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Enfin saufs. [Ouvert à toutes les presque merguez]
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Message(#) Sujet: Re: Enfin saufs. [Ouvert à toutes les presque merguez] Enfin saufs. [Ouvert à toutes les presque merguez] - Page 2 EmptyVen 29 Mar - 13:22

    Kayla avait enfin réussi à échapper au flammes qui ravageaient l'université sorcière de Londres. Après avoir remercié l'étudiant de les avoir sortit de ce trou à rats, la jeune Poufsouffle hésita à s'avancer vers Anabela afin de lui demander si elle se portait bien et si elle n'avait pas été blessée, mais se résigna. Sa camarade de dortoir avait sûrement d'autres chats à fouetter, déjà qu'elle avait rejoint, justement, l'étudiant qui les avait aidé à sortir du bâtiment universitaire, la miss Enderby n'allait pas s'interposer entre eux seulement pour lui demander si elle allait bien. Tournant alors la tête pour rechercher une autre personne qu'elle pouvait potentiellement connaître, consoler ou elle ne savait quoi, son regard se posa sur le beau Gryffondor Dimitri Marakov (en réalité, elle était folle amoureuse du jeune homme et était paralysée à chaque fois qu'elle l'apercevait, rêvant de lui sauter dans les bras ; mais elle savait bien que jamais cela ne se produirait). Oh, elle pouvait aller lui parler, il était seul pour une fois ! Non, non, non, finalement, ce n'était pas une bonne idée, sinon elle balbutierait voire ne saurait pas quoi dire, elle virerait au rouge cramoisi et son cœur s'affolerait dans sa poitrine – il battait déjà assez vite comme cela, après ce qu'elle avait vécu... Mais, il était en train de s'avancer vers elle ? Impossible ! Il ne pouvait pas faire cela, elle était si invisible, personne ne faisait jamais attention à elle habituellement. Pourtant, c'était bien pour rejoindre la jaune et noir qu'il s'approchait d'elle. Les joues de la brune s'enflammèrent, ses mains devinrent moites, et elle sentait qu'aucun mot ne pourrait sortir de sa bouche s'il entamait la conversation ; logiquement, il devrait parler, sinon quel intérêt de venir vers elle ? Toutefois, lui parler restait une mauvaise idée, elle ferait une bien piètre interlocutrice face à lui, la sixième année le sentait bien. Il ouvrait la bouche... qu'allait-il dire ? Qu'allait-elle bien pouvoir lui répondre ? Elle n'en avait strictement aucune idée, et c'était désolant ! L'improvisation ne lui suffirait pas, c'était un scénario qu'il lui fallait, avec des dialogues tout faits qu'elle pourrait apprendre par cœur pour toujours savoir qui répliquer ! Néanmoins, si la vie était une pièce de théâtre, avec des dialogues déjà pré-écrits, rien ne serait intéressant. Soit, la jeune fille laissa tomber cette idée complètement stupide pour écouter ce qu'allait dire son bel Appolon qui, à vrai dire, n'était pas le sien... du moins, pas encore...

    « Mademoiselle... »

    Quelle belle façon de commencer une conversation, franchement ! Kayla se sentit un peu déçue par le seul mot qu'avait prononcé Dimitri. Mais à quoi s'attendait-elle, à une déclaration d'amour pleine de passion, de sentiments et d'ardeur ?Elle pouvait toujours rêver, après tout c'était un peu la seule chose qu'il lui restait en matière d'amour. Il ne fallait pas qu'elle se berce d'illusions, mais elle avait la nette impression qu'il la dévorait des yeux. Absurdités, il devait être amoureux d'une fille beaucoup plus exceptionnelle qu'elle, vu comme il était bien fait, d'ailleurs, toutes les filles devaient lui courir après – toutes les filles ne courant déjà pas après Ryan Quick, qui n'avait rien de si charmant d'après Kayla. Non, Dimitri était parfait, contrairement au préfet des Serpentards. La jeune fille hocha la tête, gênée par la présence du jeune homme. Non pas qu'il dérangeait, au contraire, mais se trouver face à face à la personne qu'elle aimait était une situation si délicate ! Elle était présentement plus déboussolée qu'elle ne l'était dans l'université, entourée de flammes.

    « Excuse-moi, tu n'aurais pas vu un petit Serdaigle, cinquième année, brun ? » 

    La Poufsouffle secoua la tête, pour signaler que non, elle n'avait pas vu de Serdaigle en cinquième année. Peut-être parlait-il de son frère ? D'autre part, elle savait qu'il avait un petit frère parce qu'elle avait fait des recherches sur le Gryffondor à plusieurs reprises, ayant découvert que son frère s'appelait Alekseï et qu'il était dans la maison des Aigles. D'ailleurs, elle se souvenait que le Choixpeau avait failli l'envoyer chez les bleu et bronze, pourtant il avait choisi Poufsouffle, et heureusement. La jeune gille s'y sentait plutôt bien intégrée, et c'était l'essentiel, non ? Bien sûr que oui, même si elle devait admettre que Serdaigle ne lui aurait pas déplu. Toutefois, ce n'était pas vraiment le moment de songer à sa maison et à se remémorer sa répartition, qui avait été forte en émotions. Soudain, Kayla se rappela la première fois qu'elle avait voyagé dans le Poudlard Express. N'y avait-elle pas rencontré Dimitri, dans le même wagon, alors qu'elle lisait Alice au Pays des Merveilles ? Soit, « rencontrer » était un grand mot puisqu'ils ne s'étaient pas adressés la parole, mais même, c'était là qu'ils s'étaient vu pour la première fois. Elle devrait lui en parler, un jour (en insistant bien sur le « un jour »).

