de s’énerver. Elle était incapable de réagir face à ce comportement qu’elle n’avait pas anticipé. Elle finit par bégayer

- D’être comment ? En quoi c’est différent ?

Elle avait envie et besoin de l’entendre de sa bouche. Si pour une fois ce n’était pas elle qui lâchait les armes sur ses sentiments, elle voulait qu’il verbalise le fond de sa pensée. Mais très vite l’instant de la confidence disparut au profit d’une résignation teintée de colère. Il ne pouvait pas continuer comme ça … Parce qu’il pensait qu’elle vivait ça avec plaisir ? Que cette situation l’amusait ? Elle croisa les bras, plus dans un geste de défense que de contrariété.

- Parce que tu crois que ça m’amuse ?! Tu crois que je tire le moindre plaisir de cette situation ?

Cet ascenseur émotionnel, ça l’épuisait. Elle était fatiguée, préoccupée, ne dormait pas assez … Toute sa vie tournait n’importe comment. Comme si cette conversation ne prenait pas un tour assez inattendu, cette fois, il indiqua qu’il ne pensait pas qu’elle était la pire manipulatrice du château. Elle se mordilla la lèvre, incrédule.

- Décidément je te suis pas Maxwell … Tu me hurles dessus, puis tu n’en peux plus de moi et tu termines par un truc gentil ? Je dois en retenir quoi ? C’est quoi la vérité dans ce bordel ?

Tout ce qu’il disait était contradictoire et ça commençait à lui donner le tournis. Et surtout, depuis qu’il avait admis qu’elle n’était pas la pire, elle recommençait à avoir un stupide espoir qu’il lui dise qu’il avait menti et qu’il n’en pensait pas un mot. C’était délirant, surtout qu’elle n’avait rien fait pour mériter ça. Elle pouvait comprendre que la blessure d’ego qu’elle lui avait infligé était violente. Mais une part d’elle-même se disait que s’il commençait ainsi, alors peut-être qu’il la considérait un peu mieux que ce qu’elle croyait. Cette idée lui mettait du baume au cœur. Et en même temps, c'était impossible. Pourquoi est-ce que trois mots échangés entre eux allaient suffire à apaiser la situation entre eux ?

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Message(#) Sujet: Re: (carla) let me bitch about you in peace, pls. (carla) let me bitch about you in peace, pls.  EmptyMer 29 Avr - 15:20

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Incompris. C’était le sentiment qui était ancré dans la tête du jeune homme. La relation existante entre Carla et Maxwell n’avait jamais été simple. Même dans le temps où ils étaient ensemble, à l’époque, elle ne l’était déjà pas. Mais ces derniers temps, elle semblait devenir plus compliquée que jamais : un mélange de disputes, de rapprochements, de révélations … Ce lien inexplicable qui devenait petit à petit trop étrange, trop alambiqué, surtout pour le poufsouffle qui aimait les choses simple, qui aimait la facilité … Mais, il était indéniable qu’il y avait quelque chose entre la serpentard et le poufsouffle. Comme si une force bien plus puissante qu’eux les rapprochait sans cesse, tout en prenant soin de les déchirer à chaque passage. Maxwell n’avait plus la moindre idée de comment gérer cette situation. Depuis cette entrevue dans cette salle de classe vide, il était perdu, confus, énervé … Il avait du mal à s’écouter lui-même, à comprendre ce qu’il ressentait, et à mettre des mots sur ces sentiments. Serait-ce une bonne solution de finalement mettre carte sur table et d’en parler une bonne fois pour toute ? Peut-être. En tout cas, ça ne lui ferait sans doute pas plus de mal que d’extérioriser un peu ce flot d’émotion. Mais le poufsouffle avait bien trop l’habitude de tout garder pour lui pour parler ouvertement de tout ce qu’il avait sur le cœur. Et c’était également cette habitude qui avait eu un rôle à jouer dans sa perte de contrôle. Il n’avait pas pu se retenir de crier pour laisser passer ces mots. Parce que le ras-le-bol ajouté au sentiment d’être incompris, c’était trop pour lui. Carla lui reprochait bien trop de chose, encore une fois son comportement avec les filles. Elle ne voulait pas comprendre qu’elle n’avait rien à voir, que s’il embrassait des tonnes de filles tout le temps, ce n’était pas le moins du monde comparable à ce qu’il s’était passé entre eux. Parce que ce n’était pas le cas. C’était complètement différent. Comme comparer les torchons et les serviettes. Cette pseudo-relation qu’ils entretenaient était loin d’être saine, il fallait voir dans quel état il se trouvait maintenant … Carla était sur les nerfs en permanence, elle avait la haine contre lui à chaque faux pas qu’il faisait, à chaque mot qu’il prononçait, ou au contraire qu’il ne prononçait pas. Toutes ces filles ne voulaient rien dire pour lui, elles n’étaient qu’un amusement, qu’un passe-temps. Et il ne comprenait pas le moins du monde comment elle pouvait se comparer à ça encore une fois. Il regrettait tout de même ce coup de sang, comme un aveu de faiblesse, comme s’il venait d’ouvrir une brèche de vulnérabilité dans laquelle elle allait s’enfoncer.

Elle était incroyablement surprise, peut-être choqué par cette réaction hors de mesure, elle qui avait trop l’habitude de voir un Maxwell calme jouant sur l’humour et le jeu pour se sortir de n’importe quelle situation. Il sentait son regard sur lui, tandis qu’il ne voulait pas croiser le sien. Il voulait simplement redescendre en pression, se calmer intérieurement pour éviter un second débordement. Il ne pouvait pas se laisser en roue libre comme ça, pas maintenant et pas devant la jeune femme, il en était hors de question. Mais bien sûr, cette réaction provoquait des questions chez la verte et argent, des questions dont elle cherchait maintenant les réponses.

– J’en peux plus de t’entendre me reprocher toutes les bouffonnes qui passent dans ma vie. Qu’est-ce que j’en ai à péter de ces meufs. Evidemment que c’est différent, c’est pas avec elles que j’ai partagé des trucs, c’est pas avec elles que j’ai eu une relation, et c’est pas pour l’importance qu’elles ont que ces meufs ont pu me…


*piétiner le coeur?*

Sa voix énervée, sa difficulté à parler calmement se faisait grandement ressentir. Il sentait qu’il avait de plus en plus de mal à se contrôler. Il commençait à penser qu’il n’aurait jamais du la suivre ici, qu’il aurait mieux fait de se barrer, de repartir avec Cab, et de ne pas s’engager une énième fois dans une discussion avec la jeune femme. Il ne pouvait même pas finir sa phrase, parce que la finir le montrerait sous un jour vulnérable, et c’était quelque chose dont il avait en horreur, quelque chose dont il avait peur. Ne pas avoir le contrôle de ses émotions … il n’en avait pas l’habitude, lui qui gardait souvent ces sentiments profonds ancré en lui. Il essayait de se calmer comme il le pouvait. Mais c’était dur, rien n’était fait pour arrêter de se prendre la tête dans cette situation. Il ne pouvait plus continuer comme ça, à se prendre la tête, à se bouffer sa bonne humeur, à se détruire à petit feu à cause de cette relation destructrice. Carla fut tout de suite sur la défensive, en lui rappelant que cette situation ne l’amusait pas. Il ne répondit rien. Parce qu’il savait qu’il pouvait encore repartir dans les tours s’il répondait à cette provocation. Alors non il ne pensait pas qu’elle était la fille la plus manipulatrice de l’école. Il y avait pire qu’elle, et à côté de certaines personnes, elle était un enfant de chœur. Mais ça enlevait pas le fait qu’elle savait manipuler les gens quand elle le désirait. Et Maxwell ne pouvait pas s’enlever de la tête qu’elle avait pris plaisir à le manipuler la dernière fois simplement par pur esprit de vengeance. Elle était perdue dans tout ce bordel, mais il l’était également, pris entre l’envie que tout s’arrête et son impossibilité de le faire.

– Que je suis complètement à bout. Que j’ai déjà du mal à supporter te voir te pavaner dans le château avec ton pseudo-mec, alors te servir d’outil pour que tu saches réellement si ton couple est solide ou pas, j’peux pas.

Il fit une pause. Sa voix était plus calme et mesuré, mais on ressentait tout de même cette détresse qu’il avait du mal à expliquer. Il ne faisait pas la comédie lorsqu’il essayait de lui faire comprendre qu’il était réellement à bout.

– Et je peux pas continuer avec cette colère. C’est pas moi, j’suis pas comme ça.

Il se coupa. Parce qu’au fond, techniquement, il savait ce qui serait bon pour lui, il savait que le seul moyen pour y arriver c’était de totalement mettre des distances avec la jeune femme, et stopper cette obsession malsaine qui le consumait à petit feu. Mais il ne pouvait pas l’admettre à voix haute.


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Just leave me alone, please



Bouche bée, Carla écouta sa tirade, presque déboussolée une partie des choses qu’elle réclamait depuis un an. C’était ça qu’elle voulait, qu’il lui dise qu’elle était la seule à qui il tenait. Qu’elle était différente des autres, unique. Elle avait tellement espéré les entendre ces mots là. Puis il s’arrête en plein milieu de sa phrase. Elle cligna des yeux, perdue. Il ne pouvait pas s’arrêter là. Pas si près. Pas alors qu’il allait enfin dire quelque chose de sincère.

- Qu’elles ont pu quoi ?

Elle reprit, sa voix se faisant exigeante.

