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Quand un Aigle rencontre un Lion {ft.Louis R. Weasley}
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Message(#) Sujet: Quand un Aigle rencontre un Lion {ft.Louis R. Weasley} Quand un Aigle rencontre un Lion {ft.Louis R. Weasley} EmptyVen 13 Fév - 19:05

Les beaux jours arrivaient peu à peu, l'hiver touchait bientôt à sa fin et la température jusqu'alors fraiche commençait peu à peu à remonter. La semaine était vite passée, les cours avaient été tous aussi fascinants les uns que les autres. Mais à présent, je voulais un peu me détendre, c'était vrai, j'avais travaillé toute la semaine dans la salle commune des Serdaigles ne sortant que pour les repas et pour les heures de classes. Je me trouvais actuellement dans le dortoir des filles, allongée sur mon lit, je me réveillais doucement. Il était tôt encore ce matin-là et tout le monde dormait encore poings fermés. Par la fenêtre, je vis l'immense ciel bleu extérieur ainsi que l'aurore qui éclairait peu à peu le parc. Sortant du lit, j'enfilais mon jean bleu marine ainsi que mon T-shirt blanc à rayures noire. Sur mon chevet, je pris mon chapeau de paille et le posai alors sur ma tête. Ma baguette magique en poche, j'étais prête à sortir dans le château.
 
« Où tu vas comme ça de si bonne heure ?» Demanda une voix endormie

C'était une jeune fille qui, m'entendant me lever s'était réveillée et m'observais d'un regard endormi encore. D'un même ton de voix, je l'informai que je me rendais au parc profité du soleil. La fille me souhaita une bonne ballade puis se rendormie aussitôt. Je prie ensuite mon sac à dos dans lequel je transportais tous mes grimoires et notes prises pendant les heures de classes afin de pouvoir les relire plus tard. Je poussais la porte du dortoir et pris la direction des couloirs du château. Sur ma route, je croisai quelques élèves encore rares à cette heure-ci ainsi que quelques fantômes qui discutaient entre eux. Après les avoirs gentiment salués, je poursuivis mon chemin jusqu'au moment où je me retrouvais dehors. La cour de Poudlard était encore que très peu ensoleillé et une légère bise vint me caresser les joues.

D'un pas calme mais rapide, je pris le pont qui reliait le château au parc puis descendit vers le Lac Noir de l'école. Autour de moi, je pouvais entendre le bruit des oiseaux, le chant des cigales et le chant du vent sur les feuilles des arbres. Lorsque quelques minutes plus tard, j'atteignis enfin ma destination. Un coin du lac où il était difficile d'accéder compte tenu des épines, ronces et autres fougères et branche qui était sur le chemin.


D'un pas calme mais rapide, je pris le pont qui reliait le château au parc puis descendit vers le Lac Noir de l'école. Autour de moi, je pouvais entendre le bruit des oiseaux, le chant des cigales et le chant du vent sur les feuilles des arbres. Lorsque quelques minutes plus tard, j'atteignis enfin ma destination. Un coin du lac où il était difficile d'accéder compte tenu des épines, ronces et autres fougères et branche qui était sur le chemin. J'avais trouvé cet endroit lors de ma première année à l'école et depuis, je m'y rendais souvent. C'était pour moi un refuge loin de tout stress. Le calme et la sérénité qui se dégageait de ce lieu étaient apaisants et me permettaient d'étudier en toute sérénité, mais aussi à me détendre et ces instants de silence me faisaient du bien pour moi, pour mon esprit, ça me permettait en effet de faire le vide et évacuer tous les stress de la semaine.


J'ignore combien de temps était passée depuis mon arrivée. À présent, le soleil avait un peu plus grimpé dans le ciel, mais toujours pas l'ombre d'un élève dans les parages. Comme je m'y attendais, rares étaient les personnes qui venaient dans cet endroit du Lac et c'était pour cette raison que je l'avais choisi. J'étais ma baguette à la main en train de réviser des sortilèges, mais possédais aussi un parchemin où j'affinais les notes que j'eus prises pendant les heures de cours.

J'étais en train de relire mes notes de botanique quand j'entendis un craquement de brindille derrière moi. N'ayant entendu aucun bruit jusqu'à présent, je me retournai brusquement afin de voir ce qui était à l'origine de ce son. C'est alors que je vis un jeune homme. À première vue, cela se voyait, il était beaucoup plus âgé que moi.

Je demeurais toutefois silencieuse. En effet, j'étais une personne réservée et rare étaient les personnes avec qui je parlais ouvertement. Le plus souvent, je manquais de confiance en moi pour débuter une conversation alors à cet instant, je n'osais même pas imaginer quoi que ce soit, il semblait être beaucoup plus âgé que moi et je me sentais petite à côté de lui, non par la taille, mais par la culture.

***Bien qu'en y réfléchissant, par la taille aussi je suis petite***

Je replongeais ma tête dans mes bouquins attendant que le jeune homme dise quelque chose. Comme si moi, j'allais commencer la conversation. Moi ? Timide et réservée comme j'étais, ce n'était quelque chose qui m'aurais rendue super à l'aise. C'est donc en silence que j'attendais que le jeune garçon prenne la parole.
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Message(#) Sujet: Re: Quand un Aigle rencontre un Lion {ft.Louis R. Weasley} Quand un Aigle rencontre un Lion {ft.Louis R. Weasley} EmptySam 14 Fév - 15:55

Si Louis Ronald Weasley avait bien une passion, c’était le matin. Il aimait la tranquillité que le château dégageait dans ses heures. Généralement, il allait travailler à la bibliothèque ou dans une salle, tout seul, sans aucun bruit. Ce n’était pas forcement comme ça qu’il était le meilleur mais il aimait le calme, voilà tout. Le soleil venait à peine de se lever quand Louis se leva d’un bond. Complètement décoiffé, il tira les rideaux de son lit pour voir que Matthew était aussi réveiller. Comme chaque matin depuis près de sept ans, les deux se réveillaient presque systématiquement à la même heure, presque à la même minute. Cela avait toujours le don de faire sourire Louis. Saluant son camarade de dortoir, il tira sa malle pour en sortir des vêtements propres. Jean marron, pull des Gryffondor, il se mit en route pour le moment le plus bénéfique de la journée : le petit déjeuner.

