Promenons nous dans les bois ~ Scorpius

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Albus & Scorpius
Promenons nous dans les bois

E

ncore une journée de plus à Poudlard. Cette fois ci c’était dans une atmosphère un peu plus calme et posé je dois bien le dire. Profitant d’une pause de cours avec Scorpius on s'embarque, comme à notre habitude, proche du lac de Poudlard. Un endroit assez calme où j’aimais bien rêvasser un instant. Ici c’était le lieu ou on se disait tout l’un et l’autre. Comme à mon habitude qui disait rentrée, disait stress des exam’s et il faut dire que j’avais de quoi. Je n’étais pas le plus brillant des élèves de Poudlard mais ça ce n’était rien par rapport au fait que je n’étais pas à la hauteur de mon nom. Porter un nom pareil était un réel fardeau et ce fut sans doute pour cette raison que je me suis aussi lié d’amitié avec Scorpius. Lui au moins me comprenait, lui au moins savait ce que c’était de porter un nom célèbre. Certes moi c’était pour une victoire, un fait héroïque. Alors que Scorpius était signé comme la famille du traître, du lâche ou encore des pro-mangemorts dont on ne pouvait pas faire confiance. Et bizarrement il le vivait mieux que moi, heureusement que je l’avais pour soutien malgré que je centre souvent l’attention sur moi, trop même. Il me le fait remarquer de temps en temps mais les vieilles habitudes sont dures à perdre….

Là n’était pas le temps ou je parlais de moi, encore. Là était le temps ou je voulais m’entrainer un peu à lancer des sortilèges tout comme papa me l’avait appris. Du moins il avait eu assez de patience au fil des années pour m’aider à remonter mes notes. Mais surtout parce que je savais qu’il voulait créer un lien beaucoup plus stable avec moi depuis mes débuts dans Poudlard. Ca avait quand même porté ses fruits et j’avais pu avoir mes BUSE’s avec un rattrapage en Sortilège et Défense Contre les Forces du Mal. J’étais fier de moi et je n’aurais jamais pu réussir sans mon père et Scorpius qui à eu deux avaient pu m’aider à m’améliorer.

Aujourd’hui c’était le sort favoris de maman, Reducto. Un sort dont je n’avais pas vraiment l’habitude. Je l’avais appris l’année dernière mais si je m'exerce pas assez alors il ne rentrerait jamais aussi bien que les autres élèves. Lançant alors à répétition le sortilège de réduction sur une bûche d’arbre j’observais du coin de l’oeil mon ami qui lisait alors ses cours dans un mode cocon avec ses habits. - N'aurais tu pas un peu froid Scorpius ? - dis-je dans un ton purement taquin à son égard. Donnant quelques coups de baguette contre ma pauvre cible je repris alors aussitôt. - Au fait j’ai entendu papa parler d’un fait étrange dans la forêt interdite… - Alors qu’en réalité, Scorpius tout comme moi, savions que j’avais surtout espionné mon père comme à mon habitude. - Apparement il y a une grosse croissance des licornes dans la forêt et de mauvais sorciers lorgne sur ces beaux petits lots… - Lançant à nouveau d’un Reducton un peu plus sûr de moi j’avais enfin réussi réduire cette bûche. D’un sourire triomphant accompagné d’un signe de joie je me tournais alors vers mon ami et prit une gorgée d’une bouteille d’eau dans mon sac. L’observant entre deux gorgées je lui dis en souriant - Ca te dit de… - Mon sourire en disait long sur mes idées et je savais que dans le fond il n’allait pas aimer mon idée mais qu’il me suivrait quand même car secrètement il rêvait tout autant d’aventure que moi. Puis avec le temps on la connaissait cette forêt non ?

WILDBIRD

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promenons nous dans les bois

Le meilleur ami n'est pas celui que tu connais depuis longtemps, c'est celui que tu connais et qui ne t'a jamais quitté.

Il faisait beau aujourd'hui. Même très beau pour une journée du mois d'octobre. Une des rares depuis plusieurs jours où le ciel ne grondait pas sous les orages. Pour une fois, le haut de soleil brillait haut de le ciel. Avec Albus, on avait profité d'une pause dans notre horaire de cours pour aller prendre l'air à notre endroit favori. Tout près du lac, la petite clairière était toujours bien calme sous les grands chênes. En plein milieu de l'après-midi, il n'y avait que très peu d'ombre, chose plutôt agréable pour le temps frisquet. Il s'agissait de notre petit repaire de quiétude découvert lors de notre deuxième année. À l'époque, nous le considérions comme notre forteresse contre tous ces autres étudiants prompt au jugement ou aux mauvaises farces de qui nous étions les victimes. Toutes ces personnes qui ne comprenaient pas le fardeau quotidien de porter un nom lourd d'histoire et de réputation. L'impression de ne pas être à la hauteur de ce dernier.