- Dis le ! Je veux l’entendre

En le formulant ainsi, elle passait plus pour une enfant pourrie gâtée qu’autre chose. Pourtant, s’il était en état de saisir les nuances, il entendrait une forme d’espoir suppliant dans ses paroles. Tout le problème tournait autour des non dits. Ses yeux flamboyèrent quand il lui indiqua ne pas pouvoir supporter la voir s’afficher avec Finn et condamner son geste. C’était lui qui avait voulu jouer après tout et ça depuis le départ. Alors oui, elle s’était mal comportée dans cette salle, et, même s’il pensait le contraire, pas réellement sciemment. Mais il ne pouvait pas dire qu’il était à bout, comme ça, comme si elle était la seule à le pousser dans ses retranchements.

- Tu es un être très paradoxal. Tu as initié le jeu et tu me reproches d’y jouer ? Tu détestes la sensation d’être un pion sur un échiquier mais chacune de tes interactions est une forme de défi. Comment pouvais-je comprendre ? Comment pouvais-je savoir ?

Face à la pointe de détresse qu’elle entendait dans sa voix, Carla admit doucement

- Non, ce n’est pas toi du tout.

Elle ne l’avait jamais vu comme ça. Et maintenant qu’elle l’avait sous les yeux, une nouvelle vague de culpabilité la submergea. C’était elle qui provoquait tout ça. Elle aurait pu ne pas céder à sa pulsion dans cette salle vide. Elle aurait pu ne pas le confronter aujourd’hui. Il n’était pas blanc comme neige dans cette histoire, ils le savaient tous les deux, mais elle avait participé à lui faire ressentir ce qu’elle détestait le plus dans cette situation : la sensation de ne pas aimer la personne que l’on devenait. Elle le ressentait elle aussi, mais elle avait cru être la seule. Le fait qu’il lui dise ça créait chez elle une compassion qu’il ne soupçonnait pas. Celui qui avait dit que le temps guérissait les blessures était un menteur. Dans leur cas, chaque rendait la situation plus complexe. Chacune des blessures d’ego infligées étaient toujours là, comme au premier jour, et ils continuaient à en créer de nouvelles. C’était malsain, il fallait qu’ils arrêtent avant de pourrir les souvenirs agréables qu’ils leur restaient. Elle hésita un instant avant de lui offrir une partie de la vérité. Pas parce qu’elle avait envie, mais parce qu’elle lui devait.

- Max, je suis désolée. Je ne voulais pas te mettre dans cet état. Vraiment. Sincèrement.

Elle avait voulu se sortir de cette situation en maintenant sa supercherie. Maintenant le mal était fait et elle ne pouvait pas reprendre ses paroles. Mais elle pouvait s’excuser. Et mettre de la distance entre eux. Beaucoup.

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Message(#) Sujet: Re: (carla) let me bitch about you in peace, pls. (carla) let me bitch about you in peace, pls.  EmptyMer 29 Avr - 21:29

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C’était trop pour Max. Toutes ces histoires, ces prises de têtes … Et en soit peut-être qu’il ne se rendait pas compte que ce n’était qu’un petit goût de ce qu’il avait fait à la jeune femme ces derniers mois. Lui qui avait l’habitude de rire, de tout prendre du bon côté, de ne pas être sérieux … C’était trop de disputes, trop de manipulation dont lui-même était le dindon de l’histoire, et il ne pouvait pas le supporter. Il n’avait pas la patience, pas les épaules pour se relever à chaque fois et de faire fi de toutes ces histoires. Alors il avait eu un coup de sang, et c’était la preuve de plus … Jamais il ne s’était comporté comme ça, jamais il n’avait élevé la voix comme ça. Parce que Maxwell avait beau être un petit con la plupart du temps, ce n’était pas lui de perdre le contrôle et de s’énerver de la sorte. Ce qui le caractérisait si bien c’était sa bonne humeur, sa joie de vivre, le fait qu’il ne prenne rien au sérieux … Tout cela s’était dégradé au fil des semaines, depuis qu’il avait recommencé à fréquenter Carla de loin finalement. Et ce n’était plus possible. Ca lui faisait du mal au fond de l’avoir autour de lui, si proche et inaccessible en même temps. Qu’elle fréquente ce bouffondor de Finn avait déjà été un coup dur pour le garçon, mais son jeu de l’embrasser puis lui balancer par la gueule qu’il n’arrivait pas à la cheville de son pseudo-mec là, c’était trop. C’était humiliant, rabaissant, et évidemment que ça lui faisait du mal. Plus que ça n’aurait du aussi. Il s’était senti mis plus bas que terre après cette entrevue. Elle lui avait même coupé l’envie de venir au diner le soir, et pour que Maxwell loupe l’heure de la bouffe, il fallait qu’il soit sacrément remué. Mais bien sûr que ce baiser était différent. Si une des pouf qu’il fréquente habituellement avait galoche un autre gars en face de lui, il n’en aurait rien eu à foutre. Au contraire, elles faisaient leurs vies, ce n’était pas comme si il avait un quelconque attachement à elles. Mais là, c’était Carla, qu’on se le rappelle. Elle le poussait à parler. Et il ne comprenait pas réellement pourquoi, comme si elle ne savait pas qu’elle était différente des autres filles. Ce n’était pas bien compliqué quand même de le remarquer. Elle était la seule qui ait réellement une relation avec lui, la seule à qui il avait réellement donné de l’importance, et la seule derrière qui, il courrait. Mais il s’était arrêté en plein milieu d’une phrase, parce qu’il était trop dur de continuer. Il ne pouvait pas avouer tout ça à voix haute. Parce que ça rendrait les choses trop réelles. Mais aussi … après tout ce qu’il s’était passé, avec Finn dans l’équation, avec elle qui se sert de lui dans la salle de classe vide … pourquoi dire ça maintenant ? Pourquoi paraître vulnérable maintenant ? Mais Carla ne voulait pas le lâcher. Elle continuait de le questionner. Elle voulait entendre la fin de sa phrase, elle l’exigeait même.

– Me faire du mal comme tu m’en a fait.

C’était le mieux qu’il puisse lui donner. Parce qu’il ne pouvait pas lui dire qu’elle lui avait en quelque sorte brisé le cœur, car ça allait à l’encontre de tout ce qu’il refusait de s’admettre à lui-même. L’admettre ouvrirait une brèche dans tout ce flot de sentiment refoulé qu’il ne voulait/pouvait pas assumer. Parce qu’à peine perdu le contrôle, il lui avait finalement eu besoin de quelques secondes pour le reprendre. Il était encore énervé, cela va de soit, mais ce désespoir qui s’était fait ressentir lorsqu’il avait hurlé était désormais rangé à nouveau. Après tout, il n’avait pas le choix que de reprendre le contrôle face à Carla, il ne pouvait pas continuer à perdre pied de cette manière. Surtout que Carla n’aidait pas non plus, parce que c’était dur d’entendre ses paroles. C’était dur de la voir ne pas comprendre ce qu’il essayait d’exprimer. Il aurait voulu qu’il comprenne sans qu’il n’ait besoin de s’expliquer. Parce que devoir se défendre face à elle lui donnait l’impression de puiser dans le peu d’énergie qui lui restait.

– Non le jeu avec toi j’aime ça. Je te reproche pas d’être entré dans mon jeu, j’te reproche de l’avoir dépassé en sachant très bien c’que ça allait me faire.


Dit-il d’une voix froide. Car non ce n’était pas le jeu en tant que tel qu’il lui reprochait. Au contraire, ce jeu qui s’était installé entre eux dans la salle vide, il avait aimé ça, bien plus qu’il n’aurait du peut être … mais il avait aimé, il s’était senti comme dans un poisson dans l’eau à taquiner la jeune femme, à rire sans se prendre la tête. Mais elle était allée au dessus de tout ça, puisqu’au final elle l’avait embrassé en guise de test de son couple. Et c’était tout de suite très différent de ce que lui faisait. Mais le garçon se rendait compte qu’il ne pouvait plus continuer comme ça, parce qu’il était en train de se perdre dans ce jeu. Il était en train de détester ce que cette situation faisait de lui. Et il ne voulait pas l’être. Il ne voulait pas être cette personne anxiogène remplie de haine en permanence. Tout cela était tellement malsain en plus, comme si c’était une compétition pour voir l’autre souffrir … Et Max était déjà à bout, il avait du mal, comme s’il savait que cette compétition malsaine n’allait pas s’arrêter de sitôt. Elle s’excusa une nouvelle fois. Elle semblait sincère, il ne pouvait pas lui enlever ça, mais en soit le mal était fait.

– La prochaine fois tu sauras que vaut mieux me laisser cracher un peu sur ta gueule pour me défouler. Tu devrais essayer, ca fait du bien, y parait.

Dit-il finalement avec un faible sourire, preuve qu’il avait réussi à récupérer assez de contrôle sur lui-même pour enfouir tous ces maux derrière un peu d’humour …


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Message(#) Sujet: Re: (carla) let me bitch about you in peace, pls. (carla) let me bitch about you in peace, pls.  EmptyMer 29 Avr - 22:47

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Carla détourna le regard en entendant la fin de sa phrase. Ce n’est pas ce qu’elle avait espéré obtenir. « C’est pas pour l’importance qu’elles ont qu’elle ont pu me faire du mal comme tu m’en as fait ». C’était ça, la raison pour laquelle elle était différente des autres ? Parce qu’elle lui avait fait mal comme personne ? Elle ne remettait pas en cause que c’était sûrement la vérité. Juste que cela la blessait au-delà du raisonnable parce que ses mots brisaient une illusion. Jusqu’au dernier moment, elle avait cru qu’il allait dire que ce n’est pas pour l’importance qu’elles avaient qu’elles avaient pu le marquer ou lui plaire. Ou compter pour lui. C’était bien pour fait pour elle. Quelle idiote d’y avoir cru. A chaque fois, elle espérait et la chute n’en était que plus violente. Elle s’en voulait tellement d’avoir pensé un seul instant qu’il lui dirait quelque chose comme ça, en pleine dispute. Il ne lui avait jamais dit quand ils étaient ensemble, pourquoi aurait-il fait l’effort maintenant ? Il ne devait même pas se rendre compte de sa déception. Lui pensait ses mots anodins, alors qu’il venait de la blesser une nouvelle fois. De toute façon, il ne pouvait pas reprendre ce qu’il avait dit. Maintenant ses mots étaient suspendus entre eux, comme une distance infranchissable.