    « Je vois que le feu n'a pas blessé les belles jeunes femmes. »

    En prononçant ces mots, il adressa un clin d’œil à la jeune Endersby, qui rit alors nerveusement. Il avait dit cette phrase pour la flatter, si c'était bien la raison qui l'avait poussé à lui dire cela, mais ce n'était pas vraiment sympathique. Une jeune femme était morte sous les flammes, et en tenant compte de ce qu'il avait dit, cela signifiait qu'elle n'était pas belle ? Mais elle était morte ! C'était atroce de dire un telle chose. Soit, mais la Poufsouffle savait qu'il se voulait galant dans ses propos, néanmoins cela restait assez... choquant. Mais cela avait-il de l'importance, sachant que cela ne lui empêchait pas de l'aimer plus que tout ? Garder ce sentiment dans le plus grand des secrets était trop dur pour elle, mais elle devait bien continuer ainsi, parce que lui déclarer sa flamme maintenant n'était pas une sage décision, surtout dans un tel contexte. Non, Kayla se posait trop de questions, gardait trop de choses en elle, elle devait tout extérioriser. Seulement, était-ce vraiment le bon moment de le faire ? Bien sûr que non, elle allait encore attendre un peu. L'essentiel était que les personnes qu'elle aimait étaient encore en vie, comme Anabela, Dimitri ou encore Annabeth et Astride, deux de ses camarades de dortoir des Jaune et Noir.

    « Pardonne-moi, je reviens. »

    Il partait déjà ? Kayla se retint de lui sauter dessus pour l'empêcher de la laisser, mais elle ne pouvait le faire, c'était au-dessus de ses forces et il avait sans doute une bonne raison d'aller voir ailleurs. Il avait repéré son frère, peut-être (c'est quelques minutes plus tard que la jeune fille remarqua qu'elle avait tapé juste dans son hypothèse). En attendant, elle hocha la tête, croisa les bras et fronça les sourcils d'un air inquiet, ne se sentant pas vraiment à sa place. Elle n'avait pas servi à grand chose dans cette fuite pour échapper aux flammes, surtout qu'elle avait raté la moitié de ses sorts, qu'elle réussissait en cours, pourtant. Sûrement que le stress l'avait un peu paralysée et déconcentrée, oui, cela devait être la raison de ses multiples échecs. Après tout, son petit groupe était tout de même sorti, et c'était ce qu'il fallait retenir, le travail d'équipe était toujours récompensé. La miss Endersby observa attentivement les scènes qui se déroulaient autour d'elle : des retrouvailles, des pleurs, encore des retrouvailles et encore des pleurs. C'était si émouvant... elle en avait la boule au ventre et la gorge serrée. Les secours étaient arrivés il y avait déjà un bon bout de temps, peut-être qu'elle irait les voir, plus tard. En effet, elle avait extrêmement mal à l'épaule, car lorsque Livy avait lancé un sort contre la porte pour l'ouvrir, elle avait propulsé tout le monde contre un mur, et ce non sans quelques blessés. Mais elle irait les voir plus tard, elle souhaitait d'abord attendre que Dimitri revienne - ce qu'elle espérait plus que tout- si il allait vraiment revenir, sinon elle irait faire un tour chez les secours...


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Message(#) Sujet: Re: Enfin saufs. [Ouvert à toutes les presque merguez] Enfin saufs. [Ouvert à toutes les presque merguez] - Page 2 EmptyVen 29 Mar - 16:29

