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Destiny leaves its mark | January & Hunter
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Message(#) Sujet: Destiny leaves its mark | January & Hunter Destiny leaves its mark | January & Hunter  EmptyMer 24 Fév 2016 - 12:02




January & Hunter

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Je n’avais absolument aucune foutue raison pour me retrouver au septième étage du château, excepté pour les magnifiques yeux de la belle Anoushka qui allait et venait de sa salle commune. C’était d’ailleurs la raison pour laquelle j’étais là aujourd’hui et je n’avais qu’une seule envie : dégager d’ici ! Croiser une bande d’imbéciles heureux – excepté Anoushka et Phoebe - aux cravates rouges et or et la prof d’étude des moldus qui n’avait rien compris à la vie me tentait moyennement mais j’étais là, un peu comme une âme en peine mais disposant de suffisamment de temps libre avant le prochain cours pour trouver un moyen de me marrer un peu et de faire passer à certains l’envie de rire. Franz était parti avec Aniek et il était hors de question de les suivre constamment. Le petit couple, très peu pour moi, j’avais aussi hésité avec la bibliothèque avant de me rendre compte que je n’avais pas de retard dans mon travail. J’avais donc fait mon choix et je voulais voir Anoushka, ce qui impliquait donc de gravir des marches. La jolie gryffonne allait bien sortir de la salle commune à un moment donné ? Ou y revenir ? Quoiqu’il en soit, je n’étais pas disposé à parcourir tout le château à sa recherche. J’avais de la patience et du temps à perdre …

Au bout d’un certain temps, mon regard se posa sur des élèves sortant d’un cours. Ben voyons ! A défaut de voir la personne que je voulais, je me retrouvais à ruminer en voyant le spectacle que j’avais sous les yeux. « Regardez-moi ces têtes de glands…. » Soufflais-je un peu pour moi-même. Underwood… le super Noel Shiver… l’attrapeuse la plus nulle des jaunes et la préfète tout aussi naze… le roi des imbéciles répondant au nom de Fassbach. Il n’y en avait pas un pour rattraper l’autre et en plus, je constatais qu’ils devaient faire un cours commun à deux années différentes tellement le cours manquait d’intérêt. Les champions. Sans commentaire, je continuais de déambuler parmi les élèves quand mon regard tomba sur quelqu’un. Ma cible du jour… pas que j’avais envie de faire chier en particulier, mais voilà quoi, elle était plus jolie que d’habitude, sûrement grâce à sa coupe de cheveux et je ne pouvais pas m’empêcher d’être tenté à l’idée d’aller la charrier sur le misérable cours qui venait de se terminer.

January Shiver. La reine de la maison des blaireaux, classe, n’est-ce pas ? Je continuais de marcher, me dirigeant vers elle avec la ferme intention de la bousculer volontairement. Ce que je fis quand je parvins enfin à la croiser dans le couloir, tentant un geste totalement hasardeux et innocent. « Oups… corps à corps avec le mode moldu… Mes excuses, belle brune. J’étais en train de réprimer un fou-rire en voyant les têtes dépités à la sortie de votre cours dont je ne citerai même pas le nom. J’avais donc l’esprit un peu ailleurs…. » Je regardais d’ailleurs au même moment le prof passer dans le couloir, à la suite des élèves qui se pressaient dans le couloir, d’autres ayant déjà rejoint les escaliers. La sœur de Snow avait la classe, je ne me le cachais pas mais il était hors de question de l’avouer. Le seul Shiver qui en valait la peine, c’était Snow, point barre. January…. Ouais, elle était sortie avec un Serpent un jour, la seule bonne idée qu’elle n’avait jamais eu, sans doute. Mais elle n’avait pas encore l’esprit assez perverti et pourtant, elle avait à l’évidence le caractère nécessaire. En reportant mon attention sur elle afin d’estimer son taux d’énervement du jour, j’ajoutais bien vite après mes précédentes paroles : « Tu as l’air au bout du rouleau, qu’est-ce qui t’arrive ? » Sa réponse était d’ailleurs prévisible, elle me dirait que m’avoir vu ne l’aidait pas à avoir le moral… je commençais à connaître les gens et à anticiper leurs réactions. J’avais aussi demandé ça suite à une pure invention de ma part. Elle n’avait pas spécialement l’air au bout du rouleau….ou si c’était le cas, j’étais incapable de vraiment m’en rendre compte, mais je voulais l’entendre me dire que son cours passé avait été d’une nullité absolue. Ce qui était très certainement le cas, en toute objectivité.



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Message(#) Sujet: Re: Destiny leaves its mark | January & Hunter Destiny leaves its mark | January & Hunter  EmptyJeu 17 Mar 2016 - 10:14


Hunter & January

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Encore quelques secondes et elle s’endormirait à coup sûr. January avait conservé le cours d’étude des moldus en sixième année parce qu’elle n’avait tout simplement pas besoin de beaucoup travailler, mais au fond ce cours, comme tous les autres l’embêtait plus qu’autre chose. Elle se demandait encore pourquoi ses parents et ses professeurs souhaitaient à tout prix l’obliger à aller en cours alors que ça ne lui servirait absolument à rien pour son futur. Son avenir était déjà tout tracé, elle voulait rencontrer un homme riche, un français de préférence, qu’elle épouserait et elle pourrait ainsi passer le reste de son existence à organiser des réceptions mondaines et à participer à celle des autres dans le seul but de se faire reconnaitre au sein des plus hautes classes sociales. Alors certes, avoir un minimum de culture générale était extrêmement important si elle voulait briller en société et elle se chargeait d’apprendre tout le nécessaire dans les livres qu’elle empruntait régulièrement. Asling avait également commencé à lui enseigner les codes de ces classes sociales qu’elle n’avait pas l’habitude de côtoyer ainsi que la manière d’être, de se tenir et de se comporter en leur compagnie. Ça avait été particulièrement intéressant et maintenant qu’il n’était plus là, January mettait un point d’honneur à réciter intérieurement ses précédents enseignements pour ne pas oublier les précieux conseils qu’il avait bien voulu lui donner. Alors forcément, elle ne voyait pas du tout à quoi ce cours et ceux auxquels elle avait dû s’inscrire pour pouvoir continuer sa scolarité lui serviraient pour plus tard et elle s’en désintéressait complètement. A l’heure actuelle, elle soutenait douloureusement sa tête appuyée sur sa paume de main alors que son coude reposait sur la table devant elle. Autour d’elle, les autres élèves prenaient des notes ou discutaient discrètement entre eux mais pour January, cette fin d’heure était une lutte permanente pour parvenir à garder les yeux ouverts. Le sujet du jour était les véhicules motorisés, autant dire que ce n’était absolument pas passionnant pour la fille un peu trop girly qu’elle avait toujours été. Fort heureusement, son professeur ne l’enquiquinait pas et la laisser somnoler dans son coin pendant les biens trop longues minutes de la fin du cours.