J'avais bien grandit au cours de dernières années. Le poids de mon patronyme n'était plus aussi lourd sur mes épaules qu'il avait pu l'être à une certaine époque. Assis sur un gros rocher, le dos contre le tronc lisse d'un arbre mort, bien emmitouflé dans ma cape je lisais une bande dessiné que m'avait prêté Sloane. J'avais déposé cette dernière contre mes genoux repliés, riant intérieurement des moments cocasses où les héros de l'histoire étaient dans les beaux draps. Les rayons du soleil venaient crasser mon visage rougit par la légère brise venant du nord qui soufflait. Un peu plus loin, Albus s'entraînait à lancer le sortilège de réduction. C'était pas si mal compte tenu de difficultés de mon ami en sortilège. J'avais pris pour habitude de lui venir en aide dès que c'était nécessaire, mais aujourd'hui n'était pas l'un de ces moments. Il se débrouillait bien, même si son sort ne fonctionnait pas à chaque fois. Ce n'était pas un mauvais sorcier en somme. J'avais pour mon dire qu'il avait surtout besoin d'un peu plus de confiance en lui pour y arriver parce qu'il était plein de potentiel, mais peu de patience.

Le vent souffla un peu plus fort m'arrachant un frisson qui me traverse le corps en entier comme si on m'avait plongé dans un bac d'eau glacé. « N'aurais tu pas un peu froid Scorpius ? », me lança mon meilleur ami d'un ton taquin. Relevant la tête, je lui tirai la langue avant de répliquer d'un ton faussement menaçant, surtout empreint d'humour : « À ta place, je ne moquerais pas trop du gars qui excelle au sortilège de de jambe-en-cotton ! » Je lançai un sourire moquer à Albus, qui lui répondit avec chaleur.

« Au fait j’ai entendu papa parler d’un fait étrange dans la forêt interdite… Apparement il y a une grosse croissance des licornes dans la forêt et de mauvais sorciers lorgne sur ces beaux petits lots… » , continua le fils Potter toujours concentré à son exercice de magie. Je soupirai discrètement, sachant bien ce qu'y s'en venait. De plus, j'avais la certitude qu'Albus n'avait pas entendu, mais qu'il avait espionné la dite conversation de son père.

Le brun lança une fois de plus un reducto qui fit mouche, réduisant la grosse bêche sur laquelle il s'entraînait à la taille d'une fourmi. Il laissa aller un cris de joie accompagné d'un geste de victoire qui me fit rire. Il avait le don pour les réactions excessives. Ça me faisait toujours rire. Il se retourna pour attraper sa bouteille d'eau dans son sac. Entre deux gorgés, il me lança un regard qui ne valait rien de bon. Un regard qui suffit à faire disparaître le sourire qui s'était dessiné sur mes lèvres suite à sa réussite. Je savais ce qui m'attendait. Ce regard était annonciateur de mauvais plans. D'ennuis. Et pourtant, lors qu'il me demanda si j'étais partant, je sautai sur mes jambes oubliant d'un coup les protestations de ma conscience qui me disait que c'était une très, très mauvaise idée. Je ne pouvais pas résisté aux mauvaises idées d'Albus. Le cris de l'aventure était comme une drogue. Une fois qu'on y avait goûté, plus moyen d'en perdre l'addiction.

Je commençai à me diriger vers la forêt, mon sac sur une épaule. Je m'arrêtai avant de m'enfoncer entre les arbres, regardant Albus par-dessus mon épaule. « Mais tu viens ? » Il n'en fallut pas plus pourqu'il attrape son sac à son tour, venant me rejoindre rapidement. Ensemble, nous nous enfonçâmes entre les arbres quittant le soleil brillant pour l'obscurité de la forêt. Après un petit moment de marche, j'ouvris la bouche afin de demander : « J'ai toujours rêvé de voir des licornes. Il parait qu'elles sont difficiles à apercevoir. Timides. Enfin, c'est ce qu'on raconte dans les livres. Tu en as entendus plus de la conversation ? » Nous tournâmes à gauche pour prendre le sentir qui s'enfonçait vers l'est. « Tu sais par où il faut aller ? Elles sont dans quel coin les licornes ? » Des questions, toujours des questions avec moi. Une curiosité sans borne. Sans doute la raison pourquoi j'étais toujours aussi enclin à suivre Albus dans ses délires qui, toujours, nous attiraient plus d'ennuis qu'autre chose. Je finissais toujours par regretter d'avoir dit oui à une aventure signée Albus Potter...

black pumpkin

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Albus & Scorpius
Promenons nous dans les bois