    Heureusement que Rhiannon et Aldreda n'étaient pas venues à cette conférence universitaire qui avait viré au vrai cauchemar ! Sincèrement, il fallait avouer que cette réunion était un vrai désastre dès le début, mais à partir de la fumée et des premières flammes aperçues, l'évènement avait prit une tournure catastrophique. Pourquoi est-ce que l'université avait-elle prit feu si subitement ? Hailey n'arrivait pas à mettre la main sur la réponse à cette question, comme à tant d'autres questions aussi. Oui, pleins de questions la tracassaient depuis qu'elle s'en était sortie, avec son groupe. Elle avait voulu remercier l'étudiante de les avoir sortis du gymnase, sachant qu'elle avait la plus grosse partie du boulot pour qu'ils s'échappent du feu, mais lorsqu'elle avait vu la jeune femme en train de consoler un autre étudiant en pleurs, elle s'était abstenue de venir la voir. Enfin, elle la remercierait une autre fois, d'ailleurs elle avait son nom – si elle se souvenait bien, c'était Cecily quelque chose... soit, elle pourrait demander à quelqu'un de Poudlard si il ne la connaissait pas. Une fois arrivée devant l'entrée de ce qu'il restait de l'université, la jeune fille remarqua qu'ils étaient presque les seuls arrivés. Quelques personnes arrivèrent à tour de rôle, presque tout le temps en groupes, et la Gryffondor fut soulagée de voir qu'Alexanne et Crystal étaient bien saines et sauves. S'en suivit une multitude de personnes qu'elle ne connaissait pas vraiment (la plupart des personnes qu'elle appréciaient étaient restés à Poudlard), cependant elle vit arriver Alekseï, son meilleur ami après ses deux Serpentardes préférées qui n'étaient pas venues. Un sentiment de bonheur et de soulagement l'avait alors envahie, néanmoins elle décida d'aller lui parler après, souhaitant aller voir en premier Alexanne. Elle ne dut pas attendre longtemps avant qu'il vienne la voir, le sourire au lèvres et les yeux brillants.

    « Hailey ! »

    Laissant alors la Serpentard, Hailey se retourna cria le nom de son ami à son tour, toute contente de le voir en vie. Elle le prit dans ses bras quelques secondes avant de le relâcher, et sourit. La joie avait prit possession de son corps, elle ne pouvait expliquer le sentiment qu'elle ressentait, c'était incroyable ! Après ce qu'elle venait de vivre, plus rien ne pouvait lui sembler plus heureux que de s'en être sortie vivante, mais ce fait était en concurrence avec celui de savoir que ses amis allaient bien aussi. Oh, elle aurait tellement de choses à raconter à Aldreda et Rhiannon lorsqu'elle rentrerait au château ! Elle s'imaginait déjà assisse à une table de la Grande Salle, entre de ses deux amies, en train de raconter ce qu'elle avait vécu pendant ces quelques heures dans l'université. Elles en avaient manqué, de grand événement, elles ! Mais ce n'était pas plus mal, après tout, elles se portaient bien et étaient en sécurité à l'école. Les deux filles n'avaient pas risqué leur vie, c'était l'essentiel, et Hailey n'osait pas imaginer ce qu'il se serait passé si une des deux se serait blessée ou s'il lui était arrivé quelque chose de similaire. Quelle horreur, il ne fallait pas penser à une chose aussi atroce. Non, penser à une chose positive, c'était le mieux qu'il y avait à faire. La jeune fille sourit alors de toutes ses dents, voulant paraître heureuse, même si elle ne l'était pas vraiment. Elle l'était, bien sûr, seulement voir l'université en feu l'avait perturbée, elle en était encore toute tremblante.

    « Alekseï, je suis désolée mais je vais te laisser. » Elle sourit une dernière fois à son ami puis continua. « J'ai besoin de rester seule quelques moments, enfin tu vois... on se voit plus tard, d'accord ? »


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Message(#) Sujet: Re: Enfin saufs. [Ouvert à toutes les presque merguez] Enfin saufs. [Ouvert à toutes les presque merguez] - Page 2 EmptyVen 29 Mar - 18:39

    « Par les bijoux de Salazar, Frey' ! Je ne savais plus où t'étais. Tu vas bien ? Je n'arrive pas à croire qu'on soit sorties de ce brasier ! C'est un peu grâce à toi, tu sais ? Je suis sûre que si on ne t'avait pas eue avec nous on aurait eu bien plus de mal ! Tu ne t'es pas blessée en tombant de l'échafaudage, au moins ? En tout cas je suis plutôt fière de mon sort pour faire exploser le mur. »

    Enfin elle retrouvait sa meilleure amie Isis (et quelle capacité à débiter des mots d'une telle vitesse, jamais n'avait-elle vu son amie parler de cette manière) ! Après l'avoir serrée dans ses bras, Freyja ne put s'empêcher de laisser couler quelques larmes sur ses joues ; toutefois, elle les essuya tout de suite, faute de quoi son mascara coulerait et elle aurait une tête de panda fatigué, et cela ne devait surtout pas arriver, même en tenant compte de la situation. Par Salazar, mais qu'est-ce qui la rendait si émotive aujourd'hui ? Certes, elle venait d'échapper à la mort, ou pire, seulement cela n'était pas vraiment une raison, si ? Peut-être que oui, en y réfléchissant bien, elle venait de subir une grosse pression lorsqu'elle avait été dans le bâtiment, entourée par des flammes immenses. Elle se souvenait de l'adrénaline qui l'avait animée alors qu'elle avait vu les livres prendre feu dans la bibliothèque. La vue de personnes qui couraient dans tous les sens dans l'espoir de détaler pour ne pas mourir avait fait grandir en elle une peur soudaine, qui ne l'avait plus quittée depuis. Néanmoins, tout était derrière elle, et ce qui comptait était qu'elle n'avait pas perdue son amie, ni un proche. Désormais, elle pouvait respirer calmement, sans craindre quoi que ce soit. Le pire était passé, non ? Sérieusement, qu'est-ce qui était pire que de frôler, à part peut-être de mourir ? Rien, du moins, à la connaissance de la jeune Serpentard.

