Classe de 7e

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L'audace est aveugle ; elle ne connaît ni périls ni inconvénients

Classe de 7e - Obscuro - Prof Pelvenche et les 7e

Encore une classe de 7e, aujourd’hui. Je venais de laisser la salle du personnel dans laquelle nous nous étions réussies plusieurs pour discuter plus tôt. J’étais un peu dans ma tête depuis quelque jour. Marie me lançait des regards d’encouragement et pourtant pour ma part, j’avais tellement honte de me sentir ainsi. À quel point la perception des gens pouvaient changer rapidement, en un clignement d’œil. «Désolé, j’ai classe. On se voie plus tard ?» Et elle m’invita à passer la soirée avec elle dans ces appartements. Une soirée calme ne serait pas de trop après les derniers jours, et je lui souris en hochant la tête. «Oui, oui. Parfait.» J’allais avoir ma classe de 7e et puis celle de 3 qui terminerait ma journée. C’était le lot des enseignants qui ne donnait pas de cours optionnel. Boulot, boulot, boulot! Mais j’adorais et pour rien au monde je n’aurais donné mon poste à quiconque. «J’avertis mes préfets après les classes et je viens te rejoindre... vers …» Et elle compléta ce qui me fit rire doucement.

Mon arrivé en classe se fit tranquillement, un ou deux élèves attendaient déjà à la porte, et je jetai un regard sur l’horloge sur le mur opposé pour m’assurer que ce n’était pas ma faute. Bon, j’étais plutôt juste mais pas en retard. J’ouvris la classe, avant de tendre la main en direction des élèves. Je leur avais remis des copies pour le travail sur le Feydeamon, que je n’allais pas présenté avant 1 ou 2 semaine le temps que je m’occupe de prendre le matériel nécessaire pour prévenir les blessures et que j’ai pleine collaboration de Kate pour les blesser éventuels. C’était tout de même un sort qui demandait une grande préparation de délicatesse pour éviter beaucoup de problème à l’utilisateur; il méritait d’être en devoir encore 1 semaine encore, minimum. J’observais les élèves rentrés les uns après les autres, la main tendu pour récupérer les devoirs de ceux qui ne me l’auraient pas envoyé par hiboux. «Merci.» Dis-je en zyeutant la copie de l’un d’entre eux, avant l’arrivée du suivant.

Tous les étudiants - À Lire:

Élève Inscrit à ce cour et Post fait. :

Place en classe:

Place Assise:

Devoir:

BY .SOULMATES

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Faust remercia chaleureusement le professeur d'Histoire de la magie avant de quitter sa salle de classe pour enchaîner un autre cours. Il ne venait pas de faire une heure de bourrage de crâne intense mais bien une heure à parler de différentes notions abordées au cours de cette année ou les précédentes dans un esprit critique tout à fait ouvert aux opinions diverses. Le petit plus ? Le professeur et son élève avait bavassé autour d'une tasse de thé à la rose. Un vrai petit goûter à l'anglaise, comme si ils étaient tranquillement installés chez eux et non dans une banale salle de cours de Poudlard. Cette petite pause avait fait le plus grand bien au jeune homme, parler d'histoire était sujet pour lui à la détente et pour le coup, il avait été bien servit. Loin de lui l'intention de jouer les lèches-bottes auprès des professeurs, ce qui venait de se passer n'avait en aucun cas été prévu par ses soins, il avait juste eu l'intention de rester un moment après la classe pour pouvoir parler avec lui de l'un des livres reçus à Noël dernier, concernant la matière et sur un point sur lequel il avait eu besoin d'être éclairer. Finalement, les choses s'étaient déroulées différement et amusé par cet imprévu amusant, le bleu et bronze se demandait si il aurait le droit à la même surprise la prochaine fois qu'il irait voir son professeur d'études des moldus. Il aurait bien vérifié ce fait sur le champs mais cette fois-ci, son emploi du temps ne le permettait pas, il avait rendez-vous avec un tout autre genre de professeur. Le genre pas net dans sa tête.

Le Serdaigle arriva en même temps que son professeur. Il lui rendit son sourire pour la forme puis rentra. C'était toujours un peu déprimant de voir que personne n'était encore là mais en fait, comme les autres étaient des idiots, ça ne changeait pas grand chose qu'ils soient là ou non. Faust était un peu morose ces derniers temps. Sans doute étais-ce l'hiver ? Tant mieux, il allait bientôt partir. En attendant, Faust pouvait toujours observer les arbres danser à travers la fenêtre en pensant que lui était au chaud. Dans une salle de cours mais au chaud, c'était mieux que de risquer de tomber malade même si l'hiver possédait malgré tout quelques avantages bien propres à sa saison comme la neige. D'accord, dans ce climat ce n'était pas exceptionnel, si bien qu'à de nombreux endroits c'était même plutôt un gros problèmes mais Faust restait persuadé que c'était également une chance, des tas de gens n'en avaient jamais et pourtant, voir les flocons descendre du ciel est l'une des plus belles choses au monde. On commençait à ne plus vraiment en voir parce que la saison froide se calmait mais de temps en temps, elle offrait cette vue superbe, plus intéressante encore que les cours, même pour un si grand sérieux comme Faust. C'était en général les seuls moments où ils décrochaient des cours étant gamin et c'est encore le cas cette année, bien qu'il connaisse la chanson et redouble son sérieux, plus rancunier et déterminé à prouver que le meilleur dans sa classe c'est lui. Il l'attendait fermement ce cours, il n'allait rien laisser passer et allait le faire comprendre, motivé par l'heure précédente, il sortit ses affaires sans se départir du sérieux avec lequel on était habitué à le connaître.

Spoiler:

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Jamie & 7e

Classe de 7e - Obscuro

«Hey le crétin, on a pas que ça à faire, t'attendre !» Entendis-je Taylor me lancé du couloir. Quand fallait y allez! Bon, j’étais quand même bien occupé à embrasser Chloé qui était adossé à une colonnade, mais elle aussi avait Sortilège alors je me doutais bien qu’on ne pourrait pas passer toute l’après-midi ici. Je montais et remontais mes mains sur ses flancs, doucement. Taylor me rappelait encore à l’ordre et alors que nos lèvres se séparaient, j’eus un sourire amusé pour la belle brunette que je tenais serré contre moi. «Oui, oui. J’arrive.» Un second baiser rapide et un regard complice et je me dégageai de la demoiselle, toujours encore un peu pantelante contre la colonne. «On va en classe, sexy. Il le faut.» Mais je savais que je n’avais pas vraiment besoin d’argumenter sur le sujet, Chloé était une Serdaigle après tout. Notre situation à tous deux était ambiguë. Et j’avouais en mon fort intérieur qu’en plus d’être incroyablement sexy, cette fille était loin d’être stupide, ce qui rajoutait encore plus à son charme. Je l’aimais bien quoi! Je rejoignis Taylor, Matt et Louis qui bavardait dans le couloir. Éléonore non loin que je voyais partir dans l’autre direction qui devait tout juste de laisser un peu de répit à Matthew. Bon, si Matt aimait, je n’étais pas pour lui dire le contraire, mais je la trouvais presque trop parfaite et beaucoup trop collante cette fille. Qu’ils aient pu croire que j’avais un faible pour elle à la soirée était bien loin de la réalité. Elle était sympa, jolie et je me serais plus à la connaître, mais comme petite-amie, y’avait mieux. Mes doigts entrelacées dans ceux de la belle Serdaigle, je portais sa main vers mes lèvres et embrassai les jointures avant de me défaire de sa peau. «Je suis là!» J’eus un sourire pour l’assemblé, et nous nous engageâmes, nous la mafia de Gryffondor, vers la classe de Professeur Pelvenche.

«Hey! Taylor. C’est en fin de semaine ta séance de shopping ?» Je savais qu’elle n’aimait pas trop, mais après la ruine dans laquelle Matthew lui avait laissé certain de ces vêtements, il était clairement mieux de compenser. Je ris. Avant d’échanger un regard avec Miss Roxen. «On y vas tous ensemble pour te motiver. Particulièrement si vous passez côté lingerie.» Je savais que sexy aurait pigé le sous-entendu, et mon regard laissait à porter beaucoup de belles images intéressantes. «Tu vois avec Élé, Matt? Louis… toi. Bah, il faudrait te trouver une fille, avant.» C’était probablement le seul mec de 7e qui n’avait pas de près ou de loin une fille qui lui tournait autour. Bon, au fils des années, on avait tous échangés de nana, mais quand même, c’était un peu étrange. Il s’était peut-être lancé dans l’abstinence. J’assenai une bourrade au Weasley alors que nous tournions le corridor. Plus que quelques pas et nous nous retrouvions en classe.

Professeur Pelvenche, notre Directrice de Maison se tenait à la porte, la main tendue et un sourire sur les lèvres. Je fouillai dans mon cartable pour en sortir mon travail sur le Feydeamon que j’avais pu débuter rapidement à la fin de la dernière classe avec les autres chanceux qui avait réussi leur sort en Informulés. Tous, en fait, sauf Asling, dont on s’était si gentiment départi à la sortie de la classe. Il avait beau être un pote à Chloé, moi je n’étais pas trop du genre à l’apprécié. C’était ma sexy et de penser qu’il la prenait comme sa deuxième alternative dans la vie, ne me plaisait pas vraiment. Cette fille était de la bombe et elle méritait la place no.1. Malheureusement pour lui, je n’étais pas près de lui laisser. Ni maintenant, ni jamais. Il avait loupé le train, et cette fille, c’était la mienne. Ce n’était peut-être pas ma petite copine, mais j’avais horreur de ce genre d’attitude et je n’avais pas l’intention de le laisser le lui faire subir. Je posai mon cartable sur le bureau le deuxième bureau à gauche, et m’assit les jambes dans l’allée. Chloé venait dans notre direction, car oui, Matt, Taylor et Louis s’était assis tout autre de moi, j’attrapai sa main et la tirai sur mes genoux. «Tu t’assois avec moi aujourd’hui?» Lui demandais-je. Proposition alléchante, accompagné d’un sourire charmeur et assumé.

