“C’est le docteur qui fait la réputation de la maladie, et c’est la maladie qui fait la réputation du docteur.”
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(#) Sujet: “C’est le docteur qui fait la réputation de la maladie, et c’est la maladie qui fait la réputation du docteur.” Ven 25 Nov - 21:56
❝La maladie est un avertissement qui nous est donné pour nous rappeler à l’essentiel.❞
- Alexandryann & Prénom -
“La rancune est une maladie qui ne pardonne pas ”
L'école était commencé depuis plus de deux semaines lorsque je reçus une lettre m'avisant que ma grand-mère était alitée depuis plusieurs jours. Alitée était mal choisi, puisqu'elle était carrément hospitalisée à Ste-Mangouste. Ayant ma fin de semaine de congé, j'avais décidé d'aller la visiter, histoire de prendre des nouvelles. C'était ma grand-mère maternelle, une sang pur qui avait épousé un moldu à sa sortie de Poudlard. C'est d'elle que j'avais hérité ma passion des voyages et qui m'avait poussé à aller explorer le monde après mes études. Ce que j'avais fais, ayant été bercée dans mon enfance par ses récits de voyage. Je voulus faire comme elle.
J'avais donc passé ma journée de samedi en sa compagnie. Les médecins ne savaient pas trop ce qu'elle avait, elle avait dans les 80 ans passés et voyageait encore de temps à autre. Ils pensaient donc qu'elle avait peut-être contracté quelque chose lors de son dernier voyage. Elle avait beaucoup de symptomes, mais dans l'ensemble, elle allait plutôt bien. Ses signes vitaux étaient quand même bons, elle se plaignait de vertiges et d'étourdissements. Elle avait eu des chutes de pression et des pertes d'équilibre. Ma mère croyait que c'était simplement l'âge, moi je n'avais pas d'avis sur la question, je souhaitais simplement qu'elle aille mieux rapidement.
L'après-midi touchait à sa fin et ma grand-mère étant fatiguée, je lui avais dis au revoir et avait promis de revenir la voir aussi vite que possible. Elle avait prit la peine de prendre des nouvelles de la famille et de savoir comment allait mes cours. On avait ensuite joué à divers jeux de société, chose que nous avions l'habitude de faire lorsque j'étais encore gamine. Nous avions donc passé une excellente journée et je fus triste de la quitter. J'avais décidé d'aller voir son médecin afin de m'assurer qu'elle aurait les meilleurs soins qui soit durant son séjour. Cela me prit un bon moment avant d'être capable de le voir. Ensuite, je quitta son bureau et me dirigea vers la sortie.
En chemin, je croisa beaucoup de malades, de tous âges et de toutes nationalités. Le plus triste était de voir des enfants malades et alités ou en fauteuil roulant. Alors que j'étais en direction de l'entrée de l'hopital, je me demandais s'il y avait quelque chose que je pouvais faire pour soulager ces enfants même si ce ne serait que momentanément. Prise dans ma réflexion, je ne vis pas la porte fenêtre fermée et je me cogna contre elle. En gémissant, je me parla à moi-même en grognant.
- Aie. Bravo Alex, c'est brillant de te cogner contre une porte fenetre, andouille.
