C'était comment avant Poudlard ?:
Je m'appelle Phoebe Parker. Je suis née à New York, dans le Queens, lors d'une belle soirée de décembre, et j'ai grandis là bas. Depuis toute petite, j'ai toujours su ce pour quoi j'étais faite. Quelle était ma véritable passion. Je tenais sans doute cela de mes parents, car ma mère avait un don incroyable pour le chant, don qu'elle n'a jamais pu dévoiler au grand jour, aussi s'est-elle contentée d'être professeur de chant, quant à mon père, bien qu'il ai été avocat, il avait un sacré don pour le piano. A dire vrai, tout a commencé lorsque j'avais cinq ans, quand j'ai écouter pour la première fois la voix de Barbra Streisand. A ce moment là j'ai su qu'il n'y avait pas d'autres choix possible, je devais être elle. J'étais déjà envoûtée par le pouvoir de Barbra. J'ai demandé à mes parents de prendre des cours de ballet cette même année. Ils ont acceptés, car pour eux, c'était bien que je m'intéresse à quelque chose alors que tant d'enfants préfèrent rester chez eux aussi longtemps que possible. Ces heures que je passais aux cours étaient magiques ; c'était ma porte d'entrée dans le show-business. Ma prof me disait que j'étais une mini Margot Fonteyn, elle m'a apprit le pouvoir de la musique et bien que ce studio de danse était juste un endroit assez vieux et moisi, pour moi c'était le plus bel endroit sur la Terre. Les années ont passées et j'ai continuer la danse classique, évidemment. Lorsque j'ai eut neuf ans, je suis tombée sur une comédie musicale de Barbra Streisand, et pas n'importe laquelle : Funny Girl, sa toute première comédie musicale, celle qui l'a définitivement lancée et a fait d'elle cette immense star qu'elle est aujourd'hui. La première fois que je l'ai vu a été un moment absolument inoubliable : elle avait non seulement une voix à se damner, mais aussi des talents d'actrice, cette femme était parfaite, et j'avais définitivement raison de vouloir lui ressembler. Mais lorsque je le disais à mes parents, ils pensaient que c'était une simple passade, et tentaient de me dissuader de vouloir suivre cette carrière, car on a bien plus de déceptions que de bonheur. Mais moi, depuis que j'avais cinq ans, je dansais et je prenais des cours de chants, je savais que je ne pouvais pas faire autre chose, c'était impossible ! Je le ressentais au plus profond de moi, cela faisait partie intégrante de moi, me l'enlever, c'était m'arracher qui j'étais réellement. Je leur en ai souvent voulu, mais malgré tout, je les aimais. Très vite, j'ai regardé d'autres de ses comédies, les plus connues car certaines, telles que Funny Lady, la suite en quelques sortes de Funny Girl, n'ont pas eut beaucoup de succès et il était extrêmement difficile de les trouvés. La particularité de ces deux dernières années n'a toutefois pas été la découvertes d'autres comédies musicales et films de mon idoles, même si cela reste le plus important pour moi. Non la particularité a été notre déménagement à Londres, mais surtout les choses étranges se faisaient en ma présence, bien que je n'ai jamais pu songer un seul instant que cela vienne de moi. Puis est arrivé l'âge de mes onze ans. Cette année a été spéciale car c'est lorsque j'ai eu onze ans que j'ai découvert que j'étais une sorcière. J'ai reçu une lettre plutôt étrange, tant par sa forme que par son contenu. L'enveloppe et la lettre étaient faites de parchemin, quant à l'encre d'écriture, elle était verte. Vraiment pas le genre de lettre que l'on trouve à tous les coins de rue ! Voici ce qui était écrit :

Chère Miss Parker,
Nous avons le plaisir de vous informer que vous bénéficiez d'ores et déjà d'une inscription au collège Poudlard. Vous trouverez ci joint la liste des ouvrages et équipements nécessaires au bon déroulement de votre scolarité.
La rentrée étant fixée au 1er Septembre, nous attendons votre hiboux le 31 juillet au plus tard.
Veuillez croire, chère Miss Parker, en l'expression de nos sentiments distingués.
Minerva McGonagall

