♦ C'était comment avant Poudlard ?:

Ce n’était pas la grande joie. Il faut dire que je n’ai pas vécu dans une famille facile. Oh ça non ! Je suis née par « accident » (ma mère se trimbalait toute nue et est tombée sur un zizi sauvage qui est devenu mon père). Et pop ! Je suis née dans les choux, car d’après ma mère, je ne sentais pas la rose. Ils n’arrêtaient pas de dire qu’avant, tout était bieeeeen, cooooool, relaaaax, et que dès que j’ai pointé le bout de mon nez, tout est allé de travers. Ils disent que je porte poisse. Ce qui est fort possible.
On vivait dans un appartement si petit qu’il en était presque irrespirable, surtout avec le nombre d’invité qu’il y avait chaque jour. Mon lit était dans un coin du salon, je n’avais pas de jouets, rien que les gens qui discutaient et se frappaient dans ma maison. Toute mon enfance, je l’ai vécu avec pleins de monde autour de moi – et pas des gens recommandables. Non. C’était soit des dealeurs, soit des acheteurs, soit des voleurs, des violeurs – oui oui, des violeurs – il y avait même des gosses. Des garçons. J’étais la seule fille, avec ma mère, qui réussissait à ne pas se faire violer en donnant gratuitement sa came. Alors j’ai du apprendre à me défendre toute seule, comme une grande, car les garçons étaient des méchants pas beaux qui me frappaient pour montrer leur supériorité. Alors j’ai appris à rendre les coups qu’on me donnait. La vie est dure parfois !
Mes parents, oui parlons en de mes parents. Ce sont des dealeurs. Des dealeurs qui fabriquaient et revendaient leur produit, ils avaient une salle spéciale pour ça. Il y a même une photo de moi en train d’arroser une pousse de cannabis. A-DO-RABLE j’vous l’dis ! Le problème dans tout ça, ce sont les vapeurs. Les vapeurs que produisait tout leur matériel pour transformer des plantes en aphrodisiaque, aussi toxiques, néfastes et bonnes pour la santé que le GHB, le cannabis, l’extasie, et bien d’autres. Et mes parents la respiraient. Et je la respirais. En gros, depuis que je suis née (dans un chou, rappelez-vous), je respire des vapeurs néfastes. Autant dire que lorsqu’il y a eut une inspection sanitaire pour je-ne-sais-quelle-raison-idiote-stupide-inutile-soit-elle, mes parents étaient mal. Eh ouais. Allez hop, prison, et moi à 7 ans j’ai eut droit à une belle cure de désintox !
Pi jusqu’à mes 11 ans j’ai visité différentes familles d’accueil. La première avait un garçon plus grand que moi. Je l’ai mordu jusqu’au sang, il a fallut des tranquillisant pour me faire lâcher mon nonos ! C’était pendant une de mes crises de colère. Je peux me montrer très, très, très violente et antipathique, voir même suicidaire, lors de ces crises. Mais les parents n’ont rien voulu savoir et m’ont virés. La deuxième, je ne l’aimais pas du tout. C’était le type de parents tout souriant avec des habits bien soignés, bien riches, bien élevés. Pendant un repas silencieux, j’ai pris du ketchup et j’ai abondamment arrosé mes parents adoptifs en criant « FACIAAAALE ». J’avais 9 ans. Non, je ne suis pas une de ces filles précoces qui vendent leur petit cul sur le marché. Je voulais juste qu’ils me jettent le plus rapidement possible pour avoir l’opportunité d’avoir une autre famille moins flippante. Ce fut la quatrième famille qui me garda le plus longtemps, il faut dire qu’à peine étais-je entrée dans leur joyeuse marmaille que je reçus une lettre pour entrer à Poudlard. Genre. JE SUIS UNE SORCIERE MWAHAHA *pfffiou, pffffiouuuuuu* (oui, ceci était des mouvements de baguette de pain agrémentés de bruits de sabres laser).

♦ Et ta baguette, elle est comment ?: Bois en Lierre, cœur de Plume de Phoenix, longueur 30 cm.

♦ Matières étudiées à Poudlard : Vol et Soins aux Créatures Magiques

♦ Père biologique : Andrew Rosenbach, à qui je dois mon nom et le prénom d’Ashley, est le petit dernier d’une famille de 7 enfants dans une ville pauvre d’Angleterre, il est parti à Manchester avec un rêve. Oui, un rêve ! Le rêve de devenir le plus grand commercialiste de tout les temps ! Et il est devenu dealeur. Il a rencontré Bixente, et est tombé fou amoureux d’elle dès le premier regard, mais n’a jamais osé la demander en mariage. Tellement aveuglé par l’amour qu’il se plongea tête baissée dans le deal, et très vite il y a prit gout.