    « Oh, Isis, si tu savais ! Je n'arrive pas encore à réaliser ce qu'il vient de ce passer ! Et je ne suis pas vraiment d'accord, ce n'est pas vraiment grâce à moi qu'on s'en est sorties vivantes, c'est grâce à nous tous... et non, ça devrait aller, j'ai encore un peu mal au dos mais cela n'a pas d'importance. »

    La façon dont elle avait prononcé ces mots était assez comique, on aurait dit que sa voix muait, ou bien qu'elle jouait dans une pièce de théâtre et qu'elle y mettait une intonation pleine d'accents, de graves et d'aigus, ce qui rendait la situation beaucoup plus La jeune fille éclata d'un un rire nerveux ; elle avait encore du mal à se mettre en tête que tout allait bien et qu'il ne fallait pas s'inquiéter. Pourtant, elle restait tout de même un peu tendue, mais la présence de son amie l'aidait grandement à se détendre. Pour l'heure, elle se mit à sourire pour essayer de penser à autre chose que l'université qui venait de brûler. Comment allez les gens qui étaient restés à Poudlard ? Oh, les insouciants, ils devaient bien se porter, en sécurité au sein du château. Que faisait Amara, par exemple ? Elle devait sûrement s'employer à diverses occupations, comme faire un tour à un quelconque magasin de vêtement, la connaissant. Du coin de l’œil, la vipère aperçut Lucy et elle fit une grimace en signe de dégout. Enfin soit, ce n'était pas le moment de rager contre elle, elle avait mieux à faire ! En repensant au moment où elle, Isis et les autres étaient dans la bibliothèque, elle réalisa qu'effectivement, sa couleuvre préférée avait fait du bon travail en explosant le pan d'un mur, et elle avait de quoi être fière d'elle.

    « Moi aussi, je suis fière de toi, tu sais ? »

    Et elle devait bien avouer qu'elle était fière d'elle, aussi, mais elle se dit que ce n'était pas le moment de dire cela. Cette fois-ci, la jeune brune rit sincèrement, oubliant alors tout ses soucis. Remarquant alors qu'elle et son amie étaient totalement décoiffées, qu'elles ne ressemblaient à rien et que leurs habits étaient dans un bien piteux état, elle songea qu'elles devraient vite rentrer pour se changer. D'ailleurs, les élèves allaient rentrer, mais les étudiants, où iraient-ils ? Ils n'avaient plus de dortoirs, les pauvres... la jeune fille savait bien qu'Isis avait un grand frère à l'université, elle devait s'inquiéter pour lui, et c'était compréhensible ; si Freyja avait eu un frère ou une sœur étudiant(e), elle se serait aussi fait un sang d'encre pour lui ou elle. Seulement, la vert et argent était fille unique (contrairement à la jeune Seymour qui venait d'une famille très nombreuse), d'ailleurs ne pas avoir de frère ou de sœur n'était pas plus mal, quoique elle n'aurait pas regretté une grande sœur ou un petit frère – une personne à embêter de plus, en résumé. Néanmoins, c'était trop tard pour qu'une nouvelle personne agrandisse la famille, à moins que ce soit elle qui ait un enfant, ce qui n'était pas sa plus grande priorité (cette pensée ne l'avait même jamais effleurée). Oui, pour le moment sa priorité était de s'aérer un peu la tête pour oublier quelques instants ce qui venait de se passer.

    « Allez, détendons-nous, le pire est derrière nous désormais. »

    Freyja prit son amie dans les bras, le cœur un peu moins gros qu'avant. Certes, le bâtiment qui accueillait précédemment les étudiants n'était plus que cendres, mais le problème serait bientôt réglé, il n'y avait pas de raison qu'il reste détruit. Ainsi, Isis n'avait plus à s'inquiéter, d'autre part ils trouveraient une solution d'hébergement. Oh, et si ils venaient à Poudlard le temps de trouver mieux (s'il y avait mieux que Poudlard, ce qui devait être compliqué à trouver) ? Cela serait génial, non ? Elle pourrait lui exposer cette idée pour rassurer un peu sa meilleure amie, même si elle semblait relativement sereine. Soit, elle avait tout son temps, après tout. La jeune Willow avait vraiment hâte de rentrer au château, pour raconter à tout le monde ce qui leur était arrivé et aussi pour retrouver la collection des deux amies. Cela ferait un beau sujet de conversation à Poudlard, elle pourrait raconter ses exploits alors qu'elle et son groupe tentait d'échapper aux flammes, et même si elle déformerait légèrement la vérité, cela n'avait pas d'importance, si ?
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Message(#) Sujet: Re: Enfin saufs. [Ouvert à toutes les presque merguez] Enfin saufs. [Ouvert à toutes les presque merguez] - Page 2 EmptyVen 29 Mar - 18:49