Comme à chaque fois qu’elle se sentait vulnérable, Carla tenta de mettre le plus de distance possible avec la situation qui la faisait souffrir. Elle se recomposa un visage froid, ce masque d’indifférence qu’elle arborait quand elle voulait se protéger.

- La réciproque est vraie. Personne ne m’a blessée autant que toi. Il faut croire que nous accordons bien.

A dire vrai, elle n’avait jamais laissé à personne la possibilité de le faire. Il était le seul avec qui elle avait laissé apparaître certaines facettes de sa personnalité. Il était le seul avec lequel elle faisait autant d’efforts, et surtout le seul pour qui elle continuait d’espérer. Et lui il ne le voyait pas, ne le comprenait pas. La seule chose qu’il souhaitait, c’était arrivé à lui démontrer qu’ils étaient aussi fautifs l’un que l’autre. Qu’est-ce qu’elle s’en fichait ! Il n’était même pas capable de comprendre que si elle avait été amoureuse de lui, elle en était toujours raide dingue et que cela expliquait chacune de ses actions, même la salle vide. Alors, puisque c’était ainsi, elle allait être exactement cette fille là, celle à qui on pouvait reprocher de le blesser. Elle haussa les épaules et admit d’une voix calme

- Tu as raison, je suis allée trop loin. Peu importe mes raisons, les conséquences sont là. Crois le ou non, j’en suis désolée.

Quelque part, sa réponse lui avait fourni un électrochoc suffisant pour qu’elle soit capable de reprendre le contrôle d’elle-même. S’il n’était pas fichu de lui dire ce qu’elle attendait, il fallait que tout ça cesse. Pour lui comme pour elle. Et s’il était trop à bout pour le faire, alors c’est elle qui cesserait ce jeu malsain.

- Tu as raison, la prochaine fois, je te laisserai te défouler. Je ferai en sorte que ça ne m’atteigne plus. Je ne l’avais pas compris tout à l’heure, mais maintenant je saisis mieux toute la situation. Il est temps que l’on se laisse de l’espace toi et moi. Ca te fera du bien.

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Message(#) Sujet: Re: (carla) let me bitch about you in peace, pls. (carla) let me bitch about you in peace, pls.  EmptyMer 29 Avr - 23:27

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Cette conversation n’en était que plus dure. Ca ne lui faisait certainement pas de bien. Parce que ça ne faisait que remonter des blessures auxquels il n’avait pas envie de penser. Elle lui avait fait du mal, comme personne avant elle, ni même après. Il y avait de l’incompréhension des deux côtés. Et Maxwell ne se rendait surement même pas compte que Carla n’avait pas la, moindre idée de ce qu’il avait pu ressentir pour elle. Evidemment, il avait eu des sentiments pour elle. Elle avait beaucoup compté, et elle continuait de compter pour lui. Parce que, ces quelques mois passés avec elle, avaient été extraordinaires de son côté. Il était épanouie, et heureux avec une fille comme elle. Elle avait été son rock, ce genre de fille qu’on rencontre pas à tous les coins de rue, celle qui l’avait bougé de son petit confort. Elle avait été ce genre de fille qui passe sur un chemin et qui bouleverse tout. Et elle avait une importance pour lui à cette époque qu’elle n’imaginait même pas. C’est pourquoi cette rupture l’avait totalement chamboulé. C’était arrivé soudainement, sans qu’il ne le voie venir, sans qu’il puisse même parler, en public, devant ses camarades. Elle lui avait piétiné le cœur, c’était le cas de le dire. Alors non le jeune homme n’avait pas été expressif en public. Il ne l’avait jamais été de toute façon. Mais il avait mit un bon moment à s’en remettre. Il avait ressentit une grande douleur, le genre qui donne mal au ventre, et qui donne envie de rester dans son lit toute la journée, qui ôte toute envie. Le plus dur, c’était de prétendre que tout allait bien à ce moment là. Faire genre, rire, s’amuser, garder la face alors qu’au fond il n’avait plus goût à rien. Elle ne le savait pas. Elle n’aurait pas pu le savoir après tout s’il ne l’avait jamais montré, s’il ne lui avait jamais expliqué comment et pourquoi il avait souffert de cette rupture. Mais il avait du mal à comprendre ça : qu’elle ne puisse pas déjà savoir qu’il l’avait réellement aimé. Qu’elle n’avait pas pu voir qu’il était réellement accroché à elle, et que ce n’était pas sans raisons qu’il y avait toujours ce lien inexplicable entre eux. Au final, Carla avait ce besoin d’entendre ce qu’il n’avait jamais dit. Et sans ses mots, elle ne saurait jamais réellement le fin fond de la pensée du garçon qui se tenait désormais en face d’elle. De l’orgueil mal placé, une difficulté à s’exprimer sur ses sentiments, et un bon nombre de non-dits participaient à cette ambiance malsaine qui régnait entre les deux adolescents.

Le fait qu’elle ne le comprenne pas le rendait fou aussi, comme si elle entendait simplement ce qu’elle voulait entendre dans ses paroles. Et elle répondait une nouvelle fois sur la défensive, en lui faisant comprendre qu’elle avait autant souffert. Mais ça, il ne le niait pas, il savait qu’elle avait souffert de cette relation, et de son comportement, mais ce n’était pas ça qu’il voulait dire. Ce n’était pas une compétition qu’il voulait avoir avec elle où ils comptaient les points sur qui avait fait quoi à l’autre. Elle était redevenue complètement froide, comme s’il avait dit quelque chose qui la dépassait complètement.

– Tu crois que c’est pourquoi qu’elles défilent ces meufs de toute façon. J’peux même pas imaginer la possibilité de m’attacher à quelqu’un d’autre comme s’qui s’est passé avec toi. Ca vaut pas le coup.

Non dans sa tête ça ne valait pas le coup, parce qu’au final ça faisait bien trop mal. Et aujourd’hui encore, ça lui prouvait. Aujourd’hui, comme cette dernière fois dans la salle vide, comme la fois d’avant aussi. Il lui avait donné son cœur plus d’un an plus tôt, et maintenant il ne faisait qu’en souffrir. Alors bien sûr, il y avait des bons moments aussi, comme ce jeu entre eux avant que tout se dégrade la dernière fois. Cette lueur d’espoir et de bonheur parmi tous les moments d’ombres. Mais il ne pouvait pas laisser une place à une autre fille. Alors ouais, il les prenait comme elle le disait si bien. Il couchait avec d’autres meufs, les prenait pour un soir ou deux, parce que c’était facile, sans prise de tête, et qu’il ne leur laisserait jamais l’occasion de le blesser de quelconque manière que ce soit. Comme il l’avait si bien dit c’était différent. Elle n’était pas les autres. Et les autres n’étaient pas elle. Car la porte était complètement fermée.

Elle reconnut tout de même qu’elle était allée trop loin et qu’elle était réellement désolée. Il pouvait décider de la croire ou non. Il n’en doutait pas tellement parce qu’au fond, il savait que Carla n’était pas une personne foncièrement mauvaise. Qu’elle ne cherchait pas à faire du mal aux gens juste pour le plaisir de les voir souffrir … mais il avait été tellement aveuglé par sa colère qu’il avait eu du mal à se rendre compte de ça. Il faut dire que ces dernières semaines avaient été très dur émotionnellement parlant. Il y avait eu beaucoup de choses, beaucoup de disputes, de reproches, de hurlements, et sans que ça paraisse, ça pesait beaucoup au bout d’un moment. Et malgré tout, Maxwell n’avait pas toujours les épaules pour supporter une telle pression. Carla était froide et distante, il le ressentait. Ca n’augurait rien de bon, pire peut-être que sa colère finalement. Il ne savait pas réellement comment le prendre. Mais elle devait être à bout elle aussi au final. Elle lui donna raison. Commençait-elle à comprendre ce qu’il avait pu ressentir ou voulait-elle juste marquer cette distante qu’elle avait créé ? De l’espace ? Oui il en avait besoin, oui ce serait mieux pour elle comme pour lui. C’était la seule solution, le seul moyen qu’ils puissent tous les deux avancer, qu’ils puissent tout les deux se remettre en quelque sorte. Mais en avait-il vraiment envie ? Non. Parce que l’idée de la savoir en dehors de sa vie était pire que de l’avoir et d’en souffrir en quelque sorte. Il devait être maso dans le fond, ce n’était pas possible autrement.

– C’était pas contre toi … Fin’ si mais. C’est bien si tu saisis toute la situation parce que moi j’comprends toujours pas tout.

Non quand il s’agissait de Carla il ne comprenait rien, que ce soit à leurs échanges, à leurs paroles, à leurs actions, comme si tout était toujours confus, que rien n’était jamais clair, comme s’ils avançaient de trois pas pour reculer de dix.

– Je crois qu’j’ai surtout besoin d’une cure de desintox pour le coup.


Il essayait peut être de faire un peu d’humour mais ça se sentait dans sa voix, dans son comportement qu’il était fatigué, comme si toute cette situation puisait tellement fort dans son énergie qu’il avait de plus en plus de mal.