Enfin, après un temps qui lui parut interminable, leur professeur donna le signal du départ, rendant leur liberté à l’ensemble des élèves qui se levèrent dans un joyeux brouhaha. January ne parla à personne et se contenta de ranger rapidement ses affaires dans son sac avant de suivre le flot continu des élèves qui se dirigeaient vers la sortie. Devant elle, la Poufsouffle repéra Callie, son ancienne meilleure amie qui sortait de la classe devant elle. Cette vision lui serra le cœur. Elle ne l’avouerait jamais mais elle lui manquait affreusement, elle aurait aimé retrouver leur complicité, leurs rires et tout ce qu’elles avaient toujours partagé. Mais elle savait que c’était impossible, la Poufsouffle camperait sur ses positions quoi qu’il arrive et January était incapable de supporter la manière dont elle avait été jugée et maltraitée par celle qui aurait dû être le plus grand soutien qu’elle aurait à ses côtés. Certes, la jaune et noir reconnaissait également qu’elle avait mal agi de son côté et elle s’était excusée pour ça lors de leur dernière rencontre, justifiant du mieux qu’elle pouvait ses agissements pas toujours corrects. Sauf que la réponse que lui avait apportée Callie avait été plus que déplaisante pour la jeune femme qui avait entendu des commentaires très déplacés sur la supposée infidélité de son petit-ami désormais décédé ou sur les propres sentiments qu’elle n’avait apparemment pas pour lui, selon sa camarade de chambre et amie. January n’avait pas pu le supporter et la conversation s’était très mal terminée. Depuis, ni l’une ni l’autre n’avait voulu faire un pas en avant et il était tout à fait probable que ça n’arrive jamais. Si au moins la jeune fille avait eu autour d’elle des gens pour la soutenir, peut-être que l’absence de son ancienne meilleure amie aurait été moins douloureuse, mais elle devait bien reconnaitre qu’elle avait perdu ses amis dans toute cette histoire et à part Snow qu’elle voulait régulièrement et Chloé avec qui elle entretenait une relation purement épistolaire, elle n’avait pas beaucoup de contacts avec le monde extérieur. Elle tenait bon, cependant, considérant encore que les choses pourraient s’arranger avec le temps, mais devoir croiser quotidiennement des personnes qui ne voulaient plus entendre parler d’elle tout en gardant la tête haute n’était pas chose facile.

Toute à ses pensées, elle n’aperçut pas Hunter qui avançait vers elle et la percuta légèrement, la forçant malgré elle à s’arrêter. Par réflexe, elle se frotta l’épaule qui n’était pourtant pas douloureuse, prête à entendre une réflexion narquoise de la part du jeune homme sur le fait qu’elle était tête-en-l’air et qu’elle devrait apprendre à regarder où elle mettait les pieds. « Oups… corps à corps avec le mode moldu… Mes excuses, belle brune. J’étais en train de réprimer un fou-rire en voyant les têtes dépités à la sortie de votre cours dont je ne citerai même pas le nom. J’avais donc l’esprit un peu ailleurs…. » Surprenante attitude de la part du Serpentard… Enfin, ce qui était surprenant était qu’il s’excuse de l’avoir percutée alors que January était totalement persuadée que c’était de sa faute mais pour le reste, c’était du Hunter tout craché. Il avait du mal avec tout ce qui n’était pas habillé en vert de toute façon, alors ses critiques ne faisaient plus ni chaud ni froid à la jeune fille depuis bien longtemps. Sa remarque la fit même sourire, elle était presque contente de se retrouver en face d’une tête connue qui n’allait pas lui faire des reproches sur sa capacité à reprendre le dessus après la mort de celui qu’elle aimait. « C’est moi qui suis désolée, je ne regardais pas où j’allais. » Reprit-elle sur un ton enjoué. « Tu sais, je ne pense pas que ce soit le sujet du cours qui pose problème mais rien que le fait que ce soit un cours tout simplement, qu’est-ce que je me suis fait chier. » Ça avait le mérite d’être plutôt honnête, mais l’avis de January n’était absolument pas objectif, tous les cours l’ennuyaient de toute façon, celui-là n’était donc pas pire qu’un autre à ses yeux. Mais au moins, c’était terminé et derrière elle, elle allait pouvoir reprendre sa liberté et peut-être refaire son vernis à ongle qui commençait à tourner de l’œil. Elle avait passé de trop longs mois à ressembler à une loque humaine, elle mettait donc désormais un point d’honneur à soigner son apparence. « Tu as l’air au bout du rouleau, qu’est-ce qui t’arrive ? » Ah bon ? Pourtant, elle se sentait plutôt bien aujourd’hui, elle s’était coiffée, maquillée, apprêtée avec le plus grand soin et elle avait eu l’impression de rayonner en sortant de son dortoir le matin-même. A croire qu’elle ne renvoyait pas l’image qu’elle imaginait, c’était bien dommage. Pourtant, elle aurait juré qu’au moins deux ou trois garçons s’étaient retournés sur son passage depuis le début de la journée. « Ah bon ? Tu trouves ? » S’inquiéta-t-elle sincèrement, un peu surprise par sa remarque. « Pourtant ça va, je t’assure, je passe même une journée formidable… Mais je te retourne la question, ça m’étonne de te voir ici… Tu veux rejoindre le cours d’Etude des Moldus ? Tu t’es perdu ? » La deuxième option était forcément la bonne connaissant Hunter, il n’y avait pas moyen qu’il cherche à s’intéresser à cette matière. Jamais.

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Message(#) Sujet: Re: Destiny leaves its mark | January & Hunter Destiny leaves its mark | January & Hunter  EmptyMar 29 Mar 2016 - 22:00




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Il me fallait une excellente excuse pour traîner dans cet endroit du château et Anoushka était sûrement la seule que je pouvais sortir pour justifier ma présence ici…. Rien dans cette aile du château ne valait le coup d’œil, à commencer par la salle commune des rouge et or (beaucoup moins stylée que la notre), sans parler de la salle de classe maudite où l’on enseignait l’étude des moldus. Étude.des.moldus. Études de quoi au juste ? La chère prof présentait-elle aux élèves un petit moldu dans une cage comme il aurait été possible de le faire pour un animal ? Étude de leur manière de se nourrir et de se reproduire ? Étude de l’évidente infériorité par rapport aux sorciers ? A quoi bon insister sur le clivage assez cruel dont nous étions responsables d’alimenter au quotidien ? Incompréhensible, ridicule et même parfaitement risible, de mon point de vue. Ma présence au septième étage me permettait de voir qui avait décidé de suivre ce cours et me donner d’éventuelles billes pour faire chier mon monde en soulignant l’absence d’intérêt de ce cours et, ainsi, l’évidence de l’envie de certains de lécher le derrière d’un prof pour avoir quelques faveurs. A quoi cela servait-il sinon ? Sincèrement… Fassbach était un lèche-botte et je n’avais aucun doute là-dessus, tout comme le fait qu’il était nul, mais étais-je vraiment le seul à m’en rendre compte. Heureusement qu’il y avait des petits plaisirs pour les yeux comme January Shiver que j’avais repérée à la sortie du cours. Mignonne la sœur Shiver !! Me ferais-je tuer par Snow s’il savait que j’avais eu cette pensée ? Whatever, comme dirait l’autre. January était mignonne et elle aurait bien tort de ne pas en profiter. Et si Anoushka me voyait en train d’éventuellement essayer de flirter avec la jolie sœur Shiver ? Autant vous dire que je voyais d’avance les foudres me tomber dessus… mais zut, quoi de mal à s’amuser un peu ? Le coup classique de la bousculade dans le couloir m’était venu en tête et j’avais engagé les « hostilités » sans plus attendre. J’aimais bien January, estimant qu’elle n’était pas aussi minable que la plupart des personnes appartenant à la maison des blaireaux mais soit… mauvaise pioche, elle avait quand même quelques arguments très décevants à son actif.