Il m'était évidemment impossible de croire en une telle lettre, et j'aurai pu croire à une erreur si mon adresse n'avait pas été exactement écrite sur l'enveloppe, car la personne qui m'avait envoyer cela ne se contentait pas d'écrire l'adresse normale comme tout à chacun le ferait, elle avait prit soin de noter l'emplacement exact où je me trouverais au moment d'ouvrir cette lettre. C'était plutôt flippant avouez le, je me rappelle avoir regardé un peu partout pour vérifier que personne ne m'espionnais. Etonnée mais aussi effrayée, je suis de suite aller voir mes parents, et leur ai présenté la lettre. Je m'attendais à ce qu'ils pensent que j'avais fait confiance à de mauvaises personnes et donc, qu'ils me crient dessus, mais en fait ça n'a pas du tout été le cas. Ils ont prit le temps de m'expliquer que cette lettre était bel et bien réelle, ou fiable si vous préférez. Que j'étais une sorcière, vu que mon père était sorcier lui aussi. J'avais toujours été terre à terre comme fille, là où les enfants veulent devenir princes et princesses et avoir des pouvoirs magiques fabuleux, moi j'exploitais mon réel pouvoir qui était celui de ma voix. Aussi leurs explications, bien que cohérentes avec la lettre, me laissaient sceptique. Avec l'aide de ma tante nous nous sommes rendu sur le Chemin de Traverse, et là il a semblé évident que soit ils s'étaient donné un mal de d'enfer pour créer tout cela, soit c'était la réalité. Et il s'avère que la seconde proposition était la bonne réponse. Nous avons donc fait les achats nécessaire, avec beaucoup d'aide de la part de ma tante car nous n'y connaissions strictement rien pour notre part. Elle m'avait même ouvert un compte en banque à Gringotts, la banque des sorciers ! Puis à la fin du mois d'août, direction la voie n°93/4. Alors encore une fois, je n'ai pas pu croire qu'une telle voie ferroviaire puisse exister et pourtant si... à la condition de passer à travers un mur de brique. Je me souviens que, n'étant pas certaine de parvenir à passer, je m'étais approchée du mur en question et avait poser ma main dessus... main qui s'était engloutie dans le mur. J'avais donc pu passer sans problème. Puis je montais dans le Poudlard Express, non sans appréhension pour la suite. Arrivée à destination, j'avais suivi les autres premières années et le garde chasse. Arrivée dans le château, face au professeur McGonagal, nous entrâmes dans la Grande Salle qui était pour le moins majestueuse et surtout, remplie. Chacun notre tour nous passâmes le " test " du Choixpeau Magique qui devait nous indiquer à quelle maison nous étions destinés. Je ne me suis pas sentie à ma place parmi eux, et ce même si ma vie à Poudlard se déroulait relativement bien. Je me débrouillais pour m'occuper, chantant ou composant des chansons lorsque j'étais seule, bien que les chansons que j'écrivais n'étaient pas vraiment très bonne. J'avais aussi commencé une collection d'objet faisant référence à mon idole, que je faisais livrer chez ma tante qui chargeait ma chouette de me les transmettre ensuite. Un événement plutôt mémorable toutefois se déroula lors de ma deuxième année, durant les vacances de Noël, ou plutôt dans les alentours : un soir, un petit garçon qui devait avoir environ mon âge se présenta à la maison. Ma mère en le voyant, éclata en sanglot, incontrôlable. Mon père, ne entendant du bruit, était arrivé, moi à sa suite. Je supposais que le garçon était la cause du chagrin de ma pauvre mère, aussi je lui adressais un regard assassin tout en câlinant ma maman. De son côté,  mon père poussa violemment le garçon, et j'aurais probablement protesté face à cet accès de violence si je n'avais pas été si inquiète pour ma mère. Le regard du garçon me transperça, mon père lui hurla de ne plus jamais se présenter ici et lui claqua la porte au nez. Une fois cet épisode passé et ma mère calmée, ils s'accordèrent tout deux à me dire que ce n'était rien, et que je devais l'oublier. J'avais donc abandonné, renonçant à chercher des explications qu'ils ne me donneraient pas, alors que le garçon était à Poudlard. Si j'avais su avant, je serais probablement allé lui parler. Malgré cela, j'ai passé deux années plutôt bonne je l'avoue, jusqu'à ce que, l'année de mes treize ans, un drame n'arrive. C'était aux vacances de Noël, encore une fois, à croire que cette période ne portait vraiment pas de chance à la famille. J'étais retournée à New York, comme toujours, et nous étions partis nous amuser dans cette superbe ville. A Noël, New York propose toujours bon nombre de festivités particulièrement intéressantes, et puis j'étais déjà une très bonne chanteuse à cette époque, même si je suis bien meilleure aujourd'hui ! Au retour de cette magnifique journée ( nous étions à la veille de Noël ), nous avons eut un accident de voiture. Je me suis retrouvée éjectée de la voiture, je ne saurais trop vous dire comment. Mon père est mort sur le coup, quant à ma mère, elle a été brûlée au troisième degré. La dernière chose dont je me rappelle, c'est l'avant de la voiture