understood the mind is bigger than the whole universe + Casey
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(#) Sujet: understood the mind is bigger than the whole universe + Casey Mar 22 Aoû - 12:42
Casey Nicola Beckett est une née-moldue, née le 12 janvier 2008 à Wantage, non loin d’Oxford en Angleterre. D'ailleurs elle n'y vit plus puisqu'elle a déménagé à Oxford, passant de familles d’accueil en famille d’accueil, en Angleterre. Aujourd'hui, Casey a donc quinze ans et est en quatrième année puisqu’elle a redoublé à cause de Blackman. Et juste pour ta culture personnelle, sache qu'il n'a pas d'animal de compagnie.
Il est bon de savoir que Casey est indépendante, mature, elle a grandit beaucoup trop vite et beaucoup trop tôt ce qui la rend également, débrouillarde et forte, elle n'a besoin de personne pour arriver à ses fins et elle est désormais capable d'encaisser énormément avant de plier. Elle est intelligente, extrêmement observatrice et curieuse de tout ce que le monde magique peut lui apporter et lui apprendre. Elle s'est parfaitement intégrée à Poudlard et est devenue, contre toute attente, plutôt populaire au sein de sa maison, même si elle reste quelqu'un de très solitaire et caractériel : elle a du mal à comprendre ses camarades et à bâtir des relations harmonieuses avec eux mais c'est aussi ce qui fait sa réputation. Elle a réussit à faire de son inadaptation sociale une force et les gens ne la voient pas bizarre mais plutôt froide. Ainsi que des tendances violentes et bagarreuses., Casey est plutôt grande gueule et n'a vraiment aucune patience aussi ne vaut-il mieux pas venir la chercher. De très secrète elle en est arrivée à mentir souvent et est devenue pas mal hypocrite avec les gens. Casey est également voleuse sur les bords, n'hésitant pas à se saisir de choses qu'elle désire. Malgré sa réputation de forte tête et de fille dure, elle n'est jamais excessivement méchante avec les gens et n'est jamais devenue le bourreau de qui que ce soit, refusant de reproduire le comportement de son père. Elle a des goût étranges, par exemple elle aime l'hiver et sa douceur, le silence qui se pose sur la nature, la quiétude de la neige, les friandises et les bons gâteaux, chose qu'elle n'a jamais eu dans son enfance, les beaux vêtements et, plus généralement, tout ce qui lui fait oublier d'où elle vient, les histoires ou encore dormir alors qu'elle déteste les gens en général, elle n'est d'ailleurs jamais sortie avec aucun garçon, bien qu'elle en ai eu la possibilité, les espaces trop grands mais, a contrario, les espaces d'où elle ne peut sortir, qu'on la touche ou qu'on l'approche de trop près, Blackman et ses hommes qui ont fait de son rêve un enfer et l'eau, elle a peur de l'eau puisqu'elle n'a jamais appris à nager.
Sa baguette est composée de bois de pin avec un coeur de plume de phénix et mesure 30,5 centimètres. Grâce à elle, Casey a le malheur de suivre les cours obligatoires de botanique, astronomie, dcfm, histoire de la magie, métamorphose, potions et de sortilèges mais aussi les cours optionnels de vol, soins aux créatures magiques et étude des runes.
Casey N. Beckett
feat. Frances Bean Cobain
ET EN VRAI ?
J'ai bientôt 22 ans, mais peut-être que tu le sais déjà parce que je suis tout juste débarquée donc en fait tu ne le sais sûrement pas, j'ai même dépensé combien de points, hein ? puis c’est pas moi qui ai dépensé mais Brooklyn pour être Occlumens en formation. Je suis arrivée sur NYL grâce à Brooklyn mais la première fois était il y a des années déjà et je devrais être là en moyenne 5 à 7 jours par semaine. Avant de finir j'aimerais juste rajouter que Brooklyn est la meilleure ♥.
Tout le monde a une histoire
Il était une fois…
C’est bien comme ça que commencent les contes de fées, non ? On lui en racontait peu, à Casey, mais elle savait déjà très jeune que sa vie n’avait rien d’une histoire de princesse et de royaume magique, ce qui ne l’empêchait pas de s’inventer des histoires, la nuit tombée, glissée dans son lit, perdue dans l’immensité de la nuit.
Enfant unique accordée par la grâce de Dieu à un couple qui n’était pas destiné à en avoir, selon les experts, elle fut la joie de sa mère - dans un premier temps, du moins, avant que la dépression ne la rattrape et ne lui fasse oublier qu’elle avait une fille - et la déception de son père qui aurait préféré voir un petit garçon naître à la place de Casey et qui savait qu’elle serait son unique enfant. Dans un dernier effort de nier la réalité, il nomma sa fille comme il l’avait décidé, pensant qu’il s’agirait d’un homme, et s’est ainsi que Casey Nicola Beckett entra dans le monde difficile qu’était la vie.
