♦ C'était comment avant Poudlard ?:
Cette histoire ne commence pas par un ciel miraculeusement ensoleillé, ni par le chant fugace mais non moins mélodieux des oiseaux dans un arbre spécialement fleurit pour l’occasion ; elle ne débute pas par un traditionnel « Il était une fois » impliquant automatiquement un « Ils vécurent heureux et eurent beaucoup d’enfants » - ce qui dans cette histoires, croyez-moi, n’est pas un avenir enviable. Ce ne sera pas non plus un « une fille très belle traversait la rue gracieusement » qui ouvrira notre récit, surtout pas suivit d’un « quand soudain un jeune homme incroyablement séduisant la bouscula brutalement – mais sans trop lui faire mal » car là aussi tout pourrait mener à un « Ils vécurent heureux et eurent beaucoup d’enfants ». Non, cette histoire ne commencera pas hélas de cette manière. Et si à la limite, vous voulez du classique elle pourrait aisément s’annoncer ainsi « Ils vivaient à peu près en harmonie, quand ils eurent soudainement des enfants ».
Car oui, toutes les familles dans les histoires ne sont pas heureuses, ne vivent pas d'amour et d'eaux fraiches et ne se racontent pas leurs plus grands secrets. Les gens préfèrent lire des contes ou des histoires à l'eau de rose ou tout fini bien dans le meilleur des mondes. Moi personellement, quand je lis un roman comme ça, ça me file plus le cafard qu'autre chose et ça ne fais que me rapeller à quel point, je suis malheureuse. Des fois, il m'arrive de me demander si tout aurait été différent si j'avais été un garçon.
Car oui, mes parents ne m'aiment pas. Peut etre qu'ils m'aimeraient si ils s'aimaient déja tout les deux. Ils ont du s'aimer, naturellement vu qu'ils se sont mariés mais maintenant je n'ai plus l'impression qu'il y ai de la passion mais juste du quotidien. Ce n'est pas vraiment l'idéal dans un couple n'est ce pas? Il m'arrive souvent de m'imaginer, mariée, avec des enfants. Un mari que j'aimerais, des enfants dont je ne pourrais pas me passer. Je me vois heureuse avec eux et puis je vois mes parents ensemble ou mes parents et moi et je perds tout espoir en la vie. Tout serait tellement merveilleux si ce n'était qu'une simple question d'amour.
Quand mes parents ont appris ma venue, ils étaient heureux et nourrissaient l'espoir d'avoir un fils. Pour la première fois, ils étaient heureux, ensemble et songeait avoir accompli quelque chose de parfait tout les deux. Ils étaient tellement fier, avaient déja fait la petite chambre de leur fils, avait déja choisi plusieurs prénoms et avaient annoncé à qui voulaient bien l'entendre que la grande famille Ferguson allait bientôt accueillir la venue d'un petit garçon. Jamais, ils n'auraient pensé que je serais une fille. C'était juste inenvisageable mais pourtant quand l'accoucheuse apprit à ma mère que j'étais une fille, ils durent bien se rendre compte de la triste vérité. Leur enfant était un être imparfait. Une simple fille qui plus tard ne leur servira à rien et ne perpétuera pas leur nom. Je ne reçu jamais aucun amour de mes parents. Ils ne me regardaient presque jamais et quand ils me regardaient, je voyais bien le dégout et le regret dans leurs yeux. Je n'étais pas l'enfant voulue. Je n'étais qu'une moins que rien. A la longue, je m'y suis faite. Après tout, quand on ne reçoit jamais aucun amour de ses parents, c'est que tout simplement, on ne le mérite pas. Le plus clair de mon enfance, je le passais chez moi, à flaner dans les couloirs, à jouer du piano ou à écrire. Je me sentais terriblement seule. Personne ne me parlait et moi, tout ce que je voulais, c'était un ami. Quelqu'un a qui me confier, quelqu'un qui m'apprecierait tel que je suis et pas tel qu'on voudrait que je sois.

Ma relation avec mes parents se dégrada encore plus quand ils eurent enfin ce dont ils avaient tant revé. Pas un garçon mais bien deux. Ils interprétèrent ça comme un cadeau de Merlin, un dédommagement pour ce qui c'était passé six ans plus tôt. Bien sur, j'ai tout de suite adoré mes petits frères. Ils étaient si mignons avec leurs grands sourires et leurs yeux émerveillés. J'étais moi-même avec eux et je me surpris moi même à les aimer. Normalement, j'aurais du les détester. Pourquoi eux avaient autant le droit d'être aimés alors que moi, on ne me considérait que comme l'erreur de la nature?

Néanmoins, mes parents commencérent peu à peu à s'interesser à moi. Pas parce que tout d'un coup, ils avaient eu une illumination et qu'ils ont commencé à m'aimer mais parce que j'ai commencé à devenir étrange. J'arrivais à faire léviter des pots de cookies et de faire marcher ma poupée Dolly Girl. Je savais très bien que j'étais une sorcière, mes parents m'en avait déjà légerement parlé mais je les entendait souvent le soir dire que vu leur malchance, j'allais surement être une de ces cracmolles. Je savais qu'ils avaient honte de moi et j'esperais vraiment que le fait que je sois une sorcière améliore notre relation. Ma mère m'apprit un peu plus de chose sur Poudlard ainsi que sur un certain Harry Potter.