Note:

Dernière édition par Jamie A. Alexander le Dim 1 Mar - 6:56, édité 3 fois

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Nouvelle journée à Poudlard, heureusement qu’il ne me restait que quelques mois ici avant de pouvoir partir pour de bon parce que je ne supporterais pas d’y rester plus longtemps. Sauf que si je vivais dans cette philosophie, j’étais obligé d’admettre que si je voulais être certain de vouloir partir le plus tôt possible je devais mettre toutes les chances de mon côté. Autrement dit, après la chance dont j’avais fait preuve lors du cours sur les sortilèges informulés, je ne pouvais pas passer à côté du devoir sur les Feudeymons que Pelvenche nous a donné à faire. J’avais donc dû faire des recherches, une chose que j’avais fait très rarement au cours de mes études à Poudlard mais au moins maintenant que j’étais miraculeusement arrivé en septième année, les choses étaient plus ou moins intéressantes. Nous avions donc dû faire des recherches sur ce sujet qui s’était révélé être très alléchant pour moi étant donné qu’il s’agissait de magie noire. Ô bien sûr jusqu’à présent je n’avais jamais été très attiré par ce genre de magie mais il faut dire que si, un jour ou un autre, il arriverait que j’en aie besoin, je n’hésiterais pas une seule seconde.

Je me rendais donc en cours de sortilèges, n’ayant pas hâte de voir la prof mais sachant à quoi m’attendre puisque nous nous étions croisés depuis le cours sur les sortilèges informulés et qu’il était arrivé qu’elle me donne des conseils sur la pratique ou la théorie également, comme si elle s’était mise en tête de me voir progresser. A croire qu’elle aussi avait hâte de me voir partir d’ici. En même temps je ne peux pas lui en vouloir, ce n’est pas comme si j’avais toujours fait partie de ses élèves les plus attentifs, les cours n’avaient toujours été pour moi qu’une perte de temps. Même si en mon for intérieur je sais que ce n’est qu’à moitié vrai.

J’entrais et vis que certains élèves étaient déjà arrivés, dont Faust ou Jamie qui était en compagnie de Chloé. Tiens, elle ne m’avait rien dit à ce sujet. D’un autre côté elle avait l’air heureuse avec lui alors ce n’était probablement pas le meilleur moment pour aller lui parler, et pour lui dire quoi ? Non, pas la peine. Je donnais rapidement mon devoir sur les Feudeymons à Pelvenche avant d'aller m’asseoir au fond de la salle et m'accoudais contre mur, n’ayant qu’une seule envie: que cette journée se termine.

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"Classe de 7e - Obscuro"

"A 'lil class, why not ?"

« Hey le crétin, on a pas que ça à faire, t'attendre ! » Lançais-je à Jamie, trop occupé à bécoter Chloé que se dépêcher. Bordel qu'il avait changé ce mec depuis sa bizarre d'histoire avec la Française. M'enfin, peu importe, il fait ce qu'il fait, je n'ai aucunement l'intention de le contrôler en espérant que lui ne se fasse pas contrôler. J'attendais donc avec Matthew et Louis, en leur disant : « Trop long, allons-y. » J'ai commencé à marcher avec les deux garçons où Jamie clamait qu'il arrivait. Il vint nous rejoindre peu après, avec Chloé. J'eus un petit sourire, en continuant la marche. Une chance qu'Erwan et moi ne faisions pas comme eux. Tout cas, les deux amoureux étaient désormais en compagnie de Matthew, Louis et moi-même. J'aurais bien aimé que mon copain soit là mais il devait accomplir ses devoirs de préfet, probablement. C'est là que Jamie s'adressa à moi à propos de shopping, continuant sur le fait d'y aller ensemble, mentionnant les lingeries, ce qui me fit rouler des yeux en lançant un bon soupire. Je lui ai répondu :

« Faire les boutiques, c'est pour les filles. » Dis-je, en riant. J'avais beau être une fille, je détestais faire les boutiques sauf quand il s'agit de surf ou jeux vidéos. Puis, Jamie continua sur le sujet, mentionnant que Louis devrait se trouver une fille avec qui aller faire les boutiques. J'ai mis mon bras sur l'épaule du Weasley. « Je te conseille McGonagall, surtout qu'elle se sent sûrement seule depuis un an. C'était pas ça que tu recherchais, une bonne vieille femme d'expérience ? » Dis-je, amusée, retirant mon bras de son épaule. C'était drôle, je m'entendais juste trop bien avec ces trois gars-là, beaucoup plus qu'avec n'importe quelle fille de l'école, particulièrement Matthew avec qui j'avais un lien spécial. Il était un des seuls à m'avoir vu sous ma vraie forme aussi...

¤ Après quelques couloirs, la classe fut en vue. J'espérais qu'il y aurait de la pratique où j'aimerais encore humilier des crétins du genre Gallagher. J'ai donc entré, avec le groupe incluant Chloé, en classe de Sortilèges. J'ai salué Pelvenche d'un sourire en lui remettant mon devoir, fait tout juste la même journée que le cours dernier. Pelvenche connaissait aussi mon secret puisque je lui avais avoué. Bref, j'ai suivi Jamie qui s'assit à la deuxième rangée de la première colonne, avec Chloé. Évidemment. J'ai pris place au fond, à côté du mur, laissant Louis et Matthew à côté. Je roulais des yeux en regardant Jamie et la Roxen faire. J'ai murmuré à Matthew, en sortant mes choses :

« Ces deux-là vont finir par me tuer à force. Je vais tout simplement m'attacher un poids après la jambe et me laisser doucement couler au fond du lac ! » Dis-je, en haussant des épaules, amusée. J'ai terminé de tout sortir, mettant mes bras sur le bureau, regardant partout sauf dans la direction des deux amoureux. Mon Erwan n'était pas encore là. J'avais hâte de le voir, le serrer contre moi... Néanmoins, il y avait ce crétin de Gallagher ainsi que mon ex, Faust, alias monsieur face de sérieux. Je ne leur fis pas attention, préférant me concentrer sur mes pensées visant mon copain actuel.

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fiche par century sex.

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Un petit coin, quelques minutes de temps entre les cours et un Sexy. J’avais tout ce qu’il me fallait pour passer des journées parfaites. Depuis la soirée dans la salle commune, qui s’était terminée en beauté pour nous deux, nous avions pris l’habitude de nous retrouver, chose qui n’était pas difficile en soi puisque nous partagions quelques cours en commun.
Occupée à embrasser Jamie dans un couloir, je retombais sur terre grâce à la douce et agréable voix de Taylor. La jeune femme venait sûrement de nous permettre de ne pas être en retard au cours de Sortilèges, et donc, de m’éviter une crise de nerfs, dans l’hypothèse du retard. Ouf. Je rendis son petit sourire à Jamie, résistant à l’envie de poursuivre notre petite occupation.
J’attrapais mon sac en vitesse et passais une main dans mes cheveux avant de marcher sur les pas de Jamie qui rejoignait ses copains Gryffys. La miss Taylor se plaignit des idées d’achat lingerie de Jamie ; moi, cela met sourire car j’avais perçu le petit sous-entendu du jeune homme, qui me fut confirmé lorsque je croisais son regard.
Je profitais du fait que Jamie s’adresse à Matt pour jeter un coup d’œil à ce dernier. J’avais presque l’impression de l’avoir connu dans une autre vie ; La présence quasi constante de Jamie et de Taylor m’empêchait de lui parler comme nous le ferions sans doute, naturellement. Passant à autre chose, je papillonnais alors près du dénommé Louis que je ne connaissais ni d’Eve, ni d’Adam pour lui dire, juste à la suite de Taylor qui lui sortait je ne sais quelle idiotie à propos de McGonagall :

- Hum sinon tu as Lynn Diggory, 6ème année, Serdaigle, belle blonde très intelligente, trop sérieuse, donc assez chiante. Mais ça forge le caractère. J’entendis presque raisonner dans ma tête la voix d’Albus me disant « arrête de faire ta pub, Lynn n’est pas un objet », ce qui me fit sourire. J'adressais ensuite un clin d’œil à Louis en ajoutant : Ou bien, en bonne vieille femme d’expérience, tu as Taylor, un peu alcoolo, mais plutôt cool.

Il fallait bien la provoquer un peu, la miss Williams. Se gênait-elle pour le faire envers moi ? Arrivée à l'entrée de la classe, je déposais mon devoirs à Pelvenche après lui avoir souri.
Je n’eus pas le temps de réagir que je me retrouvais déjà sur les genoux de mon Sexy.

- Toi, tu ne peux plus te passer de moi, je levais les yeux au ciel d’un air assuré et en souriant. Tu me déconcentre Sexy et je t’envoie valser, aussi vite que Pelvenche ne le verra même pas. Je baissais la voix, pour ne pas être entendue. Menaces en l’air, j’étais bien contente qu’il m’ait rattrapée, voire même complètement ravie. Je lui lançais un petit clin d’œil qui avait la même forme que le petit sourire charmeur qu’il m’avait lancé.

Je n’avais pas eu besoin de beaucoup de temps pour me décider à m’installer à côté de Jamie. Matt était derrière, ainsi que Taylor et Louis ; le choix entre eux et l’autre andouille de Churchill n’avait même pas à se faire, il coulait de source.
Le cours de sortilèges n’était pas mon préféré, je n’étais absolument pas confortable dans cet exercice même si, naturellement, je ne délaissais pas la discipline. Les runes, ça c’était ma vraie trempe ; des gros bouquins, quelque chose de bien chiant, bien barbant qui fout un mal de crâne horrible. Pas normale ? Très certainement.

L’arrivée d’Asling ne m’échappa évidemment pas. Tout comme le fait qu’il se mit le plus loin possible de nous... Il croyait quoi ? Que je n’allais pas le voir ? Il ne m’adressa même pas un petit signe de la main. Je me retournais alors pour sortir mes affaires, le cours m’occuperait l’esprit.

