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Dakota W. Sevenoaks - Y’a une différence entre tourner la page et baisser les bras
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Message(#) Sujet: Dakota W. Sevenoaks - Y’a une différence entre tourner la page et baisser les bras Dakota W. Sevenoaks  - Y’a une différence entre tourner la page et baisser les bras EmptyJeu 12 Juil - 0:39



Dakota est un sang pur, né le 13 novembre 2009 à Sydney en Australie. D'ailleurs il n'y vit plus puisqu'il a déménagé à Sevonaoks en Angleterre. Aujourd'hui, Dakota a donc quinze ans et est en cinquième année. Et juste pour ta culture personnelle, sache qu'il a un hibou qui s'appelle Tadhg.

Il est bon de savoir que Dakota est séducteur, protecteur envers ceux qu’il aime, tourné vers sa famille, loyal, rusé, sociable, malin, blagueur, bien élevé, intelligent, peu bavard, athlétique et doué dans ce qu’il entreprend mais également très taquin, prétentieux, arrogant, dédaigneux, renfermé (dans le sens où il montre peu ses émotions et sentiments), hautain, un peu trop fier, vaniteux, gère particulièrement mal ses excès de colère, méprisant et macho sur les bords. Il a des goût étranges, par exemple il aime le changement et tout ce qui se rapporte de près ou de loin au voyage, jouer avec les filles, les rendre folles de lui, les faire espérer avant de les abandonner , se donner du temps, s’éloigner des autres, se réfugier dans sa chambre dans le seul but de passer du temps seul, explorer les rues pavées des quartiers populaires comme ceux des grandes avenues désertes des banlieues tout en chevauchant son skate ou encore prendre soin de son apparence, se prendre en photo dans des tenues composées par sa personne alors qu'il déteste tout ce qui se rapporte aux moldus et aux sang-mêlés, devoir évoquer sa mère où se retrouver à être obligé de parler d’elle, les histoires trop longues et les mensonges (bien qu’il en répande une pelletée par jour), les personnes qui sortent de leur rôle en voulant grimper l’échelle sociale et les filles qui lui résistent.

Sa baguette est composée de chêne avec un coeur de plume d’oiseau-tonnerre et mesure trente-et-un centimètres. Grâce à elle, Dakota a le malheur de suivre les cours d’astronomie, de botanique, de défense contre les forces du mal, d’histoire de la magie, de métamorphose, de potions, de sortilège, de vol, d’études des runes et de soins aux créatures magiques.



Dakota W. Sevenoaks
feat. Ben Nordberg

ET EN VRAI ?
J'ai dix-huit ans. Je suis arrivée sur NYL à cause d’énergumènes qui m’y ont traînée de force et je devrais être là en moyenne cinq jours par semaine jusqu’à la fin de l’été avant que mon rythme ne faiblisse à la rentrée. Avant de finir j'aimerais juste rajouter que je suis tombée amoureuse de Dakota mais ça reste entre nous, n’est-ce pas ?


Tout le monde a une histoire

J’aime ce bruit, putain. Ce bruit sourd émanant des roues de ma planche contre le goudron des rues. Il me détend, c’est ça ouais, il me détend. J’ai besoin de l’entendre quand les choses se gâtent. Quand les choses s’empirent. Quand je viens d’apprendre par exemple que ma mère trompe mon père avec un pecno de moldu. Oups. C’est sorti tout seul. Non, en fait, pourquoi j’aurais besoin de m’excuser ? Perdre mon temps et gâcher ma salive à m’excuser pour des détails si futiles. Bref. J’ai eu besoin de sortir. J’ai eu besoin de m’évader. Partir, loin, loin de cette immense baraque, loin de mes sœurs, loin de mon père. Mon problème n’a rien à voir avec eux. Non, je fais juste en sorte que ma colère ne leur retombe pas dessus, actuellement. Ils ne méritent pas cela. Ils souffrent déjà assez, non ? C’est assez altruiste de ma part. Ça m’arrive que très peu. Qu’avec ma famille, en fait. Il n’y a que mon père et mes sœurs que j’ai épargnés jusqu’ici. Les autres n’ont pas eu et n’auront certainement jamais ce privilège. Ils sont juste l’exception qui confirme la règle.

La route se profile devant moi. Elle ne semble jamais s’arrêter. Tant mieux. Celle-là, c’est l’une des grandes artères de Sydney que je ne prends habituellement pas. Il y a trop de monde, trop de voitures. C’est l’artère qui mène jusqu’au Harbour Bridge. Peut-être que je le prendrais pour aller de l’autre côté de la baie, si j’ai encore du jus. On verra bien.

