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Nuit du 30 Octobre, durant l'attaque | Anoushka & Lawrence
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Message(#) Sujet: Nuit du 30 Octobre, durant l'attaque | Anoushka & Lawrence Nuit du 30 Octobre, durant l'attaque | Anoushka & Lawrence EmptyVen 21 Oct - 23:48




Anoushka & Lawrence

Le feu de la Salle Commune se consumait en craquant. Les Rouges et Or étaient aux lits depuis un moment déjà. Et comme souvent Lawrence somnolait devant le canapé. Il avait du mal à s'endormir dans son lit, il était pas insomniaque, mais quand il se mettait dans le lit, il commençait à penser et c'était pas bon. Du coup, il avait trouvé la parade. Dans le canapé avec le feu en fond sonore, il était bien, il s'endormait tranquillement. Puis, finalement, tard dans la nuit, il allait se coucher dans son lit.
Mais pas cette nuit, cette nuit serait spéciale.

«PUTAIN ! »

Il se réveilla d'un bond. Quelque chose de glacé lui était tomb... Non. En fait ça l'avait traversé !

« Nick ??? Mais putain à quoi tu joues ? »

« ALERTE ! ALERTE ! ON EST ATTAQUES !!! TOUT LE MONDE DEBOUT... »

Nick continuait et Lawrence prenait quelques instants pour bien emerger et comprendre surtout ! C'était une blague ? Parce que si c'était le cas, elle était de mauv... Attends Law ? Depuis quand Nick fait des blagues ? Déjà qu'il supporte pas une blague sur sa presque-décapitation alors le reste....
Lawrence essaya de calmer le fantôme mais rien à faire, il montait déjà dans les dortoirs réveiller tout le monde. Le spectre s'éloignant, il pût entendre des bruits dans les couloirs, des cris... Baguette à la main, il alla jusqu'au portrait de la Grosse Dame et passa la tête ! Les tableaux s'affolaient, ils fuyaient tous dans la même direction. Il y avait des bruits plus loin, des détonations, des voix qui n'étaient pas des voix d'élèves qui hurlaient des ordres.
Lawrence rentra la tête. Ok, le courage était la qualité principal des Rouges et Or mais Lawrence bien que téméraire, n'était pas suicidaire. Il retourna dans la Salle qui se remplissait de monde. Le mot d'ordre était de rester à l'abri dans la Salle Commune. C'était sûrement ce qu'il y avait de plus intelligent à faire.

La suite ? L'attente !
Le temps passa, les bruits se déplaçaient, parfois très prés, parfois un peu plus loin. L'ambiance dans la Salle était pesante, certains voulait sortir, la plupart souhaitaient restés mais tout le monde voulait en savoir plus. Un des premiers à craquer fut Lawrence. Il sortit malgré les avertissements. Il n'était pas prit d'un accès de courage mais il pouvait pas rester à rien faire ! Est-ce qu'il avait peur ? Oui, parce que, franchement, il savait rien du tout. Il avançait doucement. Le couloir était calme, jusqu'à ce que devant lui, il aperçoive une silhouette qui comme lui se déplaçait furtivement. Il s'approcha mais son pied ripa sur une marche et il se rattrapa dans un bruit qui trahit sa présence.
La silhouette se retourna et lança un stupéfix.

Lawrence se jeta de côté. Heureusement que son agresseur était loin. Il lança aussitôt un sortilège qui explosa juste à côté de son agresseur.
Sauf qu'en explosant, le sortilège révéla le visage de son adversaire. Lawrence se lança à sa suite. Son adversaire était une fille et Law gagnait rapidement du terrain sur elle. Elle descendit les marches qui menait au sixième étage. Lawrence accélérait en jurant. S'il croisait de véritable agresseur, il était foutu. Il arriva au sixième étage juste à temps pour entendre une porte se fermer.

La Salle des Trophées. C'était un dédale d'étagère et de meuble, de vitre. Un bon endroit pour se cacher. Lawrence rentra dans la pièce, baguette en avant.

« Anou... »
« STUPEFIX ! »
« PROTEGEO ! »

Le sortilège ricocha, et frappa sur un meuble charger de trophées divers, le meuble bascula en avant et un cri se fit entendre, puis le fracas du meuble qui s'écrase !

« Anouchka !! »

Lawrence se jeta sur le meuble renverser ! Anouchka avait partiellement esquivé le meuble mais malheureusement sa jambe restait coincé. Elle accueillit Law la baguette levé.

« Whooo... Doucement ma belle ! C'est moi ! »


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Message(#) Sujet: Re: Nuit du 30 Octobre, durant l'attaque | Anoushka & Lawrence Nuit du 30 Octobre, durant l'attaque | Anoushka & Lawrence EmptySam 22 Oct - 0:43




Anoushka & Lawrence

Tout c'est passé tellement vite que j'ignore vraiment comment ça à commencer. J'étais au fond de mon lit, bien au chaud, en sécurité ou en tout cas c'était ce que j'avais cru. Je dormais depuis un moment mais je ne pourrais pas dire depuis combien de temps, quelques heures certainement. Tout était si paisible, si tranquille, si ... normal, jusqu'à ce que la panique éclate dans tous les dortoirs des Gryffondor et certainement tous les dortoirs de l'école. Des gens cris, on me secoue, je me réveille paniquée mais pas plus informée que ça. On me dit de me lever, qu'on est attaqué mais je suis encore à moitié endormi alors je n'arrive pas à démarrer mon cerveau. C'est quoi cette histoire d'attaque ? Qui ? Pourquoi ? Comment sont-ils entrés ? Je croyais que cette école était sécurisée, serait-elle devenue une véritable passoire avec le temps ? Tout est allé très vite ensuite. J'ai enfilé rapidement un pantalon, un pull sous mon t-shirt de pyjama, des chaussures, ma baguette et je suis partie rejoindre les gens dans la salle commune. Le brouhaha ambiant régnait dans la salle commune. Certains voulaient aller voir, se battre s'il le fallait, d'autres au contraire refusaient de bouger d'ici. Moi j'étais partagée, d'un côté je me savais jeune et assez inexpérimentée dans ce genre de situation. Après tout j'avais certes survécu au camp de cet été mais n'allons pas nous emballer pour autant, j'avais pris cher, surtout lors des survivors. Mais je ne pouvais pas non plus rester les bras croisés à ne rien faire. Nous incarnions la maison du courage, si nous restions tous dans notre salle commune, on pouvait enlever ce caractère de notre devise. J'hésitais mais je pensais à Louna, Keagan, Hunter ou encore Nathan. Ils devaient être dans les couloirs, à braver le danger. Certes nous n'avions pas le même âge mais je ne pouvais pas rester cacher, je devais me battre aussi.