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Au fur et à mesure que l'année avançait, les cours devenaient de plus en plus pénibles malgré toutes les bonnes motivations avec lesquelles Etalyrae s'était bourrée le crâne en début d'année, notamment à cause de sa nomination au poste de préfète de sa maison. On pouvait bien dire se qu'on voulait mais elle travaillait de son mieux pour honorer le contrat auquel elle était liée et en plus de cela, elle se rajoutait des charges, faisant de son devoir évident de relever sa maison. Déjà, au début de l'année, ça n'avait pas été facile. Ses rumeurs s'étaient dépêchées d'apparaître sur son dos et la jeune femme avait vite fait de les éteindre de quelques menaces délicatement formulées mais il y avait eu son jumeau, pas le Serpentard le plus apprécié, y compris dans sa maison. Difficile alors d'unir leur maison sous une même bannière. En soutenant la candidature de son vieil ami Asling, la jeune femme avait espéré pouvoir continuer de se débrouiller plus pou moins seule, finalement, quand elle avait été forcé de l'être, elle avait découvert qu'en dépit de la difficulté et de la sur-charge de travail, elle se débrouillait plutôt bien. C'était plus facile d'unir sa maison. Etalyrae pensait continuer avec Asling en tant que préfet, elle l'imaginait comme bon vieux mouton et cette idée alléchante lui avait fait faire des erreurs. Elle qui pensait qu'il esquiverait ses devoirs dès qu'il le pouvait sans chercher autre chose qu'à continuer son petit train-train, elle avait fausse-route. De un, il l'a laissait tomber dès qu'il le pouvait, de deux, il s'essayait à des plans ayant ni queue ni tête et qui allait faire sombrer leurs avenirs. Mais quel idiot. Et leur amitié dans tout ça ? Elle était passée à la trappe...

De plus en plus déçue par les gens qui l'entouraient, Etalyrae n'aspirait qu'à une chose : quitter une bonne fois pour toute l'école de sorcellerie. Chaque année il y avait de nombreux nostalgiques et cela faisait longtemps qu'elle savait ne jamais en faire parti. Aujourd'hui, c'était bien le cas, elle ne regrettait pas ce départ prochain. Au moins, une personne ne la décevrait jamais : elle-même. La preuve qu'on ne peut faire confiance qu'en nous-même. Même les professeurs étaient corrompus, et pas dans le bon sens. Ce constat qui sautait aux yeux donnaient encore moins l'envie de se rendre en cours. La préfète des verts et argents s'y rendaient, toujours avec le sourire mais ces derniers temps ce dernier s'était peut-être un peu terni. Qui l'aurait remarqué ? Personne. Personne pour regarder les états d'âme de la jeune femme. Et d'un côté, elle était la première arrangée, cela confirmer ce qu'elle avait toujours penser et on ne lui cherchait pas des noises en plus. Faut dire qu'elle rendait la tâche plutôt compliquée alors à force, les manières de l'atteindre changer. Ce n'était tout de même pas de sa faute si le monde des rumeurs l'accueillait en son sein depuis sa première année, elle savait mieux que quiconque comment s'y prendre et si cette année elle n'avait plus le temps d'en lancer de nouvelles, elle savait encore comment faire pour protéger sa peau et lancer des sujets qui gommaient les anciennes. On ne la piégeait pas, à elle.

Déjà toute une ribambelle d'abruti était présent dans la salle de classe de Sortilèges. La jeune femme ne leur adressa pas même un seul regard, c'était les détritus de la société, les futurs déchets, autant se distinguer dès maintenant. Elle passa devant et s'installa à une table du fond. De là, elle sortit de son sac un gros bouquin emprunté à la bibliothèque, il concernait la matière et la jeune femme trouvait qu'il était beaucoup plus utile pour apprendre, il pallier aux cours incomplets que Pelvenche avait à leur proposer.

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Louis attendait tranquillement dans le couloir. Il était avec ses deux amis Gryffondor, Taylor et Matthew. Le 3ème se trouvait plus loin, en train d’embrasser avec une telle passion sa copine, qu’il en faisait presque peur. C’était d’ailleurs très drôle. Taylor lança une phrase plus que drôle à l’intention de Jamie. Elle était le pire mec du groupe. Et pourtant, quand on la voyait, elle était plus que belle. Beaucoup de garçons tournaient souvent la tête sur elle. Et Weasley en riait assez souvent. Quand on connaissait Taylor, c’était tout sauf une fille facile, très loin de là même. Matthew, Taylor et lui-même avança après que la demoiselle eu la bonne idée de dire qu’il serait bien trop long d’attendre encore Jamie. Et c’était vrai.

Alors qu’ils marchaient pour rejoindre la cour de leur directrice de maison, Jamie parla de shopping. Il dit à tout le monde qu’il serait bien qu’ils puissent y aller tous ensemble. Mais Louis savait très bien qu’il allait avoir le droit quelques secondes plus tard à de la moquerie de la part de ses amis. Et ne pas manquer. A peine Jamie avait parlé d’y aller avec les filles, il fit allusion au fait que le jeune Weasley était célibataire. Pour eux, il avait toujours été l’éternel célibataire. Il n’avait jamais eu de vraie longue relation comme ses amis avaient pu avoir ou pouvait l’avoir à cet instant. Les paroles de Taylor virent rire Louis et celle de Chloé, à qui il ne parlait que très peu, était aussi assez drôle. Tous voulaient vraiment voir Louis aux bras d’une demoiselle. Il n’avait pas parlé du fait que Sunny l’avait embrassé le soir de la Saint Valentin. Il savait très bien que s’il leur disait, ils se feraient un malin plaisir à le provoquer. Avec malice, Louis répondit donc aux garçons :

« Hey les gars, on est amis, non ? Donc tout ce qui est à vous, est à moi. Pourquoi j’aurais besoin d’avoir une demoiselle alors. Et puis, qui vous dis que je n’ai pas déjà eu un moment intime avec notre charmante directrice … Non en fait non »

Il ria en posa la main sur l’épaule de Matthew. Il savait qu’il pouvait faire ce genre de blague, ces amis ne le prendrait pas mal du tout. Il dirait certainement assez rapidement à ses amis ce qu’il ressentait pour Sunny. C’était préférable. Rentrant dans la salle, Louis tendit son devoir qu’il avait à faire. C’était assez simple pour lui mais il avait toujours peur. Pourtant, il savait qu’il devait être l’un des meilleurs de la classe, de plus c’était aussi sa matière préféré. Louis s’assis alors sur le bord de la rangé, Matthew à sa gauche et Jamie juste devant. Il était entouré de ses amis, il se sentait bien. En sortant ses affaires, il se tourna vers Taylor et Matthew :

« Pour votre info, il est possible qu’une demoiselle soit prochainement ma petite amie. Et ce n’est pas un livre de cours Taylor ! »

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Cours de Sortilèges : Obscuro

Les 7èmes années

Une nouvelle heure de cours, et en compagnie de mes acolytes j’étais certain de ne pas m’ennuyer ! Tous sur chemin de la salle de classe, on attendait Jamie qui semblait se noyer dans la bouche de Chloé… c’en devenait presque dégueu mais ça me faisait sourire, amusé. Il était accroché à elle, c’était dingue, elle le rendait totalement fou, ça se voyait trop et je trouvais ça juste risible… vraiment ! Elé venait de me laisser, allant rejoindre ses camarades de 6ème année. Je me tournai alors vers Taylor et Louis et leur dis tout en roulant des yeux, suite aux paroles de la griffonne : « Carrément trop long… mais que veux-tu, son cerveau l’emporte. » Dis-je en jetant un coup d’œil amusé sur mon entrejambe, échangeant un regard complice avec Louis. Jamie arriva alors à notre niveau et je lui dis d’un air moqueur : « On dirait une sangsue quand t’es avec Chloé mec, tu deviens une vraie nana ! » Je lui donnai une légère tape dans le dos, sachant qu’il était loin d’être le mec passionné et chiant qu’on pouvait voir dans les couloirs, mais le charrier un peu me faisait rire.
Une séance shopping… ouais, j’avouais que j’avais fait un certain carnage dans ses vêtements lorsque j’avais été une nana. Mais bon, je m’étais promis de lui offrir des fringues pour me faire pardonner, pas de doute sur ça. Evidemment, nous les mecs n’aimions pas le shopping, et Tay était loin d’être une nana parfaite sur ce point-là ! Jamie proposa alors à Chloé ainsi qu’au groupe d’y aller tous ensembles. Ouais, pourquoi pas, ça pourrait être drôle. Il me proposa d’en discuter avec Elé et j’acquiesçai d’un signe de tête avant de la tourner vers Louis, un sourire sur le coin des lèvres. Taylor désigna alors McGo et je ne pus m’empêcher de rire, disant : « Nan, McGo est une femme d’expérience, ne lui faisons pas peur ! » Je passai, à mon tour, un bras amical autour des épaules de mon pote et lui dis : « J’suis sûr qu’il y a des minettes qui attendent que ce grand Weasley leur propose une petite sortie… mais les prend pas trop jeunes hein ! ». Je le lâchai alors, un sourire de nouveau amusé sur mes lèvres, aimant charrier mes proches.
Alors que je laissai mes potes se chamaillaient, amicalement parlant bien sûr, j’échangeait un petit regard avec Chloé, souriant au passage. Il était vrai qu’elle passait beaucoup de temps avec Jamie en ce moment, moi j’essayais de ne pas perdre le nord avec Elé et passait pas mal de temps avec Taylor, entre autres… tout ça faisait qu’on n’arrivait plus à se voir juste tous les deux. En réalité, on ne se connaissait que depuis peu, depuis les dernières vacances d’été, mais j’avais toujours eu l’impression de la connaître, se comprenant juste sur un échange de regard. Elle charria alors Taylor à son tour et je regardai cette dernière, lui donnant un petit coup de coude dans les côtes : « La gamine ?! Laisse tomber mon gars ! Va vers elle que si t’es suicidaire, sinon elle va t’épuiser… regarde ce pauvre Erwan, il travaille à fond pour éviter de se faire bouffer !!! ». Je ris alors en attrapant cette fois-ci Taylor pour la rapprocher de moi d’un air malicieux, la lâchant lorsque nous arrivions devant la salle de classe et ajoutant à l’instar de Louis, ne façon complice : « J’suis pas contre partager Elé, mais elle sera pas tellement d’accord… la preuve, avec Jamie ça l’a pas fait ! » Dis-je en sous-entendant le baiser. Bien sûr, tout cela était basé sur de l’humour. De un, je ne partagerai pas et, de deux, je n’en voulais absolument pas à Jamie. C’était juste pour s’amuser un peu. Je mimai alors un air de dégoût, comme si je vomissais quand Louis nous parla de moment intime avec McGo.