Je pense encore à la lettre. A quoi pourrais-je penser d’autre quand elle occupe littéralement tout mon esprit ? Pire qu’une fille qui me plairait, faut croire. Je l’ai lue, et je suis sorti. J’ai dévalé les imposants escaliers de notre manoir pour aller prendre un grand bol d’air. Je sors, quand je sens la pression monter, quand je sens que je vais m’énerver. Je sors, ouais. Ça fait toujours du bien. J’ai besoin de faire un point, un bilan. Prendre une pause. Tout est allé tellement vite, ces derniers jours. Ces derniers mois, aussi. Ces deux dernières années, en fait. Depuis que mon petit monde a commencé à s’effondrer. Depuis que ma vie si parfaite s’est effritée, petits bouts par petits bouts. Depuis qu’Ash a décidé qu’il serait bon d’agir vis-à-vis de notre mère. C’est étrange. Je veux dire, le fait que ce soit elle qui ait engendré ça. Je ne la blâme pas, bien au contraire, mais je veux dire que l’aîné, c’est moi. Mais que c’est sa crise d’adolescence à elle qui a fait avancer les choses. Il faut dire qu’elle a un sacré tempérament et un caractère tout aussi difficile. Bref.

Je n’ai plus que des souvenirs très flous de mon enfance, voire même faussés par le temps. J’oublie ces jours-là. Est-ce que je le vis mal ? Pas le moins du monde. Je m’y fais. Il y a toujours les photographies, et au pire mon père s’en souvient, lui, il me raconterait si je lui demandais. Tout ça pour dire que j’ai eu une enfance paisible. Si paisible que je ne m’en souviens que très peu, comme vous pouvez le constater. Je suis né Dakota Willhelm Sevenoaks. Je n’ai pas eu besoin d’aller à l’école jusqu’à mes dix ans, les services payés par mes parents m’ont largement suffit pendant toutes ces années. Le fils préféré (le seul), l’enfant roi. Dorothea, notre nurse, nounou, gouvernante, je ne sais pas trop comment la qualifier, a toujours été là. A dépit d’avoir une mère. Je me souviens seulement qu’elle n’était pas là. Jamais là. Excessivement absente. Et elle n’avait aucune excuse. Elle ne travaillait pas d’arrache-pied afin de gagner suffisamment pour nourrir sa famille - comme si nous étions une pauvre famille de fermiers ou je ne sais quoi - non, ma mère n’était juste pas là. Elle préférait sortir. C’est compréhensible, oui, quand on a encore vingt ans. Ma mère n’avait déjà plus vingt ans depuis un moment. Mais Dorothea était là, elle. Elle était là le matin, l’après-midi, le soir. Elle est l’une des seules femmes que j’admire. Gérer un gosse comme moi, il fallait se la donner. Je lui suis reconnaissant. Très reconnaissant. Mais ma fierté ne me laissera jamais lui dire ou lui montrer à quel point. Reconnaissant d’avoir été là pour moi, d’avoir été là pour Ashton, et d’avoir été là pour Sydney. D’avoir été là pour Papa quand Victoria n’avait apparemment rien à foutre de nous. Une triste histoire de famille, n’est-ce pas ? Un peu, oui. Mais il y a toujours pire. Alors j’oublie, et je me concentre sur le présent.

Comme tous les sorciers de Sydney et d’Australie, j’ai rejoint Silverwood à mes onze ans. Formidable découverte. Un monde sans moldus. Le bonheur, n’est-ce pas ? Pour moi, en tout cas. Grandir baignant dans une famille qui vous répète sans cesse que vous êtes supérieurs, que vous êtes un sang-pur, ça aide. Je m’y retrouvais comme pendant ces réunions de famille sans fin organisées tour à tour par les Sevenoaks, puis par les Leynd. Sauf que là, il n’y avait pas tous ces adultes barbants. Il faut comprendre un enfant de dix ans : l’école est une nouvelle dimension, pour lui. Des camarades de son âge, c’est tout ce qui importe. Le reste n’a pas vraiment d’importance. Je m’y suis fait très rapidement. J’ai rapidement endossé ce maillot si réputé de “cool kid”. Avoir la côte, toujours. Mon caractère fier et arrogant a rapidement fait le tour de l’école. J’ai rencontré des apprentis sorciers qui sont devenus des amis, vous connaissez la chanson. J’étais loin d’être un mauvais élève - comment Papa l’aurait-il permis ? - mais je n’ai jamais été un petit génie. C’est bête, d’ailleurs, il me suffirait juste de travailler un minimum pour écraser Ash et ses remarques hautaines sur les cours, sur son talent soi-disant supérieur. Mais non, j’ai d’autres projets. J’ai toujours eu d’autres projets que ceux de travailler sérieusement. Le sport m’a toujours été familier et j’ai toujours préféré me dépenser physiquement que mentalement.

