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(carla) plus on déteste quelqu'un plus on l'aime askip, c'est l'amour fou du coup.
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carla yaxley + maxwell carter

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Samedi 18 avril. Max avait passé sa matinée à la bibliothèque. Pour travailler sur ses devoirs en retard en défense contre les forces du mal ou en botanique ? PAS DU TOUT. Au diable les devoirs, Max était penché sur quelque chose de bien plus intéressant évidemment. En effet, le garçon était en train de travailler sur la rédaction d’un contrat. Franchement ça demandait beaucoup de réflexion finalement. Car le poufsouffle griffonnait encore et encore, son cerveau regorgeant d’idées et d’envie de clauses différentes pour ce fameux contrat. Mais qu’est-ce qui lui était bien passé par la tête pour avoir une idée pareille comme ça ? Il s’était réveillé avec une bonne dose d’imagination + un soupçon de fantasme + et une grosse pincée de stupidité. Article 1, article 2 … le parchemin se remplissait doucement mais surement avec des clauses plus stupides les unes que les autres. Ca le faisait beaucoup pouffer de rire d’ailleurs, ce qui semblait déranger ses petites camarades qui se mettaient à souffler toutes les deux minutes. Quelle bande de rabat-joie quand même. Maxwell avait donc eu cette petite idée, et avait décidé de la coucher sur papier. Evidemment, il n’avait absolument pas dans l’intention de la donner à la principale intéressée. Déjà parce que vu les relations qu’ils entretenaient en ce moment, ce serait signer son arrêt de mort que de lui donner ce papier, mais surtout parce que pour le moment ce n’était qu’un petit désir, qu’un petit fantasme. Peut-être dans quelques semaines, il aura réussi à convaincre la jeune femme de se rapprocher de lui, et ils pourraient peut-être trouver un accord à propos de leur relation. Le jeune homme finit de gribouiller quelques mots, avant de finalement mettre son papier dans son sac en vrac, et de quitter la bibliothèque. Il vaqua ensuite à ses occupations puis rejoint finalement Cab pour le repas du midi, histoire de rigoler un peu.

Le jeune homme oublia d’ailleurs complètement son fameux contrat après son départ de la bibliothèque. En effet, ceci lui sortit de la tête puisqu’il traina avec son frérot. Les deux compères se rendirent dans le parc pour y passer l’après-midi. Il faisait encore frais en ce mois d’avril mais pour une fois qu’il ne pleuvait pas, ils avaient décidé d’en profiter grandement. A la fin de l’après-midi, Cab l’abandonna parce qu’apparemment il avait rencard avec une meuf de gryffondor aux trois balais. Quel chanceux. Surtout qu’il venait de lui raconter qu’il bossait sur cette fameuse fille depuis au moins une semaine et qu’il pensait pouvoir conclure dans la journée. Max n’avait pas autant de chances, il faut dire que ses relations étaient plutôt calmes ces dernières semaines. En même temps, il n’avait pas vraiment le temps de draguer tout ce qui bouge entre les devoirs, les cours, les manipulations, les plans à mettre en place, les espionnages et espions à recruter. Le poufsouffle était overbooké.

Mais le moins que l’on puisse dire, c’était qu’il ne s’attendait absolument pas à recevoir un hibou. Il reconnut l’écriture de Carla. SON EX ? Mais pourquoi lui écrivait-elle maintenant. Ca faisait maintenant plusieurs jours qu’ils ne s’étaient pas parlé et le garçon ne voyait absolument pas ce qu’elle avait à lui dire. Il se mit à rêvasser qu’elle ait enfin compris que son bouffondor n’était qu’un jouet … Le poufsouffle ouvrit donc sa lettre et se rendit compte que ce n’était clairement pas amical. Et merde. Le jeune homme parcourut donc le parchemin de ses yeux. OMG. Mais non, elle ne pouvait pas parler du contrat, ce n’était pas possible. Le garçon plongea dans son sac et le vida entièrement à la recherche de son parchemin. RIEN. NADA. Non. Non. Non. Mais comment c’était possible ? Comment avait-elle pu le récupérer alors qu’il avait eu son sac avec lui toute la journée … ou presque. Visiblement, vu le ton sur sa lettre, son ex n’avait absolument pas apprécié ce fameux contrat. Normal, mais en même temps il n’était pas fait pour qu’elle le lise, et surtout pas maintenant. Elle lui en envoyait plein la gueule, ce qui clairement ne lui faisait pas tellement plaisir. Le jeune homme finit sa lecture, et chiffonne le parchemin. Il commença à marcher dans le château à la recherche de la jeune femme. Hors de question de perdre son temps à écrire une lettre en retour, il préférait régler ses comptes en face à face au moins ça ira plus vite, et il n’aurait pas peur de se recevoir une beuglante plus tard en plein milieu de la grande salle. Finalement, il la trouva au deuxième étage au détour d’un couloir. Et maintenant qu’il l’apercevait de dos, il était en train de se dire que c’était peut être pas la meilleure des idées de se jeter dans la gueule du loup. Trop tard, elle venait de se retourner, et il ne pouvait clairement plus prendre ses jambes à son coup et se tirer.

– C’est quoi cette histoire dans ta lettre là déjà ? A quelle heure t’as réussi à fouiller dans mon sac pour me piquer mes affaires sans que je le vois ?


Max ou l’art de totalement retourner la situation pour possiblement la mettre à son avantage. Bah ouais après tout, comment elle avait pu récupérer son parchemin personnel qui se trouvait dans son sac. Soit elle avait fouillé elle-même, soit elle avait envoyé quelqu’un, non ?


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Aisling Dashner

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Plus on déteste quelqu'un plus on l'aim... Non, on le déteste juste



Après avoir reçu des lettres de Blaze et avoir envoyé une lettre rageuse à maxwell, Carla n’arrivait toujours pas à se calmer. Elle était vexée, humiliée et avait réellement dû faire appel à tout son self-control pour ne pas refaire le portrait de cet imbécile de Poufsouffle. A chaque fois qu’elle pensait qu’il avait réussi à toucher le fond, il arrivait à continuer à creuser. Si elle n’avait pas été sa victime principale, peut être qu’elle aurait trouvé ça fascinant. Mais le l’état, elle avait juste envie de l’assassiner. Puis, elle était mal à l’aise de cette histoire. Que Blaze ait lu le contrat la gênait, alors que ce n’était vraiment pas sa faute et qu’elle n’en était pas à l’origine. Elle n’aurait pas dû se sentir aussi honteuse. Mais c’était plus fort qu’elle, ça touchait quand même à un domaine qui relevait du privé. C’est pour cela qu’elle n’avait pas immédiatement mis sa menace à exécution de saisir la direction ou qu’elle n’en avait parlé à personne. Devoir détailler les foutues clauses de ce contrat lui arrachait la bouche.

La journée étant enfin terminée, elle allait quitter le deuxième étage pour se rendre dans sa salle commune, quand elle vit, juste en face d’elle, Maxwell. Ses joues prirent une teinte rouge cramoisi, mélange autant de malaise que de colère. Une personne normalement constituée aurait fait demi tour face à son regard mauvais. Pendant un instant, elle crut que Maxwell allait agir intelligemment pour la première fois de sa vie, mais au contraire, il s’avança droit vers elle. Le fou.

Là, au lieu de s’excuser, en rajoutant en disant que c’était elle qui avait fouillé ses affaires. Carla écarquilla les yeux, folle de rage. Comme si sa vie tournait autour de celle de cet idiot. Et comme si elle n’avait pas mieux à faire que de fouiller son bordel.


- Pardon ? J’étais en cours toute la journée, imbécile. Avant d’accuser les gens, vérifie tes informations. Pour ta gouverne, c’est un élève qui me connaît qui a trouvé ton torchon abandonné sur une table et que me l’a apporté pour me prévenir. Alors va t’acheter un cerveau ou un rappeltout, et arrête de venir m’emmerder.

La vulgarité dans sa bouche n’était jamais bon signe. Cela voulait dire qu’elle était en train de s’énerver assez violemment pour perdre le contrôle et agir avec impulsivité. Les yeux brillants de colère, elle sortit sa baguette et la pointa en direction du garçon.

- Maintenant tu dégages de mon chemin, espèce de dépravé. Je veux pas voir ta tête aujourd’hui, sinon je te refais le portrait.

Même pas une once de honte en lui. Ou de remord. Elle le détestait pour ça. Il continuait de la rendre chèvre et elle, elle n’avait pas d’autre choix que de subir. Le pire, c’est que ça l’affectait. Elle commença à passer en revue dans sa tête les différents sorts qu'elle pouvait lui lancer. Il ne fallait pas qu'elle l'abîme trop, sinon elle finirait ses jours en retenue, mais elle pouvait au moins l'embêter un peu.

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Mais comment était-ce possible ? Comment cette fameuse lettre avait pu atterrir entre les mains de la verte et argent. Jamais ô grand jamais, il n’avait voulu qu’elle la reçoive, et certainement pas aujourd’hui. Mais qu’il était stupide … il avait écrit ce fameux contrat comme ça pour passer le temps, peut être pour un futur lointain, mais certainement pas pour lui proposer ce genre de relation maintenant. Déjà que les choses étaient tendus entre les deux exs ces dernières semaines … ça ne risquait pas de s’arranger maintenant qu’elle avait lu ce que le garçon avait écrit sur elle. Soit il était réellement très malchanceux, au point que la poisse le guette à chaque coin de rue, ou alors il avait été victime d’une mauvaise blague. Dans tous les cas, vu le ton employé par la jeune femme dans sa réponse, elle n’avait surement qu’une seule envie : le tuer. Maxwell voulait absolument régler cette histoire. S’il la laissait en suspens, la situation n’allait que s’aggraver entre eux, et comme leurs relations étaient déjà au plus bas, inutile de rajouter de l’huile sur le feu. Alors il parti à sa recherche à travers le château. Il n’avait pas encore la moindre idée de ce qu’il allait lui dire. Après tout, elle avait toutes les raisons d’être à nouveau énervé contre lui, ce n’était clairement pas la chose qu’elle avait envie de voir écrites à son sujet. Mais au fond, il n’y était pour rien, non ? Il n’avait clairement pas décidé de lui envoyé un hibou avec ce contrat attaché. Il était sacrément dans la merde, et pour une fois, il n’avait pas le moindre plan pour s’en sortir.

Mais finalement il la trouva au deuxième étage, au détour d’un couloir. Il vit son regard se poser sur lui, et cela ne faisait aucun doute, elle était dans tous ses états, extrêmement énervé contre lui. L’espace d’un instant, il eut l’idée de partir en courant qui lui traversa l’esprit. Mais finalement c’était déjà trop tard. Il ne pouvait pas reculer encore une fois, il fallait s’occuper de cette histoire avant qu’elle ne prenne des proportions incroyables. Bon clairement, il n’avait pas la bonne tactique. Mais il se demandait ce que c’était cette histoire. Comment s’était-elle retrouvée en possession de son contrat qui se trouvait dans SON sac. Est-ce que la jeune femme avait finalement décidé d’utiliser les mêmes actions que le poufsouffle en fouillant ses affaires ou en envoyant quelqu’un pour faire le sale boulot à sa place ? Elle l’insulta copieusement avant de lui balancer qu’il ferait mieux de vérifier ses informations avant d’accuser à tout va. Elle lui apprit par la suite que c’était un élève qu’elle connaissait qui lui avait donné son contrat. Elle était vulgaire et Maxwell la connaissait assez pour savoir que ce n’était vraiment pas bon signe pour lui. Avant même qu’il ne puisse se défendre, elle sortit sa baguette et la pointa dans sa direction. OHLA. Avait-elle réellement l’intention de lui jeter un maléfice en plein milieu du couloir ? Elle le menaça clairement. Non il était clair que la jeune femme ne rigolait pas du tout pour le coup.

– Oh ok tout doux, baisse ta baguette.

Bon déjà commençons par ça. Parce que le garçon n’avait clairement pas la moindre envie de se retrouver envoyé à l’infirmerie à cause de ce stupide contrat qui n’aurait jamais du être envoyé en plus de cela.

– Très bien, je suis désolé, c’est pas toi qui me l’a chippé, my bad. Tu étais jamais censé le recevoir, c’était dans mon sac, un truc stupide que j’ai griffonné. Certains ont des journaux intimes et moi je fais des stupides contrats …


*Super défense, continue sur ce chemin.*

Franchement il pataugeait pour le coup. Parce qu’il comprenait pourquoi elle était énervé, mais théoriquement ce n’était pas complètement sa faute, non ? Il n’avait pas choisi délibérément que ce parchemin se retrouve entre ses mains, bien au contraire. Max allait devoir enquêter d’ailleurs pour essayer de retrouver le snargalouf qui avait fouillé dans son sac. Et s’il mettait la main sur cette personne, elle risquait de bien le regretter. Mais un problème à la fois … et pour le moment, le plus urgent restait quand même de calmer la meuf avec sa baguette pointé en sa direction.

– Je suis désolé, ok, c’était complètement débile, j’aurais jamais dû écrire ça, et encore moins le laissé trainer à la portée du moindre débilos. Mais tu peux pas m’en vouloir pour quelque chose que j’ai pas contrôlé.

*Rembobine, deux pas en arrière. Supprimer dernière phrase. Je répète supprimer dernière phrase, teubé.*


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Plus on déteste quelqu'un plus on l'aim... Non, on le déteste juste



Carla avait un esprit de contradiction suffisamment développé pour ne surtout pas faire ce qu’on lui disait. Il suffit donc que Max lui conseille de baisser sa baguette pour qu’elle la lève un peu plus haut avec un regard de défi. Le menacer, ce n’était pas si grave. Ca ne créait pas de dommage et ça lui donnait l’impression d’avoir le contrôle sur une situation qui lui échappait totalement.

- Je fais ce que je veux Maxwell.

Elle se délectait du stress de son interlocuteur. A son tour d’avoir des émotions un peu fortes. A force de se montrer sous son meilleur jour avec lui, il commençait à oublier qu’elle n’était pas une petite fille calme et docile. Avec une pointe de regret, elle songea un instant qu’il l’avait apprécié aussi pour ça. Maxwell n’aurait jamais pu supporté une fille trop calme. Il fallait que ses relations soient une sorte de jeu, de défi, sinon il s’ennuyait. Peut-être était-ce pour ça qu’il s’était désintéressé d’elle ? Rapidement, elle n’avait plus été un défi à ses yeux, mais donnée stable, acquise. Avec mauvaise foi et un brin de méchanceté, elle répliqua

- Ravie de savoir que tu sais écrire plus que ton prénom. J’ai rien contre les journaux intimes, puisqu’ils ont le mérite d’être privés. Toi, tu laisses traîner ces bêtises avec mon nom n’importe où.

Elle plissa les yeux et demanda d’une voix blanche, prise d’un doute

- Tu ne l’as pas laissé traîner volontairement ... n’est ce pas ? Tu peux pas vouloir à ce point m’humilier ?