Son père, membre important et influent de la paroisse, était tout ce qu’il y avait de plus sévère, et sa mère était tout ce qu’il y avait de plus effacée. Cette dernière obéissait religieusement aux ordres que lui donnait son mari et restait à la maison s’occuper de leur enfant et de toutes les tâches ménagères incombant à une femme, tandis que lui allait au travail tôt le matin et revenait tard le soir. Casey évitait déjà de faire des vagues, enfant renfermée sur elle-même, curieuse de tout et de tous, observant le monde et les gens avec ses grands yeux qui en disant déjà bien plus que les mots qu’elle ne savait pas encore prononcer. Il lui arrivait cependant de se prendre une claque ou deux quand son père, de mauvaise humeur, rentrait et qu’elle jouait sur son passage ou quand elle avait le malheur - rare étaient les fois où elle osait - de poser une question à laquelle il ne souhaitait pas répondre. Pas du tout intéressée par la religion, ne comprenant pas une seule seconde pourquoi ses parents se rendaient tous les dimanches dans ce bâtiment trop grand, avec trop de monde, à écouter des discours qui ne voulaient rien dire, elle manifesta une seule fois son incompréhension. La correction paternelle fut telle qu’elle ne parla plus jamais de Dieu avec ses parents et observa une attitude parfaitement effacée quand ils se rendaient à la paroisse ou à des repas de la communauté.
Et puis tout changea. Casey se souvient qu’il pleuvait, dehors, et qu’elle était restée enfermée dans sa chambre pour lire - pour la énième fois - un des rares livres qu’elle possédait et qui parlait, non pas de dragons, de sorcières et de magie puisque ses parents lui interdisaient formellement de ne serait-ce que jeter un coup d’oeil à ces histoires du Diable, qui parlait donc d’un passage de la Bible. C’était un livre en grande partie illustrée dont elle arrivait cependant déjà, à cinq ans à peine, à lire la majorité des mots. Difficilement, certes, mais les lettres devant ses yeux prenaient tout leur sens. Quant aux dessins, elle les remodelaient dans son esprit pour en faire des chevaliers à dos de dragons pourfendant le ciel de leurs lances en feu. Elle était là, prise dans son monde imaginaire, quand la porte de sa chambre s’ouvrit avec violence et fracas, la faisant sursauter. Levant un regard apeuré, son coeur battant à mille à l’heure, elle observa avec ahurissement la porte se refermer violemment, se fracassant contre le nez de son père.
Heureusement pour elle, il fallut aller à l’hôpital et entre les soins et les médicaments, son père ne pensa pas à la punir pour ce qu’elle avait fait. C’est du moins ce qu’elle croyait, parce que le lendemain, à peine le soleil levé, son père entrait de nouveau furieusement dans sa chambre et la tirait du lit. Sa poigne bien trop forte pour un enfant si jeune la souleva de terre et la secoua dans tous les sens. Casey sentit les larmes menacer de couler, se retenant de toutes ses forces sachant ô combien son père détestait qu’elle pleure. Sa frustration ne trouvait pas de porte de sortie, sa peur non plus. Jusqu’à ce que dans leur dos, la porte se mette à claquer, reprise en écho par d’autres battants de la maison. Son père la lâcha, comme s’il venait de se brûler et la regarda comme s’il la voyait pour la première fois.
Ce n’était plus de la sévérité dans son regard, mais du dégoût. Ce n’était plus des claques sur sa joue mais la ceinture dans son dos. C’est à partir de là que Casey commença à recevoir régulièrement des coups : des coups de ceinture, des coups de poing… Elle était l’enfant du démon. Malheureusement, chaque fois que la peur devenait trop grande, la frustration trop élevée, sa sorcellerie se manifestait de nouveau, ciblant plus particulièrement les objets religieux, ce qui avait le don de mettre son père hors de lui. Et ce qui finissait immanquablement en coups. Quand son père la frappait au visage et qu’un bleu apparaissait, elle restait enfermée dans sa chambre, privée d’école et de sortie, pour que les voisins ne sachent pas. Ne sachent pas que la famille Beckett battait son enfant. Ils ne fallait pas non plus que le quartier sache que la fille Beckett était marquée par le Diable. Pendant que son père cherchait un moyen de la faire déposséder, sans que la paroisse ne soit au courant évidemment, les menaces pleuvaient et Casey avait bien compris que les coups seraient bien plus terrible si elle se montrait anormale en dehors de la maison.
Quand elle était enfermée pour des jours entiers chez elle, un bleu autour de l’oeil, un hématome barrant sa joue, Casey avait un rituel. Tous les matins, à l’heure où elle devait aller à l’école, elle s’approchait de sa fenêtre et guettait son passage. Elle faisait la même chose le soir. Et le fait de croiser son regard, deux fois par jour, même si ça ne remplaçait pas sa présence, c’était déjà un grand réconfort.