Les matières physiques ont toujours été mon point fort. Je me suis essayé à une bonne partie des sports existants. Papa a pourtant essayé de me rendre plus studieux, sans résultat. J’ai toujours fini par me déroger aux activités musicales où littéraires qu’il a essayé de m’imposer. Peut-être qu’il aurait dû être plus strict, plus ferme. Mais difficile d’assumer ce rôle pour un père absent quand en plus sa femme ne l’aide pas. Papa s’est toujours donné un maximum pour nous. Jamais je ne le blâmerai pour les erreurs qu’il a pu faire. Il est l’homme que j’admire le plus au monde.

Et les choses ont commencé à se gâter, il y a environ un an. En même temps que ce qui se passait au Ministère de la Magie. Tout nous semble loin, ici, à Sydney. On se sent protégé du bordel qui a lieu en Europe. Au cours de cette année, Papa a perdu son emploi, Victoria était plus absente qu’elle ne l’avait jamais été - et je ne croyais pas cela possible. L’image de la petite famille parfaite s’est dégringolée à vue d’oeil. Et il y a eu l’accident, mettant enfin terme à cette mascarade. Je me demande, au fond, si ça n’a pas été une bonne chose. Si l’élément déclencheur de la fin ne nous a pas libéré de Victoria. Peut-être. Un mal pour un bien. Même si cet accident m’a foutu une terrible frousse, je l’admets. Accident qu’Ashton avait vu, par ailleurs. Une vision qu’elle avait eue, grâce à son don.

Est-ce que j’en ai voulu à Ash ? Non. J’aurais pu. J’aurais pu avoir un peu de remords. Me dire que ce ne serait pas arrivé si elle en avait parlé. Peut-être que j’ai pensé lui en vouloir, un peu, juste après l’accident, pendant que Sydney était encore à l'hôpital. Oui, j’y ai pensé. Mais elle n’y pouvait rien. Elle n’y pouvait rien et elle n’aurait jamais pu y faire quelque chose. Mais je ne peux m’empêcher de penser : que se serait-il passé si elle avait prévenu notre mère ? Papa ? Si elle avait dit, par sa vision, qu’elle savait qu’il se passerait quelque chose ? Peut-être que tout cela aurait pu être évité. Peut-être que Papa et Victoria serait encore ensemble. Ou alors Victoria serait morte. Est-ce que ça n’aurait pas été plus mal ? Papa ne serait pas passée pour un faible comme je l’entends, parfois. Un mari veuf, c’est toujours mieux qu’un mari délaissé, divorcé et dont la femme s’est entichée d’un moldu. Il aurait peut-être moins perdu. Mais avec des “si”, on refait le monde. Alors j’accepte juste cela. J’accepte qu’elle n’ait rien dit, et je ne lui en veux pas. Je l’aime.

***


Qu’est-ce qu’elles ont à gueuler, encore ? Putain, on entend Ash dans toute la rue. Toujours à en faire trop, celle-là. Et ma mère qui essaye de prendre le dessus sur elle. Je soupire. Elle n’a toujours pas compris ? C’est finie, l’époque où elle avait encore un semblant d’autorité. Depuis bien longtemps. Surtout depuis qu’Ash est entrée à l’Académie, en fait. Adolescence, on dira. Ça lui réussit pas trop, à ma soeur. Mais ça me fait marrer. Les rares soirs où Maman reste encore manger à la maison avec nous, ça se finit toujours en dispute entre les deux femmes. Faut dire qu’Ash en a déjà tout le caractère. Bref. Ça doit bien faire un quart d’heure que leur petite comédie dure. Comment font nos voisins pour nous supporter ? Ils doivent bien se marrer. Tant mieux pour eux, hein. Moi, tant qu’j’suis pas tourné en ridicule par l’une des deux, je vis tranquillement. Sauf actuellement, là. Putain, on a des doubles vitrages, quand même, elle gueule sacrément fort, ma soeur. Un sortilège d’insonorisation suffirait. Dorothea pourrait me le faire. Hop, finis les bruits parasites.

Je crois que j’ai fini par m’endormir. Merde, j’avais prévu de sortir en plus, ce soir. Viktor et les autres gars avaient prévu un truc, je crois. Je passe une main dans mes cheveux, histoire de remettre ma mèche en place. Faudrait que je pense à les couper, aussi. Un de ces jours, ouais. Je me lève de mon lit, replace rapidement la couverture et ouvre la porte de ma chambre. Il y a du bavardages, en bas. La voix de mon père, celle d’Ash et … un autre type ? Sa voix ne me dit rien. J’essaye d’écouter, les oreilles encore en compote. Je n’arrive pas à comprendre ce qu’ils disent mais ça n’a absolument pas l’air jaloux. C’est la voix d’Ash que j’entends menacer de pleurer, là ? Mes sourcils se froncent. Ashton, pleurer ? Il en faut beaucoup. Mais je n’ai pas la tête à faire de l’humour. Non, il y a quelque chose de grave qui se trame, en bas. Je m’apprête à descendre quand Ashton, affolée, monte quatre à quatre les marches du grand escalier. C’est moi qu’elle vient chercher. Il faut qu’on se dépêche, semble-t-elle me dire. Ma curiosité et une petite pointe de peur me pousse à accélérer la cadence. Nous rejoignons dans la minute mon père, direction l’hôpital.