Elle refusait de croire ça. Ou plutôt, comme d’habitude, prise d’une stupide sensiblerie, elle n’avait pas envie d’y croire. D’un autre côté, on parlait du garçon qui expliquait à tous ses prétendants qu’elle avait une affreuse MST. Donc on pouvait considérer que tout étais possible. Il aurait pu penser à ça pour la discréditer définitivement aux yeux de Finnbjörn, en pensant qu’ils étaient réellement ensemble. D’un autre côté, il venait de lui dire qu’il était désolé. C’était un premier pas, non ? Surtout qu’il avait l’air sincère. Elle abaissa sa baguette de quelques centimètres.

- Je peux t’en vouloir de l’avoir écrit. Surtout sachant que je n’étais pas vraiment consentante.

Elle jeta un coup d’oeil autour d’elle. Les couloirs étaient trop fréquentés pour ce type de conversation, et elle espérait bien que personne à part Blaze n’apprendrait jamais le contenu de ce qu’il avait écrit. Elle baissa sa baguette et attrapa Maxwell par le bras pour l’entraîner avec elle vers une salle inutilisée.

- Viens, si je dois discuter avec toi, j’ai pas envie qu’on nous entende.

Elle ajouta d’un ton froid, uniquement pour l’embêter.

- Puis si je dois te faire la peau, au moins y aura pas de témoin.

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DAMN. Elle était vraiment très énervée pour le coup. Et il fallait bien l’avouer un petit peu, elle lui faisait limite peur maintenant qu’elle avait sa baguette pointé en direction de son pif. Elle n’allait pas osé quand même ? Pas en plein milieu d’un couloir, si ? Quoi que pourquoi pas au final … après tout, le couloir était désert, et si Max allait se plaindre à la direction, c’était sa parole contre la sienne, et clairement vu son passif, ça ne jouerait probablement pas en sa faveur. Il lui demanda quand même d’abaisser sa baguette, en essayant de faire le mec viril. Raté pour le coup, parce qu’en bafouillant + en voyant son absence totale d’autorité sur Carla … puisque celle-ci releva sa baguette encore plus haut en mode ‘je vais te défoncer la gueule’. Clairement le jeune homme était dans une situation de léger stress. Il ne savait pas quoi dire ou quoi faire pour apaiser la situation, surtout qu’elle n’avait pas l’air d’avoir la moindre envie de lui laisser en placer une. Mais il essaya tant bien que mal, et comme il n’était pas complètement con et suicidaire, il commença par s’excuser. Parce qu’en soit son but n’avait jamais été qu’elle reçoive cette lettre aujourd’hui. En plus c’était quelqu’un qui avait fouillé dans son sac pour la récup. Et maintenant il avait l’air bien con. Ses explications étaient légèrement hasardeuses … Mais après tout, comment on peut se défendre d’avoir écrit un contrat de rapport sexuel sans même en avoir parlé à la principale intéressée en premier ? Mouais, Maxwell n’en avait pas la moindre idée non plus. Du coup, le poufsouffle était totalement en train de patauger. Son but ultime étant de sortir de cette entrevue vivant et en un seul morceau quand même. Ok il allait avouer ses torts, c’était le seul moyen de s’en sortir. Alors il s’excusa une nouvelle fois en expliquant qu’il aurait jamais dû faire ça, en priant qu’elle ne lui lance pas un sort trop douloureux au final. La jeune femme voulait quand même le piquer puisqu’elle lui envoya par la gueule qu’elle était surprise qu’il sache écrire plus que son prénom. Bon ok, ça il l’avait bien mérité. Mais par contre, elle ne pouvait pas continuer de croire qu’il avait fait exprès de laisser trainer ce papier. Il se souvenait de l’avoir foutu dans son sac et de n’y avoir jamais retouché par la suite. On lui avait piqué, il n’y avait pas d’autres explications.

– Non Carla. Je sais que j’ai déjà fait des trucs ultra tordu avant, mais j’ai jamais voulu que quelqu’un trouve ce papier. Je l’avais foutu dans mon sac. Personne était censé le lire, même pas toi pour le coup.

Continua le garçon en essayant de se défendre. Ce n’était même pas un mensonge pour le coup. Puis il n’était pas assez stupide pour griller toutes ses chances en donnant ce contrat stupide à quelqu’un. Et non, il n’avait jamais cherché à l’humilier … Mais elle avait visiblement un peu du mal à le croire. Vu son passif, c’était compréhensible, mais pour une fois qu’il n’avait ‘presque’ rien fait. Bon déjà, cela semblait avoir eu un petit effet puisqu’elle abaissa légèrement sa baguette. Ce n’était pas parfait, mais c’était sur le bon chemin. Il n’était quand même pas assez fou pour faire un mouvement brusque par peur de se voir recevoir un sortilège en pleine tronche. Elle lui balança tout de même qu’elle pouvait lui en vouloir de l’avoir écrit. Ouais. Pas faux. Certes. Il avait écrit ces conneries, et du coup, il devait assumer, il n’avait pas le choix, donc théoriquement elle pouvait lui en vouloir, mais en pratique, elle devait se souvenir qu’il n’avait rien fait de mal (ou presque). Et finalement la jeune femme baissa totalement sa baguette et l’attrapa par le bras.

*WTF. Retournement complet de situation. Et si elle m’emmenait dans une sale vide pour me tuer puis me dépecer à l’abri des regards ?*

Elle voulait discuter avec lui, à l’abri des regards, dans la salle vide, pour que personne ne les entende. Mouais. C’est sur que si elle voulait le torturer c’était mieux de ne pas le faire dans un couloir où il y avait quand même du passage. Au pire si elle lui faisait vraiment la peau, il pourrait hurler … Y’aurait bien un pecno qui passerait dans les couloirs et entendraient ses cris … et si c’était Thor qui passait au même moment et qui fermait les yeux parce qu’elle peut pas le piffrer … et si Carla insonorisait la pièce justement pour que personne ne vienne à sa rescousse … et si, et si, et si. Franchement vu la tête qu’il tirait, il ne faisait clairement pas le malin et ne savait pas à quoi s’attendre. Carla ne pouvait que le remarquer d’ailleurs. Il entra quand même dans la salle de classe inutilisée, la peur au ventre …

– Je sais que t’es hyper en colère itout itout, mais j’ai une famille tu sais, deux frères : Dimitri et Ethan. Et j’ai un chien aussi à la maison. Genre je suis trop jeune pour crever t’sais.

*Terrorisé ? Légèrement oui.*

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Plus on déteste quelqu'un plus on l'aim... Non, on le déteste juste



Sans lui laisser le choix, elle avait entraîné avec elle dans la première salle inutilisée du couloir, histoire d’éviter que cette histoire ne se répande. Il lui avait emboîté le pas sans trop protester, ce qu’elle avait pris comme un assentiment de sa part. Ce n’est que quand il commença à lui énumérer toutes les bonnes raisons qui existaient de ne pas le tuer qu’elle comprit que derrière son humour, il craignait tout de même un peu sa réaction. Elle eut comme une bouffée d’euphorie teintée de puissance. C’était très bien qu’il tremble un peu. Cela le dissuaderait de recommencer. Et ça lui permettrait de comprendre que parfois, il valait mieux penser avec sa tête plutôt qu’en dessous de la ceinture. C’était une leçon pour l’avenir qu’elle lui offrait en quelque sorte.

- Oh épargne moi ton numéro de trouillard, je vais pas te tuer. Comment tu voudrais que je planque le corps ?

Elle n’allait pas le tuer parce qu’elle n’en avait jamais eu l’intention, mais c’était très amusant de lui faire croire qu’elle avait de légères tendances à la psychopathie. Elle était juste partie pour lui refaire un peu le portrait à la base, mais finalement, se foutre de sa gueule était tout aussi agréable. Le tout était la sensation de pouvoir qu’elle ressentait. Elle lui désigna une chaise d’un signe de tête s’il voulait s’asseoir et s’assit sur une table. Elle le fixa quelques instants en silence, histoire de continuer à lui faire peur, et finit par déclarer.

- Vas-y, maintenant qu’on ne peut pas nous entendre, explique toi. Depuis quand tu rédiges des trucs pareils sur mon compte ?

Est-ce qu’il était le genre à écrire des récits plus ou moins osés sur ses conquêtes pour le plaisir de les relire ensuite ? Ou est ce qu’il proposait régulièrement ce type d’arrangement à ses conquêtes ? Parce que avoir un côté légèrement obsédé à 17 ans, cela pouvait se concevoir. Si cela devait évoluer vers quelques chose de pathologique, elle aurait aimé être au courant. De préférence avant qu’il se mette à écrire un roman incitant à la débauche inspiré de faits réels.

- Tu avais sérieusement l’intention de me proposer ça ?

Ca aussi, elle ne s’en remettait pas. Il y avait moins d’une semaine, elle lui avouait dans une conversation avoir été amoureuse de lui et pour fêter cela, il ne trouvait pas mieux que de lui rédiger un contrat pour devenir sex friend. Métaphoriquement, il aurait pu piétiner méticuleusement son petit coeur que cela aurait été exactement pareil. Lors de cette discussion, ils ne s’étaient pas quittés en bons termes et elle ne comprenait pas non plus comment il avait pu penser qu’elle accepterait. Elle avait certainement dit devant lui avoir envie de se changer les idées, mais elle ne pensait pas à ça. Du tout. Elle ne se souvenait pas non plus lui avoir proposé de remettre le couvert. Pas que cela aurait été une situation particulièrement désagréable, loin de là, mais le but était qu’il n’ait plus d’emprise sur sa vie. Si elle lui laissait la moindre possibilité, elle ne s’en sortirait jamais.

- Ca t’arrive souvent de proposer des contrats de ce genre à des filles ?

Le ton de sa voix était dégoûté. En réalité, elle brûlait de savoir si elle était la seule ou non, dans une sorte de crise d’orgueil mal placé. Oh elle n’aurait jamais accepté, mais savoir qu’elle était la seule aurait quelque chose de flatteur. La seule pour qu’il il serait prêt à s’engager. Si on pouvait parler de ce torchon comme d’une forme d’engagement. Elle savait que c'était malsain, plus il la blessait, et plus elle redemandait en certain sens. Elle aurait dû lâcher prise depuis longtemps. refuser de lui parler, d'écouter ses excuses bidons. Mais là encore, tout en lui voulant profondément, elle voulait encore avoir une forme d'importance à ses yeux. Il devait y avoir quelque chose à creuser dans le cadre d'une thérapie, à ce niveau là de bêtise
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Bon, le garçon avait finalement suivi son ex dans une salle de classe vide : magnifique début à un roman d’horreur sorcier. Avec un peu de chance, Carla n’aurait pas la foi d’aller jusqu’au bout. Certes, il avait dépassé les bornes, mais il ne méritait pas de mourir aussi jeune c’est clair. Il essaya de faire un peu d’humour, bien qu’il gardait quand même cette idée dans un coin de sa tête. Il avait sa baguette dans sa poche de pantalon arrière, alors si elle faisait un moment brusque, il aurait peut-être le temps de l’attraper, et de la désarmer. Encore faut il qu’il soit rapide, et qu’il réussisse son sort du premier coup, ce qui n’était clairement pas gagné malheureusement. Heureusement la jeune femme mit fin à ses doutes en le rassurant sur le fait qu’elle n’avait pas l’intention de le tuer. Alléluia. En même temps, elle soulevait un point important : la difficulté à se débarrasser d’un corps. Bah oui, pas con. Parce que si elle laissait son corps dans la salle, théoriquement on pouvait possiblement l’incriminer si elle laissait des traces. Puis transporter son corps dans un château bondé … ce n’était pas non plus l’idée du siècle. Sage décision donc, Carla, de choisir d’épargner la vie de son ex petit ami. Et clairement il la remerciait intérieurement, tout en évitant de lui dire que si elle avait besoin de conseils pour se débarrasser d’un corps, c’était Erin Sorensen qu’il fallait aller voir. Apparemment la poufsouffle était une reine en la matière. Askip.

La jeune femme lui montra une chaise d’un signe de tête, tandis qu’elle était en train de s’assoir sur une table. Max prit place également, histoire de se mettre à l’aise, en attendant curieusement de savoir ce qu’elle voulait lui dire. Après tout, elle ne l’avait pas fait rentré dans la pièce juste pour lui hurler dessus, clairement ça elle aurait pu le faire dehors avec des témoins, elle s’en fichait complètement. Elle le fixa un instant sans dire un mot. Max leva un sourcil interloqué, légèrement stressé, en s’imaginant tout et n’importe quoi. Il fallait qu’elle brise le silence et qu’elle balance maintenant. Et finalement elle ouvrit enfin la bouche. Soupir de soulagement. Elle voulait donc qu’il s’explique un peu plus en détail sur ce qui s’était passé, et en premier lieu depuis quand il écrivait des conneries pareils.

– NAN mais j’écris pas des trucs sexuels sur toi tous les 4 matins, t’inquiète. Je sais aps ce qui s’est passé dans ma tête. Genre j’étais dans un esprit créatif ce matin et–

Et il s’arrêta net dans sa phrase car il avait la mauvaise impression que ce qu’il était en train de dire était simplement en train de l’enfoncer encore plus. Mais de toute façon, que pouvait-il dire pour sa défense pour que la jeune femme ne le prenne pas pour le pire des pervers ? Espérons qu’elle ne soit pas trop choquée ou dégouté pour le coup.

– Alors pas exactement. J’avais clairement pas l’intention de te proposer ça … du moins pas aujourd’hui … ni demain … ni la semaine prochaine. C’est pus genre un fantasme, tu vois c’que j’veux dire.

*STFU*

Mais plus il parlait plus il allait s’enfonçait ? Allait-il toucher le fond à un moment ou allait-il simplement continuer à creuser encore et encore ? Surtout qu’il ne savait pas réellement ce que pensait Carla dans sa tête. Certes, elle n’était plus complètement énervée, folle de rage au point de vouloir le taper … mais était-elle genre calmée, ou au contraire simplement dégouté par tout ce qu’elle apprenait. Lui ne savait plus où se mettre pour le coup, n’étant pas prêt du tout à voir ses écrits du jour arriver dans les mains de la jeune femme. Il ne s’attendait pas non plus à ce qu’elle lui demande s’il avait l’habitude de proposer ce genre de contrat à d’autres meufs. Si elle n’avait pas eu cet air dégouté sur la face, il aurait presque cru croire qu’elle était peut être un peu jalouse. Bon évidemment il se faisait des films, mais c’était quand même sympa de rêver de temps en temps.

– Nan. Pis vu ta réaction, je m’y risquerai plus
.


Non visiblement les meufs n’étaient pas sensibles aux contrats. C’était noté. Il n’en referait pas. Au fond, il n’avait même jamais pensé à en faire un pour quelqu’un d’autre. Comme il l’avait maladroitement dit, c’était simplement pour Carla, comme elle était au centre de ce fantasme *hum *hum* pour le coup. Mais quel débile quand même …

– Question : c’est la forme qui craint ou c’est l’idée de recoucher avec moi ?