Parce qu'il était sa seule dose de réconfort, sa seule tâche de couleur dans cet univers sombre. La seule personne qu'elle avait réellement envie de voir. Isolés à l'école, elle elle était la fille un peu étrange, solitaire, qu'on n'approchait pas trop, et lui restait dans son coin. Casey passait son temps à observer les gens à la récré, ou bien à lire, refusant qu'on l'approche de trop prêt et qu'on la touche. Parce que des bleus cachés par ses vêtements la faisaient encore souffrir mais aussi parce qu'elle avait peur que sa sorcellerie se déclenche et que son père ne la frappe, encore. Ils se sont rapprochés, se sont trouvés, n'avaient pas besoin de mot pour parler de ce que leurs yeux criaient déjà. Et ils savaient. Ils savaient la peur de l'autre de rentrer chez lui, la peur de ce qui l'attendait, la peur de savoir si le père serait de bonne ou de mauvaise humeur, si les coups seraient verbaux ou physique. Il était la seul personne sur cette satanée planète qu'elle ne modifiait pas dans ses songes éveillés. Il restait toujours tel quel parce que c'était tel quel qu'elle l'appréciait, tel quel qu'elle avait besoin de lui. Abîmés par des parents sévères qui ne comprenaient pas leurs enfants, ils étaient la béquille de l'autre : indispensables pour avancer et ne pas boiter.
Du moins, c'est ce que Casey pensait avant qu'on ne lui enlève Brooklyn. Elle n'avait pas vu la chose venir. Mais un matin, la maîtresse qui s'interroge, qui appelle les services de l'enfance, et il n'en fallait pas plus pour qu'il soit retiré de sa famille. Le quartier tout entier murmurait sur l'impossible : un père, fervent pilier de la paroisse, battant son fils ? Mais Casey ne voyait que la voiture qui s'éloignait avec son seul ami. Elle n'avait pas huit ans et déjà son monde entier s'écroulait. Ce soir là, sa crise de larmes insupporta son père qui s'avança pour la battre, encore. Ce fut comme si un main invisible le repoussait et le projetait contre la table. S'enfuyant en courant, Casey s'enferma dans sa chambre. Peut-être par peur ou peut-être parce que, pour la première et unique fois de sa vie, son père éprouva un semblant de peine envers sa fille, elle ne le vit pas débarquer dans sa chambre, annonciateur de nouveaux coups. Elle pleura toute la nuit, incapable, encore, d'évacuer sa tristesse et son sentiment d’injustice. C'est cette nuit-là qu'elle commença à avoir des comportements autodestructeurs, ces petites mains lacérant de ses ongles ses cuisses là où, elle le savait, les marques seraient invisibles. Garder le secret, toujours, ne pas montrer son corps abîmé.
Le lendemain matin, et les jours qui suivirent, Casey reprit espoir. La vie redevenait normale après cette parenthèse tragique, son père continuait de la réprimander et de la frapper, et Brooklyn allait revenir.
S'il ne revenait pas, il allait lui passer un coup de téléphone, au moins.
Ou alors lui envoyer une lettre, lu dire qu'il allait bien, qu'ils pouvaient se voir à tel endroit, tel jour.
Un an après son départ, jour pour jour, un an sans aucune nouvelles de lui, un an de solitude, un an à boiter, car la béquille était partie sans se retourner. Cet anniversaire fut la goutte d'eau, la goutte de trop et son pouvoir se manifesta encore, et la correction de son père fut encore plus violente que les autres fois. Le lendemain, à l'école, Casey était tout simplement incapable de s'asseoir. Quand la maîtresse souleva son t-shirt, qu'elle découvrit les marques anciennes, celles en voie de guérison, et celles datant de la veille, elle appela immédiatement les services sociaux. Un nouveau pilier de la communauté tombait, mais tout ce que voyait Casey, c'était la silhouette de ses parents devenant de plus en plus petite, et l'espoir de retrouver Brooklyn, qui devenait de plus en plus grand. Après tout, lui aussi avait été emmené dans cette voiture, par ce chemin, alors il devait se trouver au bout.
Mais il n'était pas là. Elle ne trouva qu'une famille d'accueil qui était là pour prendre soin d'elle le temps qu'on lui trouve une famille adoptive, de ce que lui avait dit le monsieur qui l'avait amenée là. Mais Casey comprit bien vite que ce n'était pas le cas. Elle n'avait aucune idée de leur motivation, de pourquoi ils accueillaient autant d'enfants, mais ce n'était sûrement pas pour prendre soin d'elle. C'est là qu'elle comprit : elle était seule à pouvoir prendre soin d'elle. Il n'y avait qu'elle qui comptait et elle ne pouvait que compter sur elle si elle voulait s'en sortir. De réservée et timide, elle devint de plus en plus renfermée mais également indépendante. Elle n'avait besoin de personne, et elle le faisait bien comprendre. Ils n'étaient personne pour elle, ça n'était pas sa famille, ni ses parents, ni ses frères et sœurs, personne. Solitaire, grande gueule, elle n'hésitait pas à répondre et refusait désormais de se laisser frapper. Plus personne ne porterait jamais la main sur elle, plus personne ne pourrait jamais l'atteindre.