A la voir sourire, je haussais les sourcils, surpris de ne pas l’entendre grogner pour le manque d’attention dont j’avais fait preuve (volontaire, j’aimais jouer avec le feu). Un sourire gratuit et offert gracieusement. J’étais irrésistible, j’allais bientôt pouvoir le lire noir sur blanc dans ses yeux à la p’tite Poufsouffle. Ses paroles n’étaient pas plus négatives et me firent sourire à mon tour. J’étais un super acteur, capable de bousculer les nanas sans me faire engueuler et j’étais bien fier de moi. « Ne t’excuse pas va, tu ne pouvais pas mieux tomber… j’ai senti le frisson que tu as eu à mon contact Shiver, ça restera entre nous ! » Je haussais les sourcils d’un air mi-provocateur, mi-taquin avant de balayer mes paroles d’un geste de la main en arrêtant (un peu) mes conneries. Je m’approchais ensuite de la jeune femme, glissant un bras autour de ses épaules avant de tendre l’oreille en disant : « Quoi ? Pardon ? Tu t’es fait chier à ton cours ? C’est comme ça que commence la prise de conscience. Le cours est emmerdant, tu te noies dans tes pensées pour te rendre compte que le sujet du cours est une véritable blague …. » J’échangeais un petit regard avec la jeune femme avant de m’écarter et de croiser gentiment les bras, écoutant ce qu’elle avait à me dire ensuite. Un nouveau sourire se dessina alors sur mon visage quand elle prit de nouveau la parole :
« Nan, je ne trouve pas vraiment, tu es mignonne, tu le sais très bien. Mais je voulais que tu t’énerves pour avoir une occasion de pouvoir te consoler…tu vois. » Cette fois-ci, je riais sincèrement avant de reprendre « Je déconne… une journée formidable ? Tant que ça ? Qu’est-ce qui rend ta journée aussi belle ? Ne me réponds pas l’étude des Moldus, je vais tourner de l’œil. Pour ma part, loin de moi l’idée de m’approcher de ce nid à cafards…sans vouloir te vexer. L’idée de pouvoir étudier les moldus m’a toujours échappée, je dois bien l’avouer. Les petits moldus ont fait l’objet de quelle étude, aujourd’hui ? » Je l’interrogeais du regard avec un petit sourire en coin avant d’avouer l’objet de ma présence ici : « Je cherchais un bel oiseau dans les parages… et j’attends avec patience les cours suivants puisque je suis en avance sur tout ce que les profs nous ont gentiment ordonnés de faire. Mais….. je peux aussi être perdu si tu as subitement envie de m’aider à retrouver mon chemin. » Pauvre January, le mode lourdingue n’était pas supportable pour bon nombre d’élèves, surtout les nanas, bizarrement ; et elle semblait préalablement contente de me voir. Cette situation allait-elle durer ? Je ne savais pour combien de temps j’allais profiter de sa compagnie, mais pour être honnête, j’étais content de voir le deuxième membre de la famille Shiver que j’appréciais.




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Message(#) Sujet: Re: Destiny leaves its mark | January & Hunter Destiny leaves its mark | January & Hunter  EmptyMer 4 Mai 2016 - 15:54


Hunter & January

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Malgré le continuel manque de sérieux dont pouvait faire preuve Hunter au quotidien, January était véritablement contente de le voir parce que ça la changeait de son quotidien et qu’elle en avait bien besoin. Entre les personnes qui la regardaient avec toute la compassion du monde et celles qui jugeaient perpétuellement son comportement comme s’ils détenaient la voix de la sagesse, elle n’était franchement pas servie… Au moins, elle allait pouvoir se marrer même s’il y avait de fortes chances qu’elle subisse en même temps les allusions quelques peu graveleuses du jeune homme qui n’était pas forcément connu pour son élégance et sa finesse. Peu importait, elle n’avait pas l’intention d’en faire l’homme de sa vie, s’il pouvait au moins la faire rire, ce serait déjà un grand pas en avant. « Ne t’excuse pas va, tu ne pouvais pas mieux tomber… j’ai senti le frisson que tu as eu à mon contact Shiver, ça restera entre nous ! » Et voilà, il avait prouvé ce qu’elle pensait en une fraction de seconde, signe qu’elle connaissait tout de même bien ce garçon même s’ils ne se fréquentaient pas des masses en temps normal, elle avait bien conscience que son comportement avec les filles n’était pas celui du parfait gentleman et elle n’était pas du tout la seule à le dire et à le penser. « Ne prends pas tes rêves pour des réalités. » Répondit-elle en riant cependant, consciente qu’il n’y avait rien de méchant ou de véritablement aguicheur dans les paroles d’Hunter, c’était tout simplement sa façon d’être et il fallait s’y habituer. D’ailleurs, January ne broncha même pas lorsqu’il passa un bras autour de ses épaules, c’était tellement naturel de la part du Serpentard, elle s’en serait voulu de le brimer, même s’il était étonnant qu’il accepte un contact physique avec une Poufsouffle, mais elle se garda bien de lui faire une telle remarque. « Quoi ? Pardon ? Tu t’es fait chier à ton cours ? C’est comme ça que commence la prise de conscience. Le cours est emmerdant, tu te noies dans tes pensées pour te rendre compte que le sujet du cours est une véritable blague …. » Hunter était trop drôle, on aurait dit un vieux qui essayait de la guider sur le chemin de la sagesse. Ça n’arriverait pas, elle n’avait absolument pas l’intention d’arrêter maintenant son cours d’Etude des Moldus, non pas que ça la passionnait, c’était loin d’être le cas mais si elle devait choisir certaines matières à conserver pour pouvoir rester deux ans de plus avec ses frères à Poudlard, il était évident que celle-ci était une de celles qu’elle avait bien fait de conserver. Hunter ne pouvait pas comprendre car il ressentait trop de dégout envers les moldus mais de toute façon, son avis importait peu à la jeune fille qui se savait libre de faire ses propres choix depuis bien longtemps. « Tous les cours sont emmerdants Hunter, je crois que je n’en ai jamais apprécié un seul de toute ma scolarité, à part peut-être la divination parce qu’on peut raconter n’importe quoi, c’est plutôt amusant. Ton argumentation est un peu bancale, ou en tout cas, elle ne marche pas trop avec moi. » Elle ne voulait pas casser son délire mais il était vrai que tout ce qui était du domaine scolaire n’intéressait que très peu January, il pouvait donc oublier l’idée de la convaincre de quoi que ce soit, elle était déjà convaincue.