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Message(#) Sujet: Re: (carla) let me bitch about you in peace, pls. (carla) let me bitch about you in peace, pls.  EmptyJeu 30 Avr - 0:10

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Encore mieux, non content de lui dire qu’elle le blessait comme personne, maintenant il lui expliquait que si les filles défilaient dans sa vie, c’était de sa faute. Mais oui, bien sûr, continuons de tout lui rejeter sur le dos. Elle n’avait pas encore assez mal, la preuve elle ne pleurait pas. Elle n’était pas à terre, alors pourquoi se serait-il privé d’en rajouter une couche ? Il n’y avait qu’elle qui avait le cœur qui se serrait quand il était malheureux. Lui, il lui déversait son ressentiment sans aucun filtre, aucune protection. Elle était si fatiguée de toujours chercher une issue qui les ménage tous les deux, qui ne leur fasse pas mal, alors qu’elle avait déjà le mal de lui et la crainte d’avoir mal à cause de lui.

- Tu me vois désolée d’apprendre que je t’ai traumatisée à ce point, Maxwell. Je faisais une mauvaise petite amie, et je suis tout aussi mauvaise dans le rôle de l’ex petite amie. Tu veux encore en rajouter un peu à la liste de mes méfaits ? Non, j’ai mieux. Est-ce que tu vas oser me dire que les regards baladeurs quand on était ensemble, c’était ma faute aussi ?

Elle croisa les bras dans un signe de défense, comme si elle voulait se protéger de ce qu’il allait rajouter ensuite. Quel hypocrite. Se plaindre qu’il était malheureux à cause de ce baiser dans la salle vide alors qu’il lui déballait des choses qu’elle vivait des horreurs. C’était officiel maintenant, elle détestait. Elle haïssait ses sourires charmeurs, ses mots tranchants comme des lames, son regard sur elle et surtout l’art qui l’avait de taper de juste. Comme s’il pouvait lire dans ses pensées alors qu’elle, elle pouvait bien le dévorer du regard, elle restait devant une porte blindée. Elle sentait que son masque d’indifférence se fissurait un peu plus à chacun de ses mots. Elle prit soin de fixer un point légèrement au dessus de lui, pour ne pas avoir à le regarder dans les yeux alors qu’elle était bien incapable de soutenir son regard.

- C’est pourtant simple. Tu es malheureux, je le suis aussi. Fin de l’histoire.

Pour ne pas arranger son cas, il commença à la comparer à de la drogue. Mais oui, continuons encore dans la métaphore négative ! Est-ce qu’il serait capable un jour de ne pas la considérer comme un poison ? Et en plus, il disait presque ça en plaisantant, tellement il prêtait peu attention à ce qu’il racontait. Elle abandonna définitivement sa froideur, pour le fixer, incrédule.

- Tu me compares à de la drogue maintenant ? A une obsession malsaine donc ?

La colère disparue commença à refaire surface, lentement, mais sûrement.

- Et après tu me dis que tu ne comprends pas pourquoi je ne suis pas capable de voir quelle place j'avais pour toi … Y a pas un pauvre mot de positif dans ta description et t’as même pas l’excuse de tout à l’heure de parler à Cab pour vider ton sac. Je vais pas te supplier pour un mot gentil. C’est fini, j’en ai assez de chercher quelque chose que je n’obtiendrai pas. Je ne dis pas que c’est de ta faute. Je veux quelque chose que tu ne peux pas me donner. Et c’est ma faute de ne pas l’avoir compris après le devoir de potions.

Elle lui avait dit qu’elle avait été amoureuse de lui et il n’avait même pas été capable de répondre. Même ça, il ne lui concéderait pas. Elle leva une main rageuse avant même qu’il n’ait ouvert la bouche.

- Quoi que tu envisages de dire, pèse chacun de tes foutus de mots.

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Message(#) Sujet: Re: (carla) let me bitch about you in peace, pls. (carla) let me bitch about you in peace, pls.  EmptyJeu 30 Avr - 0:49

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– Mais tu mélanges tout Carla. J’ai jamais dit de ma vie que tu faisais une mauvaise petite amie. Tu prends tout mal, c’est ouf. Tu viens de toucher encore le fond du problème. Mais laisse tomber, ça sert à rien t’façon.

Il était agacé pour le coup et ne pouvait pas le cacher. Parce que ce sentiment d’être incompris ne le quittait pas face à la jeune femme. Elle ne le comprenait pas, elle ne comprenait pas ce qu’il voulait dire, lui mettait des mots dans la bouche, reformuler à sa sauce ce qu’elle voulait bien entendre. Donc tout de suite la communication devenait très compliquée. Jamais il n’avait dit qu’elle avait été une mauvaise petite amie, car c’était totalement faux de toute façon. Ce n’était pas du tout ce qu’il pensait, bien au contraire. Elle avait été l’une des meilleures choses qui lui soit arrivé l’année dernière. Elle avait été ce dont lui avait besoin. Quelqu’un avec un caractère assez fort pour lui tenir tête, avec assez d’énergie pour le suivre, quelqu’un avec un immense cœur qui était là pour lui. Ils s’entendaient bien à l’époque. Et ils avaient cette complicité inégalable que Max adorait. Il savait qu’il pouvait toujours rire avec elle, il savait qu’elle le suivait dans ses idioties, qu’elle le taquinait autant que lui l’embêtait. Et cette relation était tout simplement ce qu’il avait besoin à ce moment là. Il en avait apprécié tous les moments. Alors elle ne pouvait pas dire ça, elle ne pouvait pas lui mettre des mots totalement faux dans sa bouche. Après oui elle l’avait blessé. Et non il n’avait pas envie de se remettre à qui que ce soit. Il préférait la facilité. Bien sûr, cela s’expliquait par le fait qu’il ne veuille pas souffrir à nouveau mais aussi parce qu’il ne pouvait pas avancer tant qu’il continuait d’avoir un pas dans le passé avec Carla. Et il n’était clairement pas prêt à quitter ce fameux passé. Mais la demoiselle était hors d’elle, il le sentait. A chaque mot qu’il prononçait, visiblement elle prenait la pire signification et décidait que c’était ce qu’il avait voulu dire. Maxwell commençait à en avoir bien marre. Maintenant voilà qu’elle remettait sur la table l’une des raisons pour laquelle elle l’avait quitté. Un rappel douloureux qu’elle ne lui avait jamais fait confiance au final, parce qu’elle avait surement sans cesse peur de ne pas lui suffire ou que ces ‘regards baladeurs’ comme elle disait si bien soit tout sauf innocent. En soit, il savait qu’il avait été maladroit plus d’une fois à l’époque, mais il ne voyait que par elle. Et ça visiblement, elle n’avait pas su le voir.

Carla s’énervait à vue d’œil. Cette conversation la tendait de plus en plus, Maxwell s’en rendait bien compte, il avait simplement à observer son langage corporel pour le coup. Elle était froide, les bras croisés, elle ne le regardait même pas, comme s’il était en train de la dégouté à chaque parole qu’il prononçait. Il ne comprenait pas. Alors qu’il pensait atteindre un certain niveau d’apaisement, il s’était risqué à une petite blague. Quelle erreur il n’eut pas fait. La jeune femme était à nouveau dans tous ses états, froide comme une porte de prison alors qu’elle semblait lui reprocher la comparaison avec la drogue. Encore une fois, elle prenait tout mal. Parce qu’en soit, il ne voulait pas être méchant en disant ça.

– Non, dans le sens où c’est dur d’arrêter. Pourquoi tu fais ça ? T’as besoin de prendre toutes mes paroles de la pire manière pour être sûr d’avoir une bonne raison de me détester ou quoi ?


Demanda-t-il. C’était une réelle question, parce qu’il ne comprenait pas ce qu’elle était en train de faire ou de chercher à sauter à sa gorge à la moindre phrase qu’il prononçait. Les disputes n’avaient jamais été son fort, et il aurait simplement préféré retrouver une sorte d’apaisement dans cette conversation. Mais il sentait bien que la colère de la jeune femme ne diminuait pas, bien au contraire. L’instant d’avant elle s’excusait et maintenant, elle prenait mal chacune de ses paroles, et lui renvoyait en pleine figure. Mais que voulait-elle ? Et elle lui balança finalement ce qu’elle lui reprochait : le fait qu’il n’y ait apparemment un mot positif dans ses paroles. Maxwell prit tout ça en pleine figure comme une surprise. Parce que non, il n’avait pas deviné que c’était ce qu’elle ressentait par rapport à ses paroles. C’était en train de l’énerver aussi d’ailleurs. C’était de la grosse frustration qu’il ressentait, comme s’il parlait à quelqu’un qui ne comprenait absolument pas la langue dans laquelle il essayait de s’exprimer. Et finalement c’était un peu ça … Il passa ses mains sur son visage. Pèse bien tes mots en plus qu’elle lui disait. Cette fille allait vraiment finir par lui faire péter un câble c’était pas possible.

– Putain mais qu’est-ce que t’attends de moi alors ? Tu veux savoir quoi ? Que t’es la seule fille qui a compté dans ma vie, celle que j’estimais la haut, celle que je voulais tellement ? Tu veux que je te dise que t’as toujours eu LA place dans ma vie, et qu’j’ai fait le con. Mais putain, tu sais tout ça. Ca change quoi de toute façon ?

Il était à bout et encore une fois il avait du mal à se contrôler. Son ton était trop fort, son calme l’avait à nouveau quitté …

– Tu sais ce que je pense de toi. Mais là ouais, là maintenant, tu me rends complètement tarée.