Louis arriva en bas des marches, les élèves étaient peu nombreux même si certains avaient cours dans l’heure qui suivait. A cette époque de l’année, les élèves préféraient être au chaud dans leur lit même si le soleil venait embellir cette journée. Jus d’orange, café et bacon, le petit déjeuner parfait pour notre Weasley. Il salua le professeur Pelvanche qui était en train de se servir elle aussi à manger. C’était sa directrice de maison et très certainement sa prof préférée. Au contraire de Lyard, même s’il n’avait plus histoire de la magie, Louis avait gardé un très mauvais souvenir de ce professeur. Même s’il avait été dans les meilleurs élèves, il avait toujours quelques choses à redire. Parce qu’il était Gryffondor, parce qu’il était un Weasley, cousin des Potter. Il accumulait à vrai dire. Le sourire de son professeur avait toujours un bon effet sur Louis. Son cousin James avait souvent dit que Louis avait le béguin pour elle. Lisant la Gazette fraichement arrivée, il put voir un article d’un ami de la famille Potter, il parlait de la Licorne Blanche. A cet instant, il aurait aimé pouvoir aller à la taverne pour boire et manger d’excellentes choses. Il ne pouvait pas, il devrait donc se contenter de la nourriture qu’avait été préparée par les elfes de maison des cuisines. Le ventre plein, il regarda par l’une des immenses fenêtres de la Grand Salle. Il y avait du soleil, il pourrait donc facilement aller étudier ou lire un livre au bord du lac.

Marchant doucement et profitant du léger vent, Louis pensait à ce qui l’attendait à la fin de l’année. Il avait un peu peur mais il était déterminer comme jamais à devenir un auror. C’était tout ce qui voulait faire dans la vie. Des fois, il se demandait ce qu’il ferait si par malheur il n’avait pas la chance d’intégrer la brigade d’élite dirigé de main de maitre par son oncle. Cette pensée n’était pas possible. Il allait se préparer un maximum pour ses ASPIC puis il irait ensuite passer des tests assez rapidement. Il aurait voulu être le nouveau plus jeune auror du Ministère. Il savait à quel point son père serait fier de lui. Sa mère aussi d’ailleurs. Le jeune Gryffondor vendait l’air, passant devant la cabane du garde-chasse qui n’avait pas changé depuis des dizaines d’années selon les dires de son père. Vu l’état de l’habitat, il ne pouvait que donner raison à Bill Weasley. Cette maison fascinait Louis, il savait qu’elle tenait que par la magie, comme la maison de ses grands-parents. Même si elle semblait petite, la cabane qui jouxtait la Foret Interdite devait être très confortable, il l’imaginait bien sûr, n’ayant jamais mis les pieds dedans.

Au bout de quelques minutes de marche, il atteint son objectif. Souvent, il venait se promener autour du lac, cela lui prenait une journée entière pour faire un simple aller-retour mais c’était reposant. De plus, il avait découvert de magnifiques endroits. Une pensée lui vint à l’esprit, lui avec Sunny. Avoir travaillé avec la Poufsouffle le jour d’avant n’avait pas calmé l’admiration qu’il commençait à voué à la jeune demoiselle. Pour le coup, là, il était vraiment sous le charme. Ce n’était pas possible entre les deux, en plus il ne cherchait pas ça. Mais Sunny avait un effet de Vélane sur beaucoup de garçons. Le jeune griffon se demanda si, au finale, elle n’en avait pas. Alors qu’il était dans ses pensées, il se retrouva nez à nez avec une demoiselle de Serdaigle. Elle semblait bien plus jeune que lui. Baguette à la main et parchemin ouvert à ses pieds, Louis compris assez rapidement qu’elle devait s’entrainer pour ses futurs cours. Elle avait bien raison. C’était certainement l’endroit le mieux pour lancer toutes sortes de sortilèges sans blessé quelqu’un. Un sourire aux lèvres, Louis dit à la demoiselle qui semblait être pétrifié à l’idée de parler avec le jeune homme :

« Bonjour ! Très bon choix de lieu pour un entrainement. Moi, c’est Louis et j’aimerai bien m’asseoir ici pour lire. Sauf si je te dérange ou si tu veux me lancer un sort. Je sais pas ce que tu apprends mais j’ai pas envie de le recevoir en plein dans la tête »


Louis lui fit un grand sourire. Si jamais elle ne voulait pas, il partirait bien sûr plus loin, il y avait bien assez de place pour plusieurs personnes pour être tranquille ailleurs aussi.
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Message(#) Sujet: Re: Quand un Aigle rencontre un Lion {ft.Louis R. Weasley} Quand un Aigle rencontre un Lion {ft.Louis R. Weasley} EmptyLun 16 Fév - 13:06

Je n'avais encore pas parlé au nouvel arrivant, ne sachant que dire devant ce jeune homme. C'est alors qu'il prit la parole afin de me demander s'il pouvait s'installer ici si cela ne me dérangeait guère, mais aussi en s'assurant que je n'allais pas lui lancer un quelconque sortilège sur son joli minois. Avec un sourire, je refermais mon livre puis l'invitai à s'asseoir. Je regardais à présent autour de moi, puis rangeai ma baguette. J'avais de toute façon fini mes exercices et j'observais le jeune garçon, il était vêtu d'un Jean marron et surtout, détail que je remarquai immédiatement, il portait sur lui, le pull de Gryffondor. Et son arrivée m'avais quelque peu surprise, en effet, depuis 3 ans que je venais ici, je n'avais encore jamais vu d'autres élèves à cet endroit. Mais je n'en tenais pas compte, un peu de compagnie de temps en temps ne pouvait guère faire beaucoup de mal.. C'est ainsi avec un léger sourire que je lui répondis :

« Tu peux approcher, j'avais fini de toute façon la partie sortilège. »

Je rangeais ma baguette puis me détendis pendant un instant. C'est alors que le silence s'installa, je ne parlais pas, car j'étais à la fois prise par ma timidité, mais aussi et surtout, je ne voyais pas quel sujet je pouvais aborder avec ce jeune homme. Je baissai donc mon regard puis le redirigeai vers mes notes tout en griffonnant sur mes parchemins tels ou telles indications qui me serviraient pour atteindre un bon niveau. Je n'étais pas centrée sur la réussite, mais il était vrai que j'aimais que les différentes tâches que je menais soient mener à bien et à terme. Je recherchais toujours mes erreurs sur tel ou tel exercices pour pouvoir les éviter plus tard, pratiquant chaque entrainement et chaque leçon plusieurs fois jusqu'à atteindre la perfection et que j'eus un succès à coup sûr. Quoi qu'il en soit, je ne savais pas quoi dire à ce jeune homme, bien plus âgé que moi, j'étais impressionnée par sa carrure et ne savais pas trop sur quel sujet je pouvais l'aborder et cela me gênais. J'étais partagée entre la peur de paraître idiote à rester là à ne rien dire mais aussi par celle d'être maladroite en disant quelque chose. C'est pour cette raison que je restais dans le silence la plupart du temps, et que je m'isolais beaucoup.