Il ne fallait pas plaisanter sur l’apparence de January. La jeune fille n’avait absolument aucun second degré lorsqu’il s’agissait de son physique, de sa manière de s’habiller, de sa coiffure ou de son maquillage, personne n’avait le droit de critiquer sans une bonne raison, elle devait rester la plus belle en toutes circonstances, c’était tout simplement primordial. Hunter venait de s’en rendre puisque manifestement, l’inquiétude de la jeune fille était perceptible. Elle s’était laissée aller au début de l’année, elle ne pouvait pas le nier mais elle s’était bien reprise depuis elle tenait à ce que tout le monde voit à quel point elle était merveilleuse et pétillante désormais. Heureusement, le jeune homme la rassura rapidement ce qui lui permit de retrouver sa bonne humeur. « Nan, je ne trouve pas vraiment, tu es mignonne, tu le sais très bien. Mais je voulais que tu t’énerves pour avoir une occasion de pouvoir te consoler…tu vois. » Bien sûr qu’elle se savait mignonne mais son assurance avait pris un sérieux coup dans l’aile ces derniers temps et elle devait bien reconnaitre qu’elle avait besoin d’avoir confirmation à ce sujet. Elle voulait que tout le monde admette qu’elle était encore la princesse du château… Quoi que princesse, elle ne l’était plus franchement à présent, elle en avait bien conscience mais elle retrouverait cette place, c’était une certitude. « Oui, je sais, je voulais juste que tu me le dise. » Rétorqua-t-elle pour ne pas avouer qu’elle avait véritablement eu peur de sa réponse. « Mais si tu veux, je peux faire semblant de m’énerver pour que tu me consoles. » C’était à son tour de rentrer dans le jeu du Serpentard, sinon ce n’était pas drôle. Bien évidemment, elle n’éprouvait rien de plus que de la sympathie pour Hunter et c’était simplement des paroles en l’air, mais ça faisait longtemps qu’elle ne s’était pas amusée. « Je déconne… une journée formidable ? Tant que ça ? Qu’est-ce qui rend ta journée aussi belle ? Ne me réponds pas l’étude des Moldus, je vais tourner de l’œil. Pour ma part, loin de moi l’idée de m’approcher de ce nid à cafards…sans vouloir te vexer. L’idée de pouvoir étudier les moldus m’a toujours échappée, je dois bien l’avouer. Les petits moldus ont fait l’objet de quelle étude, aujourd’hui ? » Formidable, formidable, c’était peut-être un peu excessif, mais elle ne pouvait pas nier qu’elle était plutôt de bonne humeur et après avoir passé tout ce temps à broyer du noir, ça faisait franchement du bien. « Je ne sais pa,s je suis juste heureuse… Pour ce qui est de mon cours, je te dirais ça quand j’aurais récupéré les notes d’un autre élève, je n’ai rien écouté. » La Poufsouffle avait totalement abandonné l’idée de s’intéresser aux matières qu’elle avait conservé par défaut pour pouvoir passer ses ASPIC. Son ambition restait de rencontrer un homme riche et de devenir une aristocrate reconnue du monde des sorciers, le reste n’avait pas la moindre importance et ce n’était pas un stupide cours d’Etude des Moldus qui lui permettrait de réaliser son objectif. « Je cherchais un bel oiseau dans les parages… et j’attends avec patience les cours suivants puisque je suis en avance sur tout ce que les profs nous ont gentiment ordonnés de faire. Mais….. je peux aussi être perdu si tu as subitement envie de m’aider à retrouver mon chemin. » La flatterie marchait en général très bien sur January, mais dans le cas d’Hunter, elle savait pertinemment que c’était le genre de paroles qu’il pourrait ressortir à une autre fille cinq minutes après leur rencontre, elle gardait donc les pieds sur terre, sachant pertinemment qu’elle ne pouvait pas se contenter d’un tel compliment. « Tu n’aurais pas pu trouver mieux. » S’auto complimenta-t-elle le plus sérieusement du monde. « Je suis désolée pour toi mais je n’ai pas encore trouvé ma vocation de guide touristique. » Autant ne pas trop rentrer dans son jeu quand même, il allait finir par avoir une confiance bien trop importante en lui-même, elle n’allait pas l’aider à flatter son égo.

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Message(#) Sujet: Re: Destiny leaves its mark | January & Hunter Destiny leaves its mark | January & Hunter  EmptyMer 18 Mai 2016 - 19:06




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January Shiver n’était pas faible, j’en mettais ma main à couper, mais je sentais qu’elle avait quelques dispositions à se faire embrigader dans une entreprise destinée à transformer un peu son quotidien de princesse. Cela ne lui ferait pas de mal, bien au contraire. J’étais d’avis que la jeune femme avait besoin d’un peu d’action, mais aussi d’un peu de soutien pour avoir atterri dans la mauvaise maison, et, désormais, pour perdre son petit rôle qu’elle avait gagné au fil du temps. J’étais au courant de toute l’histoire, et notamment de la perte brutale de son petit ami. D’un autre côté, qu’avait-il été foutre dans une fête foraine complètement débile (Hein Franzy ?) ? Il l’avait un peu cherché…mais January ? Elle ne méritait en rien d’avoir vécu ça et, bien que très mal placé pour mentionner cette histoire face à elle, j’y pensais parfois. Néanmoins, il était impossible pour moi de faire preuve d’une quelconque pitié et ça, elle le savait parfaitement. Je croulais presque sous les occasions de lui rappeler à quel point le choixpeau l’avait ratée et maintenant, de la charrier sur le cours lamentable auquel elle participait au minimum une fois par semaine… Tout ça sans oublier d’essayer de la déstabiliser un peu en lui disant qu’elle était mignonne ou qu’elle craquait pour moi sans vouloir l’avouer. Je plaisantais sur la question, mais ce que j’aimais surtout, c’était d’avoir un adversaire à ma taille qui trouvait toujours mieux que de me dire de la fermer en me traitant d’imbécile. Ils ont des qualités…les petits Shiver ! D’ailleurs, en parlant de taquineries, elle répondait à ma dernière en date, ce à quoi je ne m’empêchais pas de dire à mon tour : « Pourquoi pas ? A force d’y croire….on ne sait jamais » Discussion sans queue ni tête basée sur le fait que j’avais prétendu qu’elle avait frissonné à mon contact. Ce que j’aimais bien chez elle, c’était l’absence de réaction virulente et désagréable. Il lui en fallait plus, beaucoup plus pour m’en mettre plein la figure et rares étaient les personnes qui étaient capables de prendre mon « humour » pour une simple rigolade. Je ne m’étais pas arrêté là, poursuivant un peu la mascarade sur le cours d’étude des moldus et écoutant sa justification qui, bien sûr, ne m’allait pas. Je restais quelques secondes de plus près d’elle, le bras autour de ses épaules pour dire, en levant les yeux au ciel : « Hum…le mode rebelle va bien aux filles aussi. Surtout toi, belle brune. Il faut dire que si tu as commencé ta scolarité avec une nullité comme celle à laquelle tu viens d’assister…j’ai presque envie de te dire que tu l’as cherché. J’peux te donner un cours moi… tu vas l’apprécier, je te le garantis ! Qu’est-ce qui t’intéresse ? » Je croisais son regard avant de lui adresser un petit clin d’œil.