Alors je finis par me décider, je sors en courant de la salle commune, à la suite d'autres élèves. Je n'ai même pas envie de savoir si Sloane ou Noel sont partis se battre ou s'ils tremblent de peur dans notre salle commune, pour le moment je ne pense absolument pas à eux. Je garde à l'esprit qu'il faut que je retrouve mes proches, je ne serais rassurée que quand je serais avec eux. Sauf que je pars à l'aventure, seule et que j'ai l'impression de vivre un véritable cauchemar. Je connais cette école sur le bout des doigts, pourtant déjà quelques changements se sont opérés dans certaines parties des couloirs. Des sorts ont déjà ricochés sur les murs et ont abimé quelques endroits. J'ai l'impression par moment d'être sur un véritable champ de bataille. Je cours, craignant de tomber sur quelqu'un que je regretterais. Je descends les escaliers et c'est à ce moment là que j'entends quelqu'un derrière moi. La panique m'envahie, je regrette instantanément d'être sortie de ma salle commune. Je ne suis pas un héros bordel, qu'est-ce que je fous là. Comme j'aimerais pouvoir maitriser le don d'animagus sur lequel je travaille depuis plus d'un an, au moins j'aurais pu me transformer et partir rapidement, là je suis une cible facile. Heureusement que la personne a failli se vautrer, ça me permet et d'avoir entendu sa présence derrière moi et de lui lancer un sortilège dans la figure. «STUPEFIX » Je loupe ma cible de peu, mon agresseur a eu le temps de se mettre à couvert, mon sortilège s'éclate contre le mur. Je pars en courant, je ne veux pas mourir aussi bêtement. Sauf que comme dans mes pires cauchemars, il se met à me courir après. Il lance à son tour un sortilège qui éclate à côté de moi. Je me retourne, choquée de peur et je continue ma descente. Je voudrais courir plus vite mais visiblement j'ai de plus petites jambes que lui, l'horreur.


« STUPEFIX » Je ne laisse pas le temps à mon agresseur de dire quoi que ce soit que j'ai je le réattaque. J'ignore ce qu'il allait me dire mais certainement allait-il lancé un nouveau sort. Il se protège, le sort ricoche contre une des armoires derrière laquelle j'étais cachée et elle s'effondre. J'ai le réflexe de sauter sur le côté mais visiblement pas assez vite, ma jambe reste coincée sous l'armoire et je me mets à hurler de douleur. Je m'étais sentie coincée et j'étais terrifiée et maintenant j'avais peur. Je ne veux pas mourir, je suis si jeune. La personne s'approche de moi, je tends ma baguette pour montrer que je suis peut-être blessée mais pas vaincue pour autant et soudain je reconnais le visage de mon agresseur. Depuis le début je m'en étais prise à un élève de Poudlard, à un membre de ma maison, pire encore à un ami. Je le fixe médusée et terrifiée à l'idée que j'aurais pu le blesser, juste parce que j'avais tellement eu peur de l'avoir entendu derrière moi que j'avais cru que c'était un "méchant". « LAWRENCE ?! Oh mon dieu je suis désolée, j'ai cru que tu étais un des leurs ... » Au fond de moi je suis horrifiée à l'idée d'avoir pu lui avoir fait du mal ou avoir tenté et soulagée d'être définitivement nulle pour atteindre les gens avec mes sortilèges. Mais je suis aussi soulagée, parce que ça veut dire que ma vie n'est pas encore écourtée et que je ne suis plus seule. Je m'al à ma jambe, cette étagère pèse une tonne et je n'arrive plus à bouger. « Je ne peux plus bouger, j'ai mal à ma jambe ... »


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Message(#) Sujet: Re: Nuit du 30 Octobre, durant l'attaque | Anoushka & Lawrence Nuit du 30 Octobre, durant l'attaque | Anoushka & Lawrence EmptySam 22 Oct - 15:52



Anoushka & Lawrence

Pourquoi il était sortit de la salle commune ? Il était bien là-bas. Devant la cheminée, au calme, à voler des chocogrenouilles et des patacitrouilles. Heureux sont les ignorants. Maintenant, il était là, dans la salle des Trophées avec une amie coincée sous une armoire à cause d'un stupide malentendu. Non franchement, ça craignait.
Le bon point c'est que maintenant Anoushka savait à qui elle avait à faire. Lawrence n'avait plus rien à craindre de sa part. Par contre, il y avait des bruits partout autours, des détonations, des cris... Il pouvait pas rester là. Ils ne pouvaient pas rester plutôt. Même si Law n'est pas un chevalier servant il ne partirait pas en laissant Anoushka sous cette armoire !

« On va te sortir de là, t'en fais pas ! »

Mais d'abord, il fallait trouver comment ! La soulever, évidemment, mais comment, elle semblait bien lourde cet armoire. C'était le problème de Poudlard, le moindre meuble était en bois massif ! D'ailleurs, il ne donnait pas chère de la cheville d'Anoushka. Pour moment elle était coincée, mais quand ils arriveraient à la dégager, elle sentirait sa douleur. Au mieux, c'était une entorse, au pire, c'était la fracture. Bon, il allait pas la stresser maintenant, chaque chose en son temps.

« T'es plutôt à l'aise avec tes stupefix ! Tu me le rappelera quand je viendrais d'emmerder la prochaine fois ! Allez... l'armoire à l'air bien lourde je vais essayez de la soulever, essaie de te dégager le plus rapidement possible. »

Il dégagea les coupes et le verre brisait histoire de ce faire un solide appuie. Il attrapa l'armoire par en dessous, prit une profonde inspiration et souleva. Ou du moins, il essaya. L'armoire se souleva un peu mais c'était trop lourd. Il la reposa le plus délicatement possible pour pas aggraver la blessure et il reprit sa respiration.

« Désolé... Elle... Elle est... trop lourde ! On va essayer autre chose ! »

Il sortit sa baguette. Bon, là, ça allait être délicat. Il allait utiliser le bon vieux Wingardium Leviosa, sauf que s'il tenait pas l'étagère suffisamment longtemps, elle retomberait sur la cheville d'Anoushka... Autant dire qu'elle risquait de le maudire.