Sa première famille ne la garda que quelques mois. Elle changea bien vite, pour un autre couple, d'autres enfants, mais toujours la même chose : elle ne se fiait à personne, ne parlait à personne et commença même à fuguer très régulièrement. La seule chose qui valait le coup, à ses yeux, c'était l'école. Mais là encore, les limites apparurent très vite et pour apprendre tout ce qu'elle voulait apprendre, elle n'eut d'autre choix que de se débrouiller par elle-même. Casey devint encore plus sauvage. Elle ne mangeait pas avec le reste de la famille, profitait des moments où ils n'étaient pas à la maison pour dormir et sortait dès qu'ils revenaient. Après une dispute avec un des autres enfants, elle changea encore de famille. Celle-ci n'était ni pire, ni meilleure. Mais un des enfants, plus âgée qu'elle, lui inspirait une méfiance plus forte que tous les autres. À raison, puisqu'un jour il l'isola dans une chambre et passa sa main sous son pantalon, lui intimant de ne pas bouger. Peine perdue, elle le mordit aussi fort que possible à son autre main, lui arrachant un cri de douleur, et ce qu'elle nommait toujours sa sorcellerie refit son apparition en le projetant contre un lit. Les pleurs, le sang, le bruit attirèrent rapidement les parents qui jugèrent Casey entièrement coupable - elle n'était là que depuis quelques jours et lui vivait ici depuis des mois - et ce fut le départ pour une autre famille.
Trimbalée à droite et à gauche selon le bon vouloir des autorités et des familles d'accueil, Casey gardait au fond d'elle l'espoir d'un jour finir dans la même famille que Brooklyn. Il devait bien se trouver là, quelque part, à l'attendre comme elle espérait le revoir. Elle avait perdu le compte des familles l'ayant accueillie quand cette femme se présenta un jour à la porte, demandant à parler à la dénommée Casey Beckett. Un air de défi clairement affiché, elle s'avança vers la femme. Qui commença à expliquer, à Casey et aux deux adultes qui avaient sa garde actuellement. Qu'elle était différente. Elle lui en donner, elle, de la différence. Et qu'il existait une école spécialisée pour les personnes comme Casey : la famille n'avait pas à débourser un centime, des fonds existaient pour les orphelins comme elle, et elle y passerait l'année, ne rentrant que pour les vacances d'été et les vacances scolaires si elle le désirait. Casey bouillonnait, se demandant comment on osait parler d'elle ainsi, alors qu'elle était à côté. Mais les formalités furent réglées sans qu'on ne lui demande son avis. Elle devrait se présenter tel jour à la gare d'Oxford et quelqu'un l'attendrait pour acheter avec elle ses fournitures puis l'emmener jusqu'au train qui partait pour la fameuse école. Quand la femme se releva, elle demanda à Casey de la suivre. Celle-ci obéit, sans trop savoir pourquoi, alors que sa seule envie était de se retrouver toute seule, de se lacérer les cuisses à en être épuisée et de dormir pour oublier. Devant la maison, l'inconnue s'agenouilla pour être à sa hauteur. Et parla, à nouveau. Lui expliqua. Et alors tout fit sens. Elle n'était pas un démon, mais une sorcière, et ils étaient nombreux comme elle. Sa magie qui avait fait tant peur à ses parents était normale, dans ce monde-là. Après l'avoir suppliée de l'emmener tout de suite avec à cette merveilleuse école, nommée Poudlard, mais ayant essuyé un refus catégorique, Casey se perdit tout le reste de la journée dans les rues d'Oxford, rêvant de ce nouveau monde qui s'ouvrait à elle.
L'achat de fournitures sur le Chemin de Traverse fut le plus beau jour de sa vie. Elle enviait tous les sorciers qui pouvaient s'acheter ce qu'ils voulaient mais, pour la première fois, n'en ressentait pas d'amertume puisqu'elle aussi touchait le même rêve du doigt. Tenir pour la première fois sa baguette fut merveilleux et le halo doré qui s'en échappa quand elle la tint la marqua à jamais.
Puis ce fut la gare, le monde et le bruit, qu'elle voulu fuir aussitôt en s'engouffrant dans l'immense train. Elle passa le trajet seule, même si deux autres personnes étaient dans le même compartiment. Elle ne voulait pas qu'on lui parle et ne voulait pas parler. Au fil du trajet, Casey réfléchit, énormément. C'était une nouvelle vie qui s'offrait à elle, une nouvelle chance. Et elle voulait la saisir. Elle ne voulait pas passer pour la fille bizarre, orpheline, battue... Alors elle s'inventa une autre histoire. Avec des parents aimants et une belle maison. Son rêve battait son plein quand elle le vit. Juste avant la répartition, elle n'aurait pas pu manquer ce visage et il ne la rata pas non plus.
Le beau rêve vola en éclats. Elle lui en voulait, elle lui en voulait tellement de l'avoir abandonnée, de l'avoir laissée, de n'avoir jamais cherché à la contacter. Il était partie sans se retourner, la laissant boiteuse, esseulée, terriblement triste. Et il avait le culot, de réapparaître ici ? Casey se fit alors le serment qu'elle allait le faire souffrir, comme il l'avait faite souffrir. Qu'elle allait être heureuse, forte, populaire et douée pour le faire crever d'envie. Elle voulait voir une réaction sur son visage qu'elle connaissait par cœur, elle voulait qu'il soit triste de l'avoir perdue, comme elle l'avait été, elle. Elle voulait se venger. Et, au fond d'elle, une part qu'elle étouffa, voulait le retrouver. S'asseoir à côté de lui, retrouver sa présence chaleureuse, retrouver cette unique couleur dans son monde en noir et blanc. Mais elle avait trop de fierté, il l'avait trop blessée.
