(#) Sujet: [SERDAIGLE] Troisième épreuve. (2ème salle) Sam 21 Fév - 14:39
Le château fort
Nouvelle salle, nouvelle ambiance. Vous sentez le vent souffler légèrement sur votre visage, vous comprenez donc que vous êtes à l'extérieur, ce que vous ignorez par contre c'est que droit devant vous se trouve un château fort et que pour entrer dans ce château, il va falloir trouver le pont levis. Soyez prudent, ne vous précipitez pas trop sinon vous risqueriez de tomber dans les douves qui font le tour du château. Il va falloir marcher une dizaine de mètres sur une route un peu cabossée par les nombreux allés et venus des carrioles marchandes. N'avancez pas plus au risque de vous retrouver à l'eau, heureusement l'herbe sous vos pieds va vous indiquer que vous êtes sorties de la route, je vous conseille donc de revenir un peu sur vos pas pour éviter le drame. La route continue sur votre gauche, une quinzaine de mètres encore et si vous n'êtes pas sortie de nouveau du chemin, vous devriez sentir sous vos pieds le pont-levis. Le pont-levis est relativement large, normalement il n'y a que peu de risque que vous tombiez à l'eau, mais restez prudent et marchez en ligne droite c'est préférable. Au bout du pont levis, je vous conseille de mettre vos mains sinon c'est votre nez qui risque de rentrer en contact avec la herse. Cette dernière vous barre la route, une seule solution pour aller de l'avant, vous mettre sur le votre et ramper un peu. Ne levez pas votre tête trop vite au risque de vous cogner aux pointes en métal, ça ne vous tuera pas, certes, mais ça risque de vous faire mal à la tête. Une fois la herse franchie, vous pouvez vous relever et continuez tout droit. Vous allez vous retrouver dans une immense cours, faites attention, n'allez pas trop vite, 3 différents types obstacles vont vous barrez la route. Vous allez d'abord rencontrer une quinzaine de cibles, priez qu'aucun chevalier n'ait décidé de s'entrainer au tir à l'arc, se serait dommage pour vous. Je vous conseille de les contourner même si vous pouvez tenter de passer au dessus si l'envie vous prends, elles sont espacées de 2 mètres chacune. Les obstacles suivants, se trouvent un peu plus loin, ce sont des mannequins d'entrainements, les chevaliers s'en servent pour se battre et pour les concours de lances. Pour franchir ces obstacles qui se trouvent par pair, il va falloir trouver les deux bras au dessus de vos têtes et simultanément les pousser en avant pour faire pivoter les mannequins. Une fois ces deux premiers obstacles passer vous découvrirez que vous allez devoir effectuer cette tache quatre fois de plus, en sachant qu'à chaque fois, il va falloir faire pivoter les mannequins de façons différentes. Les deux suivants, il faudra faire pivoter les deux jambes gauches, puis les deux jambes droites, pour les troisièmes obstacles ce sera les deux têtes et enfin les deux bras gauches. Une fois cette série d'obstacles passée, il ne vous reste plus qu'une dernière tache à réussir pour arriver jusqu'à la tour qui se dresse juste devant vous. Au bout de quelques pas, vous allez sentir que le sol est devenu boueux et assez rapidement vous allez vous rendre compte qu'un obstacle vous barre encore la route. Au touché, vous allez reconnaitre un long rondin de bois. deux solutions s'offrent à vous, soit vous passez au dessus, soit en dessous. Une fois l'obstacle franchi, il ne vous restera que quelques pas avant de vous trouvez nez à nez avec un mur en pierre. Le donjon du château se dresse devant vous, vous allez devoir faire le tour de la tour pour trouver l'entrée. Surprise, la porte est toute petite, il va falloir se tasser et se faire tout petit pour pouvoir la franchir. Une fois la porte franchie, une longue et interminable série d'escaliers vous attend. Faites attention, vous avez les chaussures boueuses, le sol est glissant et les marches sont en colimaçon, parfait pour vous donner la tête qui tourne et pour vous faire perdre la notion de temps. Cinq cents marches vous attendent, alors soyez courageux et surtout, restez prêt du mur sinon vous risqueriez d'avoir des surprises en dérapant, il serait dommage de dégringoler les marches, vous risqueriez de vous faire mal et il faudrait tout remonter ! Une fois en haut, un objet vous barre la route, un sac. Il vous faut le prendre puis l'ouvrir ....