Le monde avait été à deux doigts de cesser de tourner, très certainement comme celui de son meilleur ami Liam. Quel ami il faisait d'ailleurs au passage, à ne pas aller voir son meilleur pote pour tenter de lui apporter du réconfort. Alex était nul dans ce domaine, il le savait très bien. Raconter des blagues, déconner et ne rien prendre au sérieux, voilà sa devise. Il avait déjà eu du mal à gérer sa propre vie ces derniers temps, ce n'est certainement pas pour donner des conseils fumeux à son meilleur pote. Il valait peut être mieux attendre un peu, histoire que Liam puisse déverser toute sa peine seul, le réconfort et les bonnes paroles se feront plus tard. Et puis à l'heure actuelle il était entre meilleures mains que les miennes et c'était mieux pour lui. Pour le moment Alex préférait penser à sa famille avant de songer à celle des autres. C'était égoïste mais sa famille passerait toujours avant les autres, c'était comme ça chez les Maddox depuis toujours. Hecate était seine et sauve et ça c'était déjà une bonne chose. Le jeune homme n'aurait pas supporter de savoir sa meilleure amie morte, sans qu'il est pu rien faire pour elle. Une fois mais pas deux. Maintenant il restait à découvrir où pouvait se trouver sa petite sœur. L'angoisse l'envahie de nouveau, ne pouvant pas imaginer un seul instant le feu abimer le beau visage de son petit trésor. Sa sœur, c'était un peu sa moitié, sans elle, il n'était rien, qu'une moitié de lui même. Comment réagiraient leurs parents s'ils venaient à apprendre qu'un de leurs deux enfants avait survécu à l'incendie ? Que le grand frère avait échoué dans son rôle et bafoué sa promesse de protéger la petite Estébes-Maddox ? Lui en tout cas ne supporterait pas sa perte et cela causerait inévitablement la sienne, il n'y avait aucun doute à se faire là dessus.

" Je suis désolée, je ne sais pas du tout où elle peut être… mais je suis sûre qu'elle est bien en vie. Espérons que ce soit le cas… Tu sais, je sais que ce n'est pas vraiment le moment approprié pour dire ce genre de choses, mais dans l'incendie… enfin, j'ai vraiment cru qu'on allait y passer, et du coup j'ai réfléchi à plusieurs choses, c'est drôle comme une fois ses jours en danger on voit tout ça d'un autre angle… enfin je veux dire que… "

Comment peut elle savoir qu'elle est en vie si elle ne l'a pas revu ? Bien entendu j'étais injuste de penser cela alors qu'elle ne disait ça que pour me faire plaisir, pour tenter d'apaiser les tensions qui m'envahissaient. Je m'en voulais d'avoir songer à ça mais en même temps c'était plus fort que moi, je n'avais pas envie qu'on me rassure, j'avais juste envie qu'on me montre où était ma sœur, c'était tout. Hecate continua à parler, pendant que je me dévissais la tête pour voir si je pouvais trouver ma sœur. Je l'écoutais, cela allait s'en dire, mais j'étais beaucoup moins attentif à ses propos qu'en temps normal. Elle me disait qu'elle avait réfléchie à plusieurs choses, et je ne réagissais pas sur le coup mais je notais tout cela dans un coin de ma tête pour lui redemander plus tard. Je sentis un corps se projeter contre lui miens et je savais que c'était Anabela. Je n'écoutais plus du tout Hecate et je me suis rendu compte bien trop tard que de toute façon l'arrivée de ma sœur l'avait coupé dans ses propos. J'étais trop content et soulagé de voir Ana pour me soucier d'autre chose. J'avais juste envie de profiter de cet instant, voir deux des trois fois femmes de ma vie, en vie me comblais de joie.

« Tout va bien, Elian a veillé sur moi. J’ai eu tellement peur pour toi Alex. Pendant un moment, j’ai cru que... »

Je venais de serrer fort ma sœur, tout en lui expliquant que j'étais soulagé de la savoir en vie et enfin devant moi. Je m'étais fait tellement de soucis pour elle deux que de les savoir vivante ne pouvait que me rendre le plus heureux des hommes, occultant la mort d'une de mes amies. Ana m'expliqua qu'elle allait bien, ce que je pouvais constater par moi même. Elle n'avait pas de grosses blessures, pas de trous, de sang ou autre qui pourrait m'alarmer. Elle parla d'Elian, un jeune homme de mon ancienne maison. Je ne le connaissais pas vraiment mais je lui étais complètement reconnaissant d'avoir su veiller sur ma sœur pendant mon absence. Je me maudissais de ne pas avoir pu être avec elle, mais le hasard en avait voulu ainsi et on devait bien malheureusement se plier à ses exigences, même si elles nous déplaisaient au plus haut point.

