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drôle d'endroit pour parler ► chuck e. bowman
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Message(#) Sujet: drôle d'endroit pour parler ► chuck e. bowman drôle d'endroit pour parler ► chuck e. bowman EmptyMer 5 Oct - 11:48

drôle d’endroit pour parler

- Chuck E. Bowman -

Ces toilettes n' étaient pas un décor quelconque, remplaçable à volonté, mais une réalité donnée et poétique.



Nous étions jeudi. Dieu, que je commençais à détester les jeudis. Pourquoi ? Je devrais être contente de pouvoir avoir sortilèges puisque je pouvais ainsi profiter de la magnifique compagnie du Professeur Winslow qui, j’en étais certaine, adorait les petites marques d’affection que je lui témoignais.
Après tout, tout le monde aimait se sentir aimer, non ?
Enfin bon c’était bien l’un des seuls cours intéressant de la journée. Le matin j’ai eu Potions avec la merveilleuse (*tousse tousse*) et magnifique Burgess. D’ailleurs elle devrait se sentir flattée que le matin – étant habituellement debout de bonne heure – alors que j’avais du temps à tuer, j’avais bossé un peu les potions. Quand même. Je devenais de plus en plus sérieuse – si on mettait de côté toutes les conneries que je faisais durant mes activités extrascolaire, je pensais notamment à ma récente sortie à Pré-au-lard avec Maël après le couvre feu. Mais bon le fait d’avoir bossé les potions ne m’a pas empêché de me rater sur quelques points – à croire que ce que j’essayais d’apprendre était une perte de temps. Ou alors j’avais la merveilleuse manie d’apprendre des trucs qui n’étaient pas au programme – ou tout simplement pas encore étudié. Un peu comme pour la magie informulée. Etant redoublante et adorant les sortilèges et les défenses contre les forces du mal, j’avais quelques facilités – pour ne pas dire que c’était d’une simplicité enfantine. Ainsi je prenais un peu d’avance sur le programme de l’année des 6èmes, puisque je m’ennuyais ferme en cours – sauf en cours de sortilèges car au moins je pouvais me rincer l’œil.
Bref, passé ce cours particulièrement chiant, j’eus donc droit au cours de sortilèges, puis au cours de métamorphose. En soi, ce cours était plutôt sympatoche, mais je n’aimais pas trop la prof donc c’était assez compliqué de suivre en cours. Alors que j’aimerai bien pouvoir le garder l’année prochaine car c’était un cours de pratiques, et j’aimais bien la pratique. Je n’étais pas trop mauvaise mais mon manque d’attention me jouait souvent des tours donc on ne pouvait pas dire que je sois très productive.
Le problème de cette journée était que le soir, genre, vers minuit, j’avais cours d’astronomie. Et je détestais les cours d’astronomie, genre, c’était bien un cours que je ne regretterai pas en 6ème année. Ça, et aussi le cours d’histoire de la magie. Et d’arithmancie. Et botanique. Ce qui fait qu’en gros l’année pro’ j’aurais plus que 5 cours – si je les réussissais aux BUSEs. Bon je ne me faisais pas d’inquiétudes sur le vol, les défenses contre les forces du mal et les sortilèges, mais pour ce qui était de métamorphose et potion... c’était bien plus compliqué.

Sortant d’ailleurs du cours de métamorphose du 4ème étage, j’étais encore plus blasée et ennuyée qu’à mon levée ce matin. Genre, j’aimerais bien sécher le cours d’astronomie quoi, là, tout de suite, puisqu’après tout j’avais pas vraiment l’intention de la garder comme matière – hihi.
Mais à vrai dire là je n’y pensais plus trop, puisque durant tous le cours de métamorphose je fus saisie de crampes et de douleurs abdominales particulièrement horrible. C’était comme si quelque chose tentait de sortir en faisant gonfler toujours plus mon bidou si plat auparavant. Ça s’trouve c’était même un alien venu nous coloniser en se reproduisant avec nous !
Quoiqu’avec mes gênes il seraient mal barré quand même. Pi. J’m’en souviendrais si j’avais couché avec un alien aussi ! On ne peut pas dire que ce soit le summum du sex-appeal. ‘fin après je juge pas les gens qui aiment hein mais bon, c’pas mon genre quoi. J’préférais le genre humain – mais j’suis pas raciste hein ! Faut pas croire !

Je sais ce que tu te demandes. Mais qu’est-ce qu’elle bave c’te fille ? C’quoi c’truc qui lui fait si mal au bide ? (Bon en vrai j’sais que tu t’en fous mais j’m’en fou que tu t’en fous (bref)). Eh bien j’vais te le dire ! C’est quelque chose de véritablement extrêmement suprêmement important. Pire que des secrets d’état confidentiel. Car oui, en effet, voici ce qui m’a tracassé durant tout le cours et encore même maintenant : j’avais envie de faire pipi. J’avais tellement envie que c’tait limite si je ne faisais pas dans ma culotte quoi – ou dans un coin sombre de Poudlard ça marchait aussi.
Sauf que j’avais trop de fierté pour ça. Tellement de fierté que j’ai préféré entrer dans les chiottes des mecs plutôt que de descendre au deuxième pour trouver le confort des toilettes des nanas.
J’eus le mince espoir qu’il n’y ait personne, mais comme tous les espoirs : il était vain. Bon dans l’fond j’avais tellement envie que j’m’en foutais un peu des gens qui pouvaient être là, mais j’devais dire m’estimer chanceuse de tomber sur Chuck : le zgeg à l’air, l’air fier de lui. T’as qu’à faire des « pfious pfious » et des commentaires sur la guerre incroyable entre une canalisation et de l’urine tant que t’y es Bowman !

« Oh salut Chuck ! » Bawi autant être un minimum polie dans la vie même si l’urgence voulait exploser dans mon ventre. « Tu m’excuseras j’ai une commission à faire. »

Tout en parlant je me suis dirigée vers les toilettes, m’enfermant dans l’une avant de baisser jupe et culotte d’un geste sec pour pouvoir déverser le liquide chaud et salvateur droit dans le trou. Et en suspension s’il vous plait, après tout on est chez les mecs, c’toujours crade la cuvette chez eux !
Je poussais un soupire de soulagement alors que je finissais mon petit plaisir naturel. Le débit fut fort, et donc assez rapide pour mon plus grand bonheur : je n’avais pas envie de rester une éternité en suspension au dessus de chiottes merdiques. M’essuyant donc, je tirais la chasse – tiens, y’avait la possibilité de tirer la chasse chez les mecs ? Pourtant ils ne savent pas trop comment s’en servir... – avant de me rhabiller et de sortir.
Remettant ma chemise dans ma jupe avec ma grâce habituelle – c'est-à-dire, sans aucune grâce – je me dirigeais vers les lavabos, pas du tout gênée par la présence de Chuck. Après tout, la pudeur, c’est tellement after quoi !

« J’espère que tu te laves les mains après ça ! » repris-je en faisant couler l’eau.

Quoi ? Non je ne jouais pas les mères couveuses, pas du tout. Enfin les mères surprotectrices, ‘fin, j’sais plus comment on dit. BREF. Je n’étais pas sa mère. Mais j’aimais bien faire chier. Alors bon... voilà quoi. J’avais même limite envie de lui dire de tirer la chasse une fois sa commission finit – doux son qu’il n’a pas du entendre souvent.
Passant mes mains sous l’eau, j’en profitais en même temps pour éclabousser légèrement Chuck, histoire de lui mettre en tête l’idée qu’il était sale.
Bawi, c’est évident, c’est sale un mec ! Ca s’lave 1 fois par mois et ça connait pas les règles d’hygiène élémentaires (*tousse tousse* mauvaise foi *tousse tousse*).

« En tout cas j’avais imaginé le gryffon un peu plus imposant. A moins que les températures plus basses ne lui ont pas permis de sortir les griffes ? »

Comment faire référence à son pénis de façon subtile : mode d’emploi. Bon je n’étais pas un as de la subtilité – beaucoup doivent d’ailleurs être d’accord avec ça – mais bon j’devais dire que ça me faisait bien rire tout ça. Cela se voyait d’ailleurs très bien avec mon sourire amusé plaqué sur ma face.

« Mes rêves ont été brisées ! » finis-je avec une intonation dramatique dans la voix, montrant bien l'ironie de mes propos.

Après tout, c'était pas mon genre de rêver de zgeg. Ou alors j'm'en souviens pas.
Autant ne pas s'en souvenir d'ailleurs !

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Dernière édition par Ashley M. Rosenbach le Lun 16 Jan - 8:17, édité 1 fois
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Message(#) Sujet: Re: drôle d'endroit pour parler ► chuck e. bowman drôle d'endroit pour parler ► chuck e. bowman EmptyLun 10 Oct - 8:24


Drôle d'endroit pour parler.



Aujourd'hui nous sommes jeudis, et je dois l'avouer, c'est une de mes journées préférés, pourquoi ? Tout simplement parce que je n'ai pas cours, cette année j'ai abandonné les cours de Botanique parce que les fleurs et les plantes c'est pas mon truc, franchement ça ne me manque pas de toute manière je crois que la prof ne m'aurait même pas acceptée dans le cours, j'étais trop nul, comme je l'ai dit, la botanique c'est vraiment pas mon truc. La métamorphose c'est autre chose, je trouvais ça intéressant, mais bon après tout j'ai fais 5 ans de métamorphose, j'ai appris bien des choses et je crois que j'en avais assez, c'est vrai, changer un rat en verre ça va me servir à quoi ? Et la divination c'est pire, la matière que je trouve la plus inutile, je ne vois pas comment on peut lire l'avenir dans une tasse, ni voir un message dans une boule de cristal, pour moi ce n'est qu'un cours où je pourrais m'amuser à commencer des batailles de boules de papiers, pas très efficace, tant qu'à y être je préfère être libre de faire ce que je veux. Du coup j'avais pas eu cours de la journée, parce que ces trois cours étaient les seuls sur l'emploi du temps pour le Jeudi. Et donc j'ai fais quoi ? Ça semble incroyable mais... J'étais à la bibliothèque ! Oui oui, Chuck à la bibliothèque c'est possible, incroyable mais possible. En réalité j'étais à la bibliothèque pour faire des petites recherches. J'aimerais bien trouver certaines informations sur une certaine potion, le Polynectar, mais c'est censé rester secret. Je dois avouer que ce n'est pas forcément facile de trouver ça, mais trouverais un moyen pour m'en sortir.