Après avoir reculé, nous avions poursuivi la conversation sur l’allure générale de la jeune femme. Mon introduction aurait pu commencer par n’importe quoi du style « tu as bonne mine aujourd’hui » ou « bah alors t’as fait une nuit blanche ? », mais j’avais simplement décidé de lui faire croire que je la trouvais mal en point, simplement pour qu’elle me dévoile ses petits soucis, si soucis il y avait. Elle ne l’ignorait pas, elle était toujours bien, en toutes circonstances et sa réplique me fit rire car elle rattrapa sa propre réaction en me faisant comprendre qu’elle acceptait la consolation. Ben voyons, tu veux jouer à ce petit jeu, January, nous allons jouer ! « Si tu veux… Je peux aussi trouver quelque chose pour t’énerver vraiment. Ou alors pour gagner du temps, je te console tout de suite et on oublie l’idée de l’énervement ? » Les bras toujours croisés, je l’interrogeais du regard, bien conscient que ça n’était pas ce que nous voulions, mais jouer dans un tel jeu ne me posait pas le moindre problème. J’avais attendu quelques secondes avant de reprendre la parole - après avoir fait durer le petit instant ‘regard malicieux’ – pour lui en demander un peu plus sur le formidable cours qui venait de lui prendre une heure de sa vie… quand même ! « Allez…je sais bien que les cours te vrillent le cerveau, mais tu vas bien m’avouer ce qui te rend heureuse. Il y a une explication à toute chose, petite Shiver… Est-ce que c’est la fin d’année qui te rend heureuse et la perspective de quitter Poudlard avant le début de notre dernière année ? Est-ce que c’est le grand Snow qui a cédé à tous tes caprices…encore ? Ou juste le fait de me voir ? » Je n’allais pas manquer l’occasion d’insister un peu et de poser mille et unes questions à January. Surtout que nous étions dans un couloir pas très fréquenté, pour le moment. J’avais avoué, au fil de la conversation, être à la recherche d’un « bel oiseau », mais bien sûr, le septième étage n’était pas anodin et c’était Anoushka que je voulais voir, même si aucune rencontre n’était prévue. Avec un petit sourire au coin des lèvres, je lui répondis, le plus naturellement possible : « J’avais une idée bien précise de l’oiseau recherché mais…. Je vais me contenter de toi ! » Je lui donnais un léger petit coup de coude, la taquinant encore un peu : « Je constate que la chance m’accompagne, encore ! » S’il avait été question de Louna Knight, la décision de l’achever à l’abri des regards aurait pu être prise, mais pas la jolie sœur Shiver qui méritait un traitement de faveur, malgré son appartenance regrettable à la maison des Poufsouffle. Elle était quand même sang-pur et bien trop jolie pour être mise dans le même panier que Knight. J’ajoutais, concernant la fin des paroles de la jeune femme : « Tu as une autre vocation ? Je prends tout et n’importe quoi, au point où j’en suis. Tu ne vas pas refuser de passer du temps avec moi, surtout si je te fais sécher le prochain cours que tu vas avoir et qui, de toute façon, ne t’intéressera pas, si ? » ‘Tu trouves un bel oiseau dans le couloir, tu le gardes !’, c’était ma devise du jour et je n’avais que très peu d’occasion de parler à January, étant bien plus habitué à fréquenter Snow dans le dortoir.



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Message(#) Sujet: Re: Destiny leaves its mark | January & Hunter Destiny leaves its mark | January & Hunter  EmptyLun 6 Juin 2016 - 21:08


Hunter & January

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Enfin une rencontre qui allait pouvoir lui remonter le moral. Ces derniers temps, January avait eu l’impression que le mauvais sort s’acharnait contre elle, alors pouvoir rigoler un peu avec un garçon qui ne la jugerait pas, ça n’avait pas de prix. Bien sûr, elle ne comptait pas le lui dire, déjà qu’il avait les chevilles d’une taille astronomique, si en plus, elle le flattait, il ne passerait plus jamais les portes. Ce ne serait donc pas lui rendre service. Toutefois, le sourire qui s’étalait sur son visage en disait long sur son état d’esprit. Oui, elle était ravie d’être de nouveau une jeune fille et non plus une pseudo-veuve qui semait la mort sur son passage, c’était tout de même une jolie progression. « Pourquoi pas ? A force d’y croire….on ne sait jamais. » Oui, enfin, January ne croyait pas vraiment aux miracles et ce genre de miracle-là n’arriverait jamais. Elle se contenta donc de rire légèrement avant de hausser les épaules, ne souhaitant pas lui rappeler que ses espoirs étaient vains. De toute façon, il devait s’en douter et la Poufsouffle ne faisait pas partie de ces filles qui s’offusquaient pour un rien et déployaient de jolis efforts pour faire preuve d’une honnêteté plus qu’inutile, d’ailleurs, elle n’était pas la personne la plus honnête au monde et elle s’en accommodait très bien. Ne disait-on pas que toutes les vérités n’étaient pas forcément bonnes à dire ? C’était en tout cas ce qu’elle pensait et ce précepte l’aidait à dissimuler la vérité sans culpabiliser le moins du monde. « Hum…le mode rebelle va bien aux filles aussi. Surtout toi, belle brune. Il faut dire que si tu as commencé ta scolarité avec une nullité comme celle à laquelle tu viens d’assister…j’ai presque envie de te dire que tu l’as cherché. J’peux te donner un cours moi… tu vas l’apprécier, je te le garantis ! Qu’est-ce qui t’intéresse ? » Devait-elle être flattée ou vexée ? Parce qu’entre le début de sa phrase et la manière dont il l’avait continuée, elle avait eu de quoi avoir les chevilles qui enflent puis de quoi redescendre sur terre en une fraction de seconde. Mais January n’était pas susceptible… Enfin si, elle était très susceptible, mais pas en ce moment parce que la couronne avait disparu du sommet de sa tête depuis bien trop longtemps et qu’elle n’avait plus franchement les moyens de se montrer difficile. « J’aurais beaucoup aimé que tu me donnes un cours Hunter, mais j’ai bien peur que tu n’aies rien à m’apprendre. » Le taquina-t-elle avec un grand sourire. Bien sûr, elle plaisantait, entrant dans le jeu du Serpentard le plus naturellement du monde, elle savait qu’il s’y attendait de toute façon. « Je crois que ce serait plutôt à moi de tenir le rôle du professeur, je serais plutôt douée. » Elle n’avait pas précisé de quoi elle pourrait être professeur et d’ailleurs, elle n’en avait pas la moindre idée, mais l’idée d’avoir le pouvoir et l’autorité lui plaisait plutôt bien et c’était d’ailleurs bien tout ce qui l’intéressait dans cette profession. « Si tu veux… Je peux aussi trouver quelque chose pour t’énerver vraiment. Ou alors pour gagner du temps, je te console tout de suite et on oublie l’idée de l’énervement ? » Sacré Hunter, fidèle à lui-même, il allait au bout de ses idées et ne passait pas par quatre chemins et bizarrement, c’était plutôt quelque chose qui plaisait à January pour la simple raison qu’elle détestait que l’on tourne autour du pot. Elle seule avait le droit de faire preuve d’hypocrisie mais elle aimait l’idée de pouvoir lire dans les esprits comme dans un livre ouvert et comme Hunter ne mettait jamais de filtre, c’était presque possible avec lui. « Ne sois pas si impatient, quelqu’un comme moi, ça se mérite… Et par anticipation, je préfère te préciser que ce n’est pas parce que je porte un uniforme jaune moche que je ne suis pas la fille la plus exceptionnelle que tu rencontreras dans ta vie. Note-le. » Hunter avait de l’assurance et elle en avait à revendre aussi, elle n’allait pas se laisser embobiner si facilement.