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(#) Sujet: Re: [SERDAIGLE] Troisième épreuve. (2ème salle) Mar 24 Fév - 3:14
Épreuve 3 : Parcours à l'aveugle
Kendrick Aidan Fall et Morgane Anastasia Worcestershire
Morgane avait sorti l’objet mystérieux du sac et les deux Serdaigle le touchaient allègrement. Ils se consultaient à mi-voix sur ce que pouvait bien être le mystérieux élément. Timidement, le garçon tenta une réponse, mais elle fut aussitôt rejetée par quelconque juge qui les observaient et qui devaient bien se marrer. Fronçant les sourcils, le garçon prit l’objet des mains de son amie avec une rudesse qu’il de démontrait d’ordinaire jamais. Il n’aimait pas avoir tort, et savoir qu’il s’était trompé sous le regard probablement moqueur des élèves de sa maison le mettait en colère. Il espérait que Momo ne lui en voudrait pas de cet écart de savoir-vivre. Soudain, un éclair de génie le frappa. Il était certain d’avoir trouvé la réponse. Il exposa son hypothèse à la jeune fille qui lui fit immédiatement part de son désaccord. Elle ne croyait pas qu’il avait trouvé la bonne réponse, pourtant lui était certain de ce qu’il avançait. Aussi, malgré les protestations de son binôme, Ken donna sa réponse à haute voix. Après quelques secondes de silence, le son d’une porte qui s’ouvre se fit entendre. Le jeune homme sourit avec tant de triomphe qu’il fut, un moment, heureux que son amie soit aveugle. Elle aurait pu prendre son attitude pour de la vantardise, alors que ce n’était pas du tout le cas. Il n’aimait tout simplement pas perdre, mais il n’était pas un mauvais gagnant. Il savait se montrer humble. Aussi, il tourna le visage dans la direction ou il croyait trouver Morgane. « On a trouvé, Momo! On l’a eu! On peut continuer maintenant. Viens… »
Prenant la main de son amie dans la sienne, Kendrick traversa la porte. La première chose qu’il remarqua, ce fut la caresse du vent sur son visage. Il ne put s’empêcher de sourire même si on ne pouvait le voir. Ils étaient dehors. Le contact du sol frais sous ses pieds nus le lui confirma. La température était moins chaude que dans l’autre salle, mais ce n’était pas froid non plus. Les deux Serdaigle pouvaient continuer de marcher pieds nus tant qu’ils n’y passaient pas des heures. « Bon, on va prendre la même stratégie que la première fois. Ça a bien fonctionné. On ne change pas une formule gagnante. », dit le jeune homme, très tactique. Après tout, il s’agissait d’une compétition. Il ne savait pas où en étaient les autres équipe, mais c’était bien ainsi. De cette façon, la compétition était plus saine. Il ne savait pas ce qu’il devait battre, alors il ne pouvait se mesurer qu’à lui-même. Il cherchait des stratégies pour augmenter son efficacité en se basant, non pas sur les autres maisons, mais sur sa propre expérience. C’était gratifiant et enrichissant comme activité. Donc, comme convenu dans la dernière salle, Kendrick se mit à avancer dans le sentier en se tenant à l’extrême droite, Morgane à l’extrême gauche. Du bout des orteils, il pouvait toucher la ligne du début du gazon qui lui indiquait qu’il tirait trop sur le côté. C’était parfait, il savait de cette façon ou se trouvait le sentier.
Malheureusement, les deux Aiglons se heurtèrent à un inconvénient. Le sentier était beaucoup plus large que le précédent et, si Kendrick touchait à la bordure d’herbe, Morgane perdait son repère et vice-versa. Il s’arrêta un moment pour réfléchir. « Bon, on n’y arrivera pas comme ça. Ce qu’il faudrait, c’est pouvoir évaluer la distance entre les deux bordures. Vas de ton côté et quand tu toucheras le gazon, dit le moi. », dit le jeune homme avec une idée en tête. Au signal de Morgane, il l’entraina vers la droite en comptant à haute voix le nombre de pas qu’il faisait avant de lui-même toucher l’herbe. « Ça fait quatre ou cinq pas de distance. Tant qu’on garde le même nombre de pas entre les deux côtés, on saura que le chemin ne se sépare pas. On vérifiera tous les dix pas. D’accord? »
Kendrick savait que son amie aimait la structure, alors il avait fait attention à bien encadrer leur procédure. Une technique objective avec un nombre de pas défini, elle ne pourrait pas angoisser avec ça. Du moins, il l’espérait. Gérer une crise d'anxiété en pleine épreuve alors qu'on n'y voyait rien, le garçon n'avait pas trop envie d'expérimenter. Comptant juste assez fort pour que Morgane l'entende, le jeune homme avançait lentement. Il changeait de côté de sentier de temps à autres selon le système qu'il avait préalablement établi. La route, car c'était une route terreuse plus qu'un petit sentier, était raboteuse et dénivelée à certains endroits. Ken se demandait bien ce qui pouvait avoir traversé ce chemin pour laisser des traces si profondes et larges. Il se surprit même à se demander s'ils n'allaient pas avoir à affronter un dragon ou quelque chose du genre privé de la vue. Ce serait un peu dangereux. Incroyablement exaltant, mais dangereux...