Alors pendant quatre ans, elle lui fit une guerre en règle. Toute l'école savaient que ces deux là se détestaient, ou pensait le croire, en tout cas. Personne ne connaissait réellement le lien qui l'unissait à Brooklyn, personne ne savait qu'elle l'aimait autant qu'elle le haïssait et qu'il restait la seule personne qu'elle pouvait qualifier d'ami. Le seul encore capable de la blesser.
À côté de ça, elle excellait en cours, se plaisait à l'école, adorait montrer son talent. Ne voulant pas non plus passer pour l'intello de service, elle se rendait avec discrétion à la bibliothèque pour parfaire ses connaissances. Curieuse de tout, avide de tout, elle se faisait sa place. Et puis Blackman chamboula tout et son monde se brisa, encore. La marque sur sa main droite lui rappelait désormais que même dans ce monde de magie, les gens étaient fous, et violents, et méchants. Et qu'elle devait prendre part à cela. Son être tout entier se révolta et décida qu'elle se battrait jusqu'au bout pour ce qu'elle méritait. Mais avec cette dernière année et les cachots et les corvées... Casey se retrouve plus brisée que jamais, confrontée de nouveau à la folie des hommes, proche du gouffre elle aussi, hésitant entre se battre ou abandonner. Son comportement auto-destructeur qui s'était éclipsé à Poudlard est revenu, en flèche, et elle masque ses avants bras lacérés par de grands pull ou des manches longues.
Et Brooklyn... Les cachots les avaient forcés à se reparler. Ils ne pouvaient pas se faire la guerre entre eux alors que le reste des sorciers se battaient déjà contre eux. Mais elle ne l'a pas vu de l'été, s'est encore isolée, et sait qu'elle ne résistera pas longtemps à une nouvelle guerre contre lui.
Famille et compagnie
Nicolas Beckett - Son père. Enfin, si on peut l'appeler comme ça. Fervent croyant, pilier de la paroisse, il était un homme aimé et respecté par tout le quartier. L'annonce de sa mise en garde à vue pour violences sur mineur a profondément choqué toute la communauté. Mais il s'en est peut-être tiré, allez savoir. Il était patron de son entreprise qui bossait dans le secteur de la construction. Sachant que la grossesse de sa femme était un miracle, il espérait avoir un garçon, a eu une fille, et n'a jamais aimé cette dernière comme il l'aurait fait si ça avait été un homme, son digne héritier. Quand les pouvoirs magiques de Casey se sont manifestés, il a tout de suite pensé que c'était là l'oeuvre du démon. Il souhaitait la faire exorciser, mais impossible sans que toute la paroisse soit au courant, alors il espérait qu'avec des châtiments corporels, cela finirait par passer. En voyant que ce n'était pas le cas, sa colère grandissait chaque jour un peu plus devant l'injustice de sa vie. Oui, car il trouvait injuste que, lui, bon croyant, n'ai pas eu de garçon mais qu'en plus sa fille soit l'oeuvre de Satan.
Margareth Beckett née Lawkins - Mariée jeune à son mari, elle a arrêté son petit travail de serveuse pour s'occuper de la maison puis de son enfant quand celle-ci est née. Sans caractère, effacée, elle supportait sans broncher les humeurs de son mari. Dévouée à Dieu, elle est entrée dans un couvent après que Casey ai été placée en famille d'accueil. Jamais elle n'a défendu sa fille, jamais elle n'a haussé le ton contre son mari. Profondément déprimée suite à son accouchement, et notamment car les reproches quant au sexe de son enfant pleuvaient de la part de son mari, elle n'est jamais complètement sortie de sa dépression et buvait même en cachette de son mari.
La première fois ici
Mettez-vous quatre par barque ! L'ordre émanait directement de l'adulte qui avait sommé les premières années de le suivre à la descente du train. Casey s'était éloignée de la foule d'élèves avec plaisir, savourant de se retrouver en comité plus réduit. Mais il avait fallu qu'ils s'avancent en direction d'un immense lac noir sur la surface duquel la lune se reflétait pour que l'inquiétude réapparaisse. Elle ne montra cependant pas un seul instant qu'elle avait peur de s'asseoir sur ce bout de bois flottant sur l'eau et ne pipa mot, même si elle n'avait jamais appris à nager et que l'eau insondable lui donnait envie de se cramponner de toutes ses forces à la barque. Fière et altière, elle prit place sur la barque, ignorant le clapotis régulier, ses yeux fixés sur la loupiote accrochée à leur embarcation. Elle se décala simplement de quelques centimètres quand un élève s'assit à ses côtés afin d'éviter qu'il ne la touche ou n'envahisse simplement son espace vital. Elle y tenait, à son espace vital. Elle ignora son regard curieux, se contentant de fixer devant elle comme si le monde entier l'indifférait. Ce qui était le cas mais elle était loin de se sentir aussi confiante et sereine que ce qu'elle montrait.