Dans sa tête, Maxwell pensait réellement qu’elle savait son opinion à son sujet, qu’elle savait qu’il l’avait toujours trouvé extraordinaire. Il n’avait clairement pas suivi son conseil de peser ses mots … Parce que c’était dur de se contrôlé quand t’étais complètement poussé à bout, que la frustration et la colère prenaient le dessus …


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Message(#) Sujet: Re: (carla) let me bitch about you in peace, pls. (carla) let me bitch about you in peace, pls.  EmptyJeu 30 Avr - 1:50

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Carla haussa les épaules, une moue butée sur le visage. Elle s’en fichait de prendre tout mal comme il le disait, elle en avait juste marre de tout ça. Il ne comprenait pas ce qu’elle ressentait, ce poids sur sa poitrine, la sensation qu’on lui compressait les poumons, comme si elle allait s’étouffer avec tout ce qu’elle ressentait et qu’elle ne savait même plus identifier. Elle avait de la rancœur envers lui, tellement. Pourtant ce n’était pas sa faute s’il ne la comprenait pas, elle-même n’en était pas totalement sûre. Mais avec toute la mauvaise foi dont elle était capable, elle considérait qu’elle en avait déjà tellement dit que c’était à lui de s’adapter et non l’inverse. Et évidemment, il dit immédiatement que ça ne servait à rien. Comme d’habitude, il lâchait l’affaire et la laissait filer entre ses doigts. Cela devenait tellement une habitude qu’elle se demandait encore pourquoi est ce qu’elle essayait. Elle aurait tellement aimé entretenir une relation plus simple avec lui. Une relation où il serait capable de se confier et où elle arrêterait de chercher à exister à travers son regard. Cela devait exister, une forme d’amour simple. Mais eux, ils avaient tiré la relation qui fait mal, celui qui torture où on aime tout en détestant.

Si elle avait été capable de prendre de la hauteur, elle se serait rendue compte que non seulement ce n’était pas une fatalité, mais qu’elle aggravait son cas avec sa supercherie de grande ampleur. Mais quelque part, elle restait une adolescente dans toute sa splendeur, arrogante en apparence et totalement perdue intérieurement. Cette incapacité à gérer une relation venait certainement de son éducation. Elle avait toujours grandi de façon assez solitaire, avec pour modèle de couple ses parents qui oscillait entre le glacial et le froid polaire. Alors elle ne se rendait pas compte qu’elle était trop tout, trop emportée, trop anxieuse, trop exigeante même. Elle marmonna

- C’est ça laisse tomber. Comme d’hab’.

Elle le fusilla du regard quand il demanda si elle cherchait une raison de le détester sans rien dire. Elle n’en avait pas besoin, elle en avait déjà mille. Le problème, c’est que peu importe la raison, elle ne le détestait qu’un temps. Après elle oubliait ses défauts pour voir son côté attachant. Après son avertissement, elle avait presque esquissé un geste pour tourner les talons quand Maxwell déversa brusquement tout ce qu’elle lui réclamait depuis le début. Son cœur s’emballa tandis qu’une sincère surprise s’affichait sur ses traits. D’accord, tout était formulé sous forme de questions, mais chaque moi qu’elle voulait entendre y était. Tous, sans exception. Elle resta figée une seconde, à le dévisager pour savoir si c’était ou non une forme de plaisanterie cruelle, avant que ses yeux ne s’embuent face à un trop plein d’émotions qu’elle ne savait pas gérer.

- Oui, je voulais le savoir.

Elle essuya une larme qui avait roulé sur sa joue et cligna des yeux pour tenter d’endiguer cette émotivité parasite. Il n’avait pas tort sur un point, qu’est ce que ça changeait aujourd’hui ? Est-ce que la déclaration sous entendait qu’il restait quelque chose à ce jour ? Pas réellement. Mais ça lui faisait l’effet d’un baume. Comme si elle avait eu besoin de ça pour effacer les blessures de la rupture.

- C’était important pour moi.
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Message(#) Sujet: Re: (carla) let me bitch about you in peace, pls. (carla) let me bitch about you in peace, pls.  EmptyJeu 30 Avr - 16:13

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Comme d’habitude la communication était très difficile entre les deux exs, comme s’ils n’arrivaient ni à s’écouter, ni à se comprendre. Maxwell ne comprenait pas ce qu’elle attendait de lui, ni même pourquoi elle était toujours à cran quand il était dans les parages. Certes, il avait parlé sur elle dans des termes peu élogieux, mais elle l’avait quand même cherché vu comment elle avait achevé leur tête-à-tête de la dernière fois. Elle l’avait quand même humilié en croyant qu’il n’y avait rien de mieux que de dire que son pseudo-mec embrassait mieux que lui. Evidemment que ça avait fortement touché son égo. Surtout lui … à quoi pouvait-elle s’attendre en disant ce genre de trucs. Quand bien même c’état vrai, Maxwell s’en foutait, il aurait préféré ne rien savoir. Parce qu’il y avait quand même rien de pire que de se faire comparer à un autre mec. Son mec actuel en plus … Maxwell n’avait réellement pas apprécié, pire que ça, ça l’avait mis dans tous ses états, oscillant depuis entre tristesse et colère. Ses sentiments avaient toujours été flous et compliquées lorsqu’il s’agissait de Carla. Pourtant quand il s’agissait d’autres meufs, tout était simple, il savait ce qu’il ressentait, il savait ce qu’il voulait, ce qu’il ne voulait pas … Mais pour Carla, il avait toujours été perdu. Et ces dernières semaines n’avaient clairement rien arrangé dans sa petite tête. Entre les disputes, les rapprochements, les rires, les larmes, les embrassades et les gifles … Ca faisait quand même beaucoup en si peu de temps.

Maxwell était tout simplement fatigué de toute cette situation, et le fait que Carla ne comprenne absolument pas ce qu’il voulait dire et qu’elle prenne tout mal ne l’aidait clairement pas. C’était pour ça qu’il lui avait balancé de laisser tomber. A quoi bon gaspiller de la salive et de l’énergie lorsque la personne en face n’arrivait pas du tout à comprendre. Bien sûr, il n’essayait pas non plus réellement de se mettre à sa place. Comment aurait-il pu ? Les filles avaient tendance à être vraiment très compliqué, ajouté au fait qu’elles analysaient le moindre mot qu’ils prononçaient … parfois il n’y avait pas besoin d’aller aussi loin. Parfois, ce qui était dit était exactement ce qui devait être comprendre. Mais ce n’était pas parce que les deux adolescents se disputaient que Maxwell pensait réellement toutes les horreurs qui pouvaient sortir de sa bouche. Elle n’était pas la pire de cette école, loin de là. Il ne la détestait pas … Il ne pensait pas qu’elle était une garce manipulatrice. Elle lui fit perdre une nouvelle fois les pédales à lui reprocher des choses qu’il n’avait pas dites. Alors il explosa une nouvelle fois en balançant des choses qu’il pensait à l’époque où ils étaient ensembles. Comme quoi elle n’était pas n’importe qui. C’était ça qu’elle attendait de lui ? A quoi bon ? Ca changeait quoi maintenant de toute façon ? Il ne comprenait pas réellement sa réaction. Bien sûr que ses larmes la touchaient. Maxwell avait toujours eu une petite faiblesse en la voyant pleurer, mais il ne comprenait pas pourquoi elle était dans cet état, pourquoi elle disait tout ça.

– Mais pourquoi ? J’comprends pas. Tu savais tout ça après tout … c’est pas comme si ça aurait changé le moindre truc, t’aurais quand même fini par me tej parce que tu me supportait pas.


Dans sa tête, Maxwell pensait réellement que Carla savait toutes ces choses, qu’il savait à quel point il était attaché à elle. Mais il ne se rendait pas compte qu’il ne s’était jamais réellement exprimé sur ses sentiments à l’époque et que Carla restait une jeune fille qui ne pouvait pas deviner s’il n’ouvrait jamais la bouche pour se confier sur ses sentiments. Elle lui disait que c’était important pour elle. Peut-être qu’il ne comprenait pas réellement ce qu’elle ressentait, parce que lui n’avait jamais douté qu’elle l’aimait, du moins quand ils étaient ensembles. Il avait confiance en elle, et il avait confiance en lui aussi, confiance en cette relation qu’il avait voulu approfondir. Franchement il était paumé, et encore une fois, tout semblait être un problème de communication entre eux. Comme s’ils n’avaient jamais été capables de totalement mettre carte sur table. Est-ce que ça aurait changé quelque chose à l’époque où même maintenant ? Malheureusement ni l’un ni l’autre ne le saurait un jour, on ne pouvait pas changer le passé. Maxwell avait encore de la colère en lui, mais les larmes de la jeune femme le ramollissaient un peu. C’était dur de continuer à s’énerver quand une fille était en larme devant soi.

– Pleure pas Carlouche, comment j’peux rester énervé si t’es triste maintenant. Ca me fait de la peine de te voir dans cet état.

Dit finalement le jeune homme légèrement gêné avec une voix beaucoup moins froide ou agressive.



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Message(#) Sujet: Re: (carla) let me bitch about you in peace, pls. (carla) let me bitch about you in peace, pls.  EmptyJeu 30 Avr - 17:24

Just leave me alone, please


Carla se contenta de pencher la tête et de lâcher, quand il lui dit qu’elle savait.

- Quand tout n’est présenté que comme jeu, comment je peux savoir ce qui dépasse le cadre de la partie ?

Comment pouvait-elle deviner ce qu’il ne disait pas ? Voir une histoire sérieuse dans ses numéros de drague ? En vrai, elle n’était pas totalement honnête. Au début, elle avait considéré qu’il l’aimait, puisqu’elle était devenue sa petite amie. Elle avait paradé dans le château. Les critiques de ses amis sang pur lui glissaient dessus comme de l’eau sur les plumes d’un hippogriffe. Elle s’était comportée comme elle savait si bien le faire, comme si elle était la reine du monde. Elle avait baissé les défenses, puis elle s’était rendu compte de ses regards baladeurs, ses sourires charmeurs … Elle n’arrivait plus à ignorer les rumeurs et le moindre mot l’éraflait. Blessée dans son ego, elle l’avait largué, parce qu’elle doutait de ce qu’elle représentait. Et ça avait ébranlé sa confiance en elle, au point qu’elle n’avait plus été capable de faire la différence entre ce qui relevait ou non du jeu. Ca avait été la première fois que quelqu’un l’avait rejetée en quelque sorte, donc elle n’avait pas su réagir. Si elle savait adopter l’attitude que l’on attendait d’elle selon les situations, cela ne signifiait pas qu’elle était douée dans les interactions sociales et pour le comprendre. Juste qu’elle était bonne actrice. Alors oui, s’il l’avait dit, ça aurait changé des choses. Ca ne l’aurait pas rendue moins jalouse ou possessive, mais elle lui aurait laissé le temps de s’expliquer. Elle n’aurait peut-être pas pris tous ses mauvais coups depuis leur rupture comme une volonté de continuer un jeu pervers, mais comme une façon de maintenir un lien. Oui, évidemment que cela aurait changé des choses. Ne serait-ce qu’en terme de communication.

