“On m'as dit que l'eau du lac noir colorait la peau en noir c'est vrai ? ”

Sibylle & Professeur Hayes'

On avait raconté un jour à Sibylle que l'eau du lac noir était une eau particulière, pas une eau bleue, ni verte de saleté non une eau qui colorait la peau en noir si on se baignait dedans alors la jeune fille très curieuse avait décidé d'aller se balader du côté du lac pour en savoir plus sur cette histoire, bien sûr, elle l'avait cru sinon elle ne serait pas aujourd'hui plantée devant une étendue d'eau des plus calme et à l'allure la plus normale possible. Sans doute fallait-il réellement entrer dans l'eau pour voir la magie opérer, mais il faisait froid et la jeune fille n'était pas très à l'aise dans le milieu aquatique alors elle n'allait pas aller elle-même dans le lac, peut-être, pouvait-elle juste y plonger sa main pour espérer voir la couleur apparaître. Cependant la jaune et noir hésitait, on ne lui avait pas dit si les effets de la coloration étaient définitif ou si ils pouvaient disparaître avec le temps, il fallait bien comprendre son envie de ne pas finir bicolore à cause de son expérience en solitaire.

Vous devez bien rire vous en imaginant une jeune fille de dix-sept ans croire que l'eau à le pouvoir de changer sa couleur de peau seulement en y faisait trempette, mais en même temps Sibylle évolue dans un monde plein de magie et de choses plus farfelues les unes que les autres, le jus de citrouille, les elfes de maison, des animaux plus étranges les uns que les autres et une bonne centaine d'adolescents comme elle capable de faire voler des objets sans les touchers de transformer des verres en rats et un tas d'autres choses totalement hallucinantes pour une personne qui n'y connaît rien à la magie et à l'école Poudlard. Parce que le lac étudié aujourd'hui par la Poufsouffle se situe sur les terres de son école un peu à l'écart dans les extérieurs de l'immense château qui abritait les jeunes sorciers anglais pour leur apprendre tout ce qu'il y avait à savoir sur leurs pouvoirs avant de les lâcher dans la société sorcière. Ils leur fallait être assez sérieux pour pouvoir ensuite trouver un bon poste et mener une belle vie, mais quand on s'appelle Sibylle Sullivan et qu'on crois toutes les bêtises que l'on nous sort à longueur de journée, on perd de précieuses minutes de travail pour vérifier si l'eau colore la peau par exemple, ou si les barbapapa existe réellement en gros que des histoires stupide auxquelles, elle ne devrait pas croire un seul mot, mais qui la laisse toujours perplexe et cherchant à savoir la vérité.

Se penchant alors au-dessus du lac devant lequel, elle est plantée depuis de longues minutes la jeune fille décide alors de toucher la surface lisse et sans doute glacé de l'eau afin de voir si quelque chose se passe, avant de pouvoir y plonger la main. Elle remonta sa manche ne souhaitant pas être trempée et fronce les sourcils de mécontentement en voyant sa peau rester aussi clair cas l'accoutumé, elle n'a pas pris un brin de couleur pourtant, on lui avait bien dit que c'était instantané cela aurait du marcher où elle n'avait pas agi comme il fallait. " Pourquoi tu marche pas petit lac aller montre moi ta magie" Même face à une preuve irréfutable de la fausseté de l'histoire la jeune fille cherche encore à ce que cela fonctionne ne voulant pas croire qu'on avait pu la mener en bateau de la sorte. Dans le monde de Sibylle, tout le monde est beau, et gentil, et tout va toujours bien enfin presque bien, du mieux possible quoi, un vrai bisounours la fille et cela doit surement en faire rire certains qui s'amuse à lui raconter n'importe quoi pour la voir se ridiculiser comme aujourd'hui.