Demanda-t-il de but en blanc. Après tout, si elle répondait la première option c’est qu’il y avait peut être encore moyen.


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Plus on déteste quelqu'un plus on l'aim... Non, on le déteste juste


Carla haussa un sourcil, pas franchement convaincue quand il lui expliqua avoir été d’humeur créative le matin même. Elle fit remarquer, d’un ton froid

- Donc quand tu es créatif, tu écris ce genre de choses ... ? Et il se passe quoi quand t’es content, je te retrouve dans mon lit ?

Elle n’aurait sans doute jamais dû lui donner une idée pareille. Elle le soupçonnait capable des pires bêtises pour l’embêter et s’introduire dans son dortoir pouvait en être une. Vu comme elle était grognon le matin, elle espérait pour lui qu’il ne s’y risquerait jamais. C’était certainement la manière la plus rapide de perdre la vie. Toujours glaciale, elle secoua la tête

- Non, justement je vois pas. Les fantasmes sont rarement sous contrat.

A part des choses peut-être un peu exotiques qui ne devaient pas s’ébruiter ? Mais ce n’était pas son genre, ni à sa connaissance celui de Max. Donc à moins qu’il se soit lancé dans une phase d’expérience à tout va, elle ne voyait pas ce qui nécessitait d’être contractualisé.

- Pour ta gouverne, et même si m’entendre qualifiée de fantasme n’est pas désagréable, je ne suis pas que le support de tes rêveries. J’ai des sentiments et un consentement à donner. Et là, on est loin du compte.

Son coeur avait bondi dans sa poitrine quand il expliqua ne pas être près de proposer à nouveau son contrat et qu’elle était la seule. Satisfaction malsaine d’être l’unique objet de sa connerie. Ca la rendait heureuse. Ca n’aurait pas dû. Quand il lui posa sa dernière question, elle sentit sa prudence la quitter. C’était tellement plus simple de se rappeler ce qu’il y avait avant entre eux. Les regards, les caresses, les baisers ... La seule chose dont elle aurait dû se rappeler, c’est qu’il l’avait laissée partir. Il l’avait même laissée filer deux fois, la première lors de leur rupture, la deuxième quand elle lui avait parlé à coeur ouvert après leur cours de potions. Alors pourquoi est-ce qu’elle s’obstinait à ressentir des pointes d’espoir ? Ce n’était pourtant pas compliqué à comprendre, elle ne devait pas être amoureuse de quelqu’un qui la traitait comme n’importe quelle fille facile, mais quelqu’un qui la trouvait extraordinaire. Finalement, après une lutte acharnée, sa raison ne l’emporta pas totalement et même si elle ne répondit pas directement, elle lâcha tout de même

- Question : Tu envisages de retenter quelque chose en fonction de ma réponse ?

Elle ne savait même pas ce qu’elle voulait entendre comme réponse. Evidemment que c’était la forme qui craignait. Recoucher avec lui, dans un moment de faiblesse, elle aurait pu se laisser aller à l’envisager. Alcoolisée par exemple, elle ne donnait pas cher de ses résolutions. Mais là, tant qu’elle avait un tout petit peu le contrôle de cette discussion, elle pouvait jouer un peu. Après tout, il ne s’en privait jamais, quand il s’agissait d’elle. Elle se leva et s’approcha gracieusement de lui

- Tu ferais quoi si je disais oui ? Tu te laisserais aller pour une heure ?

Elle frôla sa cravate du bout des doigts en continuant de se rapprocher de lui

- Une nuit ?

Est-ce qu’elle l’allumait ? Un peu sans doute. Est-ce que cela flattait son ego de voir qu’elle avait encore un pouvoir de séduction sur lui ? Totalement. Elle se rapprocha encore de lui, jusqu’à passer les bras autour de son cou. Dans cette position, elle était collée à lui, son visage à quelques centimètres du sien. Tellement proche qu’elle pouvait presque sentir son souffle sur sa peau.

- J’y gagne quoi, moi ? Un shoot d’endorphines quand aucune autre fille ne trouve grâce à tes yeux ?

Elle se détacha brusquement de lui, presque à contrecoeur et le fixa, cette fois-ci bien moins charmeuse.

-Est-ce que c’est agréable que je me joue de toi comme si tu étais mon pantin ? Parce que c’est ça que tu me proposes. D’être une poupée. Ta jolie poupée.

Une lueur de défi dans les yeux, elle poursuivit.

- Mais tu trompes sur mon compte. Je ne suis pas une personne de compromis. Quand je prends, je veux tout. Je ne transige pas. Je ne partage pas.
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L’humeur créative n’était peut-être pas la meilleure des excuses pour le coup. Mais Max ne savait pas réellement comment expliquer ce qui s’était passé par sa tête lorsqu’il avait décidé d’écrire ce fameux contrat. Maintenant, en connaissance de causes et avec la réaction de la jeune femme comme punition, il se rendait compte qu’il aurait peut être mieux fait de s’abstenir. Mais bon, il ne pouvait pas réellement revenir en arrière malheureusement. Coincé dans cette pièce en compagnie de la verte et argent, il n’avait plus qu’à s’expliquer … Au fond, Maxwell n’avait pas forcément vu à mal lorsqu’il avait rédigé ce brouillon, plus une manière de coucher sur papier des petites pensées qui lui trottaient dans la tête. En voyant la tête de la jeune femme, le poufsouffle comprit assez rapidement qu’elle n’était clairement pas convaincue par son envie soudaine de créativité d’ailleurs. Comment lui en tenir rigueur de toute façon ? C’était somme toute plutôt étrange comme excuse. Max avait beaucoup d’imagination et de créativité en temps normal quand il s’agissait de trouver des plans pour protéger son ex de toutes les sangsues et chiens de l’école, mais il ne l’avait encore jamais réellement mis au profit de l’écriture d’un contrat dans ce genre. Qui faisait ça à part lui dans cette école. Non mais franchement … La demoiselle semblait bouche-bée par tant de conneries, et d’un ton froid lui demanda s’il allait se retrouver dans son lit la prochaine fois qu’il était un peu trop content.

En théorie, cette idée était plutôt cool quand même. Il faut dire que ça ne le dérangerait pas le moins du monde d’atterrir d’une façon ou d’une autre dans le lit de Carla. Mais d’un autre côté, cela ne paraissait pas réellement pratique. Déjà parce qu’ils n’appartenaient pas à la même maison : lui était à poufsouffle et elle à serpentard. S’il voulait entrer dans la salle commune des serpents, il lui faudrait déjà un plan du tonnerre pour dégoter leur mot de passe, ensuite réussir à y pénétrer sans que personne ne le vois. Et une fois à l’intérieur, il devrait trouver les dortoirs des filles, en espérant que personne ne le remarque et qu’il ne soit pas muni d’une sécurité pour l’empêcher de le laisser entrer. Cela faisait quand même pas mal d’étapes incertaines. Alors le garçon ne s’y risquerait sans doute jamais. Il n’avait pas non plus envie de se faire virer de poudlard, ce n’était certainement pas son but ultime, même si l’idée était plutôt séduisante, il fallait l’avouer.

– Bah pour le coup, si j’arrive à arriver jusqu’à ton lit sans le moindre problème, ce qui est quand même probablement bien compromis, faudrait encore que tu veuilles bien de moi et que tu me dénonces pas immédiatement auprès des profs … Compliqué, mais je garde l’idée sous le coude.

Dit-il avec un sourire malicieux au coin des lèvres, histoire de la taquiner un petit peu. Bon, il ne fallait pas non plus trop pousser la patience de la jeune femme, parce qu’elle restait tout de même assez froide avec lui … Il n’avait pas envie de la remettre dans sous ses états et la voir lui hurler dessus une énième fois. Donc le garçon continua dans ses explications plus ou moins étrange. Le plus simple c’était de décrire toute cette histoire comme un fantasme. Ce qui n’était pas non plus totalement faux, puisque recoucher avec Carla était une idée plutôt alléchante pour le garçon, il ne pouvait pas mentir. Mais visiblement toujours pas la bonne technique puisqu’elle lui fit comprendre qu’elle ne comprenait pas vraiment comment et pourquoi coucher un fantasme sur contrat. Elle lui rappela ensuite rapidement qu’elle était quand même une personne à part entière avec des sentiments et un droit au consentement. Bon au moins, elle était flattée d’avoir été qualifiée de fantasme. C’était une bonne chose, non ? Mais Max comprenait qu’elle ait pu trouver toute cette histoire un peu dégradante, surtout si comme elle le disait, quelqu’un avait trouvé ce papier, l’avait lu et lui avait envoyé par la suite.

– Ouais j’sais pardon. Ca aurait pas du être lu par quelqu’un d’autre. Je ferais attention la prochaine fois.

Dit-il. Bon évidemment, s’il y avait une prochaine fois, et pas sûr que ce soit le cas, le garçon prendrait bien soin d’écrire ce genre de truc dans son dortoir, puis le ranger à un endroit où seul lui avait accès pour être sûr que cela ne tombe pas dans les mains d’un petit malin qui allait le distribuer par la suite. Il n’avait clairement pas envie que ses petits écrits, et ses fantasmes se retrouvent sur la première page des rumeurs de l’école. Il espérait d’ailleurs que cette histoire n’allait pas trop s’ébruiter, car si c’était le cas l’envie de Carla de le tuer allait sans doute augmenter en même temps que le nombre de personnes au courant. Mais finalement, le garçon posa une question à Carla : si c’était la forme ou l’idée du contrat qui la rebutait à ce point. Il n’y avait évidemment qu’une réponse possible à ce genre de question, et il le prendrait surement assez mal si elle lui balançait par la gueule qu’elle n’avait pas la moindre de recoucher un jour avec lui. La jeune femme se leva et s’approcha de lui en lui demandant ce qu’il ferait si elle disait oui … Elle frôla sa cravate, continuant de se rapprocher, laissant le jeune homme surpris par ce changement soudain de situation. Etait-ce vraiment possible. Elle avait maintenant les bras autour de son cou. Jamais, ils n’avaient été aussi proches, à part bien sûr à l’époque où ils étaient ensemble. Etait-ce un piège ? Au moment où il poserait ses mains sur les hanches de la jeune fille, elle allait lui couper les doigts ?

Elle lui faisait toujours beaucoup d’effet, impossible de mentir sur ce fait. Et elle devait surement le savoir, ou du moins elle le voyait maintenant. Elle lui demanda brusquement ce qu’elle avait à y gagner avant brusquement de se détacher de lui. Et merde …


– Damn. Arrête tu vas me donner chaud en vrai.

Dit finalement le jeune homme.

– C’est bien dommage, je crois que personne ne passe jamais par ici. On pourrait passer un bon petit moment si ça te tente.


Allez dis oui Carla.


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Plus on déteste quelqu'un plus on l'aim... Non, on le déteste juste


Elle leva les yeux au ciel quand il lui répliqua garder sous le coude l'idée de la rejoindre dans son lit.

- Ne te sens pas obligé de tenter l'exploit.

Le fait qu’il reconnaisse son erreur et lui présente des excuses l’adoucit un peu. Jusqu’à ce qu’il emploie le terme de prochaine fois. Elle pencha la tête, les traits figés par une colère froide.

- Je souhaite sincèrement pour ton intégrité physique qu’il n’y ait pas de prochaine fois. Je m’en voudrais d’abîmer un si joli minois.

Les bases étaient posées. Au prochain contrat qu’il rédigerait sans qu’elle lui ait demandé, il avait toutes ses chances de se prendre un méchant sortilège dans la figure. C'était déjà pas mal qu’elle ait été suffisamment intriguée par ses bêtises pour lui laisser l’occasion de s’expliquer, ce n’était pas le moment de forcer son destin en la poussant à bout. Très fière de son manège, elle admit

- C’était le but. Avec un peu de chance tu t’étoufferas dans ta frustration.

L’inconvénient, c’est qu’avec son petit jeu, elle n’avait réussi qu’à le faire se focaliser la possibilité de recoucher avec elle. Là, il allait uniquement la regarder comme un chat regarde un bol de lait, au lieu de tenter de comprendre ce qu’elle avait tenté de lui dire juste avant. Derrière la proposition fusa. Ils étaient seuls, dans un lieu à l’écart, elle avait déjà commencé à l’allumer .... La vérité, c’est que pendant un centième de seconde, elle avait envisagé de lui dire oui. Par envie. Par curiosité aussi. Pour voir s’il avait toujours autant de pouvoir sur elle qu’elle le pensait ou si, après s’être envoyé en l’air une dernière fois avec lui, elle aurait été capable de tourner définitivement la page et de l’ignorer. Après tout, leur histoire s’était terminée de façon brusque et sans explication. Peut-être que c’était cela qui lui manquait, une vraie fin. Puis, elle avait chassé cette idée de sa tête. Coucher avec Maxwell dans une salle vide de Poudlard pour le voir s’afficher avec une nouvelle dinde le lendemain ne résoudrait rien du tout. Au mieux, cela la ferait souffrir intérieurement et au pire, il trouverait le moyen de s’en vanter, et là ce serait carrément une humiliation en bonne et due forme. Elle se contenta donc de secouer la tête, une moue ironique sur le visage.

- Tu sais ce qu’on dit ? Les fantasmes que l’on réalise sont toujours moins bons que ce qu’on imaginait. Je m’en voudrais de te décevoir en acceptant.

Elle n’allait pas lui donner la satisfaction de lui dire oui, alors qu’il n’avait rien écouté de ce qu’elle avait dit. Elle ne voulait pas être juste une fille avec laquelle tu t’enfermes dans une salle vide une heure pour en ressortir échevelés et faire la joie du petit Croasseur. Elle voulait une vraie offre, une qu’elle estimerait à sa hauteur. Ce qui était impossible puisque pour céder, il aurait dû lui promettre l’exclusivité. Elle ne se faisait aucune illusion sur la question, elle ne l’avait pas eu dans le passé, elle l’aurait encore moins aujourd’hui. Mais elle n’était pas capable dans toute sa jalousie de considérer qu’elle partageait quelque chose qu’elle considérait comme étant à elle. Elle se réinstalla sur la table sur laquelle elle était assise précédemment et secoua la tête.

- Ta proposition est parfaite pour les filles sans cervelle qui rampent à tes pieds habituellement. Moi je vaux mieux que ça. Revois ton offre. La tienne ne m’intéresse pas.

Puisqu’il voulait se la jouer juridique, elle prenait un malin plaisir à lui répondre sur le ton de la négociation. Qu’elle n’accepterait pas. Mais au moins, elle le ferait peut-être mourir de frustration, ce qui pour une personne comme lui était un châtiment sévère.

- C’est la loi de l’offre et de la demande en quelque sorte. Des offres, j’en ai d’autres. Pourquoi je “contracterais” avec toi ?