♦ Mère : Bixente Arriola, une pure basque auquelle je lui dois le fameux « Maïalen », qui signifie Madeleine, en basque français. Elle est venue en Angleterre car, semble-t-il, elle trouvait qu’il était plus facile de revendre de la drogue là-bas qu’en France. Quand elle a rencontré Andrew, au départ elle pensait s’en servir comme bouc émissaire, un petit niais d’anglais qui rêve du grand amour. Au final elle a couché avec lui. Plusieurs fois. Tout en se permettant d’aller voir ailleurs ! Elle n’a jamais été réellement amoureuse de lui. Ce n’était qu’une couverture pour elle, et le fait qu’il se découvre une passion pour la drogue ne fit que l’arranger.

♦ Première famille adoptive : Les Avery, un couple avec un enfant. Lors de l’accouchement il y a eut une complication, et la mère se retrouva stérile. Désireux d’avoir un autre enfant ils décidèrent d’adopter. Famille au revenu moyen, dans un appartement assez spacieux, l’enfant, Thomas, était un enfant gâté qui ne m’apprécia pas dès le début. Il me poussa jusqu’à la colère d’où la morsure.

♦ Deuxième famille adoptive : Les Powell, très aisé, la mère est femme au foyer, le père dans le marché financier. Tout deux viennent de familles tout aussi aisées qui organisèrent leur mariage comme contrat entre les deux familles. Ils ont finis par s’aimer avec le temps, et voulurent adopter un enfant pour partager leur amour. Tout était cadré, rien ne faisait défaut dans leur maison, leur langage, leur style de vie. A en frissonner d’horreur. La mère avait même une salle spéciale pour des poupées en porcelaine. Des psychopathes en puissance !

♦ Troisième famille adoptive : Les Blair. Ils faisaient partis d’une secte, et avaient réussi à passer entre les mailles du filet pour adopter un enfant. Ils voulaient m’offrir à leur grand Chef qui a voulu abusé sexuellement de moi. Heureusement les Powell m’avaient achetés un portable, appeler les secours fut facile une fois que j’avais castré le Chef d’un bon coup dans l’entrejambe avec un accessoire de cheminée pointue...

♦ Quatrième famille adoptive : Les Hamilton, qui sont toujours ma famille adoptive aujourd’hui bien que j’aie décidé de garder mon nom premier. Je les aime assez bien, ils sont compréhensifs et gentils. Et surtout ils ne se laissent pas démonter lors de mes crises de colère, ils sont patients, et souvent leur patience m’énerve. Mais bon, faut bien que je me case dans une famille jusqu’à mes 18 ans, jouer les pigeons voyageurs je n’apprécie pas des masses !

♦ Frère(s) et soeur(s): No way !

Exemple de RP.

Je crois que je n’avais pas réalisé que j’allais devenir une Sorcière, jusqu’à ce que je me retrouve dans la grande salle.

« Whaaaaou ! » m’étais-je exclamée tout bas.