Je saluai alors d’un large sourire l’enseignante puis parcourrai rapidement du regard la classe, apercevant Faust et Asling à qui je fis un petit signe respectif du bout des doigts. Retirant la bretelle de mon sac, je suivais la bande des griffons accompagnée de Chloé, toujours dans la bonne humeur, se charriant les uns les autres. De la pratique me ferait du bien aujourd’hui, en ce moment j’avais pas mal besoin d’évacuer. Frustration, conflits inutiles, prises de têtes futiles, et blablabla… se défouler en classe me ferait le plus grand bien ! Alors que nous prenions place au fond de la salle, derrière Jamie et Chloé, les propos de Taylor me firent sourire. Je haussai alors des épaules et dis d’une voix assez forte pour que les deux gamins de devant entendent, sachant que ça les interpellerait : « Ah, que veux-tu, l’amour c’est… gerbant ! » Je ris alors, je savais très bien que ces deux-là n’apprécieraient pas que je parle d’amour, mais moi ça m’éclatait assurément !! Je sortis alors mes affaires, attendant que tous les élèves soient en classe. Aux mots de Louis, je tournai alors la tête de façon vive, le fixant et laissant un petit sourire prendre place sur mes lèvres : « Ohoh, ça c’est de l’info ! Vas-y, dis-nous en plus, ne nous met pas juste l’eau à la bouche… » Je fis mine de réfléchir, posant ma main sur mon menton et levant les yeux au ciel. « Hum… voyons voir… une belle brune pulpeuse, style sérieuse mais une petite cochonne au fond… » Je ris alors tout en donnant un coup de coude amical à mon pote : « J’plaisante, mais obligé que tu nous la présentes rapidement… faut qu’on valide ! » Et qu’on regarde… Ahaha, je n’avais absolument aucune idée de qui ça pouvait être, mais espérons que la nana serait du genre à aimer s’amuser, car avec le groupe, il n’y avait pas d’autres issus.

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Jamie & 7e

Classe de 7e - Obscuro

«Une nana? Mec, je profite c’est tout.» Levais-je les mains d’un air faussement non coupable. J’aimais bien cette fille, et bien que nous n’ayons pas de relation déclarée réelle, j’aimais bien lui faire tourner la tête. C’était sympa et simple, aucun problème. J’adorais ce climat et pendant que nous étions tous en train de faire notre chemin vers la salle de classe, je me mis à sourire du raz de marée que j’avais causé. Les propositions allaient bon train, à commencer par notre vénérable directrice d’école, qui fut déclaré comme trop vieille et je levai les yeux dans les airs de voir qu’elle ait même pu être proposé pour accompagner Louis. C’était hilarant. Chloé proposa, je crois, une amie que je ne connais pas vraiment, mais si la brunette l’aimait, alors aucun problème à dire que probablement qu’elle n’aurait pas trop de mal à bien s’entendre avec nous tous. J’ignorai comment on s’était rendu à partager Taylor ou la mettre avec le célibataire, mais j’hochai la tête à la remarque du 7e. Matt avait confirmé qu’il regarderait avec sa copine, la Éléonore, et je n’échappai pas la phrase comme quoi la belle ne voulait pas être partagé et donnant une bourrade amical à mon pote. «Tu peux t’essayer Louis, mais … » J’avais un air amusé et dubitatif sur les lèvres. Ce n’était peut-être mieux pas s’il ne voulait pas que la préfète décide de sauté un plomb. «… on sera là pour te ramasser à la petit cuillère après.» Je voyais très bien la griffonne faire ces nerfs sur le pauvre Louis qui viendrait faire une tentative de suicide et nous revenir en pièce détaché.

L’arrivée en classe se fit normalement, je rejoignis la table du milieu à gauche et regardai les autres passés un après l’autre à côté de moi pour s’asseoir au dernier rang. Interceptai la belle Chloé pour lui demander si elle s’asseyait avec moi aujourd’hui, assise sur mes genoux, elle m’indiqua que je n’étais plus capable de me passer d’elle, et accepta à condition qu’elle puisse réellement pouvoir porter attention à la classe me menaçant vainement, car après tout, j’avais beau être de Gryffondor, je tenais quand même à avoir des bonnes notes. «Si tu veux, je peux accorder mon attention à une autre…» Je hochai un sourcil amusé, car je savais que ça ne lui plairait pas. «…mais vois-tu, je n'en ait tout simplement pas envie, si tu restes ici avec moi, on pourra recommencer plus rapidement ou on s’était arrêté tout à l’heure. Après la classe bien sûr.» J’avais un sourire entendu sur les lèvres et alors qu’elle prenait place, je lui rendis son clin d’œil, soulignant au passage que je pouvais être aussi très sérieux en ce qui attrait mes études.

Je levai les yeux au ciel. Il me prenait pour qui mes potes en arrière. Je passai du bon temps avec cette fille, rien de plus. Je me retournai vers la table de derrière, pendant que Chloé s’installai. «Ah oui. C’est vrai… Vous êtes bien placé pour le savoir…» Je ris. Car après tout, Taylor et Matthew était les deux seuls qui étaient réellement en couple. Outre le temps passé ensemble, moi et Chloé, il n’y avait rien de sérieux, du moins, c’est toujours ce que j’avais cru. «J’imagine que ça rend fou aussi, après tout, Matthew Riddell amoureux et en couple, qui l’aurait cru. » Je ris. Au fait, je savais que Matt avait beaucoup de respect pour Éléonore, mais je ne savais pas s’il l’aimait ou pas, et puis entre mec on ne se posait pas vraiment ce genre de question. Bien vite la discussion tourna vers Louis, qui avait des scoops à nous donner. J’étais aussi intrigué de Matt. Après tout, on venait de le charrier et voilà on passait aux aveux. «Il va falloir que tu craches le morceaux. Plus le choix!» Bon, il semblait ne pas vouloir passer comme indic tout de suite et je me retournai vers l’avant pour ouvrir mon sac et retirer les effets pour la classe de Sortilège. J’échangeai un regard avec ma coloc de bureau, avant d’ouvrir grand mes oreilles questions de capter toutes autres informations sensibles tant que la classe ne serait pas débutée.

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Non Wilhelmina n'était pas retard, juste pas en avance comme d'habitude. Il faut dire que la blonde était resté un peu plus longtemps en cours pour parler avec son professeur de Runes. Le sujet qu'elle avait fait, l'avait passionnée, et vu le genre de personne qu'elle était, quand Wilhelmina était passionnée elle en profitait un maximum, elle était donc restait pour en savoir un peu plus, et n'avait regardait l'horloge que 10 minute avant le cours de sortilège. Aoutch, elle devait se dépêcher si elle ne voulait pas arriver en retard, un comble pour elle qui n'avait jamais essayé un seul retard depuis 7 ans. Elle partit donc précipitamment à l'étage voulu, faisant bien en sorte de n'avoir aucun contact avec personne tout de même. Elle ne voulait pas être touché par quiconque.

Quand elle arriva à quelque metre de la salle encore ouverte, elle calma très vite son rythme cardiaque, pris une grande inspiration qui lui permetta de reprendre ce masque froid qu'elle arborait toujours sur son visage. Livre à la main, elle arriva devant la salle de cours, coiffé à la perfection et les vêtement en place, comme si elle était venue avec calme. Wilhelmina savait faire preuve d'elegance et ne jamais montrer ses faiblesse. Elle salua avec politesse le professeur déjà présente et se dirigea doucement vers la place à la droite de Faust, le faisant légèrement avancé pour passer. Et bien oui, Wilhelmina n'avait pas une surcharge de poids, mais elle n'était pas encore anorexique et n'arrivait donc pas encore à passer dans un petit trou de souris. Passant machinalement ses mains sur les épaules de son copain, elle posa ses livres devenu encombrant sur sa table et pris place doucement sans trop faire de bruit. Elle ne savait pas sur quoi le cours allait portait évidemment, mais elle se sentait prête à le faire.

Elle jeta un petit coup d'oeil dans la salle, juste pour voir qui était déjà présent. Elle ne s'attarda pas sur les personnes au dernier rang, mais vis quand même Etalyrae à qui elle fit un sourire et un petit signe de main pour la saluer, ne l'ayant pas vu ce matin vu qu'elle s'était levé bien plus tôt que sa camarade. Elle ne vit en outre, pas Daniel ce qui ne la surprit en fait pas plus que ça, elle haussa un peu les épaules et reporta son attention sur ses affaires, attrapant sa plume et posant sa baguette sur son pupitre.

Spoiler:

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"Classe de 7e - Obscuro"

"A 'lil class, why not ?"

¤ La situation entre Chloé et Jamie m'énervait un peu mais bon, j'en rigolais et je ne pouvais m'en empêcher. Tout cas, j'avais rappelé à l'ordre les deux tourtereaux afin qu'ils ne soient pas en retard au cours de Sortilèges. Matt, qui venait de lâcher Éléonore, trouvait aussi que leur petit jeu durait trop longtemps. J'avais décidé de prendre de l'avance en même temps mais ils ont arrivé rapidement. Je ris quant aux paroles de mes amis. Matt' avait raison, le cerveau des gars se trouvent ailleurs que dans la tête... Là où il avait pointé. Pour m'être tenue avec des garçons depuis ma première année, je peux affirmer que je suis bien placée pour le savoir ! Jamie avait ouvert le sujet sur le shopping où je ne me suis pas gênée pour répliquer aussitôt. Ensuite, le même bonhomme avait ouvert le débat quant à trouver une fille pour ce pauvre Louis. Moi, pour rigoler, j'avais proposé McGonagall. Une bonne femme d'expérience, c'était le mieux non ? Chloé, elle, proposa une certaine Lynn dont je ne connaissais pas ou peut-être que j'avais entendu son nom de la bouche de James. Elle me nomma moi, par après, comme étant alcoolo ! Elle devait faire référence à sa fête où j'ai bu pour quatre sans être affectée. Matt' s'ouvrit de nouveau la bouche, ne me laissant pas le temps de répliquer à Chloé, afin de contrer McGo', ce qui me fit sourire. Ensuite, le Riddell me charria, nommant Erwan comme étant "malchanceux" où il rit en m'approchant de lui. Je lui ai donné un petit coup de coude amical dans la côte, toujours avec mon même sourire pour lui répondre :