« Alors... Louis, c'est ça ? Qu'est-ce qui t'amène par ici ? »

J'avais dit cela sur un ton amical. Ce jeune homme, fraichement arrivé, me semblait plutôt timide à première vue. Bien sûr, c'était mon premier ressenti, et cela ne me gênait guère, mais il était vrai que je l'étais aussi, ce qui pour faire la conversation n'allait pas être d'une grande facilitée. Je ne me sentais pas à l'aise, mais je ne pouvais pas dire que j'étais mal non plus. Je me trouvais dans cet instant de neutralité où on ne savait jamais comment on se sentait vraiment. Je rangeais mon parchemin dans mon sac puis regardais Louis. Soudain, une idée me vint. Au bord du lac, il y avait bien une chose que nous pouvions faire et puis ça me changerait les idées des études et me permettait de ne pas paraitre idiote à rester dans un mot devant lui ; c'est ainsi que me relevant, je lui fis :

« Viens, je vais te montrer quelque chose ! »

Je descendis au bord du lac, j'enlevais mes chaussures puis plongeais mes pieds nus dans l'eau. Là, je ramassais un caillou puis me penchai pour avoir l'horizon du lac le plus bas possible. D'un geste rapide avec mon bras, je lançais le projectile dans l'eau, ce dernier ricochant sur le lac avant de finir sans course et plonger au fond des flots. Je me retournais ensuite vers le jeune homme puis, dans un sourire, je lui intimai de faire la même chose.

« Aller à toi, essai ! » Encourageais-je.

C'est ainsi que je me mis à observer le jeune homme. Après qu'il eut fait quelques lancés, je pris à nouveau plusieurs galets puis en donnai à Louis. Nous passâmes plusieurs heures à ce jeu et j'observais combien de ricochets nous faisions, cela variait selon les lancers, parfois, on arrivait à en faire huit ou neuf à la suite d'autres fois, on peinait à atteindre les cinq. Mais ce passe-temps me plaisait beaucoup pour la première fois depuis trois ans, je sortais ma tête de mes livres. Puis j'eus enfin une illumination en moi, un sujet de conversation qui me venait enfin. Mon regard toujours fixé sur le lac, mon bras lançant les galets, je questionnai le jeune homme :

« Tu sais ce que tu as envie de faire une fois que tu auras quitté Poudlard ?»

Cela me semblait un bon sujet de conversation, car, bien que je me trouvasse qu'en troisième année, dans deux ans, je passais les B.U.S.Es et viendra le jour où ce sera les A.S.P.I.Cs, et bien que j'eusse une idée de métier, je n'étais pas encore complètement fixé et il m'en fallait bien d'autre au cas où ça ne marcherais pas. C'est pour cela qu'en tête, j'avais beaucoup d'idée, mais ce que je voulais surtout, c'était un poste au sein du Ministère, j'ignorais si je voulais faire ministre même ou Auror, mais je ne me voyais pas dans d'autres disciplines. Et cela avait une grande importance pour moi, étant née moldue, je voulais à tout prix faire mes preuves et montrer que j'avais ma place dans le monde des sorciers, c'était également pour cette raison que je consacrais ma vie aux études et que je me rendais souvent dans la bibliothèque de l'école afin d'avoir un maximum de connaissance sur le monde des sorciers tant sur le plan politique, mais également sur beaucoup de sujets divers et variés tels que les évènements sportifs, les célébrations et autres. Tout m'intéressait, ma soif de connaissances ne connaissait aucune limite et mon esprit était très réceptif aux nouvelles informations qui venaient à moi.
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Message(#) Sujet: Re: Quand un Aigle rencontre un Lion {ft.Louis R. Weasley} Quand un Aigle rencontre un Lion {ft.Louis R. Weasley} EmptyMar 17 Fév - 1:35

La jeune demoiselle ne dit pas grand mot au départ. C’est bien ce qu’il pensait, elle devait peut-être assez timide0 C’était normal en même temps. Louis n’étais pas forcément grand mais il était en dernière année. La demoiselle était peut être impressionné par cela. Cela fit rire Louis. Il n’avait rien d’imposant. Assis contre le tronc d’un magnifique chêne, il sorti son livre sur les potions. Encore une fois, cette matière était celle avec laquelle il avait le plus de mal. Il l’aimait beaucoup mais il trouvait ça dur dans certains cas. Heureusement, Sunny l’aidait. Une fille de trois ans de moins que lui l’aidait pour qu’il puisse réussir à devenir auror. Cette fois ci, Weasley se plongea dans la recette d’une autre potion très difficile. Le Félix Félicis. La potion de la chance. Il ne savait pas trop en quoi elle pourrait lui être utile s’il était auror. Il devait rédiger un papier sur les effets de la potion et comment celle-ci pouvait être dangereuse. A vrai dire, Louis avait déjà réfléchi en quoi la potion était loin d’être sans risque. Si deux personnes adversaires dans un match de quidditch venaient à prendre en même temps cette potion, que se passerait-il ? Sortant un bout de parchemin et une plume, le griffon nota cette idée. Il était impatient de montrer ça à Sunny. Il était vrai que la potion ne serait pas annulée, ça voudrait donc dire que c’est les personnes autours des deux protagonistes qui auraient subi les effets néfastes. D’une certaines façons, les effets se seraient donc affrontés pour n’avoir aucun gagnant. Louis leva les yeux alors qu’il venait de finir sa phrase. La demoiselle semblait être elle aussi dans ses cours. Elle avait arrêté de lancer de sort pour son entrainement. Elle devait vouloir respecter le silence de Louis. Alors qu’il pensait qu’elle ne parlait pas du tout, la fille lui demanda ce qu’il venait faire ici et si Louis était bien son prénom :

« Oui, c’est bien Louis. Et je viens ici pour du calme. Normalement je vais un peu plus loin sur le bord du lac mais je n’ai pas très envie aujourd’hui. Ce calme m’aide à me calmer, à me poser avant les ASPIC qui arrivent à la fin de l’année. Et toi, tu t’appelles comment ? Et tu fais quoi ici du coup ? »

Louis avait bien compris qu’elle venait ici pour s’entrainer mais il voulait continuer la discussion. Ce n’était pas quelqu’un de timide du tout, il pouvait parler avec n’importe quoi et n’importe quand. Mais il ne voyait pas vraiment la même chose chez la demoiselle qui se trouvait non loin du lui. Elle semblait ne parler avec que très peu de personne et encore moins des 7 ème années qui n’était pas du tout de sa maison. Alors que la demoiselle lui donna sa réponse, elle décida aussi de faire une chose très inattendue. Elle invita Louis à la suivre. C’était très bizarre. En quelques secondes elle s’était transformée. Intrigué, Louis hésita quelques secondes. Il devait vraiment travailler mais il n’en avait vraiment pas envie. De plus, le devoir n’était pas à rendre avant un mois, il aurait donc le temps de travailler un peu plus avec Sunny. L’idée de passer encore plus de temps avec Sunny en tête à tête n’était que bénéfique pour le griffon. Plus les cours avec celle-ci étaient présent, plus il était content.