- Je ne sais pas ce que ça aurait changé, mais oui, j’aurais aimé que tu le dises avant.

Elle faillit protester quand il lui dit qu’elle l’aurait jeté malgré tout. Elle savait pertinemment que ce n’était pas le cas. Mais est-ce que cela servait encore de le lui avouer aujourd’hui ? Est-ce que le poids des regrets qu’elle ressentait déjà valait le coup d’être partagé ? Elle opta pour une demi réponse, le temps de trouver un mouchoir dans son sac

- C’est ton point de vue. Pas le mien.

Carla n’aimait pas pleurer devant lui. Elle passait pour une gamine chouineuse et trop émotive. A force de lui laisser voir ses faiblesses, elle devenait totalement vulnérable. Elle n’aimait pas non plus qu’il ait de la peine pour elle. Elle était trop fière pour ça. Trop fière pour lui dire combien elle en avait crevé avant de ne pas avoir entendu ces mots avant, trop fière pour admettre que si ce qu’il disait était vrai, alors il avait peut-être raison, elle était la pire garce de l’école. Trop fière pour lui dire que s’ils étaient aussi malheureux séparément, alors ils seraient sûrement heureux ensemble. C’était trop tard pour tout ça. Essuyant rapidement ses yeux, elle secoua la tête et déclara avec une arrogance teintée de mauvaise foi.

- Je ne pleure pas. Pourquoi je pleurerais ?

Son mensonge était tellement énorme qu’il en était presque comique. Ou pathétique. Mais maintenant qu’elle l’avait commencé, autant l’assumer jusqu’au bout et se couvrir de ridicule. Elle n’était plus à ça près.

- Je suis sortie prendre l’air. Je supporte mal les pollens.

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Message(#) Sujet: Re: (carla) let me bitch about you in peace, pls. (carla) let me bitch about you in peace, pls.  EmptyJeu 30 Avr - 20:13

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Le jeune homme n’avait clairement pas conscience de ce que la demoiselle pensait de lui. Et jusqu’à maintenant il ne s’était jamais posé la question du doute qu’elle pouvait avoir sur ses sentiments à son égard. Certes, il n’était pas très démonstratif, et ne l’avait jamais été, mais il était impossible pour lui de penser qu’elle avait pu croire tout ce temps que tout n’était que jeu pour lui. Comment pouvait-elle penser cela une seconde. Il était tout de même sorti avec elle, ce qui pour lui était en soi une grande preuve. Ce n’était pas comme si le garçon s’amusait à sortir réellement avec toutes les pimbêches de l’école. En cela, Carla était différente. Elle était la seule fille du château à l’avoir intéressé assez pour qu’il veuille réellement une relation plutôt que d’un flirt sans lendemain qui ne dure que l’histoire de quelques heures. Il avait partagé des mois avec elle, ça signifiait quand même quelque chose. Du moins pour lui … dans sa tête tout était très clair. Mais visiblement ça ne l’était pas tant que ça dans celle de la demoiselle. Elle semblait lui reprocher de jouer tellement souvent qu’il était impossible de savoir quand ce n’était pas un jeu. Il pouvait comprendre ce point de vue en quelque sorte. Il était vrai qu’il était joueur et qu’il aimait ça, mais elle ne pouvait résumer leur relation à un simple jeu. C’était bien plus que ça, et il n’arrivait pas à comprendre que ça ne soit pas clair dans sa tête. Mais après tout n’était-ce pas finalement la raison de leur rupture, qu’elle lui reproche finalement ses jeux, ses regards, son comportement trop désinvolte. Est-ce que s’il avait dit quelque chose à l’époque, ça aurait changé quelque chose ? Il ne savait pas, parce qu’au final il ne comprenait pas non plus pourquoi elle l’avait largué comme ça du jour au lendemain sans lui laisser le temps de s’expliquer, comme si sa décision était prise et qu’elle ne reviendrait aucunement dessus, peu importe ses dires.

– Ma relation avec toi a jamais été un jeu.

Au moins si elle ne le savait pas avant, maintenant c’était clair. Après, elle pouvait toujours décider de ne pas le croire. Parce qu’il ne l’avait pas dit avant, parce qu’elle ne retrouvait pas cela dans les actes qu’elle attendait de lui. Mais c’était la vérité … Sa vérité. La communication leur avait toujours fait défaut, et il est toujours très dur d’avoir une relation saine sans communication. Tous ses non-dits, toutes ces choses que le jeune homme avait gardé pour lui après leur rupture, et maintenant encore n’avait pas aidé. Il savait que cette communication était en partie sa faute, à cause du mal qu’il avait à s’ouvrir, surement pas peur de souffrir. Et ces dernières semaines ne lui donnaient que trop raison. A quoi bon parler, et tout balancer, quand finalement il se prenait coup après coup. Elle lui disait elle-même d’ailleurs qu’elle ne savait pas si ça aurait changé quelque chose, probablement pas. Mais elle aurait voulu entendre ces mots avant.

– Alors pourquoi tu m’as pas demandé ?

Franchement il aurait menti s’il disait qu’il se souvenait ou pas d’avoir entendu la jeune femme poser ces questions. Peut-être qu’elle l’avait fait après tout, mais qu’il n’avait pas réellement payé attention, ou qu’il avait répondu une énième fois sur la rigolade comme il aimait si bien le faire. Il ne se souvenait pas. Mais si elle ne l’avait pas fait … peut-être qu’il avait juste besoin d’être poussé. Ce genre de truc ne venait clairement pas naturellement chez le garçon. Ce qui était étrange en soit, parce qu’il avait été élevé par une mère très démonstrative, avec un exemple de couple qui marche. Il ne savait pas réellement pourquoi et comment expliquer ce qui l’effrayait autant dans les relations amoureuses, et le fait de devoir s’ouvrir à quelqu’un complètement. C’était peut-être un blocage. Mais Carla avait était la seule fille importante à ses yeux dans cette foutue école, et son blocage n’enlevait rien au fait qu’il l’ait sincèrement aimé. Il avait la mauvaise façon de le montrer, probablement, mais les sentiments avait toujours été là.

La demoiselle avait clairement été touchée par ses paroles. Deux coups de sang en une conversation alors qu’il avait l’habitude d’être calme et posé, ça avait du quand même la secouer. Et il ne pouvait maintenant pas ignorer les larmes qui se formaient dans ses yeux. Ca lui faisait de la peine évidemment, parce qu’il n’aimait pas la voir dans cet état, encore moins quand il était celui responsable de ses larmes. Mais la jeune femme ne voulait visiblement pas assumer sa tristesse, puisqu’elle trouva un mensonge tout pourrie pour expliquer les gouttelettes d’eau qui perlaient sur ses joues. Le poufsouffle fronça les sourcils. Ses explications n’avaient ni queue ni tête pour le coup, elle n’était clairement pas doué pour les mensonges.

– Evidemment princesse. Il y a pas mal de pollen en cette saison en plus. Elles sont reloues toutes ces plantes à se reproduire là franchement. Ca va faire couler ton maquillage en plus … Foutue plantes pourries hein.

Dit-il finalement assez amusé par son mensonge. Elle voulait garder la face, et il ne comprenait que trop bien ce besoin de garder le contrôle sur soi-même.


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Message(#) Sujet: Re: (carla) let me bitch about you in peace, pls. (carla) let me bitch about you in peace, pls.  EmptyVen 1 Mai - 2:23

Just leave me alone, please


Carla le sonda du regard, cherchant à jauger sa sincérité. Maxwell avait l’avantage d’avoir un visage relativement expressif et il ne tentait que rarement de cacher ses émotions. C’était un avantage, lors d’une discussion, étant donné qu’elle le connaissait bien, elle arrivait à décrypter certaines de ses émotions. Elle avait vu la colère dans ses yeux tout à l’heure, ses traits tirés. Là, il subsistait encore de la colère dans ses traits tirés, mais ce n’était pas exactement comme tout à l’heure. Il y avait une forme d’indignation, comme s’il ne comprenait pas qu’elle ait pu ne pas savoir. Une once de tristesse aussi. Il n’appréciait pas les aveux qu’elle lui avait extorqués. Mais pas de mensonge. Il ne mentait pas quand il disait que leur relation n’avait pas été un jeu. Carla se mordilla la lèvre, perdue. Ses mots lui faisaient l’effet dans un pansement, et en même temps, ils tombaient particulièrement mal. Maintenant qu’elle avait lancé une supercherie de grande ampleur, qu’elle avait ruiné ses chances qu’il lui pardonne, toutes ses jolies paroles avaient un goût amer. Celui d’une situation qui lui paraissait inextricable.

- Je te crois.

Elle haussa les épaules. Pourquoi ne pas lui avoir demandé avant, frontalement ? Par fierté mal placée, par peur, par lâcheté même. Il y avait mille raisons.

- A quoi bon poser la question si tu n’es pas certain de supporter la réponse ? Puis j’ai essayé parfois. Mais tu n’as pas compris.