Peu importe, il est déjà presque 18h et le dîné est bientôt servi, enfin dans une heure, et mon ventre commence déjà à hurler de faim, j'aurais pu m'échapper à Pré-au-Lard pour acheter de quoi me remplir un peu le ventre à Honeydukes mais aussi fou que ça paraisse j'étais trop plongé dans mes recherches, en même temps c'est pour la bonne cause, mais bon maintenant je paie les conséquence, je suis mort de faim. Mais avant d'aller manger il faut que j'aille au toilettes, parce que du coup je n'ai pas pris le temps de passer au toilettes de la journée, et je sens l'envie de pisser m'envahir peu à peu. Alors je monte les escaliers qui bien entendu n'en font qu'à leur tête comme d'habitude. Au passage je salue deux trois portraits, ma bonne humeur prends le dessus, ne pas avoir cours de toute la journée c'est tellement le bonheur. Demain ce ne sera pas pareil, bon, je commence la journée avec défense contre les forces du mal, ça c'est cool étant donné que c'est mon cours préféré, mais après j'ai Potions et Soins aux créatures magiques et c'est pas si cool que ça, le cours de Potions peut autant être hilarant, qu'ennuyant, parfois j'aime bien en secret balancer des ingrédients dans les chaudrons des autres, juste pour voir les dégâts que ça cause, puis si c'est pour énerver la prof, je ferais tout. Bref tout ça pour dire qu'à ce moment même, rien ne pouvait enlever ma bonne humeur. Une fois arrivé aux toilettes je remarque que je suis seul, alors je m'avance vers un des pissoir avant de sortir mon engin et d'enfin me libérer, se retenir toute la journée c'est pas facile, mais je n'avais pas envie de faire allé-retour premier au cinquième étage, juste pour pisser, là c'est simplement un passage avant de monter dans la salle commune des Gryff'.

Ma solitude n'est pas resté longtemps, je suis juste en train de pisser que la porte des toilettes s'ouvre, je ne fais pas attention à qui rentre, de toute manière ça ne m’intéresse pas, je suis de bonne humeur, et ça pourrait même être Duke qui vient d'arriver ça ne me ferais rien du tout. Mais à ma grande surprise j'entends une voix féminine derrière moi, je dois avouer que je ne m'attendais aucunement à cela. Mais bien entendu, quelle fille rentrerait dans les toilettes des garçons sans se soucier de quoi que ce soit ? Personne d'autre qu'Ashley ne ferait ça, alors mon sourire s’élargit encore un peu plus, cette fille est vraiment extra.

« Salut Ash' ! Mais ne te gêne pas, fais toi plaisirs ! T'as rien trouvé d'autre pour avoir mon attention que venir dans les toilettes des mecs hein ! » dis-je amusé par son comportement, s'il y a quelqu'un qui n'est pas gêné ici, c'est définitivement Ashley, de toute manière depuis que je la connais je ne l'ai jamais vraiment vu embarrassée, ce n'est pas vraiment un de ses traits de caractère dominant. J'ai même pas le temps de rajouter quelque chose qu'elle s'est déjà éclipsée dans une toilette et j'entends déjà le débit de son besoin, elle était sûrement plus proche des toilettes de garçons que celles des filles et a donc décidé de venir ici, ce que je comprends, quand on a vraiment envie de pisser on pourrait le faire partout. Deux secondes plus tard la voilà déjà ressortie, elle a fait plus vite que moi alors que je suis arrive avant elle, tout vas bien. Au moment ou elle vas vers le lavabo pour se laver les main je range mon engin, tire la chasse et me tourne encore souriant vers elle, décidément cette bonne humeur commence à faire peur. Au moment ou elle me demande si je me lave les mains je rigole, non non je ne me lave pas les mains et je vais manger du poulet avec mes mains sales pourquoi ? « Heureusement que j'me lave les mains ! Pourquoi tu as ce préjugé comme quoi les mecs c'est sale n'est-ce pas ? » dis-je en tirant la langue au moment où elle décide de m'éclabousser. Ah oui d'accord, elle veut jouer ? On va jouer. Quand elle me sort sa remarque sur mon ''gryffon'' je rigole d'avantage, elle a rien trouvé d'autre que de dire ça pour avoir mon attention ?

« Oh tu n'as rien vu chérie ! » remarquais-je avec le sourire, je sais qu'elle ne vas pas apprécier ce surnom, c'est pour ça que j'le dis, tout pour l'emmerder ! « Je sais que tu rêves sans arrêt de moi! » dis-je en insistant sur mon ton taquin en ajoutant un clin d’œil. Puis je m'avance vers le même lavabo qu'elle et mets mes mains sous l'eau à mon tour. Et comme je n'ai pas oublié qu'elle m'a éclaboussé, je remplis mes mains d'eau discrètement et d'un coup sec je lui jette tout dessus. « Fallait réfléchir avant de vouloir m'éclabousser ! » acclamais-je d'un ton faussement méchant.

Bon d'accord j'y suis allé un peu fort, les filles détestent qu'on les mouille, mais bon Ashley n'est pas comme tout le monde après tout, c'est vrai, qui irait pisser dans les chiottes des mecs sans se poser de questions ?!



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Dernière édition par Chuck E. Bowman le Sam 28 Jan - 5:21, édité 1 fois
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Message(#) Sujet: Re: drôle d'endroit pour parler ► chuck e. bowman drôle d'endroit pour parler ► chuck e. bowman EmptyVen 21 Oct - 15:12

drôle d’endroit pour parler

- Chuck E. Bowman -

Ces toilettes n' étaient pas un décor quelconque, remplaçable à volonté, mais une réalité donnée et poétique.



Je m’étais donc incrustée dans les toilettes des garçons, pour un besoin plus qu’urgent. J’aurais très bien pus croisé tous les mecs les plus à même de me mettre mal à l’aise, je m’en foutais clairement, totalement, purement, exponentiellement (quoi, ça veut rien dire ? Moi j’dis « fuck la logique wesh ».). Cependant, à la place de trouver par exemple... ouais nah j’avais pas vraiment d’exemple de mecs embarrassants à donner. BREF. Je trouvais donc Chuck. Certainement une chance d’ailleurs, puisque Chuck n’était pas comme un de ses p’tits cons qui sillonnaient le monde et le gouvernaient.

« Salut Ash' ! Mais ne te gêne pas, fais toi plaisirs ! » avait-il dit sur un ton amusé et naturel.

Pour ça, je l’aimais beaucoup. Car il était comme moi. Un parfait je-m’en-foutiste, et aussi, pas tellement pudique puisqu’il ne prit même pas la peine de masquer un peu son engin – quoique sa main la tenait suffisait à la cacher au vu de sa taille ! (#mauvaisefoimoded’emploi). Il rajouta, par la suite, que j’étais venue exprès dans les chiottes puantes et crades de ces êtres vaguement humanoïdes qu’étaient les mecs, simplement pour attirer son attention. Cette remarque me fit lever les yeux au ciel avec un sourire amusé, alors que je me dirigeais vers une toilette vide.

« Ne prends pas tes rêves pour la réalité, Bowman ! » lui répondis-je par-dessus mon épaule avant de fermer la porte.

C’était limite si je ne l’avais pas fermé à clef. Après tout, je doutais que quiconque à Poudlard tenterait quoique ce soit sur ma personne sous peine de représailles bien pire qu’un séjour aux enfers. Faut dire, je n’aimais pas trop qu’on me pousse à faire quelque chose – pire encore, qu’on me viole ! (Bien que je doute qu’une fille apprécie cela de toute manière) – donc il était logique que ma vengeance soit terrible. Pire que terrible, elle serait dévastatrice !
Une fois ma savoureuse affaire finie – enfin savoureuse, je ne gouterai pas pour savoir quel gout cela pouvait avoir – je sortis donc des toilettes pour me laver les mains, sortant par la même occasion une petite pique sur le fait que les mecs étaient des crades.

« Heureusement que j'me lave les mains ! Pourquoi tu as ce préjugé comme quoi les mecs c'est sale n'est-ce pas ? »
« Car vos chiottes sont sales ! Vous ne relevez pas la lunette des chiottes pour pisser, notamment. »

Bien évidemment cela était dis sur le ton de la plaisanterie, et mon sourire ne faisait que confirmer cet état de fait. Bien que le fait que leurs toilettes étaient sales n’était pas spécialement un mensonge destiné à le faire chier.
Bien qu’à vrai dire, même chez les filles, c’était assez sale.
Je finis en l’éclaboussant tout en « insultant » la taille de son pénis. Bien évidemment, quand il était au repos, il ne pouvait pas vraiment donner fière allure – même les vierges savaient ça – mais c’était bien trop tentant de l’attaquer sur son intégrité physique. Les mecs avaient tendance à pas mal se vexer sur ce sujet. Mais bizarrement, Chuck ne devait pas être un mec normal puisqu’au contraire, il prit ma remarque pour de la rigolade. Eh mais j’étais sérieuse ! Ah moitié...
Il n’empêche, ses remarques me firent sourire et soupirer d’une fausse lassitude – particulièrement dut au petit surnom qu’il m’attribua (beurk). Ah la la, les mecs et leur fierté ! Chuck n’échappait pas à la règle : ils aimaient tous avoir de l’attention d’une fille. Quoique encore fallait-il que la fille ne soit pas trop dégueulasse quand même, et je me savais un minimum potable pour attirer quelques mecs. Malheureusement, pas les meilleurs, au vu de ce qu’il s’était passé avec Ivan.
Tss, c’était pas le moment de penser à Ivan.

« T’aimerais bien, que je rêve de toi, Chucky-... »

A peine eussé-je terminé ma phrase que je me reçus une trombe d’eau, en pleine sur la figure et sur ma chemise. Rho, le coquin ! Ah on était rancunier à ce que je vois, bouclette-man ! Malheureusement pour toi, je l’étais aussi !

« Hey ! » criai-je de surprise alors que je me recevais l’eau. Observant ma chemise trempée, j’imitais – très mal je devais bien l’avouer – un air de reproche pour gronder Chuck. « Et voilà, je suis toute mouillée ! Regarde mon haut ! Avoues, tu voulais le tremper pour pouvoir voir mon soutif, sale coquin ! »

Bon, c’était mouillé, mais pas au point où mon soutif était bien bien bien visible comme dans les concours de t-shirt mouillés dans les bars – non, je ne parle pas d’expérience (*tousse tousse*). Légèrement quand même, mais pas assez pour bien se rincer l’œil si tel avait été son intention !
D’ailleurs, je profitais que mon robinet coule toujours pour envoyer de nouveau de l’eau sur le gryffondor plusieurs fois d’affilé, montrant bien à quel point ma vengeance pouvait s’avérer terrible. D’ailleurs je mouillais aussi pas mal le sol, mais osef, après tout, on était chez les mecs !