« Je vais essayer de la soulever avec un Wingardium Leviosa... J'espère que ça retombera pas... Non je déconne, je déconne ! Détends-toi... Qu'est-ce tu faisais dehors au fait ? Tu pouvais pas rester tranquille ! »

Oui. Coincer et blesser sous une armoire, Lawrence est capable de vous faire des reproches. Mais au moins ils parlaient. Ça le détendait. Le but était de détendre Anoushka mais ça lui faisait aussi du bien.

« Allez, on y va ! Wingardium Leviosa ! »



© Pando


Résultat Dé :


→ 1 à 4 : L'armoire se soulève sans encombre et laisse largement le temps à Anoushka de ce dégager.
→ 5 : L'armoire se soulève mais retombe trop vite! Anoushka sera t-elle assez rapide?
→ 6 : Lawrence est une grosse quiche et l'armoire ne bouge pas! On mets ça sur le coup de la pression!
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Le Hasard

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Arrivé(e) le : 28/06/2011
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Crédit : (c) Septimus Veturia
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Message(#) Sujet: Re: Nuit du 30 Octobre, durant l'attaque | Anoushka & Lawrence Nuit du 30 Octobre, durant l'attaque | Anoushka & Lawrence EmptySam 22 Oct - 15:52

Le membre 'Lawrence Bosman' a effectué l'action suivante : Le Hasard


'Le Hasard' : 2
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Message(#) Sujet: Re: Nuit du 30 Octobre, durant l'attaque | Anoushka & Lawrence Nuit du 30 Octobre, durant l'attaque | Anoushka & Lawrence EmptyDim 23 Oct - 13:31




Anoushka & Lawrence

Se rendre compte que la personne que l'on prenait pour un agresseur n'était en fait qu'un camarade de maison, ça fait un choc. Alors certes je n'ai pas utilisé de sorts impardonnables - ce qui ne risque pas d'arriver de si tôt - je me sens malgré tout coupable d'avoir été un peu trop rapide de la baguette et que je n'ai pas cherché à analyser la situation avant de lancer mon sortilège. Après je sais qu'il me pardonnera, déjà parce qu'on est amis et aussi parce que c'est une situation assez particulière, personne n'est préparé à ça et certainement pas nous. C'est la première fois que je me retrouve confrontée à ce genre de situation et j'aurais aimé que ça n'arrive jamais pour être honnête. Et maintenant que je suis coincée sous cette armoire, je me demande pourquoi la direction de Poudlard a décidé de nous apprendre à nous défendre durant le camp de vacances ? Doit-on comprendre qu'ils ont toujours su ce qui allait arriver ? Si c'est le cas, n'auraient-ils pas pu mieux nous protéger ? J'avoue que je suis assez dépassée par la situation. En plus de toutes ces questions qui envahissaient mon esprit paniqué, j'entendais des sons venir de tous côtés. A mon avis nous n'avions pas dû être silencieux avec l'écroulement de cette armoire, j'espérais juste qu'ils ne viendraient pas vérifier que le boulot était fait correctement ou que ce n'était pas un des leurs qui était dessous, sinon nous serions dans une merde noire. J'avoue que je n'étais pas du tout rassurée. J'étais coincée donc fuir n'était pas une option. J'avais mal à la jambe donc je savais que même si je sortais d'ici, je ne pourrais pas courir ou être très discrète parce que j'allais avoir mal. En gros, même si je sortais d'ici, ce n'était pas dis que j'arrive en sécurité. Mon coeur battait la chamade et ce n'était pas de plaisir de voir Lawrence, même si j'étais contente qu'il soit avec moi ce soir. C'est vrai, c'était mon ami et un 7ème année, j'étais plus en sécurité que seule ou avec une personne de mon âge, voire plus jeune.

Je hoche la tête quand il me dit qu'il va me sortir de là. En fait il emploie le déterminant "On" mais sur le coup je m'en fous, tant que je sors de là c'est le plus important. Une larme coule sur ma joue, de peur et de douleur, mais également un peu de soulagement. C'est vrai, il y a un instant, je pensais que c'était un mangemort et maintenant je me rends compte que c'est mon ami, il y a quand même de quoi respirer un peu mieux. Bon même si il faut bien l'avouer, je ne me serais pas retrouvée sous cette armoire si je ne lui avais pas lancé des stupéfix dans la tronche par réflexe et par peur. Il fait d'ailleurs une blague sur mes stupéfix et je ne peux m'empêcher de rire légèrement. Il est c** quand il s'y met. « D'accord ! » Lui dis-je en me tenant prête à me sortir d'ici dès qu'il aurait soulevé la "bête". Sauf qu'elle pesait un poids certain et que visiblement c'était trop pour Lawrence. Il réussit à la soulever mais pas assez haut, ni assez longtemps pour me permettre de retirer ma jambe. Quand il reposa l'armoire, je me sentis de nouveau prisonnière, voire plus encore que quelques instants plus tôt. « Il ... il faut se dépêcher, ils vont arriver ... » J'étais terrifiée à l'idée qu'on puisse nous découvrir, je ne voulais pas qu'il meurt par ma faute, mais je n'avais pas non plus envie d'y rester. J'aurais dû lui dire de partir sans moi, de sauver sa vie mais sincèrement j'étais trop jeune pour mourir et trop égoïste pour faire ce genre de chose. S'il part, ce sera avec moi de préférence. Je sens la panique m'envahir et je sais que ce n'est pas le moment mais c'est plus facile à dire qu'à faire. Je ne l'aide pas, j'en suis parfaitement consciente mais je fais comme je le peux, je n'ai que 15 ans. Quand il fait une plaisanterie sur le fait qu'il va tenter de soulever l'armoire via un sortilège mais qu'il espère que ça ne retombera pas, je le fixe soudainement paniquer « C'est pas drôle Law", fais moi sortir de là ... » Il s'excuse plus ou moins, en tout cas il dit qu'il déconne, mais franchement ce n'est vraiment pas le moment de faire des blagues. Il m'interroge sur les raisons de ma sortie de notre salle commune « J'étais inquiète pour mes proches, voilà ! Je voulais être sûre qu'ils allaient bien ... et toi, qu'est-ce que tu fais là ? » Lui demandais-je, tout en me mettant prête pour quand il lancerait son sortilège. Fort heureusement qu'il n'était pas une totale tanche en magie, il réussit son sortilège, ce qui me permis de sortir ma jambe de cette armoire qui commençait sérieusement à me la broyer. J'avais très mal, il y avait du sang mais l'armoire avait fait pression jusqu'à présent, ce qui n'était plus le cas. « J'ai mal ... » pleurnichais-je en me foutant totalement que je sois ridicule ou pas. Je ne suis qu'une gamine bordel !!