Soudainement, les pieds nus des deux Serdaigle touchèrent le gazon au même instant. Kendrick s'arrêta sec. « Heu... Merde, je crois que le sentier s'arrête là... On doit encore continuer sans aucun repère... », dit-il en soupirant. Prudemment, le garçon posa un pied dans l'herbe, puis l'autre. Il avançait avec une précision chirurgicale. Il ne servait à rien de foncer tête baissée, on ne ferait que se perdre ou se blesser. Tout à coup, le pied de Ken rencontra... le vide. « Non! », hurla-t-il avant de pousser Momo vers l'arrière, par réflexe de la protéger. Fort heureusement, ils étaient attachés par le poignet. Le recule de la jeune fille déséquilibra le garçon en l’entraînant avec elle. Plutôt que de chuter vers l'avant, il recula de deux pas chancelants, mais ne perdit pas pied. « Ouf! C'était moins une... Je ne sais pas de quelle hauteur aurait été la chute, mais je n'ai pas envie de le découvrir. On a du se tromper de chemin. Pourtant... Pourtant on n'a pas quitter le sentier. », affirma-t-il en se massant le poignet meurtri par la menotte. Puis, il proposa de retourner sur leur pas pour examiner la fin du sentier. Il n'y avait aucun bruit ni aucune odeur pour les guider cette fois. Ils avait donc forcément du manquer quelque chose.
De retour sur le sentier, du bout des pieds, les deux Aiglons se mirent à explorer les bordures afin de trouver ce qu'ils avaient raté. Un coude... Le chemin formait un coude et partait vers la gauche, voilà ce qu'ils n'avaient pas perçu. Les deux amis s'engagèrent donc dans la suite de ce sentiers qu'ils ne voulaient plus quitter, toujours en zigzaguant. Nouvelle texture, nouvel arrêt. En sentant le bois sous la plante de ses pieds, le blondinet fit halte. Il tendait sa main libre vers la droite en balayant l'air à la recherche d'un indice. C'est alors que ses doigts rencontrèrent un énorme chaîne de métal froid. « Une chaîne? Tu sens quelque chose de ton côté Momo? » Morgane ne mit pas longtemps à trouver une chaîne identique de son côté également. Au moins, ils avaient des délimitations. Ils avancèrent, tentant de garder une main en contact avec le métal, mais ce fut impossible car les chaînes montaient sans cesse. Les deux amis furent bien obligé de poursuivre leur avancée sans autre repère que le bois sous leurs pieds.
Lorsque le bois disparu et que les comparses retrouvèrent la terre battue, ils redoublèrent de prudence. Chacun balayait l'air de sa main libre, couvrant ainsi un bon éventail. Au même instant, leur doigts heurtèrent une sorte de grille formée de très larges barreaux de métal. Bon, ils étaient piégés... Soupirant, Kendrick se mit à tâter la-dite grille afin d'y trouver, avec un peu de chance, une quelconque ouverture ou se faufiler. Les barreaux étaient trop rapprochés. Morgane passerait peut-être, avec beaucoup de volonté, mais lui, jamais... En poursuivant son tâtonnement, il se rendit compte que la grille ne descendait pas jusqu'au sol. En fait, il y avait assez d'espace entre le sol et les dangereux pics de métal acérés pour passer, si toutefois on rampait. Les pics ne lui disaient rien qui vaille. Évidemment, il avait une pleine confiance en la directrice de l'école qui ne permettraient tout de même pas qu'on empale ses élèves. Il ne savait pas trop pourquoi, mais plus il touchait les extrémités pointues de la grilles, plus la confiance semblait un concept surfait qui méritait d'être revu. Déglutissant avec difficulté, il se pencha, entraînant Morgane avec lui. « On va devoir ramper, Momo. Et garde bien la tête baisser si tu ne veux pas défaire ta coiffure. » Une arcade sourcilière éclatée, ce n'est pas grand chose à côté d'un crâne perforé. Le garçon ne voulait pas laisser paraître ses appréhensions devant son amie, alors il rigola un instant, mais son rire sonnait faux. Une fois bien à plat ventre, il proposa de faire le trajet rapidement. Il compta jusqu'à trois, et se mis à ramper du plus vite qu'il le pouvait, oubliant qu'il était menotté à la jeune fille. Plus il tentait d'aller vite, plus il ralentissait sa coéquipière en tirant sur son bras. Il du donc se contrôler et aller au même rythme qu'elle. Cet obstacle de la mort enfin traversé, les deux amis se relevèrent, tentant de comprendre leur environnement de par les sons et les odeurs.