«  Je vais bien, ne t'inquiètes pas, notre groupe a pu s'en sortir indemne. »

Je l'embrassais sur le front et passer mes doigts sur une de ses joues pour lui essuyer le visage. Ses larmes ne me dérangeaient pas en soit, elles étaient la preuve qu'elle était en vie et soulageait, mais vu qu'elle tentait de les essuyer je voulais lui apporter mon aide tout en me rassurant. Sentir sa peau contre la mienne, c'était tout ce qui m'intéresser, rien que son étreinte avait permis de me confirmer que ce n'était pas qu'un rêve.

" Je suis contente que tu ailles bien, Ana. "

Hecate s'éloigna de quelques pas pour nous laisser un moment d'intimité et je lui en était reconnaissant. J'avais presque oublié sa présence, tellement j'étais soulageais de voir Anabela, mais maintenant mon regard d'aller de l'une à l'autre et un sourire illumina mon visage. On était en vie, on était ensemble, c'était tout ce qui comptait.

« Moi aussi je suis contente que tu ailles bien. Je suis désolée si je dérange, mais je ne pouvais pas rester loin d’Alex plus longtemps. »

Hecate glissa un petit mot, pour exprimer sa joie de revoir Ana en vie et cela me toucha beaucoup. Elle savait mieux que personne à quel point je tenais à ma sœur et quel serait le drame de ne plus la voir dans ma vie. Anabela lui offrit un beau sourire et lui exprima aussi sa joie de la voir. Elle s'excusa même de nous avoir dérangé et j'eus du mal à voir de quoi elle parlait avant de comprendre que quand elle était arrivée, Hecate était en train de me parler. J'étais bien trop préoccupé pour vraiment l'écouter et je ne pense pas que ce soit le bon endroit pour discuter de tout cela. Maintenant qu'on s'en était sortie, on avait le temps de pouvoir en reparler et je lancerais moi même le sujet pour me faire pardonner.

« Tu as bien fais, j'étais mort d'inquiétudes pour toi. Et ce n'est rien, ça peut attendre plus tard j'en suis sûre. J'ai envie de profiter de vous deux, surtout que je ne sais pas trop ce qu'il va nous arriver maintenant que notre université vient de partir en fumée … »
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Message(#) Sujet: Re: Enfin saufs. [Ouvert à toutes les presque merguez] Enfin saufs. [Ouvert à toutes les presque merguez] - Page 2 EmptySam 30 Mar - 16:23

° Heureusement que je n'avais pas à m'inquiéter pour Amara, Erwan ou Khalis et maintenant Dimitri... Tant mieux. Mon frère en vie et maintenant, j'apercevais celle dont je n'aurais guère voulu voir brûlée vive... Hailey... Ou plutôt, ma meilleure amie avec mes deux potes de Serdaigle. La vue de sa tête blonde me faisait lâcher un gros sourire. Cette pile électrique qui ne s'arrête jamais, comment aurait-elle pu périr en fait ? N'est-elle pas débrouillarde et courageuse ? Mais maintenant, les personnes importantes à mes yeux sont saines et sauves. C'est ce qui compte non ? En fait, d'après ce que je peux voir, il n'y a eu que cette fille morte, l'étudiante, mais hormis elle, je ne voyais aucun corps sur des civières sauf des blessés. Mais c'était quand même horrible... Pour le moment, Hailey cria aussi mon nom et je la reçue dans mes bras en lui souriant, sans parler tout en baissant la tête. Je ne pouvais être plus qu'heureux et soulagé présentement. Je luttais fortement contre la fatigue et je le devais. Ce n'est pas elle qui va m'empêcher d'être avec Hailey en ce moment même si je sais qu'il sera de courte durée parce que je la sentais tremblante et perturbée, probablement la cause de ce qui venait de se produire. J'ignore ce que elle, a dû subir mais elle me le dirait plus tard, j'en suis plus que convaincu. Comme Dimitri. On a tous une mine affreuse il faut dire. Personne n'était sensiblement préparé à un tel évènement. En souriant, elle me dit :

« Alekseï, je suis désolée mais je vais te laisser. J'ai besoin de rester seule quelques moments, enfin tu vois... on se voit plus tard, d'accord ? »

° Je la comprenais parfaitement. Je l'observais dans les yeux, en souriant. Tout ce que j'avais voulu, avait été de la voir saine et sauve. N'importe quelle personne devait être terrifiée ou perturbée avec ce qui venait de se produire. Moi de même. Je lui répondis :

« T'en fait pas, je voulais juste m'assurrer que tu étais sauve. J'aurrais pas vrraiment supporté l'idée de te voir... enfin, tu vois... » Dis-je en lui souriant tout en s'éloignant d'elle à mon tour. « Je te comprrends, moi aussi, on se voit plus tard alors...! »

° Dis-je, en partant de mon côté tout en lui envoyant la main. Là, je ne sais pas combien de temps qu'on devait attendre avant de retourner au château. Mais j'avais bien hâte de retrouver mon lit. Je sais pas si j'allais avoir la force de tout conter à Erwan, Khalis et Amara mais pensons au moment présent d'abord. Je peinais à rester debout. Je voulais revoir mon frère et c'est donc vers lui que je me dirigeais. J'étais plus à quelque pas de lui que le noir vint m'envahir. La fatigue était arrivée à son comble... Je suis alors tombé dans les pommes justes en avant de lui...