« Goutes à ma vengeance ! » repris-je sur un ton de méchants de dessin animé pas crédible du tout.

Je lâchais un petit rire alors que je l’éclaboussais, bien malgré moi. Cette situation était comique, et je devais bien l’avouer, elle m’amusait pas mal. Et puis, avec Chuck, j’avais moins l’impression de devoir me forcer à être ce que je ne suis pas. Bien qu’à vrai dire, je me permettais souvent de faire des choses avec les autres que le commun des mortels ne ferait pas – comme par exemple se déshabiller devant une foule bourrée sous une musique dubstek pour se changer.
Prise dans mon élan, voilà que je fis l’empotée de service. Ça ne m’arrivait pas souvent – d’ordinaire – d’être l’empotée de service, mais là, on pouvait dire que c’était un cas exceptionnel. Que s’est-il passé ? Oh, rien de grave. J’ai simplement glissé sur l’eau qui était par terre, lamentablement. Je perdis l’équilibre, et alors que je tombais en avant, mon premier réflexe fut de m’accrocher à Bowman telle une demoiselle en détresse sauvée par son prince charmant.

« Et voilà, c’est ta faute ! » l’accusais-je alors que je me remettais bien sur mes deux pieds. Ah bah oui, toujours accusé les mecs dans ces moments-là. « Toujours à faire des bêtises celui-là ! »

J’avais pris un ton faussement accusateur agrémentée d’un ton de reproche pas très crédible. Le tout était donc sous l’ambiance de la plaisanterie. Bien évidemment, je ne lui en tenais pas rancune pour ma glissade – car oui, rappelez-vous, c’est sa faute – ni pour ma chemise trempée, mais bon, c’était toujours drôle de l’embêter. Après tout, il avait osé me donner un surnom ! C’était impardonnable !


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Dernière édition par Ashley M. Rosenbach le Lun 16 Jan - 8:17, édité 1 fois
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Message(#) Sujet: Re: drôle d'endroit pour parler ► chuck e. bowman drôle d'endroit pour parler ► chuck e. bowman EmptyMer 2 Nov - 8:23


Drôle d'endroit pour parler.



Moi qui voulait tout simplement pisser avec de descendre manger, j'ai été surpris à voir Ashley débarquer dans les toilettes des garçons, mais bon je n'ai pas été très étonné parce qu'elle est si imprévisible que c'est le genre de truc normal pour elle. Puis moi, je m'en fout, c'est pas parce qu'elle débarque alors que je suis en train de pisser que je vais me mettre à avoir honte, moi honte ? Jamais, encore moins avec Ashley. Celle-ci réagit d'ailleurs à ma remarque m'indiquant de ne pas prendre mes rêves pour une réalité. Sa remarque me fit légèrement rigoler, c'est sur, je rêve toute les nuits qu'une certaine brune débarque dans les chiottes des mecs pour pisser à côté de moi, c'est tout ce qu'il y a de plus normal d'ailleurs je souhaite à tout le monde de faire ce genre de rêve... Haha grosse blague.

Après qu'elle ait finit de pisser, chose qu'elle a fait plus vite que moi d'ailleurs je me demande si c'est humain de pisser aussi vite, m'enfin bref, une fois finit elle s'est lavée les mains avant de décider de m'éclabousser. Et Ashley enchaîné sur un ton de plaisanterie comme quoi nous sommes sales car nous ne relevons pas la cuvette des chiotte, mais en même temps on s'en fout un peu nous en général on en a pas besoin, puis ici c'est les toilettes des mecs quoi.

« J'veux pas dire mais bon tu te pleins alors qu'en attendant c'est toi qui a squatté les chiottes des mecs j'te rappelle ! » dis-je d'un ton légèrement provoquant.

Bah quoi c'est vrai, si elle voulait pisser dans des chiottes où c'est propre elle avait qu'à aller jusqu'aux toilettes des filles hein ! Quoique, je suis presque certains de les toilettes des filles ne sont pas forcément plus propre, j'imagine même pas comment ça doit être quand elle ont leur... ''problèmes de filles''. J'pense pas que j'irai squatter les toilettes des filles moi, parce qu'une fille qui débarque dans les chiottes des mec ça peut passer, mais l'inverse ? Je me ferais incendier ! Sauf s'il s'agit d'Ash, mais encore une fois ce n'est pas pareil. Sa remarque sur mon engin ne m'avait vraiment touchée, en même temps je doute que madame en sache énormément sur ça, enfin je ne sais pas mais je n'ai jamais vu Ash vraiment proche d'un mec, bon après c'est aussi possible qu'elle ait couché avec quelqu'un juste comme ça, un coup d'un soir, mais encore une fois j'en doutais quelque peu. Mais Ashley enchaîne avec une nouvelle remarque qui me fait sourire. Non mais c'est quand même elle qui a commencé a parler de rêves, comme quoi ils ont été brisés. Mais je ne lui ai même pas laissé le temps de répondre que je lui ai lancé une bonne masse d'eau sur la gueule, bim, vengeance, pourtant c'est connu que je suis quelqu'un de rancunier et que je me venge toujours, elle aurait du s'en douter ! Du coup son haut se retrouve trempe, et le blanc, c'est transparent, alors sur un ton de reproche, qui sonnait parfaitement faux, elle commence à se plaindre, puis a dire que j'ai fais ça uniquement pour voir son soutif, cette dernière remarque me fait bien rigoler et je lui montre bien.

« C'est pas comme s'il y avait grand chose à admirer... » dis-je pour me venger de sa critique sur mon engin, bien sûr c'était pour déconner, je m'en foutais qu'elle m'ait dit ça et je m'en foutais encore plus si je voyais son soutif ou pas, après tout ce n'est pas le plus intéressant chez elle.. Ok j'arrête. Mais du coup elle se venge à son tour pour l'eau, eh mais moi c'était déjà une vengeance ! On ne vas pas s'en sortir si on se venge toute les 5 secondes ! La serpentard me jette de l'eau, mais pas qu'une fois, pas deux non plus, plusieurs fois d'affilée, sans répit ! Mon haut est totalement mouillé, peut-être pas trempe, mais bien plus que celui d'Ashley... Du moins avant qu'elle ne m'éclabousse parce que comme elle n'est pas douée elle en a mis partout, pas que sur moi. En effet son haut était encore plus mouillé et je ne parle même pas du sol, il faudrait mettre un panneau 'attention sol mouillé (si vous voulez vous plaindre adressez vous à Rosenbach. ) '.

« Goutes à ma vengeance ! » dit-elle d'un ton qui me fait exploser de rire, magnifique Ash, on aurait dit un film dessin animé avec le méchant qui doit pas être trop trop méchant pour ne pas faire peur aux petits. Mais la brune se prends à son propre jeu, et ni une ni deux, voilà qu'elle glisse sur le sol trempe et qu'elle tombe en avant, bien entendu elle ne pouvait pas tomber en arrière et se sent obligé de s'accrocher littéralement à moi ce qui manque de me faire perdre l'équilibre et je me sens partir, mais non, on arrive à se tenir. Après ce petit incident Ash ose m'accuser comme quoi c'est de ma faute qu'on se retrouve dans cette situation ridicule.

« Ma faute ? Non mais tu te fous de moi j'espère, t'avais qu'à pas m'éclabousser en première et puis... » dis-je d'un ton faussement contrarié. Mais je n'ai pas le temps pour finir ma phrase qu'un mec entre dans les chiottes. Je reste figé, je n'imagine pas qu'est-ce qu'il se passe dans la tête du mec, en plus c'est un petit, je ne sais pas quelle année, certainement deuxième, un truc comme ça. Mais déjà, il voit une fille dans les toilettes des garçons, mais en plus de cela la fille en question s'est accrochée au grand bouclé alors qu'ils sont tout les deux trempes et que le sol baigne d'eau. J'ai eu un moment de doute, est-ce qu'il va dire quelque chose ? Faire quelque chose. Mais il semble plutôt déboussolé, alors je décide de prendre la parole. « T'as jamais vu ça avoue ! » dis-je en essayant de ne pas exploser de rire, cette situation est plutôt gênante et ça me donne trop envie de rigoler. « Tu m'étonne, c'pas de ton âge ce genre de choses ! » dis-je encore une fois à deux doigts d'exploser de rire. Ok, c'est ridicule, surtout qu'on est pas non plus l'un sur l'autre par terre -ça a faillit arriver cependant- mais bon, ma remarque a été assez flippante aux yeux du petit et il sortais déjà des toilettes. Une fois la porte fermée je me retourne vers Ash et à ce moment je rigole de plus belle. Y'a que nous pour nous retrouver dans une telle situation, mais en même temps c'est ce que j'aime chez elle, c'est qu'ensemble on a le don de toujours se retrouver dans les pires situations. « T'as vu sa tête juste avant qu'il parte ? On aurait dit qu'il venait de voir sa vie défiler devant soi, c'est un fragile quand même sérieux, y'a rien de choquant dans notre.... Situation.» dis-je encore rigolant. Bon d'accord, c'est très bizarre, puis la présence d'une fille a du le choquer aussi. Bref, je suis totalement trempe et c'est plutôt désagréable, du coup - sans arrière pensées du tout, non, non – j'enlève mon haut, c'est pas que mais ça colle ! Alors je l'enlève et l'essore au dessus du sol, au pire il est déjà trempe alors ça sert à rien de l'essorer au dessus du lavabo. J'ignore à moitié Ash, après tout je ne suis pas à poil, j'ai juste enlevé mon haut qui était bien trop trempe pour le garder et je devais quand même éviter de tremper mon pantalon alors le minimum était d'essorer mon haut.... Mais si là quelqu'un rentrait je pense que la situation serait encore plus drôle.

« Bave pas trop surtout Ash' ! » dis-je sur le ton de la rigolade, bah quoi j'peux bien rigoler, c'est pas comme si j'avais un corps moche hein. Bon, j'arrête parce que sinon elle va se mettre torse nue elle aussi et j'en ai déjà assez vu de son soutien-gorge pour aujourd'hui je crois.



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Dernière édition par Chuck E. Bowman le Sam 28 Jan - 5:21, édité 1 fois
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Message(#) Sujet: Re: drôle d'endroit pour parler ► chuck e. bowman drôle d'endroit pour parler ► chuck e. bowman EmptyDim 20 Nov - 12:04

drôle d’endroit pour parler

- Chuck E. Bowman -

Ces toilettes n' étaient pas un décor quelconque, remplaçable à volonté, mais une réalité donnée et poétique.



