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« oh damn ! This poltergeist... » feat. libre
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Message(#) Sujet: « oh damn ! This poltergeist... » feat. libre « oh damn ! This poltergeist... » feat. libre EmptyDim 4 Juin - 18:31

oh damn ! this poltergeist...
matrim & tasha
And I think it's gonna be a long long time 'Till touch down brings me round again to find I'm not the man they think I am at home Oh no no no I'm a rocket man Rocket man burning out his fuse up here alone

Les cauchemars et encore les cauchemars. Je n’arrivais plus a fermer les yeux puisque mes rêves étaient parsemés de cauchemars. Le cauchemar est l’antithèse du rêve. Il peut être aussi dévastateur que le plus beau des rêves permet de faire avancer en nous donnant de l’espoir. La vie n’est pas toujours facile. Parfois les jours sont difficiles, les démons reviennent nous hanter, de sorte que nous ne sommes plus à même de se reposer. Vous savez, chaque jour, je me bats contre des démons intérieurs et extérieurs. Certains, plus brutaux que d’autres, ils n’en restent pas moins dévastateurs. Il y a des jours où, à la tombée des jours, je me sens complètement anéantis, vidé, épuisé. Alors que d’autres, mes cauchemars commence avec la lueur de l’aube. Aujourd’hui, je n’avais toutefois pas fermé l’œil. Luttant contre la fatigue qui prenait peu à peu possession de mon être, je devais absolument sortir de la salle commune déserte, endroit de prédilection pour lire tranquillement lorsque tout le monde était parti de mettre au lit depuis des heures. Toutefois, le sommeil était mon  ennemi en cette soirée paisible, je décidai donc d’aller me balader dans le château. Avec un peu de chance, il y aurait des elfes dans les cuisines qui seront prêt à me donner un petit quelque chose à me mettre sous la dent. Passant le tonneau qui menait à la sortie, j’échouai dans le premier couloir sombre de ma balade. Bien que qu’il fasse une noirceur de pois, je ne m’en faisais pas. Connaissant le chemin par cœur, je marchai dans le noir. La baguette n’était pas une option après le couvre feu, trop de risque de se faire surprendre. 

Longeant le mur en direction sud, je trouvai rapidement le tableau de la coupe de fruits menant aux cuisines. Habilement, je grattouillai juste où il fallait, mais mes caresses ne suffirent pas, l’entrée me restait obstinément fermé. Soupirant de plus belle, je rebroussai chemin. La tour d’astronomie serait certainement déserte à cette heure, et le ciel me semblait magnifique ce soir. Je pourrai l’observer tranquillement en rêvassant à l’avenir parfait que Andrea et moi s’étions conçu enfants. Un avenir certainement inaccessible aujourd’hui… Remontant l’escalier de marbre quatre à quatre, je débouchai sur le palier. Je pris alors l’ouest vers les escaliers mouvants. J’en étais au deuxième lorsque surgit une ombre sur le palier. M’accostant contre le mur, je tentai de me faire plus petit que jamais, mais l’ombre s’avançait de plus en plus en ma direction. S’éleva soudainement une chanson des plus horribles. La voix qui la chantait ne pouvait être confondue avec aucune autre au monde. Personne n’avait une voix plus cassante que ce foutu esprit frappeur, et gare à celui qui oserait lui dire. Gare, également, à celui qui se ferait prendre à se balader dans les couloirs en pleine nuit. Peeves n’aurait que son plus grand plaisir à faire le plus de bruits possible afin d’alerter le concierge ou un enseignant quelconque. C’est qu’il était démoniaque cet esprit frappeur. Je pris rapidement la sortie sur ma droite, espérant ne pas tomber directement sur le fantôme. Encore deux fois à droite, puis je fonçai directement sur un mur qui me laissa le passage libre. J’allais en ressortir de l’autre côte lorsque je faillis percuter quelqu’un de plein fouet. 
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Dernière édition par Matrim Sevenoaks-Newton le Jeu 8 Juin - 5:06, édité 2 fois
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Message(#) Sujet: Re: « oh damn ! This poltergeist... » feat. libre « oh damn ! This poltergeist... » feat. libre EmptyLun 5 Juin - 10:58


excursion interdite
Feat Matrim & Victoire
« Le Philtre de nuit éclatante, lancez-le dans l'air durant la nuit et vous obtiendrez un incroyable feu d'artifice silencieux pendant deux minutes d'affilée » disait l'étiquette d'une fiole que je tenais à la main. Je venais de recevoir ce produit par colis sous forme de parfum, de la part d'une petite enseigne qui débutait dans les farces et attrapes pour faire concurrence aux Weasley. Je n'achetais pas que chez ces derniers car ils étaient certes très doués dans ce qu'ils faisaient mais ils n'avaient pas tout inventé non plus et chez d'autres vendeurs, on trouvait d'autres choses sympathiques et inédites que les Weasley ne possédaient pas encore. Certains penseraient qu'il faudrait être fou pour vouloir tester un Philtre pareil dans ce château, surtout avec les Mangemorts rôdant dans les parages, mais j'y avais réfléchi avant d'agir. Tout d'abord, je ne le ferai pas éclater dans l'école-même... J'allais plutôt me rendre dans la Tour d'Astronomie et lancer la potion dehors super loin et super haut - jusqu'aux limites du dôme - pour un meilleur effet. Quand l'artifice serait lancé, je n'aurais plus qu'à me cacher sous le bureau du professeur, là où on ne penserait pas me trouver. Ou alors, je me ferais la malle jusqu'à tenter d'atteindre la salle commune des Gryffondor, au septième étage. Oui, c'était un bon plan. Cette prise de risque s'avérait excitante et cela me rendait à la fois impatiente et aussi anxieuse. Evidemment que je n'étais pas non plus sereine à l'idée d'enfreindre le règlement toute seule. J'aurais pu faire venir Perrin mais je voulais tester ce produit avant. J'en avais encore une autre en réserve que je lui réservais à lui, Megan et Sinéad.