La demoiselle s’était rendue proche de l’eau. Une petite plage de galet les attendait. La fille prit alors l’une des roches sur le sol et commença à faire des ricochets. Louis n’avait plus vraiment l’âge pour faire ça mais il avait envie de se détendre. Il n’avait jamais été très bon à ce jeu. Pourtant, Louis avait grandi au bord d’une plage magnifique. Le griffon prit une pierre. Les souvenirs de ses lancers avec son cousin James refit alors surface. C’était de très bon moment, c’était dans ces moments qu’il avait fait découvrir les bêtises à son petit cousin Potter. Autant dire que maintenant, il les avait bien comprises en étant devenu le pire cancre de l’école. Après quelques temps la demoiselle demanda à Louis ce qu’il comptait faire l’année suivante :

« Auror. C’est ce que je veux faire. C’est le seul métier que j’ai vraiment envie de faire. Mon oncle est le directeur du département, il m’a donné cette passion quand j’étais plus jeune et depuis, je n’ai que ça en tête. Ce n’est pas simple mais je sais que je vais y arriver. Et toi ? Que veux-tu faire ? Même si c’est loin je présume »
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Message(#) Sujet: Re: Quand un Aigle rencontre un Lion {ft.Louis R. Weasley} Quand un Aigle rencontre un Lion {ft.Louis R. Weasley} EmptyMer 18 Fév - 0:39

Le jeune garçon gryffondor qui venait d'arriver se présenta, je ne m'étais pas trompée sur son identité, c'était bien la bonne. Quant à sa venue, si je comprenais bien, il venait pour se vider l'esprit et se détendre avant les épreuves de fin d'année qui approchaient. C'est alors qu'il demanda mon nom et la raison de ma venue ici au bord du lac. Il était vrai que je ne m'étais pas encore présenté depuis qu'il était arrivé, je l'avais assommé de question sans même prendre le temps de dévoiler mon identité. C'est donc avec une certaine gêne que je répondis :

« Je suis Aurore. Aurore Hellias, en 3ème année à Serdaigle.»

J'avais parlé d'un ton qui aurait pu être calme, mais qui en réalité trahissais mon sentiment de malaise et de timidité. Je me repris afin de poursuivre ma réponse à sa double question. C'est alors qu'avec un peu plus d'assurance cette fois-ci, je répondis calmement au jeune homme :

« Ici au bord du lac ? Je viens principalement m'entraîner, c'est pour ça que je suis à cet endroit précis, en général, cette partie du lac n'est pas fréquentée, car il y a beaucoup de ronces et un chemin étroit ça dissuade le tout-venant, et comme ça, je peux m'entraîner à mes sortilèges sans blesser quiconque.»

Je lui lançai un sourire puis plongeai ma tête dans un livre que j'avais avec moi. C'était une habitude chez moi, plutôt que de paraître idiote à regarder une personne sans rien dire et avec un sourire gêné, je plongeais ma tête dans un de mes livres de cours, faisant semblant de lire pour éviter d'être prise pour une cinglée. Puis je lui demandais ce qu'il souhaitait faire une fois ses études terminées et ses A.S.P.I.Cs en poche. C'est avec, ce qui me semblait, une voix très déterminée qu'il m'expliqua qu'il voulait s'engager dans une carrière d'Auror et que son oncle était le directeur du département qui gérait tout ça et qu'il aspirait à cette carrière depuis son plus jeune âge.

Par la suite, il me demanda ce que j'avais prévu, moi, de faire comme carrière, sachant que j'avais encore beaucoup de chemin à parcourir avant d'y songer vraiment. Je me rendis compte à ce moment-là que je n'y avais pas encore vraiment réfléchi, j'hésitais entre plusieurs professions et je ne m'étais guère encore fixé sur celle que je désirais le plus. Je répondis donc au jeune homme :


« Bien... Je ne sais pas trop, j'ai plusieurs idées en tête, travaillé au Ministère par exemple en devenant Ministre des relations Sorcièrs et Moldus, mais une carrière pour la Banque Grigotts me plairait peut-être, ou bien Guérisseuse. Mais je sais que c'est difficile d'où la raison pour laquelle je suis toujours plongée dans les études. Mais honnêtement, j'ignore encore vers quoi je veux me lancer comme carrière aujourd'hui.»

Et c'était vrai, je ressentais vraiment l'envie de réussir dans ce monde et trouver ma place ou qu'elle soit afin de prospérer au mieux. Et bien que je fisse de mon mieux à me faire une place dans le monde des sorciers, j'avais toujours en moi ce doute qui ignorait de ce que je souhaitais faire après Poudlard, il y avait tant de possibilité. Tellement de métier, mais je savais ce que je voulais, un métier proportionnel à mon travail que j'accomplissais ici pour mes études. Et pourquoi pas devenir un jour Ministre de la cours de Justice magique ou membre du Magenmagot. C'était des postes que je visais et c'était pour cela que je travaillais sans relâche presque nuit et jour pour atteindre ces objectifs.

« En y repensant, il y a bien quelque chose que je voudrais faire plus tard. Je souhaiterais devenir Ministre de la cours de Justice Magique ou bien membre du Magenmagot. Ce sont des postes qui me plairaient bien. Mais... Je sais ce que tu dois penser... Jamais une fille née moldue ne pourra devenir ministre de la Justice Magique »

Il y avait dans la fin de ma tirade une voix descendante et triste qui prenait le pas sur ma joie précédente. Mais je tentais de cacher cette peine bien que je n'eusse aucune idée si j'y arrivais ou non. Quoi qu'il en soit, je me ressaisis rapidement puis respirais un grand coup avant de sourire au jeune gryffondor. Je ne souhaitais pas être prise pour une martyr et encore moins pour une personne qui perd espoir. Bien au contraire, j'étais, le plus souvent, une personne très positive qui voyait toujours la partie pleine d'un verre à moitié rempli. Et ça me permettait entre autres d'avoir de bons rapports avec les autres malgré ma timidité et je trouvais toujours, ou du moins le plus souvent, quelque chose à dire pour remonter le moral des personnes qui m'étaient chères, et en particulier de mes amis quels qu'ils soient. C'est ainsi que jouissant d'une grande patience naturelle, j'attendais la réponse de Louis tout en replongeant ma tête dans mon livre, mais en ne quittant pas une seconde le jeune homme du regard.
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Message(#) Sujet: Re: Quand un Aigle rencontre un Lion {ft.Louis R. Weasley} Quand un Aigle rencontre un Lion {ft.Louis R. Weasley} EmptyDim 22 Fév - 1:11