Morgane était celle qui avait trouvé un objet mystérieux dans un sac. Pourtant, après un moment de débat et discutions entre elle et son partenaire d'épreuve, ce fut lui qui trouva la réponse. Elle avait d'abord cru savoir qu'est-ce que s'était lorsque les deux eurent la même réponse, pour finalement ce faire dire qu'ils étaient dans le tord. Puis, Kendrick offrit sa réponse, qu'elle contredit rapidement, mais ce fut la bonne réponse. Tant mieux! Ils pourraient continuer. Celui-ci reprit sa main, chose qu'elle laissa faire, puisque cela permettait de garder plus d'équilibre dans les mouvements coordonné de leurs corps joint par cette menotte au poignet. Les deux traversèrent la porte, la garçon en tête de file. Morgane sentie alors du vent sur tout son corps... Cela voudrait dire que des sons discrets pourrait être manqué désormais. Du vent? Ils étaient dehors ou dans une salle ventilée? Bref, elle espérait ne pas avoir trop froid avec le temps passé sous ce vent. Lorsqu'elle sentie du gazon, elle comprit qu'ils étaient donc bien dehors et qu'il y avait un sentier. Génial. Elle avait un peu les pieds froid et ce demandais combien de temps durerais ce moment extérieur. Puis, ils découvrirent que le chemin était trop large pour continuer comme ils l'avaient si bien fait depuis le début. Puis, il firent, grâce à l’ingéniosité de Kendrick un calcul de pas qu'ils vérifieraient tout les dix pas.
Morgane aimait beaucoup cette manière de procéder puisque s'était précis et concret. S'il n'y avait pas de nombre de pas sélectionné ils pourraient simplement ce perdre ou avec le temps, oublier de le refaire et ce retrouver dans le mauvais chemin. Ainsi, il savaient où ils allaient et ne perdrait pas le rythme. S'était un peu comme son rituel de préparation à un cours. Structuré et utile. Alors, les deux avancèrent alors que le garçon Serdaigle comptait les pas haut et clair. Pour l'instant, cela ce déroulait à merveille et Morgane se calmait un peu du fait d'être privé de la vue. Malheureusement, le tout ne pouvait pas être aussi simple. Ils rencontrâmes donc un nouveau soucis. La route ce fermait, les laissant tout deux sur le gazon, sans repère, encore. Lorsque Kendrick mis en mots ce qu'elle venait de réaliser son cœur manqua un battement, sa main se resserra autour de celle du brun et sa réponse ne ce fut pas attendre... « Bordel! Pas moyen d'avoir un chien guide. »
Elle commençait à vraiment paniquer, lorsque pour ajouter au tout, le Serdaigle la poussa vers l'arrière alors qu'ils avaient repris lentement leur chemin. Tout cela en criant « non » elle pu donc rapidement comprendre qu'il y avait de quoi devant eu. Avait-il était mordu par une bête?! Qu'elle danger cette satané épreuve! Elle ne voulais pas y perdre son meilleur ami. Elle ce fit d'ailleurs vite la promesse de ne plus participer à ce genre de chose. Bref, de ce que le garçon lui dit, elle pu comprendre que devant eux, ce trouvait un gouffre. Sa respiration était rendu rapide, son cœur débattait, elle n'aimait vraiment pas cette épreuve. Qu'elle espèce de débile avait pensé à cela. Ils auraient pu tomber et simplement mourir, boum, deux élèves de moins. Alors qu'il se relevèrent, Momo serra la main de son ami, pris un long souffle contrôler, afin de descendre son niveau de stress et l'écouta dire qu'ils devraient faire demi-tour. Oui! Bonne idée plutôt que de sauter dans ce trou.
Il n'y avait aucun indice ce coup-ci... Que du gazon et un chemin menant à un trou. Comment pourraient-ils trouver autre chose.Il devait bien avoir manquer quelque chose en route. Une sortie imprévue du chemin? Alors le truc des pas n'avait pas été efficace? La brune ne savait simplement plus quoi penser de cette situation énigmatique. Comme de fait, en faisant demi-tour, les deux trouvèrent un coude dans le chemin, vers la gauche. Cela voulait-il dire qu'en montant c'était du côté droit et que Kendrick ne l'avait pas vue? Pourtant il avait TOUT compté, elle en était témoin... Est-ce que les chemins changeait de forme au passage? Cela était une idée à explorer, elle en fit donc part...