J'ai donc attendu que mes camarades de dortoir ne s'endorment pour sortir de mon lit. Un pied après l'autre, je me suis déplacée de manière très silencieuse, jetant quelques regards à Sinéad et Victoire pour m'assurer que je ne les avais pas réveillées. Je me suis rapidement regardée dans la glace pour mesurer l'état de mes cheveux mais le clair de lune n'a pas suffi à bien éclairer mon reflet. J'ai haussé les épaules et je suis sortie de la pièce, en prenant garde à ouvrir la porte avec douceur. Malheureusement, elle s'est mise à grincer. J'ai eu un coup de stress mais en constatant que mes camarades ne bougeaient pas, j'ai soupiré de soulagement. Puis, je l'ai refermée derrière moi et je suis descendue vers la grande salle commune qui était déserte. Tout le monde dormait, c'était normal à cette heure-ci. Un sourire de satisfaction s'est dessiné sur mes lèvres ; j'avais l'impression d'avoir le château pour moi toute seule. A pas de loup, j'ai avancé vers l'escalier menant aux tours. Mais au dernier moment, j'ai changé de direction avec une autre idée en tête pour compléter celle de base : pourquoi ne pas en profiter pour prendre quelques muffins avec moi ? Histoire de bien profiter du spectacle. Mon ventre a gargouillé à cette pensée ; il était d'accord avec moi. Dans un élan de détermination, j'ai donc changé ma destination temporairement et j'ai emprunté les escaliers inférieurs. Quelques Mangemorts faisaient des rondes, je pouvais les entendre d'ici. Pour minimiser mes risques, j'ai pris des raccourcis pour passer d'étage en étage. Parfois, je m'immobilisais lorsque je pensais être proche de l'un de ces tyrans et je ne vous cache pas que je flippais énormément. C'était limite si eux n'entendaient pas mes battements de coeur, pour vous dire. A un moment, j'ai cru que j'allais me faire prendre et je me suis mise à regretter ma témérité.

Ce n'est que lorsque j'ai atteint le deuxième étage que j'ai pu souffler quelques temps. J'ai attendu derrière une statue avant de ressortir de cette cachette, pour être certaine d'être seule pendant que deux pions contrôlaient les environs. Malheureusement, la présence de Peeves ne m'a pas facilitée les choses. Il suffisait qu'il ne m'aperçoive ne serait-ce qu'une seconde pour qu'il se mette à hurler ma présence dans tout le château. Je le savais bien qu'il en était capable. Par chance, il était reparti de l'autre côté de l'étage, tout à gauche. Toujours dans la furtivité, j'ai commencé à traverser cette partie de l'aile quand quelque chose a surgi du mur juste à côté de moi, me bousculant assez brusquement.

« Aïe ! » N'ai-je pas pu m'empêcher de dire, sous la petite douleur ressentie.

J'ai rapidement pris peur, pensant avoir raté ma tentative de discrétion contre les Mangemorts. J'ai hésité entre courir ou affronter l'autorité en racontant un bobard. Mais à ma grande surprise, j'ai constaté qu'il s'agissait d'un élève. Certes, nous étions quasiment dans la pénombre sans Lumos mais d'ici, le clair de lune suffisait à détailler un visage assez jeune et qui n'avait aucun trait de ceux que je fuyais.

« Tu m'as fait peur, par Merlin ! Pffiou... J'ai cru que t'étais un Mangemort. » J'ai chuchoté, encore un peu stupéfaite.
© FRIMELDA

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Message(#) Sujet: Re: « oh damn ! This poltergeist... » feat. libre « oh damn ! This poltergeist... » feat. libre EmptyMar 13 Juin - 9:42

oh damn ! this poltergeist...
matrim & tasha
And I think it's gonna be a long long time 'Till touch down brings me round again to find I'm not the man they think I am at home Oh no no no I'm a rocket man Rocket man burning out his fuse up here alone