Histoire de carrière, Louis n’était finalement pas si compliqué. Quand il entendit l’énumération de la demoiselle, Weasley fit une tête très surprenante. A son âge, elle avait quand même des envies bien définie. Et pas des moindre. Ce n’était une carrière facile que la demoiselle voulait. En même temps, Louis avait aussi un choix dur. La demoiselle se destinait donc à une carrière plus politique et judiciaire. Elle devait avoir un tempérament calme mais fort en même temps. C’était obligatoire. Une force mentale à toute épreuve. Juger une personne pour des crimes c’était dur. Bien plus dure que de le chasser, le trouver et l’arrêter. Elle parla ensuite d’une carrière dans la banque des sorciers. Louis ne savait trop bien ce que c’était, ses deux parents travaillant pour cette banque. C’était d’ailleurs grâce à elle que les deux s’étaient rencontrer. C’était très étrange de ce dire que Louis avait pu voir le jour grâce à l’argent, grâce au fait que certains soit plus riche que d’autres. La famille Weasley n’ayant jamais été riche, c’était drôle. Louis pouvait donc aider la demoiselle, la conseiller si elle voulait vraiment ça. Il pourrait même demander à ses parents des choses précises. Le Gryffondor ne connaissait pas du tout la demoiselle mais il voulait l’aider et il ne savait pas du tout pourquoi. Il était de nature généreuse, c’était tout. Et puis, il aurait bien aimé avoir une personne pour le soutenir et l’aider dans sa quête pour être auror. Ce n’était pas forcément le cas, Harry étant vraiment beaucoup trop occupé. Elle voulait aussi travailler avec les moldus. Cette idée était sympathique pour Louis. Il s’était toujours demander comme les sorciers pouvaient gérer aussi bien le monde dans lequel ils vivaient, vis-à-vis des non-sorciers. Une Coupe du Monde de quidditch par exemple devait être plus que très dur à organiser sans qu’aucun moldus ne puisse le voir. C’était fou. Louis regarda donc la demoiselle qui avait à nouveau son nez dans le livre :

« Pour une personne assez jeune, tu as déjà beaucoup d’idée de ce que tu veux faire plus tard. C’est assez fou quand même. Et ce que tu veux faire est très bien. La relation entre sorcier et moldu c’est très important et difficile à comprendre en plus. Pour Gringgots, mes deux parents y travaillent donc j’en connais un rayon. Si tu veux des informations, tu peux me demander, j’y répondrais avec grand plaisir »


Louis fit un grand sourire à la demoiselle. Il se trouvait debout. Il sentait le froid l’envahir un peu mais il se sentait bien. Il avait l’habitude d’une douce brise ou d’un vent violent. Il habitait quand même au bord de la mer. La mer du Nord en plus. Alors qu’il allait sortir sa baguette pour faire un petit feu, la demoiselle continua de parler. Elle avait encore d’autres idées de carrière. Louis n’aurait jamais voulu être à sa place. Il y avait bien sur des avantages à vouloir faire beaucoup de chose. Par exemple, si elle n’arrivait pas dans un endroit, elle pourrait être dans un autre. Louis n’aurait pas cette chance-là. Mais dans un autre sens, le Gryffondor trouvait ça très dur de devoir choisir entre plusieurs choses pour son métier. Sa passion était claire, il voulait en faire son métier. C’était très facile pour lui. Peut-être même un peu trop. Louis leva la tête et fixa la demoiselle quand elle lui parla de né-moldu. Louis souris puis il répondit à la fille :

« Née-moldue ? Tu sais qu’Hermione Granger est directrice du Département de la Justice Magique et qu’elle née-moldue. C’est ma tante, je peux te l’assure, je n’ai jamais vu une sorcière aussi douée. Que tu sois né chez les moldus, ça n’a aucun rapport. SI tu le veux, si tu t’en donne les moyens, tu y arriveras. Il faut penser ça. Les pro-Sang-pur sont trop content d’entendre ça. Non Aurore, tu peux être une très grande sorcière sans être né dans une famille de sorcier. Je peux te l’assurer. »

Louis s’approcha de la demoiselle qui tenait un livre dans la main. Il lui posa la main sur l’épaule comme pour la soutenir. Weasley n’aimait pas du tout entendre ce genre de discours. Beaucoup trop de sorcier qui se disait sang-pur avait ce discours. C’était l’une des plus grosses bêtises que Louis avait pu entendre de toute sa vie. Lui-même n’était pas un sang-pur. Comme pour persuader la demoiselle, Louis tendit la main pour la faire se lever :

« Je vais te montrer que tu peux être puissante et forte même en étant moldue. Je suis né chez des sorciers, ma famille proche n’a que des sorciers. Tu vas voir que je ne suis pas forcément meilleure que toi. Tu choisis un sort de ton année et on compare. »
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Message(#) Sujet: Re: Quand un Aigle rencontre un Lion {ft.Louis R. Weasley} Quand un Aigle rencontre un Lion {ft.Louis R. Weasley} EmptyMar 24 Fév - 22:47

Je venais de finir de parler et à présent, je regardais mon livre sans pour autant lire son contenu. En effet, mon attention était surtout centrée sur les réponses de Louis qui se montrait très amical et je vis dès lors une profonde envie de sa part de me venir en aide par tous les moyens possibles. Il fut tout d'abord étonné de voir que bien que je fusse en troisième année, je possédais déjà plusieurs perspectives de carrière. Il m'informa par la suite que ses deux parents travaillaient pour Grigotts la célèbre banque des sorciers et que je ne devais en aucun cas hésiter si des questions à ce sujet me traversaient l'esprit.

Puis je lui fis par de mes inquiétudes quant à ma nature de née-moldue et de mes perspectives de carrières. Il me rassura aussitôt en m'indiquant que je ne devais pas me faire de soucis à ce sujet, car ce n'était pas un critère spécifique de sélection pour les emplois et pour preuve, il m'informa alors que la Directrice de la Justice Magique au Ministère de la Magie était nulle autre qu'Hermione Granger, une née-moldue comme moi et qu'avec du travail et des efforts tout me serais alors accessible.

C'est alors que je sentis sa main venir toucher mon épaule, son geste, bien qu'anodin, m'apportais soudain beaucoup de réconfort et les mots qu'il disait me détendaient grandement. Mais je ne devais pas non plus me laisser distraire de mes objectifs et dès lors, mes pensées retournèrent vers mes livres et mon sac que j'avais abandonné quelques minutes.

Il y avait une chose que je ne comprenais pas trop. Je n'avais jusqu'alors pas parler à beaucoup de personnes au Sang Pur, les croyants trop fiés d'eux pour qu'ils s'intéressent à moi et pourtant, il était là. Louis. À me parler comme si j'étais son égal. Il était issu d'une famille de sorcier, et cependant, il venait en aide volontairement à une jeune fille comme moi née-moldue. Dans ses mots, je voyais presque de l'admiration. Il commençait à me donner confiance en moi. Une confiance que je construisais peu à peu depuis ma première année dans ce château. Mais qui s'ébranlait quelque fois avant de se renforcer.

Pour continuer à me rassurer le jeune homme m'assurais que même étant issue d'une famille de sorcier, il n'en était pas moins meilleur que moi et pour me le prouver dans l'heure, il me demanda de choisir un sortilège de mon année et de comparer avec lui le résultat. Cela m'amusa un peu, mais j'acquiesçais de la tête, montrant mon accord. Je réfléchis durant quelques instants et un sortilège me vint en tête. Je sortis ma baguette et proposai alors à mon compagnon :


« Tu connais le maléfice du Bloque-Jambe ? On pourrait se le lancer simultanément et ensuite, on exerce son contre-sort, le sortilège d'Enervatum.»