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Message(#) Sujet: Re: Nuit du 30 Octobre, durant l'attaque | Anoushka & Lawrence Nuit du 30 Octobre, durant l'attaque | Anoushka & Lawrence EmptyDim 23 Oct - 23:18

    La pression. Surtout pas foirer son sort. Bon, s'il arrivait pas à faire juste un sort de lévitation, autant aller se jeter devant les assaillants en sacrifice. Qui sait ? Peut-être que ça apaisera leurs colères …
    L'armoire se souleva sans problème et laissa le temps à Anoushka de se dégager. Pas besoin de se sacrifier, il pouvait encore servir.
    Bon, Anoushka dégagé, c'était une bonne chose de faîte. Maintenant c'était quoi la suite des évènements ?

    Il s'accroupit auprès d'Anoushka et regarda sa cheville. Il y connaissait rien, mais elle allait pas pouvoir marcher. Il voulait regarder de plus prés mais il se retint. A quoi bon ? Il allait pas tenter quelque chose ici. S'il empirait les choses, la situation pouvait virer au cauchemar, déjà que là, ils étaient bien dans la merde !

    « Beau geste de ta part, mais te jeter à l'aveugle... Enfin bon, laisse tomber, je vais pas te faire des reproches. Moi, j'en avais tout simplement marre de rester à rien faire. Je partais à la pêche aux infos. Mais rassure toi, t'es devenu ma priorité ! »

    Il lui fit un clin d'oeil pour essayer de la détendre, mais visiblement elle était pas au mieux de sa forme. Qu'est-ce qu'il espérait en même temps ? Qu'elle se relève en dansant la gigue ? Elle avait mal et les larmes ne tardèrent pas à venir. Il y avait la douleur certes, mais aussi la peur et l'angoisse. De son côté, il essayait de faire bonne figure mais il en tenait pas large non plus. Il pointa sa baguette sur la cheville d'Anoushka.

    « Attends, Episkey ! Voilà, ça devrait arrêter le saignement, par contre, il faudra quelque chose de plus costaud pour te remettre la cheville en place et là moi je peux pas t'aider. »

    Le sortilège avait refermer la balafre qu'avait provoquer l'étagère en tombant mais la cheville était toujours esquinté. Il enleva sa veste et arracha une manche de celle-ci, il conseilla à Anoushka de ne pas crier, de serrer les dents si elle avait mal. Il retira la chaussure d'Anoushka et appliqua le « bandage maison » en serrant un maximum pour lui tenir la cheville.

    « C'est du système D, je m'excuse mais ça fera l'affaire pour le moment. On peut pas traîner ici trop longtemps ! »

    Il se posa à côté d'elle. De là ou ils étaient et avec l'armoire renverser, ils avaient un bon abris au cas ou quelqu'un débarquerait avec de mauvaises intentions, mais ça ne tiendrait pas longtemps. Ils devaient bouger et le plus vite serait le mieux.
    Une explosion se fit entendre tout prés, quelques part dans un couloir une vitre explosa, un cri, un bruit de course...

    « Putain ça craint ! »

    Sa main était crispé sur sa baguette. Ils devaient aller ou ? Retourner à la salle commune ? C'est peut-être ce qu'il y avait de mieux à faire.

    « Bon, tu te sens prête à bouger ou pas ? On peut pas rester là, on doit bouger... Aussi terrifiant que cela puisse paraître. Je sais que t'as peur et franchement moi aussi, plus que toi sûrement ! Tu me connais, tu sais bien que le courage c'est pas ma qualité première ! Honte sur moi, je sais, je crains pour un Gryff' ! Mais j'ai pas le choix ce coup-ci, je peux pas te laisser là ! »

    Il essaya un sourire pour tenter de lui en arracher un mais c'était sans grande conviction ! Putain, il craignait carrément. En plus avec Anoushka qui le regardait avec ses grands yeux larmoyants... Putain, il était plus sensible qu'il n'y paraissait en fait !

    « Bon ma belle ! Je pense que le mieux, c'est de rejoindre la salle commune. On y sera plus en sécurité. Ou du moins, on l'étaient quand je suis parti. »

    A peine il finit sa phrase que des détonations éclatèrent nombreuses et violentes. Comme si le destin s'acharné. Les bruits venaient de l'escalier qui montait au septième étage...

    « Bon... Changement de plan. On fait quoi ? »
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Message(#) Sujet: Re: Nuit du 30 Octobre, durant l'attaque | Anoushka & Lawrence Nuit du 30 Octobre, durant l'attaque | Anoushka & Lawrence EmptyJeu 3 Nov - 18:46




Anoushka & Lawrence

On n'est que des gosses, on n'est pas préparé à vivre cette situation. Je n'aurais jamais dû sortir de ma salle commune et Lawrence non plus, mais que voulez-vous, nous sommes deux inconscients, bravant le danger pour une raison ou pour une autre. Sauf que voilà, c'est bien joli d'être deux têtes brulées mais maintenant on va faire quoi ? Des infos on n'en a pas plus qu'au point de départ, tout ce que l'on sait c'est que ça canarde dans les couloirs et qu'on se fait attaquer. Mais qui est l'investigateur de cette boucherie ? Aucune idée et jusqu'à la fin, on ne le sera pas. Sera-t-on encore en vie quand le dénouement de cette histoire arrivera ? Je l'espère mais franchement j'en doute de seconde en seconde. « Je sais que c'était stupide mais tu me connais, je ne réfléchie pas toujours à mes actes et je le regrette qu'après coup ... » Autant être honnête, cela ne sert à rien de jouer les héros ou la mauvaise foi, c'était une idée merdique, point. Mais au moins on est deux à avoir eu cette idée, je me sens moins seule et moins dépourvue. Parce qu'il faut bien avouer que seule, je ne sais pas comment je me serais débrouillée. Rien que mon ami a réussi à me suivre jusqu'ici et j'ai le pied sous une armoire, alors si ça avait été un mangemort, je serais déjà morte à l'heure qu'il est, je n'en doute pas un seul instant.