Si vous avez déjà entendu dire que Matrim Newton était un génie, c’est un mensonge. Un véritable, pur et dur de mensonge. Rien de plus faux au monde. Pourquoi ? Je vous explique ça en une phrase ; se balader la nuit dans les couloirs est la pire idée au monde. Si j’ai oublié l’espace d’un instant pourquoi je n’avais pas tenté l’expérience en cinq ans d’étude dans ce vieux château grouillant d’ombres, de fantômes et autres créatures dont je préfère ne pas essayer d’imaginer, maintenant je m’en souviens très clairement. C’est dangereux. Sans parler du fait que, techniquement, c’est interdit. Strictement non-autorisé. Complètement proscrit de se balader dans les couloirs à cette heure de la nuit. Si vous cherchez à savoir pourquoi, ne vous essayez pas à tenter l’expérience. Demandez à quelqu’un qui a eu le terrible malheur de la vivre. Moi, par exemple…

La voix cassante d'un Peeves chanteur avait suffit à insuffler un vent de panique en moi. Je n'avais même pas vu l'esprit frappeur que j'anticipais une possible rencontre avec lui - sans aucun doute une rencontre avec un mangemort également comme il s'arrangerait pour ameuter tout le château afin que toutes les âmes vivantes et non sachent que j'avais osé sortir dans les couloirs en pleine nuit. Grâce à lui, je me prendrais un doloris comme tous les autres avant moi, ma voix serait amplifié dans tout le château, on me prendrait pour un traitre, on se moquerait de moi et Anatole ne voudrait plus jamais rien savoir de moi... Bon voilà que j'étais partie dans un de mes délires pré-apocalyptique de la vie d'Harrison Matrim Sevenoaks-Newton. Voilà. Maintenant que vous savez que j'ai un talent tout particulier pour paniquer - encore heureux que je n'aie pas fait de crise d'anxiété avant d'avoir le temps de me planquer - revenons aux choses sérieuses ; Peeves. Pour échapper à l'esprit frappeur, j'avais rebroussé chemin tournant quelques fois à droite avant de foncer directement sur un mur dissimulant un passage secret. Si je restais là un moment, je risquais d'échapper au fantôme. Techniquement oui. À moins qu'il ne se décide pas passer par là, juste pas hasard ou malchance, et qu'il me trouve. Encore heureux si ce n'est pas un mangemort qui me tombe dessus en premier dans ce passe sombre entre deux murs. Mauvaise idée. Je ne reste pas là. On bouge ! Quand je dis "on" je parle d'Aristote et moi. Mon rat est, en ce moment même, bien enroulé dans la poche de mon sweetshirt aux couleurs de poufsouffle. Mon fidèle compagnon! Comme s'il ne m'ignorait pas la moitié du temps... Décision prise, j'accélère le pas en direction de la sortie. J'étais au point de passer de l'autre côté, sortir dans l'autre couloir, lorsque je percutai quelqu'un de plein fouet. « Aïe ! », s'exclame une voix féminine lorsque nos corps entre en contact. Sensation désagréable, bien que pas vraiment douloureuse. Je fais un pas en arrière, surpris de "voir" quelqu'un dans ma cachette. Une nouvelle vague de panique m'assaillit. Est-ce un mangemort ? Un professeur ? Un préfet qui va me dénoncer ? Ah non, certainement pas un préfet parce que, techniquement parlant, il n'aurait pas plus le droit d'être là que moi. Par réflexe nerveux, j'attrape l'élastique à mon poignet et le claque sur ma peau. La douleur est légère, mais elle suffit à me calmer l'esprit le temps de revenir à la réalité. « Tu m'as fait peur, par Merlin ! Pffiou... J'ai cru que t'étais un Mangemort. » , reprend la voix féminine en chuchotant. Un mangemort, moi ? Ah non clairement pas. Loin de l'être même. Si je déduis bien, elle a cru que j'étais un mangemort, ou plutôt a eu peur que j'en sois un. Si je déduis comme il faut, il s'agit d'une élève. Une tout aussi délinquante que moi. Une qui devrait être dans son lit, mais ne l'ai pas... « Eh bien non, j'en suis pas un. » J'avais la certitude qu'elle ne était pas un, mais l'impossibilité de voir son visage vu la noirceur de l'endroit où nous nous trouvions me mettait mal à l'aise. Je tirai ma baguette de ma poche où Aristote s'agita nerveusement. Je réalisai qu'il avait dut entrer en collision avec la fille lui aussi. Il allait bien ? Je le sorti aussi de ma poche ce qui ne lui fit pas grand plaisir puisqu'il se débattit. « Calme toi Ari', j'veux juste voir si tu vas bien. », lui dis-je doucement. Je levai ma baguette, murmurant un lumos pour l'allumer. Une faible lueur éclaira le rat blanc. Je l'examinai de tous les côtés avant de conclure qu'il était juste irrité de se voir dérangé. Mon inspection faite, je le glissai dans ma poche où il sembla très heureux de retrouver sa cachette. Mon regard se posa sur la fille qui me regardait de ses yeux bleus. Deux billes couleur ciel qui m'observait attentivement. « Maintenant qu'on sait que ni l'un ni l'autre n'est un mangemort, j'peux savoir ton nom ? », demandais-je en chuchotant. Mon ton était assez direct, comme à mon habitude, pas particulièrement amical ni méchant. Juste suspicieux.
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