Je commençais donc par sortir ma baguette et me mis debout en position de duel. C'était une chance pour nous de se trouver au bord du Lac. De ce fait, nous ne serions dérangés par personne et surtout, on pouvait s'entraîner à la magie plus librement que si nous étions dans l'enceinte du château. Je préparais donc mon bras et lançai au jeune Lion.

« Prêt ?!»

C'est alors que notre duel commença et que je lançais mon premier sortilège contre lui. D'une voix forte, presque en criant, je fis tourner ma baguette et envoya :

« Locomotor Mortis !!!»

J'étais devenue déchaîner, la douce et tranquille Aurore que j'étais il y a peu, s'était littéralement transformée en une fille pleine de courage et de détermination pour mener sa quête à bien. C'était presque avec un regard de défi que j'observais à présent Louis et que j'attendais ce qui allait à présent se passer par la suite.



Lancé de dé :
1. Aurore lance le sortilège avec succès sur Louis avec succès et utilise le contre maléfice pour le libérer
2. Aurore 
lance le sortilège mais échoue car Louis à lancé le sort du bouclier pour se protéger
3. Aurore 
lance le sortilège avec succès sur Louis et regarde le jeune gryffondor utiliser lui-même le contre-maléfice
4. Aurore 
lance le sortilège sur Louis mais une erreur de la jeune fille fait que le sortilège ne part pas de sa baguette
5. Aurore 
lance le sortilège avec succès sur Louis et les deux amis lancent d'un même geste le contre-maléfice
6. Aurore 
lance le sortilège sur Louis mais échoue et le jeune homme lance le sortilège du bouclier et Aurore se voit prisonnière de son sort.
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Message(#) Sujet: Re: Quand un Aigle rencontre un Lion {ft.Louis R. Weasley} Quand un Aigle rencontre un Lion {ft.Louis R. Weasley} EmptyMar 24 Fév - 22:47

Le membre 'Aurore Hellias' a effectué l'action suivante : Le Hasard

'Le Hasard' : 5
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Message(#) Sujet: Re: Quand un Aigle rencontre un Lion {ft.Louis R. Weasley} Quand un Aigle rencontre un Lion {ft.Louis R. Weasley} EmptyJeu 26 Fév - 13:59

Debout, prêt à s’entrainer avec la demoiselle, Louis la vit changer en quelques secondes. Dans le regard de la Serdaigle, le jeune homme pouvait maintenant voir de l’envie et de la détermination. Il avait dû certainement choisir les bons mots pour provoquer les sentiments les plus forts de la demoiselle, ces sentiments d’obstination, d’envie et de détermination. Louis était heureux de ça, il aimait beaucoup les personnes fortes et qui avait un but. Même si elle semblait doutée d’elle, Louis comprenait qu’au fond, elle était plus que déterminée. Il ressentait les mêmes choses vis-à-vis de son futur. Il savait qu’il était fort, qu’il avait les capacités pour être l’un des meilleurs aurors de son temps mais il avait quand même peur, il avait des doutes. La baguette en main, la demoiselle lui proposa alors le sortilège du bloque jambes. L’un des plus faciles mais des plus efficaces. Facile pour Louis tout du moins. Pourtant, il se méfiait de la demoiselle :

« On prend le sort que tu veux j’ai dit. Et je connais bien le contre sort, ne t’en fais pas pour moi »


Le Gryffondor lui fit un sourire. C’était tellement un sort pratique et connu pour les aurors que c’était l’un des sorts qu’il avait les plus pratiqué. C’était aussi pratique qu’Pertrificus Totalus. Le seul problème, c’est que le sorcier touché par le sort pouvait quand même se défendre. Il n’avait que le bas du corps qui ne pouvait plus bougé, pas le reste. Les abords du lac étaient calme, ça ne serais très certainement plus le cas dans les minutes qui allait suivre. Dans le bout de clairière où se trouvait les deux personnes, il y avait assez de place pour lancer à peu près n’importe quel sort, ce n’était pas un bloque-jambe qui poserait donc un problème. Quand la demoiselle fut prête, elle demanda à Louis s’il l’était. Baguette tendue, il lui fit un signe de la tête. Il faudrait donc qu’il soit rapide. Weasley savait que les filles était plus souple dans leurs gestes donc beaucoup plus rapide. Taylor lui avait déjà fait subir les frais d’une rapidité plus d’une fois, c’était peut-être le plus gros défaut de Louis. A plein poumons, Louis cria :

« PROTEGO ! »


Il senti ses jambes se serrés comme si on les avait attachée ensemble. Encore une fois, il n’avait pas été assez rapide. Il imaginait à cet instant Jamie et Matthew en train de rire de lui. Il venait de se faire mettre à terre par une demoiselle bien plus jeune. Levant doucement la tête alors qu’il était à terre, il vit que la demoiselle était debout en train de le regarder. Avec un sourire, il lui dit :

« Plus que rapide dis donc ! Et tu vois, ce n’est pas parce que je suis un sorcier qui vit dans une famille de sorcier que je suis plus fort que toi. Ton sortilège est peu puissant, ses effets sont pas parfait mais tu as une rapidité qu’on beaucoup de fille, sauf que toi c’est encore plus surprenant au vue de ton âge. »

Louis tendit le bras pour pouvoir avoir la baguette qu’il avait laissé tomber. Elle avait roulé un peu plus bas. Du bout des doigts, il l’a pris. Alors qu’il avait la baguette dans la main, il la pointa vers nulle part :

« Tu connais le contre sort. Tu vas devoir me l’appliquer. Je sais pas si tu l’as déjà utilisé donc regarde. ENERVATUM ! »

Louis avait fixé sa baguette sur un oiseau. Sans le sortilège de bloque-jambes, le contre sort avait pour effet de faire bondir la chose visée, comme si elle était libérée de chaine invisible. L’oiseau sauta donc sur place avant d’aller s’envoler ailleurs. Il devait avoir eu peur de ce qu’il venait de subir :

« Maintenant, je t’en prie, libère moi. A moins que tu veuilles me lancer d’autres sorts quand je suis à terre. Mais ça serait pas très drôle pour moi je crois »
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Message(#) Sujet: Re: Quand un Aigle rencontre un Lion {ft.Louis R. Weasley} Quand un Aigle rencontre un Lion {ft.Louis R. Weasley} EmptyLun 9 Mar - 13:49

Notre duel fut très rapide, et bien que le jeune Gryffondor eût tenté de lancer son sortilège de protection, ma dextérité et rapidité eurent raison de sa défense. Je n'étais pourtant qu'une jeune troisième année mais je vis ses jambes se serrer entres elles lui faisant, de ce fait, perdre l'équilibre. Je me trouvais à présent debout devant lui. Et bien que j'eusse accompli mon sort avec succès, je ne savais pas si je devais me sentir fière d'avoir réussi mon sortilège ou bien être gêné par le fait même de cette réussite sur ce jeune garçon. C'est alors qu'il reprit la parole me louangeant sur le fait que j'étais très rapide malgré mon jeune âge, et ce, qu'importaient mes origines ou les siennes, ce n'était pas cela qui comptait le plus, mais surtout l'assiduité de la personne. C'était une leçon que j'avais apprise aujourd'hui et je savais que jamais je ne l'oublierais. Par la suite, il m'expliqua ensuite le contre sort à utiliser pour le débloquer.