« Allez… je sais bien que les cours te vrillent le cerveau, mais tu vas bien m’avouer ce qui te rend heureuse. Il y a une explication à toute chose, petite Shiver… Est-ce que c’est la fin d’année qui te rend heureuse et la perspective de quitter Poudlard avant le début de notre dernière année ? Est-ce que c’est le grand Snow qui a cédé à tous tes caprices…encore ? Ou juste le fait de me voir ? » Le pire, c’est qu’il n’y avait vraiment aucune raison et qu’elle n’avait d’ailleurs pas l’impression d’être si heureuse que ça en plus, mais s’il tenait absolument à avoir une justification à son apparent bonheur, elle allait lui en trouver une, ce ne serait pas si difficile que ça. « Oh Hunter… Tu lis en moi comme dans un livre ouvert… Bien sûr que c’est de te voir qui me procure une telle joie… Pour tout t’avouer, quand je t’ai vu dans le couloir, j’ai eu brusquement les mains moites, le cœur qui battait bien plus fort que d’habitude… Je crois que je suis amoureuse. » Ou alors tout cela était les symptômes d’une gastro imminente. De toute façon, il n’y avait absolument aucun risque qu’Hunter gobe la moindre ses paroles, il savait qu’elle n’était pas spécialement sentimentale et même si elle l’avait été plus avec Asling qu’avec n’importe qui d’autre, il n’était plus là désormais et elle ne serait plus une guimauve avant bien longtemps, c’était sûr et certain. « J’avais une idée bien précise de l’oiseau recherché mais…. Je vais me contenter de toi ! » Bon, ce n’était pas la plus belle flatterie au monde, elle avait eu beaucoup mieux. Bien sûr que si elle était ce fameux oiseau, il ne trouverait jamais mieux qu’elle ! En vérité, elle n’en avait absolument rien à faire d’Hunter, mais l’idée qu’il la trouve exceptionnelle lui plaisait bien, même si ce n’était évidemment pas le cas. « Tu n’es pas un très bon acteur… Tu crois que je ne sais pas que ça fait des heures que tu attends que je sorte de cours ? Je sais très bien que tu es venu jusqu’ici juste pour moi. » Ou pas, oui, mais il n’était pas censé savoir qu’elle ne croyait pas une seule seconde à ses propres paroles. Bon, certes, il devait s’en douter, d’autant plus que son jeu d’acteur n’était pas non plus fantastique mais ça valait le coup d’essayer. « Je constate que la chance m’accompagne, encore ! » Et ça, c’était plutôt bien pour lui, la chance faisait souvent très bien les choses pour celui qu’elle accompagnait et January aurait voulu qu’elle soit sa copine plus souvent. Etait-ce parce qu’il lui était arrivé d’être désagréable avec ses petits camarades qu’elle refusait de l’accompagner ? C’était fort possible, mais malheureusement, elle ne pouvait rien y faire, être une langue de vipère, elle aimait vraiment trop ça. « Tu as une autre vocation ? Je prends tout et n’importe quoi, au point où j’en suis. Tu ne vas pas refuser de passer du temps avec moi, surtout si je te fais sécher le prochain cours que tu vas avoir et qui, de toute façon, ne t’intéressera pas, si ? » Une autre vocation ? Plein d’autres vocations oui ? Enfin, si on pouvait appeler ça des vocations… January ne savait pas trop ce qu’elle allait faire de sa vie, tout ce qu’elle savait était qu’elle allait devenir exceptionnelle ou tout du moins, encore plus que maintenant et c’était tout ce qu’il lui fallait. « J’ai bien plus de talents cachés que tu l’imagines… Mais il est encore trop tôt pour en parler, nous ne sommes pas assez intimes. » January n’avait rien de particulier en tête mais l’idée de le faire saliver lui plaisait bien, après tout, c’était un mec, il devait forcément avoir les idées mal tournées. Si Snow savait, il viendrait directement pour l’enfermer dans une cave jusqu’à la fin de sa vie. « Et tu sais bien que je ne dirais jamais non pour sécher les cours. Quel est le plan ? » Autre qu’un plan cul, bien sûr, ça, il n’en était pas question.

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Message(#) Sujet: Re: Destiny leaves its mark | January & Hunter Destiny leaves its mark | January & Hunter  EmptyJeu 7 Juil 2016 - 12:34




January & Hunter

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Tomber sur une January Shiver qui sortait tout juste d’un cours d’étude des moldus était assez amusant, et juste parfait pour l’état taquin dans lequel je me trouvais. Elle avait l’habitude et de mon côté, je ne craignais pas du tout de la vexer ou de dire quelque chose qui ne lui plairait pas. Et puis quoi encore ? Parce qu’on est une nana – et qui plus est une princesse Shiver – on doit avoir un traitement de faveur ? A d’autres ! Je prenais effectivement mes rêves pour la réalité, mais elle semblait ne pas en être convaincue… Peu importe, le temps était là pour qu’elle change d’avis, elle n’était pas une imbécile (et c’est eux qui ne changent jamais d’avis, dit-on). J’avais ensuite assez rapidement proposé à la jeune femme de lui donner un cours intéressant. Elle semblait en douter, et c’est sa réaction qui me décrocha un vrai sourire en coin. Tout cela était uniquement destiné à la charrier un peu, mais il y avait de fortes chances pour qu’elle ne tombe jamais dans le panneau, d’ailleurs, elle jouait parfaitement le jeu en me remballant tout en me disant que je n’avais rien à lui apprendre : « Ah ? Tu es volontaire et tu aime l’idée de mon cours. On va dire que c’est un bon début, pas vrai ? Détrompe-toi, j’ai des choses à t’apprendre, mais je dirais que tu crains légèrement de découvrir lesquelles… C’est ça ? » Je l’interrogeais du regard, haussant légèrement un sourcil d’un air malicieux. « Bon, l’un dans l’autre, j’accepte le rôle de professeur que tu me proposes, douée ou pas, ça m’importe peu. Je ne te demanderais même pas ce que tu comptes m’apprendre, je me garde la surprise. A quand le premier cours ? » J’espérais qu’avec ça, elle soit coincée et obligée de tenir parole… Ben quoi, une princesse ne respecte pas toujours ses petites promesses ? Je riais de plus belle quand la petite idée de l’énerver pour mieux la consoler fut mise sur le tapis. Je m’amusais beaucoup avec ces petits sous entendus, mais j’avais parfaitement conscience que nous ne faisions que nous taquiner, pour voir qui aurait le dernier mot et le plus d’audace : « Je note ‘quelqu’un comme toi ça se mérite, tu es exceptionnelle malgré cet atroce uniforme jaune’ mais…tu sais, je ne suis pas toujours d’accord avec ce que je note en cours… pourtant, c’est noté. J’ai besoin de preuves, de certitudes. Tu es la fille la plus exceptionnelle que je rencontrerais dans ma vie… y’a-t-il un semblant d’indice qui me prouve que tout ça est vrai ? J’ai des preuves contraires à t’apporter… concernant les porteurs de ce même uniforme. » Je haussais les sourcils, la regardant sans détourner une seule fois le regard.