Donc c’était ça, les cris de fin d’après-midi, entre notre mère et Ash. Elle ne voulait pas monter dans la voiture. Normal. Comment ma mère pouvait-elle se rabaisser à une telle chose ? Comment peut-elle se dévaloriser au point de sortir publiquement avec un moldu ? Comment ose-t-elle nous afficher, mon père, Ash’, Syd’ et moi ainsi ? C’est de la pure trahison. Comment mon père, cet homme si fier, arrive-t-il encore à la supporter, à la considérer ? Qu’elle y reste, dans son hôpital de moldus. Je faillis souhaiter sa mort. Peut-être la mérite-t-elle. Si je ne souhaite pas sa mort, je souhaite au moins sa disparition de ma vie. Il est temps de faire une croix sur Victoria Leynd. C’est de sa faute. Tout est de sa faute. Elle n’a jamais rien fait, aucun effort, pour essayer d’améliorer les choses. Au contraire. On dirait qu’elle a toujours voulu cela, au fond. Peut-être même qu’elle est déçue, quelque part, de ne pas avoir tué Sydney. Que son plan a échoué. La nuit s’annonce terriblement longue. Très, très longue. Papa vient de mettre une bonne heure si ce n’est plus à convaincre ces attardés de moldus de transférer Syd’ dans un hôpital sorcier. A quoi ils jouent, ces cons ? Parce qu’en plus d’être incompétents, ils sont idiots. Mais des idiots fiers ! C’est-à-dire qu’ils lâchent pas l’affaire. Mais Papa est pas du genre à se laisser marcher sur les pieds, non. Finalement, il obtient ce qu’il veut - comme d’habitude - et Syd’ est transférée. A partir de ce moment-là, tout devrait aller mieux. Syd’ sera rétablie bientôt viennent de nous annoncer les sorciers médecins. Tant mieux.

Mon petit Dakota,
Arrive un jour où les couples ne durent plus. La vie va ainsi. Nous ne sommes pas destinés à aimer notre prochain pour l’éternité, tu l’apprendras. Alfred, ton père, et moi-même songeons au divorce depuis un moment déjà. Ne sois pas triste, tu es un garçon fort, tu surmonteras cette épreuve. Et quoi que tu puisses te dire, je continue de t’aimer très fort, et ton père aussi. Je vais aller vivre avec Troye. Il est sympa, c’est un formidable garçon. Je suis sûre que vous pourriez vous entendre bien, vous deux ! Je vous le présenterai, dimanche. Ça me ferait plaisir que vous passiez tes soeurs et toi, donc si tu pouvais les emmener nous voir, de temps en temps ...
Bisou,
Maman

C’est tout ? Pas de “désolée” ? Rien ? Donc on, donc je ne vaux même pas d’excuses ? J’espère qu’elle n’a pas écrit que ce petit bout ridicule de lettre pour Papa. De toute façon, avec tous leurs papiers de merde pour le divorce, il en aura, des lettres de Victoria. Troye … C’est ça, son nom, à l’autre bouffon. Troye. Et dire qu’il est plus proche de moi que de ma mère en terme d’âge. Cette femme qui est ma mère et que je n’ose même plus appeler “Maman” tant son comportement me dégoûte. Elle n’a plus rien à faire avec nous. Papa ne pourra que mieux s’en porter.

***


Donc nous y voilà. M’y voilà. Roulant sur Cahill Expy. J’vais peut-être traverser le pont pour aller de l’autre côté, finalement. J’me suis peu calmé. Il est temps de rentrer, de toute façon. J’ai mes valises à faire. Nous partons pour l’Angleterre demain. Papa a de nouveau eu un job, mais le déménagement s’avère obligatoire. Tant mieux. Ça permettra de tourner la page.

Je vais briser le mythe et cesser de faire le gars original. J’aime voyager. Comme tout le monde, non ? Changer de culture, découvrir de nouvelles têtes et tout ce qui va avec. Alors, partir pour l’Angleterre, déménager, c’était pas un problème. Je partais pas seul, en plus. Puis c’est pas comme si j’avais à Sydney une personne qui aurait pu me faire regretter mon départ. Pas de petite copine, certes des coups d’un soir pas repoussantes du tout et une ribambelle de potes, mais rien que je regretterais. Peut-être cette maison dans laquelle j’avais grandi, cette ville dont je connaissais les endroits les moins accessibles, mais pas de figure notoire. Personne. Juste moi, Papa, Ash et Sydney. Pas de Victoria. Pas de Troye, pas de demi-frère. Juste nous.