Tentant une nouvelle fois, elle plongea sa main entière dans l'eau glacée lâchant un petit cri n'aimant pas la froideur surtout pour l'eau qui touchait sa peau, chacune de ses douches créait un véritable hammam tellement son eau fumait et était chaude rougissant sa peau par moment, mais elle adorait cela alors elle en profitait sachant que Poudlard lui fournirait toute l'eau brûlante dont elle avait besoin pour se sentir bien et propre. Ressortant sa main, elle eut l'espoir de voir un changement s'opérer, mais non-rien du tout alors elle se laissa tomber assise sur l'herbe boudeuse, il lui faudrait retrouver la personne ayant raconté cette histoire pour lui faire une petite leçon sur les mensonges, c'était une mauvaise chose et la petite brune n'appréciait pas ce genre de comportement avec elle, il fallait se montrer aussi adorable qu'elle-même l'était même si cela ne correspondait pas à chaque étudiant de l'école et que parfois certains la trouvaient justement bizarre à cause de son caractère un peu trop décalée pour eux.

“On m'as dit que l'eau du lac noir colorait la peau en noir c'est vrai ? ”

Sibylle & Libre'

Sibylle était donc seule assise devant ce foutu lac non-magique, et pour le coup, elle boudait, le lac pour ne pas être à la hauteur de ses espérance et aussi contre la personne qui lui avait menti et l'avait pousser à sortir ici dans le froid pour se sentir aussi bête qu'une cruche. Parfois la jaune et noir se rendait compte qu'elle était trop naïve et se laissait trop faire par les autres, mais en même temps, c'était dans son caractère sa nature et elle n'arrivait pas à modifier cela étant née comme cela. Sa crédulité amusait ou agaçait certains, des personnes gentilles prenaient d'essayer de la faire changer, mais d'autre en profitait simplement pour pouvoir s'amuser à ses dépens et rires d'elle en la voyant tomber dans le panneau. Comme aujourd'hui ou elle devait avoir l'air bien bête assit dans l'herbe, devant l'eau sombre du lac, et dans le silence du parc déserté par les autres étudiants. Dans son moment de colère contenue, elle ne remarqua pas l'arrivée d'une personne derrière elle, en même temps, elle ne pensait pas que quelqu'un pouvait bien venir ici, par le temps qu'il faisait, surtout que les personnes vivants au château ne devaient pas être assez stupide pour penser que le lac pouvait leur faire changer leur couleur de peau par simple trempage. Il n'y avait bien qu'elle pour croire une telle chose un peu trop persuadée que la magie était capable de tout et pouvait accomplir des choses plus extraordinaires et originale que le monde moldu.


La jaune et noir était pourtant une fille très réfléchie, qui passait beaucoup de temps à travailler et à lire, mais elle ne cherchait jamais à remettre les paroles des adolescents qui vivaient avec elle en question prenant leurs mots comme simple vérité sans aller plus loin. C'était une donnée à changer pour ne plus se retrouver dans ce genre de situation où elle se sentait seule et déçue. Quand on lui parla, elle sursauta, n'ayant vraiment pas entendu un de ses professeures arrivées pour la questionner. L'adulte devait bien se demander ce que faisait une adolescente dehors devant le lac avait un air aussi dépité que celui de Sibylle en ce moment même. D'ailleurs, la question ne tarda pas à arriver, la professeur lui demandant alors si le lac était pour elle un endroit approprié pour prendre un bain. Cela fit rire un peu la jeune Poufsouffle pas certaines qu'elle oserait mettre son corps en entier dans le lac qui n'était pas connu pour être très accueillant ni très chaud. Et elle s'était la chaleur qu'elle aimait pour se laver pas le froid bien trop agressif pour sa peau sensible. " Non-professeur je ne comptais pas me baigner dans le lac, mais on m'a encore une fois eu je dois l'avouer" Sib n'était pas certaines de devoir parler de toute la situation, elle ne voulait pas avoir d'ennuis ou en donner à quelqu'un après tout, c'était sa faute si elle était assez bête pour venir voir le lac de la sorte. " On m'a raconté que l'eau du lac était magique et bêtement, j'ai voulu venir vérifier, mais l'eau reste de l'eau même à Poudlard" Elle n'avait pas tout dis, mais cela devrait donner des précisions à la professeur qui serait sans doute à demi rassurer sur l'état mental de son élève.

Si cela se trouvait, elle la prenait pour une folle et était en train de se moquer d'elle en secret ce qui était tout à faire possible et compréhensible étant donné qu'elle devait avoir l'air d'une taré à parler d'eau magique, d'histoire à dormir debout qu'elle avait cru et dont elle était venue vérifier l'exactitude.