qui prend feu, et moi qui tente désespérément de crier. Puis, le trou noir. Je me suis réveillée à l'hospital, et à ce qu'il paraît, j'ai eu de la chance, car je n'ai eu qu'une jambe cassée et et un poignet en guère meilleur état, assorti de plusieurs égratignure. Mais pour moi, ce n'est pas de la chance. J'aurais dû mourir ce jour là. Rejoindre mes parents. Pas survivre. Avec bien du mal, j'ai réussi à sortir de mon lit et à rejoindre la chambre de ma mère. Les derniers mots que j'ai pu lui dire étaient " Je t'aime ", à peine une seconde plus tard, elle avait rendu l'âme. Voilà. J'étais seule. Je devais leur dire adieux pour toujours, et ça... je n'étais pas prête. Personne n'est prêt pour une telle chose, mais encore moins lorsque l'on a treize ans. Depuis ce jour là, je suis juste incapable de dire " Je t'aime " à quelqu'un. Je n'avais plus envie de vivre, je n'en n'avais plus de raison. J'avais besoin de mes parents. Comme tout enfant. Sans eux, je ne pouvais rien. J'ai été envoyée chez ma grand mère, mais à son âge, c'était plutôt moi qui aurait dû m'en occuper que l'inverse. Or il a été jugé que dans mon état, ce n'était pas possible. Alors c'est ma tante qui m'a recueillie, et j'ai déménager à Londres. Malgré cette tragédie, New York me manquait. La seule chose positive qui se dégagea de cette histoire fut la connaissance de Lins, sans cela, je doute fort que nous nous connaîtrions aujourd'hui. C'est en grande partie grâce à lui que je n'ai totalement perdu pied, sinon je ne sais pas si je me tiendrais ici, écrivant cette page qui sera de toute manière brûlée à la fin de sa rédaction. Sans ce petit garçon optimiste et débordant de compassion et de gentillesse, j'aurais sombré, j'en suis certaine. Mais il a été là, et ne m'a pas abandonnée, et je ne pourrais sans doute jamais lui montrer à quel point je lui en suis reconnaissante. J'ai découvert que suite à cet accident, j'avais peur des voitures. Très vite, il a été clair que j'avais également peur du feu. A peine quelques jours après mon arrivée à Londres, j'ai tout de même tenté de me suicider. Cela me semblait être la seule porte de sortie acceptable. Vous pensez que je suis folle, n'est-ce pas ? Mais je ne voyais pas d'autres possibilité. Je n'attendais plus rien de la vie. Seulement la mort m'a encore une fois refusée. Et je me suis, derechef, réveillée dans un hospital, ce qui au passage, m'a fait découvrir ma peur pour cet endroit également. J'ai souligné le fait que Lins m'avait été d'une aide précieuse, mais il faut bien le reconnaitre, Barbra aussi. Ses comédies musicales m'ont tantôt aidée à laisser sortir la douleur que je renfermait ( comme avec Yentl ), mais aussi qu'il y avait encore une part minuscule de joie dans ce monde ( comme avec Helly, Dolly ), et une place ( Une étoile est née, un film qui semblait être fait pour moi ). Je n'avais certes pas plus envie de vivre, mais en revoyant son talent, j'ai compris que si mon destin était de vivre, c'était alors pour être comme elle. Pour être à la mesure de son talent. De continuer à m'exercer dans l'art d'être Barbra. J'avais envie de laisser la douleur et la folie m'envahir, mais mon caractère commençait à changer, et cela me semblait bien trop simple. J'allais me battre pour réaliser mon rêve et rendre mes parents fiers, où qu'ils soient. J'allais monter sur Broadway. Lorsque j'avais la force de chanter, je me sentais entière. J'avais la sensation que rien de mauvais ne pouvait plus se produire durant les quelques minutes si magiques d'une chanson. Lorsque je suis revenue à Poudlard, j'avais radicalement changé. Personne ne savait ce qui s'était passé, à l'exception évidemment d'une personne, mais tout le monde voyait un changement énorme en moi. J'étais plus sûre de moi, plus froide, plus implacable, il n'était plus question de me chercher la moindre petite embrouille. Je me suis perfectionnée en cinq ans, évidemment. Je souffrais toujours autant, mais je refusais de leur montrer, de leur ressembler, de leur donner le pouvoir et le plaisir de me détruire plus avant. Et il y avait également une chose extrêmement importante : le succès de Barbra venait de son originalité. Du fait qu'elle était différente. Et bien voilà : je suis devenue différente, différente en bien quoi qu'en pensent les autres. Très vite, Poudlard est devenue une prison pour moi, une prison renfermant une belle bande de faux culs qui ne méritaient pas même mon attention. Je me suis perfectionnée en magie, et j'agis selon mes lois dorénavant. Je fais ce qui me plait, comme cela me plait, s'il y a une justice à rendre je la rend à ma manière, bref, vous aurez compris. J'ai passé mon permis de conduire moldu, et mon permis de transplanage, c'est un peu comme si j'avais toutes les cartes en mains. Je n'aspire plus qu'à une chose : quitter le monde sorcier, monde qui n'est pas mien et qui ne l'a jamais été. A la fin de cette année je pars, et à moi le succès, à moi ma destinée, mon rêve. Et maintenant ? Et bien... je continue, je m'accroche et... je survie.