Puis les barques se mirent à glisser. Au début, ils ne virent rien d'autre que la nuit, la lune et les étoiles, et enfin, au détour d'une falaise, il apparut. Immense, majestueux, imposant et sacrément impressionnant. Le Château. Tour autour d'elle, dans les autres barques, des exclamations de ravissement se firent entendre. Casey ne broncha pas, mais son visage parla pour elle : ses yeux s'agrandirent, émerveillé par cette immense bâtisse que même dans ses histoires les plus folles elle n'avait imaginée, et sa bouche forma, le temps d'une demi-seconde, un "o" parfait. Ils rejoignirent enfin l'autre rive et suivirent le professeur - Casey imaginait que s'en était un - jusqu'au Château. Il les abandonna tous dans un hall magnifiquement éclairé et démesurément grand, ce qui donna le vertige à la Beckett, leur enjoignant de ne pas bouger. Il avait aussitôt disparu qu'un brouhaha s'éleva, tous les élèves, bien trop excités par ce qui leur arrivait, s’entretenant avec leur voisin, leur demandant nom, prénom, la maison dans laquelle il souhaitait être et tout une suite d'infernales questions. Casey ignora superbement le garçon qui tenta de l'interroger et il abandonna rapidement la partie pour aller ennuyer un autre de ses camarades. Perchée sur la première marche d'un escalier, elle observait cette foule d'élèves qui étaient, comme elle, des sorciers. Des sorciers. Le mot sonnait bien dans son esprit, elle le tournait et le retournait, ne s'en lassant pas.
Ils avaient tous l'air si heureux d'être là, même si certains se montraient moins émerveillés que d'autres. Et c'est là, en pleine observation de ce qui allait être son environnement durant les sept prochaines années, que Casey le vit. Elle crut qu'elle allait tomber par terre, que ses jambes n'avaient plus la force nécessaire pour la soutenir, qu'elle allait tomber dans les pommes... Elle ne se pensait pas capable de rester debout, sans ciller. Mais c'est ce qu'elle fit, même quand il la vit, à son tour, et que leurs yeux se croisèrent, suffisamment longtemps pour éveiller une colère bouillante en Casey. Elle voulait se jeter sur lui, le secouer dans tous les sens, lui hurler dessus, pourquoi, pourquoi il n'était jamais revenue la voir, pourquoi il était si tranquille, là, alors que son monde à elle se chamboulait. Pourquoi il avait l'air d'aller aussi bien alors qu'elle s'auto-détruisait à petit feu, gangrenée par l'absence de la seule personne qui ait jamais comptée à ses yeux. Pourquoi est-ce qu'il détournait le regard, comme s'il venait juste de voir une parfaite inconnue ? Casey se refusa à pleurer, elle ne pleurait plus et ne pleurerait plus, pour personne. Refoulant les larmes, elle laissa la colère la remplacer, se jurant qu'elle se vengerait et qu'il souffrirait, comme elle avait souffert, qu'il ressentirait le manque qu'elle avait ressenti. Oui, elle se le jurait.
Elle était toujours entrain de le fixer de son regard enfiévré quand une voix leur ordonna de la suivre dans la Grande Salle. Mécaniquement, elle suivit la foule d'élève, incapable de décrocher les yeux du dos de Brooklyn. Il lui gâchait son moment. Elle ne profitait même pas pleinement de la beauté de la Grande Salle, de la majestuosité des quatre tables, noires d'élèves et de l'aura qui entourait le vieux chapeau posé sur un tabouret. Il venait de tout gâcher et elle lui en voulait terriblement. Pour ça et pour son abandon. Pour l'avoir laissée seule, errer de famille en famille, espérant le revoir alors que lui l'avait visiblement oubliée. C'est à peine si elle se rendit compte qu'elle marchait vers le Choixpeau quand son nom fut appelé. S'asseyant sur le tabouret, la nuit la recouvra quand on lui posa le chapeau sur la tête, celle-ci trop petite pour le retenir comme il faut. Et pendant que la voix de l'objet résonnait dans son esprit, l'interrogeant, elle se jura que Brooklyn paierait et que Poudlard serait malgré tout sa nouvelle vie.
QUESTION DU CHOIXPEAU
Une personne pas douée tombe dans le lac noir, malheureusement, elle est le seul témoin de la scène, que fait-elle ? – Casey va cligner des yeux plusieurs fois pour s’assurer qu’elle ne vient pas d’halluciner puis elle ira chercher un professeur ou n’importe quel adulte présent dans le coin pour qu’il aille sauver cet idiot. Parce que bon, elle sait pas nager, alors elle va pas y aller elle-même.
Dernière édition par Casey N. Beckett le Mer 23 Aoû - 12:18, édité 7 fois
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(#) Sujet: Re: understood the mind is bigger than the whole universe + Casey Mar 22 Aoû - 12:54
Moi je t'ai reconnue, June.
Rebienvenue à toi, après tout ce temps, et amuse-toi bien avec Casey !