« Faisons attention, cela veux peut-être dire que les chemins changent de forme. » Puis elle ajouta après une pause... « ou que nous devons augmenter notre vigilance. Peut-être que cinq pas auraient été mieux que dix. »
Ce fut donc ainsi qu'elle le força un peu à compter au cinq pas plutôt qu'au dix, lorsqu'il prirent cette route toute neuve. Puis, ils tombèrent sur... du bois? En tout cas, s'était dur et cela en avait la texture sous les pieds. Puis alors qu'elle passait les pieds sur le sol à la recherche de quoi que ce soit, le garçon lui demanda si elle sentait un chaîne. Elle crut d'abord qu'il parlait au sol et continua de chercher avec ses pieds, avant de comprend que la chaîne pouvait être suspendu et qu'elle passa sa main gauche dans le vide afin de recherche cette chose. Puis, elle la trouva, enfin, ce retrouvant le dite chaîne en main. Celle-ci montait, ils la suivîmes, au moins cette fois s'il trouvait un gouffre, il pourrait tenter de s'y soutenir. Toujours ce bois sous le pied... Était-il sur un pont ce mis à craindre un peu la brune. Puis, Kendrick lui annonça qu'ils devraient désormais ramper... Génial. Sans oublier qu'il fallait rester vraiment bas, car il y avait des barres de métal au dessus d'eux. Elle n'aimait vraiment pas cette épreuve. Dire qu'il pourrait être en dehors de cette salle et rire des participants avec les autres... qu'est-ce qui leur était passé par la tête. Puis, la brune eu l'impression qu'il n'y avait plus rien, elle leva donc sa main libre pour en effet ne rien sentir au dessus de sa tête. Elle dit donc au jeune homme... « On peu ce relever je crois bien. »
Puis, suivant le mouvement de son meilleur ami, elle se releva. Enfin, elle n'allait pas se plaindre de pouvoir se tenir debout. Ramper avec un main menotter était un supplice de plus dans cette épreuve. Celui qui l'avait créé n'avait pas pensé à cela. Ils étaient début, mais ne voyait rien et il n'y avait pas de chemin, comment savoir où aller... Morgane lança donc... « bon bah... allons un peu vers l'avant voir si l'on trouve quelque chose... Va-voir peut-être qu'on va juste tourner en rond pour le plaisir des spectateurs... »
Puis, alors que les deux marchaient, main dans la main, La main devant, elle fini par toucher quelque chose directement devant elle, s'exclamant... « J'ai de quoi! »
Ce qui eu pour effet de faire arrêter Kendrick. Suffisait d'espérer qu'il n'y avait pas de prédateur dans le coin, car elle venait de crier leur présence. Elle toucha l'objet. S'était petit, rond et tenait à une distance du sol. Puis, si elle touchait le devant, s'était plat et comme en tissus. Une toile? De l'art? Non, s'était dur et rembourrer. Une cible? Elle vira blanche, elle ne se voyait pas, mais savait très bien qu'elle était blanche. Ils étaient où? Avait-il du monde qui tirait? Si oui, les avaient-ils vue? Elle regarda où elle croyait être son ami et dit...
« tu es d'accord que c'est une cible!? Nous ferions mieux de bouger et vite. »
Puis, elle avança un peu plus vite, mais toujours lentement, la mains devant, touchant de cible en cible, jusqu’à ne plus en trouver. Son pouls reprit un rythme presque normal, pour la situation affrontée. Elle ne savait pas si elle était dans la bonne direction, mais pas question de retourner dans ce champs de tir. Elle avançait donc, toujours vers ce qu'elle croyait être l'avant, ayant prit le devant sur Kendrick et le traînait avec elle, la peur la menant. Puis, Morgane ce pris quelque chose de mour mais pas tant mou non plus, dans les côtes gauches. Elle tendit rapidement la main vers l'objet pour savoir qu'est-ce que cela pouvait bien être. S'était un peu comme un épouvantail que sa mère mettait dans le jardin. Un tissus avec de la paille ou autre chose dedans. Elle avait arrêter de marche, ce qui avait obliger Kendrick à faire de même. Elle lui dit... « Touche, je pense que ça c'est un mannequin. »
elle toucha de haut en bas le mannequin et atteins un bras en tâtonnant, ce qui fit une pression sur le membre qui recula. Ce qu'elle ne savait pas, c'est que Kendrick avait fait de même, de son côté, au même moment. Le mannequin bougea donc sur le côté. Ce fut un complet accident qui les aida grandement. Elle dit donc, revenant afin au murmure... « Si on pousse un peu partout sur les mannequins, s'il on en croise d'autre, je pense que ça les déplacent. »