Famille et compagnie

Une mère, Victoria Leynd, issue d’une grande famille prestigieuse de sorciers australiens au sang-pur. Une femme fière, indépendante, qui en a pour sa liberté. Des yeux verts, une chevelure blonde, conquise à son jeune âge par les charmes d’un Sevenoaks duquel elle est tombée enceinte. Afin de préserver l’image de cette grande famille, elle s’est unie à lui par les liens du mariage sans pour autant avoir développé des sentiments forts pour ce dernier.

Un père, Alfred Sevenoaks, tombeur, sportif, bon élève et terriblement arrogant. Des mèches blondes lui aussi, et des yeux bleus océan à s’y noyer. D’origine anglaise, le mariage l’a poussé à déménager à Sydney avant qu’il ne retourne au domaine des années après pour des raisons que vous connaissez à connaître par coeur. Dakota est très admiratif de son paternel et souhaite à tout prix lui ressembler.

Une soeur, Ashton Sevenoaks, séparée de lui par deux ans seulement. Dakota aime sa soeur autant qu’il la déteste, mais sait pertinemment au fond qu’il donnerait sa vie pour la petite prétentieuse. Tant de différences et pourtant il leur arrive bien plus souvent qu’on ne pourrait le penser de s’entendre parfaitement sur certaines idées.

Une seconde soeur, Sydney Sevenoaks, petite boule d’énergie qu’il ne voit plus assez souvent à son goût, celle-ci n’étant pas encore en âge de rejoindre Poudlard. Sa bonne humeur et son hyperactivité arrivent à lui manquer, de temps en temps.

Un oncle du côté paternel, Anatole Sevenoaks, lâche, faible, répugné par sa propre femme et par sa famille. Dakota n’a eu l’occasion de le croiser qu’aux réunions de famille et n’a jamais voulu lui faire la conversation. Il se fit aux informations données par son père à son sujet et méprise cet homme qui se laisse dominer par sa femme.

Une tante, la femme d’Anatole, Cassandre Sevenoaks, une des seules femmes qu’il s’estime devoir et pouvoir craindre. Cette femme forte a un caractère qui le laisse sans voix. Mais sa fierté est trop grande pour qu’un jour il ne l’admette.

Un cousin germain, Andrea Sevenoaks, dont les idées peuvent se confondre sous différents opinions, même si au fond les deux cousins sont bien différents. Il arrive à Dakota de ne plus supporter ce cousin lorsqu’Ash décide de s’en mêler.

Un autre cousin germain, non-reconnu, rejeté par son père, Matrim Sevenoaks-Newton, aujourd’hui interné pour ses maladies psychologiques et autre. Dakota n’a jamais voulu en savoir plus à son sujet, ce qu’on a pu lui raconter lui a amplement suffit. Il est même soulagé d’apprendre que le nom de Sevenoaks ne sera pas sali par celui d’un bâtard mentalement défaillant maintenant qu’il a rejoint Saint-Mangouste.

Un oncle du côté maternel, Jack Leynd, et une tante, Mary Leynd, pour qu’il n’a que très peu voire même aucun intérêt. Si Dakota a bien renié sa propre mère, il en va sans surprise qu’il n’a strictement rien à faire de son frère et de sa femme.

Une cousine germaine, Madison Leynd, qu’il ne connaît pas encore mais qu’il risque de découvrir à Poudlard. Qui sait ce qui sortira de cette relation s’annonçant déjà pleine de mépris.

Une cousine éloignée, Narcissa Breckenridge, fille de la cousine du père de Dakota, il leur est arrivé de se croiser aux réunions de famille, sans que rien n’en sorte. Il en va de même pour la cousine germaine de Narcissa, Sleibhin Norgarstein.


La première fois ici

On entend la pluie contre le plafond en verre de la gare. J’espère pour eux qu’aujourd’hui est un jour de mauvais temps, car s’ils passent sérieusement toutes leurs vacances d’été avec cette météo de merde, bonne chance à eux. Au moins, on n’aura pas été dépaysé, il fait aussi froid à Londres en été qu’à Sydney en hiver. Ash’ n’arrête pas de râler. Je sais que le départ n’a pas été facile pour elle. Certes, elle exagère toujours, mais au fond, je sais qu’elle regrette vraiment notre manoir à Sydney. Ça ne peut pas être une mauvaise expérience, et Poudlard ne doit pas s’éloigner tant que ça de Silverwood. Elle devrait sourire un peu plus. Elle râle pour un rien. Pourtant, je sais pertinemment qu’elle arrivera facilement à s’intégrer et à se trouver des groupies comme elle le fait partout où elle se rend. C’est ça, la classe des Sevenoaks. Notre prestance et notre charisme font une bonne partie du travail, on n’a plus vraiment besoin de se présenter aux autres. En plus, avec Papa qui a déjà marqué le territoire quand lui-même était à Poudlard, le terrain est déjà bien lisse. Et je sais qu’on a des cousines anglaises qui portent le nom de Sevenoaks qui doivent déjà avoir fait deux trois trucs, non ? Enfin, c’est très prétentieux de parler ainsi, mais c’est exactement ce qui se passe dès qu’on arrive quelque part de nouveau. Bref.