« Ça doit être parce que je suis Australienne, pardonne moi... On a du caractère là-bas ! » Dis-je, en riant avant de me tourner vers Chloé. « Oh et je ne suis pas une alcoolo, je n'ai qu'un petit problème de boisson... Un tout petit ! » Puis, mon meilleur ami continua le fait qu'il ne partagera pas Éléonore, ce qui était normal. De toute façon, je doute fort que ce soit le cas, déjà que la Canadienne n'avait pas confiance en lui. Moi, je n'avais aucun problème avec mon aiglon ! Il accepte le fait que je sois indépendante. Néanmoins, quand Louis répondit enfin, je fis la même chose que Matthew, mimant un air de dégoût. Dire que quand j'allais avoir le même âge que McGonagall, j'allais ressembler à la moi d'en ce moment-même. M'enfin. Nous étions entrés en classe. J'ai pris place au fond de la première rangée, contre le mur. Matt' était à côté et Louis de l'autre. Chloé et Jamie étaient les deux en avant. J'ai lâché mon commentaire quant à ce que faisait Chloé et Jamie en avant. Matt' fit exprès d'hausser le ton en parlant d'amour, me faisant rire. Louis clama qu'il allait peut-être avoir bientôt une petite amie, ce qui me fit hausser un sourcil. Matt' continuait d'en parler, rigolant sur le sujet avant de dire qu'il fallait que cette fille passe le "test". J'ai hoché de la tête en répondant à mon tour :

« Oh oui, elle devra passer le test ! Mais Matt', c'est peut-être aussi une blonde sexy avec un corps d'enfer ? » Dis-je, avec un clin d'oeil amusé. Je me suis enfin tournée vers Jamie. « C'est vrai que notre Mattounet en couple, on ne l'aurait jamais pensé ! » Je me suis tournée vers Matthew. « J'ai bien hâte qu'Ele' t'amène dans une boutique de vêtements. Tu n'auras jamais fait autant le piquet de ta vie ! » Dis-je, en rigolant. Changeant de sujet, je dis : « J'espère que ce cours sera super et qu'il y aura une partie pratique. Je me sens d'humeur pour éclater la tronche des crétins de classe. » Je fis un signe de tête vers Gallagher et les autres. « De toute façon, les Sangs de Bourbe sont les meilleurs. » Dis-je, en haussant vaguement mon ton de voix. Je n'étais pas née-moldue mais tout le monde pensait que si. Ici, seuls Pelvenche, Jamie et Matthew connaissaient mon secret. Bref, je me suis tus.

fiche par century sex.

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Cour de Sortilége : Obscuro

AVEC — Les 7ème année

Cela fait plus d'un mois que je dormais pas et pas pour avoir passé des nuits torrides avec des filles. J'aurais préféré, non cette fois-ci c'était pour une raison inconnue, alors autant dire que si on vient me parler je suis d'une humeur de chien. J'avais loupé le dernier cours et vue que Lynch ne pouvait plus me les refiler il fallait bien que je me pointe un jour. J'allais être encore enfermé autour de gens qui m'indiffèrent plus les uns que les autres à écouter une cruche parler. Non vraiment comme on pouvais le dire c'était un jour de merde ! La seule chose qui me rassurer peut-être c'était la présence de Wilh. Ce matin je m'étais isolé, j'avais pris de quoi manger et j'avais filé en salle commune pour me retrouver seul. Malheureusement pour moi plusieurs filles passer devant moi en gloussant, se disant soient : "- Oh tiens regarde c'est le playboy Daniel Smith ! qu'il est canon !" Ou bien "- Regarde c'est le mec qui couche avec n'importe quelle fille ! Quel naze !" Oué j'attirais soit la sympathie et encore c'était plus de l'intérêt physique par les filles, sinon de la haine pour ce que je fais. Personnellement je m'en cachais pas et je n'avais pas à le cacher, j'assumer mes actes et rien ne pouvait me faire reculer. Après avoir lu un bon chapitre pour le cours de Potion qui était l'un de mais cours préférer je réunis mes affaires pour me diriger vers le cours de Sortilège.

Quand je me dirigeai vers la salle je me rendis compte que je n'étais pas le premier heureusement car je me serais collé la phrase pourrie du prof : " oh monsieur Smith quelle surprise de vous voir ici ! " Pfeu ! Si tes cours était un peu plus mouvementé et intéressant je viendrais bien plus. Heureusement en arrivant je n'eu le droit à aucune phrase pour le moment, d'ailleurs je compter passer inaperçu même si je sentais qu'un petit rigolo se donnerait à coeur joie de préciser ma présence. Si ça les amusait j'étais prêt à rentrer dans leur jeu, absent ne veux pas dire élève inculte, ma façon d'apprendre et très différente de la leur. Être assis sur une chaise m'ennuis, si je m'endors par c est un exploit surtout que je n'ai pas dormi. En entrant dans la salle j'ignorai ceux qui se trouvaient déjà assis, ça n'avait peu d'importance, sauf que je reconnu au loin une petite tête blonde qui elle ne me laissait pas de marbre. Je me dirigeai vers celle-ci gardant mon sérieux, je tendis ma main à Faust qui se trouvait près d'elle et ensuite je m'essayai à face elle en la saluant elle aussi.

"- Bonjours Faust, eh Wilh étonné de me voir je présume? Je n'ai trouvé aucune échappatoire cette fois-ci. Autant dire que si tu entends ronfler ne sois pas étonné ! "

Je mis à rire, je ne savais pas si j'allais m'endormir, je dormais pas la nuit alors pourquoi maintenant? C'était comme si le temps se figer, me laissant aucun moment de répit. J'aimais ce monde qui n'appartenait qu'a moi, cette bulle où je ne laissais personne entrer. Quand je dormais pas les minutes devenaient des heures, les heures des jours, et les jours se jetaient dans le fleuve du temps, portés par le courant. L'inconvénient, c'est que le temps s'envole, l'avantage, c'est que vous en êtes le pilote. Je posai mon sac sur la table à côté de la mienne et je pris mes livres de cour, je ne savais pas de quoi on allait parler mais je sentais que j'allais m'amuser moi. Ça pouvait être aussi l'opportunité de prouver que ce n'était pas parce que je venais pas en cours je n'étudiais pas. Bien au contraire, je lisais et pratiquais autant que possible, seul. Je me glissai sur ma chaise pour allonger mes jambes et mettre mes mains derrière la tête, je me mis à regarder dehors maudissant les cours me privant d'explorer ce monde qui n'attend que d'être découvert. Je craquais mes doigts derrière ma tête, stresser de cette situation. Je voulais que le temps passe vite. Mais au lieu de ça j'étais le témoin forcé de chaque seconde, de chaque heure qui s'écoulait.

Spoiler:

(c) MEI

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J’étais ravie d’être en cours de sortilèges, en compagnie de cette bande de taquins, jaloux de ne pas pouvoir s’amuser autant que Jamie et moi.
Lors de la discussion entamée dans le couloir, la petite allusion au baiser de Jamie et Élé ne m’avait pas échappée, mais je n’avais rien dit. En réalité, j’avais encore du mal à comprendre comment une chose pareille avait pu arriver. Jamie était juste meilleur pote avec Matt et Élé collée à la glue à ce dernier, loin de la fille libre et libérée. Quelqu’un m’explique ? Ou alors mieux valait ne pas chercher à comprendre.
Arrivée en classe, j’avais naturellement pris place à côté de Jamie. Je m’en voulais légèrement de ne pas attendre Asling, mais ce n’était que partie remise, j’espérais qu’il ne se mette pas en colère contre moi pour si peu, d’autant plus qu’il n’avait pas l’air de s’entendre avec Jamie..
Je tournais la tête vers mon voisin, ouvrant la bouche prête à protester lorsqu’il m’annonça qu’il pouvait accorder son attention à une autre. No way ! N’y pense pas Sexy…
- Nous sommes en cours de sortilèges, ma baguette pourrait se diriger malencontreusement vers « l’autre » … Il ne resta pas bien longtemps sur ses paroles, affirmant qu’il n’en avait pas envie. Ravie de ce retournement naturel de sa part, et n'ayant pas loupé la direction de ses yeux, j’approchais de son oreille pour lui glisser : Je n'avais pas l'intention de partir, sexy. Tu vas réussir à te retenir pendant tout un cours ? Moi, je ne sais pas trop....

J'échangeais avec lui un petit regard malicieux avant d'entendre Matt:
« Ah, que veux-tu, l’amour c’est… gerbant ! ». Je me retournais vivement, incapable de m’empêcher d’avoir envie de rire quand même et lui lançais : « Riddell, va te faire voir ! ». Jamie avait réagi aussi, se moquant de la situation du jeune homme. Matt pouvait se moquer de nous, j’avais des billes en réserve pour me moquer de lui aussi, avec sa petite Éléonore. Taylor rajouta même la couche nécessaire, ce qui me fit mourir de rire ; j’imaginais bien Matt devant le rideau d’une cabine d’essayage.
Toujours retournée, j’appuyais mon regard vers Matt ; regard qui n’approuvait que les paroles de Jamie et Taylor et qui voulait aussi dire « et toc ! bien fait ». A qui le tour maintenant ? Louis, assurément, qui venait de vendre une information qui fit tendre les oreilles de tout le monde, moi y compris, même si je ne connaissais pas tellement le jeune homme. Il semblait beaucoup plus réservé que les deux autres gars, je me demandais bien quelle pouvait être la demoiselle en question.
J’échangeais un petit regard avec mon sexy, ne laissant pas l’idée de m’échapper avec lui à la fin du cours sortir de ma tête. Il allait falloir que je me concentre avec cette pensée pendant l’heure complète !

Les affaires sorties, je me retournais une nouvelle fois, pour ne pas louper une miette des révélations de Weasley. Peut-être que ce dernier était réticent à faire son aveu en ma présence…. Chose qui aurait été compréhensible, mais s’il refusait de dire, je comptais bien faire cracher le morceau à Jamie, un peu plus tard. La phrase assassine de Taylor ne m’échappa pas et j’étais persuadée qu’Asling faisait partie du lot de « crétins de classe ». Naturellement, cela me fit perdre mon sourire, je regrettais qu’il ne soit pas là, avec moi. Comment pouvais-je faire un choix entre l’équipe de Gryffons narquois, incluant sexy Jamie, et mon meilleur ami ?

- Allez Louis, tu peux le dire, personne ne t’écoute ! Je levais les yeux au ciel alors que Jamie, Matthew, Taylor et moi-même attendions de connaître sa petite révélation.