Je connaissais ce dernier, pour l'avoir lu dans un livre de sortilège de deuxième année, ce sortilège d'ailleurs m'avais été très utile à une certaine période, il fixa un oiseau et appliqua le sort pour faire une démonstration. L'oiseau avait bondi de sa branche et s'était rapidement envolé vers l'horizon disparaissant dans les nuages surement effrayé par ce soudain choc qu'il devait avoir reçu. Le jeune Gryffondor reprit ensuite la parole me demandant de le libérer avec ce sort. Ma baguette à la main, je concentrai toute mon attention vers les jambes de Louis puis prononçai :


« Enervatum ! »

Nous lançâmes le sortilège en même temps d'un même geste. Dès lors, le jeune homme pu reprendre l'usage de ses jambes puis, plutôt que de l'aider à se relever, je pris place à ses côtés et me posais sur l'herbe fraiche du lac. Dès lors, je me détendis puis cherchais un sujet de conversation afin de passer le temps dans cette journée. Je commençais à me sentir de plus en plus à mon aise et j'en oubliais presque ma timidité. Il était vrai que j'étais une fille réservée, timide, et cela, depuis un temps bien avant Poudlard. Mais depuis que j'étais arrivé dans ce château pour cette troisième année, je me sentais revivre petit à petit, de part les rencontres que je faisais, les élèves que je croisais, les cours auxquels je participais. Jusqu'à présent, tout cela m'avaient donné confiance en moi. Mais j'étais d'un naturel réservé et je n'accordais pas facilement ma confiance à une personne. Pour cela, il fallait vraiment que je prenne connaissance de celle-ci, sur ses bons, mais aussi sur ses mauvais côtés. J'essayais toujours d'avoir une avance sur les personnes pour n'être jamais surprise. Sauf pour elle... Pour cette fille... Mais ceci c'était une autre histoire.

Cela faisait combien de temps que j'étais absente ? Je n'en savais rien, mais lorsque je sortis de mes pensées, la première chose que je fis fut un sourire gêné puis avec patience, j'attendais que le jeune garçon prenne à nouveau la parole. Je ne savais pas trop quoi dire, je n'avais pas beaucoup de sujets de conversation en tête et qu'est-ce qu'une troisième année pouvait avoir de bien intéressant à dire. De plus, je n'étais pas le genre de fille, jusqu'à maintenant qui s'attirait divers ennuis. C'est donc calmement, que j'observais mon livre toujours ouvert ainsi que Louis et attendais qu'il prenne la parole. L'heure tournait et le paysage changeait au fil des minutes, depuis l'aube, je me trouvais là et j'estimais alors qu'il ne devait pas être très loin de 10 heures. Ce qui nous laissait à Louis et moi-même encore beaucoup de temps avant d'aller déjeuner dans la Grande Salle. Et bien que l'heure tournât, je ne voulais qu'elle n'avance d'avantage. C'est alors que je m'allongeais dans l'herbe fraîche puis commençais à observer les nuages, laissant le vent chanter dans les arbres et l'air frais caresser mon visage. C'est alors que surgit de nulle part un chat. Et ce n'était pas n'importe quel chat, il s'agissait de Nala, mon chat de compagnie. Elle avançait à pas feutrée comme si elle était en train de chasser. Ses yeux me regardaient et me fixaient comme si elle cherchait à savoir si elle pouvait venir ou pas. De ma main droite, je tapotais doucement le sol, Nala s'avança alors vers moi puis vint se poser sur mes jambes comme à son habitude et s'allongea dessus, fermant les yeux alors que je commençais à la caresser lentement puis je l’entendis ronronner puis elle sortit ses griffes de plaisir sur mes jambes pour s’accrocher au fur et à mesure que mes caresses se faisaient sur son doux pelage. Puis elle se leva pour se rendre à côté de Louis. Elle avançait prudemment vers cet étranger pour elle. Elle se retourna tel un éclair et revient vers moi se frottant contre moi comme si elle cherchait la sécurité.


« Louis, je te présente Nala, c’est mon chat, elle n’est pas sauvage t’inquiète pas mais plutôt…comment pourrais-je dire... Peureuse. »

J’observais maintenant Nala qui s’approchait furtivement du jeune homme dans le but, sans doute, de faire connaissance avec lui, c’était la première fois que mon chat le voyait compte tenu du fait que nous n’étions pas dans la même maison, c’était un Gryffondor et moi une jeune Serdaigle, nous ne partagions pas alors la même salle commune.
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Message(#) Sujet: Re: Quand un Aigle rencontre un Lion {ft.Louis R. Weasley} Quand un Aigle rencontre un Lion {ft.Louis R. Weasley} EmptyVen 13 Mar - 14:26

La Serdaigle venait bien de se prouver que rien n’étais impossible, même si on était né dans une famille de moldue. Encore une fois, bien grand nombre de très grand sorcier étaient nés d’au moins un parent moldu ou avait de la famille proche qui était moldu. Pour Louis, c’était assez différent. La famille Weasley avait déjà compté des moldus parmi ses rangs mais il y a tellement longtemps que le garçon ne connaissait que des sorciers dans sa famille. Sa mère, elle, avait du sang moldu toujours aussi éloigné mais elle avait bien plus que ça dans son sang. En effet, Louis avait une mère vélane, qui tenait déjà ça de sa grand-mère. Louis était l’un des seuls garçons dans le monde entier à avoir du sang de vélane dans le corps. Principalement parce que les vélanes donnaient bien plus souvent naissance à des femmes. Le Gryffondor n’avait par contre pas du tout les pouvoirs magiques et séducteurs que les vélanes pouvaient avoir, sa grande sœur, elle l’avait. Victoire Weasley était l’une des plus belles filles que Louis n’avait jamais vues. Et ça va sans dire qu’il n’aimait pas trop quand un garçon tournait trop près d’elle. De toute façon, Victoire était en couple avec Ted et ça n’était pas prêt de changer.