Et ta baguette, elle est comment ?: 25 cm, flexible, bois de chêne, plume de phoenix

Matières étudiées à Poudlard :
▬ Défense contre les forces du mal
▬ Etude des runes
▬ Métamorphose
▬ Sortilèges
▬ Etudes des moldus ( même si je trouve ça... blessant )
▬ Potions
▬ Astronomie

Père: Mon père était un avocat, un des meilleurs. Il était toujours présent pour sa famille et a toujours tout fait pour que nous soyons heureuses et ne manquions de rien, ma mère et moi. Et le jour où nous avons dû déménager, il a fait en sorte que nous continuions d'habiter en maison, et que la vie y soit confortable. Je crois que si il avait pu emmener New York avec nous il l'aurait fait, pour nous faire plaisir.

Mère: Ma mère quant à elle, était professeur de chant à la Tisch School of Arts à New York. Elle aussi était en or. Je pouvais tout lui dire, et elle était toujours là pour moi. Lorsque nous avons déménagé, elle a eut plus de mal à trouver le même job qu'à New York, car il semblant que la passion pour les arts dramatiques était moindre, cependant elle a fini par faire des cours à domicile.

Frère(s) et soeur(s): Pas que je sache. Si j'en avais un ou une, je présume qu'on m'en aurait averti, et si non, que le frère ou la soeur en question, si tenté qu'il ou elle sache, aurait tenté de me contacter. Mais ce n'est pas le cas. Donc non, je n'ai aucun frère, aucune soeur. Fille unique et c'est bien mieux ainsi !