I

l est vrai qu’il ne faisait pas totalement chaud ici. Pour ma défense je ne restais pas assis sur un rocher alors son frisson était sans doute justifier. D’ailleurs il me fit un peu sourire à ce moment là ce fut pour cette raison que je lui lançais ma petite blague. D’autant plus que je sentais son regard sur moi. Il n’était pas d’accord pour l’idée qui se tramait dans ma tête et je lui répondais avec un léger sourire en coin l’incitant alors à faire le premier pas. Ce fut exactement ce qu’il se passait. Jamais il me disait clairement qu’il voulait partir à l’aventure. Il se contentait, comme aujourd’hui, de se lever pendant que je rangeais ma bouteille et de partir en direction de la forêt en m'invitant à venir. Bien sûr que je viens mon cher Scorpius ! Mettant alors mon sac sur mon épaule je le rattrapais alors et entrait dans la forêt avec lui. Toujours aussi curieux de cet endroit malgré mes 7 années à Poudlard je ne savais pas encore ce que cachait réellement cette forêt. Il me demandait alors si j’en savais plus. Mais je ne savais pas si je devais lui dire les craintes de mon père. Du moins qu’importe ce qu’est devenu Harry Potter il aura toujours la peur de voir revenir Voldemort. Alors quand on parle d’une attaque de licorne en masse dans la forêt interdite tout de suite papa fait le rapprochement avec cet être maléfique. Pourtant je trouvais que c’était assez idiot de sa part, on ne pouvait pas refaire le monde alors qu’importe s’il revenait, on sera toujours là et on aura toujours le plus grand héro qui soit avec nous. Même si j’avais des conflits avec mon père il y a une chose que je peux dire de lui. C’est qu’il est un immense sorcier. Assez bordélique c’est vrai. Mais il est l’homme le doué que je connaisse. Le plus courageux, si on oublie sa phobie pour les pigeons, et le plus humble. On a beau lui faire tous les compliments qui soit sur sa victoire pour Voldemort il dit toujours qu’il a eu de la chance. Que le plus clair de son temps il était un garçon effrayé qui ne savait pas ce qu’il faisait. Mais je n’en crois pas un mot. Moi je vois un jeune garçon qui savait clairement ce qu’il faisait. Qu’il savait que se battre pour le bien était une bonne chose et que combattre Voldemort était quelque chose dont il en avait le devoir. Il ne devait pas abandonner et il a bien fait. Oui c’était difficile pour moi d’admettre tout ça. Et je pense que je le dirais sans doute jamais à voix haute. Mais Harry Potter est un grand homme. Ravalant alors ma salive je répond d’un air beaucoup moins sûr à Scorpius. - Oh comme toujours… Papa a peur du retour de Voldemort. Il pense que c’est une opération des Mangemorts pour le faire revenir d’une quelconque façon… - J’avoue avoir un peu honte de celle là. Je trouvais que papa dramatiser sans doute trop avec lui. Et au vu des méchants rumeurs, totalement fausses et infondées bien sur, sur la relation de Scorpius avec Voldemort je n’aimais pas trop lui parler de cet homme. Mais oui je disais le nom de Voldemort avec légèreté. Il était mort de toute façon alors pourquoi continuer à ne pas dire son nom par crainte ?

On continuait donc ainsi notre marche alors que Scorpius m’attaquait avec ses questions. Il pouvait être pénible dans ces moments là mais j’avais l’habitude puis ça me faisait surtout assez rire de le voir s’exciter autant pour une petite aventure. Moi tout ce que je voulais c’était de voir une licorne de mes propres yeux. Et contrairement à papa je voulais en voir une vivante pour ma première fois. Lui il n’avait pas eu de chance à sa première année à Poudlard. Même si je lâchais un léger soupire je répondis à Scorpius - J’en sais pas plus que toi… - Soudainement un craquement se fit entendre. Puis un lourd silence. Je plaquais ma main sur le torse de Scorpius pour le faire arrêter en joignant mon doigt sur mes lèvres. Je lui fis signe dans la direction d'où provenait le bruit et je m’avançais le plus lentement possible. Lorsque…

WILDBIRD

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(#) Sujet: Re: Promenons nous dans les bois ~ Scorpius Mer 26 Oct 2016 - 15:46

Le membre 'Albus S. Potter' a effectué l'action suivante : Le Hasard

'Le Hasard' : 5

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promenons nous dans les bois

Le meilleur ami n'est pas celui que tu connais depuis longtemps, c'est celui que tu connais et qui ne t'a jamais quitté.