Alors qu’il allait à nouveau parler, après être à nouveau libre, la demoiselle s’en retourna à nouveau sur son livre. Louis lui trouvait un comportement assez étrange. Elle semblait alternée entre des moments de joie et d’envie puis quelques secondes plus tard, elle faisait à nouveau preuve de timidité. Le Gryffondor n’avait jamais été timide, réservé oui mais jamais timide. Même avec les filles, il avait toujours été à l’aise, bien qu’il n’ait eu que très peu de conquête. C’était donc assez dur pour lui de comprendre les personnes timides. Il faisait toujours tout pour que ses connaissances n’ai pas besoin d’usé de timidité avec lui. On ne pouvait pas très bien parler et partager quand ce sentiment barrait la route de la parole. Se mettant en tailleur, Louis pris alors son livre moldu. Il ne l’ouvrit pas, il allait commencer à parler quand un chat magnifique vint se poser proche d’Aurore. Elle lui dit alors que c’était le sien. Nala. Il aurait pu jurer avoir entendu ce nom chez des amis moldus quand il était petit, mais il ne savait plus d’où il avait pu entendre ce nom. Le chat vit alors un aller-retour assez rapide. Elle avait peur, c’était normal. Louis n’avait jamais été très proche des animaux, il avait bien Lana, son hiboux que son parrain Ron lui avait offert, mais jamais il n’avait eu un autre animal de compagnie.

Tendant la main pour faire venir le chat, Louis regarda Aurore avec un grand sourire. Elle semblait un peu moins timide maintenant qu’elle avait une présence familière avec elle. Le hibou de Louis avait toujours été loyal mais ce n’était pas du tout du genre à vouloir des caresses à longueur de journée. Louis prit alors la parole :

« Elle est magnifique. Tu l’as depuis longtemps ? Parce que moi j’ai un hibou, Lana, je l’ai depuis 7 ans. J’imagine que tu dois plus qu’aimer les animaux pour en avoir un aussi envieux de câlin. J’ai toujours été plus fasciné par les créatures magiques, notamment les dragons ! J'ai un de mes oncles qui étudie les dragons. »
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Message(#) Sujet: Re: Quand un Aigle rencontre un Lion {ft.Louis R. Weasley} Quand un Aigle rencontre un Lion {ft.Louis R. Weasley} EmptySam 14 Mar - 0:16

Nous étions en train de parler Louis et moi quand Nala est venue se mettre entre nous deux. Lorsque le jeune homme la vit, il ne put s'empêcher de dire qu'il la trouvait magnifique et me demanda si cela faisait longtemps que je l'avais avec moi. Louis me parla ensuite du fait qu'il avait un hibou depuis sept ans qui répondait au nom de Lana. Toujours fasciné par les créatures magiques, il aimait tout particulièrement les dragons et possédait un oncle qui les étudiait. Je trouvais tout cela fascinant, étudier les dragons devait être dangereux mais aussi palpitant, bien sûr, c'était le genre de métier où il fallait tout d'abord nourrir une certaine passion envers eux avant de se lancer là-dedans. Or, en ce qui me concernait, j'étais plutôt une fille de bouquins qu'une fille aventurière. Poussée par ma soif de connaissance, je voulais en savoir d'avantage sur les créatures magiques, et cela pouvait être un bon sujet de conversation très passionnant. C'est ainsi que je posais, peut-être un peu trop naïvement, mais cela m'importait peu, ma question :

« J'ai lu pas mal de choses sur les créatures magiques, j'ai trouvé un livre à la bibliothèque qui s'intitule Les Animaux Fantastique. Tu dois surement le connaître, c'est remplit d'information et de descriptions très détaillées sur les espèces animales connus du monde des sorciers. Venant d'une famille qui n'avait pas de pouvoir magique, j'essaye d'en apprendre le maximum sur ce monde et j'en découvre tous les jours, et il est vrai que ma soif d'apprendre et de connaissance est très grande en moi. »

Après tout, ne m'avait-il pas conseillé d'être moi-même à chaque instant ? C'est donc tout naturellement cette fois que je parlais ouvertement. Peu à peu, j'oubliais mes différences et il avait raison, cela devait être ma force, il me restait à présent de trouver comment en faire une force, mais cela viendrait bien plus tard. Nous devînmes silencieux d'un coup. Un silence qui semblait se faire pesant. C'est alors que je commençais à réfléchir aussi rapidement que je le pouvais à un sujet de conversation quelconque qui pourrait nous permettre d'engager la conversation et faire durer cet instant de partage. L'idée me vint par un évènement plus ou moins insolite. En effet, au-dessus de nous commençait à se faire entendre un chant d'oiseau. Cependant, cela me surprit de voir, ou plutôt d'entendre que ce son n'était en rien des piaillements habituels, mais semblait feindre une douce mélodie qui, fallait bien le reconnaitre, était entrainante. Il n'y avait personne à nos côtés, seule notre présence était en ces lieux et c'est donc ainsi que je me présentai, devant le jeune homme, prête à entamer une danse. Avec un ton joueur, je lançai :

« Les sangs purs savent-ils bien danser ? »

J'avais dit ces mots avec un ton un peu railleur fallait le reconnaitre. Lentement, je perdais ma timidité, mon innocence avec ce jeune homme. Pour la première fois de ma vie, je prenais du bon temps. Je ne savais pas trop ce que je faisais, mais cela me rendait, pour le moment, heureuse. C'était là pour moi, une belle amitié qui pouvait commencer avec ce jeune homme et, bien que je restasse cependant méfiante, car c'était vrai, je le connaissais que depuis peu, je n'avais pas l'habitude de donner ma confiance facilement et cela n'allait pas changer, je savourais cet instant de détente qui se faisait rare dans mes emplois du temps depuis ma première année ici. Je commençais à danser seule devant le jeune homme souriant, bougeant mon corps au rythme d'un air de musique imaginaire et pourtant, je l'entendais dans ma tête, c'était comme une musique d'un autre temps, d'une autre époque. Une musique qui semblait être un slow calme. Je regardais le jeune homme, je voulais lui faire partager cette musique, cette mélodie, qu'est-ce qu'il y avait dans le monde plus magique que la musique ? En une seconde, elle pouvait nous rendre tristes et la minute suivante nous faire exploser de joie.

« Tu entends ? Ferme, les yeux, laisse toi guider. Écoutes ce qui t'entoure. Tu l'entends maintenant ? »

Toujours en observant le jeune homme, je patientais pour savoir ce qu'il allait dire, est-ce que lui aussi ressentait cette mélodie, j'allais bientôt le savoir, mais en attendant, je dansais calmement me laissant emporter par la musique de la nature qui chantait autour de moi et au fond de moi, je la ressentais comme si je sentais le caillou sur la terre humide ou le vent qui caressait les feuilles de ces grands arbres autour de nous. Avec patience, me laissant entraîner par le rythme doux, j'attendais de voir la réaction de Louis, qu'allait-il faire ? Me prendre pour une folle peut-être ou bien allait-il lui aussi céder à cette mélodie. L'entendait-il ? J'allais rapidement être fixée.
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