Son expression de visage me laissait croire qu’elle était elle-même persuadée que je ne goberais pas ses paroles et elle avait raison. Je jugeais tout de même bon de lui préciser : « Attention, on se rend compte de la véracité de certains de ses propres propos quand on s’y attend le moins … » Je croisais les bras, ajoutant, d’un air le plus naturel possible : « Ça tombe plutôt bien, je suis amoureux de toi aussi. » Quel entrain ! Elle était bien évidemment apte à comprendre que je plaisantais encore et toujours et qu’il n’en était rien, mais j’adorais plus que tout l’idée de répondre quelque chose que les gens ne s’attendent pas forcément à entendre. Un vrai plaisir. D’ailleurs, le plaisir continua quand elle tenta de me faire avouer que j’étais ici pour l’attendre et la capter à la fin de son cours. Ça n’était pas le cas, nous ne savions tous les deux, mais j’étais finalement content d’être tombé sur elle. Avec un petit sourire, je lui répondis : « Et le pire, c’est que tu t’es arrêtée pour me parler et que désormais, tu ne décolles plus. J’ai de la chance. L’amour partagé, les cours que tu vas bientôt me donner et notre présence dans cette aile formidable du château. Le bonheur à l’état pur, n’est-ce pas ? » Je lui adressais cette fois ci un sourire amusé sincère. Elle serait d’accord avec moi, surtout sur le fait que tout ça n’était que conneries.

Je me voyais bien continuer de passer un petit moment avec elle, alors qu’elle était en train de me dire que nous n’étions pas assez intimes. Avec un petit sourire amusé, je lui répondis : « Oh…si ce n’est que ça, ça peut s’arranger ! Eh bien tiens, tu me demandes quel est le plan, eh bien profitons-en pour devenir plus intimes…. » Je pris quelques secondes de pause avant de partir dans un éclat de rire, elle avait l’esprit mal tourné, à tous les coups, mais je ne pensais pas à quelque chose de tordu, bien au contraire. « J’ai une idée de petit jeu, tu n’as pas le choix, tu as accepté de sécher les cours et tu me laisses choisir le plan ! » Je la tirais délicatement par le bras, direction la salle de classe d’étude des moldus. Je me dirigeais ensuite vers la fenêtre où nous avions une bonne place pour nous asseoir à deux sur le rebords et je sortis de ma poche un paquet de dragées surprises. « Tu as horreur de ces trucs là ? Moi aussi, mais on doit devenir intimes, alors si j’en pioche un bon tu me révèles quelque chose sur toi, si j’en pioche un mauvais, c’est moi qui te dit quelque chose. Même chose quand c’est à ton tour de piocher…Tiens, d’ailleurs c’est à ton tour, les femmes d’abord. » Je lui tendis le paquet, espérant qu’elle commence bien en prenant une mauvaise dragée et qu’elle soit obligée de me dire quelque chose sur elle. Elle avait voulu que je trouve un plan et c’était celui-là !




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Message(#) Sujet: Re: Destiny leaves its mark | January & Hunter Destiny leaves its mark | January & Hunter  EmptyMar 19 Juil 2016 - 9:46


Hunter & January

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Hunter avait ce petit truc en plus qui permettait qu’ils passent un bon moment à chaque fois qu’ils se rencontraient. Il n’y avait rien entre eux à part une amitié implicite et ça semblait leur convenir parfaitement. Pour une fois, January avait l’impression de pouvoir se lâcher, être elle-même et dire ce qu’elle voulait sans qu’il ne trouve quoi que ce soit à dire. Elle adorait ses frères mais elle avait souvent l’impression qu’ils jouaient les empêcheurs de tourner en rond en épiant constamment son comportement alors que le Serpentard se gardait bien d’agir de la sorte. « Ah ? Tu es volontaire et tu aimes l’idée de mon cours. On va dire que c’est un bon début, pas vrai ? Détrompe-toi, j’ai des choses à t’apprendre, mais je dirais que tu crains légèrement de découvrir lesquelles… C’est ça ? » Elle leva les yeux au ciel mais son sourire ne trompait pas, elle aimait sa façon de jouer sur les mots pour tirer parti d’une situation, même si elle était sûre et certaine que ce talent devait en énerver plus d’un. January trouvai ça plutôt drôle de son côté et elle n’allait pas se priver pour utiliser cette même méthode à son tour. « Si tu en es convaincu, c’est le principal. Je sais que tu rêves d’obtenir mon attention, mais je ne suis pas sûre que tu aies les moyens de l’obtenir. » Autant jouer les pimbêches difficiles jusqu’au bout, il avait l’habitude de toute façon, la Poufsouffle était même persuadée que c’était pour cette raison qu’il ne la traitait pas comme tous les autres jaunes et noirs, c’est-à-dire comme une moins que rien. Elle devait donc continuer à lui tenir tête. « Sache que je n’ai aucune crainte en ce qui te concerne. » Ce n’était pas totalement vrai, Hunter était un garçon difficilement prévisible et par conséquent, elle ne savait jamais à quoi s’attendre avec lui ce qui était tout de même un peu flippant. Bien sûr, elle aimait toujours énormément passer du temps en sa compagnie mais parfois elle avait bien du mal à le suivre. « Bon, l’un dans l’autre, j’accepte le rôle de professeur que tu me proposes, douée ou pas, ça m’importe peu. Je ne te demanderais même pas ce que tu comptes m’apprendre, je me garde la surprise. A quand le premier cours ? » Elle venait de se faire avoir comme une bleue et sa proposition qui n’en était pas vraiment une semblait ravir le jeune homme. January savait qu’elle ne pouvait pas se dégonfler maintenant, elle en avait déjà bien trop dit pour pouvoir reculer sans avoir l’air complètement ridicule. « Très bientôt, ne sois pas si impatient. Je te ferais parvenir toutes ces informations en temps utile. » Il allait falloir qu’elle se creuse un peu les méninges pour trouver quoi lui apprendre mais finalement c’était plutôt amusant. Elle se voyait bien l’emmener dans les petites boutiques de Pré-au-Lard pour une séance shopping improvisé. S’il y avait bien un truc qu’elle maitrisait, c’était les fringues et elle voulait bien lui apprendre à se mettre un peu plus en valeur pour faire craquer toutes les filles. « Je note ‘quelqu’un comme toi ça se mérite, tu es exceptionnelle malgré cet atroce uniforme jaune’ mais…tu sais, je ne suis pas toujours d’accord avec ce que je note en cours… pourtant, c’est noté. J’ai besoin de preuves, de certitudes. Tu es la fille la plus exceptionnelle que je rencontrerais dans ma vie… y’a-t-il un semblant d’indice qui me prouve que tout ça est vrai ? J’ai des preuves contraires à t’apporter… concernant les porteurs de ce même uniforme. » Parfait, il avait compris l’essentiel et c’était tout ce qu’elle demandait. January aimait qu’on la considère davantage que ses camarades et elle trouvait totalement normal de rappeler à qui voulait bien l’entendre qu’elle était absolument merveilleuse. « Voyons, tu n’as pas besoin que je te prouve quoi que ce soit… Toi et moi savons que ce n’est que la vérité. » Elle s’approcha du jeune homme pour se pencher vers son oreille et murmurer quelques mots. « Sinon tu ne serais pas dans ce couloir à chercher une excuse minable pour ne pas m’avouer que tu étais en train de m’attendre. » Elle se redressa fière d’elle ne s’attendant pas spécialement à ce qu’il confirme ou infirme ses propos, elle avait raison, tout simplement.