Il réussit à sortir mon pied de dessous l'armoire, ce qui est plutôt une bonne chose. Sauf que voilà, ma jambe était dans un sale état. Pas gravissime, n'abusons pas, mais ma cheville était ouverte et l'os cassé. En même temps elles pesaient leur poids ces saletés, il est normal que j'ai le pied dans cet état là. Je souffre le martyr, véritablement, mais je ne devais pas crier pour ne pas nous faire repérer. Il lança un sort pour refermer la plaie, ce qui était déjà une bonne chose mais comme il le disait lui même, ça ne suffirait pas. Mon os aussi avait besoin de se ressouder et pour le moment nous n'avions pas les moyens de le faire. Alors il tenta un système D qui me coûta beaucoup. Il enleva sa veste et enleva un bout de tissu pour m'en faire un bandage. Déjà je n'aimais pas l'idée mais visiblement je n'avais pas des masses le choix. « T'es sûr que ça va être utile ? ... » Lui dis-je en panique avant qu'il n'attrape ma cheville pour enlever ma chaussure. Je peux vous dire que ça fait un mal de chien et retenir un cri fut plus de difficile. Je serrais les dents, des larmes de douleur coulaient le long de mes joues et je haletais. Comment ai-je fais pour ne pas m'évanouir ? Franchement je l'ignore mais je sais une chose, j'ai très, très chaud pour le moment. « Il va falloir me laisser quelques instants pour m'en remettre, tu viens de me faire un mal de chien ... » IJe sais qu'il faisait tout ça pour m'aider mais j'avais eu tellement mal que j'avais la tête qui tournait. J'étais une véritable chochotte quand il s'agissait de la douleur, du coup il n'y pouvait rien. Je fermais les yeux quelques instants, jusqu'à ce qu'une explosion se fit à proximité de notre cachette, ce qui me fit battre le coeur encore plus vite et trembler. « Tu crois qu'ils vont nous trouver ? » Lui demandais-je en panique, les yeux totalement exorbités par la peur.

Je ne suis pas aussi courageuse que j'aimerais le croire. Et visiblement lui non plus. Il m'expliqua qu'il allait falloir bouger, que ça craignait vraiment dans le coin et qu'on ne pouvait pas rester ici. J'avais mal mais la peur était étrangement plus forte, j'étais prête à bouger, quitte à avoir mal, tant que ma vie était saine et sauve. Je le fixais, terrorisée, des larmes coulées que je n'arrêtais pas. Pourquoi faire ? J'avais le droit d'avoir peur. Il proposa la salle commune, je hochais la tête, prête à retourner dans notre sanctuaire. Sauf que ça ne se passa pas comme prévu, on entendit de nouveaux une explosion qui provenait de l'escalier. Qu'est-ce qu'on allait faire ? « Le ... le bureau du concierge, on est à son étage ... la porte ferme à clé, peut-être qu'il y est dedans ?! » Je ne l'aimais pas beaucoup, il me faisait très peur mais s'il était dans son bureau, il nous laisserait entrer s'il nous reconnaissait. C'était un adulte, il allait forcément être plus efficace que nous et trouver une solution. Et puis sa porte ferme à clé, ce qui n'est pas le cas ici ... j'avais pas mieux pour le moment.


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Message(#) Sujet: Re: Nuit du 30 Octobre, durant l'attaque | Anoushka & Lawrence Nuit du 30 Octobre, durant l'attaque | Anoushka & Lawrence EmptyVen 4 Nov - 12:59

    Agir sans réfléchir. Le propre d'un Gryffondor.
    S'ils étaient restés au calme, rien de tout cela ne serait arrivé. Mais comme on dit, avec de « si » on refait le monde, du coup, ils n'avaient qu'à serrer les dents et essayer de s'en sortir. Faut juste espérer, que la prochaine, ça leur servent de leçon.
    En tout cas, Anoushka n'en menait pas large. C'était une bonne chose. Pas une bonne chose qu'elle se soit fait mal ou qu'elle soit limite traumatiser, juste une bonne chose qu'elle prenne conscience que la retraite était la meilleure option. Il ne l'aurait sûrement pas suivis si elle lui avait tenu un discours du genre « allons aider les potes ». C'était malheureux pour les potes en question, mais ils ne savaient pas ou ils étaient.

    « Allez, laisse tomber. C'était peut-être une connerie de sortir de la salle co' mais bon... On va pas se lamenter. Puis, je suis assez content d'être sorti quand même, au moins, je t'ai trouvé ! »

    Il lui ébouriffa les cheveux doucement. Une vieille habitude qu'il avait. On pouvait interpréter ça comme un signe affectif, autant dire qu'il le fait pas à beaucoup de monde... Il adorait le faire à Chuck, avec sa masse de cheveux frisé, à croire que c'était fait pour !
    Bref, trêve de banalité capillaire, et revenons aux choses sérieuses. Ce sortir de ce guêpier.
    Il banda la cheville d'Anoushka comme il pût. Est-ce que c'était utile ? C'était une grande question. Il avait pas vraiment l'impression, mais maintenant qu'il lui avait fait mal, il pouvait pas lui donner une réponse négative ou même évasive.

    « Ça devrait te tenir un peu la cheville en place, si on doit bouger, ça serait bien si tu pouvais poser ton pied au sol. Et on a pas trop le temps de te faire une attelle. C'est du système D mais bon... »

    Il l'aida à se mettre à l'aise le temps qu'elle reprenne ses esprits et il s'asseya à côté d'elle. Il jouait avec sa baguette, assez nerveusement, il aimait pas vraiment rester ici, mais il pouvait comprendre qu'Anoushka avait besoin de quelques instants. Puis rester inactif comme ça, ça le faisait réfléchir et vu son éternel pessimisme, c'était pas bon, pas en ce moment. Et pour l'inquiéter d'avantage, Anoushka se faisait du soucis aussi, à raison certes, mais il aurait préféré qu'elle garde ses interrogations pour elle.