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Au plus grand regret du jeune homme, les élèves désespérants et ennuyeux ne tardèrent pas à le précéder dans la classe. Trop de bruits pour pas grand chose. Faust leva la tête au ciel, déjà épuisé par ses camarades qui se pensait en colonie de vacances. Sérieusement, ils avaient quel âge ? Parce que le professeur de Sortilèges était aussi la directrice des Gryffondor, alors ces derniers se croyaient tout permis. C'était pas croyable et d'un désespérant. Comment des élèves de septième année pouvaient être si immature ? Il y avait quand même de meilleures moyens de compenser le divertissement et les études, de plus, elles n'étaient pas compliquées à trouver ni à mettre en place, pas besoin de chercher très loin. Et pourtant c'était trop pour ces idiots qui gloussaient plus qu'ils ne riaient. Parfois, le Serdaigle ne comprenait pas son ami Matthew qui était un bon ami mais qui pourtant avait des centres d'intérêts plus que dégradants pour sa personne. Et ne parlons pas de ses relations qui entachaient les cellules grises de son cerveau...

« J'espère que ton cours précédent c'est bien déroulé et que tu es prête pour celui-ci. » S'adressa t-il à Wilhelmina quand cette dernière s'installa à ses côtés.

Avoir un emploi du temps légèrement différent avait quelques avantages aussi. Le couple ne pouvait pas profiter des cours pour être toujours installer ensemble mais c'était l'occasion de se décoller un peu et de trouver le courage pour faire des choses importantes à faire, seuls, chacun de leur côté. Si l'interminable discussion que Faust avait entretenu avec le professeur d'Histoire de la Magie pendant une heure entière n'avait pas été programmé, cela restait un moment privilégié pour lui, qui n'aurait pas pu avoir lieu si il avait dû suivre quelques uns de ses camarades pour un nouveau cours ou si sa copine avait choisi comme lui de se passer de cette matière pour ses examens finaux. Dans l'ensemble, c'était une jeune femme compréhensible mais entre passer une heure à se bisouter et une heure à passer de sujets à d'autres avec n'importe quel professeur, le choix était vite fait. Non, le bleu et bronze ne lisait pas dans les pensées de sa petite amie mais c'était le même déroulement quand ils pouvaient profiter d'un peu de temps entre deux cours, la plupart de leur temps passé ensemble se résumait à étudier, celui-ci pouvait être composer d'autres choses que des révisions et instinctivement, c'était vers cette possibilité que leurs cœurs et leurs raisons se dirigeaient quand ils le pouvaient.

"- Bonjours Faust, eh Wilh étonné de me voir je présume? Je n'ai trouvé aucune échappatoire cette fois-ci. Autant dire que si tu entends ronfler ne sois pas étonné ! "

Depuis peu, Faust apprenait à connaître son camarade mais c'était de bien avant qu'il connaissait la caractéristique de ce dernier à ne pas écouter les cours, soit parce que Daniel dormait pendant, soit parce qu'il ne s'y rendait pas du tout. Une attitude étrange qui avait normalement peut de chance de plaire à Faust et pourtant... Il l'accueillit avec le sourire et pas seulement parce que Wilhelmina, à qui ils tenaient beaucoup tous les deux, était présente avec eux. C'est vrai qu'on se demandait parfois comment une personne aussi peu présente et altruiste en cours avait pu réussir à passer en septième année mais il l'avait fait et il fallait bien lui reconnaître que malgré tout, il ne semblait pas avoir plus de difficultés que les autres. Le jeune Churchill ne s'était attardé sur ce détail que depuis très peu de temps mais le verdict était sans appel, ce qui le poussait encore plus à laisser le bénéfice du doute à son camarade. En petit bonus, leurs échanges étaient parfois peu banals mais intéressant dans le sens où ils exploitaient des raisonnements parfois improbables. Il semblerait que les raisons qui avaient poussé le Choixpeau a placé Daniel chez les Serdaigle étaient cachées certes mais bien présentes.

« Bonjour Daniel. Je sais bien que les cours de Mme Pelvenche sont plus ennuyants que ceux de notre ancien professeur de Sortilèges alors je te souhaite bon courage si jamais l'envie te prend de lutter contre le sommeil. »

Une provocation qui restait discrète et passait donc inaperçue, ce qui suffisait pourtant à Faust pour ressentir le bien que cela faisait de cracher son venin sur des personnes. Ce n'était pas pour autant qu'il passerait ses journées à le faire mais mine de rien, c'était efficace face à un certain sentiment qui ressemblait à de la rogne envers quelqu'un. Et puis, il restait quand même dans une ambiance légère avec son petit rire amusé en fin de phrase pour donner le change à son camarade dont le sens de l'humour lui était de plus en plus familier.

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Si Louis était du genre discret, il avait toujours été un Weasley dans l’âme. Quand on portait ce nom de famille, on aimait quand même le sens du spectacle et être un Weasley pouvait dire aussi être fin. Le garçon de dix-sept ans se sentait observé, et pour cause, quatre personnes n’attendaient que les paroles qu’il pourrait dire. Avec un petit sourire narquois, il comptait bien les faire languir un peu, le temps que le professeur Pelvanche prenne les devants pour commencer son cours. Regardant Chloé, puis Taylor, Louis dit alors :

« Je crois que je devrais le dire qu’aux filles. Elles me semblent plus sûr que vous les gars »

Il savait très bien que ça énerverait beaucoup Jamie et Matt d’entendre ça. De plus, ça serait totalement impossible d’en parler à l’une ou l’autre sans que les garçons soient au courant dans la seconde qui suivrait. Raclant un peu la gorge, alors que certaines personnes se mettaient encore en place, Louis commença à parler comme s’il était au théâtre :

« Bon, plus sérieusement. Imaginer une belle nuit, celle de la St-Valentin par exemple. Prenez moi et une demoiselle de Poufsouffle, très jolie, gentille et très doué. Et voilà. On s’est embrasser mais on s’est pas encore revu. Voilà. »

Un autre grand sourire, large et moqueur se dessina sur le visage de Weasley. Après tout, Jamie ou Matt seraient très bien capable de savoir de qui il parlait, ils savaient tous les deux que Louis prenait des cours du soir avec Sunny. Et puis, Louis était en un sens romantique, il ne voulait pas trop en dire sur la soirée magnifique qu’il avait passé avec Milbury. Louis pensait que la jeune demoiselle n’aimerait pas vraiment le fait qu’il raconte la première soirée qu’il avait passé seul avec elle. Posant sa baguette sur le bord de sa table, il croisa le regard de Jamie qui avait très bien compris qui était la jeune fille. Louis posa alors son regard sur sa professeure préférée, attendant le début du cours.

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Cours de Sortilèges : Obscuro

Les 7èmes années

Après s’être tous plus ou moins charriés, comme à notre habitude, avant le cours, nous avions tous rejoints la classe de Sortilèges où nous nous étions placés dans le même coin, passant près d’autres e nos camarades que, pour ma part, j’appréciais.
Je m’assis alors entre Taylor et Louis, juste derrière Jamie et Chloé. Ces deux derniers semblaient exaspérer ma meilleure pote et cela m’amusait au plus haut point, vraiment ! Je reconnaissais bien Jamie dans ses actions, il était au taquet dans la séduction et c’était délirant de le voir faire. On avait toujours eu sorte de petite compétition dans ce domaine… avant, mais ça n’empêchait pas que j’aimais toujours autant séduire.
Discutant avec Tay, on avait commencé à charrier nos deux potes de devant un peu en traîtres. Je savais au fond de moi que j’aurais le retour de massue mais je m’en foutais, j’en avais l’habitude et ça me passait au-dessus, m’amusant une fois de plus ! Jamie me provoqua en parlant d’amour et de couple, chose qui me fit rouler des yeux alors que j’affichais un petit sourire sur le coin de mes lèvres. Aller vas-y mon gars, défile-toi en t’en prenant à moi, si facile ! Parler d’amour pour moi était carrément impossible, c’était une punaise de faiblesse qui n’était pas envisageable pour moi, et mes potes les plus proches en avaient bien conscience. Ok, j’avais de l’affection pour Elé mais l’amour n’était pas de mise… c’était d’ailleurs la raison de notre dernière altercation. Bref, c’était un autre sujet. Je ne pus rétorquer que Tay répondit à son tour, et cela ne m’aida en rien. En guise de réponse, je lui ébouriffai les cheveux, chose que je savais qu’elle n’aimait pas du tout et qui me faisait délirer ! J’eus juste à glisser un « Bande d’envieux… » amusé avant que Chloé réagisse à son tour. De plus, je pouvais lire dans son regard qu’elle approuvait chacun des mots de Jamie et Taylor, ce qui me fit lever les yeux au ciel, n’abandonnant pas mon petit sourire. « Ah, vous me connaissez si mal pauvres petits… ».

Puis la discussion vers sur notre cher Weasley qui avait réussi à capter grandement notre attention. Oh, une mignonnette dans les bras de notre pote, je voulais la voir la nana ! Après qu’on lui ait tous posé plusieurs questions, marquant notre intérêt, il regarda tour à tour Taylor et Chloé, nous snobant totalement, Jamie et moi. Il dit qu’il se confierait plus aux nanas qu’à nous et je ne pus m’empêcher de hausser un sourcil, échangeant un regard complice avec mon meilleur pote avant de dire. « En parler à ces deux filles ?! Ce n’sont même pas de vraies nanas incapables de garder un secret ! Nous, avec Jamie, on est des pro ! » Dis-je en bombant le torse d’un air amusé.
Il nous en dit alors plus. Nuit de la Saint-Valentin. Nana de Poufsouffle. Jolie, gentille et douée… Voyons voir. Je fronçai légèrement les sourcils en l’écoutant mais la perspicacité ne faisait pas partie de ma personnalité et sur le coup je ne vis pas de qui il parlait. Je regardai alors tour à tout chacun des trois autres et haussai des épaules d’un air neutre. Seulement, après quelques secondes, j’eus comme un déclic. Je levai alors directement la tête vers Louis, le regardant fixement avant de poser un regard malicieux sur Jamie. « Nan… ». Je souriais sans réussir à m’arrêter. Il n’y avait qu’une seule nana qu’il voyait beaucoup le soir, en ce moment, pour bosser… sois disant. Je m’écroulai alors sur la chaise tout en soupirant, un large sourire jusqu’aux oreilles. « Putain Louis j’y crois pas… t’es un champion mec ! ». Tout du moins, si mon intuition était bonne, je ne pouvais que valider cette fréquentation !