Elle s’emballait un peu. Oui, elle était mignonne, mais enfin, elle n’était pas sortie avec toute l’école, n’avait jamais eu envie de le faire et surtout n’en aurait jamais eu l’occasion. Tous les garçons ne tombaient pas à ses pieds comme des mouches et n’étaient clairement pas tous animés d’une intention romatique à son égard. Mais officiellement, elle était avec Finn. Et même si, heureusement, leur mascarade n’était jamais allée plus loin qu’un baiser, ça, Maxwell ne pouvait pas le savoir. Elle pouvait donc tout à fait prétendre qu’elle n’avait nulle besoin de sa proposition pour passer un bon moment.
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Bon alors que le jeune homme avait essayé de se sortir de cette merde en s’excusant. Même s’il essayait de ne pas se faire détruire par la jeune femme, il était également sincèrement désolé de l’avoir blessé, car ce n’était pas du tout son intention à la base, elle n’aurait jamais dû avoir ce document en sa possession. La jeune femme tilta légèrement sur le fait qu’il dise faire attention la prochaine fois. Bon, non, du coup, il ne devait pas faire de prochaines fois, parce qu’elle ne laisserait surement pas passer ça malheureusement. Max allait donc mettre aux oubliettes ses talents d’auteur de contrat pour quelques temps au moins que les choses se calment. En soit, c’était dommage que cette bombe soit sorti comme ça aussi rapidement. Parce qu’intérieurement Maxwell était sûr qu’il aurait pu grandement arranger les choses et arriver à quelque chose de dément. Déjà il aurait pu mettre le truc au propre, parce que clairement son bout de parchemin était un véritable torchon. Et ensuite, il aurait pu travailler quelques semaines voir mois pour améliorer ses relations avec son ex petite amie histoire de l’amener doucement mais surement dans cette direction. Malheureusement, le poufsouffle ne saurait jamais si ce plan d’action aurait finalement marché, puisqu’un abruti avait décidé de fouiller dans ses affaires et d’envoyer directement sa trouvaille à la serpentard. Craignos comme fin, mais bon tant pis. Il faut dire que Max s’en relèverait bien, après tout, il avait beaucoup d’imagination quand il s’agissait de truc dans le genre. En tout cas, il avait bien entendu ce que Carla avait dit. Il ne se risquerait clairement pas à réécrire un contrat à son sujet, ou du moins sans bien le planquer pour qu’il n’arrive pas dans ses mains quelques heures plus tard.

Mais finalement, Carla le tira complètement de ce genre de pensées lorsqu’elle s’approcha doucement de lui. Quelques pas en avant, ses bras autour de son cou, jamais ils n’avaient été aussi proches. Et Maxwell n’allait clairement pas s’en plaindre pour le coup. Il la regardait avec de grands yeux ronds, un petit sourire se formant sur le coin des lèvres, et l’envie claire et précise de se rapprocher encore plus d’elle. Elle le cherchait, elle le chauffait, et ce n’était pas pour déplaire au garçon. Evidemment, il n’avait jamais caché son attirance vers la jeune femme. Parce qu’au fond, la seule chose qui se tenait entre le fait de recoucher avec elle, c’était le refus de serpentard, certainement pas le sien. Malheureusement pour Maxwell, la jeune femme recula rapidement après pour le laisser mourir dans sa frustration. Elle lui donnait chaud pour le laisser ensuite. PUTAIN. Mais en lui mettant des idées comme celle-ci dans la tête, le jeune homme avait clairement plus envie d’approfondir ce sujet plutôt que de reparler de ce qui les avait menait jusqu’ici. Elle jouait avec lui, il s’en rendait compte, et pour autant, il n’avait pas envie de s’extirper de cette situation. Parce que le jeu lui plaisait. Le poufsouffle avait toujours aimé ce genre de situation, le genre où le jeu est présent, ou le pouvoir se prend, se gagne, et se perd. Et maintenant qu’ils étaient tout seul dans une pièce vide de l’école, le garçon avait bien des idées en tête. Carla n’était pas prête de lui laisser la main, ce qui le fit doucement sourire.

– Ca marche seulement pour les fantasmes inconnues ça, non ? Parce que moi je sais pertinemment ce que je reçois avec toi, et je n’ai jamais été déçu par le passé, j’pense pas que ça commencerait maintenant. Tu doutes de tes performances ?


Demanda-t-il avec un petit sourire en coin pour taquiner son égo. Il attendait d’elle qu’elle lui réponde évidemment, qu’elle continue de surenchérir, qu’elle entre dans son jeu. Au moins, elle était bien plus joueuse que dans leurs dernières conversations qui n’avaient été que cris et hurlements, c’était rassurant. Mais Maxwell savait qu’il devait faire attention, il savait qu’un pas de travers pouvait tout gâcher, qu’elle pouvait retourner dans sa colère, et finir par le baffer. Carla était du genre à se refermer immédiatement dés qu’il disait un truc qui ne lui plaisait pas. Peut-être allait-il se prendre un mur assez rapidement d’ailleurs, il avait quand même ce côté assez gaffeur, trop sûr de lui parfois qui pouvait la mettre hors d’elle. Mais tant qu’elle marchait dans son jeu, il continuait d’en apprécier les rouages. Il lui proposa d’ailleurs plus ou moins subtilement de coucher avec lui dans cet endroit. Elle répondit par la négative, ce qui ne le surprend pas tant que ça au final. Ca ne serait surement pas aussi drôle si c’était aussi facile. Et puis avec tout ce qui s’était passé ces derniers temps, elle n’avait clairement pas envie de lui faire ce plaisir.

– Evidemment, on ne peut clairement pas te mettre au niveau des filles quelconques qui peuplent ce château, je te l’accorde. Un contrat se négocie, on peut toujours en revoir les termes si ceux-ci ne te conviennent pas complètement.

Dit-il finalement en entrant dans son jeu. Ca l’amusait le petit Max de partir sur ce terrain avec la jeune femme. A voir où cela allait réellement mener. Evidemment lui ne dirait pas non à un petit rapprochement d’ordre physique mais il savait que les choses ne seraient clairement pas aussi facile du côté de la verte et argent.

– Pourquoi signer ton contrat avec moi plutôt qu’avec n’importe quel bouffon de l’école, bonne question. Et je peux te résumer cela en trois points : une expérience original avec à la clé un enrichissement personnel, le côté artistique du contrat qui te permet d’observer à foison un corps brillamment sculpté, et sans oublier l’essentiel, le plus important, l’assurance du bonheur orgasmique.


Expliqua le jeune homme avec un petit sourire attendant la réaction de la jeune femme. Espérons qu’elle trouve cela marrant et qu’elle n’ait pas envie de lui foutre un point dans la figure.

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Plus on déteste quelqu'un plus on l'aim... Non, on le déteste juste



Cette situation était aussi divertissante qu’elle semblait ridicule. Elle était censée lui faire passer l’envie de recommencer ses petits contrats douteux et elle se retrouvait embarquée, uniquement par sa faute, dans un jeu de séduction. Pour l’instant elle avait la main et elle se délectait du petit pouvoir qu’elle détenait sur lui, après des semaines à subir ses bêtises. Mais l’équilibre était précaire et elle le comprit bien vite quand Maxwell répliqua sur le même ton. Elle pouvait être charmeuse et elle savait en jouer. Mais c’était dans l’ADN de Maxwell de s’amuser à ces jeux de séduction. Il ne s’y prenait pas toujours de manière heureuse, loin de là, mais il y jouait depuis bien plus longtemps qu’elle. Toujours assise sur un bureau, elle balança négligemment ses jambes, tout en lui répliquant avec arrogance

- Je n’ai pas à douter de mes performances, la preuve, tu me cours après et tu me dis que je suis ton fantasme. C’est des tiennes que je doute.

L’attaquer sous la ceinture était toujours l’assurance d’une réaction indignée. Comme tous les garçons. lle fut par contre déboussolée de voir qu’il lui proposait aussitôt une renégociation de son torchon. Elle n’avait pas envie de conclure un tel type de contrat. Ca lui donnait l’impression d’être un objet. Elle n’avait pas non plus envie de brader sa liberté sur une durée plus ou moins déterminée. Si elle devait recoucher avec lui, elle le ferait sous le coup de l’envie et pas pour honorer un stupide contrat. Et en même temps, elle mourrait de curiosité. Elle voulait savoir jusqu’où il était prêt à négocier. Quelles concessions il était prêt à accepter pour elle. Pas suffisamment pour qu’elle signe. Assez pour l’amadouer sûrement. La preuve, elle était là, en train de badinait, au lieu de lui faire avaler ses dents.

- Propose tes nouvelles conditions. Je disposerai. Après tout, je suis sûre que tu as une idée des miennes.

Elle lui avait déjà sous-entendu ce qu’elle voulait. Trop occupé à rêver d’un moment plus récréatif, il n’avait pas dû l’écouter suffisamment. En vrai, cela lui convenait bien. S’il avait entendu et compris ce qu’elle avait dit, elle aurait eu toutes les peines du monde à refuser. Ce qu’elle comptait faire à la fin. Carla fit mine de réfléchir, avant de faire le chiffre trois avec les doigts.

- Trois contre arguments. Premièrement, il n’y a pas d’originalité qui tienne, tu me proposes un concept vieux comme le monde. Deuxièmement je n’ai pas besoin de contrat pour te faire te déshabiller si l’envie m’en prenait. Et avant que tu prennes cette remarque pour une invitation, je n’ai pas dit que c’était le cas. Troisièment, qui te dit que j’ai besoin de toi pour mon bonheur ? J’ai un petit-ami comme tu as pu malencontreusement le voir dans la grande salle. Il a oublié d’être moche et sa compagnie est très agréable.

Elle aurait peut-être dû demander à Finn son opinion sur des rumeurs d’une quelconque intimité entre eux avant de se lancer dans une tirade pareille. Mais prise dans le jeu, elle n’y avait pas réfléchi. Alors elle n’avait pas explicitement dit qu’ils se passaient des choses, mais elle savait que Maxwell en arriverait immédiatement à cette conclusion. Il était incapable de concevoir un autre type de relation. Ce n’était pas à son honneur, mais il fallait admettre qu’il se comportait juste comme un adolescent débordant d’hormones.

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Maintenant qu’elle s’était éloignée de lui, au moins Maxwell pouvait reprendre quelque peu ses esprits. Déjà son parfum n’était plus dans son nez, son corps se trouvait à quelques mètres, et le poufsouffle était à nouveau capable d’utiliser ses deux neurones, sans que son esprit divague par l’effet qu’elle lui faisait. Ce jeu de séduction l’amusait beaucoup, il se délectait de cette joute verbale qui naissait entre eux. Après tout, il était dans son élément. Autant quand il s’agit de parler de ses sentiments, de s’excuser ou bien même d’écouter la jeune femme lui hurler dessus, c’est compliqué, pour autant jouer, séduire, c’était son truc. C’était ce qu’il aimait faire, le genre de situation dans laquelle il aimait se trouver. Et retrouver la verte et argent dans ce jeu était réellement une aubaine pour lui. Il aimait être face à elle, il aimait entendre ses répliques cinglantes, la voir essayer de jouer de ses charmes pour mieux détruire toutes ses envies et désirs. Inutile de cacher qu’elle lui faisait un certain effet, cela pouvait se lire sur son visage : des yeux pétillant de malice, un sourire taquin sur le coin des lèvres et le regard qui ne quittait pas la jeune femme, essayant de comprendre ce qu’elle voulait, à quoi elle jouait avec lui maintenant.

Elle venait de lui dire de façon légèrement provocante que les fantasmes n’étaient jamais aussi bien que quand on les imaginait, et qu’on finissait toujours déçu. Le poufsouffle n’avait pas l’intention de se laisser abattre par ce genre de commentaires. Bien au contraire, il était prêt pour la riposte, cela venait naturellement pour lui. Il retourna finalement ses paroles en lui faisant comprendre qu’il n’y avait probablement de risques à ce niveau là, avant de lui demander si elle doutait elle-même de ses performances. Elle n’était pas prête non plus à lui laisser la main, et la lutte pour le pouvoir continuait de plus belle. Piquante, elle lui fit comprendre qu’elle ne doutait absolument pas d’elle mais de lui. AOUTCH. Heureusement que le garçon ne se vexait pas facilement au fond, mais il savait qu’elle disait cela uniquement pour le piquer. Il ne voulait pas lui donner le plaisir de faire la gueule pour si peu.

– Pourquoi douter ? Je crois me souvenir que tu appréciais plutôt mes techniques à l’époque. Tu prendrais surement tout autant de plaisir, peut-être même plus.


Provocant, il pouvait l’être aussi. Maxwell avait un naturel confiant qui ne doutait pas réellement de ses capacités. Bien sûr, comme tous les garçons, il n’avait surement pas été le meilleur coup de toutes les filles qu’il avait croisé, mais ça il n’allait clairement pas s’en vanter sur tous les toits. Hors de question. Il fallait garder la face devant Carla de toute manière. Et puis si ses propres souvenirs de relations intimes avec elle, étaient si cool, il n’y avait pas de raison que ça ne soit pas la même chose de son côté, n’est-ce pas ?

Carla voulait donc jouer et Maxwell était doucement mais surement en train de rentrer dans son jeu. Elle voulait parler contrat, pas de problèmes. Et comme dans chaque contrat, il y a une partie négociation. Le garçon lui fit donc comprendre que les termes pouvaient toujours se négocier si ceux-ci ne lui convenaient pas. Chose à laquelle elle demanda ses nouvelles conditions. Maxwell eut un petit regard interrogateur. Donc qu’attendait-elle de lui sur ce point ? Evidemment elle ne voulait surement pas réentendre ce qu’elle avait déjà lu sur papier. Mais peut-être que c’était également un piège aussi, et qu’elle se servirait de ses prochaines paroles contre lui. Elle évitait bien tout en ne lui donnant pas du tout ses termes à elle. Que pouvaient-ils être après tout ? Il était censé avoir une idée des siennes … Le garçon commença donc à réfléchir à ce qu’elle avait pu lui dire un peu plus tôt dans la conversation. Certaines choses lui revenaient assez clairement, d’autre plus difficilement. Mais en soit, il avait quelque chose en tête.

– Mmmh. Donc mademoiselle ne veut pas se mouiller en mettant ses propres termes sur la table. Une pointe de peur de se retrouver coincée en jouant carte sur tables ?

