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« La clope, créateur de lien social » | Ashley & Lawrence
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Message(#) Sujet: « La clope, créateur de lien social » | Ashley & Lawrence « La clope, créateur de lien social » | Ashley & Lawrence EmptyVen 21 Oct - 22:17




Ashley & Lawrence

    Putain d'Ecosse. Bon, ok, c'est jolie. Mais putain, qu'est-ce qu'on ce caille les miches ! Law' était frileux, mais genre très frileux. Il était plus habitué à la chaleur sud africaine qu'au froid écossais. Bon, il faisait avec hein ! On s'approchait vers la fin du mois d'octobre et Law avait déjà sortit la grosse veste et l'écharpe. Bon, il avait laissé tomber le bonnet, c'était encore un peu tôt. Puis en plus ça lui faisait une tête toute ronde.
    Il descendait les marches, injuriant les escaliers trop lent, ceux trop rapides, ceux qui bougeaient pas. Il injuriait aussi ceux qui marchaient doucement, ceux qui marchaient en groupe... Bref, il était en forme et il insultait tout le monde.

    Ses mains dans les poches, une main jouait avec son paquet de clope, l'autre avec sa baguette. C'était la fin de la journée, le repas serait bientôt servit, ensuite, cloisonnement. C'était peut-être la dernière de la journée, alors il allait prendre son temps et la savourer. En plus, il n'en avait plus beaucoup et son pote Ryan ne lui en avait toujours pas envoyé. Parce que s'approvisionner en cigarette à Poudlard, c'était compliqué. Du coup, c'est son pote Ryan – un moldu – qui lui envoyait. Il utilisait une chouette que Lawrence lui avait acheté. Ryan lui fournissait les clopes, parfois de quoi rouler un pétard. Lawrence avait ses combines. L'alcool par exemple. Les week-end à Pré-Au-Lard, il y allait avec des bouteilles vides et il les remplissait d'alcool pur et après il coupait avec le jus de citrouille du p'tit dèj ! Il s'était jamais fait pincer à passer l'alcool et il s'était fait choper juste une fois complètement bourré. C'était l'avantage de Poudlard, c'était grand et les planques étaient innombrables.

    Il passa les portes du hall et sortit dans le froid. Bon, ok, il faisait pas si froid que ça. Mais quand même. Ses pas le conduisait sur la rive du lac, l'endroit idéal pour s'en griller une, surtout en ce moment. La nuit tombait vite du coup il y avait peu de monde en fin de journée. Il pourrait griller sa clope tranquillement. Il y avait pas grand monde qui fumait à Poudlard et c'était assez mal vu. La confrontation, ça faisait absolument pas peur à Lawrence mais il aimait fumer ses clopes tranquillement.

    Une odeur de cigarette. Il regarda autours de lui et il esquissa un sourire. Sa pote de clope. Il se dirigea vers elle les mains toujours dans les poches.

    « Yo Racaille ! Bien ? »

    Depuis qu'elle avait agressé un moldu, il l'appelait Racaille, pas très subtril mais ça colle bien.
    Il sortit son paquet, une clope, sa baguette, alluma sa tige et inspira une grande bouffée. Ah !!! La première latte la meilleure !
    Il reporta son regard sur la demoiselle et lui donna un petit coup d'épaule, un sourire aux lèvres.

    « Quoi ??? J'interromps un truc ? Un moment solennel face au lac ou est-ce que t'as trouvé ton prince charmant en la personne du Calamar Géant ? »

    Il tira une autre bouffée sur sa cigarette et jeta un œil à Ash'. Toujours aussi bonne. Non jolie. Pas bonne ! Burgees est bonne, Ash' est jolie. Law travaillait sur ça en ce moment. Se faire plus gentleman avec les femmes et futur femmes qu'il apprécie vraiment. Ashley c'était pas n'importe qui, c'était une version identique de lui, mais féminin. Normal qu'il soit en kiffe !
    En voyant Ashley finir sa clope il sortit son paquet.