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(#) Sujet: Re: understood the mind is bigger than the whole universe + Casey Mar 22 Aoû - 12:57
Wahou je m'incline Mais j'ai honte parce que moi je te reconnais pas
Et merciiii *-*
Edit : Ah si, mon petit doigt m'a soufflé qui tu étais Contente de te revoir *-*
Dernière édition par Casey N. Beckett le Mar 22 Aoû - 13:03, édité 1 fois
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(#) Sujet: Re: understood the mind is bigger than the whole universe + Casey Mar 22 Aoû - 12:58
DAAAAARLIIIIIING :fursy: Re bienvenue parmi nous et bon courage pour ta fiche Tu sais où me trouver au besoin. Contente que ce perso plaise autant
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(#) Sujet: Re: understood the mind is bigger than the whole universe + Casey Mar 22 Aoû - 12:58
Moi je ne te connais pas donc ce sera Bienvenue Hâte de voir ce que tu feras de ce scénario fort intéressant !
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(#) Sujet: Re: understood the mind is bigger than the whole universe + Casey Mar 22 Aoû - 12:59
Super choix de PV ! Tu vas t'amuser !
Bienvenue ! Ou re-bienvenue visiblement
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(#) Sujet: Re: understood the mind is bigger than the whole universe + Casey Mar 22 Aoû - 13:01
DARLIIIIING :aniek: T'as vu j'ai été gentille et j'ai dis que t'étais la meilleure et pas la plus méchante En espérant que la fiche te conviendra sur le bout des doigts :fursy:
Merci Perrin J'vais en faire une bombe (au sens propre comme au sens figuré )
Ouiiii ce pv est trop parfait Merciiiii :callie:
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(#) Sujet: Re: understood the mind is bigger than the whole universe + Casey Mar 22 Aoû - 13:04
J'étais Hecate et Scipion, je sais pas si tu te souviens. Et j'vais attendre que tu finisses ta fiche pour tout lire d'un coup. :january:
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(#) Sujet: Re: understood the mind is bigger than the whole universe + Casey Mar 22 Aoû - 13:06
Si bien sûr que si j'ai pensé direct à Hecate d'ailleurs et Brook me l'a confirmé Ça maaarche. Je retourne m'y mettre :january:
DETAILS EN PLUS Et plus en détails ? Statut Sanguin: Né-Moldu Pouvoirs spéciaux: Poste de Quidditch: Aucun Patronus: Un chiot golden retriever Epouvantard: Une meute d'oiseaux en plein vol Matières suivies et niveau: Points Défis: (2000/2000) Disponible pour un RP ?: Si t'es pas pressé, c'est d'accord ! D'autres comptes ?: E. Adrian Leonhart & Willow Gillespie
(#) Sujet: Re: understood the mind is bigger than the whole universe + Casey Mar 22 Aoû - 13:37
Ça fait tellement pas naturel "Brooklyn est la meilleure" blablabla coeur coeur coeur je sais plus quoi là. T'as besoin de quoi, la nouvelle ? è_é
Rebienvenue parmi nous, en tout cas ! Ça fait plaisir de revoir d'anciennes têtes ! enfin... un peu... Bon courage pour la fin de ta fiche !
(#) Sujet: Re: understood the mind is bigger than the whole universe + Casey Mar 22 Aoû - 13:40
C'est parce qu'elle me fait peur et qu'elle me menace de me tuer si je dis pas des choses gentilles
Après j'ai dis que c'était la meilleure, j'ai pas dis en quoi (torture ?)
Et merciiii :callie:
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(#) Sujet: Re: understood the mind is bigger than the whole universe + Casey Mar 22 Aoû - 14:23
Rebienvenue sur le fow' Je valide totalement le choix de scénario
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(#) Sujet: Re: understood the mind is bigger than the whole universe + Casey Mar 22 Aoû - 14:28
Bienvenue, ou plutôt re-bienvenue à toi !