Dit-il avec un sourire aux coins des lèvres avec dans l’unique but de la provoquer, de la piquer dans son égo. Après tout, lui fait un peu de même, en essayant de comprendre à quel genre de joueuse il a à faire maintenant avant de complètement étaler son jeu à découvert. Le garçon n’était pas non plus fou, et il savait que tout pouvait tourner à l’orage très rapidement avec Carla, alors il devait tout de même faire attention où il mettait les pieds. Mais pourquoi lui et pas un autre ? Max adorait ce genre de question qui lui permettait de mettre à profit son imagination et sa créativité. Alors évidemment, il lui répondit avec le sourire, en rajoutant des couches et des couches. Il trouvait ça plutôt marrant. Il faut dire que cela faisait bien longtemps que les deux adolescents n’avaient pas été proches de cette façon. C’était comme une bouffée d’air frais, comme une petite trêve en plein milieu d’une guerre. Parce que Max savait que cette fameuse guerre froide était cependant loin d’être fini. Elle reprendrait d’une manière ou d’une autre dés qu’ils auraient quitté cette salle. Alors le poufsouffle avait simplement envie de profiter de ce moment, avant qu’il ne disparaisse.

– J’entends bien tout ce que tu me dis, mais permet moi d’exposer mon problèmes face à ce que tu appelles tes ‘contre arguments’, certes le fond n’est pas original mais je pense qu’on peut se mettre d’accord que la forme l’est. Ensuite, je pense que tu as bien plus envie de voir mon corps dénudé proche de toi que tu veux bien l’avouer, je te vois bien me mater de temps en temps hein.

Dit-il avec un sourire. Pour le coup, le garçon bluffe complètement et la taquine un peu, parce qu’il ne l’avait jamais réellement vu le « mater » comme il l’affirmait si bien.

– Pas assez agréable pour que ça t’empêche de te retrouver dans une salle de classe vide avec moi, ou pour que ça te pousse à me mettre immédiatement un stop quand je te drague ouvertement, et que je te fais comprendre que j’ai envie de toi, non ?

Après tout, si avec son mec c’était complètement sérieux, elle ne serait pas encore là avec lui, non ? Maxwell aimait se rassurer de cette manière en tout cas.


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Plus on déteste quelqu'un plus on l'aim... Non, on le déteste juste



Toujours malicieuse, Carla haussa les épaules dans un geste faussement théâtral.

- Cela me semble évidemment, Carter. Je pense qu’à force de ne sortir qu’avec des filles faciles, tu as perdu la main. Il serait temps de revoir tes exigences.

Elle fit mine de réfléchir, avant d’ajouter.

- Mais attends, j’y pense ... Ce n’est pas ta mère qui m’expliquait que tu manquais d’expérience avec les filles ?

Sur le moment, elle avait été terriblement fâchée de ce repas. Depuis, elle riait en y repensant. Cela avait quand même été un moment d’anthologie. Elle avait enchaîné tous les mensonges possibles et imaginables. Et en retour, elle avait récolté de quoi se foutre de lui pendant les cinq prochaines années à venir. Pas fou, il ne se risqua pas à lui proposer de nouvelles conditions sans chercher à lui soutirer ce qu’elle voulait entendre. Il devait encore avoir peur qu’elle le défigure et il n’avait pas foncièrement tort. Carla était impulsive et se laissait facilement dominée par ses émotions. Elle était d’humeur joueuse, mais cela ne signifiait pas qu’à la moindre remarque déplacée, elle ne quitterait pas ses airs badins pour le menacer à nouveau. Il la connaissait assez pour le savoir, sans doute. Une lueur de défi dans les yeux, elle répliqua tout de suite, plutôt que de prendre le risque de passer pour une poule mouillée.

- Je n’ai pas peur de toi. Je pense juste que je suis hors de portée.

Il y avait presque une pointe de regret dans sa voix. Elle savait que ses conditions étaient inaccessibles. Maxwell n’aurait jamais bradé sa liberté et elle n’aurait jamais accepté de partager. A partir de là, ils discutaient pour rien, si ce n’est pour le plaisir de le faire courir.

- Mais puisque tu veux l’entendre de ma bouche, je te l’ai dit tout à l’heure. Je ne suis pas partageuse.

Elle éclata de rire quand il lui dit que la forme avait le mérite d’être originale.

- C’est pas original, c’est un torchon tout raturé ton truc. On t’a jamais dit que les filles préféraient des approches un peu plus romantiques ? Ou juste plus élégantes ?

Elle leva les mains en signe de reddition.

- Je veux bien admettre t’avoir maté dans la Grande salle. Mais à ma décharge, c’est pas courant de croiser un élève en train de s’y pavaner à moitié nu.

Sa dernière remarque était bien mieux envoyée. Tellement, que Carla ressentit presque immédiatemment une pointe de culpabilité. Est-ce qu’il était possible de tromper un faux petit-ami ? Il ne peut pas y avoir de problème de loyauté s’il n’y a pas de réel engagement, non ? Mais il fallait admettre que ce n’était pas honnête comme raisonnement. Ils étaient alliés. Si elle ne voulait plus l’être, elle n’avait qu’à le dire, mais elle n’avait pas à être déloyale. Voilà encore une très bonne raison pour uniquement se contenter de jouer un peu, sans franchir la moindre ligne. Carla passa la main dans ses cheveux et continua à afficher un sourire de façade

- Tu sais ce qu’on dit ? Ce n’est pas parce qu’on est au régime qu’on ne peut pas regarder le menu. Puis je ne fais rien de mal, je me contente de discuter gentiment.

Carla ajouta, cette fois-ci un peu plus sérieuse.

- J’en ai marre de me battre contre toi. Te dire non ne t’a jamais arrêté, bien au contraire. Alors autant profiter de cette parenthèse, non ? Dans deux heures ou deux jours, j’apprendrai que tu as mis au point un nouveau plan machiavélique qui me fera sortir de mes gonds. Ou tu me détesteras parce que je m’affiche avec Finn.

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La jeune femme aimait bien le faire tourner en bourrique. Et en plus de cela, elle semblait vouloir le piquer un peu aujourd’hui, comme pour faire redescendre son égo et tester sa susceptibilité. Et pour cela, elle critiquait donc les performances sexuelles du garçon. Après tout, c’était ce dont il était le plus fier alors forcément, il fallait le toucher sur le sujet. Non loin de se vexer, le garçon s’amusait à répondre à la jeune femme. Hors de question de lui laisser le pouvoir sur lui, il préférait grandement rentrer dans son jeu et lui prouvait que ses paroles n’atteignaient pas du tout son égo qui était comme toujours très en forme. Elle en profita pour souligner le fait qu’il se tapait toujours des filles faciles. Intérieurement il était un peu content, parce que c’était quand même l’aveu qu’elle regardait quand même ce qu’il faisait. Dans sa tête, il s’imagina aussi que derrière ces paroles désinvoltes peut-être se cachait une petite pointe de jalousie. C’était beau de rêver … Ce qui était clair c’était qu’entre les deux, s’il y en avait bien qui était jaloux et possessif, c’était lui et pas elle pour le coup. Carla n’avait jamais tenté de s’interférer dans ses histoires depuis leur séparation, alors que Maxwell ne s’était clairement pas gêné pour élaborer des plans plus ou moins machiavélique pour empêcher tout mâle pleins d’hormones de l’école de s’approcher de près ou de loin de la jeune femme. Carla décida même de pousser le vice un peu plus loin en lui balançant par la gueule ce qui s’était dit pendant le fameux repas de l’horreur avec sa mère. Ouais sa daronne avait même parlé de la pseudo-virginité de Maxwell à Carla, ignorant complètement que son fils était loin d’être un amateur en la matière. Le jeune homme eut un petit sourire aux lèvres, c’était bien envoyé. Si les rôles avaient été inversé, lui ne se serait surement pas dérangé pour la taquiner pendant les prochaines années avec tout ça. Il la regarda un instant avec son sourire avant de finalement ouvrir la bouche.

– J’peux te montrer que j’ai pas perdu la main, princesse, t’inquiète pas pour moi … mais j’suis pas sûr que ma mère soit la mieux informé sur ma vie intime, tu crois pas ?


Répondit-il. Et heureusement que sa mère ne connaissait rien de ce qui se passait dans la vie de son fils. En même temps, il lui avait tellement raconté de mytho que cela devenait réellement compliqué pour dire la vérité maintenant. Sa daronne aurait surement une crise cardiaque si elle apprenait ce qu’il faisait vraiment quand il était loin de la maison à Poudlard.

Pour ce qui était des termes, Maxwell n’était pas stupide, il connaissait son ex petite amie, et il était hors de question de parler avant elle. Parce qu’il savait que chaque mot était important, et qu’elle pouvait lui arracher les yeux s’il avait le malheur de prononcer la phrase qui ne fallait pas. Et vu l’ambiance plutôt sympa qui régnait pour le moment entre eux, il n’avait vraiment pas envie de courir ce risque. Il voulait la garder dans cette humeur joueuse le plus longtemps possible parce que c’était comme ça qu’il l’adorait. Il aimait cette fille joueuse, de bonne humeur, qui le défiait en permanence. Et il n’avait pas envie que la guerre recommence maintenant. La jeune femme semblait elle aussi appréciait cette petite joute verbale et n’avait visiblement pas envie de lui laisser le pouvoir non plus. D’ailleurs, l’entendre dire qu’elle était hors de sa portée le fit sourire. Mais elle ne voulait pas partager … Ca, au fond il le savait, il ne pouvait pas dire le contrôle. Il ne savait pas réellement ce que ça voulait dire pourtant. Etait-elle en train de lui faire comprendre qu’il suffisait finalement d’un mot et de cette condition pour qu’elle retombe dans ses bras ? Ou c’était simplement pour qu’il comprenne que rien ne serait possible entre eux. Il ne pouvait pas relever maintenant pourtant … parce que ça voulait dire abandonner ce jeu pour se plonger dans une conversation qu’il n’était pas prêt à avoir.

– Hors de portée ? Awww baby, me dis pas ça, tu vas réduire tous mes espoirs à néants, tu sais … mmmh tu m’envoies des signaux contradictoires … Je ne peux pas t’avoir ou je peux t’avoir sous conditions ?


Dit-il avec un petit sourire taquin. Il essayait de tourner autour du pot pour garder cette complicité qui existait entre eux. Il essayait de parler sans trop parler, de poser des questions, pour ne pas forcément entendre des réponses. Il était un peu confus dans sa tête en fait. Car il n’était pas sûr d’être prêt pour tout ça, pour cette conversation, pour s’ouvrir, et de parler du problème qu’il y avait sous toutes ces petites piques et ce jeu.

Le jeune homme en revint donc aux raisons pour lesquels elle devait le choisir. Et il n’était pas déçu, parce qu’elle s’amusait à lui répondre, à le piquer, et à le descendre. Et il était clair que le garçon aimait beaucoup ça. Il s’amusait grandement de tout ce qui était en train de se passer. Il était dans son élément pour le coup. La jeune femme se mit à rigoler en l’entendant balancer ses petites excuses, ses arguments, les contre arguments et tout ce qui s’en suit. Bon visiblement, pour elle, son papier tout raturé n’avait rien d’original. Pas faux.

– J’ai pas eu le temps de l’mettre au propre aussi, comprends moi. Mais je retiens, j’trouverais quelque chose d’autre, t’inquiète. HA JE LE SAVAIS que tu m’as déjà maté. Raaaaaah, j’adore. T’inquiète j’te matte aussi, babe.

Balança le jeune homme. Il était d’ailleurs très fier d’entendre la jeune femme admettre qu’elle le regardait de temps en temps, et il avait la ‘victoire’ modeste. Mais en tout cas il avait bel et bien un grand sourire accroché à son visage. Finalement Max se défendit sur un dernier point. Elle n’arrêtait pas ce jeu entre eux malgré l’existence de Finn, il n’était pas fou pour le coup. Carla trouva tout de même une façon de se défendre.

– Mais regarde le menu avec bonheur Carla, ça ne me dérange absolument pas du tout.

Mais son ton taquin disparait finalement pour lui mettre les idées au clair. Il n’apprécie pas forcément ce qu’il entend mais il n’a pas non plus envie de montrer que ça le touche.

– Je pense que tu prends plus de plaisir à me draguer qu’à me détester.

Dit-il en haussant les épaules.

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Plus on déteste quelqu'un plus on l'aim... Non, on le déteste juste



Preuve qu’il avait de moins en moins peur qu’elle lui fasse manger ses dents, il commençait peu à peu à lui donner des surnoms. Princesse était son préféré, sans aucun doute. Ca allait bien avec son petit côté pourri gâté. Elle continua de sourire, amusée par le tour que prenait leur conversation.

- Tu pourras me montrer un jour. Dans tes rêves.

Elle le trouvait tellement plus agréable quand il se tenait là devant elle, un sourire charmeur sur le visage. Il n’avait pas un visage à tirer la tête. Lors du dernier cours de potions, il avait les traits tirés, ça l’avait frappée. Quand il se montrait séducteur, il était solaire. C’était quelque chose qu’elle aimait chez lui quand ils sortaient ensemble. Les milieux sang-pur étaient généralement assez guindés et pas franchement joyeux. A l’inverse, Maxwell n’était jamais sérieux si on ne l’obligeait pas à l’être. C’était rafraîchissant. Toujours taquine, elle lui fit un clin d’oeil

- Briser tes espoirs, c’est toujours mon activité favorite.

Pour la première fois depuis le début de leur discussion, elle fut prise de court. Sous couvert de jeu, il y avait une question réelle dans son discours. C’était un non définitif qu’elle lui donnait ou un accord sous conditions ? Ce n’était pas la même chose du tout. Son premier réflexe aurait dû être de dire non. Mais si elle disait non, elle mettait un terme définitif à leur jeu. Peut-être même à ce qui les liait. Elle n’était pas capable de le dire. Elle voulait prolonger le jeu. Tant pis si elle se mentait en disant que c’était pour garder le contrôle. Elle choisit finalement de ne pas répondre précisément à sa question. Un peu comme les sessions de ni oui ni non de quand elle était petite.

- T’as qu’à essayer de trouver un contrat honnête et tu verras bien !

Oh s’il savait, elle ne se privait pas de le regarder depuis le début de leur conversation. Pour une fois qu’ils ne se hurlaient pas dessus, elle avait tout loisir d’en profiter. Prenant un conspirateur, elle lui fit signe d’approcher d’elle, jusqu’à ce qu’il s’exécute

- Justement Max, j’ai un secret à te dire. A force de te mater,comme tu dis, j’ai remarqué un truc ...

Elle savait qu’elle allait piquer sa curiosité. Quand il fut à portée de sa main, elle lui pinça légèrement la peau niveau de ses côtes en prenant soin de ne pas lui faire mal, juste pour le surprendre et l’embêter.

- A force de manger comme quatre, tu as grossi non ?

Elle réussit à maintenir un air extrêmement sérieux l’espace d’un instant, avant de partir de commencer à avoir un fou rire en voyant la tête incrédule de son ex. Il n’avait pas pris un gramme à sa connaissance, mais l’occasion était vraiment trop belle pour la laisser passer. Plus jamais elle n’aurait l’occasion de piquer son ego comme ça. La blague en elle-même n’était clairement pas la plus drôle, mais les crises de rire surgissent rarement au meilleures plaisanteries. Au contraire, plus l’idée est stupide, plus le fou rire est irrépressible. Entre deux rires, elle ajouta

- Je ne m’en suis jamais cachée, Max. Je m’amuse beaucoup plus à te faire tourner en bourrique qu’à te détester.