Elle s’amusait et Hunter crut judicieux de la mettre en garde ce qui ne put que la faire sourire. Certes, le Serpentard était un beau garçon mais les coureurs de jupon n’étaient pas vraiment son genre. Asling avait réussi à la faire craquer mais vu ce que ça avait donné, elle était définitivement vaccinée contre ce genre d’énergumène. « Attention, on se rend compte de la véracité de certains de ses propres propos quand on s’y attend le moins … » Si seulement. Mais ils en étaient bien loin et il n’était clairement pas l’idée qu’elle se faisait du prince Charmant. Seulement, comme à son habitude, elle entrait dans son jeu parce que c’était amusant et facile et qu’elle avait besoin de passer un bon moment. « Tu aimerais bien, n’est-ce pas ? » De toute façon, pour January, il était évident que sa simple présence devait suffire à illuminer la journée de tous ses petits camarades. « Ça tombe plutôt bien, je suis amoureux de toi aussi. » La jeune fille ne put s’empêcher de rire. Il était plutôt comique dans son rôle d’amoureux transi et elle ne voulait surtout pas casser ses rêves, d’autant plus qu’il avait dit ça d’une manière franchement mignonne, elle était sûre que n’importe quelle autre fille aurait craqué à sa place. Mais il s’agissait d’Hunter et même si son comportement imprévisible la déstabilisait parfois, elle le connaissait assez bien pour savoir que ces mots ne voulaient rien dire. « Non, mais ça c’est normal… Tous les garçons sont amoureux de moi. » January considérait tout simplement qu’il s’agissait d’une évidence, elle ne voyait pas pourquoi tous ses camarades ne pourraient pas être amoureux d’elle. Elle était jolie, intelligente, dynamique… Bref, fabuleuse, l’idéal féminin par excellence et elle était persuadée que bon nombre de ses camarades rêvaient en secret de lui avouer un amour éternel. « Et le pire, c’est que tu t’es arrêtée pour me parler et que désormais, tu ne décolles plus. J’ai de la chance. L’amour partagé, les cours que tu vas bientôt me donner et notre présence dans cette aile formidable du château. Le bonheur à l’état pur, n’est-ce pas ? » Complètement. Pour le coup, il n’avait pas tout à fait tort, elle était très heureuse de l’avoir croisé dans ce couloir, encore plus qu’il ait du temps à lui consacrer et elle n’avait pas envisagé une seule seconde de le laisser planter là. Pour les sentiments amoureux en revanche, c’était une autre histoire. « Tu t’emballes là, Hunter… Mais si ça peut te faire plaisir d’imaginer un amour partagé, je peux te faire cet honneur au moins aujourd’hui. » Elle pouvait au moins lui faire ce petit plaisir, elle voulait simplement l’aider à vivre son rêve. Au moins, elle aurait fait sa bonne action de la journée et elle pourrait se permettre toutes les vacheries du monde le reste du temps pour rattraper cet excès de gentillesse. Ça allait être chouette. « Oh…si ce n’est que ça, ça peut s’arranger ! Eh bien tiens, tu me demandes quel est le plan, eh bien profitons-en pour devenir plus intimes…. » Elle leva un sourcil interrogateur avant qu’il éclate de rire, lui signifiant qu’il ne pensait pas sérieusement ce qu’il disait. Heureusement. Les plans cul ce n’était vraiment pas son délire et elle n’aurait eu qu’à lui dire très clairement qu’il n’était pas du tout envisageable que quelque chose d’intime se passe entre eux. « Une fois de plus, tu prends tes rêves pour des réalités. » Simple constatation faite avec le sourire, elle le trouvait toujours aussi sympa comme garçon et elle ne pouvait s’empêcher de se demander s’il arrivait souvent à ses fins avec les autres filles. « J’ai une idée de petit jeu, tu n’as pas le choix, tu as accepté de sécher les cours et tu me laisses choisir le plan ! » January se laissa tirer par le bras jusqu’à la salle de cours et s’assit à ses côtés sur le rebord de la fenêtre sans chercher à protester. Les jeux, elle aimait bien ça, surtout lorsqu’elle pouvait gagner. Elle le regarda avec un air interrogateur sortir une boite de dragées surprise et elle ne put s’empêcher de faire la moue. Ce n’était pas très bon et plutôt calorique. « Tu as horreur de ces trucs-là ? Moi aussi, mais on doit devenir intimes, alors si j’en pioche un bon tu me révèles quelque chose sur toi, si j’en pioche un mauvais, c’est moi qui te dit quelque chose. Même chose quand c’est à ton tour de piocher…Tiens, d’ailleurs c’est à ton tour, les femmes d’abord. » Parfait, s’il voulait jouer à ça elle n’allait pas se faire prier, elle plongea sa main dans le paquet et porta la dragée à sa bouche, prête à affronter le sort que le destin lui réserverait.

Spoiler:

Si c’est un nombre impair

January sentit quasiment immédiatement un goût ignoble se répandre dans sa bouche. Elle s’empressa d’avaler cette chose immonde faute de pouvoir la recracher dans un endroit propre. « Ah dégueulasse ! Ça devait être crotte de nez ou un truc du genre… Beurk, beurk, beurk… Je crois que je vais vomir. » Oui mais voilà, elle pouvait dire ce qu’elle voulait et plaindre pendant des heures, ça ne changerait rien au fait que c’était à elle de révéler quelque chose à son sujet. « Je suis passionnée d’histoire. » Voilà quelque chose que beaucoup de gens ignoraient, elle n’était pour beaucoup que la pimbêche sans cervelle qui ne savait rien du tout.


Si c’est un nombre pair

January hésita pendant une fraction de seconde puis fini par oser mettre la dragée surprise dans sa bouche. Et après quelques secondes à mâcher en silence, le verdict tombe. « Framboise ! C’est vachement bon. » Et bingo, Hunter va devoir lui raconteur quelque chose sur lui et c’est plutôt génial. Elle ne le connait pas tant que ça finalement. « Alors, qu’est-ce que j’ignore encore sur toi ? On aurait dû faire ce jeu avec de l’alcool, les vérités seraient devenues très rapidement intéressantes. » Hunter ne savait probablement pas dans quoi il venait de s’embarquer.

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Dernière édition par January H. Shiver le Mar 19 Juil 2016 - 9:46, édité 1 fois
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Arrivé(e) le : 28/06/2011
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Message(#) Sujet: Re: Destiny leaves its mark | January & Hunter Destiny leaves its mark | January & Hunter  EmptyMar 19 Juil 2016 - 9:46

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