La pluie n’a pas l’air de vouloir s’arrêter. Heureusement qu’on est en train et pas en je-ne-sais-quoi comme moyen de transport avec un toit ouvert, ça m’aurait profondément énervé sinon. Déjà que prendre le train me cassait les couilles … Bon, certes, pas autant qu’à Ash qui elle fait des histoires pour un oui ou pour un non, mais tout de même. Je reste impassible en traversant le mur menant au quai 9 ¾. Ça n’a rien eu d’exceptionnel. C’est pour les gamins, ça. Normal que ça amuse Sydney. Son insouciance me laisse lâcher un petit sourire. Je regrette parfois cette époque. Cette époque où tout tenait, difficilement certes, mais où on continuait, cette époque où on avançait sur notre route avec une épave destinée à s’effondrer comme voiture. Une vraie petite famille de richoux modèle. Je me perds dans mes pensées, cesse de prêter attention au monde qui m’entoure. Qui est cette fille ? Elle me fait de l’oeil. Un “bonjour” aimable, et le tour est joué. C’est fou à quel point sa vie peut à un tel point me désintéresser. Pauvre fille. J’ai déjà oublié son prénom. Si elle tient tant à me servir de guide, pourquoi pas ? Elle me montrera peut-être un recoin sombre où ma langue pourra s’emmêler avec la sienne. Elle me tient la jambe, là. J’ai bien compris que je pouvais me “perdre” à Poudlard, ouais, c’est grand. Ça va, wow. Putain merci Ash’, toujours au bon moment. Je m'éclipse - poliment toujours - et rejoins ma soeur. C’est ça, elle peut me vanner autant qu’elle veut, si ça la fait marrer. Elle a un don pour le mime, dis-donc. Un simple rire s’échappe de ma gorge.

J’ai évité la fureur du dragon, merci Papa, merci Syd’. Elle va sûrement me faire la gueule tout le temps du trajet, comme elle sait si bien le faire. Tant pis, c’est pas une grande perte. J’suis pas du genre bavard, et lorsque j’arrive à faire en sorte qu’Ash me foute la paix, c’est parfait. On devrait se disputer plus souvent. La sirène du train siffle. On est sur le départ.

J’suis entourée de mômes. Ils ont même pas l’âge d’Ashton. Super. La honte, bonjour. On va croire que j’ai redoublé six ans d’affilé. J’essaye de pas grimacer, mais c’est pas facile. Ils vont bien voir, de toute façon, quand je vais me retrouver dans leur classe, à les écraser dans tous les domaines. Quels idiots. Qu’ils continuent de me dévisager comme ça et ils verront. Dès que je finis de poser ce chapeau moisi sur ma tête et que je connais ma maison, je file. Pas besoin de rester ici plus longtemps. Ash’, elle, ça doit pas la déranger, que tout le monde la regarde comme ça. Elle fait la belle à se pavaner en début de file. Si je pouvais, je l’attraperais par les épaules pour qu’elle reste à ma hauteur mais évidemment, elle est pas de cet avis. Ouais, ouais, le chapeau, la maison, j’ai bien compris tout ça. Comment cacher le fait que j’aimerais être à Serpentard ? Peu importe la réputation de cette maison ou d’une autre, je veux juste faire comme Papa. Le rendre fier de moi, le reste n’a que très peu d’importance à mes yeux.

Bon. À quoi joue Ash’ ? Elle vient d’être appelée. Elle est dans la lune, cette fille. Je lui donne un petit coup de coude, un truc discret que personne ne percevra. Allez, bouge, avance, c’est ton tour, j’ai envie de lui murmurer, mais elle a l’air de s’être réveillée. C’est pas trop tôt. Elle tremble, et personne ne peut le voir, sauf moi. Parce que je commence à la connaître par coeur. Elle a peur. Elle a la trouille. Mon sourire en coin s’agrandit et prend possession de toute la longueur de mes lèvres. Je risque de la charrier dès qu’elle redescendra de ce tabouret. Je suis pas nerveux, moi. Assez décontracté. Stresser ne servirait à rien, de toute façon, ça ne changera pas mon sort. Et elle … Poufsouffle. À la connaître, elle doit sûrement être dégoûtée. Ça lui fera les pieds. C’est sûr que c’est clairement pas une maison qui impressionne, comme les autres. À partir du moment où ton animal totem est un blaireau, aussi. Ça me fait doucement rire. Bon, allez, mon tour. Pas de précipitation, pas d’angoisse, simple, naturel, mon regard posé naturellement méprisant et mon sourire assuré. J’suis prêt.