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Si au début de cette conversation, le garçon avait peur de se faire tuer par Carla, maintenant tout semblait aller beaucoup mieux. Il s’était grandement détendu et le jeu de séduction qui s’était installé l’avait réconforté dans l’idée qu’elle n’avait plus la moindre envie de se disputer avec lui, et clairement c’était une bonne chose pour le garçon. A la place, le jeu avait envahis cette pièce, les sourires se faisaient plus nombreux, et les regards complices s’échangeaient au fur et à mesure de la conversation. Ce genre de moment était bien plus sympathique qu’ordinaire. Après tout, Maxwell était dans son élément, il aimait rire, il aimait séduire, et il aimait ce genre d’atmosphère légère où il pouvait réellement se retrouver. Loin des cris et des reproches habituels, le poufsouffle se montrait beaucoup plus gentil et joviale avec son ex-petit-ami. Cela prouverait peut-être qu’il était bien mieux pour eux d’avoir des bonnes relations plutôt que de se faire constamment la guerre, non ? Maxwell n’avait jamais aimé les conflits. Il n’aimait pas lever la voix, il n’aimait pas se disputer, et n’aimait pas la personne qu’il était quand la colère s’emparer de lui. Il n’en avait pas forcément l’habitude non plus parce qu’il en avait besoin de beaucoup pour s’énerver en temps normal. Mais quand il s’agissait de Carla, c’était légèrement différent. Et ces dernières semaines n’avaient pas non plus étaient de tout repos entre les deux ex. Mais Carla était souriante maintenant, plus pimpante, plus ouverte, et certainement plus joviale et légère. Chose que Maxwell appréciait particulièrement. Il adorait quand elle était comme ça, quand il était capable de jouer et de rigoler avec elle. Il avait simplement envie que ce moment continue encore, et qu’il ne s’arrête pas brutalement et ne puisse revenir. Alors il en profitait. Car elle le taquinait avec envie, sans pour autant le repousser malgré tout ce qui s’était passé entre eux, comme si elle lui laissait les portes entrouvertes. Lui se contentait de se prendre au jeu, espérant qu’elle y reste. Charmeur et taquin, son regard était plongé sur la jeune fille, oubliant totalement le reste. Il n’y avait que cette petite pièce vide, elle et lui, qui existait pour le moment. Le monde extérieur n’avait pas la moindre importance. Elle lui rendait la balle en le taquinant à son tour, en se délectant de son pouvoir de briser ses espoirs.

Et finalement cette histoire de contrat qui revenait sur la table et qui posait des questions plus profonde qu’elles n’y paraissaient. Essayant de comprendre, Max l’interrogea. Etait-ce un non définitif qu’elle lui donnait ou une ouverture s’il le désirait. C’était étrange et confus. Et même si le garçon aurait aimé avoir une réponse claire à cette question, il n’avait pas envie que ce jeu entre eux se brise maintenant à cause d’une question. Elle lui répliqua tout en laissant de côté toutes explications.

– Tu vois, tu commences à t’y faire à mes contrats. Ca doit être ton goût pour les choses atypiques qui reviennent. Ou ton envie inavoué d’avoir à nouveau ce corps contre le tien.

Dit-il finalement avec un sourire pour la taquiner. Il avait pris le choix de ne pas continuer sur la lancée de la question précédente. Sa réponse, il l’aurait surement un autre jour mais pour le moment, il voulait profiter de cet instant présent. De cet instant qui se déroulait maintenant dans cette salle vide, et qui se terminerait à la seconde où ils la quitteraient pour que, peut-être, ce moment ne revienne jamais. Il voulait profiter de ce moment de répit avec Carla. D’ailleurs, elle avait reprit la parole et avait visiblement quelque chose à lui dire. Le jeune homme leva un sourcil interrogateur. Mais il avança vers elle quand même. Après tout, elle avait piqué sa curiosité, et il voulait maintenant savoir ce qu’elle avait remarqué. Elle lui pinça la peau au niveau des côtes et lui demanda s’il n’avait pas grossi un peu. Le jeune homme ouvrit de grands yeux ronds en voyant la tête sérieuse de la jeune femme. HEIN ? Non ce n’était pas possible, il ne pouvait pas avoir pris du gras, si ? Pourtant il compensait son alimentation avec beaucoup de sport … Mais quand Carla se mit à rire il comprit qu’elle ne faisait ça que pour l’embêter et la taquiner. Il secoua la tête, retrouvant quand même un sourire. Sa bonne humeur était communicative. Proche d’elle, il attrapa quand même sa main pour la poser sur ses abdos.

– Si t’appelles ça du gras, je comprends plus rien Carlouche. C’est dur comme de la pierre, j’y veille bien, hein. C’était qu’une excuse pour pouvoir me toucher un peu, hein ?

Balança-t-il un sourire malicieux placardé sur le visage. Oui il en profitait grandement pour le coup. Et comme elle, il aimait beaucoup plus la taquiner que lui faire la guerre. C’était ce genre de relation qu’il aimait avoir avec la jeune femme. Parce que la voir dans tous ses états en train de lui hurler dessus … il ne prenait pas son pied clairement.

– T’sais ce qu’on dit d’ailleurs : faites l’amour pas la guerre. Parait que c’est un grand moldu qui a dit ça un jour.

Balança le jeune homme en pouffant de rire, plutôt fier de lui. Bah oui s’il pouvait même utiliser des citations de grands hommes pour l’aider, il n’allait pas se gêner. Et puis c’était tellement drôle de l’embêter.

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Plus on déteste quelqu'un plus on l'aim... Non, on le déteste juste



- C’est vrai qu’avec un style juridique comme le tien, je suis presque prête à payer pour lire un nouveau contrat rédigé de ta main.

Elle précisa tout de suite en considérant que le Poufsouffle avait l’air un peu trop ravi pour être honnête.

- Juste lire. Pas dit que je le signe.

Elle était encore en train de rire bêtement quand il lui attrapa la main, ce qui eut la mérite de la surprendre assez pour la faire arrêter. Elle envisagea un quart de seconde de se dégager, puis elle se dit que finalement, elle ne faisait rien de mal. Certes, il venait de poser sa main sur ses abdos, mais le geste était anodin et les vêtements toujours présents. C’était donc assez innocent. Et assez agréable pour qu’elle en profite.

- Je suis pas sûre, faut que je vérifie mieux.

Avec son air le plus innocent, elle secoua la tête, pour nier avoir envie de le toucher.

- Je fais ça uniquement pour la science, Max. Graisse ou muscle, le doute est terrible.

Elle finit par retirer sa main, consciente que ce petit jeu ne pouvait être sans conséquence que s’il restait limité dans le temps. Au-delà, elle finirait par être confrontée à la dure réalité des choses qui était qu’effectivement, elle n’avait rien contre le fait de le toucher. Toute leur conversation avait une saveur douce-amère. Leur complicité lui avait manqué, bien plus qu’elle ne l’avait même réalisé. Ce semblant de normalité entre eux lui mettait donc du baume au cœur. Mais cela agissait également comme une piqûre de rappel de ce qu’elle ne partageait plus avec lui. Ca la rendait nostalgique, alors qu’elle aurait juste dû être résignée. C’était son principal problème, si la nostalgie l’envahissait, c’est qu’il y avait encore une forme d’espoir qui subsistait traîtreusement dans un fond de sa tête.

- Je veux bien reconnaître que c’est du muscle. Du coup si c’est dur comme de la pierre, ça veut dire que je peux te taper comme je veux ?

Son attention fut détournée par une citation moldue des plus incongrue. Le genre de trucs dégoulinants de bons sentiments impossibles qui achevaient de lui rappeler pourquoi les moldus étaient décidément assez mal parti pour arriver à quoi que ce soit.

- C’est un moldu qui a dit ça ? Mais tout s’explique. C’est donc ton côté à moitié moldu qui te rend aussi pervers. Tu viens de résoudre l’un des grands mystères de mon existence.

Autant Max avait des qualités, autant il fallait admettre qu’il avait un petit côté lourdingue difficile à louper. Elle s’en accommodait quand elle était le centre de son attention puisque cela flattait son ego et qu’avec l’impression d’être le centre du monde. Mais dans d’autres circonstances, ça pouvait aussi la rendre dingue de jalousie. Carla n’avait pas menti en disant qu’elle voulait tout. Elle ne savait pas faire dans la demi-mesure, et ses relations n’y faisaient pas exception. Même si elle ne l’avouerait jamais, elle avait conscience que son comportement était malsain sur les bords. Une personne ne peut jamais vous appartenir toute entière, même si vous le souhaitez de toute votre âme. C’était la porte ouverte à être malheureuse. A regret, elle se releva de la table sur laquelle elle était perchée, sentant qu’elle perdait peu à peu le contrôle de cette discussion.

- Monsieur Carter, pas que cette conversation soit désagréable, au contraire, mais les négociations sont au poids mort. Je propose donc de cesser les pourparlers.

Si elle employait un ton enjoué, elle essayait surtout de se sortir de cette situation avant de commettre le moindre acte qu’elle pourrait regretter. Ses bonnes résolutions fondaient comme neige au soleil en sa présence.

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La jeune femme était tout de même plutôt ouverte à la discussion et au jeu, et Maxwell aimait beaucoup cela. Pour une fois, les tensions avaient été oubliées, les cris n’étaient qu’un lointain souvenir pour laisser place à des sourires et des rires. Il était bien plus agréable d’être en sa compagnie quand la verte et argent était de cette humeur. C’était comme s’ils étaient en train de retrouver cette complicité qui les liait. Et franchement, Maxwell n’avait pas la moindre envie de voir ce moment s’arrêter, bien au contraire. En dehors de cette pièce, tout changerait, il le savait déjà. Pour le moment, ils étaient comme dans une bulle, faisant une petite pause dans leurs vies normales. Il n’y avait pas de conflits, pas de manipulations stupides, et surtout pas de Finn ici. Et pour la première fois depuis des semaines, le poufsouffle ne ressentait pas une profonde colère contre la jeune femme. C’était comme une bouffée d’air frais, comme une drogue qu’il ne voulait pas lâcher. Carla semblait apprécier le jeu, elle continuait sur ce chemin à le tenter, à le taquiner … Et forcément, lui répondait sur le même ton étant enfin dans son élément. Plus ouverte à la discussion, elle venait même à blaguer à propos de ce fameux contrat, prête peut-être à en lire un autre, ce qui fit sourire le garçon. Ils avaient déjà fait un grand pas dans cette salle vide, en s’amusant ensemble, et surtout en réussissant à ne pas se hurler dessus et à se prendre la tête.

Plus confiant par rapport à la jeune femme, il n’avait définitivement plus peur de se prendre une baffe. Il tentait même plus ou moins des rapprochements. Alors qu’elle l’avait taquiné sur sa possible prise de poids, le jeune homme s’était rapproché d’elle, et lui avait pris la main pour la poser sur ses abdos, histoire qu’elle vérifie d’elle-même que c’était du dur et certainement pas du gras. Et en même temps sentir le contact avec la jeune femme n’était pas du tout déplaisant pour le poufsouffle. Joueuse, elle lui annonça même qu’elle voulait mieux vérifier. Elle se trouva même une petite excuse pourrie pour pouvoir le retoucher. Maxwell avec un grand sourire accroché sur les lèvres, plutôt content de ce qui était en train de se passer.

– Bien sûr Carla, c’est pour la science … Pas du tout parce que tu meurs d’envie de toucher ce corps un peu plus longtemps.

Un sourire malicieux, accompagné d’un petit clin d’œil. Maxwell avait l’impression que Carla était plus ou moins ouverte à lui, dans le sens où elle n’était pas aussi indifférente qu’elle voulait bien le faire croire depuis des semaines. Et forcément, cela rassurait le garçon et lui faisait plaisir également. Cette complicité qu’il avait avec elle lui avait fortement manqué. Parce qu’au fond, Carla était réellement le genre de personne avec qui il adorait trainé. Elle était belle, taquine, ne se laissait pas marcher sur les pieds. Elle était un concentré de tout ce qu’elle aimait avec ses bons et ses mauvais côtés. Etre seul avec elle de cette manière sans les disputes et les cris lui prouvait qu’être proche d’elle lui avait manqué, quand elle lui faisait la guerre, ça le touchait beaucoup plus qu’il ne voulait bien l’avouer. Carla semblait quand même convaincue maintenant que c’était bel et bien dur, sans la moindre trace de gras, ce qui lui décocha un petit sourire satisfait. Au moins, elle l’avouait, et ça faisait plaisir. Taper dedans par contre ? Alors qu’il fit mine de réfléchir, il balança quand même une petite phrase de moldu histoire qu’elle oublie son envie de le taper. Faites l’amour pas la guerre, disait un moldu, même s’il ne se souvenait pas réellement du nom du mec. Mais il avait trouvé que la situation était propice à ce genre de citation.

– Ca doit être ça. Il parait que les moldus sont chauds … ça doit être du côté de mon père que je tiens ça du coup. Mais est-ce que je te ferais autant rire si j’étais coincé comme un manche à balai. Tu aimes ce petit côté décalé, j’en suis sûr.

Dit le jeune homme avec beaucoup d’assurance. Il en fait des tonnes évidemment parce que c’est plus drôle de cette façon, et parce qu’il a clairement envie de continuer cette petite joute verbale qui se déroule entre eux. Ce petit côté pervers était présent chez lui, tout le monde le savait au final, mais il fallait croire que Carla n’avait pas un si grand problème avec si elle continuait de lui parler un peu, non ? Du moins, il l’espérait quand même.

Mais visiblement la verte et argent avait envie de mettre fin à cette conversation. De manière diplomatique évidemment, elle usait de ses paroles pour lui faire comprendre qu’il était peut-être temps de se retirer. Mais pour être honnête, Max n’avait pas la moindre envie de la voir partir, comme s’il savait qu’il ne retrouverait pas cette complicité si elle s’en allait. Etait-ce égoïste de vouloir qu’elle reste plus longtemps justement parce qu’il voulait plus de ce moment ? Peut-être elle n’en avait même pas envie au final.

– Ce n’est pas très diplomatique de partir avant même d’avoir réussi à trouver un accord, non ? … Puis j’ai pas trop envie que tu t’en ailles maintenant.

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Plus on déteste quelqu'un plus on l'aim... Non, on le déteste juste



- Tu n’as jamais eu aucun esprit scientifique. Normal que tu ne comprennes pas.