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Message(#) Sujet: Re: Enfin saufs. [Ouvert à toutes les presque merguez] Enfin saufs. [Ouvert à toutes les presque merguez] - Page 2 EmptyDim 31 Mar - 6:16

« Peut-être, mais ce n’est pas le plus gênant. Je veux dire... Qu’est-ce que tu veux que je lui dise ? Je ne peux pas vraiment être heureuse qu’elle n’ait rien, je ne la connais pas... »

~ Ma chère et douce Lucy... Je serai là pour toi... Ce n’est pas facile discuter avec ma soeur quand on ne la connait pas mais j'étais persuadé qu'elle allait s'en sortir. Tout ce que je veux est que ma soeur sait avec qui je suis et que ma petite amie sache quelle est la seule personne à qui je tiens hormis elle. Je ne souhaite pas laisser les deux filles ensemble longtemps. Mais c'était la seule occasion de se rencontrer. J'y tenais vraiment. Ne pas faire la même erreur qu'avec Amara dont je n'ai jamais présentée à ma soeur moi-même. Je veux qu'elle mette déjà en place ses idées et qu'elle découvre que Lucy n'est pas comme mon ex. Mais il faut un début à tout. Si ce ne sont pas elles qui prennent l'initiative, ce sera moi et c'est exactement ce que je vais faire. Nous n'avons pas la meilleure odeur ni la meilleure apparence présentement, suite à notre superbe escapade dans les égouts, mais ma soeur s'en fiche singulièrement. Moi, je me préoccupe peu de la mienne, je veux juste avoir une allure noble comme l'est mon sang mais ce n'est pas le cas de ma petite amie. Je lui dis, en me collant un peu plus à elle :

« Je sais aussi que ce n'est pas le moment et j'aurais préféré en d'autres circonstances mais c'est soit maintenant ou bien ce sera bien plus tard. Tu sauras quoi dire mais fais juste attention sur ce que tu vas dire. Je serai à tes côtés, ne t'en fais pas... »

~ Je sais que je ne devais pas être très convainquant en ce moment et après la situation qu'on a dû vivre, tous les deux voulions retourner au château, prendre notre douche et dormir. J'étais épuisé comme elle. Mais je sais qu'elle va gérer, tant que ma soeur ne s'acharne pas immédiatement sur elle. Parfois, elle me semble trop protectrice. Elle doit apprendre à avoir un peu plus confiance en mes choix. J'ai évolué depuis Amara. Je ne suis plus le même... Donc, Lucy a finalement abdiqué et m'a suivi à mes côtés. Je tenais sa main pour la calmer un peu. Ça va bien se passer, j'en suis persuadé. J'ai confiance en cela et ma présence sera sûrement bienfaisante pour les deux filles. En tout cas, j'avais été surpris par ma soeur, moi qui avais préféré attendre qu'elle lâche Liam Parker.

« Premièrement mon frère, n’essaie pas d’embobiner les gens, tout le monde sait d’où tu tiens ta force. Et c’est évident qu’elle vient de moi. Les petits frères n’ont rien à apprendre aux grandes sœurs ! » dit-elle en rigolant tout en mettant sa main sur mon épaule. « Et oui, tu sens très fort ! Pire qu’un troll ! »

~ La tiendrais-je de mon sang si pur que Salazar peut en être témoins ? Ainsi que du lien dont moi et ma soeur partagions ? Bien sûr. Sans elle, je doute que je serais aussi fort que je ne le suis aujourd'hui. C'est elle qui m'a empêché de sombrer dans la folie. Mes idées n'étaient que ténèbres et morts en première année. Puis, elle m'a approché. Cette fille que j'avais tant appréciée sur le Chemin de Traverse. Cette blonde dont je trouvais jolie à l'époque allait devenir l'unique personne importante dans ma jeune vie. Donc, c'est vrai que je retiens d'elle... Ce n'est qu'un fait et trop bien fondé... Quant à l'apprentissage... Que dois-je dire ? Mais je doute qu'elle ait raison. N'ai-je pas appris certains trucs à ma soeur non ? Mais bon, ses deux années d'expériences de plus que moi y sont pour quelque chose. Mais peu importe. Elle rigolait comme on rigolait la plupart du temps... Ce qu'elle dit me fis éclater de rire. J'étais si pire que ça ? Un troll a une odeur, disons-le franchement, une odeur très peu agréable. Nauséabonde, infecte et dégueulasse. C'était ça les égouts... Moi, Lucy, Sarah et Fitzgerald étions gentiment imprégnés de cette odeur si "bénéfique"...