QUESTION DU CHOIXPEAU
Une personne pas douée tombe dans le lac noir, malheureusement, il est le seul témoin de la scène, que fait-il ? – Dakota commencera sûrement par lâcher un ricanement, ne portant que très peu d’intérêt à l’idiot qui vient de se jeter à l’eau. S’il s’avère, néanmoins, que ces cheveux blonds qui disparaissent dans l’obscurité du lac appartiennent à Ash’, il s’empressera de s’y jeter à son tour. La famille passe avant tout, pour le jeune homme. Si, par contre, la personne ne lui est pas familière, il n’esquissera aucun mouvement et hésitera même à donner l’alerte, se mettra ouvertement à se foutre de la gueule du maladroit. Par ailleurs, s’il connaît la personne comme étant un sang de bourbe, vous pouvez vous assurer qu’il ne laissera pas son regard tarder sur cet être impur. Il lui jettera des pierres en guise de bouée de sauvetage.




Dernière édition par Ray le Dim 22 Juil - 21:00, édité 11 fois
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Message(#) Sujet: Re: Dakota W. Sevenoaks - Y’a une différence entre tourner la page et baisser les bras Dakota W. Sevenoaks  - Y’a une différence entre tourner la page et baisser les bras EmptyJeu 12 Juil - 0:59

Bienvenue cher cousin au second degré, et bon courage pour ta fiche ! Tasha
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Message(#) Sujet: Re: Dakota W. Sevenoaks - Y’a une différence entre tourner la page et baisser les bras Dakota W. Sevenoaks  - Y’a une différence entre tourner la page et baisser les bras EmptyJeu 12 Juil - 4:59

DAKOTAAAAAAAAA Anoushka Jade
Je suis tellement contente que tu l'es choisi Perrin Admiratif
Bienvenue par ici le plus beau et merveilleux frère Amoureux
Si tu as encore des questions, tu sais où me trouver Content
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Message(#) Sujet: Re: Dakota W. Sevenoaks - Y’a une différence entre tourner la page et baisser les bras Dakota W. Sevenoaks  - Y’a une différence entre tourner la page et baisser les bras EmptyVen 13 Juil - 11:48

Bienvenue Savannah
On va finir par avoir la famille Sevenoaks complète Anoushka
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Message(#) Sujet: Re: Dakota W. Sevenoaks - Y’a une différence entre tourner la page et baisser les bras Dakota W. Sevenoaks  - Y’a une différence entre tourner la page et baisser les bras EmptyVen 13 Juil - 18:32

COUSIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIN Perrin Jade Coeur
Bienvenue et bon courage pour ta fiche Coeur
Hâte de développer un lien avec toi Perrin
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Message(#) Sujet: Re: Dakota W. Sevenoaks - Y’a une différence entre tourner la page et baisser les bras Dakota W. Sevenoaks  - Y’a une différence entre tourner la page et baisser les bras EmptySam 14 Juil - 8:23

Bienvenue ! Savannah
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Message(#) Sujet: Re: Dakota W. Sevenoaks - Y’a une différence entre tourner la page et baisser les bras Dakota W. Sevenoaks  - Y’a une différence entre tourner la page et baisser les bras EmptySam 14 Juil - 14:40

Merci à vous tous Dakota W. Sevenoaks  - Y’a une différence entre tourner la page et baisser les bras 1434744687
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Message(#) Sujet: Re: Dakota W. Sevenoaks - Y’a une différence entre tourner la page et baisser les bras Dakota W. Sevenoaks  - Y’a une différence entre tourner la page et baisser les bras EmptyDim 22 Juil - 23:21

Bienvenue cheers !!
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Message(#) Sujet: Re: Dakota W. Sevenoaks - Y’a une différence entre tourner la page et baisser les bras Dakota W. Sevenoaks  - Y’a une différence entre tourner la page et baisser les bras EmptyDim 22 Juil - 23:48

C'est qu'on a des gueules d'ange dans la famille Dakota W. Sevenoaks  - Y’a une différence entre tourner la page et baisser les bras 1434744687

Bienvenue Coeur
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Message(#) Sujet: Re: Dakota W. Sevenoaks - Y’a une différence entre tourner la page et baisser les bras Dakota W. Sevenoaks  - Y’a une différence entre tourner la page et baisser les bras EmptyLun 23 Juil - 20:45

J'adore ton interprétation de Dakota Perrin
Pour moi, y a rien a redirec'est parfait Pompom Girl
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Le Choixpeau Magique