Si la mauvaise foi pouvait tuer, elle aurait sans doute été foudroyée sur place Et l’air satisfait de son interlocuteur lui indiquait qu’il le savait aussi bien qu’elle. Maxwell 1 – Carla 0. Sur cette bataille-là, il avait gagné haut la main. A son grand désespoir. Elle pensait reprendre l’ascendant, mais il lui fit remarquer, à juste titre, que s’il avait été trop sage, elle ne l’aurait même pas regardé. Difficile de le nier. Il y avait évidemment une part d’alchimie avec lui qu’elle ne s’expliquait pas, mais elle l’avait aussi remarqué parce qu’il était tout ce qu’elle n’était pas. Parce qu’à lui tout seul, il offrait des centaines perspectives qu’elle n’aurait jamais eues en restant parmi ses fréquentations habituelles. Toutes ses connaissances étaient terriblement réservées. Froides même. Pas toujours très fantasques. Comment le leur reprocher quand on est élevé dans l’idée que l’image que l’on renvoie compte plus que ce que l’on est ? Maxwell n’avait aucun filtre, pour le meilleur comme pour le pire, inventait une bêtise à la minute, ne semblait jamais rencontrer le moindre problème sérieux, se contrefoutait de l’image qu’il renvoyait … Avec lui, son existence était indubitablement plus amusante. Plus compliquée aussi d’une certaine manière. Un peu comme dans ses romans à l’eau de rose qu’elle lisait en cachette. Mais puisqu’elle s’enfonçait dans la mauvaise foi, autant continuer de s’y vautrer avec délices

- Je ne ris pas grâce à toi, mais de toi, nuance. Puis je peux aimer l’élégance tu sais.

Quand elle avait lancé une amorce pour mettre fin à la discussion, Max l’en avait empêchée. Pas physiquement mais en relançant le jeu, son éternel sourire charmeur sur les lèvres. Et Carla s’était trouvée fort démunie. Elle voulait rester. Elle voulait être loyale à Finn. Elle voulait le planter là et reprendre le contrôle. Elle aurait préféré que cette bulle ne s’arrête jamais. Comme d’habitude, elle était trop contradictoire pour son propre bien. La culpabilité enflait dans sa poitrine et menaçait de ne plus la quitter. Quand la situation lui échappait avec Maxwell, elle s’en voulait de tout ce qu’elle faisait, comme pour tout ce qu’elle n’était pas capable de faire. Finnbjörn aurait détesté la voir ainsi, elle était prête à en mettre sa main au feu. Il aurait songé que c’était indigne d’elle, de son nom et de son sang. Comme pour illustrer son combat intérieur, elle recula d’un pas pour mettre quelques centimètres de distance entre eux, tout en disant totalement le contraire

- Si tu ne veux pas que je parte, trouve une raison pour me pousser à rester.

Elle qui n’aimait pas la lâcheté, c’était une réponse qui brillait par son manque de courage. Elle l’obligeait à trancher son dilemme intérieur, comme pour se dédouaner. Apaiser sa conscience en rejetant le choix sur les autres n’était pas très joli. Mais c’était aussi le plus simple. Puis une part d’elle mourrait d’envie de savoir s’il allait la retenir. Il l’avait laissée partir lors de leur rupture, l’avait laissée filer après le restaurant sa mère et n’avait pas esquissé un geste quand elle s’était enfuie après le cours de potions. Est-ce qu’il avait vraiment envie qu’elle reste ? Ou est ce qu’il voulait gagner le jeu ? Elle ajouta, pour tenter d’insuffler de la liberté à ce qu’elle venait de dire

- Quel accord veux-tu me soumettre ?
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Carla se la jouait de mauvaise foi, ce qui faisait beaucoup rire le jeune homme. Evidemment, elle l’avait touché simplement pour son amour pour les expériences scientifiques, il n’y avait absolument rien derrière tout cela. Maxwell avait un petit sourire satisfait au coin des lèvres, comme pour montrer à Carla qu’il ne la croyait pas une seconde. Dans son élément, Max savait qu’il avait un peu le pouvoir, qu’il maitrisait la situation d’une main de maître. Après, Carla était également une bonne joueuse, et c’était ce qui rendait cet échange aussi appréciable et sympathique. A tel point que le poufsouffle n’avait pas la moindre envie de voir cette discussion prendre fin. Toujours aussi sûr de lui, et malgré les petites piques de sa camarade, Maxwell aimait lui montrer que de toute façon elle appréciait sa personne. Il faut dire qu’à la base, elle ne l’avait pas choisi parce qu’il correspondait à ses amis, sinon il n’aurait jamais eu aucunes chances avec la demoiselle. Il était bien trop différent de son cercle de connaissance habituelle. Il n’était pas de sang-pur, il n’était pas poli, ou réservé, au contraire il avait une personnalité très extraverti. Il n’avait peur ou honte de rien, et aimait s’amuser sans réellement penser aux conséquences. Il n’avait pas de filtre, laissait passer ce qui lui passer à l’esprit sans se poser trop de questions. Pour cela, ils étaient différents. De par leur éducation très différente, Carla avait plus de retenue que lui. Elle était plus diplomate, plus réfléchie et plus sérieuse que lui de manière générale. Mais elle avait tout de même cette petite dose de folie en elle qu’elle laissait exprimer en sa présence. D’une certaine manière, il faisait une bonne paire. Elle était le genre de personne qui pouvait canaliser le garçon, qui ne le laissait pas lui marcher sur les pieds. Leurs différences les avaient finalement rapprochés, et leurs similitudes leur avaient offert une complicité que Max n’avait avec personne d’autre au final. Et c’était aussi pour cela qu’il aimait ce moment privilégié passé avec la jeune femme. Il n’avait pas envie de revenir à la normale. Il ne voulait pas se replonger dans la vie extérieure de Poudlard où les relations étaient toujours compliqués, où les conflits étaient toujours présents. Ici, ils étaient dans une bulle qui leur faisait probablement du bien à tout les deux.

Elle s’amusait avec lui, elle ne pouvait pas lui dire le contraire. Et Max, surement par mauvaise foi aussi, ne s’imaginait pas qu’elle puisse autant apprécier ses entrevues avec Finn. Après tout le garçon avait l’air particulièrement austère et terriblement chiant de son point de vue extérieur. Toujours bien sapé, toujours poli, toujours trop, avec son accent dégueulasse à couper au couteau. Peut-être que s’il n’avait pas peur de la réponse, il lui aurait même demandé si elle s’amusait avec Finn autant qu’elle s’amusait avec lui, si elle avait réellement trouvé cette complicité avec le gryffondor. Mais la possibilité d’une réponse positive l’empêchait complètement de se laisser aller à poser cette fameuse question.

– Chéri, toi et moi, on sait pertinemment que tu mens. Tu ris bien plus souvent avec moi que tu ris de moi, j’en mettrais ma main à couper. L’élégance … je pense que tu aimes ça oui, mais ta véritable drogue c’est cette petite dose de danger.


Dit-il finalement avec un petit sourire en coin. Maxwell ne voulait clairement pas admettre qu’elle puisse trouver quelque chose à Finn. Et dans sa tête, il ne pouvait pas imaginer qu’elle apprécie réellement un mec aussi lisse. Mais en même temps, il ne pouvait rien voir des bons côtés du garçon étant bien trop impliqué dans cette histoire.

La jeune femme commençait à vouloir lui faire comprendre qu’elle voulait se retirer. Peut-être qu’elle en avait marre d’être en sa présence, peut-être qu’elle avait d’autre chose à faire. Et peut-être que le jeune homme aurait du la laisser partir sans dire un mot. Mais il n’avait pas envie de s’y résoudre. Peut-être était-ce par pur égoïsme, mais il voulait qu’elle reste ici en sa compagnie. Il n’était pas encore prêt à dire au revoir à cette complicité fraichement retrouvé. La jeune femme recula d’un pas, comme pour mettre de la distance entre eux. Maxwell comprit qu’il aurait surement du mal à la convaincre de rester. Cette distance c’était peut-être pour lui montrer qu’elle n’avait plus envie de jouer et qu’elle voulait désormais qu’il le laisse tranquille. Mais contre toute attente, elle ne l’envoya pas sur les roses. Elle lui demanda simplement de trouver une raison pour la pousser à rester si c’était réellement ce qu’il voulait. Et il comprit en entendant ses paroles qu’elle n’avait pas non plus la moindre envie de partir … sinon pourquoi lui faire comprendre de cette manière ? Certes, elle reposait ce choix sur lui, mais elle n’était pas dans une optique de fuir maintenant. Le garçon se posta finalement entre Carla et la porte.

– J’ai pas l’intention de bouger. Je peux rester ici toute l’après-midi s’il le faut.

Dit-il avec un petit sourire en coin en plongeant son regard dans celui de son ex. Déjà c’était une première chose pour gagner un peu de temps. Etrangement, il ressemblait à un gamin à qui on avait dit non, et qui ne lâcherait pas jusqu’à qu’on cède.

– Tu peux rester parce que je sais que tu as pas la moindre envie de partir … Comme moi.

Clairement, il n’avait pas la moindre envie que la jeune femme ne parte. Egoïstement peut-être, il voulait la garder un peu plus avec lui. Et derrière son assurance, il avait du mal à savoir si c’était réellement ce que voulait la verte et argent. Elle lui demanda d’ailleurs à nouveau quel accord il voulait lui soumettre. Il attrapa la main de la jeune femme pour l’attirer vers lui … avant de la pousser doucement contre le mur. Devant elle, il se tenait à l’aide de son bras contre le mur, laissant finalement que quelques centimètres entre eux. Son regard plongé dans le sien, le jeune homme lui murmura finalement :

– Quel accord attends-tu de moi maintenant ?


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Plus on déteste quelqu'un plus on l'aim... Non, on le déteste juste



- Tu te compares à une drogue maintenant ?

S’il savait à quel point la comparaison était appropriée dans son cas. Plus elle essayait de l’éviter et plus elle se prenait dans ses filets. Pourtant, il la faisait souffrir plus souvent et plus intensément que quasiment tout son entourage. Mais une joute verbale dans une salle vide et elle rechutait. Elle avait réussi pendant quelques mois après leur rupture à lâcher l’affaire. Là, elle perdait le contrôle. A croire qu’elle aimait être déçue. Elle rejetta ses cheveux en arrière d’un mouvement de tête, pour le toiser, taquine

- Et surtout, tu me crois assez accro pour pas décrocher ?

Carla le regarda, entre incrédulité et désespoir que la seule raison qu’il soit capable de lui offrir pour qu’elle reste soit de lui bloquer le chemin. Il y avait des centaines de choses qu’elle voulait entendre de sa bouche, certaines qu’elle avait attendues depuis un temps qui lui paraissait infini. Et lui, il se contentait de lui barrer le passage ? Carla esquissa un pas sur le côté et lui fit remarquer

- Je peux te contourner, tu sais.

Elle s’adoucit cependant quand il réitéra qu’il n’avait pas envie de partir, tout comme elle.

- Tu ne peux pas savoir ce que je pense.

Elle pensait qu’ils allaient rester là à se toiser pour voir qui des deux abandonnerait en premier quand Maxwell lui prit la main, avant la bloquer entre le mur et lui. Carla perdit de sa superbe en se voyant ainsi acculée, mais ne chercha pas à se dégager. Elle savait que Maxwell prendrait cela comme un assentiment de sa part. Elle était assez têtue et assez impulsive pour se soustraire de cette situation, quitte à utiliser sa baguette, si elle l’avait souhaité. Le fait qu’elle se contente de le regarder dans les yeux sans rien dire était un accord implicite. Elle voulait savoir ce qui allait se passer ensuite. L’atmosphère avait changé. Jusque-là, le jeu était léger. Là, elle ne savait pas. Elle savait juste qu’il était à quelques centimètres d’elle. Tellement proche qu’elle n’avait qu’à s’avancer d’un quart de pas pour l’embrasser. A cette pensée, sa respiration s’accéléra, presque imperceptiblement. Elle mourrait d’envie de le faire. Juste pour savoir si ses souvenirs lui rendaient justice ou pas. Cette idée l’hypnotisait autant que la courbe de ses lèvres. Les yeux rivés sur lui, elle murmura

- Je crois que je ne sais pas moi-même.

C’était certainement ce qu’elle avait dit de plus vrai depuis ces dernières minutes. Elle ne savait pas ce qu’elle attendait de lui. Parce qu’elle était consciente de ses limites et tout ce qu’elle souhaitait, elle ne pourrait pas l’obtenir de lui. Alors, elle ne le lui demanderait pas. Elle n’était pas de taille à encaisser un refus maintenant, dans cette position. Elle voulait que cette parenthèse continue d’être un joli souvenir. Un moment suspendu où elle ne le détestait pas. Elle ne voulait même pas entendre sa réponse. S’il lui re-proposait juste de s’envoyer en l’air pour le fun, elle avait l’impression que ça teinterait de vulgarité un moment qui ne l’était pas. S’il abandonnait, elle aurait l’impression qu’il avait retenue juste pour lui arracher l’aveu de quelque chose. En fait, aucune des réponses qu’il pouvait lui offrir ne lui conviendrait. Ca gâcherait tout. Alors, mue par la volonté qu’il ne dise rien et par son envie de l’embrasser, elle réduit la distance entre eux et posa ses lèvres sur les siennes. Ce fut d’abord juste un effleurement, comme pour lui laisser le choix de se dégager, puis très vite son baiser se fit plus insistant. Plus exigeant. C’était tellement mieux que dans ses souvenirs. Comme si l’interdit lui donnait une saveur particulière.

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Est-ce que le jeune homme se comparait-il à une drogue ? Peut-être que la comparaison avait été maladroite mais à bien y réfléchir, c’était en quelque sorte ce que Carla était pour lui. Le poufsouffle était incapable de la lâcher complètement même des mois après leur rupture. Il avait toujours besoin de l’avoir dans son viseur d’une manière ou d’une autre, que ce soit à travers des manipulations, ou des espionnages de la grosse Sarah, ou des petites rumeurs balancé sur elle entre deux couloirs, ou même aujourd’hui dans cette salle dont il n’avait pas envie de la voir partir. Elle était comme une drogue dont il ne pouvait se passer : constamment à la suivre, à garder des informations sur elle, voulant être proche de cette dernière quel que soit la manière. Qu’elle le déteste ou qu’elle l’apprécie, tant qu’elle faisait un minimum attention à lui et qu’il ne tombait pas dans l’indifférence … Ce n’était pas forcément bon, ni pour lui ni pour elle. Cela avait certains effets néfastes, comme une drogue finalement. Encore aujourd’hui, cette sensation de manque, d’envie, de besoin qui flottait dans la pièce, et qui ne faisait que confirmer cette sorte d’addiction malsaine qu’il avait pour elle. Dans un sens, la jeune femme avait donc raison en lui posant cette question. Elle pouvait être comparée à une drogue par rapport à l’effet qu’elle avait sur lui. Etait-ce la même chose pour elle ? Ca il n’en était pas sûr, parce que Carla n’avait pas la même approche malsaine face à leur relation. Après tout, c’était elle aussi qui voulait qu’elle le lâche, qu’il arrête de s’immiscer dans sa vie. Mais il n’était pas dans sa tête et ne pouvait pas deviner ce qu’elle pensait sur la question. Carla était difficile à cerner, et Maxwell avait du mal depuis leur rupture à savoir réellement ce qu’elle pensait de lui. Il n’avait jamais réellement posé la question non plus, surement par peur d’avoir une réponse qui ne le satisferait pas. Mais d’une manière générale, il y avait quelque chose en plus entre les deux ex, quelque chose qui faisait qu’ils étaient encore là, dans cette pièce vide, plus d’un an après leur rupture, alors qu’ils auraient du vaquer à leurs occupations, qu’ils auraient du ne plus faire attention l’un à l’autre depuis un moment. Une autre question vint compléter la première. La croyait-il assez accro pour ne pas décrocher. Elle le taquinait d’une certaine manière, ce qui redonna le sourire au garçon.