♦ Et ta baguette, elle est comment ?: Bois d'if, ventricule de dragon, 27 cm
♦ Matières étudiées à Poudlard : HDLM - DCFM - BOTANIQUE - ASTRONOMIE - DIVINATION - SACM - S&E - METAMORPHOSE

♦ Père: Mon père se nomme Edgar D. Ferguson. Il est agé de 41 ans. Il travaille au ministère de la magie dans la section des départements de transports magiques. C'est un ancien serpentard avec un caractère assez dur. Il est très froid et distant avec tous le monde sauf avec mes frères. Entre hommes, ils se comprennent surement. Par contre, avec maman, il est loin d'être romantique. Il la respecte et l'apprécie mais ça en reste là. Quand il était à l'école, il était poursuiveur lors de sa sixième et septième année. Malgré le fait qu'il ne m'aime pas, je suis très fiere de lui.
♦ Mère: Ma mère s'appele Isabella V. Rumero. Elle est agée de 39 ans. Elle est mère au foyer. C'est une ancienne Serdaigle. Elle est très sérieuse, trop parfois et j'ai l'impression qu'elle s'efface vis à vis de mon père. Dés fois quand je lui parle, je l'imagine heureuse à Poudlard. Pleine d'ambition et puis je la vois maintenant, ne réalisant pas encore ce qui lui est arrivé. Souvent, je l'entends dire que avec la venue au monde des jumeaux, elle a enfin accompli quelque chose de bien dans ce monde.
♦ Frère(s) et soeur(s): J'ai deux frères. Ils ont sept ans de moins que moi et ils sont jumeaux. Liam et Caleb sont vraiment très différents. Liam est un petit hyperactif super curieux qui est toujours à la recherche de nouvelles aventures et Caleb est très calme, doux et gentil. Toujours avec un livre àla main, il est très timide, trop parfois. Malgré leurs différences, j'adore mes frères.

Exemple de RP. Mona ouvrit les yeux. Aujourd'hui était un jour marquant dans sa vie. Elle allait enfin aller à Poudlard. Ces parents lui avait déja parlé de ce grand chateau ou elle allait apprendre tout ce qu'il fallait savoir pour devenir quelqu'un. Mona avait eu l'impression que parler de Poudlard la rapprochait un peu de ses parents et elle se surprit elle même à demander des histoires à sa mère. Elle lui racontait les cours de vol ainsi que les cours de métamorphose. Mona la regardait souvent avec fascination ayant déja une idée du chateau en tête. Elle se prépara le plus soigneusement possible et descendit avec sa valise dans le salon. Ces parents étaient là avec les jumeaux en train de l'attendre. Il n'y avait aucune once d'émotion dans leurs regards mais ça ne choqua pas Mona. Elle n'avait jamais rien vu de positif dans leurs yeux quand ils la regardait. Peut etre qu'en partant à Poudlard, ils se rendraient compte qu'elle était importante pour eux et ils commenceraient à l'aimer?

Elle sortit de la maison en baillant et parti avec ses parents vers la gare de King's Cross. Plus elle se rapprochait de son avenir plus elle se sentait stressée. Elle pensait en boucle à sa répartition qui commencerait dans quelques heures. Elle savait bien que son père voulait qu'elle aille à Serpentard mais elle n'avait pas l'impression qu'elle était destinée à la maison des Serpents. Sa mère en revanche, la voyait bien à Serdaigle ou elle suivrait ses traces mais Mona voyait bien que sa mère serait heureuse si elle allait à Serpentard. Pour Mona, toutes les maisons avaient leurs bons et leurs mauvais cotés. Poufsouffle lui convenait bien pour sa loyauté mais elle savait bien que si elle y allait, ses parents seraient encore plus décus. Gryffondor n'était juste pas envisageable même si cette maison lui plaisait. Elle ne voulait pas se faire renier par ses parents. Serdaigle lui convenait vraiment bien mais elle avait peur de ne pas autant s'éclater qu'elle le voudrait dans cette maison et Serpentard ne lui convenait pas mais rendrait ses parents fiers d'elle.

Elle sortit de ses pensées quand elle entendit le Poudlard Express. Elle dit au revoir à ses parents le plus strictement possible et fit une énorme étreinte à ses frères. Ils allaient vraiment lui manquer. Elle rentra dans le train rouge sans se retourner. Sa nouvelle vie commençait et ce nétait pas regarder en arrière qui allait lui permettre d'avancer.

Le trajet passa rapidement car Mona rencontra plusieurs personnes dans le train. Des nouveaux eux aussi. Ils parlerent de leurs vies et de leur répartition. Chacun avait un avis different. Et tout en écoutant les autres, Mona eut la révélation. Elle savait quelle maison serait parfaite pour elle.
Quand ils arrivèrent enfin à Poudlard. Le chateau était au dessus de ces attentes. Elle se sentait minuscule par rapport à cette grandeur et enfin le moment tant attendu arriva. La répartition.

Le nom des maisons fusèrent dans la grande salle et le groupe d'élèves diminuait petit à petit quand vint enfin le tour de Mona qui se dirigea vers le choixpeau avec une assurance étonnante et elle attendit le mot qui allait changer les sept prochaines années de sa vie. !

♦ Autres comptes ?: Nop
♦ Points défis utilisés pour créer ce personnage : (uniquement pour les multi comptes)
♦ Age : 16 ans
♦ Présence : 4/7
♦ Comment t'es arrivé(e) là ?: Grace à une amie.
♦ Star de l'avatar : Charlotte Free