Il rencontrèrent en effet un autre mannequins. Il firent le second à tâté un peu partout pendant un bon deux minutes avant de réaliser qu'il fallait en fait pousser les deux bras en même temps pour les déplacer. Heureux et croyant désormais connaître le truc infaillible, ils ne furent pas surpris de tomber sur un autre. Ils allèrent directement vers les bras, pour être grandement déçu. Ils sembleraient finalement que ce n'était pas la formule magique. Ils ce remirent donc a toucher tout les mannequins un peu partout. Ce fut donc après un quinze minute à juste tout bouger, jambes bras et poussé ou tirer sur tout les mannequins qu'ils finirent par tout les passer. Morgane commençait à en avoir plus que ras-le-bol de tout ses trucs à faire... Les jugent avait-ils oublier qu'ils étaient aveugles? Alors que la brune pensait pouvoir enfin reprendre le chemin sans encombre, elle n'en était pas encore à la fin de ses surprises. En effet, sous ses pieds nues, elle pouvait désormais sentir de la... boue? Elle ne pu s'empêcher de commenter... « Espérons que nous n'aurons plus à remettre nos chaussures... »
Ils continuèrent d'avancer, espérant que le sol reste solide. Puis, les mains toujours devant, éviter d'autre coup au visage, elle senti un bout de... bois? Bref quelque chose dans le passage. Elle dit à Kendrick... « Attention! Un autre obstacle... c'est haut. »
Elle examina et ajouta... « Du haut de mon cinq pied un, je passe pas dessus, va falloir tu te penche. »
Alors, elle s'exécuta, ce pencha et lassa le temps au garçon de suivre. Ils passèrent donc sous l'objet obstruant le passage. Puis, ils ne firent même pas plus de dix pas, pour que leurs mains rencontre un murs. Encore un maudit obstacle. Elle lança donc au garçon, d'un ton agacé... « Tu sais quoi, je confirme. Je pense vraiment qu'on est juste dans un cube et qu'ils nous font tourner pour bien rire. »
(#) Sujet: Re: [SERDAIGLE] Troisième épreuve. (2ème salle) Jeu 26 Fév - 5:14
Épreuve 3 : Parcours à l'aveugle
Kendrick Aidan Fall et Morgane Anastasia Worcestershire
Kendrick n'arrivait pas à croire qu'il avait manqué le coude que formait le chemin. À cause de son erreur, ils auraient pu tous les deux plonger dans un ravin et s'écraser des millions de kilomètres plus bas dans une éclaboussure de sang et autres organes ne devant pas se trouver à l'extérieur du corps. Bon, il tentait de se convaincre que les enseignants n'étaient pas assez fous pour regarder leurs élèves courir à leur mort, mais tant qu'il ne voyait rien à son environnement, il ne pouvait pas jurer de sa sécurité. Au moins, Morgane et lui étaient revenu sur le chemin de terre. Quand la jeune fille proposa de réduire le nombre de pas avant de changer de côté, Ken approuva aussitôt. Il ne souhaitait pas rencontrer une autre falaise. Il avait prévu mourir un jour, mais pas ce jour-là... Passé le petit pont de bois et la terrible grille de la mort qui tue (D'ailleurs, Ken commençait à se dire que beaucoup trop de choses avaient le potentiel de le tuer en un si petit laps de temps), le garçon put enfin se relever. Cette grille et ses pics acérés lui avaient vraiment foutu une trouille terrible. Il ne prévoyait pas mourir empalé dans la journée.
Prenant une grande inspiration pour se redonner du courage, il tenta de se concentrer sur les sons et les odeurs ambiants. Malheureusement pour lui, il n'y avait absolument rien de distinctif pour les aider ou les guider. Momo suggéra d'aller tout droit et d'attendre de rencontrer un obstacle. Ils réagiraient en conséquence à ce moment. Elle émit aussi l'hypothèse qu'ils pouvaient simplement tourner en rond sous l'oeil moqueur des spectateurs. « Ils peuvent bien rire tant qu'ils veulent, eux n'ont pas eu le courage de descendre dans l'arène comme nous. Quoi que de voir leur préfète se traîner dans la boue, ça doit être assez drôle. Et moi qui ne peut rien voir de tout ça... », dit-il pour taquiner son amie et, ainsi, détendre un peu l'atmosphère. Le stresse et la tension étaient si lourd autour d'eux qu'elle était palpable. On pouvait presque la toucher, la goûter. Il fallait donc rire un peu pour se relaxer. « Allez, Ô ma Reine, prends les devants. Je te suis... »
Prudemment, Morgane et Kendrick marchaient sur un sol de terre battu plutôt lisse comparativement au chemin qu'ils avaient emprunté plus tôt. La main droite tendu devant lui, il balayait l'air à la recherche de n'importe quoi pouvant lui offrir un indice de la route à prendre. De ses pieds, du bout des orteils, il tâtait aussi le sol pour repérer tout piège potentiellement mortel. C'est Morgane qui trouva quelque chose la première. Le jeune homme s'arrêta donc pour toucher cet objet qu'elle avait découvert. C'était rond et plat, légèrement rugueux. Quand la jeune fille suggéra qu'il pouvait s'agir d'une cible, le pauvre garçon fut pris d'un frisson. Allait-on vraiment leur tirer dessus? Vraiment? Il avait beau fouiller dans sa mémoire, il n'avait pas souvenance d'une clause lors de l'inscription qui parlait de risque de décès. Ils n'allaient pas se faire bombarder de flèches. Non? « Une cible... Pourquoi pas... », dit-il rapidement suivit d'un rire nerveux trahissant sa terreur. Les deux Serdaigle, dans leur extrême sagesse, décidèrent qu'ils devaient aller plus vite pour ne plus se trouver entre les cibles et les hypothétiques archers. L'épreuve concernant la peur était supposée être terminée, pourtant, il avait l'impression de la vivre.