    « Ça j'en sais rien, j'espère bien que non. Va falloir qu'on bouge, comme ça, ça nous évitera de le savoir. Façon, la meilleure chose à faire pour le moment, c'est de se trouver un endroit à l'abri et y rester jusqu'à ce que ça se calme. »

    Un endroit à l'abri... Il savait qu'il y en avait pas beaucoup et si les assaillants prenaient le contrôle, les salles commune seraient les premiers endroits investit. Donc, il n'y avait pas de réel abri, juste des endroits ou ils pourraient gagner du temps. Sauf si bien-sûr, les assaillants étaient repoussés. Sauf que Law ne savait rien, ils pouvaient être dix comme cent, il n'avait aucune idée de se qui se passer et subir une situation, ça ne lui a jamais plût.
    Heureusement qu'Anoushka était prête à partir. Fallait juste trouver une destination. La salle commune, c'était compromis, l'infirmerie aurait pût aider Anoushka mais c'était assez loin...
    Bingo ! La chance qu'il soit avec Anoushka. Le Bureau du Concierge. C'était une bonne idée. Ce serait la première fois qu'il trouverait cet endroit salutaire, en général quand il y allait – et il y allait souvent – c'était pas pour manger des coquillettes.

    « Pas con... Ca me rappellera l'escapade de l'autre jour avec Chuck ! Allez, un petit effort et on bouge plus après ! Façon, quoi qu'on fasse, la fin ne dépends pas de nous... »

    Triste constat, mais c'était bien réel. Il se releva et aida Anoushka à faire de même. Bon, maintenant, ils devaient être rapide et discret. Il fit passer le bras d'Anoushka sur ses épaules et il la saisit par la taille, histoire de soulager au mximum la tension sur sa cheville. Dans sa main libre, il avait sa baguette. Il la tenait fermement, crispé dessus. S'ils se faisaient attaquer, ce serait la merde, parce qu'avec Anoushka agrippé à lui, ils faisaient une cible idéal... C'était pas le moment de penser à ça.

    « Allez tout va bien se passer. »

    C'était autant pour rassurer Anoushka que le rassurait lui. Ils se dirigèrent vers la porte et écouta à travers. Pas un seul bruit. Bon, allez, c'était le moment. Il jeta un coup d’œil à Anoushka et hocha légèrement la tête. Il ouvrit la porte avant de s'engager dans le couloir. Vide. Bon point pour le moment.
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Message(#) Sujet: Re: Nuit du 30 Octobre, durant l'attaque | Anoushka & Lawrence Nuit du 30 Octobre, durant l'attaque | Anoushka & Lawrence EmptyMer 9 Nov - 13:44




Anoushka & Lawrence

Il avait malheureusement raison, ça ne sert à rien de revenir sur une action passée, on était en dehors de notre salle commune, c'était trop tard pour revenir sur le sujet. Surtout que ça ne changerait rien à notre vie d'en parler durant des heures, on était coincé dans la salle des trophées et se dire que c'était une erreur d'être sortie ne nous fera pas intégrer comme par magie la "sécurité" de notre salle commune. J'esquisse un sourire, contente de mettre fin à cette discussion, non pas que discuter avec Lawrence me pose un réel problème mais je savais que ça ne servirait à rien de revenir sur le sujet. Je me sentais suffisamment coupable d'avoir eu la stupidité de sortir de ma salle commune. Je ne suis pas une battante, je ne vais pas arme au point à l'affront du danger. Je dois incarner la pire Gryffondor de Poudlard mais tant pis. Je rentre à peine en 5ème année, qu'est-ce que vous voulez que j'aille combattre des adultes ? Après ça ne signifie pas que je ploierais sous le joug de ses monstres avec plaisir, je me révolterais à mon niveau mais ça risque malgré tout d'être un peu compliqué. Pour le moment je ne pense pas à tout ça, je me focalise sur l'instant présent, sur la douleur et sur le fait qu'on est coincé dans une pièce et que notre seule issue est de revenir sur nos pas. Comment ? je l'ignore, j'ai une cheville en moins, je ne sais pas comment je vais faire pour marcher. « Je suis soulagée d'être tombée sur toi. » Lui répondis-je en souriant un peu. Parce qu'il faut être honnête, ça aurait pu être pire. Parce que là j'ai une cheville en moins à cause d'un quiproquo, mais je ne serais certainement plus de ce monde si ça avait été un mangemort. Alors à la rigueur je préfère avoir mal à ma cheville mais être toujours en vie.

Il me bande la cheville et c'est un des pires moments de ce soir. Bon j'exagère un peu, le pire moment c'est quand j'ai cru que Law' était un mangemort et que je l'ai attaqué et que je me suis barrée en courant. Mais ça reste malgré tout un des moments les plus désagréables de cette soirée. Je sais que par rapport à certain, mon moment de calvaire n'est rien, mais bon je n'ai pas choisi d'aller me battre, donc j'ai une douleur à mon niveau. Je sue, j'ai la tête qui tourne et j'ai mal, mais il a raison, on fait avec les moyens du bord. Je pose mon tête contre son épaule pour me remettre de mes émotions, juste avant que du bruit attire notre attention. Je suis terrifiée, il faut bien l'avouer mais si nous ne faisons pas de bruit et que nous ne signalons pas notre présence, ça devrait passer non ? Mon coeur bat la chamade, je sais qu'on va devoir s'en aller mais pour le moment ça me parait un peu prématuré. J'ai mal, je ne sais pas combien de temps je tiendrais. Je sais, je suis une chochotte mais j'assume jusqu'au bout. Mais avant de bouger, il faut décider de l'endroit qui va nous accueillir, le temps d'un moment. La décision fut rapidement prise, le bureau du concierge serait notre prochaine étape. J'espère qu'il est ouvert et qu'on va pouvoir s'y réfugier pour un moment. Lawrence est d'accord avec mon idée, il a l'air d'être partant, ce qui est plutôt une bonne chose. Il m'aide à me lever, il passe un de ses bras autour de ma hanche pour m'aider à me tenir debout et je passe un bras autour de ses épaules pour qu'il me serve de béquille. La douleur vient de me lancer mais je tente de serrer les dents et de ne rien dire. Ce n'est qu'un très mauvais moment à passer, ça va bien aller, me répétais-je intérieurement. « Ok je suis prête, on peut y aller. » Lui dis-je après avoir respiré un bon coup.