Et voilà que je me mettais à cracher sur la qualité et la propreté des toilettes des mecs. Bah quoi, ceci n’était-il pas vrai ? Que les mecs étaient des crados, s’entends. Bon, qu’on se le dise, je n’étais pas spécialement regardante sur la propreté, dans l’ensemble. Pour ne pas dire que chez mes vieux, c’était certainement moi qui foutais le plus de bordel. Mon père tente en vain d’essayer de faire pire, mais bon, avec ma mère qui nous engueulait pour les saletés qu’on laissait spécialement pour elle, on ne pouvait pas dire qu’il soit très chaud pour foutre encore plus de bordel. Tout ce dont j’espérais, c’était que je finirais avec un mec qui savait faire le ménage, sinon on vivrait dans une porcherie. J’engagerai certainement ma mère, tiens.
Tout ça pour dire que je ne disais cela que pour charrier un peu Chucky. Bon, j’avais quand même des notions d’hygiène, d’où la remarque sur le fait de se laver les mains après, mais pour le reste, j’devais dire je m’en fichais. J’étais passée mettre dans le pipi en suspension. Dans tous les cas, le gryffondor ne se laissa pas démonter, en soulignant le fait que même si je me plaignais, j’avais quand même profité de l’hospitalité masculine.

« Un besoin n’attend pas, jeune Padawan. »

Comprendrait-il la référence ? Des fois j’oubliais que la plupart des élèves étaient des sorciers ignorants sur le monde des moldus, et donc sur la culture cinématographique. Bon, quand même, j’estimais que Star Wars était un film assez connu pour que les sorciers en aient eu vent, mais bon, bref, de toute manière, je m’en fichais un peu qu’il comprenne ou non. Dans le dernier cas, ça me ferait sentir plus intelligente que lui, de toute façon !

Les choses s’enchaînent assez rapidement. Moi faisait une petite allusion à la taille de son engin, lui se vengeant en m’éclaboussant, moi me la jouant faussement aguicheuse en parlant de mes seins. Petits, mais pas trop. Au moins, ce n’était pas du A (= inexistant). Je ne m’en plaignais donc pas.

« C'est pas comme s'il y avait grand chose à admirer... »

Je pris alors une mine faussement indignée, la main sur le cœur, en le regardant d’une façon outrée. Bien sûr, tout ceci était faux, je me fichais pas mal que les mecs aiment ou non ma poitrine – dans tous les cas, c’était pareil. Et aussi, ne pas avoir une grosse poitrine m’évitaient d’avoir les regards un peu trop déviants des mecs. M’enfin, j’estimais que si jamais je devais avoir un mec, ma poitrine devra lui plaire telle qu’elle.

« Je suis... choquée ! Profondément choquée ! Tu me choques Bowman ! »

Faute d’avoir des répliques plus awesomes que celles-là, je me mis alors à l’éclabousser généreusement en signe de vengeance. Tellement généreusement que j’en fis même profiter le sol et mon propre t-shirt. Ceci ne faisait pas vraiment partie de mon plan, qui, sur le coup, me semblait aussi approprié que diaboliquement génial – eh oui, l’action me fit bien rire. Il ria aussi, surtout lorsque je prononçais avec grandiose que je réclamais vengeance. Enfin, jusqu’à ce que je glisse lamentablement et que je me réceptionne sur lui, qui, fort heureusement, avait un meilleur équilibre que moi. Bien évidemment, je l’accusais de tous mes problèmes – voir même de tous les problèmes du monde – car la mauvaise foi fait partie de mes attributions. Et il ne manqua pas de tenter de se défendre verbalement parlant, mais fut interrompus par l’arriver d’un jeune homme dans les chiottes.
Tournant ma tête dans sa direction, j’observais sa réaction avec un sourire amusé. Le pauvre gosse semblait particulièrement choqué face à la scène qui se jouait sous ses yeux : moi, une fille – jusqu’à preuves du contraire – accrochée à Chuck, un mec – là aussi, jusqu’à preuves du contraire – dans les toilettes et complètement trempées. Tendancieuse, cette scène ? Hm, pour un enfant de son âge, certainement, pour moi c’était pas assez. Bien qu’il est vrai que sorti de son contexte, cela pouvait prêter à confusion. Genre, on aurait put croire que je m’apprêtais à emballer sec Bowman. D’ailleurs, je finis par m’éloigner du corps du jeune homme tandis que celui-ci s’employa déjà à faire fuir l’intrus, ce qui ne fit que déclencher une petite crise de rire chez moi.

« T'as vu sa tête juste avant qu'il parte ? On aurait dit qu'il venait de voir sa vie défiler devant soi, c'est un fragile quand même sérieux, y'a rien de choquant dans notre.... Situation. »
« Grave ! » repris-je une fois ma crise passée. « C’pas comme si nous avions été en train de nous emballer et de nous dessaper. »

Ah bah tiens, en parlant de dessapage, v’là que m’sieur enlève son haut, au calme, comme s’il était solo dans les chiottes. Je lève un sourcil en le regardant essorer son t-shirt trempé, faisant fonctionner ses muscles avec une virilité toute nouvelle – bon ok, j’exagérais. Il ne manqua pas d’ailleurs de me lancer une petite pique, qui m’arracha un sourire amusé. C’est vrai, il n’était pas mal foutu, mais mauvaise foi oblige, je ne pouvais pas en rester là.

« Hm... » fis-je, songeuse en me rapprochant de lui, le regard fixé sur son torse. « Quelle belle petite brioche ! » lançais-je alors, tandis que je prenais un pan de sa chair dans ma main pour montrer la p’tite brioche qui se profilait. « Tu devrais te mettre au sport toi si tu veux me rattraper ! » repris-je en levant mon haut pour montrer mon ventre.

Une dernière petite pique qui allait bien. Bon, il n’était pas gros, simplement j’aimais bien le faire chier, tout comme il aimait bien me faire chier. Enfin, s’il réussissait à trouver une brioche dans mon ventre, il était fort, car je faisais des abdominaux et des tractions matin et soir depuis plusieurs années, alors bon...

« Tu permets ? J’aimerais essorer mon haut, aussi. »

Oui oui, je lui demandais clairement de se retourner pour que je puisse me mettre torse nu. Fait tout à fait étrange sachant que je n’étais pas la fille la plus pudique de l’univers – je me sentais capable d’être en sous-vêtement devant tout Poudlard, alors bon... Simplement, mes parents avaient tenté à maintes reprises de m’inculquer qu’il fallait quand même un peu protéger mon corps des regards indiscrets, et après ce qu’il s’était passé l’année dernière avec mon presque-viol, je me forçais de plus en plus à me couvrir.
Enfin bref, de toutes les façons, je tournais le dos à Chuck, histoire d’être sûre qu’il ne voit pas ma poitrine – où il n’y avait pas grand-chose à voir, d’ailleurs, c’était ses propos en plus ! –, puis j’enlevais mon haut pour l’essorer loin de mon corps. Je tentais d’enlever le plus possible l’eau pour éviter d’attraper du mal, puisque je ne pouvais pas me pavaner torse nu dans Poudlard, moi.

« D’ailleurs, » continuais-je alors que j’essorais toujours mon haut. « Je te défie de me faire 20 pompes ! »
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Message(#) Sujet: Re: drôle d'endroit pour parler ► chuck e. bowman drôle d'endroit pour parler ► chuck e. bowman EmptyVen 2 Déc - 18:45


Drôle d'endroit pour parler.



Ashley avait donc décidé de critiquer la propreté des garçons, c'est sur les mecs sont parfois bordéliques, moi le premier, ma chambre est toujours un bordel, enfin à ma maison, ici je ne passe pas beaucoup de temps dans cette partie du château alors je n'ai pas vraiment le temps de mettre le bordel, je préfère passer mon temps dans le salle commune, et au moins là, les elfes s'occupent de tout ranger pendant la nuit, même si j'évite de la mettre par dessus dessous, de toute façon ici il suffit d'un coup de baguette pour ranger, à la maison c'est interdit. Ashley finit par faire une remarque faisant référence à Star Wars ce qui a le don de me faire sourire, c'est pas avec tout le monde qu'on peut parler de ce genre de film moldu ici, mais moi j'ai vu tout les films dans mon enfance, c'est ça d'avoir un père moldu.

« Oh ça va, pas besoin de te prendre pour maître Yoda ! » dis-je en tirant la langue.

Mais comme on est pas des gens normaux tout les deux, on s'est mis à s'éclabousser, et pas qu'un peu, en fait on s'est retrouvé les tee-shirts trempés du coup j'ai fini par faire une remarque sur son soutien-gorge, du moins ce qu'il est censé caché, répliquant à sa critique de mon ''gryffon'' comme elle l'avait appelée. Bien entendu j'en ai un peu rien à faire de la taille de poitrine des filles, à vrai dire je m'en préoccupe pas vraiment, je pense qu'il y a plus important chez une fille, parce que sinon on irait pas très loin. Mais du coup la brune prit une mine outrée, comme si je venais de lancer le plus grand juron interdit qui puisse être, mais je savais que ce n'était pas pour de vrai, en même temps elle aurait l'air stupide si elle réagissait comme ça dans la vie de toute les jours, car sa tête m'oblige à me mordre la lèvre pour ne pas rigoler et garder mon sérieux dans cette situation qui l'est d'autant plus.

« Je suis... choquée ! Profondément choquée ! Tu me choques Bowman ! » dit-elle encore en gardant son air ahuri, je ne peux m'empêcher que de lâcher un rire, mais très maintenu avant de passer mes mains dans mes cheveux en levant le regard au ciel, sacré fille quand même.

« Comme si t'en avait quelque chose à faire Rosenbach ! » dis-je alors d'un ton indigné qui laissait paraître le sarcasme dans toutes cette situation. Et en deux seconde, voilà que la brune avait glissé et s'était retrouvée par terre. Je ne pouvait empêcher l'éclat de rire qui émanait de ma bouche, c'était bien trop épique comme situation. Et bien sur il fallait toujours couronner se genre de moment par quelque chose de bien plus drôle : un p'tit gars qui débarque dans les toilette, totalement déboussolé par la situation, il avait l'air de ne pas comprendre ce qu'il se passait, alors je me suis fait une joie d'augmenter le drame et de bien exagérer afin qu'il nous laisse tranquille, puis c'était bien trop drôle pour le laisser sortir sans rien dire. Tout cela nous a donc laissé tout les deux à rigoler un bon moment, se moquant de la réaction du petit et Ashley n'hésita pas à ajouter quelque chose à ma remarque qui me fit sourire davantage. En effet il y aurait pu avoir pire comme situation.