Comme quand elle lui avait dit qu’elle avait été amoureuse de lui et qu’il n’avait rien répondu. Quand elle lui avait dit qu’elle ne partageait pas. En réalité, elle y avait fait allusions tellement souvent qu’elle avait l’impression d’avoir passé son temps à lui crier qu’elle avait envie d’entendre ça. Mais il fallait admettre Elle ajouta, plus doucement.

- Tu ne m’as pas retenue non plus.

S’il avait tenté de la retenir une fois comme il le faisait aujourd’hui, elle aurait sûrement compris quelque chose. Chaque fois qu’elle lui avait laissé l’occasion de la retenir, elle avait pris ça pour un aveu supplémentaire qu’elle ne comptait pas. Les gens choisissent leurs batailles, on ne lutte jamais que pour quelque chose qui a de la valeur à nos yeux. Il n’avait jamais tenté de l’empêcher de partir. Il avait fallu une énième dispute pour qu’il lâche l’information.

Elle avait l’impression d’avoir perdu toute son énergie dans cette conversation. Pourtant, elle s’était certes un peu énervée, mais rien de bien terrible. Et là, elle se sentait épuisée par le surplus d’émotions. La preuve, elle n’avait même pas été capable de se retenir de pleurer. D’ailleurs, elle ne savait même pas pourquoi. Une forme de soulagement, de fatigue ou des regrets ? Est-ce que ça aussi ce n’était pas une preuve que toute cette histoire commençait à aller trop loin ? Quoi qu’il en soit, Maxwell eut la gentillesse de faire semblant de ne pas voir qu’elle pleurait. Oh, il le fit avec un sourire tellement amusé qu’elle était parfaitement consciente qu’il se moquait d’elle, mais tant que l’honneur était sauf …

- Exactement. Foutues plantes. Ca m’apprendra à aller traîner à l’extérieur au lieu de bosser.

Elle respira un grand coup, le temps de retrouver une contenance et lui dit plus doucement,

- Ce qu’on a dit tout à l’heure, c’est vrai quand même. Je pense qu’il faut qu’on mette un peu de distance entre nous. Sinon on va continuer à se blesser.

Et elle avait encore moins envie de le blesser maintenant qu’elle avait entendu tout ça. Elle était allée trop loin pour tout arrêter mais maintenant, elle ne voulait surtout pas qu’il découvre ce qu’elle avait fait. La meilleure solution était donc de mettre suffisamment de distance entre eux pour qu’il n’apprenne pas ses petites vengeances et pour qu’elle puisse maintenir l’illusion avec Finn le temps qu’il obtienne ce qu’il souhaitait.

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Message(#) Sujet: Re: (carla) let me bitch about you in peace, pls. (carla) let me bitch about you in peace, pls.  EmptyVen 1 Mai - 13:30

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Elle n’avait jamais été un jeu pour lui et il espérait qu’elle le savait. C’était d’ailleurs pour cela qu’il lui avait dit aujourd’hui. Devant ses reproches, il devait rétablir un peu de vérité. Car même si le poufsouffle avait toujours aimé jouer avec tout le monde, que les jeux de séductions, et les taquineries le faisaient vibrer, cela ne signifiait pas pour autant qu’l avait toujours tout pris à la rigolade. Il avait été sincère dans ses sentiments avec la jeune femme, et il ne supporterait pas que l’on remette en doute cela. Maxwell avait toujours eu un visage très expressif, c’était pourquoi il avait souvent la réputation d’être très franc. Il ne savait tout bonnement pas mentir correctement sans que ses expressions ne viennent le trahir. C’était à se demander comment il avait réussi à mytho sa daronne pendant aussi longtemps. Mais il savait que Carla le connaissait assez pour comprendre qu’il était très sincère dans sa réponse. Elle comprit d’ailleurs car elle lui annonça qu’elle le croyait. Alléluia. Parce que si elle avait encore fait genre qu’il mentait, le garçon aurait surement eu encore plus de mal à garder son calme, et aurait succombé à la colère grandissante en lui. Cette réponse l’apaisa quelque peu.

Mais il se demandait quand même pourquoi elle ne lui avait pas posé la question avant. Après tout, si comme elle disait, ce genre de réponses était très important à ses yeux, et qu’elle avait bien de savoir, pourquoi ne pas simplement avoir posé la question. Si elle l’avait fait, elle aurait surement eu ce qu’elle attendait, et surtout Max aurait aussi su l’importance de ce genre de paroles pour la serpentard. Mais c’était le passé, et désormais il ne pouvait pas revenir en arrière. Il y avait aussi peu de chances que cela ait pu changer quelque chose à l’issue de leur relation. Max n’avait du coup pas envie de s’attarder. Pas besoin d’avoir des regrets pour quelque chose qui n’était pas sous son contrôle. Carla confia qu’elle n’avait pas posé la question surement par peur de ne pas supporter la réponse. Elle ajouta même qu’elle avait essayé mais qu’il n’avait pas compris. Probablement pas. Maxwell était le genre de garçon qui avait besoin qu’on le confronte de but en blanc, il n’était pas réellement à l’aise avec les sous-entendus ou les questions à demi-mots, passant trop souvent à côté de ce qu’on lui demandait. Mais la demoiselle avait ouvert à nouveau la bouche en lui faisant comprendre qu’il ne l’avait pas retenu. Elle avait raison pour le coup, il ne l’avait pas fait.

– Pourquoi retenir quelqu’un qui veut partir ?

Peut-être que c’était une erreur de sa part dans le fond. Peut-être qu’il aurait du se battre pour elle et pour sa relation … Mais cette rupture lui était arrivé comme un cognard en pleine tronche … Et le fait qu’elle ne lui laisse même pas une discussion pour parler de tout ça l’avait conforté dans l’idée qu’elle en avait bel et bien fini avec lui et qu’elle voulait simplement qu’il la laisse tranquille. Alors il n’avait pas poussé plus loin, par peur de se prendre un mûr, par un désir de ne pas montrer ses faiblesses, de ne pas se rendre vulnérable. Mais il doutait maintenant qu’elle lui disait tout ça, évidemment … Parce qu’elle semblait sous-entendre qu’il aurait pu la retenir, que ça aurait pu être une option. Alors pourquoi ne pas le faire comprendre à l’époque ? Pour l’avait-elle tej en place publique, avant de totalement s’éloigner de lui pendant des mois et des mois … franchement il ne comprenait pas du tout ce qui s’était passé dans la tête de Carla.

Cette conversation était plus calme. Peut-être pas seulement parce que les esprits s’étaient apaisés, mais que l’énergie avait été totalement drainés. Maxwell le sentait bien d’ailleurs. Il avait l’impression d’avoir faut une séance de sport de deux heures, d’avoir couru et d’être complètement vidé maintenant. La jeune femme en pleurait même un peu, même si elle voulait cacher cela derrière une excuse bien bidon.

– Peut-être qu’à l’infirmerie, elle a des médocs contre … les plantes. T’inquiète tu restes quand même canon même avec quelques traces de maquillage en moins.

Dit-il finalement. Il était entré dans son jeu parce qu’au final il n’avait pas besoin d’entendre qu’elle pleurait à cause de lui. Il savait qu’elle n’avait pas envie de paraître faible et il la comprenait complètement, alors clairement il n’allait pas l’accabler.

Maxwell se contentait de l’observer silencieusement, comme s’il sentait qu’elle allait lui dire quelque chose. Elle rappela les paroles dites plus tôt dans la conversation, comme quoi ils avaient besoin de prendre un peu de distance. Clairement, il n’était pas sûr de réussir à réellement mettre de la distance avec la jeune femme. Après tout, il n’avait jamais réussi. Mais en même temps, elle n’avait pas tort. Ces dernières semaines avaient été bien trop intense … et Maxwell ne pouvait que se rendre compte qu’il avait de plus en plus de mal à le supporter …

– Ouais. Je crois que j’ai besoin d’un peu de temps. De toute façon pas sur que ton mec kiffe bien que tu fasses des petits tête-à-tête avec ton ex, si ?

Finit par dire le jeune homme, d’une voix anormalement calme.



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Message(#) Sujet: Re: (carla) let me bitch about you in peace, pls. (carla) let me bitch about you in peace, pls.  EmptyVen 1 Mai - 14:45

Just leave me alone, please


Carla resta silencieuse face à sa question. Elle commençait à comprendre un peu mieux ce qu’il en avait pensé. Il la croyait trop décidée et fière pour revenir sur l’un de ses choix et n’avait jamais essayé de la rattraper pour ne pas prendre le risque d’un deuxième refus. Ils se ressemblaient plus qu’ils ne voulaient l’admettre. Elle n’avait pas posé ses questions par peur des réponses, il ne l’avait pas retenue par peur qu’elle s’échappe tout de même. C’était romantique. C’était rageant. Tellement de choses qui auraient pu ne pas s’envenimer s’ils avaient déposé les armes.

- Parfois on part juste pour savoir si quelqu’un réagira.

Sur ses prétendues allergies, elle faillit lui répliquer qu’il n’y avait pas de médicament contre les bleus à l’âme, sinon elle en aurait déjà usé et abusé depuis des mois. Cela n’aurait été ni juste, ni gentil. Il essayait juste de rentrer dans son mensonge pathétique pour ne pas la mettre mal à l’aise. C’était délicat et élégant de sa part. il n’avait donc pas à subir son aigreur. Elle lui fit un demi-sourire et lui répondit, sibylline

- Ca fait des mois que j’essaie de me débarrasser de ces allergies. J’y arrive pas. Je crois que ça va prendre du temps. Mais je ferai peut-être un saut à l’infirmerie, tu as raison.

Ses joues rosirent légèrement quand il dit qu’elle était jolie, même avec son maquillage qui avait coulé et ses yeux brillants. Il était attachant quand il se comportait comme ça, de manière attentionnée. Si seulement il se conduisait tout le temps comme ça. Elle ne comprenait pas pourquoi il se comportait comme un idiot au quotidien. Il était tellement plus que ça.