Nous nous approchâmes de la porte, Law colla son oreille à la porte pour écouter s'il y avait du mouvement dehors et quand il fut sûr, il ouvrit la porte. Désert. Nous nous regardâmes et en accord, nous commençâmes à avancer. Lentement, très lentement parce que je ne pouvais pas marcher, chaque pas me tirer une grimace de douleur. Mais j'avançais, parce que je n'avais pas le choix. Un pas, puis l'autre. J'avais l'impression qu'on arriverait jamais jusqu'à la porte du bureau du concierge. Mon coeur battait la chamade, j'étais à l'écoute des bruits environnant, sursautant quand on entendait un sort se répercuter sur les murs. Une bataille faisait rage à quelques mètres de nous, après le tournant du couloir. Le bureau se trouvait avant, ce qui était une bonne chose. Je fixais ce tournant, terrifiais à l'idée que quelqu'un surgisse. J'avais ma baguette dans ma main libre, prête à m'en servir mais franchement je n'étais pas des masses en état de faire quoi que ce soit. « On y est presque ... »Lui dis-je juste avant d'entendre un bruit...


© Pando


Pair >> C'est juste un bruit, personne ne surgit du coin du couloir, Law et Anoushka peuvent reprendre une activité cardiaque normale et s'approcher du bureau du concierge

Impair >> Ce n'est pas juste une bruit, une silhouette vient de débouler du coin du couloir et leur fait maintenant face ...


Dernière édition par Anoushka N. O'Nyme le Mer 9 Nov - 13:44, édité 1 fois
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Message(#) Sujet: Re: Nuit du 30 Octobre, durant l'attaque | Anoushka & Lawrence Nuit du 30 Octobre, durant l'attaque | Anoushka & Lawrence EmptyMer 9 Nov - 13:44

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Message(#) Sujet: Re: Nuit du 30 Octobre, durant l'attaque | Anoushka & Lawrence Nuit du 30 Octobre, durant l'attaque | Anoushka & Lawrence EmptyLun 14 Nov - 21:47

    Lui aussi était soulagé d'être tombé sur elle. Après tout, qu'est-ce qu'il se serait passé s'il en avait été autrement ? S'il avait continué sa route tranquillement ? Il serait peut-être tombé sur bien pire. Anoushka était ce qu'il y avait de moins dangereux pour le moment. Oh, bien-sûr, elle avait un caractère bien trempé, Law l'avait apprit à ses dépends d'ailleurs, mais elle n'était pas méchante. Fille cool à la langue bien pendu mais super sympa. Elle n'avait rien à faire là. Tout comme lui d'ailleurs, même si c'était un connard bien plus méchant qu'elle, il ne méritait pas d'être ici.

    « Moi aussi... T'es bien plus sympa qu'un mec en cagoule. Ou une femme ! Quoi que ça dépend de la femme ! »

    Il essayait de détendre l'atmosphère comme il pouvait. Parce que bientôt ils allaient bientôt sortir, autant se détendre un peu avant, ça coûtait rien. A défaut de trouver du courage.

    Le courage était peut-être ce qui faisait défaut à nos deux compères ! Mais là, ils n'avaient pas vraiment le choix. Ils devaient se montrer courageux. Une obligation. Du coup, ils sortaient de leur cachette pour se jeter dans la fosse aux lions !
    Bon, en l’occurrence, tout ce passait bien pour le moment. Ils étaient sortis sans encombre de la salle des Trophées. Il y avait bien des détonations ici et là mais pas prêt d'eux. C'était un bon point. Il pouvait y avoir la guerre à l'autre bout du château, tant que lui était tranquille, ça lui convenait bien !
    Mais au plus ils avançaient, au plus les détonations étaient puissantes. Le bureau du Concierge était avant la scène de guerre, heureusement, mais c'était pas rassurant non plus. Il sentait Anoushka tressautait dés qu'il y avait des sortilèges un peu plus bruyant que la moyenne. Ça le rassurait pas lui non plus. Il resserra son étreinte sur elle, il voulait se montrer rassurant mais c'était pas forcément gagné. Il était temps d'arriver. D'ailleurs c'est elle qui lui fit la remarque. Ils y étaient presque. Ils voyaient la porte du bureau, puis le tournant un peu plus loin et derrière ce tournant, la bataille faisait rage.

    Lawrence essayait de ne pas penser au pire. Vu les bruits, ils étaient suffisamment occupés pour déambuler dans le coin non ? Qui passerait la tête histoire de surveiller « au cas ou » ? Non, il y avait pas de raison qu'un ce pointe, ils avaient suffisamment à faire !

    C'est sûrement parce que dans l'ensemble, tout c'était bien passé que les choses changèrent. Un individu déboula devant eux, venant du fameux tournant. Capuche rabattu sur la tête, impossible de voir son visage et c'était pas forcément plus mal.
    Law leva sa main gauche, tandis que de la droite il envoya valser Anoushka derrière lui. Ok, il était désolé pour sa cheville mais il y avait plus urgent à faire !

    « STUPEFIX ! »


    Spoiler:

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Message(#) Sujet: Re: Nuit du 30 Octobre, durant l'attaque | Anoushka & Lawrence Nuit du 30 Octobre, durant l'attaque | Anoushka & Lawrence EmptyLun 14 Nov - 21:47

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Message(#) Sujet: Re: Nuit du 30 Octobre, durant l'attaque | Anoushka & Lawrence Nuit du 30 Octobre, durant l'attaque | Anoushka & Lawrence EmptySam 19 Nov - 12:41