Maintenant, il n’y avait plus qu’à attendre que le cours commence car on s’éparpillait vite tous ensembles, et autant dire qu’on était loin d’être discrets… ce qui semblait en agacer certains, je le vis en croisant le regard de Faust, entre autres, à qui j’adressais un sourire amical. Y avait d’autres personnes que j’appréciais dans cette salle comme lui, Wilhelmina ou encore Asling… cependant ça n’allait pas de paire avec notre groupe, et comme j’avais horreur des conflits, je me débrouillais autrement pour être toujours en bon terme avec tous. Aller Miss Pelvenche, à quand le début du cours et la pratique ? On était chaud là !

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L'audace est aveugle ; elle ne connaît ni périls ni inconvénients

Classe de 7e - Obscuro - Prof Pelvenche et les 7e

J’attendais à la porte accueillant les arrivants un à un. Attrapant les devoirs, qu’on me remettait car plusieurs n’avaient pas remis leurs travaux d’avance. Le bon point était qu’il le rendait quand même. Mlle Fawlne était une des seules à s’être donné la peine de complété la tâche rapidement et efficacement, chose que j’appréciais beaucoup chez cette demoiselle. Quelqu’un qui était aussi appliqué dans ces études faisait plaisir à voir et son devoir était déjà corrigé, près à lui être remis après la fin du cours. Était-elle curieuse de savoir comment elle s’était débrouillée ? Je l’ignorais, mais pour ma part j’étais impatiente de lui remettre son parchemin qui avait un gros ‘’Splendide!’’ en encre violet dans le coin supérieur. Un sans faute, mais ce n’était pas particulièrement rare chez elle, bien que pour cette fois-ci j’étais resté marqué par sa logique et son exactitude. Les élèves prenaient place en classe, choisissant leurs chaises, le groupe de Gryffondor au fond à droite avec une Serdaigle qui avait été transféré cette année, la préfète de Serpentard au centre et le reste de l’autre côté. À croire que les bureaux du centre avait un problème particulier ou donnait un air trop studieux. Parfait. Les équipes seraient déjà faite pour la suite, il ne resterait qu’à jumelé Mlle McDemott pour l’exercice avec l’une ou l’autre des côtés.

J’approchai de la porte, plutôt incertaine, avant de m’exclamer à l’ensemble de la classe: «Quelqu’un a vu M. Levingston. Ça ne lui ressemble pas…» Finis-je intrigué. J’interrogeais du regard Mlle Williams qui était rarement bien loin de son préfet de petit ami. Elle ne semblait pas avoir la réponse, du moins pas alors que mon regard glissant vers les membres de la maison du jeune homme. «Quelqu’un?» Mais bon, ce n’était pas la première fois qu’un préfet était en retard, combien de fois c’était arrivé par le passé, je ne les comptais plus, mais lui, en retard, ça devait être très particulier. «Nous allons tout de même commencer.» Conclu-ai-je par le moment, tout en refermant la porte de la classe d’un mouvement souple et doux pour éviter que la porte ne claque.

«Si tout le monde peut cesser les bavardages, nous allons débuter.» Dit-elle en marchant vers le centre de la classe, avant de poser les copies soigneusement au centre de son pupitre qui était presque complètement dégagée. «Je vous remettrai vos copies corrigé de vos devoirs par hiboux. Vous en aurez besoin pour avancer votre prochain devoir sur le Feydeamon pour la semaine prochaine.» Dit-elle en se retournant vers l’assemblé. «J’imagine que plusieurs d’entre vous on très hâte de travailler sur ce type de magie que nous n’appréhendons pas régulièrement, mais vous devez vous préparer mentalement avant tous, et c’est la raison pour laquelle ce n’est toujours pas cela que nous allons voir aujourd’hui.» C’était sans surprise que certain qui aurait pu être excité par la perspective de la classe d’aujourd’hui d’être ennuyé, voir déçu par la nouvelle; elle ne changerait tout de même pas le programme. Hors de question, trop dangereux. «Je dois avant tout m’assurer que l’Infirmerie ait de quoi vous traiter avant de débuter une telle classe. Déjà qu’avec l’Incendio...» Dit-elle d’un ton semi-accusateur et ironique. Ce n’était pas rare qu’il y ait un ou une malheureux qui doive se rendre illico à Ste-Mangouste après qu’un de ces amis l’aient mis en feu littéralement. Des idiots, il y en avait partout. Et des gamins, c’était les champions pour se mettre dans des situations pas croyable, mais elle avait confiance que bien préparer et informer tous pouvaient venir à contrôler le Feydeamon, et ce même si c’était de la magie noire. «Mais soit. Nous le verrons la semaine prochaine. Et vous devrez tous, me rendre vos devoirs par hiboux cette fois-ci ou en main propre au plus tard une journée avant la classe. Sinon, vous ne serez pas de la partie.» Finit-elle si un ton plus autoritaire.

Elle porta par la suite, un sourire chaleureux à son groupe, avant de poursuivre. «Nous avons vu cela, il y a deux ans, le Silencio, qui empêcher une personne de parler. Sortilège très utile surtout pour empêcher quelqu’un d’agir ou tout simplement parce que l’on ne veut plus l’entendre.» Dit-elle en riant à la blague. «Aujourd’hui, nous allons nous attaquer à un autre sortilège qui empêche d’un de nos cinq sens de fonctionner correctement. Pouvez-vous m’en nommez d’autre que le Silencio qui empêche la capacité de nos sens de fonctionner correctement ?» Lanca-t-elle. (1 Réponse d’élève requise ICI!)

BY .SOULMATES

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Jamie & 7e

Classe de 7e - Obscuro

Je jetai un regard à Miss Roxen qui s’était installé à mes côtés, et qui restait définitivement très réceptive à mes avances. Mes petites menacent de porter mon attention sur quelqu’un d’autre avait atteint leur cible, à croire qu’elle était beaucoup plus à croc que je ne l’aurais cru. Dans mon oreille, elle rajouta quelques mots qui me firent sourire, entendu, alors qu’elle reprenait sa place. J’étais capable de retenu, et de sérieux, même si elle semblait en douter. J’avais maintenant en tête d’ajouter un peu de piment pour rendre ce cours délicieusement attrayant le temps de l’attente de sa fin.

Matt et Taylor échangeait sur l’amour et de simplement croire que moi et Chloé avions une relation amoureuse était vraiment très loin de la réalité. C’était leur chose à eux, pas à nous. Elle lança une remarque à Matt, et j’eus une mine amusé en tournant mon regard vers elle. Oh. Elle a du chien quand elle veut. J’adore. La Gryfonne se donna à cœur joie à taquiner mon meilleur pote et j’imaginais sans problème le pauvre à faire le pied de grue devant la cabine pour sa chérie. Si Matt croyait que je le connaissais mal, c’était qu’il ne se rendait pas compte combien je le plaignais actuellement, la corde au cou. «Ah non. Mon vieux. C’est justement parce que je te connais si bien que je te charie.» Matt en amour. J’y croyais pas pour deux secondes, mais bon. C’était beaucoup plus amusant de jouer avec les faits. Il n’avait pas non plus décidé de passer à autre chose, ou plutôt à quelqu’un d’autre. Un vrai marathon, cette relation avec la 6e, à croire qu’il n’y aurait jamais de fin.

J’étais un peu curieux de savoir à savoir sur qui Louis avait décidé de lancer son dévolu. Il était tellement différent de moi et Matt sur ce sujet, c’est-à-dire, les nanas que je n’étais même pas surpris de savoir qu’il voulait sortir avec une nana et non juste la draguer et badiner pour s’amuser. Nous n’avions tout simplement pas la même définition d’une bonne relation avec la gente féminine. Je n’en respectais tout de même le choix. Et puis, le pauvre, il n’était pas particulièrement doué pour la drague alors autant s’accrocher après une fille de manière permanente, au moins, il ne finirait pas seul, le pauvre bougre. On ne pouvait pas être aussi top que moi. Avec Matt qui était tombé dans le filet d’Éléonore, et Louis qui pensait finalement avoir trouvé quelqu’un, j’étais le seul qui restait célibataire et disponible. Sur le coup, je devais assurer pour plaire à toutes ces demoiselles. Louis rétorqua qu’il le dirait peut-être seulement aux filles, et je savais exactement comment torturer Chloé pour qu’elle me donne la réponse. Elle allait se régaler, 100% garanti. J’avais envie de râler un peu mais à l’idée de forcer la réponse sur les lèvres de la Serdaigle me semblait vraiment, vraiment très attrayante.

Oh pas de doute là-dessus, je savais de qui il parlait. Il avait des rendez-vous à chaque semaine avec la même nana. Je l’avais croisé quelques fois par le passé. Une brunette, assez sympa et dégourdis. Le genre de nana qui me plaisait bien habituellement. Partante, elle avait relevé mon petit défi avec Chloé à la soirée de Matt. Je doutais qu’elle ait besoin qu’elle ait besoin de me montrer bien plus qu’elle était sympa. C’était déjà le cas. Matt avait un sourire pédant sur les lèvres qui me faisait assez marré. «Sérieux ? C’est le nouveau mot de code? Cours du soir?» le narguai-je. Je me retournai vers Chloé, et d’un ton captivant, je lui lançai. «Tu veux prendre des cours du soir ? Avec. Moi. Sexy?» Mais ça donnait clairement l’impression de tout sauf de la révision pour une classe. Je retournai la tête vers lui. «Donc, tu l’amènes pour le shoping ?» Après tout, c’était ça le plan original. La princesse aquatique était en pleine forme et j’ajoutai à sa remarque. «Hey Taylor. Donne-leur leur chance quand même! Ça serait injuste quand même. On ne peut rivaliser devant ta suprématie, oh Grande Déesse des Sang de Bourbe.» Je faisais une mine de déférence en levant les bras et en les redescendant vers elle, comme le faisait certaine peuple moldu pour honorer leurs dieux, dis-je demi-cérémonieux et amusé.