Quand il lui parla de Finn, Carla eut un peu plus envie d’aller s’enterrer six pieds sous terre. Toute cette histoire était en train de la dépasser bien plus vite que celle qu’elle pensait. Etait-ce une façon de jauger sa relation avec Fin de lui poser cette question ? Si oui, elle allait devoir faire attention à ce qu’elle répondait. Elle savait qu’il avait des doutes quant à la véracité de leur couple et elle ne pouvait lui reprocher. Leur couple était aussi logique en apparence qu’il ne pouvait pas fonctionner en réalité. Maxwell le savait. Il la connaissait trop, pour l’imaginer avec une personne comme Finnbjörn. Elle maintenait suffisamment le mensonge pour créer un doute dans son esprit, mais de là à parler de certitude … Comme souvent quand elle devait mentir, elle se décida à donner une vérité détournée. Les meilleurs mensonges se fondent toujours sur du vrai pour être crédibles.

- Je ne sais pas s’il me dirait frontalement qu’il n’apprécie pas, mais je suppose que oui. Par contre, je suis certaine qu’il ne comprendrait pas pourquoi je continue à te parler.

Il la trouverait toujours aussi faible et émotive de continuer à se montrer aussi facilement manipulée par un sang mêlé. Oh il ne le formulerait pas comme cela, il avait de l’éducation, mais elle était prête à parier qu’il le penserait.

- De toute façon, je lui en parlerai. Par honnêteté.

Elle ne lui raconterait clairement pas tout, d’abord parce qu’elle supposait que ses conversations à ne plus en finir avec Maxwell ne l’intéressaient pas, mais aussi parce qu’elle voulait garder certains détails pour elle. Il y avait des informations qui n’appartenaient qu’à elle et qu’elle souhaitait garder précieusement. Les mots de Maxwell avaient un arrière goût amer, mais ils avaient aussi un aspect réconfortant. Si elle les partageait, n’importe qui pourrait les ternir. Elle ne pouvait pas s’y résoudre.

Elle se mordilla la lèvre, perdue. Une part d’elle-même souffrait à nouveau d’entendre qui ne la retenait pas mais se ralliait à son idée de mettre de la distance. Ce n’était pas un rejet à proprement parlé, puisqu’ils n’étaient plus ensemble. Mais il y avait toujours cette facette d’elle qui rêvait uniquement de se jeter à son cou en le suppliant de tout effacer pour recommencer tous les deux qui prenait chacune de ses actions comme un désaveu. Elle lui jeta un coup d’œil, mal à l’aise et murmura

- Alors … prends soin de toi, Max ?

Elle ne voulait pas mettre de la distance avec lui sur une dispute. Elle ne pouvait rien dire de trop affectueux pour autant. Elle n’avait plus assez de mots pour exprimer ce qu’elle aurait voulu dire en réalité. Elle s’était donc contentée de de cette phrase un peu trop bateau dont seule l’intonation interrogative laissait transparaître qu’elle ne savait juste pas quoi dire.

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Message(#) Sujet: Re: (carla) let me bitch about you in peace, pls. (carla) let me bitch about you in peace, pls.  EmptyVen 1 Mai - 18:41

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Parfois on part juste pour savoir si quelqu’un réagira … ces paroles raisonnaient dans son esprit alors que son regard était planté dans celui de la jeune femme. Au fond, il aurait préféré ne pas le savoir. Peut-être était-ce horrible à dire mais dans un sens, elle venait de lui avouer que leur histoire aurait très bien pu continuer si elle n’avait pas joué à ce petit jeu. Pourquoi le quitter pour avoir une réaction plutôt que de venir lui parler directement, de lui demander, de lui poser des questions, de lui dire ce qui n’allait pas. Pourquoi ne pas avoir privilégié la conversation avant de prendre une décision comme celle-ci. Il ne comprenait réellement pas. Et pourquoi lui avouait-elle cela maintenant ? Il ne pouvait plus rien faire contre ce qui c’était passé … Mais il allait avoir dans sa tête ce sentiment de non achevé, ce sentiment de gâchis qui aurait pu être évité. Peut-être que les deux jeunes auraient fini par se quitter de toute façon, mais au moins ça n’aurait pas été simplement pour le tester, pour voir sa réaction, pour s’assurer qu’il pouvait lui prouver de la manière dont elle voulait qu’il était attaché à elle. Elle avait joué leur relation à pile ou face finalement, attendant une réaction qu’elle n’avait pas vue. Il n’aurait pas pu deviner … parce que pour lui elle le quittait parce qu’elle ne voulait simplement plus de lui, et la scène qu’elle avait fait en public l’avait conforté dans cette idée. Comment avait-elle pu penser un instant que c’était une bonne idée pour le faire réagir ? Alors qu’elle ne lui avait pas laissé l’occasion de s’expliquer ou de lui parler. Elle était juste partie, et avant abandonner cette relation. Maxwell resta silencieux, incapable de répondre à cette nouvelle information qu’il avait clairement du mal à digérer. Il bouillonnait intérieurement de savoir à quel point leur rupture était stupide. Et l’apprendre un an plus tard maintenant qu’il ne pouvait plus rien faire, maintenant que c’était trop tard était encore plus rageant. Tellement rageant qu’aucun mot ne pouvait sortir de sa bouche pour répondre à la jeune femme.

Alors il resta silencieux, et entra finalement dans son jeu lorsqu’elle trouva une excuse pour expliquer ses yeux remplis d’eau. Il n’avait pas envie de la mettre plus mal à l’aise, ou de l’obliger à avouer des maux qu’elle voulait garder pour elle. Vidé aussi de toute énergie après cette discussion, il n’avait pas envie de se battre pour une vérité qui ne changerait rien finalement. Le poufsouffle avait du mal. Perdu dans ses pensées, il entendait en boucle les mots de la jeune femme, des vérités qu’il n’avait jamais vues ou qu’il n’avait jamais voulu voir. Et tout cela devenait anormalement pesant pour lui. Il ne voulait pas se perdre dans ce flot de sentiments qu’il ne comprenait pas, il ne voulait pas avoir mal au cœur en l’entendant parler, en la voyant aussi proche de lui mais tellement loin à la fois. Alors il avait repris le contrôle de lui-même, pour se cacher derrière l’humour, la seule chose qui l’aidait à ravaler tous ses sentiments et à cacher cette vulnérabilité qui s’était fait doucement sentir pendant cette conversation. Et il l’écouta parler de son intention d’aller à l’infirmerie pour trouver un remède contre ses allergies. Si elle pouvait lui trouver un remède pour lui aussi par la même occasion, pour cesser cette obsession malsaine, pour qu’il ne ressente plus rien et qu’il revienne à sa petite vie simple … Les choses ne seraient jamais simples entre eux, il le savait très bien. Et même s’il ne serait sans doute jamais capable de totalement détruire ce lien qui le reliait à la jeune femme, il savait tout de même que c’était pas bon pour lui en ce moment. Il s’était passé bien trop de choses en trop peu de temps pour qu’il puisse porter tout ça sur ses épaules. Alors peut-être qu’elle avait raison de proposer de prendre un peu de temps, de laisser de l’espace entre eux. Surtout que son mec n’allait surement pas apprécier tous ces rendez-vous à deux.

– Tu vas lui dire pour le baiser ?

Demanda-t-il avant de le regretter aussitôt. Pourquoi poser cette question finalement. La réponse ne lui ferait pas du bien dans tous les cas. Maxwell ne comprenait pas forcément ce qu’elle disait à propos de Finn. Si ça avait été lui à sa place, il aurait pété un câble en apprenant que sa meuf parlait toujours à son ex comme ça. Il ne l’aurait pas supporté et ne se serait surement pas gêné pour lui dire frontalement ce qu’il pensait. Finn était un bouffon selon lui, mais c’était une bonne chose pour ses affaires aussi de toute façon. Elle allait lui en parler … D’accord. Elle lui parlerait de leurs discussions, mais leur parlerait-elle de leur baiser ? C’était quand même un motif de rupture pour le coup … Ou du moins d’une grosse dispute. Tant mieux finalement, comme ça ils arrêteraient peut-être de se galocher dans la grande salle à la vue de tous, et surtout à la sienne.

Quand elle remit la distance sur le tapis, le jeune homme décida de ne pas la contredire. Parce qu’il partageait finalement son point de vue. C’était trop pour lui, et il avait besoin de temps. Parce que s’ils continuaient comme ça, le jeune homme continuerait surement de perdre le contrôle comme il l’avait fait aujourd’hui, et c’était hors de question de se mettre dans un tel état tous les jours. Prend soin de toi qu’elle lui disait … Il ne savait même pas quoi répondre à ça. C’était étrange. Une phrase tellement bateau qu’on pouvait dire à n’importe qui finalement, comme une illustration du fossé qui s’était creusé entre eux. Il ne savait pas pourquoi ça l’énervait autant de l’entendre dire ça, comme si c’était encore une preuve de son attachement pour le bouffondor qu’elle lui envoyait en pleine face, comme pour lui dire que pour lui elle pouvait totalement le sortir de sa vie. Ce n’était surement pas ce qu’elle avait voulu faire passer comme message, mais c’était comme ça qu’il le ressentait. Peut-être qu’il avait besoin d’une raison de lui en vouloir au final, sans quoi il ne pouvait se sentir capable de la lâcher … au moins pour quelque temps.

– Ouais c’est ça. Je vais y aller de toute façon, Cab m’attend surement avec les mecs, on devait se retrouver après le cours de bota. A plus tard … du coup. On se croisera surement à l’occasion t’façon.

Dit finalement le jeune homme. Il avait envie de partir, il avait envie de se retrouver un peu tout seul loin de tous ces sentiments qu’il n’avait pas envie d’affronter.


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