Le Choixpeau Magique



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Arrivé(e) le : 21/04/2011
Parchemins rédigés : 1912
Points : 0
Crédit : (c) Septimus Veturia
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Et plus en détails ?
Statut Sanguin:
Pouvoirs spéciaux: Aucun pour l'instant
Poste de Quidditch: Aucun
Patronus:
Epouvantard:
Matières suivies et niveau:
Points Défis:
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Message(#) Sujet: Re: Dakota W. Sevenoaks - Y’a une différence entre tourner la page et baisser les bras Dakota W. Sevenoaks  - Y’a une différence entre tourner la page et baisser les bras EmptyMar 24 Juil - 21:50




Bienvenue parmi nous

C'est quand même très drôle (et particulièrement contradictoire) de voir un pro sang-pur qui méprise à ce point les moldus aussi accroché à l'une de leurs inventions. What a Face Je t'avoue que j'ai quand même hâte d'avoir une once d'explication dans tes RPs, tout ça tout ça. Quoi qu'il en soit, tu vas désormais pouvoir faire tes premiers pas parmi nous ! J'espère que tu t'y sentiras à ton aise et que tu prendras rapidement tes marques ! Pompom Girl



Je pense que tu trouveras ta place parmi les rangs de
SERPENTARD
!
Serpentard Serpentard Serpentard



Quelques conseils pour bien commencer


Maintenant que tu es réparti(e), il ne faut pas te reposer sur tes lauriers. Ta vie NYLienne commence à peine et pour la faire démarrer sur de bonnes bases, il te reste encore pas mal de petites choses à faire. Ne t'inquiètes pas, je vais tout te montrer...

Commence par créer ta fiche de liens, ta fiche de RPs, ainsi que boîte aux lettres qui te permettra aussi de gagner des points RPs en écrivant des lettres de plus de 300 mots et ta boite à hiboux express pour les messages plus courts. Peut-être que tu n'en trouveras pas tout de suite l'utilité, mais ça ne saurait tarder... Alors mieux vaut l'avoir fait tout de suite. Et puis, si jamais tu cherches quelqu'un d'important pour le développement de ton personnage, n'hésite pas à créer un poste vacant.

Aussi, je te conseille d'aller lire comment marche le système de points, si ce n'est pas déjà fait. Ce serait bête de ne pas savoir comment rapporter des points à ta maison. D'ailleurs, tu peux jeter un coup d'oeil aux sabliers pour voir où en est la course à la Coupe. Et comme les votes, c'est le bien, Top-Siter rapporte des points !

N'empêche que le meilleur moyen d'obtenir des points reste d'aller en cours. Et oui, nous sommes dans une école et nos chers professeurs vont se faire une joie de t'apprendre tout ce qu'ils savent. Quand tu te seras bien installé(e) dans ton dortoir, attrape tes bouquins et rends toi vite en classe ! Nos professeurs t'attendent, et pour savoir à qui tu as à faire, tu trouveras la liste ici. La liste des sortilèges par année est disponible .

Il n'y a pas que les points des sabliers qui sont importants ici. Il y a aussi les points défis ! Tu peux aller lire ce sujet pour savoir exactement ce que c'est que les points défis. N'oublie pas de créer ton sujet d'ailleurs, qu'on puisse tous t'en proposer ! Bien sûr, tu peux également savoir combien tu as de points en allant voir la fiche ! Le nombre de point s'initialise automatiquement à 0/0 mais dès que vous avez un point, vous pouvez voir l'évolution de ceux-ci à 1/2000...

Heureusement, il n'y a pas que les cours dans la vie ! Tu vas pouvoir t'entraîner à être une fouine en écoutant les rumeurs qui se baladent dans les couloirs, attraper ton balai pour devenir le plus grand joueur de Quidditch de l'histoire de Poudlard... Enfin, pour être sûr(e) de ne rien louper des activités qui te seront proposées, garde un oeil sur le panneau d'affichage, et sur la Gazette du Sorcier pour être informé(e) de tout ce qui peut bien se passer dans le monde magique.

Le HRP (hors-RP) te donnera également de quoi t'occuper grâce à une partie Flood bien remplie. Tu pourras également faire plaisir aux autres membres en leur offrant des cadeaux. N'oublie pas, à l'occasion, de passer sur la ChatBox, avec un peu de chance, tu tomberas en plein jeu... S'il y a quelque chose que tu ne comprends pas, nous répondrons à toutes tes questions.

Sur ce, je te souhaite beaucoup de plaisir dans cette nouvelle vie qui commence, et plein de merveilleux RPs !


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Message(#) Sujet: Re: Dakota W. Sevenoaks - Y’a une différence entre tourner la page et baisser les bras Dakota W. Sevenoaks  - Y’a une différence entre tourner la page et baisser les bras EmptyVen 27 Juil - 19:18

Bienvenue sur le fow' Coeur
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