Notre attention fut attirée vers notre Directrice de Maison qui jetait des regards par la porte, avant de tourner un regard vers l’ensemble de la classe à la recherche du préfet de Serdaigle. Elle regardait dans la direction de Taylor qui était directement derrière moi. Assise droit et regardant devant, j’étais prêt à considérer que le Bleu et Bronze était vraiment loin d’être collé à sa copine, tellement qu’il brillait par son absence actuellement. Elle poursuivit, et décida de débuté la classe ce qui était autant mieux. Ma plume commençait à s’agiter sur le parchemin pendant que je prenais des notes, intéressés et concentré. Je n’avais pas particulièrement envie de magie noir, mais j’étais tout de même intrigué par la magie de toutes sortes. Donc, un autre devoir sur le Feydeamon pour la semaine prochaine. Soit elle était parano, soit elle avait de réelle crainte concernant ce sort. Alors pourquoi l’apprendre… Bon, j’avais rien d’un poltron, et j’étais très confiant sur mes aptitudes, j’étais capable de tout, alors il était hors de question que je finisse à l’infirmerie comme elle considérait les choses pour la suite. J’étais Jamie Alexander, voyons. J’étais top niveau quand même. Elle continua, débutant la présentation de la matière d’aujourd’hui.

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"Classe de 7e - Obscuro"

"A 'lil class, why not ?"

¤ Me charrier avec mes potes sur n'importe quoi, j'adorais. Je ne m'ennuyais jamais avec eux. On savait être sérieux dans les moments opportuns mais hors de ça, on aime se détendre. On profite simplement de la vie et de notre jeunesse ou du moins, eux profitent de leur jeunesse puisque selon la lettre de mon père, je resterai jeune jusqu'à ma mort. Bref, il nous reste que peu de temps à Poudlard et on en profite avant de devoir tous se séparer afin de vivre nos vies. Peu importe si on exaspère les autres crétins, trop stupides pour comprendre le sens de "profiter de la jeunesse", nous, on s'éclate !

¤ Nous avions donc pris nos places, où je m'étais assise dans le fond de la première rangée, à côté de Matthew et il y avait Louis de l'autre côté. Chloé et Jamie étaient tout juste en avant. Leur petit jeu m'énervait quelque peu mais bon, rien ne m'empêche de les charrier. Donc, Louis parla alors du fait qu'il avait quelqu'un en vue, après que Matt, Jamie et Chloé l'ait persuadé où j'en ai ajouté moi-même. Le pauvre ! En même temps, les paroles Matt' me firent rire, quand je l'avais charrié sur le "magasinage". Le crétin m'avait ébouriffé les cheveux. Je lui ai lancé un regard noir où il n'y avait rien de méchant, bien sûr. Il me l'avait fait tellement souvent depuis notre première, surtout que je n'ai jamais eu les cheveux courts en plus. Je lui ai dit : « Tu vas me le payer tout à l'heure, crétin ! Et ne pense pas que je te connais mal, mmmmh ! » J'ai sortit un élastique et je me suis mise en quête d'attacher mes cheveux en une queue de cheval pendant que j'écoutais Louis commencer à conter son histoire, commençant par dire que les filles étaient plus sûres que les gars, d'après ce que j'ai entendu. J'ai jeté un regard victorieux à Chloé et ensuite un clin d'oeil à Matthew. Puis, Louis continua, parlant qu'il avait embrassé une fille de Poufsouffle, à la St. Valentin, ce qui me fit rougir mais pour une toute autre raison. Je fis comme si de rien n'était, continuant de l'écouter. Je n'avais aucune idée de qui il parlait, ne connaissant que peu de Poufsouffle puisque je ne m'étais jamais vraiment intéressée à cette maison. Depuis Astride, je les ignorais entièrement hormis Chang, un garçon fort sympathique. Matt' dit, par la suite :

« En parler à ces deux filles ?! Ce n’sont même pas de vraies nanas incapables de garder un secret ! Nous, avec Jamie, on est des pro ! » J'ai roulé des yeux, en lui donnant un coup de poing sur le bras. « Si moi je ne sais pas garder un secret, où va le monde ? » Dis-je, d'un clin d'oeil, visant mon secret de mon sang hybride. « De toute façon, Louis a raison, les filles sont plus fiables, parce qu'on a notre cerveau à la bonne place ! » Dis-je, avec un sourire amusé. Puis, Matt' félicita Louis où je dis, à mon tour, à l'intention du Weasley : « Pas mal du tout, mon p'tit ! Tu devras me dire quel est le nom de cette fille qui t'attires tant hein ! Parce que gentille, douée et jolie, ne nous dit pas grand chose. L'important est que ce ne soit pas une miss sérieuse comme tous ceux de l'autre côté de la classe, quelqu'un d'amusant, pas d'ennuyant ! » Dis-je, avec un sourire, avant de me taire. Jamie me dit ensuite un truc, qui continua de me faire sourire. Je lui répondis : « Tant d'honneur me touche tant ! Il ne te reste qu'à bâtir un autel en mon nom, montrant à quel point une Sang de Bourbe peut être puissante. » Je ris, m'imaginant Jamie prier devant ce fameux autel, me taisant encore une fois.

¤ La rigolade fut fini au moment où le professeur Pelvenche débuta son cours, demandant où était Erwan. Je vis qu'elle me fixait. J'ai donc secoué de la tête en lui répondant : « Non, professeur. » Évidemment, elle était au courant pour mon couple, je lui en avais parlé, il y avait quelques mois de cela, sans compter sur mon sang hybride dont elle était au courant. J'adorais cette prof', qui était très compréhensible et où ses cours étaient bien structurés, si on comparait aux autres. Donc, le cours pouvait officiellement commencer où on recevrait notre devoir par hibou, corrigé. J'avais assuré dans mon devoir, surtout que je l'avais fait avec mes potes et que j'excellais dan cette matière. J'ai fait mon intello et je me suis mise à prendre des notes et à écouter Pelvenche sur ce qui était important. Je n'en pris pas beaucoup pour le moment puisqu'elle posa une question à la classe, demandant un sortilège qui nous empêchait d'utiliser un de nos cinq sens, excluant le Silencio qui nous privait de la parole. J'ai aussitôt levé la main, pour répondre :

« Professeur, il y a le Bloclang, un autre sortilège nous bloquant la langue en nous coupant de toutes paroles. Il y a aussi l'Assurdiato qui est, en quelque sorte, une variante du sens de l'ouïe où une personne ne peut entendre ce que le lanceur du sort peut dire. Puis, il y a l'Obscuro, un sortilège qui bloque totalement notre vision en la plongeant dans le noir le plus total. C'est un peu comme si on nous mettant un bandeau noir sur les yeux. » Dis-je, avec un sourire, en me taisant.

fiche par century sex.

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Je ne pouvais que rire en voyant Matt se défendre concernant son couple. J’étais même amusée de voir que Taylor n’y allait pas de main morte non plus. Eh bien quoi ? Il faut bien assumer jusqu’au bout et en subir les quelques petits désagréments, nan ? Sans l'exprimer à haute voix, j’étais moi-même très contente de me dire qu’aucune histoire trop compliquée ne me liait à Jamie ou à quelqu’un d’autre. Je n’étais franchement pas prête pour ce genre de truc ! La liberté, il n'y a que ça de vrai. J'était peut-être un peu trop fermée d'esprit pour comprendre pourquoi il avait fait ce choix; c'était sûrement dû à la fille..... Asling aussi m'avait déjà dit que January lui avait fait changer sa façon de voir les choses. Mouais.

Louis reprit ensuite la parole en s'adressant essentiellement à Taylor et moi-même:
« Je crois que je devrais le dire qu’aux filles. Elles me semblent plus sûr que vous les gars »
Louis Weasley, je t’adore déjà ! Je répondis à cette affirmation du jeune homme en lui lançant un grand sourire rempli de satisfaction. En voilà une idée extraordinaire pour descendre un peu nos deux petits crâneurs pro’. Un nouveau petit couple à charrier était en train de se créer, voilà quelque chose de sympa, même si cela semble plutôt naturel pour lui ; j’avais plus de mal à l’imaginer en train de draguer plusieurs filles. Jamie n'eut pas vraiment de réaction à la petite attaque de Louis, néanmoins, il me fit une proposition que je pouvais laisser passer.
En riant et en gardant mon air innocent, je pris la parole : « Hum, des cours du soir avec toi ? Pourquoi pas ! On a toujours besoin de pratiquer un peu…., j’attendis avant de poursuivre, m’empêchant de rire,… la magie. »

Je fus secouée d’un nouvel éclat de rire lorsque Matt’ tenta d’obtenir le secret de Louis, à notre détriment. Taylor avait décidé de rebondir sur le fait qu’elle n’était pas capable de garder un secret, de mon côté, je me centrais sur l’aspect « vraie nanas ». Je repris la phrase de Taylor, pinçant les lèvres pour m’empêcher de rire et en m'adressant à Matt : « Pfff, si moi, je ne suis pas une vraie nana, où va le monde ?! ». J’avais vaguement hésité à dire « Pas une vraie nana ? Tu veux voir ? », mais garder cette petite pensée pour moi m'amusait aussi. Mon attention fut ensuite accaparée par l’explication de Louis sur ladite jeune femme : Poufsouffle, jolie, gentille et douée. Hum, merci Weasley mais tu ne m’aides pas ! Je tentais de l’interroger du regard en haussant les épaules, prête à recevoir davantage d’informations mais…..rien ! Mon œil tomba sur Matt’ qui avait l’air d’avoir compris quelque chose. Grrrr ! LES FILLES devaient avoir l’info avant… et je n’avais pas la moindre idée de qui pouvait être cette Poufsouffle…. Je pensais vaguement à la jolie Danni, à Chleofee qui correspondait à la description, puis à ma petite favorite Sunny !
Boudeuse de ne pas avoir eu l’info alors que d’autres semblaient avoir compris, je fis volte-face, levant les yeux au ciel en entendant Matthew dire « t’es un champion mec ». Le professeur Pelvenche se fit entendre à ce moment là, nous demandant de nous taire pour que le cours puisse commencer.

Son introduction me laissa penser que le cours allait être passionnant. Taylor prit la parole tout naturellement, ayant aussitôt réponse au professeur Pelvenche. L'Obscuro était sans doute celui qui m'intéressait le plus dans toutes les propositions formulées par Taylor, surtout en sachant que j'avais Jamie pour voisin. Lui faire perdre occasionnellement la vue l'obligerait sûrement à se débrouiller un peu avec le toucher !
Je portais mon regard vers le professeur Pelvenche, attendant impatiemment qu'elle nous en dise plus, même s'il y avait sûrement plus de pratique à faire que de théorie.

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