Les rires commençant à se calmer je décidais finalement par enlever mon haut tout naturellement, n'étant pas vraiment pudique et je commence à essorer mon tee-shirt lançant une petite remarque à Rosenbach, sachant qu'elle n'en resterait pas là je gardais les yeux sur mon tee-shirt mais avec un regard ouvert, prêt à voir toute réaction de mon amie. En effet elle se rapproche de moi et d'un coup sec chope mon ventre de ses fines mains en faisant une remarque sur ma ''brioche'' comme elle le dit si bien, ce qui a le don de me faire arquer un sourcil. J'ai l'impression qu'entre nous il n'est pas possible de faire une vanne sans que ça déclare la guerre de la vengeance, on est en permanence en train de se lancer des pics et de jouer les gens faussement choqués ou vexés, c'est un peu une habitude avec elle, mais une habitude qui ne me déplaît pas.

« Tu devrais te mettre au sport toi si tu veux me rattraper !  » dit-elle de son air tout fier et tout content ce qui m'oblige à hocher la tête en signe de désespoir, c'est qu'elle ne s'arrêtera vraiment jamais celle là. C'est vrai qu'elle n'avait vraiment rien d'autre qu'un ventre plat et de la peau dissimulant certainement des muscles, mais de mon côté je n'avais pas grand chose à me reprocher non plus alors je ne me souciais pas trop de sa remarque, je sais qu'elle ne peut s'en empêcher, mais j'avoue que moi aussi, j'ai du mal à me retenir. « T'es obligé de te la péter hein ! » dis-je alors avec un ton faussement agacé tout en laissant un très long soupir, très exagéré.

Mais madame a décidé de faire ça pudique et soudain me demande subtilement de me tourner pour ne pas l'observer pendant qu'elle suive mon mouvement, s'est à dire qu'elle enlève son haut. Qu'est-ce que je disais ? Elle serait capable de se mettre torse nue -enfin presque- aussi, je ne me trompais donc pas. Alors pendant une fraction de seconde je prends le même air outré qu'elle avait tout à l'heure et m'éloigne un tout petit peu d'elle. « Alors comme ça madame est pudique d'une seconde à l'autre ? » dis-je un sourire en coin tout en la voyant se tourner, je fais alors de même pour qu'on se retrouve dos à dos, parce qu'après tout je la respecte, je ne vais pas mater son dos, ce n'est qu'un dos après tout je ne suis pas un garçon de 10 ans qui découvre un corps de fille pour la première fois, enfin en tout cas pas un dos.

« Dis donc t'as confiance, qui te dis que je n'aurais pas un élan d'envie de me tourner et me retrouver face à toi rien que pour mieux voir ton magnifique ventre si bien entretenu ? Enfin, seulement ton ventre, rien d'autre hein bien sûr ! » remarquais-je en exagérant mes propos alors que je finissais d'essorer mon haut qui me semblait désormais dépourvu d'eau, même s'il reste trempé et soudain en regardant ce haut je me dis que nous sommes deux personnes extrêmement stupides et que ce n'est pas pour rien qu'on ait des parents moldus, du moins à moitié pour moi : nous n'avons même pas pensé à utiliser un sortilège pour dégager l'eau de nos hauts. Mais au moment où je voulais lui faire partager cette pensée plutôt ironique, elle m’interromps soudain, toujours dos à moi. « Je te défie de me faire 20 pompes ! » Alors là, un grand sourire s'affiche sur mon visage, c'est qu'elle commence à lancer des défis maintenant la Rosenbach. Instinctivement je me retourne vers elle, ayant zappé sa moitié nudité mais comprenant très vite mon geste je laisse mon regard fixer le sol. Je serais capable de faire des pompes, quand je suis chez moi je vais souvent à la salle de sport, en tout cas l'été, j'aime bien me dépenser autrement qu'avec le Quidditch, et j'aime le sport, alors j'ai une forme physique assez bien, mais faire 20 pompes comme ça sous l'ordre de la brune me paraît bien trop ennuyant, alors ne pouvant pas me retenir je m'adresse de nouveau à Ashley le sourire aux lèvres, les défis et moi ça me connaît, mais la fierté veut évidemment en faire trop. « Pff tu mets la barre basse... J'parie que je pourrais même faire des pompes avec toi sur mon dos ! » Faux. Totalement faux. Elle a beau avec un ventre plat et ne pas être très lourde et faire 15 bon centimètres de moins que moi, je ne pourrais pas faire plus d'une pompe avec un corps tout entier sur mon dos, je veux bien être sportif mais faut pas abuser ! Mais maintenant que je me suis lancé dans ça, je crois que je n'ai pas d'échappatoire.



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Message(#) Sujet: Re: drôle d'endroit pour parler ► chuck e. bowman drôle d'endroit pour parler ► chuck e. bowman EmptyMer 21 Déc - 20:00

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- Chuck E. Bowman -

Ces toilettes n' étaient pas un décor quelconque, remplaçable à volonté, mais une réalité donnée et poétique.


Semble-t-il que Chucky avait un minimum de culture – et de bonnes cultures, même si je devais dire ne pas être une très grande fan de Star Wars, au vu de tout l’engouement du reste du monde, je supposais que cela entrait dans la catégorie des « cultures cinématographiques obligatoires ». Un peu comme Titanic quoi. Tout le monde a regardé mais personne n’assume, et tout le monde préfère dire qu’il déteste ce film alors qu’ils ont chialé comme des madeleines quand le mec a préféré couler plutôt que de partager le radeau avec la meuf. Ouais c’est con, et j’ai pleuré face à tant de conneries (c’est ironique bien sûr, le fait d’avoir pleurée). Même si bon, à la place de la fille, je l’aurais laissé couler aussi. J’aime bien m’étaler. Et c’est toujours mieux quand c’est dramatique. Comme Luke et Leia se roulant une bonne grosse galoche alors qu’ils sont jumeaux. Hilarant.
Bref, tout ça pour dire que le bouclé avait saisi la référence, et lorsqu’il me tira la langue, je lui rendis la politesse. Ah bah oui, je suis très polie comme fille. On me fait un fuck, je fais un fuck. On crache, je crache. On me frappe, je frappe. Bon ça m’arrive aussi de lancer moi-même les salutations. Et d’ailleurs les gens étaient étrangement polis eux aussi puisqu’ils me les rendaient bien, mes salutations. ENFIN BREF.
Et puis les choses dégénérèrent. La salle fut inondée comme si Mimi Geinarde avait fait un bain de toilette dans les cuvettes des mecs, histoire de mater un peu le matos avant de faire une fixette sur quelqu’un et le suivre jusque dans ses cauchemars. Pauvres hommes. C’était dans ces moments-là que je remerciais le Ciel de ne pas m’avoir donné de pénis.
Nous nous retrouvâmes bien rapidement complètement trempé, et Chuck en profita pour enlever son haut. Attention, monsieur à ôter la chemise ! Je suis certaine qu’il l’a fait exprès en espérant me voir fondre d’admiration pour son torse viril, histoire qu’on fasse des galipettes dans les toilettes – en vérifiant que Mimi n’était pas là pour nous espionner. Enfin bon, avec nos caractères respectifs, il allait falloir attendre encore pour les galipettes, car pour le moment tout ce dont on faisait c’était se lancer des perches pour se foutre de la gueule de l’autre ou le rabaisser. Ou l’insulter. Bref, se dire des mots doux quoi. Je n’imaginais pas ce que ces mots doux peuvent devenir pendant l’acte...

« T'es obligé de te la péter hein ! »
« T’as tout compris Chucky. »

En vérité il était rare que je me la pète, comme il le dit si bien. Mais pour déconner par contre, c’était assez plaisant de me donner des chevilles plus grosses que ma propre tête. Cependant, malgré tout, je restais trempée pendant que monsieur s’était déjà débarrassé d’un poids mouillé (après le poids mort, voici le poids mouillé, by Ashley !). Alors c’est tout naturellement que je lui demandais de se tourner, ce à quoi il eut l’air surpris, et outragé. Et je m’en foutais royalement.

« Alors comme ça madame est pudique d'une seconde à l'autre ? »
« Monsieur aurait-il préféré que je me déshabille devant lui en mode stripteaseuse avec un air imaginaire de Lady Marmelade ? » répliquais-je une fois retournée.

Encore une référence moldue, et cette fois-ci je n’étais vraiment pas certaine qu’il connaisse cette chanson. Mais dans le pire des cas, ça ferait une honte en moins. Car ouais, quand même, je connaissais des chansons étranges. Il faut dire que quand tes vieux mettent cette musique à fond pendant leurs ébats, et en boucle, tu finis par l’apprendre par cœur. Ouais, ça dur longtemps, leurs ébats.
J’essorais donc mon haut tandis que Chuck reprit la parole, sur la possibilité d’être en vérité un prédateur sexuel fétichiste des nombrils. Je ne pus m’empêcher de rire face à ces paroles toutes plus débiles les unes que les autres. Il fallait vraiment être con pour sortir des paroles comme ça. Et fallait être encore plus con pour les suivre.

« J’suis sûre tu meurs d’envie de te retourner pour toucher mon magnifique ventre, monsieur le pervers ! »

Oui et non. Je n’étais pas vraiment sûre. Après tout, Bowman avait beau être un garçon, j’avais du mal à le cerner parfois. Là où des garçons ne se seraient pas gênés pour se rincer l’œil voir tenter de toucher, lui il détournait les yeux. A croire qu’il a été castré médicalement et qu’il ne ressentait aucune attraction sexuelle pour personne. C’était possible, d’ailleurs. Je n’en serais pas tant étonnée.
Faut dire qu’à partir du moment où t’as vu un de tes potes porter un déguisement d’éléphant bleu en courant dans les rues de Londres tout en criant « JE SUIS MAIA L’ABEILLE », plus rien ne t’étonne.

Et puis, comme on pouvait s’y attendre, la situation dégénéra encore plus lorsque je défiais Chuck de faire des pompes. Oui, là, tout de suite, faire des pompes pour me prouver que monsieur était capable de faire du sport. Et d’avoir éventuellement les abdos qu’il n’avait pas (*tousse tousse*). Je m’étais d’ailleurs retournée sans vraiment m’en rendre compte, et lui en avait fait de même, pouvant ainsi admirer l’élégance de mon nombril. Ce qu’il ne fit pas, préférant admirer le sol comme si c’était la 8ème merveille du monde. Cela me fit sourire d’ailleurs. Quel brave petit Chucky.

« Le sol est attrayant Bowman ? » lui lançais-je pour le taquiner.