Après un petit moment de marche rapide et prudente, les Aiglons se heurtèrent à un deuxième obstacle. Ensemble, ils se mirent à tâter ce qui semblait être un mannequin, ce que suggéra Momo. Ils avaient bougé, peut-être un bras ou autre chose, Kendrick n'en était pas certain lorsque le mannequin se déplaça. Il devait y avoir un mécanisme qui l'actionnait. Il fallait peut-être le toucher, tout simplement, ou toucher une partie du corps, il ne pouvait le dire avec certitude. Néanmoins, comme il avait bougé, les deux comparse pouvaient passer. Jusqu'au mannequin suivant. Ken promenait ses mains sur le-dit mannequin quand un sourire illumina son visage. « Tu sais, Momo, on pense que ce sont des mannequins en paille, mais imagine si ce sont des vraies personnes. On est là à les tâter comme deux pervers... », dit-il en riant d'un rire franc. Il passait ses mains sur les bras, les jambes et le corps du mannequin, mais il s'imaginait très mal manipuler une personne de la sorte. « Je ne peux pas te voir mais je suis certain que tu as rougis... » Il avait peur, elle avait peur. Rire un peu ne pouvait pas faire de tord. Ce fut donc avec un sourire permanent au visage que Kendrick toucha et bougea tous les mannequins qui suivirent.
Le chemin libéré, les deux amis marchèrent jusqu'au moment ou leur pieds rencontrèrent une surface différente. Ils avaient les deux pieds dans la boue. « Les bains de boue, c'est pas une affaire de filles ça? Tu devrais être contente. Tu as droit à un truc relaxant de boue bien fraîche pour tes petits petons. », ajouta-t-il. Maintenant que rien ne semblait vouloir le tuer, Ken se sentait d'humeur plus joyeuse. C'est alors qu'ils rencontrèrent un dernier obstacle. Au toucher, ça avait l'allure d'un gros rondin arrivant à la hauteur de la taille. Morgane affirma que du haut de sa toute petite taille, elle ne pouvait pas passer par-dessus le tronc. « C'est vrai que tu es minuscule. Je vais t'appeler MiniMomo! Regarde comme tu es petite à côté de moi. », ajouta-t-il en attrapant MiniMomo pour lui faire un énorme câlin. Avec ses dix pouces de plus qu'elle, la pauvre avait le visage écrasé contre le torse du garçon. Doucement et moqueur, il lui tapota la tête avant de se pencher pour passer sous le rondin. Il ne se lassait jamais de se moquer de son amie, mais il restait toujours gentil et respectueux dans ses blagues. Il savait que, côté grandeur, Morgane ne s'offusquerait pas.
Après quelques pas, les deux Serdaigles se heurtèrent à nouveau à ce qui semblait être un mur. Morgane affirma qu'on les faisait tourner en rond pour l'amusement de la foule. C'était peut-être le cas, qui sait, mais ils n'y pouvaient pas grand chose à ce moment. « Si ça les amuse... Pourquoi pas... »dit-il en haussant les épaules. Ou ils étaient rendus, ils n'avait plus vraiment le loisir de reculer de toute façon. Kendrick se mit à toucher le mur pour y déceler une ouverture quelque part, mais il ne trouvait rien. Lentement, il se déplaça vers la droite sans jamais lâcher le mur. Il le longeait tant et si bien qu'il se râpait presque le visage avec les pierres qui le constituaient. Finalement, il finit par trouver une entrée, mais elle était toute petite. Minuscule... Comme MiniMomo... Galant, le garçon laissa donc à sa partenaire le soin de passer par l'ouverture la première. Ceci fait, le pauvre grand blond dut se contorsionner pour franchir la petite porte.
De l'autre côté, Kendrick ne sentait plus le vent sur son visage, signe qu'ils étaient à l'intérieur, mais à l'intérieur de quoi, il ne le savait pas. Un pas, un seul petit pas suffit à lui faire perdre l’équilibre. En un éclair, le blond se retrouva par terre, Morgane sur ses jambes. Stupides menottes qui entraînaient toujours chacun dans la chute de l'autre. Le sol était très glissant et la boue sur leurs pieds n'aidait en rien à garder leur équilibre. Assis par terre, ils ne pouvaient pas tomber plus bas. Ken entreprit donc de tâter les alentours avant de se relever. C'est ainsi qu'il découvrit un escalier. « Sol glissant plus pieds boueux plus escalier, c'est non! On va se tuer, c'est certain. » C'est alors qu'il se souvint de ses chaussures attachées à sa ceinture. Eux n'étaient pas boueux... C'était parfait. Il entraîna Momo vers les escaliers pour qu'elle s'assoie avec lui sur une marche. Ce n'était pas très large, juste assez pour eux deux. Soupirant, Kendrick proposa à Morgane de remettre leur souliers toujours propre pour gravir l'escalier. Le garçon essuya le plus de boue possible de ses pieds avant de remettre ses bas et ses chaussures. Ce n'était pas ce qu'il avait vécu de plus confortable, mais c'était viable. Ceci fait, gravir les cinq-cent marche fut plutôt aisé, un tant soit peu que Ken longeait le mur et gardait Morgane collée à lui. « Cinq-cent! Cinq-cent bordel de marches! C'est pas la tour d'astronomie, tu vas dire, mais au moins, quand je monte en astro, je vois ou je vais... », dit le jeune homme un peu irrité. Arrivé tout en haut, il se prit les pieds dans un objet qui le fit tomber, encore. Il soupira et tâta pour trouver le coupable de sa chute. C'est à ce moment qu'il attrapa le sac. « Le sac, Momo! Voyons voir ce qu'il y a dedans... » Et il plongea sa main dans le sac pour y découvrir l'objet mystérieux...