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(#) Sujet: Re: understood the mind is bigger than the whole universe + Casey Mar 22 Aoû - 14:34
Ça va oui c'est pas ma fête aujourd'hui on a quand même le droit de me faire un putain de compliment une fois de temps en temps :hunter: c'est pas comme si vous m'en faisiez
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(#) Sujet: Re: understood the mind is bigger than the whole universe + Casey Mar 22 Aoû - 14:34
Merci à vous deux
(Même si t'es méchante et tortionnaire jotem quand même Darling )
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(#) Sujet: Re: understood the mind is bigger than the whole universe + Casey Mar 22 Aoû - 16:23
Rebienvenue du coup, vu que tu étais là il y a quelques années apparemment
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(#) Sujet: Re: understood the mind is bigger than the whole universe + Casey Mar 22 Aoû - 21:26
( re ) bienvenue à toi jolie Casey
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(#) Sujet: Re: understood the mind is bigger than the whole universe + Casey Mer 23 Aoû - 10:52
Merci toutes les deux
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(#) Sujet: Re: understood the mind is bigger than the whole universe + Casey Mer 23 Aoû - 11:01
Y'a du caractère par là ! :noel:
(Re)Bienvenue sur NYL ^^
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(#) Sujet: Re: understood the mind is bigger than the whole universe + Casey Mer 23 Aoû - 11:03
Et t'as encore rien vu
Merciiiii :fursy:
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(#) Sujet: Re: understood the mind is bigger than the whole universe + Casey Mer 23 Aoû - 11:52
Rebienvenue visiblement ! :january:
Le Choixpeau Magique
À SAVOIR Arrivé(e) le : 21/04/2011 Parchemins rédigés : 1912 Points : 0 Crédit : (c) Septimus Veturia
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(#) Sujet: Re: understood the mind is bigger than the whole universe + Casey Mer 23 Aoû - 12:42
Bienvenue parmi nous
Aussitôt rédigé, aussitôt pris Si ça pouvait être toujours comme ça, ce serait cool En tout cas ravis que ce PV est eu autant de succès et désolée à Lowell qu'il n'est pas pu la jouer Mais en tout cas je suis ravie de te voir re-débarquer parmi nous Darling. Tu as bien cerné le personnage et je sens que ça va roxxer du poney nos RPs Tu connais déjà la maison et je ne doute pas un instant que tu seras te faire une place rapidement parmi nous. Prends bien soin de ma Casey et éclate toi avec elle
Hum ... Tu as beaucoup de qualités qui pourraient être intéressantes pour Serpentard ... mais ... tu pourrais tout aussi bien t'épanouir chez les Serdaigle ... Je vois beaucoup de curiosité et d'envie d'apprendre ... tu seras chez toi à ...
SERDAIGLE
!
Quelques conseils pour bien commencer
Maintenant que tu es réparti(e), il ne faut pas te reposer sur tes lauriers. Ta vie NYLienne commence à peine et pour la faire démarrer sur de bonnes bases, il te reste encore pas mal de petites choses à faire. Ne t'inquiètes pas, je vais tout te montrer...
Commence par créer ta fiche de liens, ta fiche de RPs, ainsi que boîte aux lettres qui te permettra aussi de gagner des points RPs en écrivant des lettres de plus de 300 mots et ta boite à hiboux express pour les messages plus courts. Peut-être que tu n'en trouveras pas tout de suite l'utilité, mais ça ne saurait tarder... Alors mieux vaut l'avoir fait tout de suite. Et puis, si jamais tu cherches quelqu'un d'important pour le développement de ton personnage, n'hésite pas à créer un poste vacant.
Aussi, je te conseille d'aller lire comment marche le système de points, si ce n'est pas déjà fait. Ce serait bête de ne pas savoir comment rapporter des points à ta maison. D'ailleurs, tu peux jeter un coup d'oeil aux sabliers pour voir où en est la course à la Coupe. Et comme les votes, c'est le bien, Top-Siter rapporte des points !
N'empêche que le meilleur moyen d'obtenir des points reste d'aller en cours. Et oui, nous sommes dans une école et nos chers professeurs vont se faire une joie de t'apprendre tout ce qu'ils savent. Quand tu te seras bien installé(e) dans ton dortoir, attrape tes bouquins et rends toi vite en classe ! Nos professeurs t'attendent, et pour savoir à qui tu as à faire, tu trouveras la liste ici. La liste des sortilèges par année est disponible là.
Il n'y a pas que les points des sabliers qui sont importants ici. Il y a aussi les points défis ! Tu peux aller lire ce sujet pour savoir exactement ce que c'est que les points défis. N'oublie pas de créer ton sujet d'ailleurs, qu'on puisse tous t'en proposer ! Bien sûr, tu peux également savoir combien tu as de points en allant voir la fiche ! Le nombre de point s'initialise automatiquement à 0/0 mais dès que vous avez un point, vous pouvez voir l'évolution de ceux-ci à 1/2000...
Heureusement, il n'y a pas que les cours dans la vie ! Tu vas pouvoir t'entraîner à être une fouine en écoutant les rumeurs qui se baladent dans les couloirs, attraper ton balai pour devenir le plus grand joueur de Quidditch de l'histoire de Poudlard... Enfin, pour être sûr(e) de ne rien louper des activités qui te seront proposées, garde un oeil sur le panneau d'affichage, et sur la Gazette du Sorcier pour être informé(e) de tout ce qui peut bien se passer dans le monde magique.
Le HRP (hors-RP) te donnera également de quoi t'occuper grâce à une partie Flood bien remplie. Tu pourras également faire plaisir aux autres membres en leur offrant des cadeaux. N'oublie pas, à l'occasion, de passer sur la ChatBox, avec un peu de chance, tu tomberas en plein jeu... S'il y a quelque chose que tu ne comprends pas, nous répondrons à toutes tes questions.
Sur ce, je te souhaite beaucoup de plaisir dans cette nouvelle vie qui commence, et plein de merveilleux RPs !
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(#) Sujet: Re: understood the mind is bigger than the whole universe + Casey Mer 23 Aoû - 12:45
Merci Declan :january:
Ouiiiii merciiii Darliiiing Et désolée Lowell
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(#) Sujet: Re: understood the mind is bigger than the whole universe + Casey
understood the mind is bigger than the whole universe + Casey