« Ah bon ? Moi qui étais sûr que tu m'avais juste appris à torturer les autres ? » Dis-je en rigolant. « Et tu crois que je t'ai rien appris ? Espèce de vipère insensible ! » Dis-je, du même ton. « Tu m'en bouches un coin là, moi qui pensais que je passerais inaperçu, dois-je dire mission échouée...! »

~ Tout ceci était sur le ton de la rigolade. Moi et elle, on riait constamment. On était sérieux quand on devait l'être sinon... En tout cas, quand on était tous les deux, rare étaient les moments où moi et elle l’était... Mais cette fois-ci, j'allais assister à une discussion entre ma petite amie et ma soeur. Pour la première fois depuis que j'étais avec Lucy même si cela faisait un mois. En tout cas, elle confrontait bravement ma soeur en disant les faits comme que j'ai insisté à venir ici pour que les deux filles se rencontrent mais pas dans cet état. Les deux n'étaient point enchantées mais je ne pouvais rien y faire. Je sais qu'elles ne s'entendront pas forcément au début mais à la longue, peut-être. D'un côté, Lucy était ravie de la rencontrer mais c'était le mot juste et de l'autre côté, c'était le contraire. J'observais les deux à tour de rôle. Ma soeur parlait beaucoup plus, laissant peu de place à ma petite aiglonne. J'eus envie de prendre Lucy dans mes bras quand elle disait qu'elle tenait à moi mais ça aurait été stupide, un peu trop. Mais je ne disais rien. Ma présence n'était pas requise. Et j'eus aussi envie de sauter dans les bras de ma soeur qui me vantait. Elle avait raison. Tous les gens qui me détestent ne sont que d'infâmes insectes jaloux de ma perfection et de mon sang pur. C'est tout. Les minables comme Marakov, Petrov, McGregor et ainsi de suite en font partit. J'adorais quand ma soeur faisait ça en tout cas. Je faisais pareil quand j'avais à le faire bien entendu. Pour moi, Cecily n'avait que de belles valeurs... Tout comme Lucy hein ? Mais j'étais content d'une chose, Cecily a appris que Lucy a tout un caractère quand elle s'y met et qu'elle a du répondant. Ce n'est pas Amara. Au moins, elle peut en conclure sur ce point. Elle apprendra à en découvrir plus dans de meilleures occasions. En tout cas, les deux blondes semblaient avoir terminé de discuter

« Désolée Ryan, mais je dois partir. Je suis heureuse de voir que tout va très bien pour toi et que tu es en vie. Je t’enverrai Olympe dans les prochains jours et ainsi voir quand on pourra se retrouver tous les deux. J’ai des choses à te dire. Quant à toi, Lucy, on se reverra certainement. Saches que je ne suis pas encore prête à t’accepter, donc tu devras te contenter d’être tolérée. Sur ce, mon frère, j’y vais. Porte-toi bien et surtout, fait soigner cette joue. » Lui dit-elle en me prenant dans ses bras. « Je t’aime mon frère. A très vite. » Conclut-elle en me faisant un bisou sur la joue.

~ Je m'en doutais qu'elle devait y aller. Sûrement pour Liam Parker... Il faudrait qu'elle m'en dise un peu plus dur lui, j'en sais pas assez encore. Mais plus tard, ce n’est pas le moment. Bien sûr, il faut qu'on se reparle, tous les deux. Elle refuse de tout me dire devant Lucy. Elle n'a vraiment, mais vraiment pas confiance en elle et la doute trop. Ces paroles la visant, le prouvaient. Elle finira par accepter... Mais elle doit se faire à l'idée que Lucy n'est pas Amara, même que les deux s'opposent. En tout cas, son bisou me fit sourire. Je lui répondis, juste avant qu'elle ne parte :

« Je comprends, nous aussi on doit partir je crois. Envoies-moi le vite hein ? Et je t'écouterais quand tu veux. Portes-toi bien également et je vois la tristesse au travers de tes yeux, vas voir ce type, veilles sur lui et écris moi vite, j'attendrai avec grande impatience. En deux ou trois coups de baguette, elle sera de nouveau comme avant, enfin, je crois... » Dis-je en la caressant une dernière fois. « Moi aussi ma soeur... »

~ Puis, je relâchai son étreinte. Elle fila dans une certaine direction, je-ne-sais où. Lucy avait dû voir à quel point moi et Cecily étions proches, l'un de l'autre. Mais je me sentais satisfait, au moins, les deux savent à qui elles ont affaire... L'occasion n'était pas l'idéale mais ce qui est, est fait. Là, je me retrouvais, seul, avec Lucy. Je me tournais vers elle, d'un petit sourire.

« Ne t'en fais surtout pas pour elle, je suis persuadé qu'elle t'aime déjà, au fond d'elle. Bon, je vais écouter ce que tu m'as dit, allez voir ces sauveteurs... » Dis-je, d'un soupire avant de l'attirer contre moi et l'embrasser...
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