Simplement pour le taquiner. Je ne savais pas pour lui, mais je n’étais pas spécialement pudique, alors qu’il me regarde ou non à moitié dénudé, je n’en avais cure. Libre à lui de lever les yeux ou de les garder baisser, dans tous les cas cela ne changerait rien pour moi !

« Pff tu mets la barre basse... J'parie que je pourrais même faire des pompes avec toi sur mon dos ! »
« Ah ouais ? Vraiment ? » m’exclamais-je avec un faux air outragé. « Ok l’athlète, mets toi en position et je m’assois sur toi en suivant. »

Il l’avait cherché, qu’il n’aille pas pleurer sa mère dans un coin paumé des ruelles malfamées après ça. Alors j’attendis qu’il se mette à terre avant de lâcher mon t-shirt – oubliant complètement de me rhabiller – avant de m’assoir confortablement sur le dos de Chuck, attendant de voir jusqu’où il irait avant de s’effondrer lamentablement sur le sol, écrasé par ma superbe présence.
Je paris sur une.
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Dernière édition par Ashley M. Rosenbach le Lun 16 Jan - 8:16, édité 1 fois
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Message(#) Sujet: Re: drôle d'endroit pour parler ► chuck e. bowman drôle d'endroit pour parler ► chuck e. bowman EmptyLun 2 Jan - 20:07


Drôle d'endroit pour parler.



Je ne sais pas pourquoi c'est obligé de partir en couille quand nous sommes ensemble Ashley et moi. Après l'épisode du, je viens faire pipi dans les chiottes des garçons alors que je suis une fille, et du , j'accuse les garçons d'être sales... Ce que je n'ai pas trop pris à cœur évidemment, voilà que nous nous retrouvons à nous éclabousser et à nous tremper de partout tel des... Tel des gamins oui, il faut le dire. On s'éclabousse comme quand on a 8 ans et qu'on veut se venger de sa pote, bah là c'est pareil, parce qu'on veut tout les deux avoir le dernier mot et du coup on finit par se retrouver littéralement mouillés de la tête aux pieds... Le sol des toilettes recouvert d'une fine couche d'eau qui ferait trébucher n'importe quelle personne qui ne fait pas trop attention. D'ailleurs j'adorerais qu'un professeur rentre et se casse la gueule, ça serait tellement drôle à voir. Mais bon d'un autre côté peut-être qu'il vaudrait mieux éviter qu'un professeur entre dans ce chaos total. On a même finis par faire des références moldues avant qu'Ash confirme qu'elle est toujours obligée de se la péter comme je l'ai dis. Évidemment je sais qu'elle n'est pas comme ça, sinon je ne la supporterai pas au quotidien !

Après ça je me suis enlevé la chemise, parce qu'après tout c'était vraiment mouillé et je ne voulais pas choper la pneumonie, même si il ne faisait pas encore trop trop froid, il était plus judicieux d'essorer mes affaires, mais à mon grand étonnement -vous remarquez l'ironie- Ashley décide aussi d'enlever son haut, mais dos à moi attention. D'ailleurs je n'ai pas hésité à lui lancer une remarque sur sa pudicité soudaine, sans vraiment d'arrière pensée, n'importe qui peut avoir sa sphère privée et je le conçois bien, même si je doute qu'Ashley soit la plus pudique de l'école.

« Monsieur aurait-il préféré que je me déshabille devant lui en mode stripteaseuse avec un air imaginaire de Lady Marmelade ? » dit-elle une fois retournée. Je ne peux m'empêcher de laisser échapper un rire mais me reprends très vite au sérieux pour répondre cette fois-ci différemment. « Oh j'en aurais rêvé ! Tu as découvert mon grand désir ! » dis-je sans cacher l'ironie dans ma voix. Non pas que j'ai quelque choses contre les striptiseuses ou contre ce genre de musique moldue sexy, mais bon je pense pas que ce soit, ni l'endroit, ni le moment adéquat pour ce genre de choses. Mais j'en restais pas là, décidément les références sexuelles était de sortie aujourd'hui et je me faisais passer pour un... Amoureux des ventres disons cela comme ça.

« J’suis sûre tu meurs d’envie de te retourner pour toucher mon magnifique ventre, monsieur le pervers ! » me répond-t-elle. Encore une fois je ne peux m'empêcher d'échapper un rire mais moins fort, juste parce que j'ai l'impression qu'à chaque fois que Rosenbach ouvre la bouche c'est pour dire une connerie, mais le pire c'est que l'en rajoute encore plus avec mes conneries à moi.... Heureusement qu'on est entre nous. « Oh, je ne me permettrais pas quand même ! » dis-je finalement avant de me concentrer à nouveau sur comment essorer ma chemise sans réfléchir à toutes les stupidités qu'on se raconte. Ce qui est drôle avec la serpentard c'est que quoi qu'il en soit, je crois que j'ai jamais vraiment besoin de réfléchir avant de parler, parce que j'crois que n'importe quelle remarque ridicule ou débile, sera répondue par quelque chose d'encore plus stupide ou insensé, alors je ne me sens jamais.. Dévalorisé avec elle, juste un peu con mais bon, c'est ce qui est drôle. Mais soudain elle me défie aux pompes et je me retourne vers elle tout en gardant le regard au sol, j'veux dire, j'ai du respect tout de même, enfin, un minimum quoi ! Mais apparemment elle prend ça à la légère et me fait une remarque sur ça. Alors je relève le regard et fixe ses yeux sans ciller, j'suis pas comme tout les mecs qui en auraient profité pour se rincer les yeux en observant son corps, non pas que je n'ai aucune attirance pour une fille ou quoi mais j'm'en fout quelque peu. « Plus attrayant que toi Rosenbach. » dis-je alors en accompagnant ses paroles d'un clin d'oeil.

Sauf que là je pars en couille et je dis quelque chose que je n'aurais pas du, et voilà que je vais devoir faire des pompes avec Ash sur moi... Je sens que ça va tourner en catastrophe toutes cette histoire. « Ok l’athlète, mets toi en position et je m’assois sur toi en suivant. »
Ok, je ne peux vraiment, vraiment pas retenir un sourire là, parce que quand on y réfléchi une seconde cette phrase... « Sorti de son contexte ta phrase elle est très... Enfin bon j'ai rien dis ! » ajoutais-je avant de me mettre au sol prêt à faire des pompes.

Une fois en position je sens la présence d'Ashley sur mon dos s'alourdir peu à peu, jusqu'à ce qu'elle ne bouge plus et je sens déjà que c'est carrément foutu pour faire plusieurs pompes, mais par fierté, il faudrait que je réussisse au minimum à en faire deux, deux petites ça ne vas pas me tuer. Du coup je commence, j'en fais une, les dents serrées, le poids d'Ash est là, mais ça passe, j'ai pas l'impression qu'on m'arrache les muscles des bras. La remontée fut plus chiante, mais je tiens le coup, du coup je me lance pour une deuxième pompe qui est déjà bien plus compliquée, je ressens le manque de sport depuis le début de l'année et je regrette de ne pas m'être entraîné tout les jours, juste pour ce moment là. Mais un miracle, je crois que ça s'appelle la fierté personnelle, m'a fait remonter ma deuxième pompe et là je me dis, pourquoi pas une troisième ? Alors je descends lentement... Mais non, la troisième elle est loin d'être là, mon bras droit me lâche et je m'effondre au sol assez lamentablement. Mais je ne compte pas en rester là, c'est pas pour ça que je vais m'avouer vaincu. Alors, au lieu de rester sur le ventre, je me retourne sur le dos, je ne sais pas comment je m'en sors, mais d'une manière ou d'un autre j'ai réussi, alors qu'Ash était encore assise sur ce-dernier. Mais elle était encore torse poil -ou presque- et je ne me retiens pas de rouler des yeux avant de faire une moue déçue à la brune.

« Peut-être que t'es pas si mince que ça au final... » dis-je d'un ton faussement provoquant. Alors ça, c'est la plus grande mauvaise foi du jour je crois, mais je ne céderai pas, même si j'ai Ashley en soutien-gorge assise sur moi au sol à cet instant même.


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Message(#) Sujet: Re: drôle d'endroit pour parler ► chuck e. bowman drôle d'endroit pour parler ► chuck e. bowman EmptyMar 17 Jan - 10:26

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- Chuck E. Bowman -

Ces toilettes n' étaient pas un décor quelconque, remplaçable à volonté, mais une réalité donnée et poétique.

C’était à croire qu’on était en manque de sexe. Lorsqu’on parlait trop de sexe, c’était qu’on en voulait, non ? Enfin, c’était ce qui se disait. Pour ma part, c’était plus car je trouvais cela amusant, de parler de sexe. Je ne comprenais pas pourquoi c’était un sujet tabou pour la plupart des gens. N’était-ce pas tout ce qu’il y a de plus naturel ? Le sexe, je veux dire. La reproduction – bien que dans notre cas on faisait en sorte de ne pas se reproduire. Tiens, en parlant de cela, depuis l’été j’avais fini par accepter de prendre une contraception orale. Ma mère avait insisté maintes et maintes fois avant, elle voulait presque m’obliger à en prendre lorsque j’eus mon presque-viol, mais c’est finalement l’obtention de ma 16ème année sur cette terre qui finit par induire cette prise de décision. Au cas où, n’est-ce pas ?
Ainsi donc, nous parlions de sexe avec Chuck. Plus exactement, nous rigolions sur ce sujet, plaisantant avec quelque peu de sarcasmes. De quoi parlions-nous exactement ? Oh, simplement de striptease. Tout à fait normal quoi. Qui ne parle pas de striptease ? Surtout que je voyais même très bien Chuck dans un de ces clubs où le plaisir des yeux était au menu, une boite de popcorn dans les mains prêts à commenter ce qu’il pouvait voir. Et étrangement, je me voyais bien avec lui en train de faire la même chose. Ou alors je devais avoir une imagination un peu trop débordante. Ça marchait aussi.

« Une autre fois peut-être le coquin ! »

Bien évidemment je plaisantais. Je n’allais pas lui faire un striptease. J’avais pour principe que je ne ferais ce genre de chose qu’avec mon petit ami. Enfin, si un jour j’en avais un, ce qui n’était pas encore dis. Je me surpris alors à me demander si cela pourrait être Chuck. Ce serait d’une ironie parfaite. Moi, la meilleure amie de Sloane, en couple avec son ex copain, qui lui fait des stripteases.
Mais non, ce n’était pas possible de toute façon. N’est-ce pas ?