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Je souris à sa remarque, elle a le don de me détendre un peu. Elle est stupide, un peu bête mais on s'en fout, pourquoi se prendrait-on la tête pour si peu ? Il était soulagé lui aussi d'être tombé sur moi plutôt que sur un Mangemort, qui ne le serait pas ? Il fit une petite blague en prétendant que si ça aurait été UNE mangemort, il aurait d'abord voulu voir à quoi elle ressemble avant de répondre. Une plaisanterie, rien de plus. C'était tout lui, faire une blague même dans les pires moments et c'était ce que j'aimais chez lui. Certains détestaient, j'en étais consciente mais pas moi. Au contraire, je n'aspirais qu'à trouver des sujets qui me feraient changer les idées, qui me feraient oublier, l'espace d'un instant, qu'on était attaqué et qu'on n'avait aucune chance. Il fallait bien se rendre à cette triste évidence, nous n'avions aucune chance. On n'a beau prétendre le contraire, penser que tout irait pour le mieux, sous prétexte qu'on était tous courageux et qu'on s'en donnait les moyens mais la réalité était ailleurs. La vérité c'était qu'on allait tous mourir ou alors qu'on allait être prisonnier. Pourquoi ? Je n'en avais aucune idée, mais ça ne sentait pas bon. J'ignore ce qu'ils nous veulent, mais ce n'est certainement pas pour nous faire des câlins. Comment allait être les jours à venir ? Allait-on seulement en avoir ? Voilà les questions qui trottaient dans ma tête. Je suis trop jeune pour mourir, je veux ma maman ... Oui je veux ma mère, où est le problème ? J'ai 15 ans, je suis terrifiée et je veux ma mère, la seule personne capable de me rassurer dans ce genre de moment. J'aimerais tellement qu'elle soit là, qu'elle me prenne dans ses bras, qu'elle me dise que tout va bien aller et que je ne crains rien, qu'elle est là pour me protéger. Je veux ma mère, je veux lui dire que je l'aime de tout mon coeur, que je suis désolée de ne pas avoir été la fille parfaite dont elle rêvait et que j'ai été un peu imbuvable ces derniers temps, mais c'était seulement parce que j'étais jalouse de l'attention qu'elle portait à son ex compagnon, plutôt qu'à moi. J'aimerais lui présenter Hunter, qu'elle fasse connaissance avec lui et qu'elle se rende compte que c'est un garçon très bien. J'aimerais la prendre dans mes bras, lui dire que je l'aime ... j'aimerais ... j'aimerais retrouver mon père, cet homme que je n'ai jamais connu et qui plane constamment au dessus de moi. J'aimerais lui dire que je le déteste d'avoir refusé d'assumer son rôle de père, mais qu'il n'est pas trop tard, qu'il peut encore changer la donne et se faire pardonner. Que plus que jamais, j'ai besoin de lui, d'exister pour quelqu'un, de pouvoir parler de mon père comme les autres et ne plus simplement avoir une ombre à la place. Mais voilà, tout cela, je ne le peux pas et peut-être ne le pourrais jamais. Je suis trop jeune pour mourir ...

« Elle ne pourra jamais être plus belle que moi, ne cherche pas !! » Dis-je du ton le plus prétentieux que j'étais capable. Parce que oui, soyons réaliste, je suis quelqu'un d'assez prétentieux. J'ai entendu toute ma vie les gens me dire ou dire à ma mère que je suis belle et que je serais une très belle jeune femme en grandissant, pourquoi ne pourrais-je pas m'en vanter ? On dit toujours que les métisses sont souvent très beaux et je rentre sans conteste dans cette catégorie. Mon père est guadeloupéen et ma mère est malgache, un cocktail parfait pour un enfant sublime. Alors certes, je ne serais peut-être jamais miss monde, mais je m'en fous, tant que je plais aux gens que je désire, c'est tout ce qui compte. Je suis "La plus Belle" pour Hunter et c'est le plus important. J'aime l'idée d'être le centre de son attention et la seule fille qui vaut la peine de tous les efforts du monde pour lui plaire. Peut-être que ça ne durera qu'un temps mais en tout cas j'en profiterais à fond. Mais aujourd'hui, ce soir, ce n'est qu'une plaisanterie. Autant je le pense, autant ce soir, je ne le dis pas sérieusement. Ce soir je veux juste jouer mon rôle, encore une fois, peut-être la dernière fois. Je veux le faire sourire et lui faire oublier à son tour le merdier dans lequel nous nous trouvions et j'espérais parvenir à mes fins.

Et puis nous sommes sortis de notre cachette, parce qu'il le fallait bien, nous n'étions pas sûr de pouvoir rester cacher bien longtemps dans la salle des trophées. Nous nous dirigeons vers le bureau du concierge. Naïvement, j'espérais qu'il s'y trouverait, planqué certes, mais bien là et que notre présence lui donnerait le courage d'affronter le danger pour nous aider. Je rêvais, bien entendu, mais n'avais-je pas le droit ? Claudiquant comme je le pouvais, j'étais soutenue par Lawrence et nous avancions lentement vers le bureau. Je fixais le couloir, terrifiée à l'idée de voir quelqu'un débarquer et c'est quand mon espoir de pouvoir enfin nous en sortir arriver, que le mec déboula. Ce fut Lawrence qui fut le plus rapide. Me jetant presque derrière lui, il braqua sa baguette sur notre agresseur et lui lança un stupéfix. Il rata malheureusement son coup et l'autre nous lança un bombarda maxima. La douleur qui m'avait assaillie quand je me retrouvais seule, derrière Lawrence ne fut rien à comparer de la peur de me retrouver dans cette nouvelle situation périlleuse. Plus de doute sur l'identité de la personne en face, ce n'était pas un élève mais bien un Mangemort. Le sortilège passa devant moi et explosa derrière nous. Le souffle me fit tomber, mais rien de plus, je me portais aussi bien qu'avant. Assise par terre, je repris mes esprits et lançais à l'encontre du Mangemort « PETRIFICUS TOTALUS »


© Pando


Sortilège de PETRIFICUS TOTALUS
4 - 6 >> Anoushka réussit le sortilège parfaitement et la personne en face se retrouve totalement immobilisée, tombant à terre
2 - 5 >> Anoushka réussit le sortilège mais pas entièrement, la personne se retrouve avec les jambes paralysées, mais ses bras sont encore actifs et le sortilège voit déjà ses effets s'estomper lentement, il faut vite agir.
1 >> Le sortilège part bien mais percute le mur derrière le Mangemort, essaie encore
3 >> Echec total, bien tenté mais rien ne sort de la baguette ...

Si Anoushka réussit son sortilège de PETRIFICUS TOTALUS, le mangemort lance un PROTEGO
1 - 2 - 3 - 4 >> Sortilège réussit, le Mangemort évite le sort d'Anoushka
5 - 6 >> Sortilège raté, il se prend le sortilège en pleine tête

Si Anoushka rate son sortilège, le mangemort lance un INCARCEREM
1 - 2 >> Le sort fonctionne et atteint Lawrence qui est emprisonné dans des cordes
3 - 4 >> Le sort fonctionne c'est Anoushka qui est emprisonnée dans des cordes
5 - 6 >> Le sort explose à côté des deux élèves


Dernière édition par Anoushka N. O'Nyme le Sam 19 Nov - 12:42, édité 1 fois
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Message(#) Sujet: Re: Nuit du 30 Octobre, durant l'attaque | Anoushka & Lawrence Nuit du 30 Octobre, durant l'attaque | Anoushka & Lawrence EmptySam 19 Nov - 12:41

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