    « Une autre ? Profite c'est moi qui régale. »


© Pando
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Message(#) Sujet: Re: « La clope, créateur de lien social » | Ashley & Lawrence « La clope, créateur de lien social » | Ashley & Lawrence EmptyDim 6 Nov - 16:14

« La clope, créateur de lien social »

- Lawrence Bosman -

FUMER TUE, MAIS FUMER FAIT DU BIEN


Cette journée avait été éreintante. Pourtant, il n’y avait pas vraiment eu de gros changements comparés aux autres jours, mais, c’est étrange, je me sens... plus fatiguée. Plus à cran aussi.
Comme d’habitude Narcissa a fait son intello à la langue bien pendue pour mieux pouvoir lécher les couilles (ou les miches) de ces professeurs, comme d’habitude j’ai fais chier mes professeurs d’ailleurs, j’ai dragué Winslow, j’ai fais chier Sloane de loin en lui lançant discrètement de la nourriture de ma table pour le repas du midi, et je me suis de nouveau fait chiée en cours. Malgré tout, je me sentais fatiguée. Epuisée. Mentalement seulement, puisque je sentais physiquement une grande énergie. C’est d’ailleurs ce qui m’énervait d’autant plus. Je me sentais à la fois fatiguée et bourrée d’énergie ; en quoi s’était logique tout ça ?
J’avais besoin d’une clope. Je ne me considérais pas vraiment comme une toxico, à vrai dire j’étais plus du genre à fumer par besoin plutôt que par addiction. C’était bizarre ? Certainement. La plupart des gens fumaient par addiction et habitude plutôt que par besoin. Certainement que si j’avais été dans une institution moins stricte que Poudlard, j’aurais fumé bien plus souvent, et je serais certainement devenue une addicte de la mort qui tue. Au moins, bien que cela me fasse chier comme pas possible, Poudlard m’empêchait de devenir une fumeuse plus professionnelle qu’un pompier. C’est bête hein, dire du bien d’une école qu’on n’aimait pas vraiment – du moins, je me refusais à l’aimer par principe. Bah oui quoi qui voudrait aimer le lieu où on a des profs chiants, des cours chiants, des devoirs chiants et des examens chiants sérieux ? Fallait bien être maso pour cela.
Je m’étais donc retrouvée au lac de Poudlard. Je devais dire ne jamais y être vraiment allée. En fait, je passais juste devant sans vraiment le regarder, admirer le paysage. C’était qu’un lac quoi, une simple étendue d’eau qui bougeait quasiment pas – si l’on oubliait toutes les créatures bizarres qui peuplaient les bas fonds – et qui ne servait pas à grand-chose. D’ailleurs il n’y avait pas beaucoup de monde qui venait sur ses berges. En même temps, il n’y avait pas grand-chose à y faire, à part peut-être s’amuser à pousser l’autre dans l’eau.

Debout appuyée sur un arbre, je me pris alors une cigarette, l’allumais, et tirais une première longue taff. Retenant la fumée dans mes poumons, je fermais les yeux pour en apprécier les effets avant de recracher la fumée doucement. Ca faisait du bien, c’était indéniable, et en cet instant je me demandais comment je faisais pour ne pas être totalement accro.
Rouvrant les yeux, j’observais alors le lac. On sentait déjà le froid arriver à grand pas, rien que le matin l’herbe commençait légèrement à geler. Les plus frileux avaient déjà sortis le kit complet de ski – euh, d’hiver pardon – tandis que les autres se couvraient juste un peu plus. Et moi dans tout ça ? Oh, moi je n’étais pas normale comme fille. J’étais encore en jupe, mes jambes nues ne souffrant aucunement du froid qui s’installe, tandis que j’avais une simple chemise blanche à moitié rentrée dans la jupe en haut. Et n’oublions pas la cravate de Serpentard desserré pour compléter la tenue de débrailler. De débrailler fou, puisque ma tenue vestimentaire ne changeait pas vraiment entre maintenant et l’hiver complet. Bon, je mettais un pull pendant que les autres mettaient des doudounes. La base quoi.
Pour résumer, je ne craignais pas vraiment le froid. Ni même le chaud d’ailleurs. En été j’avais plus chaud que les autres, mais je n’en souffrais pas non plus. Mon corps pouvait être bizarre des fois, mais bon, je ne m’en plaignais que rarement.