Et nous enchainâmes sur mon ventre. Quelle drôle d’idée, de parler de mon ventre après avoir parlé de striptease. N’importe qui qui serait en train de nous écouter parler penserait que nous étions en train de nous tourner autour, et que très bientôt nous serions en train d’arracher nos vêtements tout en nous embrassant contre un mur. Enfin bref, je ne fis aucuns commentaires à sa réponse. Je me rendais bien compte qu’il valait mieux qu’on arrête ce sujet, que l’on passe à autre chose.
Bien que finalement, l’autre chose n’était pas bien mieux.

« Plus attrayant que toi Rosenbach. »
« Je me doute bien Bowman, » répliquais-je avec un sourire narquois.

Je ne me suis jamais considérée comme quelqu’un de jolie. J’avoue ne pas faire spécialement attention à mon apparence, je me foutais bien de ce que les autres pouvaient bien penser de moi. Je me foutais bien que des mecs me trouvaient attrayantes ou horribles. D’ailleurs, à mon grand étonnement, il y en avait pas mal, d’hommes qui me trouvaient jolis. Ce que je trouvais plutôt étrange, sachant que je n’étais pas de celles qui faisait en sorte de plaire aux autres. Je trouvais cela même... incompréhensible. Mais bon.
Et voilà, comme prévu, la situation dégénéra encore. Car oui, effectivement, défier quelqu’un d’aller faire des abdominaux dans les toilettes des garçons torse nu, c’était une situation étrange et qui n’aurait peut-être pas du se produire. Mais cela se produisit. Et ni lui ni moi n’arrêtons ce jeu, d’ailleurs, à croire que nous avions des prédispositions naturelles pour se foutre dans des situations grotesques.

« Sorti de son contexte ta phrase elle est très... Enfin bon j'ai rien dis ! »
« Et après c’est moi la perverse ! Allez mets-toi au boulot toi ! » fis-je en le tapant amicalement à l’épaule.

Bon, c’est vrai qu’en y réfléchissant, ma phrase pouvait très bien avoir un sens beaucoup plus tendancieux en étant sorti de son contexte, mais ça, bien évidemment, je n’avouerai pas qu’il avait raison. Je préférais encore me faire brûler vive. Et puis, c’était bien plus amusant de le faire chier avec ça.
Enfin bon, il finit par se mettre en position, et je m’installais sur son dos le plus confortablement possible pour ne pas perdre l’équilibre. Et le voilà qu’il commençait à faire des pompes. J’avais parié sur une pompe, et c’est bien ce qu’il fit. Avec de la difficulté. Mais ce que je ne m’attendais pas, c’était qu’il en fasse une autre, avec tout autant de difficultés. Il parut tenter d’en faire une troisième... pour finalement s’écraser lamentablement sur le sol. A peine était-il allongé sur le sol qu’un sourire de vainqueur s’installa sur mon visage, puisqu’il venait de prouver qu’il ne pouvait pas relever le défi. Cependant, ce qui me surprit fut qu’il se retourna, se retrouvant sur le dos. Le mouvement m’obligea à bouger moi aussi, et je me retrouvais sans le vouloir assise à-califourchon sur le gryffondor.
J’allais le charrier sur sa nullité flagrante et sur sa brioche qui n’allait pas disparaître par l’opération du saint esprit, mais il me devança avec sa petite moue boudeuse, et sa voix provoquante.

« Peut-être que t'es pas si mince que ça au final... »

Je pris une fausse mine vexée avant de le frapper au bras.

« Saleté ! Dis plutôt que tu veux pas avouer que t’as pas de force ! »

Je le frappais encore une deuxième fois pour me venger, avant de finalement opter pour une vengeance bien plus cuisante : je pinçais ses tétons avec un petit rire diabolique. Oui oui, un rire diabolique, ça faisait très peur. Ou très rire, ça dépendait du point de vue.
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Message(#) Sujet: Re: drôle d'endroit pour parler ► chuck e. bowman drôle d'endroit pour parler ► chuck e. bowman EmptyDim 22 Jan - 23:39


Drôle d'endroit pour parler.



Bon, voilà qu'on a finit par parler de sexe, au moins, on peut. Je suis certain que le trois quart des élèves du château pourraient trouver ça gênant, ou inapproprié, moi je n'y voyais rien contre. Et puis, nous rigolons bien avec Ash, du moins, nous faisons fonctionner notre mauvaise foi de façon spectaculaire en se provoquant l'un l'autre, mais ça, c'est pas nouveau, et ça ne risque pas de changer. Mais Ashley refusa de me faire un striptease, du moins, pas maintenant, ce que j'accompagnais d'un faux soupir désespéré, tentant de dissimuler le rire qui voulait se frayer un chemin hors de ma bouche. Je ne m'attend pas à ce qu'elle m'en fasse un et puis de toute manière, elle n'a plus grand chose à enlever là, enfin bon cette situation commençait à partir de plus en plus en pagaille. Je n'imagine pas la tête de Sloane si elle débarquait, et encore moins si un professeur arrivait là, maintenant, je pense qu'il nous accuserait d'enfreindre le règlement, enfin y'a une règle pour les démonstrations d'affection inappropriée non ? Je ne sais pas vraiment, le règlement c'est loin d'être la chose qui m’intéresse le plus dans ce château, sauf si c'est pour trouver une idée de briser les règles. De toute manière, nous n'étions pas en train de nous embrasser ou quoi que ce soit, en fait on est totalement innocent hein.

Mais alors que je disais à Ashley que le sol est plus attrayant qu'elle, elle me répond de son grand sourire que cela ne l'étonne pas. Évidemment, c'est encore de la mauvaise fois, bien entendu qu'Ashley n'est pas moche, elle est très jolie, il y a pleins de filles belles dans le château, de toute façon, c'est pas comme si je trouve les gens facilement moche, je pense qu'on a tous un peu notre charme... Enfin, il peut y avoir des exceptions tout de même. Mais je ne m'attarde pas sur ça et me contente d'un soupir accompagné d'un léger sourire amusé.

Je disais quoi tout à l'heure ? La situation dégénère systématiquement avec Ashley Rosenbach. Mon dieu mais c'est pas possible de passer un seul moment normal avec elle, si ? Je ne sais pas, j'ai pas l'habitude de partager un moment des plus simple avec elle, la preuve. Enfin bon, comme je le disais, Ash a toujours une idée tordue, et là notamment elle m'a défié de faire des pompes. Quelle idée, je me demande d'où elle sort toujours ces pensées celle là, n'empêche, elle me fait bien rire. Sauf que moi aussi j'ai des idées des plus insensées, et voilà que je dois faire des pompes avec Ash sur mon dos. Parfois, je me dis que je devrais essayer de plus réfléchir avant de parler, d'arrêter d'être aussi direct et d'analyser mes réponses. D'ailleurs, Ashley sort une phrase qui ne peut s'empêcher de me faire froncer les sourcils et je le fait remarquer à Ashley qui me répond que c'est moi le pervers entre nous deux, je rigole, moi pervers ouai. Puis elle m'ordonne de me mettre au travail et je roule une fois de plus des yeux, sacré Rosenbach.

« Tss, qu'est-ce que j'ferais pas pour toi Rosenbach. » dis-je avant de me mettre en position.

Vingt pompes avec une fille sur mon dos... Je suis sportif mais faut pas pousser le bouchon trop loin, a un moment faut savoir trouver nos limites quoi, et là, clairement, les limites sont dépassée, alors je m'écroule à la troisième pompes. C'est pas de ma faute, j'ai épuisé mes énergies à cause de la serpentard, faut comprendre, elle m'épuise quoi ! Du coup, sans réfléchir, je me retourne pour faire face à la brune et fait une remarque boudeuse alors que cette dernière se retrouve à califourchon sur moi. Ok je retire ce que j'ai dis tout à l'heure, si maintenant, un prof entrait, là, ça serait vraiment bizarre, enfin pour lui surtout, pour nous, non... Si ?

Mais ma remarque, comme quoi elle n'est pas si mince, ne semble pas lui plaire et elle réplique de son air faussement choqué que c'est moi qui n'ai pas de force, tout en me frappant le bras je grimace et lui jette un regard noir, enfin j'essaie de le laisser paraître noir, mais je crois qu'on dirait plutôt un regard amusé.

« Eh ! J'ai de la force ! Je ne suis juste pas Hulk... Quoique, même lui aurait du mal avec toi sur son dos ! » dis-je en tirant la langue, j'abuse un peu, mais bon, y'a pas de limite avec Ash, si ? Mais soudain, Ash approche ses mains de mon torse et en un coup, elle me pince les tétons, avec un rire diabolique digne des plus grand films d'horreur. Ou plutôt digne des rires de méchants dans les dessins animés pour gosses. Alors d'un réflexe je repousse ses mains et cache mes tétons avec fausse pudeur.

« Non mais ! J'vais te pincer les tétons moi t'vas voir ! » dis-je avec fureur mais tout en rigolant. C'est totalement paradoxal je sais.

Sauf que non, je ne vais pas lui pincer les tétons, car ça pourrait être assez bizarre, puis bon, notons le fait que c'est une fille alors j'ai pas vraiment accès à ses tétons, à moins de faire disparaître son soutif. Alors j'opte pour une autre option et en criant « VENGEANCE ! » je plante mes doigts dans le dessous des côtes de la serpentard. Les filles craignent cet endroit en général, du moins, je me rappelle, Sloane poussait toujours des cris quand je venais la pincer à ce niveau là, alors pourquoi pas Ash ?


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Message(#) Sujet: Re: drôle d'endroit pour parler ► chuck e. bowman drôle d'endroit pour parler ► chuck e. bowman EmptyVen 7 Avr - 15:08

drôle d’endroit pour parler

- Chuck E. Bowman -

Ces toilettes n' étaient pas un décor quelconque, remplaçable à volonté, mais une réalité donnée et poétique.

Je ne savais pas pourquoi, à chaque situation avec des potes, cela dégénérait. Que ce soit avec Maël, avec Zach ou encore avec Fursy, la situation dégénérait toujours. Et que des mecs, pour la plupart, à croire que j’étais fondamentalement prédisposée à me mettre dans la merde qu’avec des mecs. Il faut dire que les garçons étaient moins prise de tête que les filles. Y’avait moins de faux semblant, moins de coups en traitre, moins de pincettes à prendre. Les filles étaient toujours plus.. chiantes. Simplement plus chiantes. A se préoccuper de leur apparence, de leur parole et de leurs actes – le genre de filles que je détestais. Bon, faisons cas à part de Sloane, quelque chose me disait que dans le fond, c’était un homme. Ce qui voulait donc dire que Chuck était homosexuel.
Tiens, faudra que je le lui ressorte !