Mes yeux émerveillés ne cessaient d’aller et venir à travers la salle, tandis que je restais là, debout et raide comme un piquet, à la limite menant à cette salle à manger gigantesque. Les autres élèves m’évitaient pour aller s’assoir à la meilleure place possible. Ils semblaient tous surexcités et impatients. Moi... moi j’étais juste émerveillée par la grandeur de la salle. Il n’y avait pas d’excitation, ni de joie, ni d’impatience. Tout ce qui m’intéressait, c’était les bougies flottantes. Je me souviens que la première pensée qui m’avait traversé l’esprit était si ces bougies pouvaient brûler les mains, ou si elles n’étaient que des objets sans vie sans chaleur. Une étrange réflexion qui, jusqu’à maintenant, me semblait parfaitement normale et commune. Bah oui, tout le monde c’est déjà posé la question voyons ! Non ? Ok...
Et là, ce fut le drame. On m’avait bousculé, tellement fort que j’étais tombée par terre. La personne qui m’avait bousculé c’était mit à rire, et c’est tout naturellement que je lui avais agrippé la jambe pour le faire tomber à son tour. A quatre pattes, j’allais m’avancer pour lui mettre un joli poing dans sa gueule de babouin dégénéré quand on m’avait rappelé à l’ordre par je-ne-me-souviens-plus-de-qui. Ma crise de colère n’avait pas eut le temps de venir, alors j’avais réussi à me relever et à aller m’assoir dignement, la tête haute. Après tout, je n’allais pas m’en faire pour s’y peu. A vrai dire, c’était déjà oublié. J’avais même déjà oublié sa face de babouin. Je vivais au jour le jour, je vis toujours au jour le jour, alors les petits désagréments tel que celui-là n’arrivaient pas entacher mon esprit par des pensées vengeresses. Une petite colère et tout va pour le mieux !
Assise, je n’écoutais même pas l’espèce de doyen qui parlait parlait parlait encore et toujours. C’était ennuyeux et inintéressant. Mon hyperactivité reprenait petit à petit le dessus sur le calme de mon esprit, et très vite ma jambe se mit à bouger, comme si je trépignais d’impatience. A vrai dire, c’était une sorte de « tic ». Lorsque j’étais sans bouger pendant plus de 5 minutes, ma jambe se mettait immanquablement à bouger. Et quand elle était fatiguée, c’était le tour de l’autre. Quant à mes mains, elles tritouillaient un peu tout. Un stylo, une feuille, mes vêtements. Très souvent on me disait d’aller aux toilettes, comme si ma vessie avait quelque chose à voir avec mon hyperactivité. LAISSEZ MES ORGANES TRANQUILLES BANDES DE CHACAL ! Tsss ! Enfiiiiiin bref. Mon mouvement de jambe avait réussi à énerver ma voisine qui me lança un regard noir, auquel je répondis par un tirage de langue et un doigt d’honneur. Je voyais souvent les grandes personnes le faire (le doigt d’honneur hein, pas le tirage de langue (quoique les vieux le faisaient souvent (une fois j’ai vu une image d’un vieillard avec une touffe de cheveux en bataille et la langue bieeeen pendue comme il faut (#EinsteinStyle)))). Je ne faisais qu’imiter ce que je voyais ! Not my fault mister...
Mon esprit se mit alors à divaguer. Notamment sur les bougies. Non, je ne fais pas de fixation sur les bougies. JE NE SUIS PAS FOLLE ! OKEY ? Bon. Donc. Le nez en l’air, j’observais donc les bougies qui flottaient allègrement dans les airs. Je m’étais demandée s’il était possible d’en attraper une. Une envie soudaine de brûler les cheveux de ma voisine ingrate m’avait prit en grappe (hey ça rime !). Sauf qu’à peine je me mettais à y songer, que je sursautais vivement lorsqu’on cria mon nom.

« ASHLEY ROSENBACH ! »

Surprise, je bondis de ma chaise. Je passais de la position assise en position debout en une seconde chronos (TRANSFORMATIOOOOOOOON). Ce n’était certainement pas la première fois qu’il m’appelait, pour ainsi parler à haute voix (ça te fait les cordes vocales papi). Je poussais alors un long et profond soupire audible de tous, montrant bien mon irritation. Oui bon ça va j’arrive... avais-je alors pensé tout en marchant jusqu’au chapeau miteux que tous les gosses ont mis sur leur tête pleine de poux et de bestioles ambulantes. Mon visage exprimait clairement une certaine forme de défi contre l’autorité, mais ça ce n’était pas nouveau. Professeur, Doyen, Père ou simplement une personne qui a un mois de plus que moi avaient droit à cette figure pleine de dédain et de sournoiserie. Les hommes plus que les femmes d’ailleurs.
Je m’étais assise sur le tabouret, et attendis docilement le verdict en retenant une vague de nausée lorsque je sentis le chapeau se poser sur mes cheveux bruns.

Ils allaient en voir de toutes les couleurs avec moi, quelle que soit la maison.

♦ Autres comptes ?: Nop mister !
♦ Points défis utilisés pour créer ce personnage : 10 000 points. Oui, je sais, c’est beaucoup, mais je le vaux bien ! (La réponse à cette question ne doit pas être prise en compte D: )
♦ Age : 19 piges
♦ Présence : 4J/7 (c’est la moyenne alors, faites pas chier o/ (bien évidemment tout ce que je dis doit être pris au second degrés hein... pas taper moi D: je suis juste une folle fraichement échappée d’asile psychiatrique ! (Moi ? Rassurante ? Tout à fait !)).
♦ Comment t'es arrivé(e) là ?: J’ai vu de la lumière et je suis rentrée, puis j’ai fermé la porte car j’ai pas aimé. Pi y’a une chips qui m’a dit qu’il fallait que j’y refasse un tour, ce que j’ai fais, je suis totalement soumise au pouvoir des chips ! Et pi bah voilà.
♦ Star de l'avatar : Kaya Scodelario