Au fil des années où j'avais fréquenter Albus Potter, j'avais fini par apprendre qu'il ne fallait pas lui opposer de résistance lorsqu'il avait une idée en tête, et ce, même si la dites idée allait vous attirer des ennuis. Dire non à Albus ne faisait qu'exacerber son désir d'aventure. En règle générale, ça ne se terminait pas bien pour moi... C'est un peu pour cette raison que je n'avais pas trop hésité lorsqu'il m'avait proposer d'aller vérifier si la forêt interdite grouillait réellement de licornes et, malheureusement, de potentiels chasseurs de licornes. Ces derniers, les chasseurs pas les licornes, n'allaient certainement rien nous attirer de bon. Les deux restaient très peu probable, donc nous courrions peu de risques. Enfin, je l'espérais...

Je dirigeais la marche, et comme à mon habitude, la conversation elle-même. Albus n'était pas un grand bavard, à mon inverse. Il me donnait parfois l'impression de me parler tout de seul, mais quand il se décidait à se joindre à la conversation, changeant pour le fait même mon monologue en dialogue, il attisait sans cesse ma curiosité. En marchant sous le couvert des arbres, je demandai un peu plus de précision à mon meilleur ami sur ce qu'il avait pu tirer de la conversation qu'avait eu son père. Une conversation qui, je le rappel, avait fait office d'espionnage de la part du fils Potter. « Oh comme toujours… Papa a peur du retour de Voldemort. Il pense que c’est une opération des Mangemorts pour le faire revenir d’une quelconque façon… », me dit Albus un peu honteux, à mon impression, des peurs de son paternel. Je savais que mon ami les trouvait excessive, et sans doute, infondées. Je me gardai bien de lui partager le fond de ma pensée sur les réflexion de son père, sachant parfaitement que je l'ennuyais avec ma foi en le héro qu'il fut à une époque. Il me dirait sans doute que je faisais l'éloge de Harry Potter, je serais mal à l'aise, et on en tirerait rien de bon. Je gardai donc pour moi mon approbation pour les craintes de son père, me disant qu'au moins, si Voldemort devait refaire un retour, un unième retour, quelqu'un serait préparé. Ou du moins, aurait effleuré l'idée d'un potentiel retour. Après tout, il était revenu une fois, rien ne nous assurait qu'il ne pourrait pas encore faire un retour. C'était comme une mauvaise fête surprise ce sorcier. Et puis, avec toutes les rumeurs qu'on avait raconté à mon sujet comme quoi je serais de parenté avec lui, j'avais bien des raisons personnelles de ne pas l'aimer, même de le craindre. Après tout, l'histoire de ma famille n'était pas tout à fait rose avec les forces du mal...

Nous continuâmes à marcher un moment. L'air de la forêt était doux contrairement au vent qui nous assaillait près du lac. C'était plutôt agréable comme léger changement de température. Je questionnai Albus, question d'en savoir un peu plus sur l'endroit où on allait. Il s'agissait de questions tout à fait légitimes, mais elles tirèrent un soupire de la bouche de mon meilleur ami. Je parlais encore trop, comme toujours. L'attaquant avec mes questions auxquelles il ne pouvait répondre. Le pire dans tout ça était que je ne m'apercevait même pas que je parlais autant. Une mauvaise manie que j'avais pris depuis l'enfance. On me disait souvent que j'étais trop curieux. Je n'avais jamais vraiment compris en quoi ma curiosité pouvait être trop grande puisque je n'étais pas du genre à m'intéresser à la vie des gens. J'avais plutôt une grande soif de savoir...

« J’en sais pas plus que toi… », m'avait répondu le fils Potter d'un ton un peu lasse. J'allais lui faire remarquer son manque d'enthousiasme envers notre quête à la licorne lorsqu'un craquement me coupa la parole. Je me figé sur place, attrapant le bras d'Albus pour être certain qu'il ne fasse pas le moindre mouvement. Entre les branches, j'aperçue la crinière argenté d'une licorne. La créature ne nous avait pas encore repéré. Elle avança doucement dans le chemin devant nous, s'arrête pour tenter de manger une pousse d'arbre. Nous avions la chance de voir l'une des plus belles créatures en ce monde. La pureté même ! Rare était les sorciers avec notre chance. Les licornes étaient généralement des créatures très craintive qui ne se montraient que très peu devant les humains. Celle que nous avions la chance d'apercevoir était encore très petite, sans doute assez jeune. Ce qui expliquait qu'elle ne nous ai pas encore repéré, mais ça ne saurait trop tarder. Le nez commença à me chatouiller, signe d'un éternuement à venir. Je le sentais monter en dedans, et malgré mes effort pour le retenir, ce fut en vain. Je me laissais aller à un éternuement qui sonna écho dans la forêt. alertant la licorne.

Spoiler:

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(#) Sujet: Re: Promenons nous dans les bois ~ Scorpius Dim 30 Oct 2016 - 9:04

Le membre 'Scorpius H. Malfoy' a effectué l'action suivante : Le Hasard

'Le Hasard' : 2

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