(#) Sujet: Re: “C’est le docteur qui fait la réputation de la maladie, et c’est la maladie qui fait la réputation du docteur.” Mar 29 Nov - 5:55
❝La maladie est un avertissement qui nous est donné pour nous rappeler à l’essentiel.❞
feat. Professeur A. Trealwney
Les cours avaient repris depuis peu, lorsque Lou-Ann avait reçu un message de son époux parce que leur fils était à Ste-Mangouste. Sa tante et son oncle n'ayant pas pu se rendre à Londres, chez leur neveu, ce jour-là, parce qu'ils avaient promis à l'aînée de leurs filles qu'ils s'occuperaient de ses enfants, c'était leur fils cadet, du même âge de Lou-Ann, éternel célibataire, qui était allé garder Zacharia. Et la jeune femme le savait: le plus jeune des cousins de son mari était du genre à s'inquiéter pour la moindre chose, lorsqu'il s'agissait d'enfants. Zacharia ne c'était sans doute pas gravement blessé, mais le cousin avait sans doute dramatisé, pour aller jusqu'à l'emmener à l'hôpital. Hayden n'ayant pas pu quitter son travail, il avait fait prévenir Lou-Ann, à Poudlard, qui, fort heureusement, avait pu se libérer pour se rendre dans la capitale anglaise. En arrivant à l'hôpital, elle avait retrouvé son cousin et son fils. L'enfant c'était en effet juste écorché le genou, l'infirmière lui avait juste fait un pansement. - Je vous prie d'excuser le dérangement causé par mon cousin, il a tendance à un peu trop dramatiser les choses. - Aucuns soucis. L'enseignante trouva la blouse blanche bien compréhensive. En prenant Zacharia par la main, la petite troupe traversa les couloirs de l'institution médicale pour regagner la sortie. - Tu es incroyable, Alvin! Emmener Zacharia à l'hôpital juste pour une égratignure au genou. - Mais tu sais bien que j'ai horreur du sang! - Tu vas me faire croire qu'une égratignure saigne beaucoup? - Maman, tu restes à la maison, ce soir? - Malheureusement, non. Il faudra que je retourne à Poudlard. Déception, sur le visage du garçon. En approchant de la sortie, la jeune femme vit un visage familier se manger une porte vitrée. °Aïe!° Se dit-elle en imaginant sa douleur. C'est là qu'elle reconnu sa collègue, le professeur Trealwney. - Zacharia, tu vas à la maison, avec cousin Alvin? Je vais voir comment va Madame et je viendrais te dire au revoir après, en passant à la maison, d'accord? L'enfant rechigna un moment, avant de lâcher la main de sa mère pour prendre celle de son cousin, avec qui il quitta l'hôpital. Lou-Ann, quand à elle, s'approcha de sa collègue. - Ça, ça doit faire mal! Ça va?
(#) Sujet: Re: “C’est le docteur qui fait la réputation de la maladie, et c’est la maladie qui fait la réputation du docteur.” Jeu 8 Déc - 11:35
❝La maladie est un avertissement qui nous est donné pour nous rappeler à l’essentiel.❞
- Trelawney & Hayes -
“La rancune est une maladie qui ne pardonne pas ”
Quand j'étais gamine, j'adorais aller chez ma grand-mère maternelle. Elle passait son temps a voyager et elle me ramenait toujours quelque chose de ses voyages. Nous avions toujours une routine, elle me racontait son voyage, me montrait des photos puis ensuite, elle me donnait un souvenir qu'elle avait rapporté. Nous terminions la soirée en jouant a divers jeux de société, sorciers ou moldus. C'est grâce à elle que j'avais développé mon amour des voyages qui m'avait poussé à découvrir le monde à mon tour après mes études a Poudlard.
De voir ma grand-mère aussi fatiguée m'avait secouée, je n'étais pas du tout habituée de la voir alitée ainsi. J'étais adulte, certes, mais ca me touchait beaucoup de la savoir malade, je ne voulais pas la perdre, même si je savais que c'était inévitable. J'allais la perdre un jour ou l'autre, mais j'espérais de tout mon coeur que ce ne serait pas bientôt. Les médecins ne savaient pas ce qu'elle avait, mais ils ne pensaient pas que c'était quelque chose de trop grave, ce qui me rassurait beaucoup. Plus vite elle sortirait de Ste-Mangouste, plus vite je serais tranquille d'esprit.
J'avais croisé beaucoup d'enfants malades en visitant ma grand-mère et je me demandais ce que je pourrais faire pour les aider à retrouver le moral, à défaut de la santé. Quand j'étais en Afrique, il y a quelques années, j'avais appris a faire des animaux en ballons, qui pouvaient s'animer avec un sort très simple. Je me disais que je pourrais revenir durant mes congés pour en faire aux enfants malades ici, à Ste Mangouste. Cela les égaieraient surement et mettraient un peu de soleil dans leur journée. Plus j'y pensais, plus je voulais le faire.
Malheureusement, j'étais tellement plongée dans mes pensées que je n'avais pas vu la porte fenêtre devant moi, si bien que je me suis cognée contre elle. Je maugréais dans ma barbe, me traitant d'andouille, frottant mon nez endolori. Une personne s'était approchée de moi, me disant que cela devait faire mal et me demandant comment j'allais. Je reconnus le professeur Hayes, qui enseignait à Poudlard avec moi.
- Bonjour Professeur Hayes, je vais bien, merci. J'ai un peu mal au nez, mais rien ne semble cassé. Comment allez-vous?
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