Après être entrer dans cette pièce extérieur et avoir vécu tant de péripétie, ils était désormais face à plusieurs obstacle leur barrant le chemin ici et là et demande un certain temps de réflexion. Lors de cette longue marche d'obstacle, Kendrick fit des blagues qui firent un peu rire la préfète et la calma. Tout comme lorsqu'il l’appela Ô ma reine, ce qu'il faisait souvent ses derniers temps, depuis qu'elle avait été nommé préfète. Au moins, cela avait eu le dons de l'amuser dès le premier jours de sa nomination. Elle se souvenait que souvent même il lui tirait les chaises et faisait des révérences, mais bref, pour l'instant il fallait avoir la tête dans cette épreuve.Alors qu'ils touchaient les mannequin, Morgane se retrouva rouge de gêne et un peu de dégoût lorsque Kendrick lui dit d'imaginer que s'était des vrai personne, alors que les mains de la fille était si prêt de l'entre jambe de ce mannequin. Imaginer la gêne de cette personne. Elle avait d’ailleurs retirer sa main de là. Le blond avait toujours eu un dons de détendre la brune lorsque la panique la guettait de prêt , que l’angoisse frappait à sa porte. Comme de fait, avec ses petites mimiques et même ce câlin qu'il lui fit lorsqu'elle ce retrouva le visage dans son torse, il peu la détendre un peu. D'ailleurs, elle pu remarquer qu'il sentait même bon, pour quelqu'un d’aveugle et en situation de stress. Puis, il décida de la nommer MiniMomo ce qui la ramena sur terre... bah ce n'était pas son pire surnom. Puis, une fois cette arbre au sol traverser par en dessous, ils finirent cette course à obstacle et à danger.
Tout cela, tout ses obstacle, pour se prendre un murs. Morgane était tout simplement irrité par cette épreuve. Elle était cependant très calme, pour quelqu'un d'aussi au bout de la corde. Elle avait toujours été de nature patiente et calme, voilà pourquoi elle réussissait à garder un contrôle sur sa colère, mais son angoisse face à cette perte de vue venait un peu changer son tempérament doux pour une fois. Ce n'était pas vraiment compliquer, les deux Serdaigle marchait, avançait et respirait dans le stress et la peur présentement. Peut-être que ce travail d'équipe tentait de tester les amitiés lorsque la situation devenait difficile... Ce ne serait pas un problème pour les deux ici, puisqu'ils se connaissaient depuis tellement longtemps qu'il connaissait les limites de l’autre et savait comment éviter de les atteindre. Ils savaient comment fonctionnait et travaillait l'autre dans la vie de tout les jours, alors leur équipe était faite pour bien fonctionner et avancer sans se prendre les mains à la gorge à chaque désaccord. C'est ainsi que devant ce murs, ils devaient désormais toucher tout des mains et des pieds à nouveau en recherche d'un indice. Puis, la préfète redit son avis qu'ils se moquait d'eux et la blond ne s'en fit pas pour cela. Puis, son meilleur ami trouva une porte, celle-ci étant petite et la Serdaigle ayant sûrement plus de facilité à la traverser, elle s'y rendit en premier son ami sur ses pas.
L’intérieur était chaud. Une bonne chose pour leurs pieds nue!Le plancher était glissant pu constater Morgane qui allait le dire a Kendrick, avant que celui-ci ne s'en rende finalement compte en tombant au sol. Ce ne fut pas long que la préfète suivait dans sa chute et tomba... sur... sur ses genou?! La gamine de quinze ans eu un coup de chaleur, vous savez celui même qui signifie que votre visage, votre coup et sûrement tout le reste de votre corps est rendu plaquer rouge de gêne. Par chance, son meilleur ami ne la voyait pas, autant qu'elle ne le voyait pas. Gênée, elle se tassa rapidement sur le côté que la menotte lui permettait, puis restant assis, ils prirent le temps d'analyser un peu leurs situation.bien que mal. La blond annonça qu'ils se tueraient et Momo n'était que plus en accord avec lui sur ce fait. Puis, il lui annonça qu'il faudrait remettre leurs chaussures ce à quoi elle grogna...
« Tu voie, je devrais avoir un Optimal en divination pour ça... »
Puis elle remit ses satanées chaussure qu'elle devrait mettre dans les vidange une fois sortie de cette place. Puis, ils montèrent les marchent. Morgane les comptait discrètement dans sa tête, pour s'occuper et ce changer les idées, lorsque Kendrick annonça Cinq-cent! Oh, alors il les comptait lui aussi. Puis il compara cela au cours d'astronomie. Finalement, ils trouvèrent, ou plutôt son meilleur ami trouva, un sac. Elle lui répondit... « Original... Bon aller. »
et elle plongea également sa main dans le sac. Priant que ce ne soit pas quelque chose de vivant ou des déchets.
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