Pourquoi je parlais de dégénération de situation ? Oh, tout simplement car j’avais encore une fois la preuve avec Chuck. J’étais juste venue me soulager la vessie et pourrissant les toilettes des mecs – sérieusement, pourquoi ce putain de château de merde n’avait pas des chiottes à chaque étage ? – quand, sans que je le comprenne vraiment, je me retrouve à moitié à pwals au dessus de Chucky qui était lui aussi à moitié à pwals. A croire qu’on entamait des préliminaires en étant totalement shootés à l’eau du robinet – ce qui pouvait être une drogue excessivement dévastatrice, je l’accorde.
Et bien évidemment cela ne s’arrêta pas là, non, il serait même extrêmement étrange que cela s’arrête là. Car voilà, Bowman me traita de grosse, alors je ne pouvais pas rester de marbre face à cette fausse accusation sur mon physique ! Après tout, je restais une fille, même si bon nombre de mes actions et réactions laisseraient penser que j’étais un garçon avec des gros pecs et un micropénis. Gros pecs, pas petits pecs car un pec ne peut pas être énorme non plus. Enfin bref, voilà que je me mets à le frapper. Gentiment bien sûr, je ne le bastonnais pas jusqu’à le faire chialer comme la fillette qu’il était. Quoique... sachant que je me suis mise à lui pincer les tétons, cela voudrait peut-être dire que j’avais envie de le faire chialer. De prendre des photos. Et de l’humilier encore et toujours en lui rappelant ce souvenir magnifiquement génial.
Moi ? Méchante ? Absolument pas ! Simplement chieuse. Et puis, s’il n’apprécierait pas, j’arrêterai. Mais bon, de toute façon, nous n’en étions pas encore là.
Ainsi je lui pinçais les tétons avec force, et il dégagea mes mains d’un geste vif et sec. Je ne m’en offusquais pas. De toute façon, pourquoi en serais-je vexée ? Je venais de lui faire mal sur un point plutôt sensible de son anatomie, à sa place j’aurais déjà mis la misère à la personne qui me pinçait les tétons. Chose dont Chuck me menaça d’ailleurs, et sur le coup j’me suis demandée si par précaution, je ne devrais pas lui foutre un coup dans la gorge d’office. Histoire de le rendre incapable de me faire du mal.

« Je savais que t’étais qu’un pervers Bowman ! »

C’est bon, c’était validé : il était simplement un gros pervers dégueulasse. Je le voyais déjà en vieux crouton à la braguette continuellement ouverte, feignant d’être dans l’incapacité de marcher pour ploter les fesses des femmes qui l’aideront. Par « accident » bien sûr, puisqu’un vieux ne peut pas faire sa consciemment.
Mais alors qu’il avançait ses mains dans ma direction, par réflexe je mis mes mains sur ma poitrine. Ce qui était ridicule puisque ma poitrine était protégée par mon soutien gorge. C’était un réflexe régit par un instinct de survie complètement stupide, je l’accordais – surtout lorsque je me rendis compte qu’il avait avancé ces mains pour... me faire des chatouilles.
Je lâchais un cri de surprise tout en tentant de dégager ses mains. Sauf que mes mouvements furent très imprécis et ne réussirent qu’à me chatouiller d’autant plus. Je me retenais de rire mais mon large sourire et les spasmes de mes épaules étaient très équivoques sur mon humeur du moment. Alors je tentais le mouvement du dernier espoir : je me couchais sur le côté pour sortir du dessus de Chuck et ainsi être loin de ces mains. Sauf que voilà, ce fourbe ne s’arrêta pas là. Ah non monsieur, c’était bien trop facile sinon ! Le jeune homme était bien rancunier, et ne comptait pas s’arrêtait à si bon compte maintenant qu’il avait trouvé l’un de mes points faibles. Je me tordais alors pour tenter d’éliminer de la surface de chatouille en vain. Je me tortillais dans l’espoir de dégager ses mains, en vain là encore.
Jusqu’au moment où un mouvement involontaire de ma part fit que mon genou rencontra les couilles du gryffondor, qui était alors au dessus de moi pour me chatouiller.

Les chatouilles cessèrent bien rapidement tandis que Bowman se jeta sur le côté en protégeant ses couilles tout en grimaçant de douleur. Très vite, une expression horrifiée remplaça mon hilarité précédente, et je me relevais tout en m’approchant doucement de mon ami sans oser le toucher.

« Oh putain ! Désolé, désolé, c’était pas voulu du tout j’suis désolée ! Est-ce que... ça va ? »

Moi, m’excuser ? Ah non, vous devez certainement avoir une hallucination auditive. Moi, m’inquiéter pour ce débile bouclé ? Certainement pas, c’était simplement pour éviter de devoir aller chercher un supérieur et donc de devoir lui expliquer que nous étions en train de jouer à se mouiller, se déssaper et se frapper dans les toilettes des garçons pendant qu’il n’y avait personne, et qu’un malheureux accident était survenu dans son entrecuisse.
Bien évidemment, c’était simplement pour m’éviter d’avoir à subir ça, c’était certain.
M’asseyant sur mes talons, je regardais le corps de Chuck un moment en silence, avant qu’un sourire malicieux se frayait un chemin jusqu’à mes lèvres.

« Tu veux un bisou magique ? »
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Message(#) Sujet: Re: drôle d'endroit pour parler ► chuck e. bowman drôle d'endroit pour parler ► chuck e. bowman EmptyLun 8 Mai - 15:08


Drôle d'endroit pour parler.



Ce qui est agréable avec Ashley c'est qu'elle ne ressemble pas à bien des filles, en fait, il n'y a pas de prise de tête avec elle, quand on se critique, qu'on se chamaille, qu'on s'insulte, on peut dire tout et n'importe quoi on sait toujours que c'est pour rire, c'est jamais sérieux. Évidemment qu'Ashley n'est pas grosse, elle est loin de l'être, elle n'est pas moche non plus. Parce que si elle l'était franchement c'est qu'il ne doit pas y avoir un paquet de jolie filles dans le château ! C'est juste qu'entre nous on peut pas se sortir des compliments gentils, c'est pas dans notre nature ! Bon, évidemment qu'il faut savoir être sérieux parfois, ça peut nous arriver faut pas croire ! Mais la plupart du temps, il y a toujours cette ambiance légère et détendue avec elle qui fait du bien. Je déteste les gens trop nian-nian, le genre de truc où si tu sors une remarque de travers c'est le drame du siècle et qu'il faut sortir un joli petit compliment toutes les cinq minutes. J'exagère un peu mais c'est pour clarifier l'idée. Alors non avec Ash c'est vraiment loin d'être ça, même tellement loin qu'on finit par se retrouver dans des situations plutôt... Etrange, c'est le mot. D'ailleurs c'est bien pour cela que je menace mon amie de lui pincer les tétons, chose que je ne ferais évidemment pas parce que, faut pas abuser, il y a des choses qui ne se font quand même vraiment pas. Mais au lieu de ça je tente une attaque de chatouilles.

Pendant un moment j'avais peur qu'elle ne les craigne pas du tout et que je me retrouve comme un con à trifouiller son ventre, mais la chance est avec moi et la réaction est immédiate. La Serpentard se tord dans tout les sens, gigotant au dessus de moi tentant de retenir son rire, n'assumant certainement pas que j'ai trouvé son point faible. Mais son sourire la trahit et je n'arrête pas, maintenant que je l'ai eue je ne compte plus lui laisser une chance de reprendre le contrôle ! Ni une ni deux la voilà qui se couche sur le côté, tentant d'échapper à mon attaque mais rien n'y fait, je continue sans relâche. Alors qu'elle se tortille de plus en plus je m'approche d'elle pour avoir plus de facilité, et c'est là que ça arrive. Une douleur atroce me prend dans l'entrejambe et j'arrête immédiatement les chatouilles, me jetant sur le côté, mes mains sur mes bijoux de famille. Alors ça, je ne m'y attendais pas, j'espère quand même qu'elle n'a pas fait exprès, je ne lui pardonnerais jamais ! Mais alors que j'ai les yeux fermés cherchant à faire évacuer la douleur je sens qu'Ash s'approche de moi et j'ouvre les yeux, lui lançant un regard tueur avant de voir son expression horrifiée.

« Oh putain ! Désolé, désolé, c’était pas voulu du tout j’suis désolée ! Est-ce que... ça va ? » me demande-t-elle alors, les yeux rivés sur moi, dans ma position recroquevillée.

Après deux respirations je ne peux m'empêcher de laisser un sourire s'afficher sur mon visage. Ashley qui s'inquiète et qui s'excuse ! Dommage que je ne puisse pas enregistrer ça, c'est un moment unique ! Je n'oublierais jamais ces paroles ! La douleur est encore présente -et dieu que ça fait mal- mais ça commence à s'atténuer et je me détend déjà, même si je me sens crispé.

« Ashley Rosenbach qui s'excuse, te soucierai-tu de moi ? Ah, je me régale ! » dis-je un léger sourire malicieux sur les lèvres.

Je ne peux pas lui en vouloir, je la crois si elle me dit qu'elle n'a pas fait exprès, et puis bon après la crise de chatouille que je lui ai fait c'est clair que j'ai mérité une petite leçon -ce que je n'avouerai pas. Mais ce n'est pas pour autant que je vais me priver de charier mon amie. « Oui, ça va, je pourrais peut-être plus faire de gosse mais bon tu m'diras c'est pas trop mon soucis. » finis-je par dire. Honnêtement là je dois dire que l'idée d'avoir un bébé Chuck ça m'horripile un peu alors bon. Mais soudain un nouveau voile arrive sur le visage de Rosenbach et son sourire malicieux en dit long.

« Tu veux un bisou magique ? »

Instantanément un gros sourire s'affiche sur mon visage. J'arrive pas à croire qu'elle vient de dire ça, et c'est moi qu'elle insulte de pervers ? Une fois de plus elle me régale et je ne peux m'empêcher de sourire.

« Si tu me le propose si gentiment... » dis-je en haussant mes sourcils d'un air sérieux. Mais je ne peux garder mon sérieux plus longtemps et je me met à rire et rejeter ma tête en arrière. Je pense que la situation est déjà bien trop étrange et pourtant je sens que y'a eu une chaleur qui m'est montée à la tête en une vague. Mais je masque ça avec mon rire bien entendu. Moi avoir rougi ? Ja-mais.

« Non mais sérieux, tu dis que c'est moi le pervers ? » dis-je alors un sourire moqueur sur mes lèvres. « Tu veux bien t'excuser encore une fois ? » finis-je par lancer avec un regard provocateur.

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