« Yo Racaille ! Bien ? »

J’en étais à la moitié de ma clope lorsqu’une voix me tira de mes pensées. Je tournais paresseusement la tête vers la provenance de la voix, et j’eus un sourire amusé en constatant que c’était Lawrence qui était venu s’en griller une. Ce qui m’amusait le plus, c’était qu’il était bien plus habillé que moi. D’ailleurs, il était bien plus habillé que la plupart des gens de Poudlard. Pauvre petit gryffondor qui craignait le froid. J’avais presque de la peine pour lui. Presque.
Pourquoi m’appelait-il racaille ? Oh, il ne fallait pas vraiment chercher midi à 14h pour trouver la réponse. Rien qu’à ma façon de parler aux autres et à chercher des merdes, cela suffisait pour me placarder « Racaille » sur le front. Mah, je ne me considérais pas tellement comme ça. Je connaissais des personnes qui étaient bien plus racailles que moi et qui créaient bien plus de problèmes. Fort heureusement pour Poudlard, ce n’était que des moldus.

« Quoi ??? J'interromps un truc ? Un moment solennel face au lac ou est-ce que t'as trouvé ton prince charmant en la personne du Calamar Géant ? »

Sur le coup je ne comprenais pas. Et puis je me rendis compte que je ne lui avais pas répondu. Quoi ? Faut dire ce qu’y est : des fois je répondais pas aux gens, mais ce n’était pas forcément par manque de respect. Souvent, c’était juste que j’oubliais d’ouvrir ma bouche et de faire fonctionner mes cordes vocales – ça sert pour le son nop ?

« Ouais, il s’appelle Bob et on allait tester une nouvelle position sexuelle japonaise avant qu’tu débarques. Même si j’te sens bien en bon spectateur. »

Je lui adressais alors un sourire narquois avant de reprendre une taff. Bien sûr, je plaisantais. Je n’avais pas vu l’ombre d’une créature dans le lac depuis que j’ai débarqué sur ses berges – ou bien je ne l’avais pas vu car je pensais à autre chose – et même si cela avait été le cas, je doutais d’être adepte de coucherie avec un calamar. Rien que l’image qui me venait en tête suffisait à me faire frissonner de dégout.
Je finis ma clope, l’écrasant sur l’arbre pour l’éteindre avant de mettre le mégot dans ma poche. Non pas que ce soit pour l’environnement que je faisais cela, simplement c’était pour éviter de me faire choper. Alors autant mettre les mégots dans des poubelles où personne n’aura l’idée de fouiller.

« Une autre ? Profite c'est moi qui régale. »
« Eh bien, m’sieur aime participer à mon futur cancer ! » lui répondis-je tout en lui en piquant une.

Bah oui, même si j’avais un cancer à la clé, je ne pouvais pas refuser ce qu’on me proposait aussi gentiment. Bon, s’il m’avait proposé gentiment de faire zizi panpan dans l’herbe histoire de se réchauffer par ce début d’hiver, j’aurais dis non. Quand même, il y avait plus confortable ! (/PAN/).

« T’aurais pu mettre plus de vêtements quand même, s’en devient indécent. »

Une autre petite pique concernant sa tenue vestimentaire hivernale. Il n’allait pas le prendre mal – enfin, s’il le prenait mal c’était un petit joueur, je pouvais faire pire – alors je me permettais de le charrier. Sortant mon briquet, je m’allumais ma deuxième clope tout en tirant la première latte avec plaisir.

« Alors, toi aussi tu t’cherches un Calamar-d’amour ? »
code by lizzou — img/gifs by TUMBLR — 1 195 WORDS.

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