– J’ai pas la prétention de dire que je suis ta drogue. Mais je pense que c’est ce jeu dangereux qui te fait vibrer.

Répondit finalement le jeune homme. Il ne savait pas si c’était réellement lui qui pouvait être sa drogue mais on ne lui enlèverait pas de la tête que Carla avait un penchant pour ce genre de relation : le genre qui possédait une petite dose de danger, qui la faisait vibrer à chaque entrevue, qui lui apportait un semblant d’aventure, très loin de la sécurité de Finn qui était bien trop lisse à ses yeux pour la Carla au tempérament de feu. Elle allait se faire chier avec lui. Alors peut-être qu’elle avait l’impression d’avoir des envies de facilité, un mec tranquille pour faire des vieux trucs de couples, mais elle n’aurait pas cette petite flamme avec lui. Peut-être que Max s’inventait tout ça pour se rassurer lui-même. Mais au final c’était ce qu’il pensait, et le fait qu’elle soit ici aujourd’hui, avec lui, à entrer dans son petit jeu le confortait quelque peu dans cette idée.

En attendant, elle voulait partir … Mais Maxwell n’était pas prêt à laisser la jeune femme partir. Il ne voulait pas perdre cette complicité, ce moment qui se déroulait entre eux. Il s’était mis entre la jeune fille et la porte comme pour gagner du temps pour l’empêcher de partir d’ici. Elle pouvait le contourner certes. Mais il n’avait pas envie qu’elle le fasse, et il espérait qu’elle non plus. Elle lui rappela néanmoins qu’il ne pouvait pas savoir ce qu’elle pensait.

– Alors dis-moi.


Répondit-il. Non il ne pouvait pas deviner ce qu’il y avait dans sa tête. Il ne pouvait pas savoir ce qu’elle pensait à ce moment-là : si elle voulait réellement partir et continuer sa journée en oubliant leur entrevue ou si comme lui elle voulait continuer à lui parler, continuer à rester en sa compagnie dans cette petite salle vide.

Il ne lui laissa pas réellement l’occasion de répondre puisqu’il attrapa sa main pour l’attirer vers lui, avant finalement de la faire reculer contre ce mur. Maintenant à quelques centimètres d’elle, les yeux dans les yeux, il ne savait pas réellement où il voulait aller en faisant ça, mais c’était plus fort que lui, simplement ce besoin d’être proche d’elle maintenant. Il pouvait sentir son parfum enivrant. Son cœur s’était légèrement accéléré comme s’il savait lui-même qu’il avait encore franchi une barrière en la coinçant de cette manière. Ce n’était plus réellement une joute verbale innocente où chacun avait son espace vital. Désormais, il empiétait sérieusement sur le sien. Alors qu’il s’attendait presque immédiatement à être repoussé, il n’en fut rien. La jeune femme le regardait dans les yeux en silence, comme surprise par la tournure qu’avaient pris les évènements. Qu’est-ce qu’elle attendait de lui maintenant ? Dans un murmure, elle lui avoua qu’elle ne savait même pas elle-même. Et Maxwell voulait bien la croire pour le coup, ses yeux criant de sincérité. Il ne doutait pas un instant qu’elle puisse le mentir à ce moment précis, parce qu’elle était finalement peut-être aussi ‘perdu’ qu’il pouvait l’être sur cette relation qui ne s’expliquait finalement pas.

Elle réduisit un peu cet espace entre eux, et Max sentit ses battements de cœur s’accélérer. Il n’était pas réellement sûr de ce qui allait se passer encore, parce qu’à tout moment il pouvait quand même se prendre un poing dans la figure, après tout c’était Carla en face de lui hein. Mais elle s’approcha encore un peu s’avançant doucement vers lui pour au final poser ses lèvres sur les siennes. OH PUTAIN. OH PUTAIN.

*OH PUTAIN. Il est en train de se passer ce que je crois qui se passe là ? OMG. OMFG. Ses lèvres sur les siennes, là maintenant. Il était en train de rêver. Est-ce que toute cette discussion était juste un rêve et qu’il était en réalité dans sa salle commune sur le canap’ à ronfler comme un gros porc ? Non mais non … OMG. Bon allez mec taggle, concentre toi là, faut pas disperser tes deux neurones. Allez tranquille, on se calme. Et on retourne sur la galoche.*

Et il sentit ce baiser se faire de plus en plus intense. Le garçon reprit le contrôle en la poussant un peu plus contre le mur, ne laissant plus de place entre eux. Ses battements de cœur s’accéléraient et ce baiser en était de même. Sauvage et sensuel à la fois, comme le doux goût de l’interdit qui lui donnait envie encore et encore. Une envie que ce baiser ne s’arrête pas … Cette main contre les rumeurs, et cette autre qui s’agrippe dans ses cheveux. Une sensation douce et sauvage à la fois, et un effet incroyable sur le garçon submergé par la situation …


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A sa plus grande joie, non seulement il ne la repoussa pas mais approfondit leur baiser. Ce baiser était certes inattendu, mais elle n’avait aucune envie de le rompre. Pourtant, le souffle court, elle dut se détacher de lui, ne serait-ce que pour reprendre sa respiration. Elle avait le cœur qui battait la chamade, les joues rouges et les yeux brillants. C’était l’un des meilleurs baisers de sa vie.

- Je …

Elle bredouilla, prenant conscience de ce qu’elle venait de faire, un éclat de panique pure dans le regard. Comme si cet idiot ne se sentait pas suffisamment libre d’entrer dans sa vie et de la régenter comme bon lui semblait, elle lui offrait sur un plateau toutes les raisons de recommencer ad vitam aeternam. Puis surtout, elle l’avait embrassé. Alors qu’elle était avec Finn. Même dans le cadre d’une supercherie, c’était une sorte de déloyauté. Et dire que le sang pur pensait qu’elle était une personne respectable … Elle était juste tellement perdue dans sa vie et dans sa tête, qu’elle se retrouvait à embrasser le garçon qu’elle voulait étriper une heure plus tôt. Parce qu’il écrivait des contrats sexuels sur son compte. Quoi qu’il en soit, elle devait partir avant que tout ceci ne prenne plus d’ampleur. Oui, c’était exactement ça, elle voulait prendre les jambes à son cou, se terrer dans sa salle commune et se répéter en boucle qu’elle venait de flinguer une bonne partie de son plan avec Finn et de leur amitié. Parce qu’après tout, ils étaient amis autant qu’alliés, non ? Il fallait qu’elle arrange la situation. Qu’elle remette tout dans l’ordre et qu’elle se sauve. Elle tenta de se recomposer un visage et détourna le regard, incapable de soutenir celui de Maxwell. D’une voix qu’elle voulait distante, elle déclara

- Fin de la négociation.

Elle se glissa sur le côté pour ne plus être coincée entre le mur et lui. Une fois une saine distance installée entre eux deux, elle secoua légèrement la tête pour essayer de rendre ses idées plus claires.

- J’ai voulu essayer, mais toi et moi, ça ne fonctionne pas, y a plus d’alchimie entre nous, tu l’as bien senti. Je suis désolée. Finn … me correspond mieux et je veux pas tout foutre en l’air avec lui.

Le mensonge était tellement énorme qu’elle se demandait si ça allait passer. Au contraire, ce baiser était fantastique. Elle le savait, elle était aux premières loges. Max aussi, et elle voyait difficilement comment il allait la croire. Lui aussi avait dû ressentir que c’était même mieux que quand ils étaient ensemble. Mais elle ne pouvait pas se permettre d’espérer et d’être déçue ensuite. Elle ne pouvait pas faire espérer Maxwell en lui faisait croire qu’elle signerait un jour n’importe quel contrat débile alors qu’elle aurait voulu être sa petite amie et elle ne pouvait pas trahir Finn. C’était douloureux sur le moment, mais c’était comme enlever un pansement. Il fallait le faire d’un coup sec et dans quelques secondes, il n’y aurait plus rien. Plus froide, elle ajouta

- Il ne s’est rien passé ici.

Elle ne resta même pas le temps de voir la réaction de Maxwell, dans une absence totale de courage, elle préféra prendre ses jambes à cou et quitter la pièce comme si elle avait le feu aux trousses. Ca commençait à devenir une fort mauvaise habitude avec Maxwell.
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Impossible de décrire ce qui se passait dans sa tête à cet instant. Entre sauvagerie et sensualité, les lèvres de la jeune avait un goût d’interdit mélangé à de l’envie, et de la passion. Comme si plus rien n’existait autour, oubliant totalement qu’il était dans le château, que quiconque pouvait entrer dans cette pièce à tout moment. Une vague d’adrénaline venait de le frapper en plein visage, son cœur battait de plus belle, tandis que ses lèvres touchaient celle de la jeune femme. Un plaisir intense, une excitation immense l’animait. Elle lui donnait chaud, elle lui donnait envie de continuer, elle lui donnait d’oublier son rendez-vous avec Cab plus tard. Alors ce fut une pointe de déception que de voir ce baiser prendre fin. C’était le choix de Carla, qui était surement autant bouleversé que lui par ce qui venait de se passer. Il n’était pas dans sa tête, mais maintenant que l’euphorie du moment venait de prendre fin, le garçon se rendait un peu mieux compte. Ou pas … en fait ce baiser l’avait chamboulé bien plus qu’il ne l’aurait cru. C’tait la concrétisation de ce jeu qui s’était doucement installé entre eux dans cette pièce, le goal de ce jeu de séduction … Et alors qu’il avait l’habitude de toujours tout maitrisé, le poufsouffle avait l’impression de perdre légèrement pied avec cette démonstration inattendu de Carla. Il en avait eu envie, il n’allait pas le cacher. Après tout, embrasser Carla avait toujours été quelque chose qu’il désirait. Mais c’était elle qui avait rompu cette distance entre eux pour poser ses lèvres contre les siennes. Elle avait fait le choix de l’embrasser en connaissance de cause, et cela allait à l’encontre de tout ce qu’elle prônait depuis des semaines … depuis des mois. Alors qu’est-ce que ça voulait dire pour elle ? Un aveu qu’elle le désirait encore ou une action sous le coup de l’euphorie. Certes, il était un peu perdu, mais il n’avait pas non plus réellement envie de casser ce moment en posant des questions. Cela pouvait très bien attende plus tard après tout. Maxwell n’avait pas réellement envie de voir disparaître cette sensation de légèreté et d’excitation qu’il ressentait à ce moment précis.

Carla bafouilla, comme si elle voulait dire quelque chose mais qu’elle ne trouvait pas les mots. Il ne pouvait pas lui jeter la pierre, il ressentait exactement la même chose. Il ne savait pas réellement quoi dire après ce qu’ils venaient de partager, ce baiser aussi surprenant qu’inattendu. Mais il avait tout de même un petit sourire au coin des lèvres, gage qu’il ne regrettait absolument pas ce qu’il venait de se passer. Il n’avait pas envie que Carla pense que maintenant il avait eu ce baiser, il allait agir comme s’il venait de gagner le jeu. Ce n’était pas cela qu’il ressentait. Légèrement perdu dans ses pensées, il ne remarqua pas immédiatement le malaise qui venait de s’installer, il ne se rendit pas compte de la panique dans le regard de la jeune femme. Trop distrait peut-être. Mais la demoiselle finit par quitter cette zone de proximité pour se détacher de lui, pour s’éloigner. Le garçon se retourna pour essayer de capter son regard et de savoir ce qu’elle allait lui dire. Après tout, comme elle avait été l’instigatrice, Maxwell attendait un peu qu’elle parle en première. Pas qu’il ait besoin d’une explication de son geste mais simplement peut-être pour prendre un peu la température. Mais alors qu’il essayait de croiser son regard, il ne la trouvait pas. Comme si elle ne voulait plus croiser son regard. Le poufsouffle se trouvait dans l’incompréhension, ne sachant pas réellement comment réagir. Ils avaient été si proches une seconde auparavant et maintenant elle ne voulait plus le regarder dans les yeux. Mais qu’est-ce que cela pouvait bien dire. Elle avait annoncé la fin de la négociation. Légèrement surpris, parce qu’il était à mille lieux de penser à ça maintenant, le jeune homme se recula un peu pour lui laisser la place nécessaire dont elle avait besoin.

L’interrogeant du regard … un regard qu’il ne trouva pas … la demoiselle finit finalement par reprendre la parole. Sa voix avait totalement perdu son ton taquin, son ton chaud qu’elle avait utilisé avec lui auparavant. Plus froide, plus distante, Maxwell était plutôt décontenancé par ce changement quelque peu radical. Mais peu importe ce qu’il s’était imaginé, ce n’était certainement pas les mots qui sortirent de la bouche de la verte et argent. Plus d’alchimie ? Mais de quoi était-elle en train de parler ? Il n’était pas fou, cette sensation intense, il n’avait pas été le seul à le ressentir … Qu’elle se rende compte que ce baiser puisse être une erreur, ok … mais lui faire comprendre que ce baiser était fade ? Non ça ne collait pas … Mais le coup de grâce c’était quand même d’entendre de sa bouche que Finn lui correspondait mieux. C’était difficile à encaisser. Il aurait préféré qu’elle se casse sans rien dire plutôt que de lui balancer ça en pleine face. Un mélange d’émotions contradictoire semblait s’emparer de lui. Il ne comprenait pas. Il ne comprenait pas comment elle pouvait agir d’une façon et être aussi froide la seconde d’après. Est-ce qu’elle cherchait à le blesser ? A le faire fuir ? A le dégouter ?

Il n’avait même pas besoin de parler, parce qu’elle ne lui laissa pas l’occasion. Elle le laissa comme une merde dans cette pièce, lui faisant clairement comprendre qu’il ne s’était rien passé, autrement dit qu’il n’avait pas intérêt à raconter à qui que ce soit ce qui venait de se passer ici. Elle prit ses jambes à son cou. Evidemment. Pourquoi rester et risquer de devoir assumer et de parler de ce qui venait de se passer … Déjà son égo avait mal, mais plus que ça au final …

– PUTAIN.

Et un poing dans le mur, et un. Histoire de faire passer cette frustration associé à de la colère. Action stupide puisque maintenant il avait mal. Pas étonnant, les murs ca rend pas les coups et ça les encaisse bien mieux qu’un humain.
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