Exemple de RP

J'avais appris encore tout récemment seulement que j'étais une sorcière. Il y a à peu près trois semaines à dire vrai. Et aujourd'hui j'étais là, dans cet... immense château, continuant à me dire que ce n'était pas possible. Ca ne peut être qu'un rêve. Et encore, même dans mes rêves les plus fous, je n'aurais jamais imaginé une telle merveille. Le mot qui convient est définitivement magique dans le cas présent, tout ressemble à un conte de fée presque. Le plafond, les bougies, la décoration. Je n'ai jamais été très portée " magie ", la seule magie ayant toujours existé à mes yeux étant celle du chant, cependant il faut avouer que l'on s'y laisse prendre facilement, rapidement. Trop facilement même. Cependant, Londres n'était pas New York, et Poudlard n'était pas la Tisch School of Arts, l'université où je rêvais d'aller lorsque j'aurais enfin atteint un bien meilleur niveau de chant. Ce qui signifie que Poudlard n'est pas pour moi. Rien ici ne me ressemble, pas plus que je ne ressemble à tous ces... sorciers. Ca fait toujours bizarre de dire ce mot en se disant qu'ils existent réellement. Mais je ne m'inclus pas dedans. Parce que la sorcière en moi n'a pas plus sa place que je n'ai la mienne ici. Elle n'est qu'un détail, une part de moi avec laquelle j'ai vécu onze années sans la connaître et avec laquelle je pourrais continuer de vivre en l'ignorant parfaitement. Mais ce n'est visiblement pas l'avis de mes parents, ou de ma tante. Selon eux, je dois développer ma magie, et ce n'est qu'ici que je peux le faire. Alors soit. Je donne une chance à cette école, et à mon côté sorcière. Peut-être serais-je agréablement surprise ? ...Non, soyons réaliste, il n'y avait aucune chance pour que je le sois, ce n'était pas moi, la petite américaine aux moeurs moldues qui allait trouver sa place dans une école magique, remplie par des élèves et des professeurs qui prenaient la magie et leur statut de sorcier très au sérieux, comme si cela les distinguait du reste du monde. Ce n'était pas mes rêves et mes ambitions qui me donneraient une place au sein de cette école ! Cependant j'avais dis que j'essayerais. Cela comptait beaucoup pour mon père visiblement, alors j'allais accepter d'être ici sans me montrer farouche. Ce n'était pas mon genre. Ou du moins ça ne l'était pas encore, car ce que je ne savais pas, c'est que deux ans plus tard, j'allais changer du tout au tout.
Nous étions tous regroupés devant la table des professeurs, face à un chaise sur laquelle était posée un chapeau. Un vieux chapeau, typiquement sorcier, pour lequel je ne voyais aucune utilité. Que devrions nous faire ? Lancer un sort pour le transformer en autre chose ? Ils allaient être déçus, j'étais fichtrement incapable d'en lancer un ! En même temps je ne m'étais jamais exercée... Comme en réponse à mes pensées, le professeur McGonagall ( qui s'était présentée à nous avant que nous n'entrions ) commença à appeler le nom des élèves, un par un, pour que chacun mette cet étrange chapeau sur la tête. Chapeau ? Non. Choixpeau en fait... car oui, c'est le chapeau qui décide dans quelle maison on va ! C'est une méthode comme une autre remarquez... Je me demandais un peu où j'allais atterrir. Selon mon père, les Serpentards étaient les plus durs mais les plus passionnés, comme moi. Les Gryffondors étaient par excellence la maison des gens qui se la pète et qui se croient les meilleurs, au dessus de tous, les Serdaigles étaient les intellos de services et les Pouffsoufle... et bien, pour reprendre ses mots, la maison qui regroupe tout le reste. Je trouvais cela un peu dur comme jugement, et j'espérais qu'il n'était juste pas très objectif, ayant lui même été à Serpentard. Non. Aucune de ces maisons n'est pour moi. Ma place n'était pas ici, je le sentais ! Je n'avais rien en commun avec les gens d'ici. Je n'appartenais pas à ce monde.
-Phoebe Parker.
Je m'approchais, appréhendant un peu, plus que de raison à dire vrai. Je ne pouvais cesser de me répéter aucune de ces maisons n'est pour moi... Tandis que le Choixpeau annonçait le verdict...

Autres comptes ?: Non
Points défis utilisés pour créer ce personnage : //
Age : 17 ans
Présence : Ca dépendra majoritairement de vous les amis Donnez moi l'envie de rester et je viendrais. Donnez moi l'envie de fuir et je disparaîtrais.
Comment t'es arrivé(e) là ?: On se cherchait un forum HP avec Raph, on est tombé sur vous et voilà xD
Star de l'avatar : La plus belle, magnifique, courageuse, talentueuse ! Bah Lea Michele voyons